chercheursduvrai.fr
To view this board in english, you must be registered.

Pages: (87) 1 2 [3] 4 5 ... Dernière » ( Aller vers premier message non lu ) Reply to this topicStart new topicStart Poll

> LABO343's MEG
Ecrit le: Dimanche 24 Septembre 2006 à 18h42 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Membres
Messages: 956
Membre n°: 141
Inscrit le: 01/12/2005



DIMANCHE 24 SEPTEMBRE 2006.
LABO 343 MEG
Expériences sur la puissance et le rendement : suite.
Test de relation entre la résistance de charge et le rendement : j’ai ajouté 2 ampoules de 12 volts 20 watts en série avec celle qui est installé comme charge et le rendement est monté à
48%. Je pense qu’il doit y avoir un rapport optimum entre les ampères-tours des bobines de puissance et ceux des bobines de commande. De plus quand on débobine les bobines de commande on change la répartition des ampères-tours au profit des ampères. Ce que j’ai constaté c’est que la résistance de la charge doit augmenter pour augmenter le rendement.
Je suis arrivé à un rendement de 64,89% en ajoutant à la charge une résistance supplémentaire de 33 ohms. La perte ohmique sur les bobines de commande est tombée à 17,86%. En continuant à débobiner je relève l’intensité consommée et me rapproche du seuil d’échauffement des relais statiques. Je change donc de fréquence de commutation et me cale à 50 hz. De plus j’insère une résistance à l’entrée du MEG pour baisser la tension d’alimentation. Ainsi je vais poursuivre le dé bobinage et confirmer ce qui se manifeste déjà, à savoir que la fréquence de travail des bobines de commande est commandée par leur nombre de spires. D’après mes anciens calculs la fréquence de 50 hz correspondrait à un nombre optimal de 30 spires sur les bobines de commande ( pour une carcasse de 29 kilos de fer).
Lorsque je parviendrai à 30 spires je changerai le fil des bobines de commande pour le remplacer par du fil plat de « 10 par 1 mm ». Ainsi la résistance ohmique des bobines de commande sera anéantie. Je pense que l’utilisation des circuits magnétiques en matériaux à haute perméabilité peut permettre d’augmenter la densité de puissance mais pas le rendement.
En effet la haute perméabilité à haute fréquence permet de faire « tourner » une machine en commutation plus rapide et donc d’augmenter la tension de sortie, donc la puissance mais en restant humble devant la nécessité de travailler avec très peu de spires dans les bobines de commande et cela d’autant plus que la fréquence augmentera. Cela posera un problème de commutation de puissance. A suivre.

PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Samedi 30 Septembre 2006 à 22h24 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Membres
Messages: 956
Membre n°: 141
Inscrit le: 01/12/2005



27 SEPTEMBRE 2006.
LABO 343 MEG
Modification de la constante de temps des bobines de commande, suite.
Procédé : je débobine de 5 en 5 spires et je mesure la fréquence de commutation optimale,
La puissance d’entrée, la puissance de sortie, la tension de sortie à vide, le courant d’entrée à vide et le rendement. Je suis arrivé à 50 spires restantes sur les 200 initiales. La fréquence optimale de commutation est de 100 hz. Je m’arrêterai à 30 spires et je changerai le fil des bobines. L’appareil fonctionne bien en dessous de la fréquence optimum et mal au dessus.
L’intensité d’entrée à vide augmente en débobinant, ce qui a l’air logique puisque la réactance
D’inductance est liée au nombre de spires (mais elle augmente avec la fréquence). Bon jusque là on suit…Mais ce qui me tracasse c’est la perte claire de rendement quand on baisse le nombre de spires des bobines de sortie : la résistance ohmique baisse et le rapport n x i ne change pas. On dirait que la machine « cherche » plus de spires à la sortie. Je vais en rajouter
Pour voir. L’intensité d’entrée à vide ne suit pas la tension d’entrée (à fréquence égale) : je trouve 0,52 ampères pour 3 volts et 1,2 ampères pour 12 volts (et tension de sortie à vide de 57 volts). Hypothèse : une relation positive entre le nombre de spires des bobines de puissance, l’aimant permanent et le rendement. Dans le cadre d’un transformateur classique c’est absurde : l’augmentation du nombre de spires peut être nécessaire pour obtenir une tension donnée mais un nombre élevé de spires c’est une résistance ohmique plus élevée donc une perte.
30 SEPTEMBRE 2006. 40 spires aux bobines de commande.
J’ai rajouté 100 spires à chaque bobine de puissance, obtenant un total de 417 spires par bobine. Je passe sur l’énumération fastidieuse des chiffres de résultats. Il apparaît que l’augmentation du nombre de spires des bobines de puissance fait « bouger »nettement le rendement vers le haut.
La baisse du nombre de spires des bobines de commande permet de commuter
Pleinement à fréquence plus élevée et donc d’augmenter la tension de sortie donc la densité
De puissance du MEG. A 100 hz , 40 spires des bobines de commande et 417 spires des bobines de puissance la tension de sortie à vide est de 120 volts pour 12 volts à l’entrée des bobines de commande. L’intensité d’entrée à vide est de 2 ampères sous 12 volts : c’est une perte importante et si elle n’est qu’ohmique le passage au fil large la fera baisser. A suivre.
PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Mardi 03 Octobre 2006 à 23h03 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Membres
Messages: 956
Membre n°: 141
Inscrit le: 01/12/2005



3 OCTOBRE 2006.
LABO 343 MEG

Essai avec les bobines de commande en 10/1.
28 spires pour 0,017 ohms. Perte ohmique sous une intensité de 10 ampères : environ 1,5%.
Tension de sortie sous 12 volts d’alimentation : 150 volts avec une fréquence de commutation de 100 hz. Courant d’entrée à vide : 4 ampères sous 12 volts. Le risque de surchauffe des relais statiques m’oblige à imaginer un système rapide de mesure à pleine charge pour déterminer le rendement. Ca commence à galoper. A suivre.
PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Vendredi 06 Octobre 2006 à 18h13 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Membres
Messages: 956
Membre n°: 141
Inscrit le: 01/12/2005



6 OCTOBRE 2006.
MEG LABO343
Grillage des relais des bobines de commande. Le risque avec des bobines de très faible
Résistance c’est le trop fort courant en cas d’incident de commutation. C’est fait : les relais sont « HS » et j’en ai commandé d’autres capables de supporter 80 ampères. La très faible
Perte ohmique repose le problème de la consommation à vide. Ou passe l’énergie ? Dans les
Pertes du fer par courants de Foucault ? Pas dans une telle proportion : 4 ampères sous 12 volts pour des bobines de commande de 28 spires et 0,017 ohms de résistance sous une fréquence de commutation de 100 hz. De plus on n’est pas dans du courant sinusoïdal,
on ne peut donc pas parler de déphasage. à suivre..
PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Jeudi 12 Octobre 2006 à 20h00 Posted since your last visit
Quote Post


Administrateur
******

Groupe: Administrateurs
Messages: 5756
Membre n°: 1
Inscrit le: 04/08/2002



Tu es un charné. Mais je n'arrive plus à suivre.... as-tu mesuré à un moment quelque chose de surunitaire? Tu te diriges vers quelle voie avec ces modifs, je veux dire: quelle est ton idée directrice?


--------------------
"L’homme sage n’est pas comme un vase ou un instrument qui n’a qu’un usage ; il est apte à tout."
"Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu."
Confucius
PM
Top
Ecrit le: Jeudi 12 Octobre 2006 à 22h16 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Membres
Messages: 956
Membre n°: 141
Inscrit le: 01/12/2005



je crois que j'ai trouvé. C'est trop énorme si c'est vrai alors il faut y aller mollo.
Ce que je crois c'est que la présentation du MEG est vraie et fausse à la fois. Je pense que ce système permet des interactions d'énergie dans les deux sens avec un milieu non défini. Apparemment l'info comme quoi les aimants permanents sont très reluctants est fausse. Le chemin à suivre est de trouver une explication cohérente à tout un tas d'observations sur le rendement. Le rendement varie tout le temps. Dans un transfo le rendement varie très peu dans la plage d'utilisation et sa cause principale est la perte ohmique qui augmente avec la puissance. Dans le MEG c'est l'inverse: le rendement augmente avec la charge. Ce qui est sur aussi c'est que le nombre de spires des bobines de commande est la clé de la puissance
avec la tension d'alimentation. L'énergie perdue dans le fonctionnement à vide me fait peur: je ne sais pas en quoi elle se transforme. Pas en chaleur grace au fil de bobinage en 10/1. Sur 4 ampères en 12 volts de consommation à vide il y a une perte ohmique sur une résistance de 0,017 ohms. Ou passe le reste? Pas dans le fer à 100 hertz avec des toles au silicium ou bien si peu. Pas en rayonnement détectable avec un poste radio ou la télé contrairement à l'époque ou j'utilisais des relais à contacts cuivre. Je pense que le flux de l'aimant permanent ne bouge pas, ce qui n'empeche pas le truc de marcher. Les écouteurs de téléphone anciens possédaient un circuit avec aimant permanent et électroaimant superposés, ce qui permettait de restituer le registre sonore sur les deux alternances avec une simple
variation de reluctance. Je pense désormais savoir comment atteindre la surunité.
Ce qui est sur aussi c'est que le MEG suit la logique de construction des oscillateurs: circuits accordés, réactances. Une phrase que je trouve élégante: l'intensité à vide définit la profondeur de dé-réactance indiquant l'énergie gratuite disponible. Peut etre que je me plante mais c'est très excitant. à plus LABO343
PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Vendredi 13 Octobre 2006 à 00h30 Posted since your last visit
Quote Post


Intéressé(e)
**

Groupe: Membres
Messages: 9
Membre n°: 182
Inscrit le: 12/10/2006



Bonjour.

Je suis nouveau dans le forum mais j'essaie de comprendre le fonctionnement du MEG.
De même que Faraday a exécuté une expérience très simple pour démontrer qu'une variation de flux provoque une variation de tension dans une bobine, ce qui débouchât sur de nombreuses applications comme le transformateur ou les machines tournantes, serait-il possible de présenter une expérience simple avec, par exemple, une seule impulsion, de calculer ensuite, oscillogrammes à l'appui, le rendement et tutti quanti. ensuite on pourrait continuer les investigations avec un fonctionnement en régime impulsionnel permanent.
Je pense que se serait plus 'Sioux' et surtout plus formateur. Peut-être ais-je tort mais alors qu'on me le dise.
Aller @ plus et merci pour vos réponses.
BOG571 l'Ingé. icon_razz.gif
PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Vendredi 13 Octobre 2006 à 19h47 Posted since your last visit
Quote Post


Administrateur
******

Groupe: Administrateurs
Messages: 5756
Membre n°: 1
Inscrit le: 04/08/2002



Il est clair que sans analyse de signal en entrée et sortie on ne peut rien prouver de la surunité. Mais là notre ami a l'air de chercher à expérimenter dans diverses voix de test. Si il arrive à en trouver une qui lui conviennr, pourquoi pas aller dans des investigations plus en prorondeur?


--------------------
"L’homme sage n’est pas comme un vase ou un instrument qui n’a qu’un usage ; il est apte à tout."
"Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu."
Confucius
PM
Top
Ecrit le: Dimanche 15 Octobre 2006 à 00h16 Posted since your last visit
Quote Post


Intéressé(e)
**

Groupe: Membres
Messages: 9
Membre n°: 182
Inscrit le: 12/10/2006



Bonjour

C'est vrai, je cherche à trouver une expérience mais je ne sais pas par où commencer. En fait je cherche l'expérience de base qui a amené Bearden et son équipe à fabriquer le MEG.
Ses explications sur l'électrodynamique O3 me sont pour l'instant étrangères car de trop haut niveau.
Et je me pose les questions suivantes :
1- à partir de quel résultat théorique et expérimental a-t-il construit le MEG ?
2- pourquoi, y a-t-il un aimant dans la jambe du transformateur ?
3- est-ce que le flux dans l'aimant est diminué par les bobines de commande ?
4- et pourquoi le serait-il ?
Je crois que la dernière question est à la base du fonctionnement du MEG.

5- pourquoi le matériau du circuit magnétique doit-il être en nanocristalline ?
6- ce matériau possèderait-il des qualités adaptées pour le MEG du genre " temps de rotation de ses domaines de Weiss suffisemment lent" pour ensuite revenir à l'état initial ?
Car je me rappelle une autre expérience celle de Bedini où il est question du temps de relaxation des conducteurs . etc......
Vous voyez où je veux en venir ? Il nous faut ces détails pour pouvoir ajuster nos expériences.
Aller @ + icon_razz.gif
PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Lundi 16 Octobre 2006 à 22h41 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Membres
Messages: 956
Membre n°: 141
Inscrit le: 01/12/2005



LABO343 16 OCTOBRE 2006
bonjour, je réponds sur le champ de l'aimant permanent. Je pense actuellement que l'aimant permanent et la bobine de commande superposent leurs champs magnétiques. Si la bobine de commande droite (par convention) est connectée en opposition au demi flux de l'aimant permanent qui passe par sa "branche" il y a donc superposition. La meme bobine de commande est simultanément soumise à la croissance du champ créé par le courant initial et à la décroissance du champ général passant par sa "branche". Il y a donc réactance et "contre réactance" simultanée, ce qui expliquerait le courant à vide anormalement élevé. La piste que je suis est de vérifier si il y a "liaison" des réactances avec la bobine de puissance mais à l'envers. Je m'explique: au départ il y a une bobine de commande qui est alimentée en courant continu pendant le temps juste nécessaire à l'établissement entier du champ qu'elle peut produire sous sa tension d'alimentation. Le courant est instantané mais l'établissement du champ dépend de l'inductance de la bobine donc en pratique du nombre de ses spires. L'établissement du champ crée dans la bobine de commande un courant de réactance qui limite l'intensité du courant initial. Si la bobine de puissance comporte le meme nombre de spires que la bobine de commande les temps de réaction doivent etre identiques. Alors on aura une réactance de départ annulée par la contre réactance de l'aimant permanent , elle meme annulée par l'action opposée du champ créé par le courant circulant dans la bobine de puissance. Donc la charge en sortie baisserait le courant d'entrée. J'arrive pas à ce résultat mais je m'en rapproche: dans tous mes tests l'augmentation de la charge augmente le rendement ( sauf trop forte charge proche du court circuit). Le meilleur rendement mesuré est de 74% avec une puissance produite de 41 watts et une consommation de 6 ampères sous 9,3 volts. Ce qui est curieux c'est la consommation à vide de 4 ampères: il reste 2 ampères sous 9,3 volts pour produire 41 watts. Le compte n'y est pas. Voila, c'est un peu en vrac pour le moment. à plus...
PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Mardi 17 Octobre 2006 à 22h20 Posted since your last visit
Quote Post


Administrateur
******

Groupe: Administrateurs
Messages: 5756
Membre n°: 1
Inscrit le: 04/08/2002



Citation (BOG571 @ Oct 15 2006, 12:16 AM)
Bonjour

C'est vrai, je cherche à trouver une expérience mais je ne sais pas par où commencer. En fait je cherche l'expérience de base qui a amené Bearden et son équipe à fabriquer le MEG.
Ses explications sur l'électrodynamique O3 me sont pour l'instant étrangères car de trop haut niveau.
Et je me pose les questions suivantes :
1- à partir de quel résultat théorique et expérimental a-t-il construit le MEG ?
2- pourquoi, y a-t-il un aimant dans la jambe du transformateur ?
3- est-ce que le flux dans l'aimant est diminué par les bobines de commande ?
4- et pourquoi le serait-il ?
Je crois que la dernière question est à la base du fonctionnement du MEG.

5- pourquoi le matériau du circuit magnétique doit-il être en nanocristalline ?
6- ce matériau possèderait-il des qualités adaptées pour le MEG du genre " temps de rotation de ses domaines de Weiss suffisemment lent" pour ensuite revenir à l'état initial ?
Car je me rappelle une autre expérience celle de Bedini où il est question du temps de relaxation des conducteurs . etc......
Vous voyez où je veux en venir ? Il nous faut ces détails pour pouvoir ajuster nos expériences.
Aller @ + icon_razz.gif

Ce que je peux te dire de tes questions:

1. je ne sais pas; mais des systèmes comme le MEG avec un coeur magnétique dont on fait basculer le flux d'une branche à l'autre existaient avant le MEG de Bearden et asociés; il y a plusieurs brevets à ce sujet. Mais jusqu'à présent, bien que les inventeurs de ces autres procédés clament leur fonctionnement surunitaire dans leur brevet (on en a un français d'ailleurs aussi, Gallet) personne n'a rien vu de concret en fabriquant le bidule.
Donc il paraît probable qu'un gars de son équipe s'est documenté à ce sujet et ensuite a essayé des modifs autour du thème.

2. L'aimant est sensé être le fournisseur d'énergie du MEG: il est sensé donner l'énergie supplémentaire, qui est pompée dans l'énergie du vide à travers le champ magnétique qui "donne" de l'énergie. En pratique l'explication alambiquée est plus complexe mais ça revient à ça (électrodynamique O3 et version Bearden du pompage d'énergie).

3. c'est le même principe que la démagnétisation d'un aimant: on lui applique un champ contraire. Les vecteurs champs magnétiques s'additionnent vectoriellement,aussi bien lorsqu'on approche un aimant de poles opposés ou lorsqu'on crée un électro aimant avec un bobinage de commande.
Voir mon opinion à ce sujet ici:
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...=findpost&p=575
Toutefois cela ne signifie pas que le flux de l'aimant se déplace d'un côté à l'autre, seulement que la somme des flux de l'aimant et du bobinage de commande donnent un flux plus grand d'un côté que de l'autre (parceque d'un côté cette somem vectorielle donne des soustractions des grandeurs et de l'autre des additions). Cela reste mon point de vue, il peut être faux; toutefois il est appuyé par les expériences que j'ai réalisées sur le MEG qui sont en parfait accord avec ceci. Avec ou sans aimant l'expérience montre qu'il n'y a aucun changement de signal de sortie lorsqu'on envoie des pulsations sur les bobinages de commande. En clair: l'aimant n'a aucune action. Du coup j'ai forgé mon opinion sur ce fait EXPERIMENTAL et non pas basé sur des croyances.

J'aimerais bien savoir si notre ami du labo343 a déjà tenté de réaliser ses mesures avec et sans aimants en parallèles pour observer si il y a une quelconque différence. Pour moi en tous cas il n'y en a pas.

Maintenant est-ce que le flux dans l'aimant change? Celui généré par l'aimantation naturelle ne change pas tant qu'on n'atteint pas la valeur de démagnétisation de l'aimant par un champ extérieur, mais l'effet de flux apparent, somme vectorielle des champs internes à l'aimant et du bobinabe de commande lui changent, là aussi c'est mon opinion; basée par contre sur aucune mesure mais du bon sens. Mais je peux faire erreur.

4. il ne l'est pas, c'est simplement un effet apparent d'addition vectorielle des champs (les champs s'ajoutent en dehors de l'aimant mais aussi dedans).

Pour moi ce n'est pas la question à la base du MEG puisque la question à la base du MEG n'est pas la variation du flux de l'aimant mais la variation du flux dans les branches du coeur magnétique en faisant BOUGER le flux interne de l'aimant d'une branche à l'autre par le bobinage de commande. Et là comme je l'ai indiqué plus haut, mes expériences montrent que non. J'aimerais bien que oui, et si vous voyez une erreur dans mes expériences, je suis preneur de refaire ce qu'il faut pour avancer plus loin.

5. et 6. Le matériau nanocristallin canalise encore mieux les lignes de champ magnétique par un laminage en feuillets au niveau quasi moléculaire plutôt qu'un mlaminage en feuillets classiques dans un coeur magnétique. Plus le laminage est fin, plus de lignes magnétques seront guidées dans le coeur. Donc les lignes de champs de l'aimant s'engouffrent au centre du coeur qui devient un superbe conducteur magnétique et selon Bearden, c'est parceque les lignes de champ sont resserrées au centre du coeur et qu'elles laissent donc une zone de vide magnétique autour (contrairement à un coeur moins puissant qui laisserait quand même quelques lignes de champ éparpillées autour) que l'action du potentiel magnétique permet d'injecter de l'énergie.

Donc selon l'explication de Bearden, le MEG ne PEUT PAS fonctionner si on n'a pas de coeur nanocristallin. Certes, je veux bien. Mais alors le MEG de NAUDIN ne peut donc pas fonctionner, puisque ce n'est pas un coeur nanocristallin. Celui sur lequel j'ai travaillé est la réplique de celui de Naudin, donc pas nanocristallin, et il ne fonctionne pas. Pour moi, si il y a un MEG qui fonctionne quelque part, ça ne peut être que celui de Bearden et pas celui de Naudin, car pour celui de Bearden on peut imaginer que son explication est valide. En tous cas selon son explication, tous les constructeurs de MEG du monde qui n'ont pas de coeur nanocristallin ne peuvent réussir.
Toutefois, le brevet de EBarden et associés ne laisse pas du tout entrevoir la nécessité d'un coeur nanocrsitallin puisque dans le brevet officiel du MEG de Bearden et associés l'explication du fonctionnement du MEG n'a rien à voir avec ce que Bearden explique. Selon cetet explication, c'est le passage du fluc d'une branche à l'autre par les impulsions du bobinage de commande qui sont la cause du fonctionnement du MEG; celle que mon expérience conteste justement

On a donc 2 versions différentes du fonctionnement du MEG par BEarden: celle de Bearden seul sur son site internet et ses publications, et celle de Bearden et associés dans son brevet. Il semblerait donc que ses associés ne soient pas d'accord avec lui sur le principe de fonctionnement, ou alors c'est une stratégie de donner de fausses indications dans le brevet pour que les autres chercheurs indépendants ne puissent pas arriver à reproduire un MEG qui marche.
Alors la seule question d'importance est: en QUOI est construit le coeur du MEG de l'équipe de Bearden. En effet Bearden a d'abord fait circuler une photo du premier MEG; mais par la suite il a fait circuler des photos en plan rapproché d'un deuxième montage de MEG avec oscilloscopes numériques à affichage digital, le montage qui va avec autour, et des batteries en alimentation autonome, etc. Dans les deux cas, en quoi est le coeur du MEG? SI le coeur du MEG n'est pas en matériau nanocristallin, alors l'explication de Bearden est totalement caduque puisque leur MEG marche selon eux.... sinon personen de ceux qui ont reproduit de MEG ne pourra réussir sans coeur nanocristallin. Savoir en quoi était VRIAMENT fait le coeur du MEG de Bearden (en fait des deux versions de MEG diffusées) permettra de savoir si l'explication du changement des flux peut etre envisagée ou si c'est l'explication alambiquée de Bearden sur le pompage d'énergie adaptée de Sachs à sa sauce qui est envisageable; mais aussi avec quoi fabriquer un MEG opérationnel. La question est simple, mais sans réponse, on peut continuer à chercher des sièclers sans jamais trouver si on n'a pas le bon coeur...

Voilà ce que je pouvais dire au sujet de tes questions!


--------------------
"L’homme sage n’est pas comme un vase ou un instrument qui n’a qu’un usage ; il est apte à tout."
"Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu."
Confucius
PM
Top
Ecrit le: Mercredi 18 Octobre 2006 à 22h53 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Membres
Messages: 956
Membre n°: 141
Inscrit le: 01/12/2005



LABO 343
18 OCTOBRE 2006.
Je vous répond par rapport aux aimants permanents placés en parallèle : le rendement est pire.
Je suis d’accord pour penser que les flux de l’aimant permanent et celui des bobines de commande ne bougent pas. Le résultat de leur superposition est que dans une branche du circuit les flux s’ajoutent et dans l’autre ils se retranchent. Mais ils sont toujours là. C’est la bobine qui indique une somme ou une soustraction. L’observation montre que lorsque la bobine de puissance gauche est soumise à une somme croissante de flux elle génère une tension d’un sens donné et que la bobine droite génère une tension de sens inverse. Cela m’a amené à disposer une diode sur chaque bobine de puissance pour récupérer un courant continu constitué par la suite de deux courants « fractionnés » de même sens. Mais mon « résultat » le plus flagrant c’est d’avoir fait disparaître de l’énergie à défaut d’en avoir encore fait apparaître. Je pense que c’est un procédé réversible comme souvent on en rencontre. J’accumule une somme d’observations sur le rendement en espérant trouver un « fil conducteur ». Au senti je ne crois pas à l’obligation du circuit magnétique nanocristallin en dehors de la baisse des pertes dans le fer. Je répète encore qu’aucun de mes tests n’a le même rendement, ce qui est tout à fait anormal dans un transfo sous alimenté. Normalement la perte à vide s’ajoute à la perte due à la charge : dans plusieurs de mes test la somme de la perte à vide et de la charge est nettement supérieure à la consommation. Bon ça fume.. à plus…
PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Lundi 23 Octobre 2006 à 02h58 Posted since your last visit
Quote Post


Intéressé(e)
**

Groupe: Membres
Messages: 9
Membre n°: 182
Inscrit le: 12/10/2006



Bonjour à tous

Avant de poser d'autres questions théoriques je voudrais savoir si quelqu'un a déjà visualisé, avec une sonde de Hall, la forme d'onde du flux magnétique traversant l'aimant permanent ? Car si le flux magnétique, dans l'aimant, diminue, quand les bobines de commandes agissent, il doit se passer quelque chose d'intéressant quand celui-ci retrouve son flux originel.
@+ icon_razz.gif
PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Lundi 23 Octobre 2006 à 03h00 Posted since your last visit
Quote Post


Intéressé(e)
**

Groupe: Membres
Messages: 9
Membre n°: 182
Inscrit le: 12/10/2006



Pardon j'oublais de remercier Chercheur et Labo 323 pour leurs réponses.
@+ icon_redface.gif
PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Lundi 23 Octobre 2006 à 03h51 Posted since your last visit
Quote Post


Intéressé(e)
**

Groupe: Membres
Messages: 9
Membre n°: 182
Inscrit le: 12/10/2006



Voici un site intéressant dont le principe ressemble beaucoup au MEG (ou inversement) :

http://www.flynnresearch.net/technology/PP...0Technology.htm


@+ icon_rolleyes.gif
PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Lundi 23 Octobre 2006 à 17h23 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Membres
Messages: 956
Membre n°: 141
Inscrit le: 01/12/2005



LABO343
23 OCTOBRE 2006.
Bonjour. A propos du site proposé par BOG 571. Je suis déjà allé le voir. Apparemment ça fonctionnerait par superposition des flux permanents et des flux des bobines. Le système proposé utiliserait la variation de réluctance comme force motrice. Cependant la variation de réluctance produit un contre courant. J’avais fabriqué une sorte de moteur à variation de réluctance en partant d’une dynamo : j’avais enlevé le bobinage du rotor et j’avais conservé le collecteur. La force motrice était fournie par l’excitation du stator en courant continu. Il fallait aussi raboter le rotor pour lui donner un profil discontinu pour permettre la variation de réluctance. La commande des impulsions se faisait en utilisant le collecteur comme une « vis platinée ». Tout ça pour dire que ce montage tournait à 500 tours / minute en 12 volts et pas plus à cause du contre courant induit dans les bobines. Alors l’idée m’était venu de fabriquer la même chose mais en utilisant dans le stator un aimant permanent avec une bobine superposée exactement dessus. A ce moment là je me disais que lorsque la bobine annulerait très précisément le flux de l’aimant permanent, le rotor pourrait s’éloigner de la position d’attraction avec l’aimant sans effort puisque flux zéro = force zéro. De plus la variation de réluctance dans un flux zéro entraînerait un contre courant zéro. Une fois le rotor éloigné de la position d’attraction il suffisait de couper le courant de la bobine et l’aimant permanent attirait le rotor sans énergie extérieure. La seule dépense restante étant la perte ohmique dans la bobine en l’absence de contre courant induit. A l’époque il était presque impossible d’obtenir des aimants permanents : on m’avait demandé une commande de 100.000 unités pour avoir ce que je cherchais ( dans les années 1970). De plus la connexion sans étincelles était alors pour moi une simple vue de l’esprit. Alors ce montage est resté dans les archives jusqu’à l’arrivée d’Internet et du pic Hubbert. L’idée est lancée, à voir…
PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Lundi 23 Octobre 2006 à 19h54 Posted since your last visit
Quote Post


Administrateur
******

Groupe: Administrateurs
Messages: 5756
Membre n°: 1
Inscrit le: 04/08/2002



oui je viens d'aller coir, le principe est encore le déplacement du flux de l'aimant d'un côté à l'autre. Toutefois il y a quelque chose qui me chifonne dans tout ça, comme pour le MEG: le circuit du coeur magnétique agit comme une résistance vis à vis du flux magnétique qui y circule qui lui agit comme un courant.

Je me réfère à l'analogie entre circuit magnétique et circuit électrique; qui est classique en physique. Alors de la même manière que la résistance d'un fil dépend des caractéristiques du fil et pas du fait qu'on y fasse circuler ou pas un courant en sens inverse; la réluctance d'un circuit magnétique ne change pas parcequ'on fait circuler un flux magnétique contraire par des bobinages de commande. La réluctance est une propriété du matériau constitutif du coeur et des éventuels interstices intercalés dedans.
Des flux magnétiques contraires peuvent toujours se cotoyer dans le coeur, même en sens contraire. Au niveau algébrique il suffit de soustraire les flux pour connaître la résultante; mais cela ne veut pas dire qu'on a "bloqué' le passage à un flux par un autre, par un flux additionnel; même de sens opposé, on qu'on l'a dévie de sa course.

C'est l'analogie avec le circuit électrique où on peut faire circuler des courants de sens contraire avec des générateurs de courant en sens inverses l'un de l'autre. Au total on a un courant algébriquement calculé par soustraction; mais on n'a pas empêché le passage d'un courant par un autre contraire; et le courant aurait alors préféré passer par un autre chemin. La résistance d'un fil électrique ne dépend pas des courants qui circulent dessus, heureusement; elle reste constante quand le matériau constitutif du fil ne bouge pas.

Pour moi c'est l'ERREUR FONDAMENTALE à la base du MEG et de ce brevet comme tant d'autre de penser qu'on fait dévier le flux de l'aimant (qui est un générateur de flux constante; analogue à un générateur de courant constant dans un circuit électrique). Pour changer la circulation du flux de l'aimant, il faudrait changer la réluctance, qui , vous pouvez consulter les bouquins de physique; dépend seulement des matériaux et de la section; par exemple en faisant mécaniquement varier un interstice dans un des deux chemins.

Comme le principe de ce genre de brevet est de récupérer de l'énergie par la variation du flux de l'aimant dans une branche ou dans l'autre et que pour moi cette variation n'existe pas... le principe de base est erronné.

On obtient bien, au moyen d'un bobinage primaire correctement calculé, une annulation du flux total d'un côté du circuit magntéique (par soustraction des flux de l'aimant et du bobinage de commande) et une addition des flux dans l'autre branche conduit à un flux supérieur. Toutefois, ceci n'est dû qu'au seul travail du bobinage de commande, donc de l'énergie électrique qu'on dépense pour l'alimenter; et contrairement à ce que je lis partout dans ce cas; on ne récupère pas de travail "GRATUIT" du flux de l'aimant qui aurait bougé en même temps et reviendrait ensuite à son état initial en travaillant pour nous avec de l'énergie en cadeau... parcequ'il ne bouge pas ce flux tout simplement. Le flux de l'aimant ne fait donc pas de travail (au sens énergétique de la physique), ni dans un sens ni dans l'autre; il reste constante dans chaque branche du circuit magnétique tant que sa réluctance ne change pas (et elle ne change pas par ajout de flux dû au bobinage de commande).

Je pense que tant qu'on n'aura pas infirmé ou confirmé clairement ce fait qui est la base de toute machine style MEG pour ce qui est de l'explication annoncée de fonctionnement; on fera des expériences à l'aveugle. Il faut déjà pouvoir répondre à cette question. C'est ce que j'ai fait de mon côté avec mes expériences, après m'être rendu compte de ceci. J'aimerais vraiment que quelqu'un d'autre fasse la même chose pour voir ce qu"il obtient, car je peux toujours avoir fait une erreur de mon côté.

ça veut dire qu'on n'a pas besoin de construire un MEG pour faire ce test; mais vraiment tester si le flux de l'aimant se déplace ou pas; en mesurant l'énergie recueillie lorsqu'on relâche le bobinage primaire. cela peut de faire sur un échelon de tension ou sur un courant sinusoidal, comme on veut. On sait ce qu'on dépense en énergie dans le bobinage de commande pour créer un contre flux. On relâche et on mesure si l'énergie en retour est seulement la variation du flux du champ du bobinage qui retourne vers zéro ou si on trouve une énergie complémentaire qui est due au flux de l'aimant qui s'était déplacé et revient à sa position en même temps. J'ai mesuré aucun supplément d'énergie, la meilleure preuve pour moi étant de faire la mesure avec et sans aimant, avec aucun différence sur les signaux..... preuve qu'on ne gagne ni ne perd rien.

C'est un peu comme si tout le monde faisait des montages sur la chute d'une pierre en supposant que la force de gravité est horizontale au lieu de verticale. On peut mettre toutes les bonnes volontés de la planète à l'oeuvre, à partir du moment où on fait une expérience basée sur un principe physique faux; on n'obtiendra pas ce qu'on veut: la force de gravité est verticale; et c'est avec ça qu'il faut inventer. Ici pour moi c'est un peu ça.

Par contre, il n'est pas exclu qu'un montage style 'MEG' puisse fonctionner en surunité; mais alors ça ne sera pas basé sur l'explication de la circulation du flux de l'aimant; peut être même ça ne sera pas expliqué du tout car on ne comprend rien à ce qui se passe; mais il ne faut pas croire que le montage devrait marcher "en théorie", puisque en l'état la théorie de base est pour moi ARCHI-FAUSSE.

Ce message a été modifié par Chercheur le Lundi 23 Octobre 2006 à 20h04


--------------------
"L’homme sage n’est pas comme un vase ou un instrument qui n’a qu’un usage ; il est apte à tout."
"Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu."
Confucius
PM
Top
Ecrit le: Jeudi 26 Octobre 2006 à 18h27 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Membres
Messages: 956
Membre n°: 141
Inscrit le: 01/12/2005



LABO343
MEG 26 OCTOBRE 2006
Bonjour, une avancée dans le système. En quoi l'emplacement des bobines de puissance est il obligatoire comme celui de Bearden? je viens de faire un test
avec une bobine de puissance "collée" à coté d'une bobine de commande. Je connecte une seule bobine de commande en 100 hertz sous 12 volts, courant rectangulaire, et je branche une charge 12 volts 50 watts (une ampoule). J'obtiens
87% de rendement et toujours cette consommation à vide de 4 ampères sous 12 volts. Là encore la somme de la consommation de la charge et de la consommation à vide est très supérieure à la consommation en charge. La diode sur le circuit de la charge est dans le sens tel que la charge s'oppose à l'annulation du flux de l'aimant par la bobine de commande. à suivre...
PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Dimanche 29 Octobre 2006 à 16h32 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Membres
Messages: 956
Membre n°: 141
Inscrit le: 01/12/2005



LABO343 MEG
dimanche 29 octobre 2006
ci joint une photo de mon dernier test




user posted image
PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Dimanche 29 Octobre 2006 à 18h46 Posted since your last visit
Quote Post


Administrateur
******

Groupe: Administrateurs
Messages: 5756
Membre n°: 1
Inscrit le: 04/08/2002



J'ai demandé:
Citation (Chercheur)
Et vous consommez sur quoi en sortie? C'est pour connaitre l'ordre de
grandeur de la puissance consommée par rapport à l'alimentation.


Labo343 m'a répondu:
Citation (Labo343)
Suite: la bobine "de commande" est alimentée par une batterie de voiture 12 volts 40 ah à travers une résistance de charge de moins de 0,5 ohms. En effet j'ai peur de claquer le relais statique par une surintensité. C'est pourquoi dans mes tests je suis obligé de mesurer la tension d'entrée sur la bobine de commande elle meme. La deuxième bobine , dite bobine de puissance, du meme nombre de spires, "sort" une tension à vide de 13,5 volts pour une fréquence de commutation de 100 hertz en courant rectangulaire ( oui non oui non oui non etc..). Dans ce test il se trouve que la tension sur la charge ( ampoule de 12 volts 50 watts) est précisément 12 volts. Donc je "produis" 50 watts sur ce test du 28 octobre et je consomme 5,5 ampères sous 10,6 volts ( à cause de la résistance de charge) soit 58,3 watts. Mais si je coupe la charge je consomme  5,4 ampères sous 10,6 volts, soit à 0,1 ampères la meme chose et c'est là que ca déraille en matière de physique. La résistance ohmique de la bobine est de 0,017 ohms, ce qui donne une puissance absorbée de 0,51 watts: ou passe le reste? En physique j'ai toujours entendu dire que la consommation en charge s'ajoutait à la consommation à vide. Je pense fermement actuellement que le flux de l'aimant ne bouge pas et que l'anomalie vient d'une certaine facon de superposition des flux magnétiques. Je pense que le grand nombre de spires pour les bobines de puissance est une imposture pour brouiller les pistes. J'ai essayé de placer les bobines sur le noyau central avec l'aimant : zéro, nul, fausse piste. J'ai l'impression d'avoir "marché sur la queue" du monstre mais sans voir sa tete encore. à plus.


Voici mon analyse:

J'ai essayé de dessiner votre montage et d'y réfléchir.
Tout d'abord la puissance dbitée sur la lampe de 12 V, 50W n'est pas 50W parcequ'on alimente en nominal. En effet avec quoi avez-vous pris la mesure?
Je m'explique: P=U²/R où U est la tension CONTINUE et R la résistance. Dans ce cas, si U=12V continu, alors on aurait P=50W oui. Mais U n'est pas en courant continu mais pulsé par une alim en rectangle.

La puissance est alors de P moyenne sur une période=Umax²/(2*R) car la tension est égale à Umax pendant une demi période et de 0 sur l'autre demi; ça c'est si le signal de sortie est rectangulaire. Celui d'entrée l'est, mais pas forcément celui de sortie à cause de l'induction en contre réaction à la coupure du courant.
Bref, si vous avez mesuré Umax=12V (donc si vous avez mesuré la tension maximale de sortie sur l'ampoule) alors la puissance est en fait la moitié de celel que vous pensez.
Par contre si vous avez mesuré la tension efficace (=tension moyenne, celle qu'on mesure avec un voltmètre qui mesure du courant alternatif) vous avez: Ueff=Umax/racine(2) et alors on a bien: P= Ueff²/R qui donne bien 50W).

Précisez ce que vous avez mesuré pour savoir si c'est bien 50W ou 25W qu'il y avait en sortie.

Sinon, pour ce qui est de l'entrée, lorsque le système n'a pas de charge en sortie, l'énergie est rayonnée en énergie électromagnétique dans l'air ambiant; je l'ai expérimenté largement avec des sensations de picotement sur la peau, les yeux, etc et un brouillage intense de la télé, radio et autres appareils (écran d'ordinateur).

Aussi, lorsqu'on met une charge, le flux magnétique est converti en puissance consommée dans l'ampoule de sortie, et très peu est rayonné; lorsqu'on coupe la charge, beaucoup de puissance est rayonnée.

Exemple, en admettant que l'ampoule consomme bien les 50W:

avec charge:
alim entrée: 58,3W = 50W sur l'ampoule + 8,5W pertes(énergie non convertie dans le bobinage de sortie: pertes dans le cycle hystérésis, rayonnement EM)

sans charge:
alim entrée: 57,24W = 57,24W pertes (cycle hystérésis = chauffage du coeur + GROS rayonnement EM).

Pourquoi le rayonnement EM augmente? Le flux qui circule dans le circuit magnétique du coeur ne done pas d'énergie au bobinage de sortie à chaque tour car rien ne consomme puisqu'on coupe la charge. Donc il rayonne à chaque tour du circuit une impulsion EM qui dépend à la fois de la fréquence du courant injecté et de la longueur de la boucle magnétique du circuit (qui est parcouru de courants induits parasites dus aux variations du champ magnétique). Ceci se produit en continu, sans que rien d'autre ne vienne "manger" cette puissance transmise par le circuit de commande, et l'oscillation magnétique et électrique dans le coeur produit des ondes EM qui emportent continuellement de l'énergie.

Par contre, lorsque une charge consomme, à chaque tour du coeur, la variation du flux magnétique donne de l'énergie à la charge qui la pompe allègrement et à fort taux; aussi il reste peu d'énergie non consommée dans le circuit, donc peu d'énergie qui rayonne par le principe précédemment évoqué.

Remarque: à chaque tour du circuit magnétique, le flux variable produit tout de même une induction contre électromotrice dans le bobinage de commande, qui reçoit donc un courant parasite qui s'oppose au courant d'alimentation; surtout très vif lors des "ruptures" rectangulaires. Donc il y a une "contre-réaction" qui s'oppose à l'alimentation et constitue aussi une srouce de consommation d'énergie dans le circuit d'alimentation sous forme d'effet Joule.

Note: vous dites que le bobinage a une résistance de 0,017ohms.
Ceci autorise une puissance théorique absorbable en courant continu de 10,6²/0,017 = 6610W. Evidemment, cela n'est pas physiquement possible puisque le fil brulerait avant et on est limité de toute façon par le débit de la batterie en entrée. Noter qu'en fait la résistance du bobinage change en fonction de la fréquence, on ne mesure plus la résistance mais l'impédance du bobinage (résistance selon la fréquence).

Pour cela il faut connaitre la valeur d'induction L du bobinage de commande (à mesurer par un multimètre RLC par exemple). Mais bon, la puissance pouvant être absorbée à 100Hz reste considérable et aussi ce n'est pas un problème de savoir si le bobinage peut injecter cetet puissance là dans le circuit. Après pour sa consommation, j'ai montré je pense comment cela se perd en rayonnement.


--------------------
"L’homme sage n’est pas comme un vase ou un instrument qui n’a qu’un usage ; il est apte à tout."
"Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu."
Confucius
PM
Top
Ecrit le: Lundi 30 Octobre 2006 à 00h01 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Membres
Messages: 956
Membre n°: 141
Inscrit le: 01/12/2005



Re bonjour.
D’abord au sujet de la tension sur l’ampoule, vu que le courant de sortie est rectangulaire,
Elle a bien été mesurée par un voltmètre à aiguille « métrix » en position « alternatif ».
Comme la tension pouvait être contestable, j’ai fait un test de brillance avec une deuxième ampoule branchée en courant continu. Si la tension réelle était 6 volts la brillance serait effondrée. A 100 hertz le filament de l’ampoule se comporte comme un volant d’inertie thermique et même si la tension de sortie de la bobine est une composition de tensions différentes, la résultante énergétique est claire.

Au sujet de l’énergie EM rayonnée par le test, j’ai eu à le vérifier dans mes tests passés. En effet quand j’utilisais des relais électromécaniques à étincelles il y avait un fort rayonnement
EM qui perturbait ma télé. Mais ce rayonnement était généré par l’étincelle de rupture seulement et lorsque j’ai fait les tests avec les premiers relais statiques ce phénomène a complètement disparu. Depuis il n’y a plus de rayonnement EM dans les fréquences radio ni télé. Il disparaît 50 watts à vide et je vous prie de croire que si ça se retrouvait en rayonnement radio télé j’aurais eu tout le voisinage en ébullition : j’avais fait des émissions
Radio « pirate » en étant ado avec des puissances de l’ordre de 5 watts et cela ne passait pas inaperçu…

D’autre part la fréquence d’utilisation ( 100 hertz) ne peut se développer en rayonnement que si l’on dispose d’une antenne au moins égale au quart de la longueur d’onde. Je vous passe les kilomètres nécessaires pour 100 hertz. Je pense que ce que vous avez perçu était du à la fréquence élevée (de l’ordre des émissions radio) de l’expérience Bearden. Mon test est plutôt comparable au rayonnement des allumages de moteurs à essence : il y a rayonnement par étincelle et si on la supprime on supprime le rayonnement. Au passage je maintiens que je ne crois absolument pas que l’on puisse faire « tourner » une machine aux fréquences annoncées
Par Bearden avec le nombre de spires à la bobine de commande et avec la masse du circuit magnétique proposé. Dans son montage je ne vois pas comment on dépasserait 1000 hertz.

Avec le même circuit magnétique utilisé en 50 Hz classique il n’y a aucune trace de rayonnement puissant.


Au niveau de la résistance ohmique de la bobine qui est de 0,017 ohms, la méthode pour mesurer la perte purement ohmique est de mesurer l’intensité qui traverse cette bobine et de prendre son carré multiplié par la résistance et l’on obtient la puissance purement ohmique perdue. La résistance ohmique ne varie pas avec la fréquence. Ce qui change c’est la réactance d’inductance qui augmente effectivement avec la fréquence. Mais la réactance d’inductance n’est pas une perte.

En ce qui concerne le courant maximum continu « de court circuit » qui pourrait se développer dans la bobine sous 12 volts j’ai calculé qu’il serait de l’ordre de 700 ampères, ce qui ferait encore exploser mes relais statiques ( calibrés pour 80 ampères). Cela m’a donc amené à insérer une résistance de sécurité limitant le courant de court circuit à 50 ampères environ.

L’enquête continue…
PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Lundi 30 Octobre 2006 à 00h12 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Membres
Messages: 956
Membre n°: 141
Inscrit le: 01/12/2005



UN DERNIER POINT
pour le dernier test illustré par la photo, le phénomène remarquable c'est l'ampèremètre
placé en série sur le circuit d'alimentation de la bobine de commande: on allume le MEG sans charge et il dit "x ampères" puis on connecte la charge et pratiquement rien ne change (0,1 ampère pour etre précis). Je ne connais pas beaucoup de systèmes qui ont la meme consommation à vide et en charge. à plus...
PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Mardi 07 Novembre 2006 à 23h35 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Membres
Messages: 956
Membre n°: 141
Inscrit le: 01/12/2005



LABO343
MEG
7 NOVEMBRE 2006.
Une piste à suivre. Les tests que j’avais fait au début montraient que la tension de sortie des bobines de puissance variait du simple au double selon que l’on utilisait une ou les deux bobines de commande en alternance. Or la tension d’alimentation des bobines de commande
Etait la même. Or les bobines de puissance étaient connectées à leur charge commune à travers une diode chacune. Ceci faisant que le courant qui traversait chaque bobine de puissance le faisait lors d’un flux croissant (ou décroissant, au choix) les concernant à tour de rôle. Idée : dans le fonctionnement à deux bobines de commande alternées, le courant passant dans les bobines de puissance va créer un contre flux double de celui utilisé par les bobines de commande pour annuler le champ permanent dans leur branches propres du circuit magnétique général. A ce moment là il y aura création dans la bobine de commande concernée d’une « contre-contre réactance » double de la contre réactance initiale. De ce fait
La charge sur les bobines de puissance diminuerait la consommation initiale à vide. On aurait donc un échange avec un milieu non défini inverse que dans la consommation à vide.
Pourquoi je n’ai pas obtenu jusqu’ alors ce résultat ? Je pense que mon installation ne maîtrise
Pas correctement les temps de connexion adéquats attribués à chaque bobine à une fréquence donnée. Il faut pouvoir doser tout cela avec précision. On utiliserait 4 bobines du même nombre de spires (28 dans mon test). Il y en aurait 2 immédiatement à droite de l’aimant
Permanent et 2 immédiatement à gauche. La bobine de commande pratiquement « collée »
A la bobine de puissance. L’aimant permanent sera situé à l’extrémité du tronçon central du double circuit magnétique, à coté des bobines (comme sur la dernière photo mais en double).
La charge doit correspondre à la consommation d’une bobine à vide. La fréquence du courant
Rectangulaire pour 28 spires avec le circuit magnétique du test sera de 100 hertz. A voir…
PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Dimanche 12 Novembre 2006 à 12h35 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Modérateurs
Messages: 4027
Membre n°: 181
Inscrit le: 07/10/2006



Bonjour à tous,

J’ais pris le temps de lire tous vos posts LABO343 avant d’intervenir.
Tous ce travail accompli force le respect une œuvre monumentale voir écrasante.

Je pratique également cette art mais à un niveau bien inferieur,
je suis également coincé sur le déplacement de ce sacré champ magnétique issue des pastilles de Néodyme bien que les vôtres ressembles plus à des lingots !

J’ai fini par craquer en faisant un circuit simple en U irrigué magnétiquement par une pastille,
Ce circuit étant muni d’un paire de bobine en bout de chaque branche du U lui même fini par
Une pièce polaire de bouclage.
L’objectif étant de mesurer à quel niveau de courant la pièce polaire allait tomber en se décollant par défaut de champ.
L’expérience montre bien que le champ de la bobine soustraie au champ des pastilles car au niveau de courant
Correct la pièce de bouclage n’est plus attirée par le U.
En poursuivant l’augmentation de courant la pièce est à nouveau attiré mais cette fois par le champ des bobines.
Cette expérience m’a été très utile psychologiquement car je commençais à douter qu’une bobine puisse
Contre carré le champ des pastilles.
Durant cette expérience j’ais également mesuré l’intensité du champ entre les armatures, avec une sonde de Hall.
Et il y a bien une variation de l’intensité du champ dans l’aire.
Lorsque le U est bouclé par la pièce polaire l’intensité du champ entre les armatures est faible, voir nul
En revanche il y a augmentation du champ dans l’aire dés lord que le champ ne peut plus se boucler
Dans la pièce polaire en bout de U ceci est très logique et évident mais le fait d’avoir vérifier ces mesures
Permet de se forger une certitude absolue.

Autre point selon l’entrefer que l’on utilise entre le U et la pièce de bouclage l’intensité nécessaire
Pour contrecarrer le champ change.
Sans entrefer la pièce collée direct sur les armatures, demandait 57W pour tombé,
Avec entrefer de 0.34mm 38.4W suffises,
Avec entrefer de 1.4mm 8.25W

L’idéale serait de savoir avec précision se qu’il se passe au sein même du circuit magnétique.
Mais comment introduire un capteur sans changer les caractéristiques du circuit.

On se retrouve confronté aux problèmes d’observation du milieu dont fait état Schrodinger.

J’ai cherché quelques solutions du coté des capteurs magnétos résistifs mais le problème est sensiblement le même.
En faite ce dont nous aurions besoin est un capteur capable de mesurer le champ interne d’un circuit magnétique tout en restant à sa surface.

Notre souci majeur à l’heure actuel est que nous somme aveugle tout comme en électronique avant l’oscilloscope.

Nous somme contraints de travailler par hypothèses toute plus empiriques les unes que les autres.

Un autre point observé concernant les bobine plates ou du moins de longueur très faible vis-à-vis du diamètre,
Elle semble avoir une action locale.
Et selon moi leur l’action consiste en, créer un point de réluctance plus importante à un endroit du circuit magnétique.
Et je pense qu’en aucun cas elle ne réoriente le champ magnétique trop puissant des pastilles.

Vis à vis de cela une hypothèse émerge l’idée viens d’un amis pratiquant également, DARTHMAGNET pour ne pas le cité.

Il nous parle d’effet ressort en équilibre un peut comme une balance de Roberval sur le plateau de laquelle
On à déposé 1 tonne et qu’un simple poussé va déséquilibrer.
Ce qui aide à faire cette hypothèse est un logiciel de simulation qui permet de visualiser assez précisément
Le comportement d’un champ et dans un certain nombre de cas les résultats ne sont pas ce que l’on croyait au départ.

Donc tout ceci nous amène à considérer que la solution se trouve peut être dans le nuances d’intensité de surface,
De longueur de circuit également tout en considérant la réactance des bobines secondaire en débit.

Nous somme dans un système multiparamétrique pour lequel nous avons une visibilité proche de rien.

Mais ceci n’altère en rien notre détermination.

Personnellement j’ai réorienté mes investigations sur la captation du déplacement de flux au travers d’une bobine. Et non plus l’induction directe dans un noyau.

Je ne manquerais pas de faire un rapport sur mes observations en espérant que cela puisse servir à d’autre.

A+++


--------------------
Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
Page YouTube, Page Dailymotion, Album Picasa, La Force contre-électromotrice, simulation magnétique, Viktor Schauberger
PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Dimanche 12 Novembre 2006 à 16h51 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Membres
Messages: 956
Membre n°: 141
Inscrit le: 01/12/2005



12 NOVEMBRE 2006.
MEG LABO 343
Réponse à Quartz.
Bonjour, au sujet de l’aimant permanent que j’emploie il m’est arrivé une petite aventure.
J’en ai commandé 10 et quand je les ai reçus ils étaient séparés par un matériau inerte. J’ai tenté de les séparer sans précautions et j’ai failli y laisser les doigts. Ces aimants ont une force
D’attraction énorme et il m’a fallu utiliser un pied de biche en aluminium pour les écarter. Une fois écartés il a fallu les maintenir isolés dans plusieurs couches de chiffons. Lorsque
Je fais une modification sur les bobines ( photo) je dois démonter la partie supérieure du circuit magnétique tôle par tôle. Pour la remise en place je dois viser juste et espérer…
Je pense actuellement que plusieurs flux « cohabitent » dans le MEG. Au départ
Il y a le flux de l’aimant permanent, bien sur. Le flux créé par une bobine de commande
Se superpose au flux qui circule dans la périphérie du MEG. Supposons que nous connections la bobine droite, c’est à dire la bobine située dans le circuit « droit » du double circuit MEG.
On part du principe que cette bobine développe un flux opposé à celui de l’aimant dans le circuit ou elle est située. Prenons un exemple numérique : la densité du flux dans le noyau central ou se situe l’aimant permanent sera de 1 tesla. Donc cette densité sera de 0,5 tesla
Dans chaque noyau périphérique. Si la bobine de commande crée un flux de 0,5 tesla de densité on aura donc 0 tesla dans le circuit droit car les flux s’opposent. Pourtant les deux flux existent bien individuellement mais la bobine de puissance dira que non. A l’inverse on aura 1 tesla dans le circuit gauche car les flux s’ajoutent. Tant que les flux s’ajoutant ne dépassent pas le seuil de saturation, il n’y a pas de problème. En ce qui concerne l’attraction de la pièce polaire que vous décrivez il est normal qu’elle faiblisse quand l’entrefer grandit. En effet l’entrefer crée une réluctance qui diminue l’induction dans le circuit magnétique. Comme la « force portante » d’un aimant est fonction de l’induction et de la surface, il y a relation entre l’entrefer et la force portante. Concernant les bobines plates mon souci actuel est l’anéantissement de la résistance ohmique. L’avantage de la bobine plate visible sur la dernière photo est sa simplicité de construction ainsi que sa capacité à évacuer les calories sur les cotés. Mes premières bobines de commande chauffaient au bout de 5 minutes. En ce qui concerne la longueur du circuit magnétique, mon dernier test laisse penser que je pourrais
le raccourcir dans sa partie basse : cela diminuerait la réluctance générale. Mais comme on sait pas trop ou on va, on verra plus tard. Concernant la « captation du déplacement de flux au travers d’une bobine », on peut constater que la bobine de puissance n’est pas le siège de la même tension aux bornes selon que l’on actionne une ou les deux bobines de commande. Si l’on actionne une seule bobine de commande en signal carré (oui non oui non) la tension aux bornes de la bobine de puissance( dans l’exemple numérique cité plus haut) est issue de la variation d’un flux de 0,5 tesla et dans le cas contraire (les deux bobines) de 1 tesla. Concernant les réactances, je pense que c’est le centre du problème général. Quand je montre ma dernière expérience aux amis, la tête leur fume… Si je pouvais insérer la vidéo ce serait le top.
12 NOVEMBRE 2006.
MEG LABO343 « MILIEU NON DEFINI » : MND.
Prenons pour démarrer un circuit magnétique fermé, non saturé et soumis à une variation de l’intensité de son flux. Entourons une bobine autour d’un élément de ce circuit magnétique.
Une tension électrique va apparaître aux bornes de cette bobine. Or cette bobine est géométriquement extérieure au flux de ce circuit magnétique. Si l’on approche un bout de fer
De ce circuit magnétique , il n’y a aucune attraction car le flux est entièrement contenu dans un circuit magnétique fermé, non saturé. Pourtant il n’y a aucun doute sur la relation entre le circuit magnétique dont l’intensité du flux varie et la bobine qui l’entoure et ou apparaît une tension. Cette relation n’est pas due au rayonnement car elle ne serait dans ce cas pas réversible. Donc on peut penser que la relation entre le circuit magnétique et la bobine
S’opère à travers un « milieu non défini » que j’appellerai « MND » pour simplifier. On peut
Penser que ce MND est perturbé à l’intérieur du circuit magnétique mais aussi à l’extérieur, du moins immédiat ou proche. Si la bobine n’entoure pas l’axe du circuit magnétique elle sera soumise à une somme de tensions contradictoires à résultante nulle.
PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Dimanche 12 Novembre 2006 à 19h20 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Modérateurs
Messages: 4027
Membre n°: 181
Inscrit le: 07/10/2006



Bonsoir,

Est-ce à dire que le champ n’est pas homogène dans le circuit magnétique ?
Serait’ il raisonnable de parler d’effet de peau magnétique, c’est une hypothèse que nous avons évoqué voilà quelques semaines.

J’ai compulsé une grande quantité de document sans parvenir à trouver quoi que se soit de significatif à se sujet.
La seule piste concerne quelque écrit produit sur les rotors de moteurs asynchrones.
Il est décrit que à une certaine vitesse le champ pénètre de moins en moins dans le rotor.
Les conducteur de la cage d’écureuil ne doivent pas s’enfoncer trop profondément dans le rotor, sinon
Les caractéristiques du moteur varient dans des proportions importantes.

Alors on est assez loin de notre problème, mais c’est tout ce que j’ai trouvé.
J’oubliais un vieux monsieur constructeur de moteur m’a dit également que les meilleurs moteurs,
Avaient une taille de rotor, dont le diamètre était égal à leur longueur.

Toutes ses pistes bien que documentaires n’ont pas permis de répondre à nos interrogations.

Cela dit j’ai imaginé une solution pour mettre en évidence ce problème de pénétration magnétique.
Malheureusement très difficile à mettre en œuvre,
Il s’agit simplement de découper le circuit magnétique en tranches longitudinales de les écarter les une des autres afin de bobiner chaque branche, avec les bobine de blocages
Ainsi la section globale de circuit reste constante mais l’épaisseur de chaque branche étant réduite,
Les bobines installées devraient pouvoir mieux pénétré magnétiquement.

Solution amusante et imparable mais pas exploitable !

Sur ce bon dimanche pour ce qui l’en reste !!


--------------------
Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
Page YouTube, Page Dailymotion, Album Picasa, La Force contre-électromotrice, simulation magnétique, Viktor Schauberger
PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Lundi 13 Novembre 2006 à 00h28 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Membres
Messages: 956
Membre n°: 141
Inscrit le: 01/12/2005



13 NOVEMBRE 2006.
LABO 343 MEG
Réponse à Quartz.
Je ne pense pas à l’homogénéité du champ dans le circuit magnétique. On pourrait imaginer
Le même problème dans un tore. Dans un tore il n’y a pas de coins comme dans les arêtes du circuit magnétique de mon test par exemple. Le champ doit être homogène dans un tore.
En plus si on parle d’un tore statique il n’y a pas de distribution du champ déformé par la vitesse. Dans le cas des rotors à cage que vous décrivez, les bobines (la cage) sont à l’intérieur du circuit magnétique. De même dans les dynamos ou moteurs en courant continu les fils du rotor soumis à la force de Laplace sont « dans » le circuit magnétique. Ce qui me tracasse
C’est le cas exemplaire du transformateur : les bobines sont exactement en dehors du circuit
Magnétique et en basse fréquence (50 hz) le circuit magnétique est occupé dans toute sa section. C’est un exemple de la vie quotidienne banal, un transfo et pourtant on touche l’inconnu. Comment le « vide » séparant un circuit magnétique d’une bobine peut il transmettre une énergie en dehors du rayonnement et de l’induction puisqu’on dit que
Le circuit fermé non saturé est hermétique ? Si le circuit magnétique est « ouvert », c’est à dire qu’il présente un entrefer de dimension non définie : alors tout change car le champ magnétique se répand partout. Mais dans le cas d’un transfo classique, la relation entre le circuit magnétique et la bobine ne peut se concevoir qu’à travers un « milieu » non neutre.
A plus..
PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Lundi 13 Novembre 2006 à 22h47 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Modérateurs
Messages: 4027
Membre n°: 181
Inscrit le: 07/10/2006



Bonsoir,

Là est toute la question et pour le moment même les explications des physiciens sur le sujet sont plutôt confuses.
Les anciens parlaient d’hétère, milieu diffus qui semblait être la pré existence de toutes manifestations
Magnétique lumineuse énergétique matériel et la suite.
Le professeur Vallée appel cela l’espace au sens restreint.

Personnellement je ne souhaite pas m’engager dans cette vois car cela peut nous conduire à des digressions quasi religionnelles.
Mon point de départ restera dans l’observation précise de la création des effets au niveau magnétique et électromagnétique.

Je vais mettre en place quelques tests ayant pour but d’établir une relation quantitative des comportements magnétique entre aimant (Néodyme) et circuit magnétique.
Faire une analyse de l’importance, des sections et des longueurs sans tenir compte des calculs standards.
Le but étant d’obtenir une déduction par relations de mesures.

Car pour le moment les différentes techniques de calcul utilisé ne nous donnent pas les résultats escomptés.

Il ne nous reste plus que le défrichage à la main !!

A+++


--------------------
Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
Page YouTube, Page Dailymotion, Album Picasa, La Force contre-électromotrice, simulation magnétique, Viktor Schauberger
PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Mardi 14 Novembre 2006 à 16h25 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Membres
Messages: 956
Membre n°: 141
Inscrit le: 01/12/2005



14 NOVEMBRE 2006.
LABO343 MEG
Réponse à Quartz.
Bonjour, au sujet de l’action d’un champ magnétique croissant (ou décroissant) sur une bobine extérieure à son circuit magnétique j’amène une précision. Je pars de la simple observation. La question la plus troublante concerne l’action du circuit magnétique (contenant un champ variant) sur la bobine et non celui de la bobine sur le circuit magnétique. En effet
Les lignes de force (du centre) de la bobine entourant un circuit magnétique se superposent à ce circuit si un courant circule dans la bobine. Mais dans le cas contraire, je ne vois rien, tout simplement. Dans le cadre des tests sur une machine comme le MEG, on « s’attend à une relation pas nette avec la notion de vide ». Mais en gardant les pieds sur terre. Je suis obligé de constater que des anomalies apparaissent. Cela ne me dérange pas « philosophiquement »
Et mon attitude est celle du monde de l’entreprise : « si ca marche, on s’en servira. On pourra toujours discuter de l’origine de l’énergie à l’ombre des kilowatts produits ». En attendant
Cette notion de « milieu non défini » est une construction de l’esprit qui peut faire avancer
L’explication du MEG. J’ai un autre concept en ce moment en vue : « l’aimant permanent
Provoque une inversion de polarité d’une des réactances » dans sa position particulière sur le MEG. Je rappelle que j’ai une vidéo en format MPEG 1 de 26 Mo de taille de fichier et de
2 minutes 48 secondes de durée. Cette vidéo montre l’anomalie du fonctionnement égal à
vide et en charge. Si quelqu’un peut me dire ou la placer sur le web, je le ferai. Je peux aussi
envoyer par courrier un DVD – R avec tous mes tests : contact labo343@free.fr à plus.


PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Mardi 14 Novembre 2006 à 19h42 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Modérateurs
Messages: 4027
Membre n°: 181
Inscrit le: 07/10/2006



Bonsoir

Pour ce qui est de la vidéo sur Youtube ou Google Vidéo c’est très simple je vous joins l’adresse
Il suffit de s’enregistrer et de faire un Up load

Je suis impatient de la voir.

http://www.youtube.com/signup?next=/my_videos_upload%3F

https://upload.video.google.com/

A+++


--------------------
Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
Page YouTube, Page Dailymotion, Album Picasa, La Force contre-électromotrice, simulation magnétique, Viktor Schauberger
PMEmail Poster
Top
0 utilisateur(s) sur ce sujet (0 invités et 0 utilisateurs anonymes)
0 membres:

Topic OptionsPages: (87) 1 2 [3] 4 5 ... Dernière » Reply to this topicStart new topicStart Poll

 



[ Script Execution time: 0.2765 ]   [ 13 queries used ]   [ GZIP activé ]