Un lien vers un site très intéressant pour compléter cette page (attention en anglais, fureter dans les divers menus!):
https://quantumantigravity.wordpress.com
I. Propulsion électrocinétique ou « électrogravitique »
1. Preuves de l’existence de la force « électrogravitique » dans le vide
Rare vidéo d’expériences de Townsend Brown, inventeur connu de l’appellation de force « électrogravitique » qu’il a découvert étant enfant et sur laquelle il a fait des recherches poussées, montrant qu’il mesurait bien des poussées dues à la haute tension dans le vide, donc là on ne parle pas d’effet de poussée par vent ionique :
Le lifter ne permet en rien de démontrer une poussée électrogravitique dans l’air, car on peut alors expliquer son soulèvement par le vent ionique provoqué par la haute tension et la configuration de ses électrodes (mouvement de l’air ionisé qui est soufflé par la haute tension et provoque une élévation du lifter par la simple force de poussée de l’air par action/réaction) . Depuis des années, l’expérience qui consiste à mettre un lifter qui s’élève dans l’air, dans une enceinte sous vide et de reconduire l’expérience a démontré que ce dernier ne s’élevait pas. Cela a permis la conclusion définitive de la grande force de poussée due au vent ionique qui est la seule cause de son soulèvement et envol, donc rien d’anormal.
On peut voir l’effet de vent ionique sur des tests comme celui-ci :
Voir la page sur le lifter qui explique son fonctionnement d’envol par vent ionique :
https://www.chercheursduvrai.fr/accueil/sciences-non-conventionnelles/lifters/
Un article de M. Tajmar explique bien le soulèvement du lifter par effet de vent Corona (vent ionique) :
https://tu-dresden.de/ing/maschinenwesen/ilr/rfs/ressourcen/dateien/forschung/folder-2007-08-21-5231434330/ag_raumfahrtantriebe/Biefeld-Brown-Effect-AIAA-Journal-Revised.pdf?lang=en
Il est dommage qu’il ne s’intéresse pas à l’existence d’une force sous vide, même si cette force n’est pas capable de soulever le lifter.
En effet il faut savoir aller plus loin, car si sous vide le lifter ne se soulève pas, il subit bien une force de poussée malgré tout, qui ne peut pas être due au vent ionique et n’a aucune explication sauf la force électrogravitique. Cette poussée là est trop faible pour soulever le lifter ; donc il ne décolle pas ; mais elle existe. On peut la mettre en évidence avec des montages du style pendule où la force de poussée est effectuée latéralement et non pas vers le haut, en attachant le montage de condensateur asymétrique par un fil.
Ici de façon explicative, un montage à condensateur asymétrique mis dans une chambre à vide:
La poussée électrogravitique est démontrée ici sur un montage du même genre reproduit par Gravitec dans un laboratoire d’essai de la NASA :
Comparaison du mouvement avec de l’air et du vide dans la chambre:
Ou ici en comparaison dans l’air et en chambre à vide :
Ceci valide définitivement l’affirmation de Townsend Brown qui dit qu’il existe une poussée inexplicable dans le sens du pôle positif d’un condensateur chargé sous haute tension.
On appelle de façon erronée cette force la force électrogravitique, je dis que c’est incorrect car cette force s’exerce dans le sens allant du pôle – vers le pôle + du condensateur chargé à haute tension, sans se préoccuper de sa situation dans le champ gravitationnelle. Cette force peut donc aussi bien servir à propulser vers le haut, que la gauche, la droite ou le bas. Elle n’a rien d’antigravitationnel ; elle est juste une force de poussée dirigeable comme on le veut. Comme Brown s’en servait pour tenter de produire des aéronefs volants, il voulait s’en servir contre la force gravitationnelle et je pense que c’est pourquoi il l’a appelé ainsi.
Mais elle a ceci d’important que :
- Elle ne fonctionne pas du tout sur le principe connu d’action/réaction qui selon la physique conventionnelle est la seule façon de produire une poussée
- Elle ne peut s’expliquer par aucune des lois connues de l’électricité et de l’électrostatique, elle est provient donc d’un mécanisme inconnu de la physique.
2. caractéristiques de la force dite « électrogravitique »
Tom Valone a écrit un article synthétique intéressant et important qui récapitule les effets électrogravitiques mesurés par différents expérimentateurs et leurs caractéristiques :
http://www.integrityresearchinstitute.org/pdf/ElectrograviticsElectrokineticsValone.pdf
Il a d’ailleurs écrit des livres sur l’antigravité qui reprennent intégralement cet article et explorent plus avant tout ceci.
Il recense les expérimentateurs suivants :
a) Rudolf G. Zinsser
Allemand, qui a découvert ce qu’il appelle « l’effet Zinsser » expliqué au public en 1980; décrit dans son livre du même nom. Il a pu démontrer l’existence d’une poussée avec une efficacité de rendement de 6 N/W au minimum (6 Newton de force produits pour une consommation électrique de 1 Watt pour alimenter le système). Par comparaison un moteur de jet d’avion à carburant a un rendement de 0,004 N/W et une propulsion chimique de fusée a un rendement de 0,001 N/W. Cette efficacité si haute ne semble être obtenue que pour ce système particulier impulsionnel à haute fréquence.
Son système est un condensateur constitué par deux plaques métalliques conductrices immergées dans l’eau qui sert de diélectrique avec une forte permittivité électrique relative ; et il alimente le tout avec un générateur d’impulsions. Les impulsions duraient seulement quelques nanosecondes. La force de poussée mesurée subsistait encore longtemps après que la dernière impulsion ait été envoyée au condensateur. Les mesures de force s’effectuaient avec une configuration de pendule de torsion (donc le tout suspendu par un fil le système tourne autour du fil par une poussée latérale)
Voir ce lien pour une description du travail de Zinsser:
http://www.rexresearch.com/zinsser/zinsser.htm
La particularité de ce système est qu’il est alimenté par des impulsions à plutôt hautes fréquences (de 30MHz à 350MHz selon les expériences) et avec des tensions pas très hautes (allant de 10V sans amplification à plus de 1000V avec amplification). En fait les résultats obtenus donnent de petites forces, très petites car justement les tensions utilisées sont faibles ; les puissances injectées étant de l’ordre de 20 micro Watts à 100 milli Watts.
Mais il y a bien observation d’une force qui s’exerce dans le sens de la plaque négative vers la positive dans l’eau, sachant que les impulsions délivrées sont des impulsions positives sur la plaque positive, pas d’alternatif utilisé ; on a bien une polarisation du condensateur en continu, mais continu pulsé.
Des résultats d’expérience parlent d’observation de la force de poussée s’observant encore pendant près de 2h après que le condensateur ait été soumis pendant 2 minutes aux impulsions de 1 milli Watts à Haute Fréquence. La force produite pouvant dans ces cas aller de 0,00005 N à 0,0001 N, mais perdurant pendant 2h, ce qui fait une impulsion totale observée au maximum de 0,0001N x 7200s= 0,72 N.s pour une consommation initiale d’énergie de 0,001W x 60s = 0,06 W.s soit un ratio de 0,72/0,06 N/W = 12 N/W. On passe à la valeur moitié de 6 N/W si on prend la valeur la plus basse de la force observée.
Fait étonnant mais qu’on retrouvera avec Townsend Brown: la matière, soumise aux impulsions continues, a en quelque sorte absorbée une sorte de charge énergétique qu’elle délivre ensuite sous la forme d’une force de poussée qui perdure tout le temps où cette charge énergétique se dissipe. Il semble y avoir une absorption par la matière puis restitution sous la forme de cette force.
b) Thomas Townsend Brown
Bien sûr c‘est l’incontournable ; c’est lui le grand découvreur de cette nouvelle force. Après avoir étudié l’effet dans l’air et observé des poussées importantes, il a été conscient de l’effet du vent ionique (appelé aussi effet de vent Corona) et a testé l’existence ou non de la dite force sous vide. Ses tests ont démontré qu’une force subsistait sous vide ; moins forte, mais réelle et nette et donc qu’une force « anormale » existe bien. On voit une vidéo de quelques uns de ces tests sous vide au début de ce document.
Présentation des travaux de Brown (en anglais) ici:
Cette force est parfois appelée l’effet Biefeld-Brown. En effet c’est le professeur Paul Alfred Biefeld, astronome, qui a encouragé Thomas Townsend Brown à faire ses expérimentations et lui a fourni les moyens de recherche dans son laboratoire ; et c’est ensemble qu’ils ont travaillé ; bien que Brown avait découvert cet effet étant jeune et cherchait à l’expliciter, en l’honneur de son mentor il a donné le nom conjoint à cet effet nouveau.
L’un des premiers montages de Brown comme démonstrateur de son effet (incluant la poussée due au vent ionique) est le couple de deux « disques électrocinétiques volants » pour lesquels il avait déposé un brevet:
Brevet: https://www.google.com/patents/US2949550
C’est un condensateur asymétrique en forme de disques (un pôle est un fil maintenu en place et séparé du disque par des séparateurs isolants en verre ou en plastique; et l’autre pôle est constitué par le disque en métal lui-même). Il y en a deux, suspendus par des tiges sur un pivot permettant la rotation. L’alimentation en haute tension est assurée par contact sur le pivot, pour chacun des deux disques.
Réplication maison du démonstrateur possible en DIY (à monter soi-même par bricolage):
http://www.instructables.com/id/Asymmetrical-Capacitor-Thrusters-the-Biefeld-Brow/
Réplication étudiée par Jean-Louis Naudin ici:
http://jnaudin.free.fr/html/enhbbexp.htm
L’efficacité de rendement observée dans l’air (et donc comprenant l’effet de poussée supplémentaire importante par vent ionique) a été étudiée par Jean-Louis Naudin sur les lifters ici, qui découlent du même principe, mais pour élévation verticale:
http://jnaudin.free.fr/lifters/data/index.htm
Sa courbe de mesure donne une efficacité maximale de l’ordre de 2,5g/W soit un rendement de 0,025N/W (avec vent ionique). C’est 25 fois mieux que la propulsion chimique des fusées ou 6 fois mieux que la propulsion des moteurs jet d’avion. Mais là on parle bien de l’effet cumulé d’électrogravité pur (plus faible) et vent ionique induit dans l’air (effet de vent Corona). Toutefois quand on se propulse dans l’atmosphère les deux sont utiles et le tout est à prendre en compte. Dans le vide spatial ne resterait que la première partie. Quelle est la part des deux effets? Il faut la faire mesurer par des essais à vide.
En comparant avec la très forte efficacité de Zinsser, on se dit que l’alimentation pulsée à haute fréquence (plusieurs mégahertz) est une voie à expérimenter pour voir si on peut améliorer le rendement observé sur les lifters.
Effets principaux constatés :
- Brown constate quelque chose qui a été observé par Zinsser plus tard aussi : un effet de « capacité de charge », où la masse stocke une énergie lors de l’alimentation en tension continue et qui continue à se décharger pendant un certain temps après que l’alimentation ait été coupée.
Il constate de plus que certains matériaux ont un temps résiduel de production plus grand que d’autre, après coupure ; donc ont une capacité de stockage de cette forme d’énergie plus ou moins grande. - Brown comme Zinsser ont travaillé sur des condensateurs avec un diélectrique (liquide dans le cas de Zinsser, solide dans le cas de Brown). Mais Brown a testé des diélectriques différents et a testé des tensions variées, de la haute et très haute tension. Il a pu observer un effet de plus en plus fort avec une tension de plus en plus forte. Il a pu constater aussi un effet de plus en plus fort avec un diélectrique de permittivité électrique relative plus grand.
- Brown a constaté que la poussée s’exerçait dans le sens allant de la plaque négative du condensateur vers le plaque positive. Comme Zinsser plus tard. Brown a utilisé une alimentation continue non pulsé. Mais il a constaté que même en laissant l’alimentation branchée sur le condensateur, si celui-ci subissait une force de poussée immédiate, elle subsistait un certain temps puis disparaissait, alors que la tension continue restait appliquée.En fait il s’est rendue compte que c’est lors de l’impulsion initiale de mise en route que le diélectrique du condensateur avait stocké dans sa matière une forme d’énergie qui se déchargeait peu à peu en poussée jusqu’à vidage complet de l’énergie stockée, et que l’application de la tension continue ne provoquait pas cette « charge » du diélectrique, mais que c’était l’impulsion d’alimentation.
Townsend Brown a pour la première fois publié son rapport d’expérience dans son article intitulé « How I control gravitation » en 1929. Voici l’article en question :
https://fr.scribd.com/document/225143286/How-I-Control-Gravitation-pdf
Voici à quoi ressemble son dispositif expérimental : Il a accroché ensemble deux sphères de métal par une tige de verre, rendant l’ensemble rigide. Les deux sphères sont suspendues par des câbles qui permettent aussi l’alimentation électrique. Il alimente l’une positivement et l’autre négativement avec une différence de potentiel de plusieurs dizaines de milliers de volts : 120 000V pour être précis. Il observe alors une force nette dirigée de la sphère négative vers la sphère positive. On a là affaire à un montage de condensateur symétrique. En effet on dit toujours que Brown a travaillé seulement sur des condensateurs asymétriques (avec une grosse plaque d’un côté et une petite plaque voire un fil de l’autre), mais il n’a pas fait que de l’asymétrique :
Alors il est vrai qu’il a pu constater que lorsque le condensateur est asymétrique (deux plaques différentes) l’effet de poussée était plus fort qu’avec des condensateurs à plaques symétriques. Toutefois On a pu expliquer ceci aujourd’hui : l’effet de vent ionique est très fort avec un condensateur asymétrique, la différence de géométrie des deux plaques permettant une pression du vent ionique bien plus grande.
Donc la différence de puissance observée par lui est due à la différence dans le vent ionique. Mais je parie fort qu’en ce qui concerne la force observée dans une chambre à vide, elle est la même avec un condensateur asymétrique ou symétrique, à égalité de tension d’alimentation électrique et de volume de diélectrique soumis au champ entre les plaques.
Le terme plus exact de force électrocinétique (mouvement produit par un effet électrique) est utilisé de nos jours pour désigner la force électrogravitique. Brown est le premier à l’avoir utilisé après la première « mauvaise » appellation initiale de force «électrogravitique ». Il utilise en fait l’appellation plus correcte dans son document publié.
Brown indique précisément à propos de ses observations sur le pendule et rotor gravitationnel, qu’il appelle des gravitateurs, qui sont illustrés dans les images précédentes :
- Il a compris que la force produite est délivrée sous la forme d’une impulsion : il dit que par exemple lorsqu’il applique la haute tension de 75 000 V à 300 000 V, son gravitateur à pendule prend 5 secondes pour atteindre l’inclinaison maximale mais ensuite il lui faut de 30 à 80 secondes pour retourner à sa position initiale alors qu’on poursuit l’application de la haute tension. La force délivrée est donc une impulsion ayant une certaine durée, avec un retour à zéro (impulsion terminée) même si la haute tension est restée branchée tout du long.
- La durée totale de l’impulsion de mouvement produit par l’effet électrocinétique dépend de la position et de la distance à la Lune, au Soleil, et ainsi de suite de différents facteurs astronomiques ; il a pu corréler cela clairement en notant les variations de durée de l’impulsion sur plusieurs jours et la phase lunaire et position solaire simultanée. Par contre la durée d’impulsion n’est pas changé par variation de la tension d’alimentation ni le type de diélectrique employé (cela a été testé), elle ne dépend que des conditions gravitationnelles locales (d’où l’influence des autres corps célestes orbitant près de la Terre). C’est cette observation qui a probablement conduit Brown à appeler son effet un effet électrogravitique puisqu’il semble qu’il y ait un couplage avec la gravitation pour que la matière produise la force électrocinétique.
- Une fois que le gravitateur est complètement « déchargé », quand il ne délivre plus aucune impulsion de force provoquant le mouvement, donc que l’impulsion a été épuisée en quelque sorte, la tension électrique d’alimentation qui était restée appliquée jusque là tout le long doit être coupée pendant au moins 5 minutes ; afin que la matière du gravitateur puisse retrouver sa capacité à se recharger en énergie lors d’une nouvelle application de haute tension pour produire une nouvelle impulsion. Il faut laisser un temps de repos pour que la matière retrouve sa condition « gravitationnelle normale ». Quand la durée de l’impulsion est grande, la durée de coupure pour recharge est grande aussi ; en fait ils sont toujours proportionnels l’un à l’autre.
- Que plus la tension est grande, plus la force est grande en intensité (mais l’impulsion ne change pas en durée).
- Le courant d’alimentation doit juste suffire à compenser les fuites ioniques afin de maintenir la tension appliquée au condensateur. Il parle de courant mesuré de 37 dix-millionièmes d’ampères.
- La masse du diélectrique détermine l’énergie totale de l’impulsion à appliquer : pour une amplitude de tension appliquée donnée, un accroissement de la masse de diélectrique produit un accroissement de l’énergie délivrée par le système lors de la poussée.
- Il a observé en 1956 qu’une forte poussée était associée à un courant fort, lorsqu’il y avait un arc de claquage (donc brusque pic de courant): une impulsion de courant en fait.
c) Jefimenko
Là c’est un travail théorique qui est présenté et qui vise à expliquer l’effet Biefeld-Brown. Le Dr. Oleg Jefimenko pense avoir trouvé la formulation de la force observée.
Voir l’article de Tom Valone précédemment cité en lien pour lire la synthèse du travail de Jefimenko:
http://www.integrityresearchinstitute.org/pdf/ElectrograviticsElectrokineticsValone.pdf
Son équation , appliquée dans le cas de Zinsser ou de Brown est entièrement compatible qualitativement avec les observations effectuées. Si son travail est correct, la variation du courant circulant entre en compte dans le calcul de la force : une variation brusque de courant dans un sens produirait une force importante et la variation lente du courant dans l’autre sens produit une force faible inverse. Ainsi en appliquant d’un seul coup la tension d’alimentation (brusque montée de courant) on a l’impulsion sur le gravitateur ; et en maintenant l’alimentation, les fuites diminuent lentement ce courant sans produire de force de sens opposée très notable.
Ceci suggérerait d’alimenter le condensateur de façon impulsionnelle avec une impulsion à front montant raide et front descendant très doux du genre :
Cette dernière proposition provient d’ailleurs d’un autre brevet de propulsion électrocinétique.
La théorie proposée montre qu’il existe aussi une force électrocinétique si on alimente le condensateur en courant alternatif ; donc pas en continu pulsé mais vraiment en alternatif, avec inversion du sens du courant de façon périodique. Toutefois si la montée et la descente des courants se fait de façon symétrique, la force électrocinétique dans un sens lors d’une alternance positive par exemple compense la force électrocinétique dans l’autre sens lors de l’alternance négative et le bilan total est nul sur le système, de façon moyenne.
Ce n’est alors qu’en jouant sur la forme d’onde du courant sinusoïdal, pour créer une dissymétrie, qu’on peut obtenir une force nette totale dans un sens.
d) Takaaki Musha
Lien 1 : http://citeseerx.ist.psu.edu/viewdoc/download;jsessionid=7AC70286019C4E1060DAED7D8F2D7C82?doi=10.1.1.692.2754&rep=rep1&type=pdf (plus accessible)
Lien 2 : http://jnaudin.free.fr/lifters/musha/Musha-Presen.pdf
Ce physicien japonais a produit un travail explicatif basé sur l’expérience du groupe de Recherche et développement de l’institut HONDA, qui ont répliqué des expériences montrant l’effet Biefeld-Brown dans une expérience du 1er mars 1996.
L’expérience est la suivante :
Un condensateur à disque métallique séparés par un diélectrique en verre de forte permittivité électrique relative ; d’épaisseur 1mm, diamètre 17cm et de poids 62g est placé sur une balance électrique. Le condensateur est mis dans un bac rempli d’huile isolante afin que lors de son alimentation électrique il ne puisse se produire aucun vent ionique à sa périphérie.
Des tensions électriques continues de 18 000V et pulsées de 8 000V ont été utilisées pour application sur le condensateur ainsi pesé. Pour la tension pulsée, les impulsions étaient des impulsions carrées à la fréquence de 50Hz, provenant d’un générateur alternatif à 50Hz passant par une bobine d’allumage ; et redressées par une diode. La diode permettait de garder seulement al composante positive ou négative du signal carré pour produire des impulsions positives ou négatives sur le condensateur. Donc la tension pulsée était une impulsion répétitive positive tout le temps, ou négative tout le temps, ce qu’on appelle du continu pulsé (et appelé de l’alternatif pulsé ou « AC pulses » dans le document pré-cité)
Montage :
Résultat des expériences :
Il a été constaté que les tensions pulsées (pourtant de seulement 8kV) ont produit une réduction du poids du condensateur supérieures à celles obtenues avec du continu (de pourtant 18kV) dans la proportion que la réduction de poids observée avec le pulsé de 8kV était de 2,77 fois celle observée avec le continu de 18kV.
Avec du pulsé il a pu être observé une réduction maximale de poids de 1,92g sur le disque de 62g soit environ de 3% de son poids.
Cette expérience confirme tout ce qui a été vu précédemment : les impulsions électriques d’alimentation continues sont plus efficaces que le continu. Takaaki Musha développe une théorie explicative de l’effet Biefeld-Brown qui confirme qualitativement et numériquement les réductions de poids observées sur le condensateur (car la force appliquée était appliquée dans le sens qui visait à réduire le poids, c’est-à-dire force dirigée vers le faut).
L’expression de la force en fonction des paramètres permet de voir que la force augmente proportionnellement au numéro atomique du diélectrique (donc de sa densité), proportionnellement au champ électrique appliqué aux bornes du condensateur en Volts/mètre (donc beaucoup de tension sur une petite distance entre plaques), et proportionnellement à la racine carrée de la permittivité diélectrique. Donc des choses en accord avec les observations de Brown.
Un calcul fait par Takaaki Musha montre qu’un appareil destiné à transporter un humain, avec des électrodes sur sa surface séparées de 1 mètre pourrait atteindre la vitesse de 5 km/s avec une tension appliquée de 1 milliards de volts. On voit qu’on peut atteindre une propulsion dans l’espace avec ce nouveau moyen, toutefois les tensions doivent être conséquentes.
A noter que dans son document suivantTakaaki Musha indique qu’il prévoit par calcul une efficacité de poussée de rendement 0,0025 N/W pour le pur effet électrocinétique dit « électrogravitique »; cela veut donc dire 1/10 du rendement obtenu avec le vent ionique sur les lifters (donc la partie vent ionique serait de 90% de la poussée sur le lifter et la partie électrocinétique anormale de 10%). Ainsi si il calcule 5 km/s pour la nef précédente c’est seulement en poussée électrogravitique, mais en prenant en compte la poussée due au vent ionique la vitesse serait nettement plus considérable; ou à contrario on peut envisager de diminuer fortement la tension d’alimentation pour obtenir la même vitesse; en atmosphère.
Voir ce document de Takaaki Musha sur le comparatif: http://www.ovaltech.ca/pdfss/Theoretical_Explanation_of_the_Biefield-Brown_Effect.pdf
f) EMDrive
Description rapide : https://fr.wikipedia.org/wiki/EmDrive
Lien 1 : http://fr.ubergizmo.com/2014/08/01/nasa-teste-impossible-moteur-combustible-marche.html?inf_by=59b2b20c671db852678b4653 (lien cassé)
l’Em drive est un système de propulsion sans réaction, là aussi une anomalie de la physique. Il a été théorisé et testé expérimentalement par son inventeur Roger Shawyer en 2004. Des micro-ondes produites dans une enceinte fermée, mais ayant une forme géométrique différente d’un côté et de l’autre des zones de rebond permet de produire une poussée dans un sens par une différence des forces s’exerçant de façon interne entre les deux parois en question.
Explications de son inventeur sur son fonctionnement:
Dans la première réalisation de son idée par des chinois en 2007, la poussée produite a été de 0,085 N donc faible, mais existante. Puis rien n’a été développé dessus. La NASA a à son tour reproduit et testé ce système en 2013 et a validé l’existence de la poussée ; avec une poussée de 0,030 N à 0,050 N. L’inventeur a fait un nouveau montage, atteignant 0,096 N ; mieux que les chinois et la NASA en 2014.
Le document décrivant le fonctionnement de l’EM Drive est ici :
http://www.emdrive.com/theorypaper9-4.pdf
Simple, mais violant la loi d’action/réaction pour produire une poussée. On note que le phénomène est aussi relié à la génération de champs électromagnétiques, et est aussi en violation de la loi physique de propulsion. Ceci pour indiquer que la propulsion électrocinétique, violant l’action/réaction n’est pas la seule de ce genre et cette violation n’est donc pas limitative de la force électrocinétique.
g) John Hutchison
John Hutchison a découvert par hasard, alors qu’il montait des expériences sur les ondes longitudinales Tesla chez lui (=ondes scalaires) des effets de propulsion antigravité d’objets de façon aléatoire.
Il a travaillé dans deux laboratoires différents (qui étaient son logement transformé en un grand laboratoire). Son labo ayant été confisqué une fois, il a recommencé. A chaque fois cela lui a pris des mois ou des années avant de pouvoir obtenir les effets en question.
Il avait essentiellement deux grosses bobines Tesla produisant des arcs de plusieurs millions de volts en courant alternatif et un générateur de Van de Graaf 300 000V de tension continue. La zone où on observait les effets à antigravité était situé exactement entre les deux bobines Tesla, à proximité du générateur de Van de Graaf. La zone en question était donc soumise à un champ électrique continu puissant (le 300 000V du Van de Graaf qui produit un champ fixe entre lui et les murs du logement qui sont au potentiel de 0V) et à ceci se rajoute des impulsions à très haute tension de plusieurs millions de volts alternatifs des deux bobines. Lorsque par hasard les impulsions des bobines Tesla devaient compenser partiellement une partie de la forme d’onde du pulse à certaines endroits de la zone située entre deux par superposition ; des impulsions biaisées positivement ou négativement subsistant seulement pendant un certain temps; on devait probablement avoir l’effet Biefeld-Brown de propulsion. Il semble que la tension continue du Van de Graaf était indispensable pour obtenir le tout (sans lui les effets n’avaient pas lieu).
C’est un phénomène à coup quasiment-sûr dérivant de l’électrocinétique, voire de l’annulation de la gravité (écrantage) à lire au paragraphe suivant.
Une page du site présentant les effets de Hutchison est disponible ici:
https://www.chercheursduvrai.fr/accueil/sciences-non-conventionnelles/effet-hutchison/
II. Annulation de la gravité
1. Introduction
On est dans quelque chose de très différent de ce qui précède. En effet la force électrocinétique dite électrogravitique est une poussée qui peut s’exercer dans le sens où on dirige les plaques du condensateur. Elle permet la propulsion.
Là j’aborde le fait d’écranter le champ gravitationnel, pour annuler une partie du poids d’un objet. Là on est vraiment dans de l’antigravité. Cette technique ne permet aucune propulsion, elle permet seulement d’isoler en quelque sorte un système des champs gravitationnels environnants, il ne leur est plus soumis. Cela permet donc d’annuler le poids (et pas la masse bien sûr) ; mais ne produit aucune propulsion.
C’est l’association des deux technologies : l’annulation du poids pour avoir un système ne pesant presque plus rien voire plus rien du tout (poids nuls) et de propulsion électrocinétique qui permet de pouvoir déplacer rapidement et sans avoir besoin de tensions trop énormes des objets de grande taille et masse.
En effet on a vu qu’il faut un milliard de volts pour réussir à propulser une nef à 5km/s. Mais si cette même nef a une masse quasi nulle, on pourrait obtenir la même vitesse avec une force de propulsion bien plus faible et donc avec une haute tension bien plus faible et raisonnable. C’est l’association de ces deux techniques qui permet de créer des vaisseaux spatiaux à propulsion antigravitationnels pouvant traverser de grandes distances.
N’oublions pas non plus que la force électrocinétique a un fort supplément dans l’atmosphère, grâce au vent ionique, provoquant une propulsion plus rapide en atmosphère que ce qui est permis dans l’espace. Mais dans l’espace, hors de toutes atmosphère, sans besoin d’air pour une quelconque réaction, l’appareil peut se propulser très vite par l’effet électrocinétique pur.
2. Réalisation pratique par plasma tournant
On peut utiliser les informations de dénonciateurs comme Corey Goode qui a travaillé comme agent dans les projets spatiaux secrets américains, qui nous indique qu’il existe une technologie de « suppression magnétique de la gravité » en plus de celle de « propulsion par électrogravité ».
Mais on peut utiliser les informations provenant d’autres dénonciateurs qui indiquent que l’annulation de gravité est produite par un plasma tournant à très haute vitesse dans une enceinte circulaire.
Précisément du mercure pressurisé à 250 000 atmosphères (je pense qu’il y a une erreur dans l’information reportée, probablement plutôt 250 atmosphère car je vois mal n’importe quel objet technologique supporter 250 000 atmosphères de pression) à la température de 150K devient supraconducteur (chose non vérifiée dans la documentation scientifique, donc c’est aussi une information « exotique » car ce qu’on sait du mercure est qu’il est supraconducteur en-dessous de 4,2K mais à pression usuelle normale) est mis en rotation à 50 000 tours par minute.
Il permet de créer alors un champ magnétique ultrapuissant en forme de vortex tournant qui rayonne jusqu’à une certaine distance. Toute la matière englobée dans la bulle formée par ce rayonnement intense est isolée du champ gravitationnel ambiant. Ceci est plus ou moins efficace selon les paramètres techniques. On voit une cohérence dans l’appellation de Goode de « suppression magnétique de la gravité »
Le TR3B, sensé utiliser cette technologie, aurait pu annuler ainsi 89% de son poids. Il serait alors aisé à propulser:
http://www.rense.com/general30/yrb3.htm
La rotation de plasma à grande vitesse périphérique pour annuler la gravité est aussi une information donnée par un certain Nassim Haramein, chercheur physicien auto-didacte qui produit un engin présentant ces paramètres pour propulsion à antigravité.
En ce qui concerne ce sujet et de façon totalement indépendante, on m’a communiqué des informations obtenues par voie télépathique provenant d’êtres non terrestres indiquant qu’un système de condensateur soumis à haute tension entouré par un anneau de plasma tournant produirait un système viable de propulsion par antigravité, en plusieurs séquences.
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/index.php?showtopic=2157
Voir une réflexion sur la réalisation d’un plasma tournant ici pour compléter cette réflexion:
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/index.php?showtopic=2194
3. Ecrantage gravitationnel selon Fran de Aquino
Fran de Aquino est un physicien qui a développé une théorie sur la modification de la masse gravitationnelle d’un objet et qui publie aussi bien théorie qu’expériences à ce sujet. Il publie de très nombreux articles avec à chaque fouis de nouvelles expériences, avec schéma de montage de l’expérience et tableau des mesures obtenues et conclusion.
Un sujet de réflexion et d’étude complet sur les travaux de Fran de Aquino est disponible ici :
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/index.php?showtopic=674
Mais il n’y a jamais une seule photo de l’expérience montée, cela reste des schémas, et jamais un seul témoin du bon fonctionnement des expériences produisant les effets extraordinaires qu’il annonce à chaque fois. Il ne répond pas aux emails le questionnant sur des preuves ne serait-ce que photos ou des gens ayant pu assister, ne serait-ce que des assistants de son labo. Il répond évasivement quand il répond.
En fait tout tend à montrer qu’il invente de fausses expériences qu’il publie comme si elles avaient été montées et publie des tableaux de mesures expérimentales fausses pour faire croire au bon fonctionnement ; et ceci à la chaine depuis des années.
Une preuve de la chose a pu finir par être obtenue : l’une des expériences qu’il indiquait produisant annulation de la masse était réalisable avec du matériel de labo individuel simple. L’expérience a été montée et publiée ici et n’a donné strictement aucun résultat, au contraire de ce qui était annoncé :
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/index.php?showtopic=674&st=60&#entry59641
En fait ce travail sert à canaliser dans de fausses voies les personnes intéressées par l’écrantage gravitationnel ; afin de ne pas se pencher sur ce qui marche vraiment à ce sujet comme le plasma rotatif. C’est un écran de fumée très certainement organisé pour que la grande documentation publiée partout emplisse les moteurs de recherche en réponse à des recherches sur l’écrantage gravitationnel et qu’on ne soit pas dirigé vers des essais de montage réellement fructueux à ce sujet.
En parlant de façon d’écranter la gravitation, si la rotation d’un plasma semble être la seule faisable par des moyens purement technologiques nécessitant pas de compréhension avancée de l’univers, il semble que ça soit juste totalement primitif; les êtres non terrestres qui annulent la gravité un peu avancés le faisant par l’usage de cristaux pour utiliser l’aether environnant afin de créer une bulle d’isolement. La rotation de plasma est une technologie des êtres non terrestres les moins avancés et la seule que je connaisse directement utilisable par nous. C’est un peu comme si on nous apprenait à démarrer un feu en frottant du bois avec les mains sur un autre bois, alors que certains savent l’allumer avec un briquet et d’autres encore avec un laser. Mais bon même si la technique est primitive elle marche.
III. Interaction avec la gravité
1. Modification de la vitesse de chute d’objets tournants (gyroscopes) vs non tournant (même poids, même volume pour une chute dans l’air)
Les expériences de Bruce de Palma sur bille en rotation en chute libre:
https://depalma.pairsite.com/SpinningBall(Understanding).html
Ici l’article est largement moins académique mais on a la courbe d’une des expériences de de Palma avec les lancers de bille à la verticale:
http://sfgirl-thealiennextdoor.blogspot.com/2011/04/bruce-depalma-and-spinning-fields.html
En quelques mots: un objet mis en rotation rapide acquiert un supplément de vitesse vers le haut lorsqu’il est lancé avec vitesse initiale vers le haut par rapport au même objet pas mis en rotation lancé à exactement la même vitesse initiale vers le haut (ce qu’illustre l’image précédente sur la courbe de trajectoire de l’objet lancé à exactement la même vitesse initiale mis en rotation à 27000 tours par minute – RPM- ou pas en rotation, captures de positions par stroboscopie) et acquiert un supplément de vitesse vers le bas lorsqu’il est simplement lâché en chute libre (sans vitesse initiale) par rapport au même objet pas mis en rotation.
Des expériences amateurs sur le sujet, avec lâcher à la verticale, comme fait par De Palma mais uniquement avec un lâcher en chute libre (pas de lancer vers le haut):
Le début du travail de cet auteur avec des objets en rotation a commencé par des mesures de moments d'inertie de gyroscopes sous contrainte subissant une précession forcée. Les moments d’inertie accrus découverts lors du mouvement de précession se sont traduits par une série de mesures sur pendule à bobs tournants. Bien que les découvertes sur les effets d'inertie associés à la précession et aux oscillations pendulaires des poids des bobs en rotation étaient très fortement suggestifs pour cet auteur, il a fortement résisté aux tentatives de lâchers en chute libre d'un objet en rotation pour deux raisons.
Tout d'abord, il n'avait aucune raison de pouvoir prédire le mouvement d'un objet en chute libre sur la base des modifications d'inertie qu'il avait mesurées et qui concernaient des situations contraignantes d'objets en rotation. Deuxièmement, il n'y avait aucune raison de s'attendre à ce que des modifications inertielles affectent le taux de chute d'un objet libéré et il n'existait aucune théorie disponible qui puisse en aucune manière être appliquée à la situation d'un objet en rotation en chute dans un champ gravitationnel. C'est une situation connue en termes religieux comme un "saut dans le noir".
L’auteur et ses assistants étant des experts dans l’application des techniques d’éclairage stroboscopique à l’étude des mouvements à grande vitesse, la première intervention expérimentale consistait à photographier les trajectoires d’un roulement à billes en acier tournant à grande vitesse avec un objet de contrôle identique en mouvement à une vitesse initiale similaire mais non rotatif. Le résultat de l'expérience était si surprenant et anormal qu'il m'a fallu cinq ans pour comprendre.
Les résultats initiaux de nos expériences ont été diffusés sous forme de rapport en 1974. Deux ans plus tard, l'expérience a été publiée dans une annexe d'un livre d'exégèse chrétienne. En 1977, un de mes anciens étudiants a effectué une vérification de haute précision de la chute d'un objet en rotation: "The Gyro Drop Experiment".
En réalité, l'expérience comporte deux parties: la balle en rotation monte et la balle en rotation tombe. Étant donné que je serais plutôt considéré comme un imbécile de dénaturer les résultats d’expériences, j’ai seulement essayé d’analyser la partie de l’expérience que j’avais cru comprendre. Fondamentalement, l'objet en rotation monte plus haut que l'objet non rotatif identique avec la même vitesse initiale, puis chute plus rapidement que l'objet non tournant identique; ce qui présente un dilemme qui ne peut être résolu ou compris que sur la base de concepts radicalement nouveaux en physique, concepts tellement radicaux qu'eux seuls permettent de comprendre les autres résultats jusque-là incompris d’autres expériences (la collision élastique d’un objet en rotation et en mouvement, et autres), et de nouvelles conceptions de la physique découlant des nombreuses discussions et correspondances relatives à la rotation, à l’inertie, à la gravité et au mouvement en général. Nous devons nous souvenir des pionniers dans ce domaine: Wolfe, Cox, Dean, Laithwaite, Rendle, Searle, Kümmel, DePalma et Delvers, pour n'en nommer que quelques-uns.
Au début, j’ai développé le concept d’ inertie variable pour expliquer le comportement d’objets matériels en rotation, mais l’inertie variable contrevient aux lois de la physique en tant que violation des lois de conservation de la masse et de l’énergie. Bien sûr, la destruction d'une chose est intéressante - mais pour sûr, il ne s'agit pas d'un acte créateur et cela ne nous rapproche pas de la vérité.
Parce que l'homme s'intéresse tellement à l'univers et les mouvements dans l'univers dépendent tellement de la gravité, l'étude de la gravité nous entraîne dans les fondements les plus profonds de la pensée humaine. Je pense que voir chaque pierre tomber au même rythme que n'importe quelle autre pierre est une expérience hallucinante. Et puis, lorsque vous faites tourner un objet, pourquoi tombe-t-il plus vite et une des choses ahurissantes, pourquoi va-t-il plus haut que le même objet non rotatif relâché pour monter à la même vitesse initiale? Bien sûr, l'expérience peut être fausse, mais nous pourrions peut-être aussi développer une hypothèse qui conviendrait à toutes les expériences.
Nous savons que lorsque nous pouvons modifier les propriétés des objets mécaniques, c’est-à-dire changer leur inertie, nous avons contrevenu à la conservation de l’énergie car nous avons associé les propriétés d’un objet à l’espace qui le contient. L’espace qui contient l’objet contient également de l’énergie et nous pouvons considérer les choses de deux manières: nous pouvons essayer d’en extraire l’énergie sans nous demander d’où elle vient, ou nous pouvons essayer de comprendre la physique, nous-mêmes et la formulation universelle de la réalité.
Une partie de la difficulté d'accepter l'énergie libre est le sentiment que nous prenons quelque chose de gratuit et cela la rend automatiquement suspecte. Par contre, nous pouvons accepter ce que nous appelons "énergie" comme une partie naturelle de notre environnement et que nous pouvons atteindre si nous en avons la clé.
La plupart des difficultés liées à la localisation de cette énergie résident dans la compréhension d'où elle provient. Si cela peut être compris, alors on peut croire à la compréhension de l'expérience d'énergie libre.
Lorsque la réalité est apparue, l’énergie temporelle de l’Univers a été définie sous une seule forme exacte, l’exactitude avec laquelle un seul atome donnait un battement de fréquence lorsqu’il était excitée sous forme de raie spectrale. Nous en sommes venus à considérer cela comme le seul moyen de mesurer le temps. La vraie façon de mesurer le temps réside dans l'inertie des objets. Ainsi, une montre à diapason ou un oscillateur est un moyen de mesure plus naturel qui peut uniquement exister et ne pas être mesuré. C'est-à-dire que chaque mesure crée ce qui doit être mesuré. Dans le cas du Temps, nous pouvons en connaître l’existence, mais quelle que soit la mesure que nous prenons pour l’indiquer, nous déterminons nous-mêmes si cette mesure est plus appropriée ou "exacte" pour nos besoins (nous préférerions peut-être une horloge à cristal à un diapason, mais à quelles fins ou en quelle mesure ce "temps" est-il utilisé). Si, par exemple, nous nous intéressions aux processus inertiels - comme le mouvement et les orbites des planètes - et si nous savions que ceux-ci étaient sensibles aux influences inertielles, nous pourrions considérer un «temps» également sensible à ces influences inertielles, plus "précis" qu'un temps dérivé d'une autre expérience - qui pourrait n'avoir aucun rapport avec les phénomènes d'importance.
Le temps en tant que manifestation d’une force beaucoup plus profonde et fondamentale est ce qui nous préoccupe ici. Le point de connexion que je veux établir est que l’ inertie des objets est liée à l’énergie temporelle qui les traverse.
Les quanta de rotation apparaissant sur un corps en rotation induisent dans ce corps une sensation d'anisotropie inertielle ainsi qu'une augmentation de la masse inertielle. Cette "masse" pourrait-elle être ainsi traduite en quelque sorte en énergie de consommation de masse? Les premières indications de cela sont apparues lorsque nous avons abandonné notre expérience de la balle qui tourne, mais que nous ne voulions pas interpréter l'augmentation d'énergie d'un objet en rotation par rapport à un objet qui ne tournait pas, tombant en chute libre sur une distance contrôlée, comme une sorte de principe d'énergie que nous ne comprenions pas.
Nous avons également eu une deuxième série d'expériences, des collisions élastiques de contrôles identiques en rotation et non en rotation que nous ne pouvions pas interpréter. Il a fallu un papier: "La cause de la gravitation", de Bernard Rendle, pour que mon esprit se mette dans la compréhension des faits tels que je les ai vus. Nous ne pouvons concevoir que l'inertie des objets, ou la masse inertielle pour être exact, soit représentative de l'énergie du temps créée lors de la création de l'Univers. Naturellement, la question de l'âge de l'univers devient caduque, car une interprétation possible est que l'univers a toujours existé, car la masse inertielle existe. Les mesures de l'âge de l'univers sont également invalides. Tout le temps passé dans le monde se résume dans la masse d'inertie d'un objet.
En ce qui concerne l’expérience de la balle qui tourne, c’est que la rotation d’un objet attire les quantités de mouvement inertiel de rotation qui s’accumulent dans le corps en rotation et expliquent les propriétés inertielles modifiées de l’objet en rotation. Ces quanta d’inertie, Ro , attirent l’énergie temporelle par rapport au nombre d’entre eux présents dans le volant à un moment donné. Si un objet en rotation entre en collision avec un objet identique non rotatif, l'objet non rotatif rebondit sur une distance supérieure à celle qu'il aurait parcourue s'il avait été frappé avec le même objet identique non rotatif (note du webmaster: voir l'invention de Lucjan Lagiewka deux paragraphes après celui-ci qui montre le même genre de modification d'inertie d'objets en rotation). L'objet en rotation heurté par une commande identique non en rotation rebondit moins qu'il ne l'aurait été en rotation.
Ceci explique pourquoi la balle en rotation est allée plus haut que le contrôle non rotatif identique (se déplaçant à la même vitesse initiale), et explique également pourquoi l'objet en rotation tombe plus rapidement que le contrôle non rotatif. Le fait important est qu’il n’y a pas d’interaction particulière entre rotation et gravité. Le comportement des objets en rotation s’explique simplement par l’addition d’énergie libre à tout mouvement de l’objet en rotation. L'objet en rotation monte plus haut et tombe plus rapidement que le même contrôle non rotatif.
Si nous disposons de tout lien particulier entre rotation et gravité, j'aime bien la compréhension de l'inertie qui découle de la déclaration de Rendle: ".. - le milieu immatériel de l'espace lui-même est en mouvement -." La constance de "G" devient alors l'inertie des objets. Le fait que tous les objets tombent au même rythme (accélération normale de la Terre) signifie que l’espace du substrat déplace tous les objets au même rythme. Ceci peut être défini comme l’inertie normale normale de la Terre, un facteur d’unité auquel toutes les autres conditions sont comparées. Ainsi, la rotation d’un objet ne modifie pas son inertie (selon la nouvelle norme) car les modifications mécaniques du comportement des objets en rotation n’affectent pas leur inertie mais résultent de l’énergie temporelle supplémentaire (libre) traversant l’objet en rotation en raison de son accumulation de quanta de rotation Ro.
La question à laquelle il faut répondre: existe-t-il un effet gravitationnel de la rotation ou la gravitation est-elle une interaction particulière de la masse avec son environnement? J'aurais tendance à croire que la gravitation est une interaction particulière de la masse réelle avec son environnement. Cela ne veut pas dire que des champs gravitationnels artificiels ne peuvent pas être créés, mais ils se distingueraient toujours de la réalité par un test physique. Un champ gravitationnel artificiel serait non isotrope et anisotrope.
En termes de chute de la balle qui tourne, la compréhension de l'expérience implique les résultats de nombreuses autres expériences ainsi que la résolution d'une image mentale de l'Univers qui constitue notre meilleure approximation pour comprendre à l'heure actuelle. Ce qui rend difficile la compréhension de l'expérience par d'autres expérimentateurs est que ce ne sont pas simplement les résultats qui importent. Sans fondement théorique de compréhension pour rendre l'expérience compréhensible - pour intégrer les résultats dans un contexte de compréhension rationnelle et d'harmonie avec les faits des autres expériences - les données deviennent triviales et sans valeur et, pire encore, sujettes à une interprétation erronée.
La disponibilité d'énergie libre d'une expérience aussi simple que la collision d'un objet en rotation avec un autre non en rotation ouvre la voie au développement d'autres machines d'extraction et de propulsion d'énergie qui peuvent être plus pratiques à gérer que l'extraction d'énergie de la collision d'un objet en rotation avec un objet en non-rotation.
Bruce E. DePalma
2. Modification de la vitesse de chute d’objets comportant des champs magnétiques statiques vs non magnétiques (même poids, même volume pour une chute dans l’air)
https://quantumantigravity.wordpress.com/boyd-bushman
Un extrait:
Dans l’interview de 2003 avec David Sereda, Boyd Bushman affirme si vous prenez deux aimants et que vous les verrouillez en position d’avoir leur champs magnétiques en opposition (inversement alignés), les champs magnétiques en opposition affectent le champ de gravitation terrestre de telle façon que l’objet chute plus lentement que si les pôles étaient alignés.
Dans l’interview, Bushman fournit même des documents relatifs à une expérience de 500 chutes sur une hauteur de 20 mètres à un endroit situé au Texas le 12 décembre 1995. Comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessus, le document n’est pas très clair, les mots « ANTI- GRAVITY « sont visibles dans le coin supérieur gauche ainsi que les mots » AT LMTAS « , c’est-à-dire à Lockheed Martin Tactical Aircraft Systems, où Boyd affirme que les expériences ont été menées. En 2009, William Alek a mené une expérience de chute d’aimants où il a proclamé avoir répliqué positivement la découverte de Boyd. Bien qu’il ait été critiqué pour n’avoir effectué qu’un seul test et avoir libéré les objets à la main plutôt qu’avec un mécanisme de trappe. Dans l’ensemble, je conviens qu’il reste encore beaucoup à faire.
Certaines expériences de cette page sont mal menées (objets de volume et/ou poids différents pour une chute dans l’air: expérience irrecevable), ici celle-là est valable:
3) Modification inertielle due à un objet tournant
Au 1) il a été montré l’expérience de Bruce de Palma qui est plus complexe qu’une simple chute: l’objet tournant acquiert un supplément de vitesse dans le sens de son mouvement initial: il chute plus vite en chute libre mais il va plus haut si il est lancé vers le haut en trajectoire parabolique alors qu’il est soumis à la même force de gravité terrestre. Ces comportements paraissent incompatibles.
De Palma suggérait que c’était le temps local des particules en rotation qui était altéré: la durée du temps raccourcit vu de l’observateur. Ceci bien sûr n’ayant aucun rapport avec les formules de le relativité restreinte qui nécessiteraient des mouvements proches de la vitesse de la lumière.
En effet si dt devient plus petit alors v=dx/dt devient plus grand, la vitesse augmente; c’est ce qu’a observé De Palma, ceci indépendamment de la gravité donc. Un autre phénomène anormal des gyroscopes est la démonstration de l’absorption cinétique. Voici une invention d’un polonais (décédé en 2017) qui est inexplicable par la science conventionnelle:
Voici un texte traduit du polonais qui décrit l’invention dont on peu voir le fonctionnement dans la vidéo qui suit après:
L’absorbeur d’énergie inventé par le constructeur polonais a été proclamé la meilleure invention du premier 10e anniversaire du 21e siècle.
Lucjan Łągiewka de Kowary a vaincu plusieurs centaines d’inventeurs du monde entier. Un jury international de l’Académie royale suédoise des sciences a apprécié la découverte de la Pologne … il y a treize ans.
– Je ne cache pas que j’ai été surpris, mais j’avais également une grande satisfaction – a déclaré modestement M. Lucjan lorsqu’il s’est avéré que l’absorbeur est la meilleure invention du 21e siècle. Comment fonctionne l’absorbeur d’énergie cinétique?
Voici une expérience: un wagon de sept kilomètres heurte un verre et le brise en petits morceaux et, lorsque le même wagon heurte le verre avec l’absorbeur d’énergie monté, la force de frappe est absorbée par l’élément en rotation placé dans le wagon (au lieu du verre qui ne se brise plus). Les deux dernières années ont été une série de succès: des prix ont été décernés du monde entier.
Le fils de Łągiewka a créé une équipe qui encourage les entreprises à coopérer. À l’heure actuelle, les scientifiques se cassent la tête, essayant de décrire le processus d’absorption d’énergie. Aucun effet. – Il existe toute une série de phénomènes qui ne peuvent pas être décrits par les lois de la physique existantes – dit le prof. Stanisław Gumuła de l’Université des sciences et technologies AGH de Cracovie.
L’invention sera montée dans des barrières routières. Où? C’est toujours un secret. On sait que cela réduira l’impact des voitures au moment de l’accident. Il protégera également les navires amarrés dans les ports. Et le fils de l’inventeur – Przemysław Łągiewka – annonce qu’il fera tout ce qui est en son pouvoir pour que l’invention soit l’application la plus courante. L’invention de la décennie L’absorbeur d’énergie inventé par l’inventeur polonais a été déclaré la meilleure invention de la première décennie du XXIe siècle.
Le travail de Lucjan Łągiewka de Kowary a permis de surmonter plusieurs centaines de projets scientifiques du monde entier. Le jury international de l’Académie royale des sciences de Suède a apprécié la découverte polonaise d’il y a treize ans. Un constructeur modeste et sa grande découverte modifient notre réflexion sur la force d’impact. Le fonctionnement de l’absorbeur d’énergie cinétique peut être illustré par de simples expériences. La force d’impact est absorbée par l’élément en rotation. Il y a treize ans, il n’y avait pas de candidats pour les solutions de Łągiewka. Cependant, les deux dernières années sont une série de succès et de récompenses du monde entier.
Le fils de Łągiewka a créé une équipe qui encourage les autres à coopérer. À l’heure actuelle, les scientifiques se cassent la tête, essayant de décrire le processus d’absorption d’énergie, mais en vain. Il existe toute une série de phénomènes qui ne peuvent pas être décrits par les lois de la physique existantes – dit le prof. Stanisław Gumuła de AGH à Cracovie. Le monde scientifique discute depuis longtemps de la raison pour laquelle la cartouche de Łągiewka fonctionne. L’invention sera bientôt sur les routes polonaises – elle sera installée dans des barrières routières. Où? C’est toujours un secret. On sait que cela réduira l’impact des voitures au moment de l’accident. Il protégera également les navires amarrés dans les ports. Le grand rêve de l’inventeur est en train de se réaliser.
Auteur: Agata Dzikowska
4) Tous les matériaux ne chutent pas à la même vitesse dans le vide (expérience de chute de la tour de Bremen, prof Szász)
Le scientifique Hongrois Prof. Szász a utilisé une tour de chute dans le vide à Bremen (dépendant d’une université Allemande, à disposition pour des expériences scientifiques ayant reçu l’aval de leur comité d’accès à ce dispositif; dispositif dénommé ZARM) pour disposer des masses de matériaux purs divers sur un plateau mis ensuite en chute libre dans le vide, afin d’observer la loi fondamentale de la gravitation (de Newton, étendue par Einstein avec l’équivalence de la masse inerte avec la masse gravitationnelle) qui indique que quel que soit le matériau, quelle que soit la masse, tout objet doit tomber avec la même loi d’accélération dans le vide (on sait par expérience courante que ceci n’est pas vrai dans le monde habituel avec de l’air). Ici on est bien dans le vide dans ce dispositif.
La loi n’est PAS respectée: certains matériaux purs chutent plus vite que d’autres.
Matériaux disposés: Lithium [Li], Beryllium [Be], Bore [B], Carbone [C], Aluminium [Al], fer [Fe], Plomb [Pb]
Voir la vidéo de la chute (filmée par caméra interne) qui dure 9 secondes en microgravité:
La conclusion du scientifique est que les électrons, neutrons et protons n’ont pas tous la même « charge gravitationnelle », et donc la différence de composition de chaque élément atomique explique la différence de chute.
Il a semble-t-il élaboré une théorie à ce sujet.
Cela signifie que la masse gravitationnelle de l’électron, du proton et du neutron se comportent différemment (changent) selon l’accélération gravitationnelle.
La masse gravitationnelle d’un objet donné change, et change différemment selon la masse en question. Là on applique ce principe aux particules.
Présentation de la tour de chute elle-même:
Les résultats de ce scientifique, chercheur en théorique des particules à l’université de Mainz en Allemagne, à la retraite, ont été décriés par ses confrères (car ils ne respectent pas les lois connues) et donc ignorés par eux. Certains ont soumis des critiques à l’expérience elle-même, les autres l’ont simplement raillé sans même la regarder. Pour pallier à ces critiques des détracteurs le professeur Szász a demandé à refaire l’expérience avec des garde-fous qui étaient demandés par des critiques. Mais le ZARM lui a interdit l’accès à la tour pour toute autre expérience au motif que Szász cherche à montrer que des principes connus de la physique sont violés, ce qui est intolérable pour eux car le dogme scientifique l’interdit. Donc on lui interdit de faire l’expérience et ceci de façon permanente. Il lui a été dit que si ils avaient su pourquoi la chute avait été faite la première fois cela lui aurait été interdit.
Ainsi ce qui fait force de vérité c’est le dogme scientifique défendu par ces pseudo chercheurs et pas l’expérience, qui ne peut être refaite. Vous comprenez pourquoi on doit bricoler des choses chez soi ensuite… car le matériel scientifique n’est à disposition que de ceux qui crient avec la meute de loups que tout va dans le même sens que celui de la majorité (le « mainstream »). Toute pensée hors des chemins, même et surtout si elle est appuyée par une expérience qui montre une insuffisance du « mainstream » est bannie. Heureusement qu’on n’est plus aux temps des bûchers de sorcières par l’inquisition, car sinon la grande inquisition des « scientifiques » (= obscurantistes) du « mainstream » l’aurait déjà fait brûler.