LABO343's MEG

Bonsoir à tous,

Voilà les simulations, les section sont identiques au précédentes les valeurs NI également.


A+++

Bonjour à tous,

Bon quartz, tu as fait du bon travail avec toutes ces simulations. Je crois qu'on peut conclure maintenant. Ta dernière simule démontre toujours une fuite entre les zones de commande. A ma connaissance la meilleure solution à ce jour correspondrais à CETTE SIMUATION. Pour une éventuelle application pratique il ne reste plus qu'à appliquer l'idée de Amateur qui consiste à favoriser un grand empilement des tôles de trafo qui donne une longueur moyenne de la circulation du flux de saturation minimum pour un volume donné de matériel ferromagnétique à saturé ( ou proche de la saturation ). Ce volume à saturé va déterminer la puissance disponible au secondaire , ajusté avec la puissance des aimants et leurs sections.

Pour éviter ces fuites il faudrait revenir à la version à 4 fils et 3 trous qui localise efficacement le "cyclone" magnétique de la commande, mais au prix d'un NI plus élevé et d'optimaliser le coût énergétique de l'opération en utilisant l'idée de Amateur mais qui n'est pas simulable avec FEMM, sauf erreur. La solution à 3 trous et 4 fils est un véritable torre ferromagnétique dans une totalement continuité et homogénéité du matériel ferromagnétique, elle mériterais une investigation plus fine et méthodique comme d'ailleurs la solution à un trou, qui je pense n'a pas tout livré ses secrets.

De mon côté je vais lever le pied et me reposer un peu.

Bonne continuation à tous

Bonjour à tous,

Derfla, tu as plutôt bien bossé, le repos est amplement mérité.
Je vais continuer de faire différents simulations à partir de ce principe, qui me semble vraiment intéressant.
J'en ai deux en tête, dans un premier temps, je les mettrais en ligne avec le plus d'infos possibles pour que tu puisses les évaluer à loisir.

A+++

C'est avec intérêt que j'attends tes propositions. Je parle de prendre du repos et voilà que je continue, car j'aimerais revenir sur la proposition de notre ami Amateur :

Je considère son approche comme capitale pour diminuer le NI de la saturation du switch , tout en obtenant le même delta flux pour le secondaire, et comme tu n'a pas réagi je me permets d'en remettre une couche avec ce dessin :

]SOLUTION AMATEUR[/URL]

Tout ceci bien sûr avec un même NI équivalent des aimants, car autrement on aurais tendance à tomber dans le piège à vouloir saturer par les aimants eux mêmes la petite largeur du circuit, c'est pas le but.

J'essaie de me reposer

Oui Derfla, j'ai bien noté cet aspect du concept,
Dans mes futurs réalisations je privilégierais des largeurs plus faibles.

A+++

Hello Tous, Derfla et Quartz

Il ne reste plus qu'à utiliser du permalloy pour le circut magnétique ou un morceau pour la partie à saturer et c'est dans la poche.

En effet le permalloy sature franchement à 5 A/m au lieu de 500 A/m pour une tiède saturation avec les tôles d'acier (même de bonne qualité)




DERFLA:

As tu des adresses pour se procurer du permalloy, mumetal ou metglass ?
Quelqu'un capable d'usiner ces matériaux (le metglass est très dur et cassant)

A plus

Salut Amateur,

certainement par etching, si cela peut s'appliquer sur ce matériau, fonctionne bien pour les autres métaux.

Géo .

PS: pour le homemade : http://wapics.free.fr/outil/galvano/dechim.htm

Hello Tous et Géo

Merci pour le lien de découpe intéressant..
La méthode électrochimique est séduisante car elle permet des formes complexes.
Je suppose qu'il faut recouvrir les tôles recto verso et ne laisser que le métal découvert par les traits de pointeau, à l'exposition electrolytique.
Tout un programme.. et du temps car ça doit être lent, mais sûr

Reste à trouver des vendeurs de plaques ou feuilles de permalloy et mumétal déjà traitées thermiquement pour obtenir leur caractéristiques optimales.. J'ai déjà trouvé ça:

http://cgi.ebay.fr/ULTRAPERM-80-SHIELDING-...=item27af0069ec

Mais ça fait cher pour quasi rien !!

Bon je vais d'abord attaquer la réplication de Labo pour voir si son meg rayonne aux alentours.. Après je me penche sur cette question de commutation de flux par saturation économique d'une portion de circuit..

Dans l'intervalle, luttez tous pour maintenir les retraites à un bon niveau, car sinon on va travailler en slip dans nos ateliers très frais
2500 euros nets mensuels mini par tête, ce serait sympa

A plus

Hello Amateur,

Voici un PDF sur le FINEMET, d'une qualité supérieure au permalloy PDF FINEMET METGLAS

Le représentant général pour l'Europe se trouve tout en bas du PDF

ICI UN REVENDEUR EN SUISSE

Attention aux prix , si on pouvais avoir une preuve objective de la surunité avant, cela aiderais beaucoup à se lancer dans un tel investissement. Avec des mèches avec plaquettes en métal dur on devrait pouvoir peut-être percer ce matériel car il est revenu, dureté Vickers au dessus de 800. Se renseigner quand même avant, c'est plus prudent.

C'est clair qu'un tel matériel c'est le rêve: haute perméabilité, haute saturation, peut monter en fréquence, faibles perte fer.

A+

Merci Derfla

Y a de quoi faire avec tout ça.. C'est vrai, tu as raison.. Inutile d'investir avant d'avoir fait un essai avec du matériel standard peu couteux.. Si on s'approche ou on a la surunité avec du standard, le reste ne sera que perfectionnement ..

A plus

Il y a des feuilles de mumétal pour arréter les ondes basses fréquences sur le fond des écrans CRT, sur les téléviseurs, sur des imprimantes...

Bonjour.
On peut trouver, et là avec certitude, du mumétal autour du tube cathodique des oscilloscopes. Il est destiné à empêcher (ou tout au moins minimiser) l'influence du champ magnétique terrestre sur le faisceau d'électrons (rotation de la trace ) entr'autres.

Les tubes pour tv en sont démunis depuis longtemps . Ce qui explique la nécessité de la démagnétisation à la mise en route de l'appareil . Sinon ,légère déviation des faisceaux qui ne frappent plus les luminophores qui leur sont assignés.( des zones colorées anormales apparaissant dans ce cas )

Amicalement.

Merci Gegyx et Tecno

Il ne reste plus qu'à parcourir les déchetteries !!

LABO343 MEG
5 FEVRIER 2010.
Bonsoir à tous.

Echo augmenté, suite.

Les tests ont montré que le meilleur nombre de spires sur la bobine secondaire était huit. En dessous de ce nombre, le rendement baisse à nouveau. La tension secondaire initiale à vide est de 30 volts. La tension initiale secondaire en charge est de 15 volts. La tension finale est de 12 volts, au moment ou l’intensité secondaire est égale à zéro.
Observé à l’oscilloscope, l’intensité crête secondaire est trois fois plus grande que l’intensité crête primaire. L’intensité crête primaire est de 34 ampères. L’intensité crête secondaire est donc de 102 ampères. La surtension de charge de la batterie pour 102 ampères est de 3 volts. La résistance ohmique totale de circuit secondaire est donc de 0,03 ohm. Le champ magnétisant de contre effondrement initial est donc de 816 ampères tours. Le champ magnétisant primaire crête est de 680 ampères tours. Cela confirme le gain de rendement obtenu par le circuit magnétique fractionné car à 816 ampères tours, l’intensité secondaire prend déjà une existence effective.
La charge de la batterie se fait sans inertie de croissance d’intensité, car il n’y a pas d’inductance. De ce fait l’intensité maximale survient lors de la tension maximale secondaire initiale. Cette intensité maximale est aussi très brève car le champ de contre effondrement fait rapidement baisser la tension qui lui donne naissance. La tension initiale créant l’intensité de contre effondrement est de 18 volts car la tension initiale de la bobine secondaire est de 30 volts et le saut de tension à franchir est de 12 volts à cause de la batterie. Cette tension chute à la verticale jusqu’à 3 volts puis décroit linéairement jusqu’à zéro au bout d’une milliseconde. Les trois quarts de l’énergie produite le sont en un quinzième de la période de fonctionnement du MEG.

La production d’énergie par la bobine secondaire se manifeste sous la forme d’une impulsion très brève et il est possible que l’ampèremètre à aiguille ne prenne pas toute sa vigueur en compte. En effet l’inertie du mouvement de l’aiguille peut fausser le résultat de la mesure dans le sens d’un amoindrissement apparent de la production. De son coté, l’intensité primaire possède une vitesse de variation 4 fois moins élevée. La comparaison des intensités primaire et secondaire est donc floue. On ne peut donc pas mesurer le rendement de façon pertinente.

Autre chose : le transfert d’énergie en haute intensité pose un gros problème de connectique.
La résistance de la diode est importante. La résistance interne de la batterie aussi.
Avec une résistance interne du circuit secondaire de 0,03 ohm et une intensité moyenne secondaire de 52 ampères, on aura une perte ohmique de 81 watts pendant une milliseconde pour une production moyenne de 612 watts pendant la même milliseconde. Cela fait 13% de perte ohmique. L’intensité moyenne qui passe par la diode est de 6,8 ampères mais l’intensité crête est de 102 ampères : ce grand écart doit être surveillé. La perte ohmique moyenne sera proche de 11 watts sur toute la période de fonctionnement.
Pour comparaison, la perte ohmique dans le circuit secondaire de mon test
http://www.youtube.com/watch?v=pSZMu6bDH5M est de l’ordre de 0,3%.

Je vais devoir changer le mode de mesure de la surunité. Au lieu d’utiliser un ampèremètre, je vais utiliser le contrôle de la tension aux bornes de la batterie.
Si la tension de la batterie ne baisse pas pendant le fonctionnement du test et que de plus elle augmente, même très peu, cela voudra dire que l’énergie produite est supérieure à l’énergie consommée. Ce montage me permettra de placer la batterie à ras de la bobine secondaire et de la diode de puissance. Il n’y aura aucun autre élément que la bobine, des câbles en 50 mm carré, la diode et la batterie.

A suivre…

Rebonsoir à tous.

Allez donc ici : http://www.pauljorion.com/blog/wp-content/...seur-de-gaz.pdf

et ici http://www.pauljorion.com/blog/wp-content/...eure-de-gaz.pdf

Puis il faut lire la video de Paul Jorion du 5 février, ici http://www.pauljorion.com/blog/

Le culot de certains et le gros orage qui arrive.

A plus...

Salut labo,

C’est vrai que Jovion est pertinent, tout ça ne rassure pas !
Quand tu vois la bourse hier, c’est toujours un prémice aux grands problèmes, il faut dire qu’aujourd’hui il y à des systèmes qui permettent de gagner de l’argent en pariant par exemple sur la chute de la Grèce du Portugal etc.…à leurs capacités de sortir de la crise.
Je pense qu’il faudrait réinventer les galères, et foutre tout çà au milieu de la mer, en attendant le retour, bien sur le tout en direct sur lci/tf1.


A++

Bonjour à tous,

Pas moyen de me reposer, alors je me repose en bossant.

Oui Labo, les banksters mènent le bal, on les aura sur le dos avec notre futur MEG.

Amateur a écrit :

Aussitôt dit aussitôt fait, que sur le papier pour l'instant, à vous de décider et vouloir le faire dans le réel. Car l'issue favorable me semble quasi certaine, il n'y a plus qu' à ....

Le NI des switch est abaissé à des valeurs qui va faire exploser le COP, et ceci grâce à la grande valeur de la perméabilité des switch magnétiques . Je vous propose une solution de compromis qui est est compatible entre investissement et démonstration de la surunité. Pour limiter l'investissement à son maximum il suffit de faire un système miniature avec des tôles de transformateurs qu'on trouve dans les décharges ( avec un peu de chance ) et il reste que les 8 switch qui est le coeur du système , aussi bien financier que technique à cause des trous à réaliser. S'il faut faire percer par une tierce partie il y a l'usinage par électro-érosion.

Vous constatez que le rebouclement du flux est réduit à sa plus simple expression en passant par un deuxième système MEG. Il suffira de ne pas se mélanger les pinceaux entre les 8 switch et le sens du courant dans ceux-ci. Avantage : on a un seul secondaire qu'on peut bobiner sur les 2 sections transversales en même temps.

]MEG DOUBLE[/URL]

Attention concernant le mumétal, il sature trop facilement à des valeurs d'induction trop basse à mon avis, car les puissants néodyme vont le saturer trop facilement et les switch ne serviront à rien. Il faudrais soit mettre des entrefers ajustés entre les aimants, soit utiliser des aimants céramiques, quoi qu'il en soit on perdrais de la puissance en sortie par un abaissement du delta flux sur le secondaire.

A+

Hello Tous Derfla Quartz Thx4 et Labo

Sacré Derfla, j'étais entrain de dessiner le même croquis à peu près (télépathie ??), mais t'as été plus malin en mettant deux rangées..
Oui ça devrait fonctionner ainsi. Il faut juste mettre une encoche sur chacune des faces des carrés verts pour loger le fil des bobines qui vont servir à saturer.. A moins que tu ne satures autrement ??


Labo

Les gouvernements vont être comprimés entre les créanciers (déjà ultrafriqués) des soit disant dettes publiques et les opinions publiques des citoyens qui vont refuser de payer la crise délibérément voulue..
Aux Peuples de prendre leur destin en mains au lieu de le laisser entre les pattes de quelques monstres !!
C'est aux Peuples de saisir cette période de ténèbres pour remettre de l'ordre et imposer une civilisation d'Amour, de paix, de partage et de justice..
L'avenir est dans nos mains et non dans les pattes de quelques vampires !!
Obama est le seul pour le moment à attaquer le systeme bancaire..

Thx4

Oui suppeerr tous ces malfrats entrain de pédaler pour produire de l'electricité ultraclean


Infos:
Dailymotion

L'Etat français entre dans le capital de Dailymotion et a déjà parait il censuré des tas de vidéos

http://modem-vanves.fr/dotclear2/index.php...de-Dailymotion-!

http://mobile.agoravox.fr/actualites/media...nnaire-et-63984

Média a éviter donc

Sécu:

> L'ASSURANCE MALADIE 50 secondes de lecture à couper le souffle. Pour
> combler le déficit de la sécu, nos chers gouvernants ont trouvé que le
> mieux, c'était encore de nous faire payer...

> a - Dorénavant, sur une consultation médicale, nous versons 1 euro,
> b - Nous sommes restreints lors de nos arrêts maladie ...
> c - Nous devons consulter un généraliste avant de voir un spécialiste ...
> d - Pour tout traitement de plus de 91 euro, nous en sommes de 18 euro de
> notre poche,
> e - Taxe de 0,50c sur les boites
> f - etc.......
>
> Toutes ces mesures sont destinées à combler le fameux trou qui est à ce
> jour de 11 milliards.
>
> Or, savez-vous que :
>
> 1°) Une partie des taxes sur le tabac, destinée à la Sécu, n'est pas
> reversée. 7.8 milliards
> 2°) Une partie des taxes sur l'alcool, destinée à la Sécu, n'est pas
> reversée.3.5 milliards
> 3°) Une partie des primes d'assurances automobiles destinée à la Sécu,
> n'est pas reversée 1. 6 milliards
> 4°) La taxe sur les industries polluantes destinée à la Sécu, n'est pas
> reversée 1,2 milliards
> 5°) La part de TVA destinée à la Sécu n'est pas reversée. 2.0 milliards
> 6°) Retard de paiement à la Sécu pour les contrats aides 2.1 milliards
> 7°) Retard de paiement par les entreprises 1.9 milliards
>
> En faisant une bête addition, on arrive au chiffre de 20 milliards d'euros.
>
> Conclusion : si les responsables de la Sécu et nos gouvernants font leur
> boulot efficacement et honnêtement, si chacune des institutions reverse ce
> qu'ils doivent chaque année , les prétendus 11 milliards de trou seraient
> aujourd'hui 9 milliards d'excédent!!! !.
>
> Ces chiffres ne sont pas inventés vous pouvez les consulter sur le site de
> la sécu ; ils sont issus du rapport des comptes de la Sécu. Si les
> pouvoirs publics, qui nous harcèlent au quotidien de messages
> publicitaires afin de consommer des fruits et légumes, étaient vraiment
> convaincus qu'il nous faut consommer 5 fruits et légumes par jour pour
> sauver notre santé et donc l'assurance maladie, ils supprimeraient la TVA
> sur ces produits !
>
> N'oubliez pas d'avoir une petite pensée sur l'achat, à la hâte, des 90
> Millions de doses de Tamiflu par le ministère de la santé publique, quand
> on sait que la grippe A n'est pas plus mortelle et dangereuse pour vous et
> moi que la grippe saisonnière classique. Hélas on ne peut en dire autant
> des dommages collatéraux potentiels qui existent réellement dans les
> adjuvants que contiennent les vaccins!!! Quel sera le coût de cette
> opération, que la sécu va supporter une nouvelle fois, lorsque le
> gouvernement sera décidé à dédramatiser la situation !!!
>
> Cordialement.
>
> Evelyne DUBIN Secrétaire Générale Adjointe au Directeur Général
>
> Institut National du Développement Local
>
> Avenue Michel Serres BP 32
> 47901 AGEN Cedex 9
>
> tel : 05.53.48.06. 74
>
> fax : 05.53.48.06. 71
>
> mob: 06.72.19.53. 50
>
> mail: e.dubin@indl. fr

> VOUS AUSSI, SOYEZ RESPONSABLES : TRANSFÉREZ CE MESSAGE A TOUS VOS
> CONTACTS, ILS ONT LE DROIT DE SAVOIR !!!

A plus

Hello Amateur,

Ce n'est pas de la tranmission de pensée, autrement cela pourrais dire que je t'ai volé ta pensée
et heureusement qu'il n'y pas de loi pour punir ce genre de délit Non c'est seulement la suite logique de nos cogitations communes.

J'ai vu trop tard qu'il manquait les fils des switch et j'ai oublié de l'écrire sur le post précédent. C'est vrai que parfois c'est moi qui sature ... sans beaucoup de NI

A+

Pas grave Derfla

De toutes façons nous sommes épiés par le monde entier.. Alors ce concept va sortir quelque part car les voies de l'univers sont insondables, nous sommes tous reliés et nul n'est séparé de personne malgré les apparences ..

Maintenons en nous la vision de la future civilisation avancée basée sur l'Amour, la paix, le partage et la justice.. Nous sommes Créateurs !!
Univers d'ondes

De la Source limpide, elles s'écoulent
En cascades et gerbes se répandent
Tel un torrent d'écume, elles déboulent
Sur tous les mondes, elles s'étendent

Les voilà qui s'additionnent
Et le tangible jaillit à nos yeux
Les voilà qui se tamponnent
Et l'intangible alors, dirige le jeu

L'hirondelle et son nid ne font qu'un
Le saumon et sa source sont réunis
Comme les deux pics de l'iceberg serein
Par le même corps noyé, sont unis

Tout autour ce sont des ondes
Ne cherche plus de ta sonde
Tu fais partie de cette ronde
Nous sommes unis en ce monde

Tu es toi aussi, parcelle d'éternité
Tu fais partie de cette vaste humanité
Quand chaque perle sera illuminée
La trame entière sera de toute beauté


Amateur 2003
*******************************************
Une petite conférence pertinente de Frederic Lordon

http://www.dailymotion.com/video/x73dkm_co...financiere_news

Obama est un enfant cristal (ceux qui suivent les enfants indigos) et il a accepté cette mission en s'incarnant dans cette vie.. Il faut le protéger car les forces des ténèbres en sont à leurs derniers soubressauts et dangereuses.. Prions pour Obama

A plus

Bonjour à tous.
Bravo Amateur pour cette adresse de Frédéric Lordon. Absolument génial.
Tout est dit avec une maitrise de la langue qui me laisse en admiration.
A plus...

Hello Lab's

Je reconnais là notre Labo auditif (et sans doute mélomane) .. Et oui, quand on maitrise bien le sujet.. Ce qui se conçoit bien, s'énonce clairement et les mots pour le dire viennent aisément !!

LABO343 MEG
7 FEVRIER 2010.
Bonjour à tous.
Echo positif :
Adaptation de la tension secondaire initiale à la charge d’une batterie.

Par rapport au test utilisant une résistance ohmique de 5,75 ohms, le test à écho positif ne dispose de presque aucune résistance ohmique pour limiter le champ de contre effondrement et de ce fait éviter la chute verticale de la tension secondaire. La limitation du « n x i » doit donc se faire en diminuant « n ».

Dans le cas de mon test, la tension de charge de la batterie est de 12 volts, ce qui entraine le passage d’une très grande intensité crête initiale. Cette intensité crête est due à la « tension ohmique de charge ». La charge de la batterie suppose de vaincre la tension de cette batterie. Ensuite, l’intensité de charge est une simple fonction de la résistance ohmique du circuit secondaire et du surcroit de tension appliqué aux bornes de la batterie.

Si la tension secondaire initiale est de 30 volts et que la tension normale de la batterie est de 12 volts, la tension « ohmique de charge » sera de 18 volts. Si la résistance ohmique totale du circuit secondaire est de 0,1 ohm, l’intensité crête sera de 180 ampères.
Si la tension secondaire initiale est de 30 volts et que la tension normale de la batterie est de 24 volts, la tension « ohmique de charge » sera de 6 volts. Si la résistance ohmique totale du circuit secondaire est toujours de 0,1 ohm, l’intensité crête sera de 60 ampères.

Dans le dernier cas, le « n x i » est divisé par trois en doublant la tension de charge de la batterie et en gardant le même « n ». Le problème de la charge des batteries était bien le risque d’un trop grand « n x i ». Il est résolu en augmentant la tension de la batterie utilisée comme charge secondaire. De ce fait la batterie utilisée par la bobine primaire peut toujours avoir une tension de 12 volts mais la batterie utilisée par la bobine secondaire sera d’une tension plus élevée. La comparaison des intensités sera donc soumise à la proportion des tensions des deux batteries.

Le fait de doubler la tension de la batterie de charge, divisera par neuf la perte ohmique car cette dernière est fonction du carré de l’intensité.

A suivre…

Bonjour à tous.

Ci joint les dessins représentant le test de bouclage de l'énergie sur la batterie de 12 volts. Le premier dessin représente les courbes d'intensité primaire en haut et secondaire en bas. Il n'y a pas surunité dans ce test mais on voit bien le fonctionnement de "l'écho positif".

.

On voit bien que l'intensité secondaire disparait bien avant la fin de sa séquence attribuée. On voit bien aussi que la plus grande partie de l'énergie produite se situe à l'instant meme du début de la décroissance du champ magnétique.

Le dessin suivant représente les tensions secondaires à vide et en charge.
La tension à vide est de 30 volts avec une bobine de 8 spires. En charge sur la batterie, on voit que la tension secondaire chute en premier de facon verticale jusqu'à 15 volts puis décroit linéairement jusqu'à 12 volts : la tension de la batterie.



Depuis ce test, je m'oriente vers la charge d'une batterie de 24 volts pour diminuer la perte ohmique. C'est une progression lente car tous les paramètres doivent etre recalculés à chaque fois.
A plus..

LABO343 MEG
10 FEVRIER 2010.
Bonjour à tous.

Détermination du début de l’existence de l’intensité secondaire.

Supposons que la bobine secondaire contienne 28 spires, comme dans le test
http://www.youtube.com/watch?v=pSZMu6bDH5M . La tension initiale à vide est de 68 volts.

On connecte cette bobine sur une charge strictement ohmique de 5,75 ohms. Cela correspond à deux ampoules de 12 volts et 50 watts à incandescence connectées en série.

L’intensité initiale qui va traverser le circuit secondaire sera de 11,82 ampères. Cela va créer un champ magnétisant initial de 331 ampères tours dans la bobine secondaire.

La bobine secondaire est placée à coté de la bobine primaire et sur le même circuit magnétique. A l’instant de la déconnexion de la bobine primaire, une intensité de 32 ampères traversait cette bobine. Cela créait un champ magnétisant de 640 ampères tours car la bobine primaire contient 20 spires.

Supposons que le circuit magnétique soit symétrique dans sa transformation du champ magnétisant en induction magnétique effective. Ce circuit magnétique mesure un mètre de long. L’induction magnétique primaire atteindra 1,37 teslas. L’induction magnétique créée par la charge secondaire atteindra 1,20 teslas. Cela suppose que le circuit magnétique ne comporte aucun entrefer et que le matériau utilisé est de la tôle au silicium.

L’induction magnétique créée par la charge secondaire s’oppose à la décroissance du champ magnétique créé par la bobine primaire. Si le champ de contre effondrement secondaire était égal au champ décroissant primaire, la décroissance du champ résultante serait égal à zéro. De ce fait, la tension issue de la décroissance d’un champ zéro sera égale à zéro. De ce fait, l’intensité qui passe dans la charge est aussi égale à zéro. De ce fait la « contre suppression » du champ primaire est elle-même supprimée. La conséquence de cet enchainement instantané est que la tension secondaire initiale chute à la verticale, c'est-à-dire
« sans exister dans le temps ».

L’intensité secondaire « prend existence dans le temps » à partir du moment où l’induction magnétique de « contre effondrement » est inférieure à l’induction magnétique du champ magnétique initial. Si l’effet de la réluctance du circuit magnétique est identique pour le champ magnétisant croissant primaire et pour le champ de contre effondrement secondaire, alors, il suffit de comparer les champs magnétisants pour définir le début de l’existence de l’intensité secondaire.

Dans le test mentionné ci-dessus, il n’y a donc pas de chute verticale initiale de la tension secondaire. Par contre, dans le test à « écho positif » il y a chute verticale de cette tension secondaire. On passe de 30 volts à 15 volts « de façon instantanée ». Cela signifie qu’il faut descendre à 15 volts pour que l’intensité secondaire puisse commencer à exister dans le temps. Cela signifie qu’à 30 volts, le champ de « contre effondrement » est supérieur ou égal au champ magnétique initial.

La question qui se pose alors est : «dans le cadre du test à écho positif, à quel moment se perd le rendement de 100% obtenu lors du test à charge purement ohmique ? »

Je pense que le système à écho positif ne peut pas générer de lui même une
« pente de tension secondaire » issue directement de la tension crête à vide.
La surunité est conditionnée par une pente de tension secondaire qui se rapproche de la pente de tension à vide. Le test à écho positif ne semble pas pouvoir éviter une chute de tension initiale verticale.

L’usage d’un condensateur comme réceptacle de la charge, présente le même problème que la batterie : le produit « n x i » initial est beaucoup trop élevé. La conséquence est que la chute verticale de la tension secondaire correspond à une disparition équivalente du champ magnétique « sans production » d’énergie. Là se trouve la clé de la perte du rendement entre le test purement ohmique et le test d’écho positif. Lorsque la tension secondaire se met à exister, une partie de l’énergie due à la décroissance du champ magnétique est perdue.

Il faut donc absolument éviter la chute verticale de la tension secondaire.

Pour réussir le bouclage de l’énergie sur la batterie, il faut donc un limiteur d’intensité crête non ohmique et sans pertes placé sur le circuit secondaire. Cela permettra de retrouver le bon rendement du test purement ohmique.

A plus…

LABO343 MEG
11 FEVRIER 2010.
Bonjour à tous.
Calcul d’une « résistance électronique sans pertes » dans le cas du test à écho positif.

Pour débuter le calcul, on va utiliser l’exemple de la bobine secondaire de 28 spires qui débite sur une résistance purement ohmique. L’intensité optimale est générée par une résistance de charge de 5,75 ohms. Cette intensité de charge crête est de 11,82 ampères pour une tension secondaire crête de 68 volts. Cette intensité crête donne un champ magnétisant de contre effondrement 331 ampères tours. Cette configuration donne un rendement proche de 100%.

Dans le cas du test à écho positif et de la charge de la batterie d’alimentation, le champ magnétisant optimum recherché est donc de 331 ampères tours. La consommation primaire moyenne est toujours de 100 watts. Pour obtenir une charge secondaire de la batterie d’une valeur moyenne de 100 watts, il faut une charge de 400 watts crête. Dans le cadre de la charge d’une batterie de 12 volts, cela donne 33 ampères crête. Avec 33 ampères crête, il faut 10 spires pour obtenir 331 ampères tours de champ magnétisant de contre effondrement. Nous sommes donc obligés d’utiliser une bobine secondaire de 10 spires mais pas de plus, sous peine de provoquer une chute verticale de la tension secondaire par excès de champ magnétisant de contre effondrement. Supposons que 10 spires fournissent une tension à vide de 35 volts. La chute de tension vers 12 volts sera de 23 volts. La « résistance non ohmique » nécessaire serait donc de « 0,7 ohm » pour obtenir une intensité crête de 33 ampères. La puissance de charge moyenne sera de 12 volts et 8,25 ampères, soit 99 watts.

Le problème, c’est qu’une « résistance non ohmique sans perte », cela n’existe pas. Par contre on peut très bien contrôler une intensité sans pertes. Cela se pratique dans tous les amplis audio. Il suffit alors de considérer que l’intensité secondaire crête sera de 33 ampères et qu’elle devra décroitre linéairement jusqu’à zéro en un peu moins de 3,75 millisecondes.
Avec ce calcul, nous sommes dans le cadre de « l’unité ». Pour aller vers la surunité il faudra pouvoir produire plus que 100 watts moyens sans que l’induction magnétique produite par un champ magnétisant de contre effondrement supérieur à 331 ampères tours augmente. C’est le rôle du circuit magnétique fractionné.


Dans le cas d’une charge secondaire purement ohmique et si le champ magnétisant de contre effondrement ne dépasse pas 331 ampères tours, la puissance secondaire moyenne sera équivalente au quart de la puissance crête par unité de séquence car la tension et l’intensité disparaissent ensemble. On aura donc une tension secondaire moyenne égale à la moitié de la tension crête et de même pour l’intensité. La puissance moyenne par période est ensuite divisée par deux encore car les deux séquences de fonctionnement du test sont égales.
Ce calcul n’est valable qu’avec la courbe de tension secondaire obtenu dans le test
http://www.youtube.com/watch?v=pSZMu6bDH5M car c’est une quasi ligne droite dont le point de chute se situe immédiatement avant la connexion primaire suivante.

Le problème du test « purement ohmique » est qu’il ne produit que de la chaleur et donc pas d’énergie électrique directement utilisable. Il faut donc suivre la piste de « l’écho positif » pour maitriser l’usage de la surunité.

A suivre…

LABO343 MEG
14 FEVRIER 2010.
Bonjour à tous.

Prisonnier des chiffres.

Je pensais pouvoir trouver simplement un nombre « pile poil » de spires pour la bobine secondaire, dans le cas de « l’écho positif ». La comparaison avec le test purement ohmique m’a montré que dans le cadre de « l’unité », le champ magnétisant secondaire du test devait être initialement de 331 ampères tours et non pas 640 ampères tours comme je l’ai mentionné sur les derniers textes. L’élément pertinent de comparaison est le « n x i » secondaire optimum avéré.

Dans le contexte du circuit magnétique de ce test http://www.youtube.com/watch?v=pSZMu6bDH5M 331 ampères tours est la meilleure valeur obtenue. Une valeur supérieure diminue le rendement en causant l’effondrement vertical initial de la tension secondaire. La conséquence est que la tension secondaire moyenne est diminuée, donc la puissance produite. Une valeur de « n x i » inférieure diminue aussi le rendement car l’intensité moyenne secondaire produite est inférieure et n’est pas compensée par la hausse de la tension secondaire moyenne. De plus, l’extinction du champ magnétique survient bien plus tôt et ainsi l’expression de la puissance moyenne produite se calcule sur un temps plus bref.

Tout semble indiquer que dans le cadre de « l’unité » obtenue avec le test évoqué ci-dessus, la meilleure courbe de tension secondaire est une ligne droite dont l’origine est la tension crête à vide et dont la fin se situe à zéro volt, tout juste avant la reconnexion suivante de la bobine primaire. Cette forme de courbe permet de dire que la puissance crête produite dans le test purement ohmique est égale à huit fois la puissance moyenne produite.

Dans le cadre de « l’écho positif » ce calcul est modifié par le fait que la tension secondaire est quasi immobile, du fait même de la batterie. Dans ce cas la puissance crête produite ne sera que quatre fois supérieure à la puissance moyenne produite. Cela explique pourquoi l’intensité crête secondaire sera de 33 ampères pour charger une batterie de 12 volts avec une courbe d’intensité décroissante en forme de ligne droite et occupant toute sa séquence de connexion. On peut remarquer que je compare une courbe de tension précédente avec une courbe d’intensité actuelle. Cela est possible car la courbe de tension secondaire du test purement ohmique est strictement identique à sa propre courbe d’intensité. En effet, la valeur de la résistance ohmique de la charge est fixe.

Dans le cadre du circuit magnétique de ce test, nous sommes donc condamnés à une intensité crête de charge de la batterie de 33 ampères pour un champ magnétisant secondaire de 331 ampères tours. Nous sommes donc obligés d’utiliser une bobine de 10 spires qui produira une tension secondaire à vide trop élevée pour limiter « ohmiquement » le courant initial de charge à 33 ampères. Voilà le piège.

Si je mets moins de spires pour obtenir le champ magnétisant avec une intensité crête supérieure, je serai censé produire plus que l’unité, dans le cadre du même circuit magnétique. En effet si la courbe d’intensité de charge reste une ligne droite, avec le test de 8 spires, je produis une intensité crête constatée de 102 ampères. Cela donnerait une puissance crête de 1224 watts et une puissance moyenne de 306 watts. Ce n’est pas le cas et l’intensité disparait au bout d’une milliseconde au lieu de 3,75 dans le cas du test purement ohmique. Cela ramène la puissance moyenne produite à 81,6 watts dont il faut retrancher environ 11 watts de perte ohmique. La batterie semble « écraser » le rendement.

Si je reprends le calcul du nombre de spires secondaire nécessaires pour obtenir la tension d’égalisation avec la batterie de 12 volts, je tombe sur le chiffre de 5 spires. Pour obtenir 331 ampères tours avec 5 spires, il me faudra 66 ampères. Le circuit électrique secondaire fait 0,03 ohm. La surtension de charge de pour 66 ampères sera de 2 volts. Grosso modo, il faudra 6 spires pour obtenir ce résultat. Mais 6 spires produiront un champ magnétisant de 396 ampères tours et cela produira en retour un effondrement partiel de la tension secondaire.

Mais le phénomène le plus nuisible est le raccourcissement de la décroissance du champ magnétique à une milliseconde. C’est là que se joue la perte du rendement.
La réponse peut venir de la « pente de tension secondaire inachevée ». Dans le graphique précédent, on peut voir la tension secondaire chuter de 15 volts à 12 volts en une milliseconde. Si l’on fait la projection de cette courbe, on voit que la tension tomberait à zéro après la connexion suivante de la bobine primaire, dans le cadre d’une résistance purement ohmique. Si l’on utilise une bobine avec moins de spires, cette pente sera plus forte et la rencontre avec la tension de batterie sera encore plus rapide. Conséquence : le temps de production en sera diminué et le rendement du test aussi.

Donc, la présence de la tension de la batterie « coupe la trajectoire » de la tension secondaire avant sa fin « ohmique ». Le seul coté positif est que cela éloigne le risque de rétroaction de l’intensité secondaire sur l’intensité primaire. Mais c’est un « petit bien pour un grand mal ».

Je retourne donc vers « l’intensité secondaire contrôlée » par un transistor de puissance. On conservera la bobine secondaire de 10 spires qui permet d’obtenir 331 ampères tours et 400 watts de charge en crête pour 100 watts de charge « moyenne », en supposant que l’intensité « dure » jusqu’à la fin de la séquence de connexion.

Si j’utilise une bobine de 6 spires, il faudra 55 ampères pour arriver à 331 ampères tours.
Mais alors la puissance crête sera de 662 watts et si la courbe d’intensité est rectiligne et dure jusqu’à la fin de sa séquence de connexion, la puissance moyenne produite serait de 165 watts. La surunité sans modifier le circuit magnétique me semble bien suspecte.

Cela me conforte dans l’idée qu’il faut bien examiner ce concept de « pente de tension secondaire inachevée ».

a plus...

LABO343 MEG
18 FEVRIER 2010.
Bonsoir à tous.

Relation entre le champ magnétisant de contre effondrement, la résistance ohmique et sa quasi absence pratique dans la charge d’une batterie.

Le rendement maximum du test http://www.youtube.com/watch?v=pSZMu6bDH5M est atteint avec une résistance ohmique de 5,75 ohms. Cela ne veut pas dire que la résistance ohmique est à la base du rendement mais que le meilleur champ de contre effondrement a une valeur de 331 ampères tours. Ce n’est pas pareil : la résistance ohmique optimale est une condition locale pour obtenir le meilleur champ magnétisant.
Si on peut obtenir le même champ magnétisant autrement, cela amènera le même rendement.

On peut obtenir le champ de contre effondrement optimal à l’aide d’une contre tension qui va limiter la tension secondaire initiale se déversant dans la batterie pour la charger. Au niveau de la charge de la batterie, ce qui compte c’est l’intensité puisque la tension est quasi inamovible. Une self très faible peut obtenir ce résultat. En effet cette self sera placée en dehors du circuit magnétique du MEG et l’effet premier de l’intensité qui la parcourt sera de faire croitre un champ magnétique : il y aura donc une inductance initiale.

On peut donc avoir une tension secondaire initiale de 30 volts avec une bobine de 10 spires et charger la batterie avec une intensité initiale de 33 ampères. On placera en série avec la batterie et la bobine secondaire, une self de 4 ou 5 spires. La limitation initiale d’intensité se fera au moyen de la contre tension initiale et maximale de la self. Le champ magnétique du test est décroissant mais celui qui est créé dans la self est croissant : donc la valeur de sa réactance va baisser avec l’écoulement du temps pendant la durée de la décroissance du champ magnétique du test. La pente de cette baisse peut se régler avec un entrefer variable et donc ajustable.

La question qui va se poser ensuite est la durée de la décroissance du champ magnétique créé par la bobine primaire du test. La tension initiale de 30 volts doit décroitre jusqu’à 12 volts en 3,75 millisecondes et non en une seule milliseconde. Il est possible que la self joue ce rôle de prolongateur d’existence en
« produisant » de l’énergie après l’avoir « consommée » au début de son usage connecté. Après une certaine durée de la connexion de la self, elle va cesser de faire croitre son propre champ. Passé un seuil critique, la self va voir la décroissance de l’intensité qui la traverse compenser la croissance de son propre champ magnétique. Dès cet instant, la self va voir son champ décroitre et donc elle sera le siège d’une production propre d’énergie et donc se comporter en générateur additionnel. La self va prolonger l’intensité secondaire dans le temps. Elle va se comporter comme une espèce d’adaptateur d’impédance à la charge de la batterie. Cela se produira sans perte ohmique car une self de 4 ou 5 spires n’en a pratiquement pas.

Le nombre optimal de spires de la self de limitation d’intensité sera trouvé par approches successives en observant la courbe d’intensité secondaire à l’oscilloscope.

A vérifier et
A suivre…

LABO343 MEG
21 FEVRIER 2010.
Bonsoir à tous.

Ca marche à l’envers !

Suite à l’hypothèse de la gestion de l’intensité secondaire par une self, j’ai fabriqué une belle bobine plate de 10 spires et une self de 5 spires. Pour cela, j’ai démonté un transformateur monophasé de 500 watts (220 / 24 volts) et j’ai viré les bobinages d’origine pour y placer la bobine de 5 spires en « 6 carré ». Je mets tout cela en place et je teste : résultat nul !

L’intensité globale ne recule pas plus grâce à la présence de la self. Pire, le rendement est meilleur sans la self. Donc mon hypothèse de régulation de la durée d’existence de l’intensité secondaire par une self est fausse.

Je remarque cependant que la bobine de 10 spires possède un rendement un peu meilleur que le test précédent en 8 spires. Alors je repense au concept de « pente de décroissance » de la tension et je me dis : « et si ca marchait à l’envers ? ». Si la régulation se faisait en augmentant le nombre de spires de la bobine secondaire ? Je teste donc une bobine de 20 spires pour charger la batterie. Je ne place plus la self. Et hop, ca marche ! Le rendement augmente nettement. La consommation à vide sans la résistance de mesure de l’intensité est toujours de 8,5 ampères et en chargeant la batterie on tombe à 3,5 ampères. Mais surtout on a touché à la durée de vie de l’intensité secondaire ! Sur l’écran de l’oscilloscope on voit bien qu’avec 20 spires la courbe d’intensité secondaire dure bien plus longtemps et que l’intensité crête est bien inférieure. Donc, il faut voir jusqu’ou on peut aller dans ce sens. J’ajoute 4 spires de plus et le résultat s’améliore encore. Mais on voit que la fin de la courbe d’intensité secondaire se rapproche de la connexion suivante de la bobine primaire. Donc on n’ira pas beaucoup plus loin. En effet une spire de plus s’avère être le maximum. Au-delà on retombe dans la rétroaction de l’intensité secondaire sur l’intensité primaire.

Résultat provisoire : le meilleur rendement du système à « écho positif » est obtenu avec une bobine secondaire de 25 spires. La consommation à vide sans résistance de mesure d’intensité à l’oscilloscope est de 8,5 ampères et la consommation en charge tombe à 2,5 ampères. Cette valeur de l’intensité est affichée sur l’ampèremètre à aiguille.

Lorsque la résistance de mesure d’intensité est shuntée, on peut encore avoir une faible lecture sur l’oscilloscope à cause de la résistance propre du contacteur de shuntage. Il apparait que les courbes d’intensité primaire et secondaire sont des quasi clones. Il y a donc un « flou » sur la mesure de l’ampèremètre à aiguille causé par son inertie mécanique face au choc de l’intensité crête secondaire.

Il ne reste plus qu’à trouver une explication simple à tout cela.

A plus…

LABO343 MEG
22 FEVRIER 2010.
Bonsoir à tous.

Le champ magnétisant initial secondaire et la « pente de décroissance de l’intensité ».

Dans le test http://www.youtube.com/watch?v=pSZMu6bDH5M l’intensité secondaire décroit selon une quasi ligne droite depuis 11,8 ampères jusqu’à zéro. La tension secondaire suit la même courbe de décroissance depuis 68 volts jusqu’à zéro. La charge est une résistance ohmique.

Dans le test à écho positif, la tension secondaire ne peut quasiment pas varier car la résistance ohmique du circuit secondaire est quasi nulle. Il en résulte que seule l’intensité varie. Mais comment ? Evidemment l’intensité crête est générée au début de la décroissance du champ magnétique créé par la bobine primaire. Evidemment l’intensité finale sera zéro et cela avant que la connexion suivante de la bobine primaire ne commence.

Je pars de l’hypothèse que le rendement maximal de ce test ne sera pas supérieur à celui du test utilisant la résistance purement ohmique comme charge secondaire. En effet le circuit magnétique est le même dans les deux tests et je pense que le rendement est donné par son architecture particulière. Conséquence, je recherche un rendement « dans la zone de l’unité » pour une consommation primaire de 100 watts environ. La tension primaire et secondaire étant la même, il suffira que les courbes d’intensités soient identiques pour obtenir le rendement recherché.

La courbe d’intensité secondaire doit donc avoir le même pic, la même durée et la même rectitude que celle de l’intensité primaire consommée. Sauf que dans le cas de la courbe secondaire, le tracé sera à l’opposé de la courbe d’intensité primaire : « en dessous de la ligne zéro » de l’oscilloscope.

C’est là que se situe le plus curieux : la « pente d’intensité » est fonction du
« n x i » initial. Si je prends l’exemple du test ohmique, un « n x i » initial de 331 ampères tours « produit » une pente d’intensité « qui arrive pile » à la fin de sa séquence de connexion attribuée.
Dans le cas du test ohmique, le « n x i » initial est donné par l’intensité crête qui traverse la résistance ohmique et par le nombre de spires.

Si l’intensité secondaire disparait avant que la tension secondaire disparaisse, l’objectif des courbes est bousculé. C’est ce qui se passe en chargeant une batterie. L’intensité secondaire disparait alors que la tension secondaire existe toujours. Donc une courbe identique à celle du test ohmique va « tomber à zéro ampères » avant la fin de sa séquence de connexion. C’était le gros problème. Or il se trouve que la variation du « n x i » initial entraine une variation de la pente de la courbe d’intensité. Il a donc suffi de suivre cette piste pour accéder à la courbe d’intensité secondaire « qui remplit tout son temps attribué ». Ce qui m’a le plus étonné c’est que la pente d’intensité optimale a été obtenue en augmentant « n ». L’observation commande à tout et il faut suivre la piste du réel.

Voilà comment je pense que cela se passe : la bobine secondaire du test à écho positif contient 25 spires et possède une tension secondaire initiale de 61 volts environ. Dès l’instant du début de la décroissance du champ magnétique, le champ magnétisant secondaire initial est énorme et fait chuter verticalement la tension secondaire jusqu’à la valeur critique d’apparition de l’intensité secondaire initiale. La tension secondaire chute donc verticalement jusqu’à 13 volts et l’intensité secondaire crête de 34 ampères apparait « dans son existence temporelle effective ». Je prends pour mesure de la résistance ohmique secondaire totale la valeur de 0,03 ohm. Par la suite, la bobine secondaire de 25 spires possède une
« capacité de diminution de la pente d’intensité » telle que l’intensité zéro est atteinte juste avant la fin de la séquence de connexion secondaire.

A plus...
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