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> LABO343's MEG
Ecrit le: Samedi 25 Avril 2009 à 22h21 Posted since your last visit
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Bonsoir à tous.
Lisez cet article http://contreinfo.info/article.php3?id_article=2680 qui dit avec beaucoup de précision ce que je dis depuis un certain temps sur le forum.
Je préviens que ce n'est pas du tout rassurant. Cela conforte ma pensée que nous sommes sur la ligne de front principale de la crise générale. Ne révons pas car ce n'est pas pour autant qu'on va nous aider.
Tout va bien, n'est ce pas...

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Ecrit le: Dimanche 26 Avril 2009 à 07h49 Posted since your last visit
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Hello Tous, Hello Labo icon_smile.gif

Très intéressant article .. Y a quand même de l'énergie sur Terre, non ?.. Biensûr, il en coûtera de l'extraire, mais il faut savoir ce que l'on veut.
Par exemple le sable des déserts est du SiO2. On peut en extraire le Si (silicium stockable) avec le soleil et rebrûler ensuite le Si pour refaire du sable (moyennant des précautions pour la santé, biensûr)..

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Ecrit le: Jeudi 30 Avril 2009 à 09h56 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
25 AVRIL 2009.
Bonjour à tous.
1° test avec le séquenceur.
J’ai fini par réaliser le test avec le séquenceur et les E mosfets. J’ai mis un mosfet par refroidisseur car j’avais la facilité de le faire. J’ai branché le séquenceur comme sur le plan
et j’ai inséré une résistance de charge sur le circuit commun des bobines primaires en cas de court circuit. Les mosfets connectés un par un n’ont pas fait de court circuit : donc pas de problème de ce coté là. Le problème est qu’un des deux connecté tout seul avait une courbe différente de l’autre. C’est pas normal car les bobines sont identiques et les longueurs de circuit égales au centimètre près. Le sens du champ magnétique pris tout seul ne compte pas Ce mosfet crée une courbe « de production » après sa coupure, ce qui n’arrive pas avec le relais statique qui en contient deux. L’autre mosfet se contente d’une courbe ascendante comme dans mon test avec une seule bobine primaire.
La bobine secondaire est déconnectée et ne peut pas donc avoir d’influence sur ce test.
Lorsque les deux mosfets sont connectés ensemble avec les bobines en opposition et que les séquences de connexions sont égales, alors il n’y a pas d’inductance et l’intensité est un segment de ligne horizontale. Là aussi pas de problème. Mais si j’essaie de rétrécir la durée de séquence d’un des deux mosfets je retrouve une courbe d’intensité ascendante après la ligne horizontale commune. Cette courbe d’intensité ascendante repart de zéro immédiatement après la position commune élevée et horizontale. Cela peut être lié à la crête inverse observée sur un seul des mosfets. Après une dizaine de tests de deux ou trois minutes l’intensité générale s’est mise au maximum, même en déconnectant le séquenceur de l’étage de puissance double. J’en déduis que j’ai du « claquer » les deux mosfets avec une tension crête car l’intensité est restée bien en dessous de celle que peut supporter ces mosfets.
Les deux mosfets étaient froids après ce « claquage ». De toute façon il ne pouvait pas y avoir de surintensité avec la résistance de charge. Donc c’est la vitesse propre de coupure du mosfet qui a causé sa propre perte.
Fin de la première étape.
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Ecrit le: Jeudi 30 Avril 2009 à 09h57 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
26 AVRIL 2009.
2° étape. Le champ magnétique « réel ».
Le champ magnétique « réel » semble commander l’intensité qui parcourt la bobine.
Je ne vois pas d’autre explication au fait que l’intensité qui était établie à 6 ampères tombe brutalement à zéro et remonte ensuite selon une progression de l’inductance dans la bobine restant connectée.
On commence donc par connecter deux bobines absolument identiques et opposées. L’intensité est atteinte immédiatement avec pour seule limite, la résistance ohmique. Cette intensité produit « quelque chose » dans les bobines mais apparemment pas de champ magnétique « existant ».
Cette « non existence » tolère un passage d’intensité mais si on va vers un champ « réel » on revient à l’intensité zéro. La coupure de la première bobine coupe momentanément la seconde sans qu’il y ait coupure physique. Comment ?
Il n’y a pas « disparition » d’un champ déjà « absent » qui créerait une tension issue de la décroissance de ce champ disparu.
L’apparition du champ « réel » dans l’espace est la seule source de contre tension induite, même si il y avait une intensité installée. Ce qui coupe l’intensité instantanément c’est la contre tension issue de la croissance « réelle » du champ magnétique. Cette contre tension s’oppose simplement à la tension d’alimentation et annule l’intensité.
Cela veut dire que les deux bobines ensemble et opposées ne sont pas « connectées à l’espace » en quelque sorte.
Fin de la deuxième étape.

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Ecrit le: Jeudi 30 Avril 2009 à 09h58 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
27 AVRIL 2009.
3° étape : conclusion du test à deux bobines primaires.
Le système des deux bobines opposées n’est pas utilisable pour limiter la consommation d’énergie dans la phase de croissance du champ magnétique de la bobine primaire. Ce n’est pas la clé recherchée.

Retour au test initial avec une bobine primaire

On sait que l’énergie consommée à vide ne se retrouve « nulle part ».
On sait que l’énergie consommée à vide est réelle grâce au test de durée de décharge de la batterie de 80 ah.
On sait donc qu’il faut atteindre un champ magnétisant « réel » pour obtenir de l’énergie par sa décroissance. Quand je dis réel cela veut dire qu’il doit avoir un « sens ». Un courant qui passe dans une bobine ne suffit pas pour dire qu’il y a un champ magnétique « réel » créé.

Mais,
On sait aussi que sans entrefer on n’obtient pratiquement pas d’énergie utilisable au secondaire. L’épaisseur de l’entrefer agit directement sur la quantité d’énergie produite au secondaire mais aussi sur l’intensité consommée au primaire.

L’entrefer est la nouvelle piste car son action sur le circuit primaire est différente de celle sur le circuit secondaire. Cette différence d’action est l’expression d’un rendement.
On cherche un procédé qui diminue l’énergie d’accès à un niveau de flux magnétique donné. Ce même procédé doit, en même temps conserver ou mieux augmenter l’énergie produite au secondaire. Le primaire et le secondaire sont sur le même circuit magnétique

L’entrefer « raidit » les pentes de progression des intensités croissantes et décroissantes.
L’entrefer augmente l’intensité crête dans la bobine primaire sans devoir augmenter sa tension d’alimentation mais diminue le coefficient multiplicateur final de l’induction magnétique dans le fer du circuit magnétique.

Si on passe de 12 à 24 volts pour doubler l’intensité crête sans modifier l’entrefe,r on a quadruplé la puissance moyenne consommée pour cela.
En augmentant l’entrefer on peut doubler l’intensité crête avec la même tension, donc en doublant seulement la puissance moyenne consommée. Le « rendement apparent » est doublé mais il faut compenser le calcul en mesurant la baisse de flux maximum obtenue en augmentant la réluctance du circuit magnétique en augmentant l’entrefer.

Au secondaire le facteur définissant le rendement serait la grandeur de la tension initiale, renforcé par une courbe de sa décroissance la plus proche de la ligne droite diagonale. L’entrefer provoque cela. En cas de diagonale, la tension moyenne en charge produite serait égale à la moitié de la tension initiale de décroissance du champ magnétique. La puissance moyenne produite serait donc égale au quart de la puissance crête dans une résistance de charge donnée.

Fin de la troisième étape.
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Ecrit le: Jeudi 30 Avril 2009 à 10h02 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
29 AVRIL 2009.
Test avec modification de l’entrefer.
Je reprends le test de base : une bobine primaire de 20 spires alimentée en 150 hertz et une bobine secondaire de 28 spires débitant à travers une diode sur une charge purement ohmique de 5,8 ohms. Cette charge est composée de deux ampoules de 12 volts et 50 watts connectées en série. Une troisième ampoule de 12 volts et 50 watts est placée à coté de la charge. Cette ampoule est reliée à la batterie d’alimentation de 12 volts. Elle sert de comparaison de brillance pour déterminer la puissance produite par la charge. Lorsque le niveau de brillance est exactement identique pour les trois ampoules on peut affirmer que l’énergie produite se manifeste par une puissance moyenne de 100 watts.
Cette façon de mesurer la puissance répond à l’extrême difficulté de mesurer une puissance moyenne issue d’une courbe de tension et d’intensité décroissantes de façon non linéaire.

Pour mémoire je rappelle que le dernier test comprenant un entrefer de 0,12 millimètre d’épaisseur avait un rendement d’environ 80%. Je décide de rajouter 3 cales de 0,12 millimètre en plus. L’intensité moyenne primaire atteint alors 8,3 ampères soit 33,2 ampères crête en fin de séquence de connexion de la bobine primaire. La tension aux bornes du relais statique est de 11,68 volts. La mesure est faite avec un voltmètre digital et doit être confirmée par une comparaison avec la courbe de tension vue à l’oscilloscope. La puissance moyenne consommée est de 96 watts. Cette puissance moyenne correspond à la puissance moyenne de 100 watts produite par la connexion de la charge à chaque séquence de production.
La conclusion est que l’ajout de 0,36 millimètres d’épaisseur d’entrefer entraîne le rendement du MEG de 80% à 100%.

Pourquoi ?

D’abord il faut rappeler que les séquences de consommation et de production sont indépendantes. En effet on peut laisser la consommation se poursuivre indéfiniment sans qu’il y ait aucune production d’énergie. De même la production d’énergie n’influe en rien sur la consommation, quelle que soit son niveau pourvu que la résistance de charge ne tombe pas au dessous de la valeur qui fait « toucher » à la séquence de connexion suivante.

La magie de l’entrefer opère surtout dans la bobine secondaire en raidissant la courbe de décroissance de la tension issue de la décroissance du champ magnétique créé par la bobine primaire. En effet la puissance maximale disponible sur la bobine secondaire l’est à l’instant même du début de la décroissance du champ magnétique. La tension initiale est donnée par la vitesse de déconnexion de la bobine primaire. Dans le cas du test cette tension est de 68 volts pour une bobine secondaire de 28 spires. Dans une charge de 5,8 ohms cette tension génère une intensité crête de 11,72 ampères soit une puissance crête de 797 watts. La puissance moyenne maximale disponible est donc de 199 watts si la courbe de décroissance de la tension est une diagonale rectiligne. Si il n’y a aucun entrefer la tension initiale secondaire s’effondre immédiatement en début de séquence secondaire et la puissance moyenne ne prend en compte que des tensions inférieures à 20 volts. De plus la « durée de vie de l’intensité secondaire » dépasse son temps attribué et déborde sur la séquence de connexion primaire suivante en rétablissant une rétroaction entre l’intensité secondaire et l’intensité primaire.

Dans le dernier test avec 0, 36 millimètres d’entrefer en plus, la courbe de décroissance de la tension en charge termine bien avant la fin de sa séquence attribuée. Cela signifie que l’on peut baisser la valeur de la résistance de charge et obtenir une puissance moyenne plus grande sans provoquer de rétroaction sur l’intensité primaire.

Reste à savoir quel est le rôle exact de l’intensité crête primaire puisque la tension moyenne secondaire en est affectée. On le vérifie en baissant la fréquence de fonctionnement du MEG, ce qui entraîne une augmentation de la durée de chaque séquence de consommation et donc une croissance de l’intensité crête atteinte.

Voila ou j'en suis à ce jour.
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Ecrit le: Vendredi 01 Mai 2009 à 07h35 Posted since your last visit
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Bin mince alors !! Dommage pour la piste de la suppression d'inductance et dommage pour les deux transistors. Je crois qu'exploiter des surtensions va être difficile (c'est comme la foudre, en plus petit), c'est pour ça que tout le monde cherche à s'en débarasser, soit avec des condensateurs, soit avec des diodes en roue libre. Voyons la piste des entrefers .. Sinon, il reste le sable:

D' abord tu calcules le pourcentage massique de Si dans SiO2:
SiO2---> Si + O2
60 g/mol 28g+32g

Calcul du pourcentage massique en Si dans le SiO2:
28*100/60 = 46.67% massique

Calcul du pourcentage massique de Si dans le sable, sachant qu'il est composé de 91% de SiO2:
0.91*46.67 = 42.67%

Il y a donc des milliards de milliards de tonnes de Si (carburant sockable) dans la terre..

Reste à trouver le moyen économique de réduire le SiO2(enlever l'O2)

A plus


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Ecrit le: Vendredi 01 Mai 2009 à 14h23 Posted since your last visit
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Bonjour à tous,
bonjour Amateur. Ma connexion internet est coupée depuis 3 jours et les 4 derniers textes sont issus d'une connexion chez ma famille. Je suis en "article 22" renforcé. Le test avec l'entrefer est prometteur lui aussi. Patience et on avance quand meme.
A plus...
Mon e-mail est aussi bloqué, de fait.
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Ecrit le: Vendredi 01 Mai 2009 à 14h28 Posted since your last visit
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Bonjour à tous, icon_biggrin.gif

C'est Hadopi qui à déjà coupé ta ligne ?
Ha les salaud !!
Neu Noonnnnn j'déconnnnneeeeeeeeeeee

Dis moi Labo, article 22 chez nous ça dit en substance' "chacun se démerde comme il le peut".
Est ce la même chose chez toi, de plus, "renforcer" c'est quoi au juste ?

A+++


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Ecrit le: Vendredi 01 Mai 2009 à 15h43 Posted since your last visit
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Hello Tous icon_smile.gif

Nous voulons la liste des députés et intervenants qui voteront pour cette loi scélérate.

Ils seront politiquement morts icon_evil.gif

Depuis quand un groupe privé (les maisons de disques) serait il autorisé à fouiller et lire nos mails et autres communications ?
Seul le judiciaire, avec autorisation d'un juge, peut le faire..
Nous sommes en France et non dans une dictature quelconque .. icon_evil.gif

Je crois que le système 22 de Labo c'est bien le système D.. et il est renforcé actuellement car, il n'a pas internet ..


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Ecrit le: Dimanche 03 Mai 2009 à 13h29 Posted since your last visit
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Bonjour à tous.
Bonjour Amateur et Quartz. Ma connexion est coupée pour de simples problèmes de serveur. Je suis en train de changer de serveur et tout ira bien. Quelques jours de galère encore, patience.
Je continue sur la piste de l'entrefer. Je suis à 100 watts de puissance "produite" et à peine un peu moins "consommée". On verra bien.
A plus les amis...
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Ecrit le: Lundi 04 Mai 2009 à 21h35 Posted since your last visit
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La suppression de l'inductance ou sa neutralisation, à l'aide de bobines inverses ne transforme t'elle pas le système en simples condensateurs?
Un peu comme dans ce brevet de Tesla:
http://www.tfcbooks.com/patents/coil.htm

Une autre manière de neutraliser les inductances est l'ajout de condensateurs, c'est à dire une impédance inverse .. Par exemple, les fameux circuits bouchons (inductance et condensateur en parallèle) ne peuvent ils pas servir à minimiser l'énergie consommée ??


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Ecrit le: Jeudi 07 Mai 2009 à 17h10 Posted since your last visit
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Bonjour à tous, bonjour Amateur.
Retour de la connexion.

Le problème avec le système à deux bobines est qu’il ne met en branle que l’énergie calorifique due à la résistance ohmique. Apparemment il faut que le champ magnétique ait un « sens unique » pour qu’il soit le siège d’une circulation d’énergie vers « nulle part » et depuis « nulle part ». Mon expérience de base reste intacte et j’ai toujours une indifférence entre la consommation et la production. Je repars sur la piste de l’entrefer que j’avais déjà un peu suivie. Dans ce nouveau test il n’y a qu’une seule bobine primaire et donc un seul relais statique de commande. J’ai renforcé le câblage et l’interrupteur de la charge car il y a un fort courant crête en même temps que la tension crête de la bobine secondaire.


Action de l’entrefer.

Lorsque le courant est coupé dans le circuit primaire, le champ magnétique qu’il a créé commence à disparaître. Cette disparition dure le temps que met le courant à être entièrement coupé. Ce temps de coupure définit une pente de décroissance du champ magnétique. Cette pente donne naissance à une tension aux bornes de la bobine secondaire.
Si cette tension est reliée à une charge, il y a création d’un courant. Ce courant s’oppose à la cause qui l’a produit, c’est à dire la décroissance du champ magnétique. Le courant crée un champ magnétique en traversant la bobine secondaire. Ce champ magnétique, par son existence, annule la tension issue de la disparition du champ initial. La disparition de la tension se manifeste par la pente abrupte de la courbe de tension secondaire. La disparition de la tension annule le champ qu’elle vient de créer et donc recrée une tension suivante de décroissance, etc…

Comment l’entrefer peut il modifier la vitesse de décroissance du champ magnétique ?
Sans entrefer la tension secondaire chute d’abord très rapidement puis la chute ralentit.
Donc l’entrefer stabilise la vitesse de chute de la tension secondaire. Avec 0,48 mm la tension chute de façon quasi uniforme. C’est un constat.

Quel est le rôle d'une plus grande intensité crête de la bobine primaire ? En pratique et par observation cela augmente la tension moyenne sur la charge secondaire, donc la puissance moyenne produite. Cela n’augmente pas la tension secondaire initiale. Donc là aussi cela intervient sur la courbe de décroissance mais en échange d’une énergie plus grande consommée au primaire. Il n’y a pas d’action sur le rendement, seulement sur la puissance propre du MEG.

Quel est le rôle de la résistance de charge de la bobine secondaire ? C’est de récupérer l’énergie. La plus grande énergie est récupérée quand la résistance de charge est la plus petite pour une tension moyenne donnée. Ce phénomène a été observé avant novembre 2006 sur le test à deux bobines primaires de l’ancien MEG à aimant central.
La limite de récupération est atteinte quand le temps de décroissance de la tension dépasse la séquence qui lui est attribuée et risque de provoquer une consommation primaire par rétroaction. Il faut alors une simple augmentation de la résistance de charge pour occuper strictement la plage de connexion secondaire. Par contre, si l’utilisation de la durée de la séquence secondaire est insuffisante, le rendement baissera.

La baisse de la résistance de charge augmente l’intensité moyenne mais fait baisser la tension moyenne en creusant le haut de la courbe de tension.

A première vue l’entrefer se manifeste comme une perte car il augmente la réluctance du circuit magnétique et diminue l’induction magnétique crête atteinte pour une intensité crête donnée, consommée au primaire. Donc l’entrefer devrait diminuer le rendement du MEG.
C’est le contraire qui se produit grâce à l’action sur la courbe de décroissance de la tension secondaire. Comment l’entrefer peut il raidir cette courbe ? Ce n’est pas par une action sur la perméabilité car avec une intensité crête inférieure mais sans entrefer, la courbe de tension secondaire reste quasi verticale au début de sa décroissance.

Le ralentissement de la chute de la tension secondaire ramène à la signification de l’origine de cette tension. La tension secondaire est l’expression de la vitesse de décroissance du champ magnétique créé par la bobine primaire. Si cette tension reste élevée c’est que le champ magnétique continue de décroître très vite. Cela veut dire que le courant secondaire ne s’oppose presque pas à cette décroissance par la création instantanée d’un champ. Pour que ce courant secondaire ne s’oppose pas à la décroissance du champ il faut que son propre champ créé soit faible par rapport à son champ magnétisant, grâce à une forte réluctance sans saturation magnétique due à l’entrefer.

L’entrefer diminue la capacité de contre effondrement du champ magnétique pour une intensité de charge donnée.

Une résistance de charge a tendance à définir une courbe de tension secondaire tendant vers un L et l’entrefer redéfinit cette courbe sous la forme d’une diagonale rectiligne .
L’entrefer augmente la puissance du MEG car il permet de faire passer une plus forte intensité secondaire moyenne sous une tension moyenne sur la charge donnée. En effet il rend possible l’usage d’une résistance de charge plus faible sans provoquer de rétroaction sur l’intensité primaire.

Ce qui compte pour définir la puissance disponible sur la bobine secondaire c’est l’induction magnétique précise atteinte en son cœur, à l’instant du début de la déconnexion de la bobine primaire.

Lorsque la réluctance augmente, l’inductance diminue et donc la rapidité pour obtenir une intensité crête augmente. Ce que l’on perd en induction magnétique, on le regagne en économisant l’énergie pour l’obtenir. Le rapport induction magnétique / énergie est inchangé.
De plus on se dirige vers un gain de perméabilité magnétique : il n’y a que du gain à augmenter l’entrefer sur la bobine primaire.

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Ecrit le: Vendredi 08 Mai 2009 à 11h54 Posted since your last visit
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Bonjour à tous, icon_biggrin.gif

Labo, Je te livre l'analyse que je fais de tes mesures.
Il semble que tu te rapproche de principe de Thanes,
à savoir laisser la possibilité à la FCEM de s'exprimer,
sans que cela est une influence trop importante sur le courant créateur.

L'entrefer te fourni une soupape, une barrière, ou une espèce de "diode" magnétique.
à la fois lorsque tu injecte le champ par la bobine primaire, les deux circuit se polarisent magnétiquement, dans le même sens,
en revanche lorsque la bobine secondaire produit du jus, elle antipolarise le noyau,
ou plutôt le tronçon de noyau sur laquelle elle est montée.
L'entrefer permet que que les deux tronçons soient en oppositions beaucoup plus facilement.

A suivre donc.




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Ecrit le: Vendredi 08 Mai 2009 à 22h47 Posted since your last visit
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Bonsoir à tous,
Bonsoir Quartz.
C’est vrai que ça ressemble au test de Thanes, quelque part.
La particularité de mon test c’est que la consommation primaire est avérée, qu’il y ait production ou non. Il y a un flux d’énergie qui « passe » en tant que consommation et un flux d’énergie « disponible » en production. On le prend ou on ne le prend pas. Si on ne prend pas le flux d’énergie produite, le rendement est nul et on ne sait pas ou tout cela se perd.
Si on cherche le meilleur rendement il faut « tout prendre » de la production en ajustant « au millimètre » la résistance de charge. Cela explique que le bouclage de l’énergie sur la batterie d’alimentation est difficile à faire car dans ce cas la résistance de charge est quasi nulle et donc inadaptée.
Jusque là on reste encore prisonniers d’un cadre « sous unitaire », en l’absence d’entrefer.
Avec l’entrefer je cherche à définir les pistes de recherche. Il faudra que je baisse la tension d’alimentation de la bobine primaire pour faire face à l’augmentation de son intensité crête à la suite de l’augmentation de l’épaisseur de l’entrefer.
Un test en 6 volts…
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Ecrit le: Samedi 09 Mai 2009 à 21h42 Posted since your last visit
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Hello Tous icon_smile.gif

J'ai pris un peu de temps pour faire l'essai meg à suppression d'inductance , avec deux bobines d'une cinquantaine de spires (1,82mH chacune) bobinées en inverse sur un noyau torique.. Une des bobines est alimentée en permanence par une batterie de 6 volts. L'autre est alimentée au travers de mon hacheur ultrarapide à 200Hz (créneaux carrés) .. Un rhéostat de 6ohms est commun aux deux bobines pour maintenir une intensité moyenne de 1A débitée par la batterie..

Voilà ce que j'obtiens:

user posted image

On constate une symétrie quasi parfaite.. Les séquences se suivent, une bobine réagit sur l'autre et elles annulent leurs effets (tensions et intensités) mutuellement à chaque instant, pour conserver la nullité ou la moyenne..

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Ecrit le: Mardi 12 Mai 2009 à 17h27 Posted since your last visit
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12 MAI 2009.
Bonsoir à tous.
La question qui se pose.
Est ce que l’entrefer va permettre d’obtenir un rendement approchant de très près les 100% sans pouvoir dépasser ce seuil « fatidique » ou bien est ce qu’il va permettre d’obtenir un échange de flux d’énergie non lié ?
Dans mon test de référence de 2006, l’énergie consommée à vide « disparaît » sans presque aucune production liée visible. La seule trace de production liée est la perte ohmique.
L’idée est aussi que ce qui marche dans un sens doit marcher dans l’autre et que donc on doit pouvoir obtenir une production non liée supérieure à la consommation.
Quand on augmente l’épaisseur de l’entrefer la courbe de consommation devient une diagonale « raide » vers le haut et au delà de cela on ne gagne plus rien en rendement sur la consommation primaire.

Au niveau de la production il faut se rappeler que si la charge n’est pas connectée, le champ magnétique disparaît en même pas une milliseconde. Ce temps de disparition est celui que met le relais statique pour opérer la déconnexion de la bobine primaire. Si la charge est connectée, ce temps de disparition augmente. Cela veut dire que le courant qui circule dans la bobine secondaire est la cause même de sa propre subsistance dans le temps.
La question est aussi : la relation est elle constante entre l’énergie fournie par la décroissance du champ magnétique et la quantité de flux qui disparaît ?
En faisant le test sans entrefer et avec un entrefer de 0,6 millimètre je peux certifier que non.

Lorsque le courant secondaire circule, il crée de façon instantanée un contre champ magnétique. L’induction magnétique atteinte par ce contre champ dépend de la réluctance de
Son circuit magnétique. L’entrefer augmente la réluctance et diminue l’induction magnétique atteinte pour un nombre d’ampères tours donné. L’observation de la courbe de décroissance de la tension secondaire à l’oscilloscope montre que l’entrefer ralentit la chute initiale de la tension. Cela veut dire que le contre champ magnétique créé par la charge est plus faible que
Le champ décroissant à un instant donné. La conséquence est que la décroissance du champ reste rapide et que donc la tension qui en est issue reste élevée. La conséquence est qu’une tension plus élevée se déverse plus longtemps dans la charge.

Sur la bobine primaire l’entrefer agit en diminuant le temps qu’il faut pour obtenir une intensité crête voulue. Cependant cette même intensité crête signifie une induction magnétique diminuée à cause de l’augmentation de la réluctance. L’énergie qui est économisée pour obtenir l’intensité crête de référence est re dépensée pour obtenir l’induction magnétique crête de référence. Or c’est cette dernière qui est prise en compte par la bobine secondaire. L’induction magnétique de référence définit une perméabilité donnée du circuit magnétique. Donc pour une induction magnétique donnée, l’entrefer ne change pas le rendement de la consommation de la bobine primaire.

A plus…
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Ecrit le: Jeudi 14 Mai 2009 à 07h52 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
14 MAI 2009.
Bonjour à tous.

Courbe de tension décroissante de la bobine secondaire.

Lorsque je fais un test avec la charge connectée sur la bobine secondaire je peux observer à l’oscilloscope une courbe de tension décroissante pendant la séquence de disparition du champ magnétique. La charge est une résistance ohmique de valeur quasi invariable à cause de l’inertie thermique de son filament. De ce fait la tension aux bornes de la charge signifie en même temps une intensité qui la traverse. Cette intensité possède la même courbe décroissante que la tension. Il se trouve que cette intensité circule dans la bobine secondaire qui lui donne naissance. De ce fait cette bobine est aussi le siège d’un champ magnétisant
Dont la valeur décroissante est identique à la courbe de tension secondaire. Ce champ magnétisant « existe » bien et il donne naissance à un flux magnétique en fonction de la perméabilité du circuit magnétique et de sa réluctance.
Peut on dire que la courbe de décroissance de ce champ magnétisant représente la globalité du champ magnétique comprenant le champ initial et le champ qui s’oppose à sa disparition ?
Dans ce cas on a un outil intéressant d’investigation.
A voir…
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Ecrit le: Mardi 19 Mai 2009 à 11h31 Posted since your last visit
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Bonjour à tous.
Il semble que l’augmentation de l’épaisseur de l’entrefer ne produise pas plus d’augmentation du rendement au delà d’une certaine dimension. Le test en 6 volts m’a permis de placer un entrefer de 0,84 millimètre. Le rendement ne bouge plus ou alors de façon insignifiante. La courbe de tension secondaire semble se fixer dans son tracé atteint avec un entrefer de 0,6 millimètre. Le changement de fréquence de connexion ne change rien de signifiant au rendement. La différence visible de rendement se trouve donc entre zéro entrefer et 0,6 millimètre. De plus à zéro entrefer il n’y a plus égalité entre la consommation à vide et en charge. Je suis donc toujours sur la piste de l’entrefer mais ailleurs que sur son épaisseur.
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Ecrit le: Mercredi 20 Mai 2009 à 17h54 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
20 MAI 2009.
Bonjour à tous.

Impact de l’entrefer sur la réluctance.
La perméabilité relative « standard » du fer au silicium est de 10.000. On définira la réluctance du circuit magnétique du test par la valeur abstraite x. Ce circuit magnétique fait 1 mètre de long. Une longueur d’entrefer de 1 millimètre aura donc une réluctance égale à 10x.
L’entrefer de 0,6 mm aura donc une réluctance de 6x. La réluctance totale d’un circuit magnétique de 1 mètre en acier au silicium comprenant un entrefer de 0,6 millimètre sera donc 7 fois plus grande que s’il n’y avait pas d’entrefer. Cela correspondra à un circuit de 7 mètres de long.
Dans le dernier test l’intensité crête atteint environ 33 ampères, soit 660 ampères tours.
L’ajout de l’entrefer de 0,6 mm amène l’intensité du champ magnétisant à 94 ampères tours par mètre. Cela se situe sur la zone la plus perméable du fer au silicium : de 50 à 100 ampères tours par mètre. Cette zone est visible sur un graphique concernant les différents types d’alliages de fer.
L’induction magnétique atteinte lors de cette intensité crête est d’environ 0,75 Teslas.

Cela ne me dit toujours pas ou passe l’énergie consommée à vide. C’est juste une approche pour mieux « voir » l’importance d’un minuscule entrefer.

Le nombre de wattheures nécessaires pour obtenir un flux crête donné dans le circuit magnétique semble être un invariant. Seule la perte ohmique augmente cette proportion.

La vraie piste est de savoir pourquoi l’entrefer « gonfle » la tension moyenne sur le circuit secondaire dans sa phase initiale et réduit le temps attribué à la partie basse de cette tension.
Cette modification de la courbe de décroissance de la tension secondaire rend possible le phénomène d’indépendance entre l’intensité primaire et secondaire.

Dans la bobine primaire on rencontre le phénomène d’inductance car la bobine primaire est un récepteur d’énergie. Le phénomène d’inductance entraine tout un ensemble de mécanismes de compensation entre tension d’alimentation, nombre de spires, durée de la connexion et réluctance du circuit magnétique. Ces mécanismes amènent à un rendement unique. Ce n’est pas le cas dans la bobine secondaire car elle est un générateur et n’est donc pas soumise à l’inductance. L’action de l’entrefer est donc asymétrique entre les deux bobines.

Dans mon test l’action de modification de la courbe de tension secondaire par l’épaisseur de l’entrefer semble cesser au-delà de 0,6 millimètre. Cette action de modification de la courbe de tension est une authentique augmentation du rendement du test. Cela ne se fait pas en diminuant des « pertes » car ces pertes sont déjà quasi nulles. Cela se fait en extrayant plus d’énergie depuis « nulle part » en contrepartie d’une consommation d’énergie donnée.

Puisque l’épaisseur n’est pas un facteur de croissance continue du rendement, il faut regarder à coté. Peut être la matière de l’entrefer ? Ou bien sa géométrie ? Ou bien une influence extérieure appliquée sur cet entrefer qui agirait en « multiplicateur » ?

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Ecrit le: Jeudi 21 Mai 2009 à 10h30 Posted since your last visit
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Toujours aussi rigoureux et persévérant !!

Selon Hatem, l'univers serait fait d'une infinité d'aimants (bipolaires) tournant en synchronisme les uns avec les autres créant ainsi un attraction et une stabilité remarquable que ce soit dans les macro systèmes (planètes et leurs satellites, systèmes planétaires, système stellaires, systèmes galactiques) que dans les micro systèmes (atomes, molécules, etc). Tous ces systèmes pullulant dans l'univers émetteraient des ondes magnétiques (que certains scientifiques appellent gravitons, ou ondes scalaires) en tous sens et d'intensités diverses.. Cet océan d'énergie (qu'on appelle du vide) s'exerce sur tous les objets..

Ainsi, tous les objets, reçoivent et reémettent cette énergie (que les réligions orientales appellent prana) à des degrés divers à laquelle ils sont soumis en permanence (certains en reçoivent plus qu'ils n'en émettent, d'autres, c'est l'inverse) .. Ton transfo fait partie de ces objets.. il reçoit de l'énergie et en reémet vers l'ailleurs .. Ce qu'il nous faut c'est trouver les conditions avec lesquelles il pourrait en pomper plus qu'il n'en reémet, pour pouvoir maitriser et la canaliser à notre profit . Certains parlent de résonance avec l'environnement ..

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Ecrit le: Vendredi 22 Mai 2009 à 07h52 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
22 MAI 2009.
Bonjour à tous,
bonjour Amateur.

Comment démarre la modification de la courbe de tension secondaire?
On sait que c’est la mise en place d’un entrefer qui démarre ce processus.

Le fait d’avoir une tension secondaire élevée signifie que la vitesse de décroissance du champ magnétique est aussi très élevée. L’idéal serait d’avoir une tension très élevée et constante suivie d’un effondrement brutal de cette tension à la disparition du champ. Ce phénomène existe quand il n’y a pas de charge mais alors il n’y a pas de puissance produite.

L’entrefer agit apparemment comme un découplage entre la tension qui crée le courant et le courant qui fait baisser la dite tension. En effet la tension initiale est due à la vitesse de déconnexion de la bobine primaire et non à la présence ou l’absence d’entrefer. Dans le test il s’agit de 68 volts, quel que soit l’induction magnétique crête atteinte par la bobine primaire.

L’entrefer ne modifie pas le rendement dans la bobine primaire car elle est un récepteur d’énergie mais il le modifie dans la bobine secondaire et elle est un générateur.
On se trouve dans un cas apparent ou l’augmentation de la réluctance d’un circuit magnétique augmente la quantité d’énergie qui peut être extraite lors de la décroissance d’un flux magnétique.

Pourtant il faut rappeler la grosse différence entre résistance ohmique et réluctance.
La résistance ohmique a la particularité d’être le siège d’un transfert d’énergie. Tout circuit parcouru par une intensité et comprenant une résistance ohmique consomme de l’énergie et la transforme instantanément en chaleur. La réluctance magnétique, si elle est de valeur donnée et constante, ne produit et ne consomme aucune énergie. C’est un simple paramètre, pas plus.
La variation de réluctance, elle, est le siège d’une circulation de l’énergie dans les deux sens.
Il y a production d’énergie quand la réluctance baisse et consommation d’énergie quand la réluctance augmente. Dans mon test la réluctance ne change pas pendant les séquences de connexion ou de déconnexion. La circulation de l’énergie ne peut donc pas lui être imputée.

Alors ?

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Ecrit le: Lundi 25 Mai 2009 à 23h12 Posted since your last visit
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Bonsoir à tous.
Vu sur http://contreinfo.info/

L’investissement dans les énergies renouvelables baisse fortement ainsi que celui dans la prospection pétrolière. Le piège du pic de Hubbert se referme…
On arrive donc dans une zone ou le volume de la circulation des marchandises ne PEUT PLUS augmenter. Qu'en pensent nos géniaux économistes ?
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Ecrit le: Lundi 25 Mai 2009 à 23h14 Posted since your last visit
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Bonsoir à tous.
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Ecrit le: Mardi 26 Mai 2009 à 07h38 Posted since your last visit
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Out, UMP, PS et MODEM aux européennes, bienvenue à ceux qui sont pour une Europe ecologique et sociale. Il faut changer la commission européenne qui prend les décisions.. Votons bien !!

Ecouter "lobby planet"
http://www.la-bas.org/mot.php3?id_mot=211

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Ecrit le: Mardi 26 Mai 2009 à 17h57 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
26 MAI 2009
Bonsoir à tous,
bonsoir Amateur.

Définir avec précision la zone d’action de l’entrefer.

Dans le cas de la rétroaction du courant secondaire sur le courant primaire on peut bien affirmer que la réaction est liée à l’action. C’est ce qui se passe dans les transformateurs.
Dans le cas de mon test MEG c’est différent. La tension secondaire initiale est un invariant
Lié à la performance d’un matériel de déconnexion.
Le courant secondaire est donc en premier issu de la déconnexion. Il y a obligation de présence d’un flux magnétique au moment de cette déconnexion mais son induction magnétique n’est pas le moteur initial du courant secondaire. L’induction magnétique va jouer sur la forme de la courbe de décroissance de la tension secondaire et donc du courant secondaire. Plus l’induction magnétique atteinte à l’instant de la déconnexion sera élevée et plus la partie haute de la tension secondaire sera importante dans sa courbe de décroissance.
Le courant crête secondaire initial est donc lié à la tension crête secondaire et donc à la performance de l’organe de déconnexion de la bobine primaire.
Le problème est que si l’induction magnétique maximale est faible, le courant crête secondaire s’effondre immédiatement (ainsi que la tension crête) et n’a donc quasiment pas d’existence pratique.
La tension secondaire existante signifie qu’il y a encore du champ magnétique existant en train de disparaitre. Si ce champ était faible, sa disparition sera rapide. Il y aurait donc une liaison « proportionnelle constante » entre l’induction magnétique atteinte par la bobine primaire et l’énergie maximale recueillie par la bobine secondaire en charge. Ceci étant vrai pour une réluctance donnée.

Mais il y a un truc qui me tracasse. Dans le test sans entrefer le courant secondaire produit une induction magnétique initiale instantanée « contre disparaissante » supérieure à l’induction magnétique initiale. En effet dans le test sans entrefer l’intensité crête atteint environ 10 ampères pour une bobine de 20 spires, soit 200 ampères tours. A l’instant de la déconnexion la tension secondaire est de 68 volts sur une charge de 3 ohms environ, soit un courant d’environ 22 ampères pour une bobine de 28 spires. Cela donne 616 ampères tours, soit 3 fois plus que le champ magnétisant initial. De ce fait on va avoir une courbe de champ magnétique à décroissance nulle et donc une tension secondaire (de décroissance) immédiatement annulée. Donc la tension secondaire va chuter à la verticale jusqu’à ce que le champ magnétisant « contre disparaissant » qu’elle produit soit inférieur au champ magnétisant initial, pour une réluctance donnée.

Dans le test avec entrefer l’intensité primaire crête est de 33 ampères, soit 660 ampères tours. Le champ magnétisant « contre disparaissant » initial de 616 ampères tours est donc inférieur au champ magnétisant initial. La tension secondaire n’a donc pas à chuter à la verticale car il y a bien une réaction magnétisante secondaire (pour une puissance donnée sur la charge) inférieure à l’action initiale primaire. N’oublions pas que la réluctance du circuit magnétique concerne les deux bobines au même titre.

A suivre…


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Ecrit le: Samedi 30 Mai 2009 à 08h24 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
30 MAI 2009.
Bonjour à tous.
Précisions sur un calcul.

Le rendement du test MEG à entrefer est lié à la courbe de tension secondaire. Je sais comment identifier cette tension secondaire initiale. Il suffit de connecter un condensateur aux bornes de la bobine secondaire et de le laisser se charger à bloc. Il nous donnera précisément la tension secondaire initiale car il ne consomme aucune énergie une fois chargé.

La question suivante est de définir le sort de cette tension secondaire initiale si on connecte une charge ohmique dessus. On sait que cette tension secondaire reste constante si il n’y a aucune charge connectée dessus et que sa durée de vie dépend de la vitesse de l’organe de coupure de la bobine primaire.
Si une charge est connectée sur la bobine secondaire, la tension va baisser. Je sais maintenant que la « pente de cette baisse » va dépendre de la différence de deux champs magnétisants.
Le premier est défini par le produit de l’intensité crête atteinte en fin de séquence de connexion de la bobine primaire par le nombre de spires de cette même bobine primaire.
Le second champ magnétisant est celui qui est créé par l’intensité initiale qui traverse la charge secondaire. Cette intensité initiale est défini par la valeur de la résistance ohmique de cette charge. La valeur du champ magnétisant secondaire est obtenue en multipliant cette intensité par le nombre de spires de la bobine secondaire. Le champ magnétisant secondaire est instantané car la bobine secondaire est un générateur est n’est pas soumise à l’inductance.

Pour qu’une tension secondaire ait une existence après son point de départ initial il faut que le champ magnétisant primaire soit supérieur au champ magnétisant secondaire. La tension secondaire est l’expression de la vitesse de disparition du champ magnétique primaire et cette vitesse de disparition sera d’autant plus grande que le champ magnétisant secondaire sera plus faible que le champ magnétisant primaire. En effet le champ magnétisant secondaire s’oppose à la disparition du champ magnétique créé par la bobine primaire.

La comparaison de ces deux champs magnétisants est pertinente car ils sont situés sur le même circuit magnétique et les deux bobines sont juxtaposées

C’était un texte pour clarifier un mécanisme.
A suivre…
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Ecrit le: Samedi 30 Mai 2009 à 12h24 Posted since your last visit
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Tu parles de champs magnétisants ou de flux magnétisants ?
Est ce le champ magnétisant secondaire qui doit être inférieur au champ magnetisant primaire ou bien sont ce des flux dont on parle ??

Merci

A plus

**************


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Ecrit le: Samedi 30 Mai 2009 à 13h36 Posted since your last visit
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Bonjour à tous,
bonjour Amateur.
Je parle de champs magnétisants, en ce qui concerne la comparaison. Le produit
n x i est le champ magnétisant. Le flux magnétique dépend ensuite de la perméabilité du circuit magnétique. Comme le circuit magnétique est commun à la bobine primaire et à la bobine secondaire et que les deux bobines (primaire et secondaire) sont juxtaposées, alors on peut dire que ces deux bobines traversent un circuit ayant la meme perméabilité. Donc la comparaison peut se situer uniquement au niveau des champs magnétisants. C'est très interessant car on peut faire des mesures très précises que l'on aurait du mal à faire s'il fallait intégrer la perméabilité dans les calculs.
C'est donc bien le champ magnétisant initial secondaire qui doit etre inférieur au champ magnétisant primaire crete pour péréniser la tension secondaire.
Je complèterai cela tout à l'heure.
A plus...
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Ecrit le: Mardi 02 Juin 2009 à 14h32 Posted since your last visit
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Bonjour à tous.
Quartz, je suis en train de suivre ta piste. Je te cite :

"L'entrefer te fourni une soupape, une barrière, ou une espèce de "diode" magnétique.
à la fois lorsque tu injecte le champ par la bobine primaire, les deux circuit se polarisent magnétiquement, dans le même sens,
en revanche lorsque la bobine secondaire produit du jus, elle antipolarise le noyau,
ou plutôt le tronçon de noyau sur laquelle elle est montée.
L'entrefer permet que que les deux tronçons soient en oppositions beaucoup plus facilement."

L’entrefer aurait donc bien une action spécifique en rapport avec les deux éléments du circuit magnétique de mon test. Il faut rappeler que mon test comprend une partie de son circuit magnétique en forme de E et l’autre en forme de I. Les deux bobines sont placées sur la partie en forme de E. L’entrefer, en fait est double car la partie du circuit magnétique en « I » s’appuie en deux points sur la partie du circuit magnétique en « E ». La partie centrale du E est inutilisée. Elle contenait l’aimant permanent au début de mes tests. Désormais elle est neutralisée par un entrefer de 25 millimètres ( l’épaisseur de l’aimant permanent enlevé) et ne joue plus aucun role.
Cette nouvelle piste expliquerait pourquoi l’épaisseur de l’entrefer n’agit presque plus au-delà de 0,6 millimètre. Il faut donc observer l’interaction des deux sections du circuit magnétique.
Cela n'enlève rien de la mécanique des champs magnétisants décrite plus haut.
C'est une nouvelle piste sur l'entrefer en tant que "diode magnétique".
A plus...
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