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Ecrit le: Vendredi 27 Août 2010 à 14h26
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Expert(e) ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 ![]() |
LABO343 MEG
27 AOUT 2010. Bonjour à tous. Rendement de la bobine primaire. Je fais une mesure de la bobine primaire en 200 hertz sous 12 volts. La bobine primaire contient 20 spires. L’intensité moyenne est de 7 ampères et l’intensité crête atteinte en fin de connexion est de 28 ampères. Le champ magnétisant atteint est donc de 560 ampère tours. Ce champ magnétisant est atteint en 2,5 millisecondes. Cela représente une énergie consommée de 0,21 joule. Le rendement énergétique est de 0,375 millijoule consommé par ampère tour atteint. Je fais une mesure identique avec une bobine de 25 spires. Je cherche la comparaison du champ magnétisant car il est le pivot de l’énergie dans mon test MEG. J’alimente la bobine de 25 spires en 12 volts sous 150 hertz. L’intensité moyenne consommée est de 5,5 ampères et l’intensité crête atteinte en fin de connexion est de 22 ampères. La durée de connexion est de 3,75 millisecondes. L’énergie consommée pour atteindre 550 ampère tours est de 0,247 joule. Le rendement énergétique est donc de 0,45 millijoule consommé par ampère tour atteint. Conclusion : le rendement de conversion n’est pas une constante et la baisse du nombre de spires de la bobine primaire favorise la baisse de la consommation pour un résultat magnétique donné. A plus… |
Ecrit le: Samedi 28 Août 2010 à 10h10
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Expert(e) ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 ![]() |
LABO343 MEG
28 AOUT 2010. Bonjour à tous. Le champ magnétisant crête, pivot du bilan d’énergie. Dans le test MEG à écho positif, le niveau de l’induction magnétique atteint en fin de séquence de connexion de la bobine primaire définit la quantité d’énergie disponible dans la bobine secondaire. Cela est vrai pour un circuit magnétique donné et un circuit électrique de charge secondaire donné. En l’absence de charge secondaire, le niveau d’induction magnétique atteint n’a aucune importance. Pour un circuit magnétique donné, l’induction magnétique atteinte est simplement fonction du champ magnétisant atteint par la bobine primaire. Le champ magnétisant est le produit « n x i ». Si le circuit magnétique n’est pas saturé et si la résistance ohmique du circuit de la bobine primaire est insignifiante, la progression de l’intensité primaire sera linéaire. De ce fait on peut en déduire l’intensité crête en fonction de l’intensité moyenne. Il suffira de multiplier l’intensité moyenne par 4 au cas où la séquence de connexion de la bobine primaire est égale à la moitié de la période de fonctionnement. La progression linéaire de l’intensité primaire s’observe à l’oscilloscope. Dans le cas d’un test précédent, la puissance secondaire produite était de 100 watts sur deux ampoules de 12 volts et 50 watts en série. Cette puissance entrainait une durée d’existence de la tension secondaire de 3,75 millisecondes, correspondant à la fréquence de fonctionnement de 150 hertz. La durée de la séquence de connexion primaire était identique. Mais si on arrive à obtenir le même champ magnétisant primaire en moins de temps, on devra tout de même respecter le temps d’existence secondaire sans le modifier. En conséquence il faudra utiliser un générateur de signaux carrés à rapport cyclique variable pour diriger le relais statique de la bobine primaire. J’avais utilisé ce générateur particulier dans le passé pour compenser la « queue d’existence de la tension secondaire » en l’absence d’entrefer. Dans ce cas le résultat n’était pas bon car la « fin de vie » de la tension secondaire se déroule en l’absence presque complète de puissance et le rendement total en est abaissé. Donc le prochain test sera l’usage d’une bobine primaire de 15 spires et l’achat d’un générateur de signaux carrés à rapport cyclique variable. A plus… |
Ecrit le: Lundi 13 Septembre 2010 à 07h42
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Expert(e) ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 ![]() |
Bonjour à tous.
La différence entre la baisse du nombre de spires primaire et l’augmentation de l’épaisseur des entrefers est qu’il n’y a plus de limite théorique à l’amélioration du rendement. Il n’y a que la limite créée par la performance du relais statique qui contrôle la bobine primaire. Il y a aussi la perte ohmique qui va réapparaitre si l’intensité crête augmente beaucoup. La part du temps « tombe plus vite » que la part de la puissance n’augmente pour un même « n x i » en baissant le nombre de spires primaire. C’est une clé. |
Ecrit le: Lundi 13 Septembre 2010 à 11h19
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![]() Expert(e) ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 ![]() |
Hello Labo
![]() Et si on essaie avec une spire en tube de cuivre refroidi à l'eau dans laquelle passe 500 A en 1,2V ? A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Lundi 13 Septembre 2010 à 12h17
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Expert(e) ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 ![]() |
Rebonjour à tous.
Bonjour Amateur. clé de surunité. La question n'est pas la tension d'alimentation mais la vitesse d'obtention de l'intensité crete. La contrepartie c'est la nécessité d'accepter une intensité crete énorme. En conséquence il faudra encore soigner la section des cables d'alimentation et aussi la très faible résistance interne de la batterie, sinon il y aura écrasement de la tension aux bornes de la bobine primaire à l'instant de l'intensité crete. Avec une seule spires, je n'ose meme pas imaginer l'intensité crete car pour un meme "n x i" de 640 ampères tours il faudrait donc 640 ampères ! Le mosfet de puissance devra sacrément "assurer" aussi car il va "tourner" à la fois en haute intensité de coupure et en relativement plus haute fréquence. Pour retrouver mes paramètres je vais devoir commencer la recherche à 400 hertz au lieu de 150 hertz jusqu'à présent. Si je connectais la bobine de 15 spires en 150 hertz j'exploserais le relais statique par surintensité à la coupure. Je ne bouge pas la tension d'alimentation car elle ne change rien au rendement. Mon test est déjà "calé" sur 12 volts. Jusqu'alors j'étais persuadé que le nombre de spires de la bobine primaire ne changeait rien à rien : j'étais abusé encore par la formule de l'énergie contenue dans une inductance. Mais là on ne cherche que le champ magnétisant crete obtenu par la bobine primaire et pas une énergie. Que ce champ magnétique crete représente ensuite une certaine énergie produite sur la bobine secondaire, c'est autre chose car il y a le facteur temps qui intervient. En effet la bobine secondaire va toujours "se déverser" dans la charge selon la fréquence de 150 hertz, comme dans le test à écho positif d'origine. La différence sera que la bobine primaire se "chargera" selon une fréquence de l'ordre de 400 hertz et qu'il faudra donc un générateur de signal rectangulaire asymétrique pour gérer tout cela. Si la bobine secondaire "tournait" en 400 hertz il y aurait débordement de la production sur la consommation suivante et retour de la loi de Lenz. A suivre... |
Ecrit le: Lundi 13 Septembre 2010 à 12h59
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Hello Labo
![]() Il y a des modules qui montent à 800A (1600A en pulsé) avec 1,4 milliohms de résistance interne (1spire): http://pdf1.alldatasheet.com/datasheet-pdf...EC/PHM8001.html Des 300A, 3,5 milliohms, pour un prix moyen abordable (2spires): http://cgi.ebay.fr/Semikron-SKM313B010-SEM...=item2c55e36ff4 Et des 100A, pas chers (6spires): http://cgi.ebay.fr/SPB100N03S2L-03-N-Ch-30...=item587b0f87b4 http://cgi.ebay.fr/Power-MOSFET-CSD16401-1...=item2a0a163998 http://cgi.ebay.fr/2pcs-New-Original-Fairc...=item2a07634a5b -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Lundi 13 Septembre 2010 à 17h12
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Expert(e) ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 ![]() |
Rebonsoir.
Un autre problème qui se pose aux relais statiques est la fréquence maximum de travail en intensité maximale. Le relais que j'utilise s'arrete à 700 hertz et 80 ampères sous 60 volts maxi. Je me contenterai en premier de vérifier la baisse de la consommation primaire avec une bobine de 15 spires. Mais il me faut recevoir le générateur de signal asymétrique en premier. A plus... |
Ecrit le: Mardi 14 Septembre 2010 à 07h23
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![]() Expert(e) ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 ![]() |
Hello Tous et Labo
![]() Voilà plusieurs generateurs PWM (pulse width modulation, creneaux de tension à largeur variable) qui délivrent directement une puissance conséquente à partir d'une batterie de 12 v et avec variation de 0 à 100% de la largeur du creneau de tension . Fréquence de fonctionnement de 300 à 3000 hz (voir les specifs des différents modeles). Les Amerlos utilisent ça pour produire de l'hydrogene pour leur voiture. http://shop.ebay.fr/i.html?LH_AvailTo=71&_..._arr%3D1&_rdc=1 La bête pour 100 euros: http://cgi.ebay.com/ebaymotors/PWM-PULSE-W...sQ5fAccessories A plus ![]() -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mardi 14 Septembre 2010 à 10h48
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Expert(e) ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 ![]() |
Bonjour à tous.
Bonjour Amateur. Je ne comprends pas ou les americains trouvent le gain avec l'électrolyse. Je suppose que l'énergie de dissociation électrolytique de l'eau n'est pas inférieure à celle de sa recombinaison... En fait les appareils dont tu me parles sont utilisés pour moduler l'intensité de l'électrolyse sans pertes : un espèce d'accélérateur en sorte. Je vais bientot recevoir un générateur de fonction Voltcraft 8202. Je te remercie cependant pour tes adresses. A plus... |
Ecrit le: Mardi 14 Septembre 2010 à 11h21
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![]() Expert(e) ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 ![]() |
Hello Lab's
![]() Voltcraft, oui, c'est du bon ça !! Les générateurs américains doivent être liés aux travaux de Stan Meyer: http://waterpoweredcar.com/stan.html D'après ce que j'ai pu lire ou voir sur ce chercheur qui est mort mystérieusement, il semblerait qu'en faisant une électrolyse dans certaines conditions de résonance de la molécule d'eau HOH, on réussisse à produire énormément d'hydrogène pour peu d'énergie consommée.. Remarque, moi même, j'ai réussi à faire une électrolyse d'eau (avec un peu de sel) avec 0,5 v de tension.. Ce qui est normalement impossible d'après les manuels scientifiques qui disent que la tension mini doit être de 1,48V pour que le bilan énergétique respecte la loi de conservation de l'énergie.. Mais nous savons bien que tous les conspirovnopotes bossent pour démontrer le contraire .. ![]() A plus ![]() -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Jeudi 16 Septembre 2010 à 13h49
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LABO343 MEG
16 SEPTEMBRE 2010. Bonjour à tous. Progression du rendement primaire. J’ai réalisé une bobine de 16 spires car j’avais un peu peur de connecter une bobine de 15 spires au niveau de l’intensité crête. Je cherche un champ magnétisant identique à celui utilisé avant dans le test à écho positif : 640 ampères tours crête. Cela entraine un courant crête de 40 ampères pour une bobine de 16 spires. L’intensité moyenne sera donc exactement de 10 ampères. Je démarre le test à 400 hertz au lieu des 150 utilisés sur la bobine de 20 spires. Surprise : l’intensité est de 4 ampères. Ouf ! pas de problème. Je descends donc la fréquence jusqu’à atteindre les 10 ampères moyens. J’arrive donc exactement à 200 hertz pour avoir le meme champ magnétisant crete de 640 ampères tours en fin de connexion. La durée de connexion primaire est de 2,5 millisecondes. La puissance moyenne consommée est de 120 watts. L’énergie consommée par chaque cycle de croissance du champ magnétisant est donc de 0,3 joule. Or le test à écho positif consommait 8 ampères pendant 3,75 millisecondes à 150 hertz. Cela donne 0,36 joule. La différence de 0,06 joule représente une économie de 16% pour obtenir le meme résultat : 640 ampères tours crete sur la bobine primaire. Or je n’oublie pas que le pivot entre la consommation primaire et la production secondaire, c’est le niveau d’induction magnétique atteint dans le circuit magnétique. Ce niveau d’induction ( en Teslas) est fonction directe du champ magnétisant atteint. Il ne reste plus qu’à attendre l’utilisation du générateur de signal rectangulaire asymétrique pour vérifier le rendement global du test. A plus… |
Ecrit le: Jeudi 16 Septembre 2010 à 16h26
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Expert(e) ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe: Membres Messages: 302 Membre n°: 9914 Inscrit le: 29/03/2010 ![]() |
Bonjour Labo343 !
Je suis de trés prés des résultats. C'est bien de t'être lancé dans ça. J'aurai une question. Utilises-tu un ancien corp en tole fine d'un transformateur pour tes tests ? Connais-tu exactement les caractéristiques du "vrai" MEG qui existe en "sur-unité" ? Te manque t-il des composants pour progresser ? Bonne journée à toi. à bientot ! |
Ecrit le: Jeudi 16 Septembre 2010 à 16h38
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Expert(e) ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 ![]() |
Re bonjour à tous,
bonjour Bicheex. J'utilise un ancien transformateur triphasé de 8 KVA. Mon test est un "vrai MEG" dans le sens ou il y a production d'électricité sans mouvement, en traduisant de l'anglais. La différence avec le test de Bearden est que je n'utilise pas d'aimant permanent dans mon test. Le test de Bearden est pour moi une imposture très médiatisée. La seule présence de bobines à grand nombre de spires et de fil de faible section est le premier indice de la fraude : la perte ohmique y est intolérable. Il me manque un générateur de tension rectangulaire asymétrique et j'en ai commandé un. A plus... |
Ecrit le: Vendredi 17 Septembre 2010 à 07h34
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Expert(e) ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 ![]() |
LABO343 MEG
17 SEPTEMBRE 2010. Bonjour à tous. Réglages en fonctionnement asymétrique. Dans le test avec la bobine primaire de 16 spires, la durée de connexion primaire est de 2,5 millisecondes. La durée d’utilisation de la bobine secondaire reste de 3,75 millisecondes. En effet, dans le cadre du circuit magnétique tel qu’il est dans ce test, le temps de disparition du champ magnétique est de 3,75 millisecondes. Ce temps est aussi fonction des paramètres de la charge secondaire : le retour de l’énergie vers la batterie. Il a été observé qu’une bobine de 25 spires avait un meilleur rendement que la bobine de 28 spires originelle. La consommation primaire moyenne était jusqu’alors calculée en divisant l’intensité crête par 4 car les temps primaires et secondaires étaient égaux. Dorénavant l’intensité moyenne sera donnée en divisant l’intensité crête par 5. Si le signal de commande était symétrique on aurait au primaire une durée de 2,5 millisecondes et en tout 5 millisecondes par période correspondant à 200 hertz. Mais là nous avons en tout 6,25 millisecondes. Donc la consommation moyenne primaire en régime asymétrique sera de 8 ampères et non de 10 ampères comme dans mon tout dernier test ou l’intensité crête a atteint 40 ampères. Nous aurons donc la même consommation de 96 watts à vide que le test précédent à écho positif. Mais là ou cela va changer c’est au niveau de la production secondaire car si elle reste inchangée au niveau de la production par cycle, chacun de ces cycles va être davantage présent dans la production moyenne. Le temps proportionnel de la production par période va être augmenté. Au lieu d’être la moitié de 7,5 millisecondes en régime symétrique, il sera 60% de 6,25 millisecondes. Donc il y aura plus de densité de production secondaire moyenne Sans que chaque unité de cette production secondaire n’ait changé. A plus.. |
Ecrit le: Vendredi 17 Septembre 2010 à 16h10
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Expert(e) ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 ![]() |
LABO343 MEG
17 SEPTEMBRE 2010 B Bonsoir à tous. Vivement le nouveau générateur de signaux asymétriques. J’ai voulu vérifier à l’oscilloscope l’impossibilité de conserver un contrôle symétrique des séquences de connexion et déconnexion. Donc j’utilise le générateur de signaux rectangulaires du test à écho positif d’origine qui envoie un signal symétrique. Le résultat est clair : au niveau de l’intensité primaire la courbe part de zéro ampère et finit à 40 ampères selon une progression linéaire. C’est la preuve que la résistance ohmique du circuit de la bobine primaire est encore faible par rapport à l’intensité crête qui est passée de 32 à 40 ampères. Au niveau de la courbe de l’intensité secondaire je confirme mes craintes. La courbe d’intensité démarre par son maximum mais ne finit pas à zéro, loin s’en faut. L’intensité restante en fin de séquence secondaire est égale encore au moins au tiers de l’intensité crête initiale. Conséquence : débordement de cette intensité restante sur la séquence de connexion primaire suivante et perte du rendement global. L’intensité moyenne du test à vide est de 10 ampères et en charge elle ne tombe qu’à 6 ampères en écho positif à cause de la rétroaction de l’intensité secondaire sur l’intensité primaire. Cela confirme qu’il faut bien utiliser un générateur de signaux rectangulaires asymétriques Pour gérer le relais statique qui connecte la bobine primaire. A plus… |
Ecrit le: Samedi 18 Septembre 2010 à 20h31
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Hello Labo
![]() Oui avec le generateur de creneau assymétrique, tu vas pouvoir régler le temps de chaque séquence.. Un question me turlupine.. Si on fait le test avec des bobines sur air (sans noyau) mais avec un coeff de couplage proche de l'unité .. Par exemple une grande bobine primaire plate cylindrique incluse dans une grande bobine secondaire qui l'engloberait. Qu'obtiendrait on comme résultat? Phi = LxI, H=NI/L Le fer joue t'il un rôle dans ce test (en dehors d'une certaine miniaturisation du montage en concentrant les lignes du champ) s'il s'agit d'extraire de l'énergie de l'ether environnant? A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Dimanche 19 Septembre 2010 à 07h34
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Expert(e) ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 ![]() |
Bonjour à tous,
bonjour Amateur. Un cheval fou. Je viens de recevoir le générateur de signal asymétrique. Aussitôt je le déballe et je remplace le générateur symétrique. Je fixe la fréquence à 200 hertz et la tension de sortie à 6,25 volts, comme celle du générateur symétrique. Contact. 13 ampères ! Donc il y a un problème d’étalonnage avec le générateur symétrique précédent. J’augmente la fréquence pour diminuer l’intensité moyenne et j’arrive à 260 hertz pour rester à 10 ampères « moyens ». Je suis encore en mode « symétrique ». Je teste alors la bobine secondaire en écho positif et pschitt : le fusible de puissance saute. Pourquoi ? Rien n’a changé au niveau du circuit secondaire ni au niveau du circuit primaire. Je change le fusible et je recommence : surintensité de 50 ampères à nouveau en connectant la bobine secondaire. Je rechange le fusible et plus rien : le relais est claqué. 100 euros en fumée. Je vérifie la tension d’entrée sur le relais de commande et elle est correcte. Le sens de connexion de la sortie du générateur ne peut pas être en cause car il y a une diode entre lui et le relais de commande du relais de puissance. Le signal de sortie est rectangulaire symétrique, donc identique au signal du générateur précédent. Quelque chose s’est emballé mais quoi ? J’ai connecté la sortie du nouveau générateur asymétrique sur l’oscilloscope pour voir s’il y avait un problème de forme de signal. Aucun problème de forme de signal n’est apparu : le signal rectangulaire était correct et en mode symétrique les temps étaient bien égaux. Reste à vérifier si 200 hertz du générateur ancien représentent bien 260 hertz du générateur asymétrique et il faudra donc à nouveau étalonner tout le test. Je pense que le générateur neuf est bien étalonné, par nature. Je vais comparer la largeur des impulsions des deux générateurs calés à la même fréquence affichée : cela sera un point de départ de l’enquête… La bobine primaire de 16 spires est un « cheval fou » dont il faudra user avec prudence car le moindre écart involontaire a des conséquences destructrices immédiates. Je pense qu’il faudra utiliser un protocole de test très prudent pour ne pas y laisser le porte monnaie. Alors l’usage d’une bobine à air sans circuit magnétique est bien plus réactive encore, 8000 fois plus en fonction de la perméabilité du fer de transfo non saturé. Bonjour les risques… A plus... |
Ecrit le: Dimanche 19 Septembre 2010 à 08h07
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![]() Expert(e) ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 ![]() |
Hello Labo
![]() Aïe pour le relais.. Plus de 50A au secondaire, ça doit donc être surunitaire: 12V*10A au primaire et 50A voir plus au secondaire !! Essaie d'utiliser le mosfet que je t'avais envoyé. Pour l'étalonnage il doit y avoir un plot d'étalonnage sur l'oscillo (plot de 1000 hz, 2V, sur le mien) Un claquage instantanné n'est il pas dû à une surtension? (utilisation d'une diode en roue libre entre source et drain du relais) Cela peut aussi provenir de la tension appliquée sur la grille de commande du relais statique. Il faudrait la diminuer si c'est possible avec le générateur ou la rendre réglable avec un potentiomètre (pour en mesurer l'influence sur le relais). Elle peut avoir une incidence sur l'état passant du relais. A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Dimanche 19 Septembre 2010 à 11h06
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Expert(e) ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 ![]() |
LABO343 MEG
19 SEPTEMBRE 2010. Bonjour à tous, bonjour Amateur. Surintensité par rétroaction. La surintensité s’affiche en consommation et non en production et elle traverse le relais statique qui ne commande que la bobine primaire. La tension de commande « grille » du relais de puissance n’a pas changé puisqu’elle est donnée par un autre relais statique : le relais CLARE LCC110S. Ce relais intermédiaire agit en commande d’une tension de 12 volts issue d’une batterie secondaire. Au niveau d’une surtension causée par la coupure de la bobine primaire, elle ne peut qu’avoir baissé par rapport aux anciens tests puisqu’on est passé d’une bobine de 20 spires à une bobine de 16 spires. La bobine de 16 spires est donc une meilleure Protection au niveau du « claquage » du relais par surtension. Le claquage du relais CRYDOM D06D80 est du à une « explosion » de surintensité. N’oublions pas que le circuit de la bobine primaire n’a quasiment pas de résistance ohmique et que toute crête d’intensité accidentelle peut prendre des proportions énormes dès les 10 premières millisecondes. Je pense qu’il s’agit d’une violente rétroaction du secondaire sur le primaire par débordement massif de la décroissance du champ magnétique sur le temps de connexion primaire suivant. L’intensité secondaire se « superpose » à l’intensité primaire à cause de la trop faible durée du temps secondaire. Donc la question de cette durée secondaire doit être au centre du problème. Le signal qui sort du générateur de tension rectangulaire est un courant alternatif, c'est-à-dire qu’il possède une demi alternance positive suivie d’une demi alternance négative. Cela doit être valable pour les deux générateurs. Donc la différence ne peut se jouer que sur la fréquence affichée qui doit différer selon le générateur utilisé. Lors de la reconnexion primaire suivant la première décroissance du champ magnétique, ce champ magnétique n’est pas éteint et la croissance du champ magnétique en est modifiée. En effet au lieu de démarrer de zéro tesla, la bobine primaire démarre d’une valeur existante. Cela entraine une modification de la valeur de la contre tension d’inductance. De plus cela déplace dans le mauvais sens la courbe de magnétisation du circuit magnétique et dès qu’on se dirige vers la saturation la contre tension d’inductance relative diminue et l’intensité augmente d’autant. Dans les tests suivants je devrai faire une place prépondérante préalable au temps de décroissance du champ magnétique. Pour ce faire il faudra démarrer le test obligatoirement en mode asymétrique sur un rapport initial de un à deux et ensuite baisser le rapport en fonction des courbes affichées à l’oscilloscope. A plus… |
Ecrit le: Dimanche 19 Septembre 2010 à 14h51
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Expert(e) ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 ![]() |
Bonjour à tous.
Je viens de découvrir comment l'explosion de l'intensité a eu lieu. C'est à cause d'une surtension depuis le générateur de tension rectangulaire. Le relais LCC110S ne supportait pas la tension qui été appliquée en entrée. La conséquence a été d'abord un comportement anormal puis enfin délirant. J'ai observé sa courbe de sortie à l'oscilloscope et j'ai compris pourquoi le relais de puissance a claqué. Au passage j'ai vérifié l'étalonnage des fréquences entre les deux générateurs et ils sont bien identiques. Donc c'est une connerie de ma part de n'avoir pas vérifié au préalable le niveau de la tension d'entrée du relais LCC110S. J'ai voulu faire comme dans le test précédent et je devais etre à la limite de la surtension. Une connerie qui coute cher. A plus... |
Ecrit le: Dimanche 19 Septembre 2010 à 20h58
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![]() Expert(e) ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 ![]() |
Hello Labo
![]() Reste les mosfets pas chers: http://shop.ebay.fr/i.html?_nkw=mosfet+100...3286.m270.l1313 http://pdf1.alldatasheet.com/datasheet-pdf...0N03S2L-03.html http://shop.ebay.fr/i.html?LH_AvailTo=71&_..._arr%3D1&_rdc=1 Pour le générateur, cette surtension est elle un défaut de fabrication ? Il existe des diodes zeners ultrarapides doubles (qui marchent sur les deux alternances) et qui ecrêtent ce genre de surtension. Je ne souviens plus de leur nom.. Je suis à ta disposition si tu veux commander quelquechose !! A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Lundi 20 Septembre 2010 à 08h30
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Expert(e) ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 ![]() |
Bonjour à tous,
bonjour Amateur. La surtension sur le relais LCC110S est accidentelle. Le générateur de tension Voltcraft permet de régler l’amplitude des signaux de sortie. Donc il me suffira de régler la tension rectangulaire exactement dans la plage admissible des tensions de commande du premier relais. Je suis obligé de reprendre les mêmes relais pour ne pas perdre les paramètres du test. Cela dit, si ca fonctionne comme je le pense, je chercherai ensuite à faire un module de commande complet comprenant des mosfets moins cher. Au niveau de la performance, ce qui compte le plus est la résistance interne d’un tel module. Actuellement le relais CRYDOM D06D80 a une résistance interne de 0,008 ohm. Il faut donc conserver cette valeur ou moins encore si possible. Au niveau du réglage de l’asymétrie des temps de connexion et déconnexion, la plage doit pouvoir aller de un à trois. Au niveau de la fréquence on doit pouvoir se déplacer entre 100 et 500 hertz environ. Il est possible que le test en 16 spires primaire soit légèrement surunitaire puisque le test en 20 spires fricotait avec l’unité. On verra bien. Après cela je testerai un nouveau circuit magnétique, à la lumière des enseignements que m’a donné celui que j’utilise. A plus... |
Ecrit le: Lundi 20 Septembre 2010 à 08h51
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Expert(e) ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 ![]() |
Un dernier détail important.
Les mosfets doivent supporter la tension induite par la coupure dans un circuit inductif. Cette tension se determine au cas par cas. Pour la connaitre il faut la mesurer sur la bobine secondaire. On prend en compte le rapport du nombre de spires des deux bobines et on obtient la tension crete qui existe à l'instant de la coupure de la bobine primaire. Dans le cas de mon test en 20 spires je me trouvais juste en dessous des 60 volts que peut supporter le relais statique CRYDOM D06D80. On comprendra alors que les bobines primaires comprenant de nombreuses spires soient éliminées car la tension de coupure claquera les mosfets. L’adresse http://shop.ebay.fr/i.html?LH_AvailTo=71&_..._arr%3D1&_rdc=1 que tu as donné contient des mosfets utilisables au niveau de la tension de coupure mais il doivent être couplés en parallèle pour obtenir la résistance interne voulue. A plus... |
Ecrit le: Mardi 21 Septembre 2010 à 15h40
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Expert(e) ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 ![]() |
Bonjour à tous.
J'ai recu ce matin le relais LCC110S de remplacement. J'ai vérifié les tensions de commande et pour etre sur de ne rien claquer, j'ai démarré le générateur de signal asymétrique à l'amplitude zéro. Ensuite j'ai augmenté l'amplitude jusqu'à ce que je vois apparaitre à l'oscilloscope le signal rectangulaire en sortie du relais. J'ai mis un marquage au réglage d'amplitude suffisant. Prochaine étape : l'étalonnage en position asymétrique et dans un rapport de 1 à 1,5. 1 étant la durée de connexion de la bobine primaire et 1,5 la durée de sa déconnexion. A plus ... |
Ecrit le: Mercredi 22 Septembre 2010 à 09h09
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LABO343 MEG
22 SEPTEMBRE 2010. Bonjour à tous. Etalonnage de la fréquence asymétrique. J’utilise donc le nouveau générateur de signaux rectangulaires Voltcraft 8202. Je connecte la sortie du relais LCC110S à l’oscilloscope. Je commence par la visualisation de la fréquence propre de connexion du test qui a été définie à 200 hertz, soit 2,5 millisecondes. Cela correspond à 0,6 division horizontale de l’oscilloscope, soit environ deux tiers de division. Ensuite je vais visualiser le rapport asymétrique entre la connexion et la déconnexion. Ce rapport est de 1 à 1,5, correspondant au rapport entre 2,5 millisecondes et 3,75 millisecondes correspondant au temps de déconnexion. Le générateur de signaux va garder ce rapport si on fait varier la fréquence. Pour bien visualiser ce rapport de 1 à 1,5 je cale la fréquence à 40 hertz environ et je fais un marquage sur le bouton de réglage de l’asymétrie. Ensuite je cherche la fréquence qui correspond au temps de connexion de 0,6 division. J’arrive à cette mesure quand le générateur affiche 150 hertz. Cela ne correspond pas au calcul que j’avais fait en ajoutant les deux temps de connexion et déconnexion. Le total fait 6,25 millisecondes pour une période, soit une fréquence de 160 hertz. Je commencerai donc le test en 160 hertz et je verrai ce qu’affichera l’ampèremètre à vide. Il devrait afficher 8 ampères, correspondant aux 10 ampères du dernier test, minorées du coefficient d’asymétrie. J’attends donc de recevoir le relais statique de puissance D06D80. A plus… |
Ecrit le: Jeudi 23 Septembre 2010 à 13h12
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LABO343 MEG
23 SEPTEMBRE 2010. Bonjour à tous. Expression mathématique du rendement primaire. En français cette expression est la suivante : le rendement de la bobine primaire augmente de 16% lorsque le nombre de spires baisse de 20%. Le rendement de la bobine primaire est le rapport de la quantité d’énergie consommée au flux magnétique atteint. Ce rendement n’est pas une fraction car le flux magnétique n’est pas une énergie. Il s’exprimera en wattheures par weber ou en joules par weber. Les fractions de 16% et de 20% sont issues de premières observations et seront précisées. Autant le rendement ne peut pas s’exprimer en fractions, autant la variation de ce rendement le peut, puisque seule la partie énergie consommée est prise en compte pour un flux inchangé. Le seul rendement s’écrit donc : η = J/Wb La variation du rendement s’écrira : ∆ η Le nombre de spires s’écrit : N La relation entre la baisse du nombre de spire et le rendement est : - 20%∆N →+16%∆η J’ai trouvé ces symboles dans Word puis insertion puis symboles. A plus… |
Ecrit le: Vendredi 24 Septembre 2010 à 11h35
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LABO343 MEG
24 SEPTEMBRE 2010. Bonjour à tous. Test avec le générateur de tension rectangulaire asymétrique. J’ai reçu le relais statique de puissance D06D80. Je fais un essai du relais de commande à vide en vérifiant son signal sur un oscilloscope : tout va bien. Le calage de la fréquence à 150 hertz et la proportion de 1,5 à 1 sont bonnes. Je connecte la bobine primaire et l’ampèremètre affiche 8 ampères, comme prévu. Ouf ! Je vérifie que tout est ok et je connecte la bobine secondaire. L’intensité retombe à 3 ampères. Je vérifie les courbes d’intensité sur l’oscilloscope et je constate une chute verticale de l’intensité secondaire initiale. Quelle en est la cause ? Le circuit secondaire est inchangé à part la batterie qui est neuve. Je suppose que la batterie neuve a une moindre résistance interne. La conséquence en est une intensité initiale plus forte et donc un champ magnétique de contre effondrement plus fort entrainant une chute verticale de tension car la tension secondaire est fonction de la vitesse d’effondrement du champ magnétique créé par la bobine primaire. Le problème est que l’essentiel de la puissance récupérable se trouve au début de la phase de décroissance de ce champ magnétique. Dans le test avec les ampoules de 12 volts et 50 watts comme charge, la courbe d’intensité était une quasi ligne droite car la résistance de charge était bien plus élevée que celle de la batterie. Autant la résistance interne de la batterie est un obstacle au rendement primaire, autant c’est le manque de résistance du circuit secondaire qui pose problème. Le problème posé par cet effondrement initial de l’intensité secondaire est que le temps de déconnexion n’est pas entièrement utilisé et que cela cause une perte de rendement. Je fais un test en symétrique et je cale la fréquence à 200 hertz pour éviter une surintensité. La connexion donne 12 ampères ! Je passe donc à 250 hertz et la connexion donne 11 ampères ! Je passe à 350 hertz et la connexion donne enfin 10 ampères. J’en déduis qu’il y a un problème entre les deux générateurs de signal rectangulaires. Seule la position asymétrique permet de retrouver mes calculs. Conclusion provisoire : je dois maintenant travailler sur le circuit secondaire et retrouver une courbe de décroissance de son intensité sans effondrement initial. Pour cela je vais revenir au test dont la charge secondaire est constituée d’ampoules de 12 volts et 50 watts. Ensuite je vais travailler la courbe secondaire, armé désormais d’un générateur de signal qui me permettra de jouer sur les temps respectifs de connexion et déconnexion. La bobine secondaire de 25 spires n’occupe pas toute la durée de déconnexion car sa tension initiale est trop faible. Je vais donc rajouter des spires jusqu’à toucher la fin de déconnexion. J’ai rajouté 4 spires et je suis toujours en égalité de consommation à vide et en charge. Cependant la production a augmenté, comme on le voit sur la courbe secondaire qui occupe tout l’espace qui lui est destiné. Je vais encore ajouter une spire pour voir si je déborde. J’ai remis une troisième ampoule identique aux autres pour faire la comparaison de brillance. A plus … |
Ecrit le: Samedi 25 Septembre 2010 à 17h36
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LABO343 MEG
25 SEPTEMBRE 2010. Bonsoir à tous. Pertes ohmiques dues aux crêtes d’intensité. J’ai observé à l’oscilloscope une chute de tension en fin de connexion de la bobine primaire de 2 volts sur 12 de la batterie. Cette chute de tension de fait selon une « courbe parfaitement droite ». Cela signifie que la tension moyenne appliquée à la bobine primaire est de 11 volts pour une intensité moyenne de 8 ampères. Cela donne une puissance moyenne de 88 watts consommée. La bobine secondaire allume les deux lampes de 50 watts à leur valeur nominale, selon la comparaison de brillance avec une troisième lampe alimentée par la même batterie que la bobine primaire. Je vais rechercher des douilles neuves GU5,3 pour les ampoules à iode que j’utilise comme charge. Cela permettra d’obtenir un alignement parfait des ampoules pour mieux discerner une éventuelle différence de brillance. J’ai l’impression de naviguer autour de la surunité avec la sensation d’être « un peu au dessus ». Si c’est la batterie qui « porte » la perte de tension, il faudra en mettre une deuxième en parallèle. L’idée, c’est que la bobine primaire de 16 spires prend « moins de place » en termes de temps de connexion pour un champ magnétisant final donné et pour une intensité moyenne consommée donnée. De ce fait elle laisse plus de temps à la bobine secondaire. Ensuite ce surplus de temps doit être occupé en augmentant la tension secondaire initiale pour une résistance de charge donnée. Dans la mesure où les deux bobines sont indépendantes, la performance primaire doit servir à la performance secondaire. On augmente la performance secondaire en augmentant le nombre de spires jusqu’à ce que cela ne fasse plus d’effet. La conséquence est d’augmenter la tension secondaire moyenne pour une charge donnée, dans le respect du temps imparti à la disparition du champ magnétique. La performance primaire est atténuée par la résistance ohmique au moment de la crête d’intensité finale. Plus on va vers une bobine primaire à faible nombre de spires et plus il faut de gros câbles, courts et munis de contacteurs à faible chute de tension. De même pour la bobine secondaire, il faudra des gros câbles pour évacuer l’intensité crête. La zone de crête représente l’essentiel de l’énergie produite. La diode de puissance doit aussi prendre « quelque chose » sur la production secondaire. Tous ces détails néfastes enlèvent une partie de la hausse du rendement obtenue en baissant le nombre de spires de la bobine primaire. La chute de tension en enlève la moitié. A plus… |
Ecrit le: Dimanche 26 Septembre 2010 à 12h40
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Bonjour à tous.
A propos de la chute de tension dans le circuit de la bobine primaire. J’ai traqué chaque élément de ce circuit avec l’oscilloscope et voici ce que j’ai trouvé. D’abord la batterie n’intervient que pour presque rien : ouf ! car une autre batterie en parallèle c’est cher. Ensuite le premier câble de liaison entre la batterie et le contacteur : presque rien non plus. Ensuite le contacteur porte fusible : tout s’y concentre. La perte est là. Ensuite le denier câble entre le contact et le relais statique : presque rien. Je reviens sur le contacteur porte fusible et je fais une mesure entre les contacts : un quart de la perte. Reste le porte fusible qui confirme être la plus grande perte de tension. On ne peut pas se passer de fusible sinon on risque de tout perdre en cas de fausse manœuvre. Le hasard veut que j’aie un contacteur de remplacement tout neuf. Depuis son remplacement la tension crête perdue est tombée de moitié. Il me faut donc revoir tous les réglages. A plus… |
Ecrit le: Jeudi 30 Septembre 2010 à 07h41
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LABO343 MEG
30 SEPTEMBRE 2010. Bonjour à tous. Adaptation de la tension secondaire initiale à la bobine secondaire. Le nouveau relais statique D06D80 génère une tension secondaire initiale de 120 volts au lieu des 68 volts de l’ancien relais « claqué ». La bobine secondaire comporte 29 spires et le test ancien de 2009, 28 spires, ce qui ramène la comparaison à 115 et 68 volts. Le rapport de la vitesse de déconnexion primaire générant la tension secondaire est de 1,69 à 1. La tension secondaire moyenne « thermique » en charge du dernier test est de l’ordre de 24 volts, soit 21% de la tension à vide. Dans le test de 2009 cette proportion était de 35%. La courbe de tension produite démarrait pratiquement à raz des 68 volts initiaux dans le test de 2009 alors que là elle démarre au trois cinquièmes de la nouvelle tension, soit 72 volts. Il y a donc une mauvaise courbe de tension secondaire. Il est possible qu’il faille s’en tenir à la stricte égalité des temps de connexion et de déconnexion car il y a une compensation parasite des quantités d’énergie circulantes à cause du passage de la seule période au fonctionnement continu. Dans le cas de la stricte égalité des temps de connexion et déconnexion, il sera possible de valider la performance primaire de l’usage de moins de spires en acceptant d’augmenter le champ magnétisant crête et en augmentant la résistance de la charge secondaire. Augmenter cette résistance permet de raccourcir l’extinction du champ magnétique et donc de rendre la phase de décroissance plus courte sans empiéter sur la phase de connexion suivante. La courbe de tension secondaire sera donc meilleure. J’ai fait un test avec trois ampoules de 12 volts et 50 watts connectées en série et dans ce cas la tension active démarre à 101 volts sur les 120 volts présents à vide. Dans cette hypothèse on peut raccourcir la séquence secondaire d’un tiers car ce dernier tiers est à zéro volt. La comparaison des puissances se ferait alors sur la puissance de 150 watts. Il s’agirait de parvenir à la puissance nominale des ampoules de la charge secondaire avant de consommer 12,5 ampères « moyennes » au primaire. A cette consommation, le champ magnétisant serait de 800 ampères tours. Le but est de retrouver au final le gain de rendement de la bobine primaire de 16 spires. Pour cela il faut travailler sur la courbe de tension secondaire. A suivre… |
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