Synergétique
Fusion nucléaire inédite à froid d’un basée sur l’électromagnétisme, par un ancien spécialiste du nucléaire mondial
Dans cette théorie différente, construite par un physicien français spécialiste en physique nucléaire, et expert en la matière auprès d’organismes renommés, la matière est constitué d’ondes électromagnétiques piégées.
L’inventeur de cette théorie, René Louis Vallée, a construit sa théorie en l’étayant par des expérimentations qui ont réussi, et dans lesquelles une réaction nucléaire permet d’extraire l’énergie du vide.
Lorsque je suis tombé sur cet article j’ai cherché de la documentation sur Internet. je suis rapidement tombé sur le site du fils de l’inventeur qui décrit la théorie, au format HTML, et qui propose en téléchargement gratuit l’ouvrage de son père sur la théorie complète. Je suis aussi tombé sur deux sites décrivant l’expérience qui a permis de confirmer les possibilités d’extraction d’énergie du vide.
Théorie de la synergétique par son auteur:
http://www.rexresearch.com/vallee/scivie.pdf
http://jlnlabs.online.fr/vsg/nrjduvide.htm
http://jlnlabs.online.fr/vsg/theorie/index.htm
http://jlnlabs.online.fr/vsg/theorie/meca.htm
http://jlnlabs.online.fr/vsg/theorie/noyau.htm
Fondements de l’idée de la synergétique:
http://fr.scribd.com/doc/262045556/La-Synergetique-La-Theorie-Demontree-par-Franck-et-Renee-louis-vallee#scribd
Expérience de base de démonstration du phénomène:
Voir:
http://www.rexresearch.com/vallee/scivie.pdf
Lors d’une discussion avec JM Roeder, ce dernier m’a dit avoir assisté comme simple spectateur à l’expérience chez d’Hocker (ou une de ses reproductions) et avoir vu que ça fonctionnait; ça fera aussi un témoin de plus. Mais il m’a quelque peu découragé en me disant que dans l’expérience il fallait envoyer un signal électromagnétique de fréquence exactement égale à la fréquence de résonance de l’électron périphérique du carbone, avec une précision dans la fréquence allant jusqu’à 8 chiffres.
Évidemment, cela changeait la donne, et les informations trouvées sur le net ne donnaient pas de description expérimentale précise. J’ai alors cherché différents montages électroniques qui me permettraient de réaliser un tel dispositif, ultra précis, avec une variation possible aussi bien en tension qu’en intensité; et bref ça se compliquait. Évidemment si j’avais les moyens d’un labo je m’achèterais des générateurs programmables qui doivent coûter plusieurs milliers d’euros et la question serait réglée de la possibilité de faire une expérience… c’est là qu’on voit que des idées et de la volonté c’est bien mais on est vite limité sans moyen: il reste à faire du bricolage, à fabriquer soi-même ses montages, forcément qui ne permettent pas ce qu’on veut: cela demande temps, énergie et qualification supplémentaire. L’arsenal d’un labo minimal me faisait défaut.
Je suis tombé par le hasard d’un lien en cherchant autre chose sur des réalisations récentes de Naudin sur la question.
Il a réalisé une expérience similaire, tout en étant différente. Dans l’expérience proposée initialement on devait réussir à arrêter la rotation d’un électron périphérique du carbone par une résonance; dans ce montage de Naudin, qui utilise des notes expérimentales précises de Vallée transmises par son fils (ainsi que tout un tas d’autres documents), il n’y a plus besoin de résonance: l’électron périphérique est arrêté par un rayon gamma émis par une source radioactive.
Le principe est le même mais la réalisation un peu différente: expérience PROTELF.
Le principe général de l’expérience est de faire traverser un bâton de carbone par un courant, et par un champ magnétique, le tout de même direction et même sens. Puis d’arrêter la course d’un électron périphérique par le biais d’un rayonnement de même énergie. L’électron tombe alors sur le noyau du carbone, et une réaction nucléaire se produit (fusion qui transforme le carbone en un autre élément). Cette réaction pompe de l’énergie du vide, afin de reproduire un électron par désintégration radioactive qui reproduit le carbone et un supplément d’énergie. Résultat: le carbone n’est pas consommé (même si c’était le cas vu le coût du matériau ça ne serait pas un grand problème) et de l’énergie du vide est récupérée sous forme utilisable. Le tout est donc un système à énergie libre.
Voici donc les liens que j’ai trouvé sur son site (où vous trouverez les expériences réalisées, ainsi que les principes du protocole d’expérimentation et les éléments nécessaires à la compréhension de ce qui se passe):
http://jlnlabs.online.fr/vsg/
Pour comprendre:
Principe expérimental:
http://jlnlabs.online.fr/vsg/protelf.htm
Ses tests réussis qui montrent l’apport d’énergie:
http://jlnlabs.online.fr/vsg/vsg41.htm
http://jlnlabs.online.fr/vsg/vsg35.htm
Il obtient des rendements sur unitaires, mais le procédé qui consiste à utiliser un élément radio actif je n’aime pas trop… l’expérience de base qui n’utilisait que des champs électromagnétiques était plus rassurante
C’est très intéressant et ça confirme sa thèse de constitution de la matière par des champs électromagnétiques piégés. C’est une manière différente de voir la matière, toujours pas acceptée par le monde scientifique.
Quelques explications sur le principe de la synergétique
CITATION (site de Vallée) |
L’indépendance de ces équations vis-à-vis de tout système matériel, conduit naturellement à supposer que l’espace est lui-même de nature électromagnétique. Nous avons évoqué les propriétés énergétique et vibratoire de l’espace, mais nous n’avons pas encore décrit l’hypothèse structurelle de l’espace qui vient compléter le modèle synergétique. Une trame d’ondes électromagnétiques de très hautes fréquences, les ondes d’espace, constitue la nature de l’océan énergétique, de sorte que la synergie d’un espace est égale à la somme des énergies apportées par l’ensemble de ces ondes électromagnétiques. |
Je commente: l’espace est rempli d’un bain d’onde électromagnétique; même beaucoup plus que cela: l’espace EST un fond d’ondes électromagnétiques.
CITATION (site de Vallée) |
En d’autres termes, la matière est un piège stable d’énergie d’espace, dont la forme spatio-temporelle répond à l’équation de Poisson. Si l’on rajoute à cela que l’énergie, de nature électromagnétique, ne peut qu’être ondulatoire, on comprend alors comment la théorie synergétique réconcilie les théories quantiques et corpusculaires. Par ailleurs, la matière correspond à des modèles ondulatoires qui ne peuvent être précisément localisés à l’échelle microscopique, mais dont la répartition spatio-temporelle explique également le principe d’incertitude d’Heisenberg. |
La matière est alors des zones de l’espace plus stables. La physique quantique dit que la matière est une onde, qui n’existe pas à un endroit précis, mais de manière diffuse, à travers l’espace; avec une présence plus importante dans un « centre », qui est le lieu où on dit que se « trouve » la particule. c’est en fait un paquet d’ondes électromagnétiques concentrées autour d’un point, qui apparaît comme une particule.
CITATION (site de Vallée) |
D’une part, la découverte fondamentale de la synergétique provient du fait que les particules élémentaires ont des similitudes observées avec les cavités résonantes ou guides d’onde de l’électromagnétisme. D’autre part, la théorie introduit l’hypothèse d’un champs électrique limite. Lorsque, du fait des conditions vibratoires du milieu, la valeur du champs électrique tend à dépasser la valeur limite, alors une divergence du champs électrique provoque l’apparition d’une zone disruptive dont la charge équivaut à celle de l’électron – on rappelle que Maxwell a établi la relation entre la charge électrique et la divergence du champs électrique. L’hypothèse du champs limite et des zones disruptives représente des discontinuités d’espace qui permettent de matérialiser un support à de microscopiques guides d’ondes électromagnétique. Les zones disruptives, par inversion locale du champs électrique constituent en effet de véritables miroirs microscopiques aux ondes électromagnétique, et représentent alors autant de parois pouvant piéger les ondes d’espace et provoquer l’apparition des particules élémentaires. |
Ce sont des parois d’énergie (appelées ici « zones disruptives ») qui piègent les ondes dans une cavité où les ondes électromagnétiques apparaissent alors de manière plus stable (il doit s’établir une espèce d’onde stationnaire, qui ne bouge plus trop, et dense en énergie: la particule). Alors l’autre question logique: d’où viennent ces parois? Elles sont créées lorsque le champ électrique local dans une zone d’espace dépasse une certaine valeur limite. Ce champ électrique existe comme conséquence du fait que dans cette théorie l’espace est onde électromagnétique: vibrations de champs électriques et magnétiques: donc l’espace est rempli de champs électriques. Probablement que au hasard des collisions des diverses ondes, à certains endroits les champs s’ajoutent assez pour dépasser une certaine valeur seuil au de là de laquelle, il y a une rupture produisant cette « paroi » qui piège les ondes à l’intérieur.
Bon ça c’est en simplifié, c’est le principe. Après il y a de l’explication plus détaillée:
CITATION (site de Vallée) |
Le photon se comporte quand à lui en un guide d’onde électromagnétique qui, piège de l’énergie entre deux zones disruptives. Sa géométrie est stable que si il se propage à la vitesse de la lumière. Ce n’est pas parce que les deux phénomènes se propagent à la même vitesse et qu’ils présentent des similitudes électromagnétiques, qu’ils sont identiques.L’électron forme une figure plus complexe, composée de trois zone disruptives, deux de charges négatives et une de charge positive qui piègent une onde électromagnétique tournoyante. L’expérience de la séparation de pairs met en évidence la structure microscopique de l’électron. La rotation des trois zones disruptives représente un microcircuit qui crée un champs magnétique : le spin de l’électron.Les neutrons et protons, tous deux extrêmement voisins, représentent une figure nettement plus complexe et éloignée du modèle de l’électron et du photon. Il s’agit d’ondes électromagnétiques piégées entre plusieurs zones disruptives dont la somme des charges s’annule dans le cas du neutron et qui comporte une zone positive supplémentaire dans le cas du proton.Au delà, des particules élémentaires, le modèle moléculaire répond à des figures de plus en plus complexes, un peu à l’image de bulles de savon qui s’agglutinent et qui peuvent fusionner ou se séparer en fonction des contraintes extérieures qu’elles subissent. En tout état de cause, l’image d’Épinal de la molécule, telle qu’on se plait à représenter sous la forme de boules de plastique assemblées par emboîtement n’est vraisemblablement qu’une vue simplificatrice de la réalité microscopique, électromagnétique et énergétique de la matière. |
Les ondes électromagnétiques piégées se déplacent dans l’espace, et par interférences elles établissent ce miroir rebond. En fait la paroi n’est pas définie en un lieu précis pour une durée infinie: c’est une interférence particulière qui l’a créée; les ondes piégées selon un certain mode de résonance dans ce piège rebondissent, et à un autre endroit, elles interfèrent de nouveau pour recréer une autre paroi sur laquelle elles rebondissent, etc: les ondes elles-mêmes créent leur paroi en se déplaçant. Selon le modèle adopté, avec des dispositions géométriques particulières, vallée construit des particules qui se déplacent à la vitesse de l’onde électromagnétiques (photons: c’est la lumière) ou des électrons, neutrons, protons, etc.
Mais ce qui est finalement commun à tout ceci c’est que chacune des parties INTERNES des particules quelles qu’elles soient sont des ondes électromagnétiques rebondissant en tous sens, ce qui crée des zones de répartition électriques au sein de la particule. En effet les champs électriques au sein de la particule évoluent puisque les ondes s’y déploient: donc chaque particule est un cortège INTERNE de zones de charges positives ou négatives, en mouvement ou pas (selon la construction plus ou moins complexe)
C’est ceci qui permet à vallée de voir des charges à l’INTERIEUR des particules (à l’intérieur du photon, de l’électron, des protons, etc), du moins des ZONES de charge.
Zones de charges et parois du photon:
CITATION (site de Vallée) |
Modèle vibratoire de la matièreLa stabilité d’une particule, dont nous venons d’expliquer la nature ondulatoire, nécessite une interaction permanente de cette dernière avec l’espace. En effet, les phénomènes vibratoires piégés à l’intérieur de la particule exercent une pression électromagnétique sur les zones disruptives qui doivent être équilibrées par une pression extérieure, sous peine d’instabilité et d’éclatement de la particule. Or le constat de la stabilité des noyaux des molécules sous des formes quantiques et répertoriées dans le tableau de Mendeleiev, amène à supposer deux phénomènes naturels et universels.Il existe des fréquences, pour lesquelles les noyaux des particules sont stables. Elles correspondent à des fréquences pour lesquelles la résonance vibratoire peut s’établir – seule manifestation stable et localisée connue pour un phénomène ondulatoire Du fait de l’équilibre des pressions de » peau « , la particule en constante interaction avec son environnement échange de l’énergie avec l’espace. Cette énergie présente nécessairement une forme radiante dont la densité d’énergie est inversement proportionnelle à son angle solide, et décroît donc suivant une formule en 1/4pr2. La première hypothèse permet d’expliquer la stabilité ou l’instabilité des particules élémentaires. Seuls l’électron, le proton et le neutron sont des particules élémentaires stables, car ces particules vibrent en résonance avec une fréquence d’espace particulière qui leur confère la stabilité. Les autres phénomènes particulaires, observés en nombre dans les chambres à bulles, correspondent à des phénomènes ondulatoires momentanément stables qui ne résistent que peu de temps aux aléas du milieu électromagnétique. La seule issue pour une de ces particules instables est soit de » rentrer dans le rang » imposé par la cohérence cosmique et de devenir ainsi une particule stable en échangeant la quantité d’énergie dont elle a besoin avec l’espace, soit de se perdre irrémédiablement dans le milieu énergétique.La seconde hypothèse fait état de la décroissance relative de la densité d’énergie d’espace autour de la particule matérielle. Or, conformément aux lois du milieu énergétique, la variation de densité provoque l’apparition d’une force d’attraction dirigée vers la particule – voilà ainsi expliqué la nature fondamentale des forces de gravitation ainsi que son expression de décroissance en 1/r2. |
Voilà aussi quelque chose de raisonnable: il faut des conditions très particulières pour que la matière se forme et existe de manière stable: des modes de résonance particulière des ondes. C’est ce qui explique que l’espace n’est pas QUE matière et que produire des ondes électromagnétiques ce n’est pas produire de la matière; il faut d’autres conditions.
Sinon ce dernier texte est il me semble assez explicite.
Schémas de principe de la fusion
(PROton ELectron Fusion)
Elle consiste à faire fusionner l’électron qui orbite autour du noyau de l’atome de carbone avec celui-ci.
Production d’énergie potentielle: 2,988 GWatt par gramme de carbone utilisé.
A titre de comparaison la production en électricité d’une centrale nucléaire est de l’ordre de 1GW, donc il suffirait de 0,34 g de carbone en fonctionnement continu pour égaler la même production (c’est théorique, et en supposant pouvoir exploiter la réaction sans perte pour tous les électrons des atomes de carbone, bref évidemment ça ne sera jamais possible avec de telles performances, mais même en mode très dégradé par rapport à cet idéal, c’est assez prometteur)
C’est l’expérience réalisée sur le site de Naudin.
http://jlnlabs.online.fr/vsg/protelf.htm
Voici une explication de l’expérience réalisée:
Voir l’image en gif animé sur le site de Naudin (attendre pour le défilement des images):
tiré de http://jlnlabs.online.fr/vsg/protelf.htm