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> Frédéric DUFOURG
Ecrit le: Vendredi 07 Janvier 2011 à 22h58 Posted since your last visit
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Introduction:

Citation (G.Tamos @ introduisant DUFOURG)
Frédéric Dufourg, Alchimiste. Ce qu’il fait, ou mieux ce qu’il a fait à maintes reprises, dit-il, et devant témoins, c’est, jonglant avec les forces brutes de la Nature : de faire sortir et pousser à son gré et à son heure, soit les racines seules, d’une graine, soit la tige seule ; décupler par simple régénération des semences les rendements des, végétaux ; réduire jusqu’au vingtième le temps nécessaire à la croissance des plantes ; renforcer ou redonner, quand elles l’ont perdue leur odeur aux fleurs ; modifier à son gré les couleurs des dites fleurs ; rappeler à la vie des arbres morts ; accomplir enfin et telle que l’accomplissaient les anciens, la palingénésie des plantes.

Ces « miracles », il les obtient grâce à un double fluide, un fluide blanc et un fluide rouge qu’il tire et condense, celuici de la terre, celui-là de l’air.


Il a publié un livre "Les forces de la nature" dans lequel il expose une théorie et des expérimentations qu'il a réalisées; autour de l'utilisation de fluides de l'éther ambiant et leur action sur la pousse de végétaux et autres effets.

Ses théories et "preuves" qu'il leur apporte ne me parlent pas du tout; me paraissant pour beaucoup inexactes et peu logiques; disons pas convaincantes; mais ce n'est pas sa capacité à faire une théorie intelligente qui va m'intéresser; mais plutôt ses résultats expérimentaux.

On peut en effet, partant d'idées et d'intuitions pas forcément fondées sur les explications, avoir une bonne intuition pour la découverte de choses existantes même mal expliquées (cela n'enlève rien à leur existence); réussir à faire des expériences qui montrent une vraie nouveauté et des effets absolument étonnants; et pour moi c'est son cas. Donc en faisant un grand tri dans son livre; entre ce qui est élucubrations du pourquoi et comment ça marche (pas souvent à garder selon moi) et de ce qu'il a expérimentalement obtenu (à garder précieusement) on peut lire son ouvrage avec grand profit.

La lecture me prend du temps; et j'en ai tout juste achevé la moitié; mais je prendrai plaisir à discuter du contenu expérimental de ses travaux ici avec ceux qui l'auront lu (et j'aurais plus de choses à dire probablement quand j'aurai fini la lecture complètement moi aussi).

Chargement:

Table des matières: (92.77 Ko)
Voir le Fichier : FORCES_BRUTES_Table_des_matieres.pdf

Livre: (935.2 Ko)
Voir le Fichier : FORCES_BRUTES_Livre.pdf

Liens provenant du forum:
http://www.esprit-de-la-nature.fr/geobiolo...ature-t381.html

Merci à partage qui m'a fourni le lien vers cet ouvrage faisant un pont avec les travaux entrepris sur Louis BOUTARD.

Ce qui m'a interpellé jusque là:
Ce qui est très intéressant est que Dufourg parle de l'existence sur Terre de deux fluides, l'un ascendant (centrifuge selon ses propos, qui s'éloigne de la source qui l'émet et provient du centre de la Terre) et un autre descendant (centripète selon ses propos).

Ces fluides sont des circulations de "molécules" dont les atomes se "désagrègent" au fur et à mesure de leur ascension; se dématérialisant. Il faut creuser pour comprendre que sa notion de "molécules" et d"atomes" n'est pas la même que celle du vocabulaire actuel. Ses "molécules" sont des assemblages "impondérables" d'atomes; et ses "atomes" sont les constituants de ces assemblages, formant des briques invisibles de l'éther. Ensuite je ne vais pas rentrer dans le détail de sa théorie à laquelle je ne souscris pas dans sa plénitude; mais expérimentalement il a pu démontrer que l'atmosphère, et le sol regorgent de ces fluides qui montent et descendent.

Le fluide montant peut provoquer l'échauffement alors que le fluide descendant peut provoquer le refroidissement (chez Boutard le flux axial descendant provoque aussi le froid). Ces fluides peuvent être condensés sous forme de fluide gazeux visible ou même de liquide (voir ses propositions d'expérience) et ont des propriétés vitales pour la vie en général. Ils permettent de générer la vie et en sont la source d'énergie.

On retrouve les mêmes éléments que dans les travaux de Louis BOUTARD: deux fluides, et ces fluides sont constitués d'éléments de l'éther (ou aether selon Boutard); le descendant pouvant provoquer du froid, comme pour Boutard. L'action de ces fluides, une fois capté; influence la vitalité des organismes (comme Boutard l'a montré aussi).

On est dans le cas d'expériences qui sont en accord convergeant avec ceux de Louis Boutard.

Il capte les fluides par des métaux différents, ayant affinité avec eux. Il utilise par exemple du cuivre et du zinc pour capter séparément les deux fluides dans une expérience servant de base au reste; les mêmes métaux que ceux que Boutard utilise pour capter les atomes R et O de l'aether.

Comme pour Boutard, il indique que les expériences de condensation des fluides d'éther ne peuvent réussir qu'à l'abri de toute lumière.

Comme pour Boutard, les atomes de l'éther sont colorés et peuvent déposer leur couleur (voir expérience des disques de verre colorés); Boutard indiquant que R donne du rouge, O du jaune, I et S du noir et du bleu.

On est vraiment dans des similarités qui démontrent que ces inventeurs ont touché à la même chose; ce qui donne plus de crédit à leurs découvertes.

Comme Louis BOUTARD; certains de ses travaux sont comparables à de l'alchimie et c'est clairement ainsi que veut se présenter Dufourg.

Expériences proposées:

Expérience n°1, page 38 (condensation des fluides en carbure)
Citation (Frédéric DUFOURG)
A cet effet, je creusai un trou dans la terre et j’y plaçai une bouteille en verre transparent, au fond de laquelle j’avais déposé un attracteur végétal, que je remplace par du sel.

J’enfonçai dans la terre un fil conducteur dont je fis aboutir l’autre bout au fond de la bouteille bien bouchée et recouverte de terre.

Après deux jours d’attente, la bouteille était pleine d’un épais brouillard laiteux qui se liquéfia à l’air.
Mon opération alchimique avait pleinement réussi.

Dans l’impossibilité de pénétrer sans danger dans les couches pétrolifères et désireux de rechercher la cause de la formation du pétrole, j’ai fait porter mon expérience sur les fluides magnétiques terrestres les plus voisins de la surface.

Je savais les extraire et les condenser sur l’extracteur en bois et en métal.
Pour m’assurer que de la nature du métal utilisé dépend la nature du fluide extrait, j’opérai avec un extracteur en fer et avec un extracteur en cuivre, enfoncés par un bout dans le sol, séparés de quelques centimètres. C’étaient des fils de soixante centimètres de long et de moins d’un millimètre de diamètre, piqués sur terrain très magnétique, qu’une forte Chaleur d’été rendait plus abondant.

Jugeant que la charge était suffisante après quarante-huit heures, je condensai le fluide sur les extracteurs, ainsi transformés en condensateurs de fluides terrestres, porteurs de la provision d’éléments impondérables à soumettre à l’expérience dans mon cabinet.

Pour disposer chacun de ces fluides à se déverser séparément dans son récipient en verre bien bouché, je fis communiquer les deux bouts de chaque condensateur avec le fond de chaque récipient, préalablement enfoncé jusqu’au bouchon dans de la terre contenue dans un vase, afin de soustraire l’opération à la lumière.
Et j’usai de sel de cuisine placé sous chaque flacon, où il était attracteur du fluide à extraire des condensateurs.

Après trente-six heures d’attente, j’obtins deux liquides.
Un, incolore, qui me servit à produire de la terre végétale dans les conditions que je ferai connaître.
L’autre, vermeil, sur la nature duquel je fis une étude très intéressante dont je ne communiquerai pas les résultats.

J’avais transformé le fluide magnétique terrestre impondérable en deux liquides, dont l’un était inflammable.

Le mystère des huiles minérales au sein de la Terre était percé.
Fort de ce résultat, et convaincu que la liquéfaction des énergies atmosphériques est possible, j’opérai sur eux avec succès à Terijoki (Finlande), quelques années avant la guerre européenne.

J’obtins un carbure, à odeur de naphte, extrêmement puissant, spécialement désigné pour servir à ce moment l’aviation naissante, parce qu’il émane des régions atmosphériques explorées par des hommes d’autant plus hardis qu’ils ignorent les propriétés et les dangers du milieu où ils évoluent.

[...]

Pour produire de la terre végétale vierge, j’ai procédé de la manière suivante :

Dans un verre à pied de forme conique, j’ai déposé du sable fin aurifère, c’est-à-dire du sable contenant des pellicules d’or surnageant un liquide.

Sur ce sable, j’ai versé le liquide incolore obtenu par matérialisation d’un fluide tantôt atmosphérique, tantôt terrestre.

J’ai enflammé ce liquide, qui a produit une couche de fumée sur la paroi intérieure du verre, et j’ai versé le tout dans de l’eau bien cuite.
Sous l’effet de l’eau, une réaction dans l’obscurité se produit et donne de la terre noire végétale, dans laquelle domine l’élément minéral.

On ne peut en connaître les propriétés spéciales qu’après avoir étudié les énergies en cause dans la vie et le développement des plantes.

Evidemment, le sable chauffé et noirci par le carbure – il ne trouble pas l’eau – abandonne l’énergie très précieuse que je lui ai reconnue, et c’est d’un concours d’énergies que naît la terre obtenue.

Mais comme il s’agit en ceci de la recherche des causes, nous n’avons pas à nous étendre davantage sur ce sujet épuisé par le résultat de l’expérience : la production de terre végétale par matérialisation d’énergies.


Expérience n°2, page 41 (impression des atomes colorés sur des disques de verre)
Citation (Frédéric DUFOURG)
Les molécules qu’ils libèrent montent des couches les plus profondes et se déversent dans l’atmosphère.

En les matérialisant sur le parcours accompli avant de voir la lumière du jour, on réalise un phénomène dans l’obscurité, comme s’accomplissent tous les phénomènes de la Nature, à l’exception de la matérialisation des molécules aqueuses.

L’obscurité, plus ou moins complète, est donc une condition indispensable du succès de l’expérience.

Mais encore faut-il que la montée des molécules soit favorisée par la Chaleur de la couche de terre où l’opération est tentée.
Les froids d’hiver y faisant obstacle, l’expérience doit être renvoyée à une époque où la température se prête au résultat.

Ces conditions observées, il faut opposer aux molécules de montée une barrière infranchissable dont le Froid accomplira la matérialisation.

Il faut user d’un écran, d’un disque, sur lequel buteront les molécules auxquelles il servira de support, comme le couvercle d’une marmite d’eau en ébullition fait écran imperméable à la vapeur qui y butte et s’y condense en gouttes d’eau.

L’écran utilisé est formé d’une plaque de verre, mise à plat sur la terre, préalablement bêchée dans le but de la rendre plus perméable aux molécules montantes.

On la recouvre de terre, et on attend six mois, un an et plus, selon la nature du sol et les résultats espérés.

Pour la certitude de résultats variés, on casse avec un marteau des carreaux de vitre, des fonds de bouteille, et on jette des fragments de verre sur la terre, comme si l’on semait à la volée du blé ou de l’avoine.

On les recouvre comme si l’on cultivait une céréale, et patiemment, très patiemment, on attend que la Nature agisse sur les disques de verre comme elle agit sur les graines confiées au sol.

J’ai une collection, très variée dans leurs dimensions, de disques impressionnés par les molécules colorées qui s’y sont matérialisées, et très variées aussi par la couleur des molécules qui y font empreinte.

Ayant opéré sur un sol sableux, donc très perméable, j’ai obtenu des disques diversement colorés ; ce qui prouve que les molécules changent de nature d’un point du sol à un autre point rapproché.

Je n’ai pas seulement obtenu les couleurs franches du spectre solaire : violet, indigo, bleu, vert, jaune, orangé et rouge ; j’ai obtenu plusieurs nuances de chacune de ces couleurs.

J’ai sous les yeux, pour écrire ces lignes, un disque d’environ un centimètre carré de surface, sur quatre millimètres et demi d’épaisseur.

Il est pour l’instant le plus riche de la collection par le nombre des couleurs, par les nuances et par leur brillant : grenat, rubis, rose, vert émeraude, variété de vert, or, bleu, violet, orangé, jaune, indigo, bistre et une couche d’argent mat.

C’est plus que ne donne la prétendue lumière du Soleil décomposée par le prisme.
Sans valeur pour le profane, il est pour l’homme de science d’une valeur inestimable.
Car il n’est pas seulement impressionné sur ses deux faces, il l’est aussi sur ses côtés, la terre ayant été bêchée pour en opérer le déplacement et favoriser l’impression sur toutes ses parties.

Et il est surtout la preuve justificative de la matérialisation d’une variété de molécules colorées avec de brillants effets de lumière.
D’ailleurs toutes les couleurs s’impriment sur les disques dont les arêtes sont impressionnées.

Les conséquences de la matérialisation des molécules colorées sont trop importantes pour en négliger les détails.

Contrôlable par sa matérialité et par la vue directe, ce fait éminemment probant ruine la doctrine par laquelle on croit établir la constitution matérielle du Soleil, auquel on attribue l’origine des couleurs de l’arc-en-ciel, alors que cet astre, superlativement chaud et éclairant, est formé d’éléments immatériels dont nous connaîtrons l’origine et les propriétés.

Lorsque nous en serons instruits, nous saurons pourquoi se prosternent devant lui les peuplades sauvages parce qu’elles n’ont pas notre civilisation corruptrice.
Les nombreux visionnaires chez ces hommes primitifs ne versent pas dans les erreurs des obscurcis, tel au surplus qu’en fait foi cette expérience décisive.
En sortant de la terre où ils ont séjourné, les disques, chauffés par le soleil, brillent des couleurs qui y ont fait empreinte.

L’humidité n’en ternit pas seulement l’éclat, elle masque les couleurs qui s’impriment sur une couche ternie et matérialisée sur la terre.
Cependant on trouve des disques impressionnés directement.


Expérience n°3, page 71-72 (fabrication de Terre et fractionnement des fluides)
Citation (Frédéric DUFOURG)
Prenons du Sable fin aurifère.
Examiné à la loupe, on voit ses grains former une masse presque compacte en raison de leur faible volume.

Ce sable contient une énergie minérale, dont les propriétés ont été étudiées par l’action qu’elles exercent sur la graine des plantes.

Or il s’agit de matérialiser, dans ce produit minéral, une combinaison d’énergies liquéfiées pour obtenir de la terre végétale.

A cet effet, je verse sur le Sable une matérialisation de fluides atmosphériques, c’est-à-dire un carbure dont j’ai extrait l’Ether pour prévenir les accidents pouvant résulter de la manipulation de ce produit extrêmement puissant.

Quelques instants après cette première opération, le volume du Sable augmente, comme s’il s’y accomplissait une dilatation.

Après cette constatation, j’enflamme le carbure qui brûle avec plus d’intensité qu’avant d’être mêlé au Sable, d’où je conclus que celui-ci a cédé au liquide une partie de son énergie.

Lorsque le carbure a fini de brûler en produisant une fumée asphyxiante, on voit sur les parois du récipient en porcelaine une couche de Carbone, sorte de noir de fumée.
En outre, le Sable a pris une couleur noire.

Maintenant, usons d’eau bien cuite pour l’avoir pure de gaz et de sels minéraux.
Jetons le Sable dans cette eau contenue dans un verre à pied, en forme de cône renversé.

On voit aussitôt le Sable se former en masse compacte comme de la terre noire, comme celle que l’on trouve dans certaine contrée de l’ouest de la Russie d’Europe.
Après ces opérations et ces constatations, au cours desquelles on voit les pellicules d’or à la surface de l’eau restée limpide, je place le verre en lieu sûr à l’abri de la lumière pour favoriser la condensation.

Le lendemain, l’opération ayant pleinement réussi, on en constate le résultat satisfaisant.

La terre, dans l’eau restée limpide, s’est disposée en forme irrégulière, comme des pics escarpés sur une base épaisse de terre noire.
En outre, il y a accroissement de volume.

Tels sont les effets apparents de la condensation dans le SABLE des énergies atmosphériques.

Mais le résultat ne s’obtient qu’à la condition de laisser la condensation s’opérer dans l’obscurité et sans choc.

CONTRE-EXPERIENCE

Lorsque les conditions de la matérialisation ne sont pas observées et que le repos du contenu du récipient est troublé par des déplacements, il se produit un beau phénomène : chaque élément redevient ce qu’il était avant l’expérience.
En effet, le Sable aurifère reprend sa couleur originelle, et il apparaît dans le verre non plus sous forme originale de pics, mais en surface plane.

Et les énergies qui y étaient condensées par l’inflammation du carbure s’en séparent et redeviennent liquides.

De transformées en éléments de terre noire, ces énergies se retransforment en carbure qui surnage.

Donc avant la matérialisation définitive, un trouble contrarie l’action alchimique, dont le résultat est la séparation des éléments en cours de condensation et leur retour à l’état d’avant l’expérience.

C’est là une preuve que la terre est le dernier terme de la matérialisation des énergies de l’atmosphère.

Après cette séparation, il est intéressant d’enflammer le carbure pour savoir ce qui se passera.

Deux ou trois allumettes enflammées mises en contact avec le liquide chauffent le carbure dont la surface s’enflamme avec dégagement de gaz asphyxiant.
On en arrête la combustion en plaçant sur le verre un objet qui empêche la pénétration de l’air.

Après refroidissement, on constate que le liquide s’offre sous une gamme de couleurs superposées représentant les divers éléments fluidiques constitutifs du carbure.

Ces éléments, qui ne formaient qu’une seule et même masse, se séparent sous l’effet de la Chaleur, comme le montrent les diverses couleurs de ce produit, dont la Force a été diminuée par la première combustion opérée avec son mélange avec le Sable.

Lorsqu’on agite le liquide en nappes diversement colorées, on en favorise le mélange qui a l’aspect d’une huile d’une couleur qu’il n’avait pas avant la seconde combustion et qui s’affirme en le regardant face à la lumière.

Vu à contre-jour, le carbure a la teinte violacée du pétrole de commerce.
Chercheur opiniâtre et perceur de mystères, l’alchimiste ne s’arrête pas là.
Il pousse plus loin l’investigation afin que ses affirmations passent désormais pour des Vérités scientifiques.

Voici comment il y procède.
Il sait que toute terre propre à la culture est faite d’énergie végétale et d’énergie minérale.

Il extrait du sol, séparément, chacune de ces énergies, qu’il condense sur les extracteurs.
Il emporte chez lui chacun de ces éléments qu’il liquéfie.
Il obtient une huile végétale incolore brûlant avec une mèche, et une huile minérale vermeille inflammable.
La première développe la racine des graines, tandis que la seconde stérilise les semences.

Enfin, désireux de connaître les propriétés du Carbone produit par le carbure enflammé, il racle les parois du récipient sur de l’eau cuite où les particules de Carbone surnagent.

Si l’on approche du liquide une allumette en bougie allumée, on constate dans l’obscurité une production d’étincelles et l’évanouissement du Carbone.
C’est assez pour montrer, par une expérience concluante et par trois contre-expériences non moins décisives, que la terre végétale est une matérialisation d’énergies dont nous avons entrevu le rôle dans le développement des plantes, que l’alchimiste peut guérir dans les cas de faiblesse organique provenant de la faiblesse du sol.

Et s’il en sait autant dans la série animale que dans la série végétale, ce qui n’est pas douteux puisque la vie, dans ces deux règnes, procède des mêmes principes, il peut orienter le guérisseur du végétal et de l’animal et l’aiguiller dans la voie éminemment scientifique de la médecine universelle, par conséquent sortir des ténèbres ceux qui l’exercent en vertu de diplômes exclusifs.

Nous verrons bien d’ailleurs si la partie expérimentale permet de réaliser ces promesses mirifiques, en passant de la théorie à, la pratique, afin de justifier que rien dans ces travaux n’est laissé à l’imprévu, mais que tout y est prévu et préparé dans l’ordre de la phénoménalité de l’Univers.


Expérience n°4, page 74 (pousse des racines des plantes sans les tiges)
Citation (Frédéric DUFOURG)
A cet effet, mettons dans un vase en faïence ou en porcelaine de la bonne terre.
Et de la même terre remplissons un vase de même capacité que le premier, afin que l’expérience et la contre-expérience portent sur les mêmes éléments.
Pour montrer que l’énergie végétale développe la racine, il faut extraire l’énergie minérale d’un lot de terre.

Prenons l’un des deux vases indistinctement, et enfonçons dans la terre qu’il contient un métal en forme de compas, que nous y laisserons séjourner vingt minutes, après l’avoir recouvert d’un morceau de drap pour éviter que la lumière contrarie l’opération.

Le métal attracteur extrait et condense sur lui-même l’énergie minérale de la terre, dans laquelle il ne reste plus que l’énergie végétale, celle-là même qui développe la tige seulement parce qu’elle ne chauffe et ne met en mouvement moléculaire que la partie végétalisée de la graine.

Mettons dans la terre de chaque vase une égale quantité de grains de maïs et de haricots repérés par des morceaux de paille enfoncés dans la terre.
Sachant que l’eau de puits, de source ou de rivière n’est pas exempte de gaz ni de sels minéraux, nous arrosons la terre avec de l’eau bien cuite.

Nous plaçons les deux vases dans une vitrine pour éviter qu’une trop grande influence soit exercée par les énergies atmosphériques sur la terre et les graines attractives.

Après quinze jours d’attente, cette expérience publique, contrôlée par des personnes méticuleuses dépositaires des deux vases, a donné les résultats suivants :
La terre complète a produit, dans les conditions normales, des haricots et du maïs en voie de développement.

La terre incomplète a développé la racine seulement des haricots et du maïs, dont la longueur était de 17 et de 14 centimètres.
Il est ainsi établi que l’on peut développer la racine sans la tige et qu’elle a une vie propre et indépendante de celle de la tige.
L’expérience, jusque là satisfaisante, doit continuer.

Il faut rendre à la terre, partiellement stérilisée, l’énergie qui en a été extraite et tenue en réserve dans un condensateur, comme nous tenons en réserve, pour les liquéfier, les énergies terrestres dont nous avons obtenu des huiles minérales.
Légèrement chauffé à la partie qui n’a pas été enfoncée dans la terre, l’extracteur sur lequel l’énergie minérale a été précédemment condensée est ainsi transformé en projecteur, qui restitue, en vingt minutes, à la terre dans laquelle on le fait baigner, l’élément de vie soigneusement conservé, conformément aux dispositions adoptées dans l’expérience de liquéfaction.

Huit jours après cette transfusion, la terre, redevenue complète, développait les tiges dont l’accroissement rapide était l’effet de la Force des racines, car leur hauteur dépassait de beaucoup celle des plantes développées dans la terre de la contre-expérience.


Ce message a été modifié par Chercheur le Samedi 08 Janvier 2011 à 21h33


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Ecrit le: Samedi 08 Janvier 2011 à 15h55 Posted since your last visit
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Bonjour

Il semble que le téléchargement n'est pas libre sur ces liens.
Aurais-tu un autre siurce?


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Ecrit le: Samedi 08 Janvier 2011 à 16h15 Posted since your last visit
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Citation (Biganos @ Samedi 08 Janvier 2011 à 16h55)
Bonjour

Il semble que le téléchargement n'est pas libre sur ces liens.
Aurais-tu un autre siurce?

bonjour

il suffit peut etre de s'inscrire au forum ?
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Ecrit le: Samedi 08 Janvier 2011 à 16h46 Posted since your last visit
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Oui, il faut s'inscrire, pour que les liens aboutissent.

(ou en zone tampon)

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Ecrit le: Samedi 08 Janvier 2011 à 18h35 Posted since your last visit
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voilà une idée qu'elle est bonne et qui m'arrange bien.

Merci Gegyx

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Ecrit le: Samedi 08 Janvier 2011 à 21h35 Posted since your last visit
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J'ai hébergé les fichiers sur archive host; en effet ils les ont rendu inaccessible; en fait il devait y avoir une faille, on pouvait les charger avec le lien même sans êtres inscrit et ils ont dû y remédier.

Donc vous pouvez vous inscrire sur leurs forums OU simplement cliquer sur les liens mis à jour que j'ai ré-intégré dans le message initial.


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Ecrit le: Samedi 08 Janvier 2011 à 21h41 Posted since your last visit
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Il y a un lien important avec les travaux de Louis ROTA. En plantant des métaux dans le sol, ceux-ci extraient des fluides qu'ils condensent.

Les fluides condensés dépendent du métal et il y a des variantes dans les flux d'un même fluide condensé selon Dufourg; il dit aussi qu'un matériau attire les fluides dont il est constitué... exactement ce que disait Rota; précisant que les métaux étaient constitués de courants condensés et attiraient les courants de même nature circulant dans le sol.

On est encore dans la cohérence.


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Ecrit le: Dimanche 09 Janvier 2011 à 07h28 Posted since your last visit
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Citation (Chercheur @ Samedi 08 Janvier 2011 à 22h41)
Il y a un lien important avec les travaux de Louis ROTA. En plantant des métaux dans le sol, ceux-ci extraient des fluides qu'ils condensent.

Les fluides condensés dépendent du métal et il y a des variantes dans les flux d'un même fluide condensé selon Dufourg; il dit aussi qu'un matériau attire les fluides dont il est constitué... exactement ce que disait Rota; précisant que les métaux étaient constitués de courants condensés et attiraient les courants de même nature circulant dans le sol.

On est encore dans la cohérence.

bonjour

ce que décrit dufourg avec ses courants qui dépendent de la chaleur
rend tout a fait possible le démon de maxwell

ce qu'a peut etre été réalisé avec la batterie de Vasilesco-Karpen
( une pile inépuisable dépendante de la température ambiante )

https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...480&#entry16507
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Ecrit le: Mercredi 12 Janvier 2011 à 12h08 Posted since your last visit
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p 108:
Citation
Ainsi tout corps chauffé produit une Force attractive.
Et son évanouissement libère des éléments que leur polarisation met en courants de Force.
C’est pourquoi tous les corps terrestres chauffés par le Feu Central sont des générateurs d’énergie, chez lesquels persiste, comme dans les aimants permanents, le calorique qui s’évanouit lentement.


Chez Dufourg, toute sa théorie repose sur le chauffage. C'est cela que je remets en cause; car il donne pour preuve qu'en frottant le bâton de résine avec un chiffon, il attire la moelle de sureau; preuve que le chauffage provoque l'attraction. Ceci n'est une preuve de rien; c'est là le manque de rigueur de Dufourg à mon sens; même si il a découvert des choses exceptionnelles, ses explications des découvertes ne sont pas cohérentes. Si on chauffe le bâton de résine avec de l'air chaud (un sèche cheveu, etc) il n'attire absolument pas la moelle de sureau. Le frottement exercé sur le bâton de résine est interprété selon Dufourg seulement comme un chauffage par frottement; et pour lui seul ce chauffage est la cause. On voit avec ma contre expérience que ceci n'est pas fondé.

Pas convaincu:
Achetez de la moelle de sureau:
http://www.lelaborantin.fr/moelle-de-surea...,4,573018TS.cfm
Et pour le bâton de résine on peut remplacer par du verre

Expérience classique d'électrostatique:
http://www.positron-libre.com/cours/electr...ectrisation.php

Mais on peut construire mieux avec d'autres éléments de ses propos:

p108 aussi:
Citation
Tant qu’un corps vibre, il est en mouvement moléculaire ; il rayonne son fluide, il s’évanouit sous l’effet de son calorique.
Les corps terrestres récupèrent leur perte par le retour des molécules centripètes qu’ils s’incorporent par attraction et refroidissement. Il y a échange avec leur milieu.
Si les graines vibraient aussi longtemps que les corps primordiaux, elles s’useraient en pure perte, puisque leur substance quintessenciée ne peut pas être réparée par les fluides atmosphériques que le végétal épure de la manière que nous connaissons.


Là on voit que l'idée énoncé de calorique, de chauffage est plus que mal dite: il parle de vibrations. Et en effet le frottement opère des vibrations dans la structure moléculaire. Ces vibrations produisent des résonances dans la matière, dans la structure interne. On voit que ce qu'il appelle calorique est en fait une mise en résonance vibratoire des matériaux. On est en fait très proche des travaux de Keely, qui a pu lui, énoncer des propos plus cohérents.

Le "refroidissement" est une diminution de l'activité vibratoire de la structure moléculaire ou cristalline et le "réchauffement" une augmentation de cette activité. Mais chauffer et refroidir ne sont pas tout à fait opposés. En effet on peut chauffer en mettant en vibration synchronisée, en vibration résonante ou en mettant en vibration chaotique. C'est la différence entre une action qui va provoquer l'attraction selon Dufourg et celle (contre expérience au sèche-cheveu) qui n'apportera rien.
Par contre refroidir, c'est amortir les vibrations, qu'elles soient chaotiques ou coordonnées. Donc en effet il peut parler de froid et de chaud; mais ce n'est pas vraiment cela qui est derrière; mais les vibrations. On est encore bien dans du Keely pur à mon sens.

Donc Dufourg explique comment les vibrations modifient les écoulements d'éther en provoquant des mouvements dans les fluides. Ces mouvements provoquent de l'attraction lorsqu'on a des "molécules" montantes, centrifuges, à partir d'une source. On pourrait dire autrement qu'on a une dépression de l'éther local car on émet du fluide par la cause vibratoire qui met en résonance. On en revient à des théories comme celles convergentes sur l'éther et la gravitation ou la gravitation n'est pas une attraction, mais une répulsion entre objets plongés dans l'éther, par modification de la pression locale de l'éther:
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...p?showtopic=645

p114:
Citation
Force désagrégeante, la Chaleur met la matière en mouvement moléculaire et en état d’évanouissement.
Et l’évanouissement provoque l’Attraction du corps qui se décompose.
Les molécules centrifuges, captées et polarisées, entrent en courants de force inégale dans les Conducteurs qui les canalisent.
La Chaleur désagrégeante change de nature dans le règne végétal.
Le Feu Central ne chauffe pas la graine : ce sont les molécules terrestres en voie de libération qui mettent sa substance en mouvement moléculaire et d’évanouissement.
Organe d’attraction et de conductibilité, la racine reçoit les molécules centrifuges de la graine polarisée par la fécondation : elles y entrent en courants de Force et de vie par leur calorique.
Mais la Chaleur initiale, celle qui agit sur la substance de la graine est indépendante du végétal qui se l’incorpore jusqu’à la mort.
Dans l’organisme la Chaleur initiale change de nature, puisqu’elle est un principe intelligent, indépendant de la machine à laquelle il s’incorpore dès la naissance jusqu’à la mort.
Il agit sur la substance organique, qu’il met en mouvement moléculaire, en état d’attraction et d’évanouissement.
Polarisées dans son Germe comme la graine, ses molécules entrent en courants de Force dans les conducteurs qui les canalisent.
Tels sont la cause et le mécanisme rigoureusement scientifiques de la décomposition de la substance animale qui n’est plus un mystère.

On voit la concordance entre chaleur et vibration encore une fois, et les effets d'attraction qu'il décrit comme conséquence et qui seraient plus logiques dans le cadre du point de vue que j'exposais précédemment.

Un exposé très intéressant sur les sensitifs et la détection des zones d'émission de fluides d'éther provenant du sol (zones importantes à savoir détecter car l'expérience de captage des fluides par condensation dans la bouteille de verre avec les fils de cuivre que j'ai décrit comme expérience n°1 et qui sert de base à avoir des fluides qu'il peut ensuite déverser dans les plantes, l'eau, la terre etc pour réaliser toutes les autres expériences):

p116, 117
Citation
Usons de ces sujets dans la recherche des Forces et de leur action sur les organismes animaux ; nommons-les sensitifs.
La Terre émet sur tous les points de sa surface des fluides qui passent dans l’atmosphère : ce sont les molécules centrifuges libérées par la Chaleur centrale agissant sur tous les corps de son enveloppe en perpétuel état d’évanouissement.
Il y a des points où l’émission de fluides est très abondante : ce sont particulièrement les points au-dessus des sources d’eau souterraines, en nappes et en courants.
Un sensitif placé sur un de ces puissants foyers d’énergie sent sa Chaleur augmenter, si sa faculté sensitive est très développée.
La raison de cette augmentation de calorique est dans ce fait, que le fluide de ce foyer attiré par les pieds entre en courants dans l’organisme et que, canalisé par les nerfs, il s’écoule par l’extrémité des doigts des deux mains en deux courants de Force, par suite de sa polarisation dans l’organisme.
Cette augmentation de Chaleur est une indication dont nous déduirons des conséquences.
Pour l’instant arrêtons-nous aux courants d’énergie qui s’écoulent par les extrémités digitales, et tâchons de les utiliser en vue d’un travail à produire, pour réaliser le type le plus sensible et le plus merveilleux des machines dynamo-électriques établies par l’industrie.
Si nous relions les deux mains du sensitif, il s’établit un courant en circuit dans son organisme.
Mais si nous intercalons dans le circuit un dispositif qui sera parcouru par le courant, la Terre agira sur lui à la manière d’un aimant : c’est le principe des dynamos.
Le dispositif de l’expérience est un conducteur en bois formé de deux branches flexibles unies par un bout de manière à former un V ou un U.
Chaque branche est tenue par les mains, les doigts repliés sur elles.
Le sens, ascendant ou descendant, de la rotation dépend du courant, majeur ou mineur, qui y circule et de l’hémisphère terrestre sur lequel on opère.
L’hémisphère nord mineur attire le courant minéral majeur et provoque la rotation descendante.
On peut supprimer le courant majeur en plaçant sous le pied droit une couverture de laine isolante.
En ce cas la rotation est ascendante, par répulsion de la Terre sur le courant mineur.
La découverte des eaux souterraines est basée sur l’action des fluides qu’elles émettent en abondance, et qui impressionnent le sensitif qui les canalise en courants de Force dans le conducteur en bois sur lequel la Terre agit pour lui imprimer le mouvement de rotation.
Et comme le fluide de la source souterraine arrive à la surface du sol sur un angle de 45 degrés, il est possible, en partant du point où se produit la première impression, de savoir à quelle profondeur se trouve la source : nous avons publié ces résultats en 1909-1910 dans une Revue parisienne.
Avec un fluide minéral, les effets sont l’opposé de ceux du fluide végétal de l’eau, ce qui prouve la double polarité de chaque hémisphère terrestre : l’hémisphère nord, mineur pour le fluide minéral, est majeur pour le végétal, tel qu’on s’en assure en opérant sur deux sources de fluides contraires dans les effets mécaniques étudiés, sans toutefois préjudice du travail accompli par ces deux énergies, qui marquent ainsi leur nature respective.
Qu’il soit de nature végétale ou minérale, le courant est influencé par la Terre, champ magnétique.
En agissant sur le conducteur avec la main droite et avec la main gauche, on l’arrête par attraction et par répulsion.
Cette action est plus énergique par l’influence du cerveau et de la colonne vertébrale, où le fluide humain est plus abondant qu’aux extrémités digitales par où il s’écoule.
Les organes de la génération, où aboutissent les deux polarités, ont aussi la propriété d’exercer assez d’attraction pour arrêter la rotation du conducteur.
Le Figuier et la Vigne sur pied notamment produisent cet arrêt, de telle sorte que les corps en mouvement moléculaire des trois règnes agissent sur les courants de fluides de leur nature proportionnellement à la Force attractive accumulée dans chacun d’eux.
Ainsi est établie, sans frais d’appareils de contrôle, la preuve que l’organisme humain agit attractivement sur les courants d’énergie de la nature de celles qu’il produit par dématérialisation de sa substance organique, et que le cerveau, ainsi que la colonne vertébrale abritant la moelle épinière ou rachis sont les deux régions les mieux pourvues de Force attractive.

ATTRACTION PÉRIPHÉRIQUE

La Terre est attractive sur tous les points de sa surface parce que le Feu Central chauffe tous les corps de son enveloppe.
Le végétal est attractif, lui aussi, en tous les points de la périphérie, mais avec plus d’intensité aux points où le courant de montée, non encore ramifié dans les branches, est plus actif.
Le même phénomène, avec les mêmes particularités, se produit sur l’animal et sur l’organisme humain.
Les nervures des feuilles, par où s’écoule le courant de montée, sont représentées par les pieds de l’animal et par les doigts et les orteils de l’organisme humain, où finissent les nerfs conducteurs du fluide.
Et l’attraction des feuilles sur le fluide constitutif du courant et de la sève de descente a son pendant dans l’attraction manifestée par les pieds et par les mains de l’animal et de l’homme.
Quant aux foyers de fluide intense de la Terre, ils sont représentés dans le végétal par la racine et par la tige ; dans l’animal et dans l’homme, par le cerveau et le rachis.
Il reste à faire la preuve de l’attraction périphérique de l’organisme animal sur les fluides de sa nature.
Cette question est très importante et mérite d’être étudiée dans les détails principaux. Plaçons le sensitif, sur lequel nous expérimentons, dans un local bien clos, afin de le soustraire aux influences atmosphériques. 


On note en particulier, encore en accord avec Louis BOUTARD, que la laine, la soie, sont des isolants du fluide d'éther. De plus, selon Dufourg, les minéraux et le bois sont des conducteurs de ces fluides (du fluide "végétal" et du fluide "minéral", il distingue les deux genres). Or les expériences de Boutard se font sur des corps ayant pour objectif la création d'une onde de forme; corps constitués en bois ou en pierre dure dit-il dans ses textes comme remplacement possible... encore une cohérence. Boutard capte les fluides d'éther avec la matière dont sont faites ses formes et il se sert de plus de l'onde de forme (chez que Dufourg a ignoré de son côté par contre).
Plaçons le sensitif, sur lequel nous expérimentons, dans un local bien clos, afin de le soustraire aux influences atmosphériques.


p118: action mécanique de répulsion des fluides dans des circuits faits avec le corps humain
Citation
Un conducteur dans ses mains ne tourne pas, parce que le courant qui s’y établit n’est pas assez puissant pour favoriser sa rotation.
Si au fluide personnel, qui s’écoule par les doigts du sensitif, insuffisant pour produire le travail mécanique obtenu dans la première expérience, nous ajoutons un fluide de renforcement, la somme de ces deux énergies produira, avec le concours de l’influence de la Terre, l’effet mécanique attendu.
En ce cas, il faut faire au sensitif une atmosphère de fluide dans laquelle il puisse puiser par attraction l’énergie en vue du résultat cherché.
Pour obtenir cette atmosphère, on condense dans de l’eau une énergie de nature végétale et non minérale qui fatiguerait le sujet.
On en remplit une bouteille, que l’on débouche derrière le sensitif, attracteur du fluide qui s’épand dans le local, à la manière d’un parfum expansible donné comme exemple de production de l’atmosphère fluidique.
S’il y a eu condensation jusqu’à saturation de l’eau, et si la bouteille est placée à cinquante centimètres du sujet, ou la longueur du coude au bout des doigts, la rotation se produit dans moins d’une minute : ce délai varie avec le degré de condensation et l’éloignement de cette source d’énergie dont l’action est retardée par les vêtements isolants en laine, en soie et en caoutchouc.
Dans cette expérience, on ne peut pas croire que l’attraction du fluide de cette atmosphère est faite par les pieds seulement.
C’est la périphérie, c’est-à-dire toute la surface de l’organisme et particulièrement la moelle épinière qui concourent à l’approvisionnement de cette énergie.
Une preuve décisive va en être donnée en opérant sur un non-sensitif, pour établir que tout organisme animal est attracteur des fluides de la nature de ceux qui circulent dans ses nerfs.
En agissant tantôt avec la main droite, tantôt avec la main gauche, on arrête le conducteur, par influence attractive et par influence répulsive : ce sont des effets de la polarité des mains.
Nous allons voir qu’il est possible d’augmenter la Force du pôle mineur et d’en changer la polarité sans agir sur l’autre pôle.
Dans le cas où la main gauche agit attractivement sur le courant majeur du conducteur qu’il arrête, c’est parce que le pôle de cette main est mineur : deux Forces inégales s’attirent.
Pour augmenter la Force de ce pôle et lui donner celle du pôle répulsif, il suffit de tremper les doigts dans l’eau fluidifiée : il y a aussitôt arrêt du conducteur par répulsion.
C’est une preuve que les doigts se sont incorporés, par attraction, l’énergie condensée dans l’eau et qu’elle a donné à cette main la Force du pôle majeur.
C’est une preuve de plus en faveur de la propriété attractive des extrémités digitales, qui émettent des courants qui s’extériorisent et passent dans le conducteur et qui attirent les fluides extérieures dont ils s’emparent : c’est précisément la fonction de la feuille du végétal.
L’expérience suivante justifie que toutes les parties de l’organisme, que tous les points de sa surface attirent les fluides de sa nature.
De l’eau fluidifiée versée dans une soucoupe arrête le conducteur par attraction.
De la terre jetée dans cette soucoupe absorbe l’eau et son fluide : il y a encore arrêt du conducteur.
Appliquons cette terre sur un mollet, un bras, une fesse, sur une partie quelconque qui, à l’état normal, n’a pas la Force d’arrêter le conducteur.
Après deux, trois ou cinq minutes d’attente, suivant la quantité de terre utilisée, remettons-la dans la soucoupe préalablement essuyée : elle a perdu sa propriété attractive et n’agit plus sur le conducteur.
Par contre, la partie charnelle, jusque là inopérante, sur laquelle la terre a séjourné, arrête le conducteur, qu’elle influence par l’attraction qu’elle exerce sur son courant.
C’est simple, clair, précis, à la portée de tout le monde, sans frais, comme preuve irrévocable que la masse charnelle de tout organisme animal et humain est attractive, comme la Terre et le végétal, en tous les points de sa surface.
Néanmoins, ce qui vient d’être dit des Forces terrestres et de leur action sur les organismes charnels nécessite une explication pour l’intelligence de leurs conséquences sur la vie.
Il y a lieu de remarquer que dans le genre humain, il existe des sujets qui se distinguent des autres par la sensibilité graduelle de leur organisme et par des facultés spéciales qui les signalent à l’attention de l’observateur attentif.
Dans la série des phénomènes que nous venons d’étudier, les sensitifs nous ont révélé que l’organisme animal est un générateur d’énergie d’une extrême délicatesse, et qu’en dehors de ses propres fonctions, il peut agir sur un dispositif pour produire un travail mécanique avec son propre fluide et celui qui lui vient de sources terrestres.
Nous avons appris que leur organisme est attracteur des fluides atmosphériques qui le chauffent, et que notre propre fluide s’écoule par les pointes, c’est-à-dire par l’extrémité des nerfs desservant la machine animale.
Nous avons acquis la certitude que tout organisme animal est attracteur en tous les points de sa surface, que le cerveau et le rachis sont des organes où cette propriété atteint le maximum d’activité.
Nous avons appris aussi que l’attraction d’un fluide homogène augmente la Force vitale au point de donner plus d’énergie aux pôles, dont l’existence nous a été révélée par leurs effets mécaniques.


p120: suite des expériences avec sensitif sur les courants magnétiques d'éther captés par l'humain
Citation
DANGER
DES FLUIDES ATMOSPHÉRIQUES
ÉPURÉS


Les fluides atmosphériques sont formés de molécules centrifuges qui se désagrègent en montant.
Leur calorique augmente à mesure que leur volume diminue.
En cet état, elles peuvent être un danger si elles entrent en courants dans l’organisme humain, qui veut être réparé par des fluides de sa nature et de son degré de calorique.
Désireux de pousser aussi loin que possible l’étude des énergies dont l’organisme animal est susceptible de s’emparer par l’attraction qu’il exerce sur eux, nous avons procédé à des expériences à surveiller par deux personnes à cause du danger de mort encouru par le sujet qui s’y prête dans un but scientifique.
Ce sujet est notre collaboratrice de tous les instants de nos recherches des énergies de la Nature.
Nous l’installons sur un foyer de fluide végétal, dans un fauteuil isolant, afin que le bois des pieds de ce siège ne soit pas conducteur du fluide.
Le sujet, assis, a ses pieds à un mètre trente centimètres du sol : la distance a varié dans nos expériences sans que le résultat ait changé.
En cet état, il y a attraction exercée par les pieds sur les molécules centrifuges émises par le foyer révélé par la prospection.
Un conducteur en bielle, comme celui des précédentes expériences, est mis dans les mains du sensitif, qui va à la catalepsie avec la rigidité cadavérique dans un délai de deux à trois minutes suivant sa distance du sol. C’est le commencement de l’électrocution.
Dès que cet état est constaté, on fait cesser le courant en circuit, en coupant avec un sécateur une branche du conducteur.
En déplaçant le fauteuil, on soustrait le sensitif à l’influence des molécules montantes.
Et la catalepsie disparaît progressivement avec l’écoulement par les pieds et par les mains de l’énergie qui a provoqué cet état : effet du courant trop chaud qui a impressionné le cerveau dont il a arrêté les fonctions motrices de certains organes.
Il n’en faut pas davantage pour justifier la montée et l’épuration des molécules centripètes, en même temps que l’augmentation de leur calorique et de leur dynamisme.
C’est aussi une preuve que l’organisme animal souffre d’un calorique supérieur au sien, même lorsqu’il est produit par des molécules de sa nature. Voilà le plus parfait des instruments sensibles de contrôle des Forces.
On peut pousser plus loin l’étude des Forces en les faisant agir directement sur le cerveau, mais à la condition d’être au moins deux bons observateurs, en raison du grand danger de l’expérience.
Le sensitif est installé sur le même fauteuil et à la même place.
Derrière lui on pique en terre, sur la source du fluide, une tige en bois de noisetier ou un gros osier dont on fait aboutir le bout à la nuque du sensitif, dans les mains duquel on met le conducteur.
Dès que l’on constate l’état cataleptique, on interrompt le courant dans le conducteur et celui qui s’est établi dans la tige aboutissant à la nuque.
Cette fois le sujet est plus long à revenir de la catalepsie, car il y a atrophie temporaire des cellules de la mémoire et impression de brûlure de la partie du cerveau où s’écoulait le fluide de la tige conductrice.
Il faut plusieurs heures de repos et un bon sommeil pour rétablir l’équilibre des fonctions suspendues par excès de calorique des molécules montantes passées dans l’organisme.
Tels sont les effets d’un fluide trop épuré, c’est-à-dire trop chaud, bien qu’il ait été capté à une moyenne de un mètre cinquante centimètres du sol : plus les molécules montent, plus elles s’épurent, s’évanouissent jusqu’à l’atome.
Cette énergie est de nature végétale et légèrement minérale.
Avec un fluide où l’élément minéral domine, les effets sont plus actifs ainsi qu’en témoignent des expériences concluantes.


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Citation
Un conducteur dans ses mains ne tourne pas, parce que le courant qui s’y établit n’est pas assez puissant pour favoriser sa rotation.

Qu’entend t-il par un conducteur ? icon_eek.gif

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Conducteur des fluides, donc bois par exemple ou toute autre tige végétale (c'est la baguette de sourcier). Les métaux n'étant pas des conducteurs des fluides mais des accumulateurs (ils captent le fluide et le stockent jusqu'à saturation si il le faut)


EDIT: je précise ma pensée. Dufourg dit que les métaux conduisent les courants fluidiques d'éther, mais en les condensant et avec la capacité de les accumuler. Il est possible donc de les faire circuler dedans, mais il faut un effet de pompe pour cela, un attracteur d'un côté (dans son montage avec la bouteille il utilise du sel comme attracteur du fluide). Par exemple il met le métal dans la terre et le métal absorbe le fluide dedans.

Boutard indique que les constituants Pi de l'aether sont stockés par les métaux, qui en sont attracteurs. On a le même genre d'information donc. Boutard indique aussi qu'il faut créer une circulation dans le métal en faisant circuler un courant, afin d'entraîner les Pi bloqués et captés par le métal; car d'eux mêmes ils n'en sortiront pas; d'où une induction électrique continue sur les inducteurs de cuivre dans ses montages. Là aussi il indique que le fluide ne circule pas de lui-même dans le métal; alors que pourtant les courants circulent dans l'air ambiant et les formes. Donc on a bien certains matériaux qui ont tendance à accumuler le fluide (mais on peut l'en extraire avec un courant assez fort qui fait pompe) et d'autres qui font simplement laisser couleur le courant, avec plus ou moins d'affinité (le courant d'aether préférant circuler dans certaines matières plutôt que l'air, dans le bois par exemple: il doit y avoir un coefficient de perméabilité au fluide d'aether plus grand avec le bois).


Ce message a été modifié par Chercheur le Jeudi 13 Janvier 2011 à 08h35


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Bonsoir

Dufourg procède en 2 temps. Il accumule d'abord un fluide qui dépend des matériaux utilisés. Par exemple dans des fils de différents métaux plantés dans la terre. Ensuite il "matérialise" ce fluide en produisant des "carbures" différents selon la matière utilisée comme accumulateur. Pour cela il faut l'obscurité et un "attracteur", il dit utiliser du sel de cuisine.
Boutard procède en une seule opération mais qui nécessite un matériel plus sophistiqué ainsi qu'un apport énergétique, et selon "l'attracteur" (poudre de marbre + talc etc ou autre) il obtient divers "carbures" dont un nommé Hercule.


Autre similitude mais cette fois avec le livre de Pierre Pouquet.
Page 94 (Neuf théories concordantes), le Nota Bene sous la figure 16
Citation
le "rapprochement" réciproque des masses M1 et M2 (pris pour une "attraction" entre elles) n'est dû qu'à la prépondérance des flux énergétiques éthéro-spaciaux sur le système axial de ces 2 masses et par rapport à l'adduction des flux transverses dans une zone d'interception.


Sur ce sujet Dufourg fait plusieurs fois la même allusion qui revient à combler la zone d'occultation des flux ΦI et ΦII illustrée par Pouquet.
Page 53 (Forces Brutes)
Citation
Alors, pour léviter un corps de notre planète, il suffit de l’en isoler, de l’isoler de notre monde. En d’autres termes, il faut le soustraire aux lois de la pesanteur ou de l’attraction. Cet isolement s’obtient en faisant au corps une atmosphère d’Ether, comme celle dans laquelle la Terre est baignée. C’est tout ce qu’il y a à faire ; mais il faut savoir et pouvoir le faire.


Page 56 (Forces Brutes)
Citation
Il [l'Ether] n’est cependant que la Force Brute qui comble les espaces interplanétaires. Il isole les mondes faits de matière, et il les relie lorsqu’il est mis en état vibratoire par l’impulsion des Forces Intelligentes, seules capables de le faire onduler.
Il les relie par ses ondulations comme celles des fluides atmosphériques relient les deux postes de la télégraphie sans fil.
Fluide extrêmement subtil, l’Ether pénètre la matière, les molécules et les atomes. Les pénétrant, il en augmente la puissance comme en justifie la matérialisation dans le carbure.
On peut donc dire qu’il se minéralise, se végétalise et s’animalise dans les substances qu’il pénètre en les renforçant, pour redevenir aussi subtil après sa libération de la matière qu’il enserre. Mais il est plus lourd et moins épuré dans la matière qu’à la limite de l’atmosphère.
L’Ether a plus d’un rôle à jouer dans l’Univers. Il isole les planètes entre elles pour leur lévitation.



Page 66 (Forces Brutes)
Citation
La Terre est lévitée.
Sa Pesanteur est annulée par rapport aux autres mondes, qu’elle n’influence pas, sans quoi sa lévitation serait compromise.
La cause de ce phénomène est dans le fait que notre monde est isolé dans l’espace par l’atmosphère d’Ether où il est baigné et qui le pénètre jusque dans ses atomes.
Lorsqu’on isole un corps, en lui faisant une atmosphère d’Ether, on le met en état d’être lévité, c’est-à-dire qu’on le soustrait à l’attraction qui fait sa pesanteur.



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Croire ou savoir: Là est la question!
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Ecrit le: Vendredi 14 Janvier 2011 à 00h50 Posted since your last visit
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Merci a Chercheur et Biganos d'avoir ainsi synchretiser et donc rendu intelligible les travaux de
ces "savants" au sens le plus eleve du terme
une fois bien comprise ; ces experiences sont realisables par tout un chacun
concernant Pierre Pouquet cite par Biganos un lien que vous connaissez sans doute deja ;

http://quanthomme.free.fr/energielibre/che...heopouquet.html

http://quanthomme.free.fr/energielibre/che...et/galerie.html icon_smile.gif


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Ecrit le: Vendredi 14 Janvier 2011 à 00h52 Posted since your last visit
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bonjour dfi, (bonne année)
J'espere que tu va bien, tu te fais rare ?

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Ecrit le: Vendredi 14 Janvier 2011 à 07h22 Posted since your last visit
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Merci Thx4 je vais bien icon_wink.gif
je bosse a l'edification d'un bout de maison ici et puis des test d'activites
pas toujours convainquants et gourmands en temps et en attente ;
j'aimerais pouvoir me consacrer a nos recherches "libre"et a la construction
d'un trimaran habitable ( je ne sais si c'est compatible lol ! mais ca serait bien agreable )
en attendant..comme chacun je fais de l'alimentaire .
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Ecrit le: Vendredi 14 Janvier 2011 à 13h06 Posted since your last visit
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""La Terre est lévitée.
Sa Pesanteur est annulée par rapport aux autres mondes, qu’elle n’influence pas, sans quoi sa lévitation serait compromise.
La cause de ce phénomène est dans le fait que notre monde est isolé dans l’espace par l’atmosphère d’Ether où il est baigné et qui le pénètre jusque dans ses atomes.
Lorsqu’on isole un corps, en lui faisant une atmosphère d’Ether, on le met en état d’être lévité, c’est-à-dire qu’on le soustrait à l’attraction qui fait sa pesanteur."


Bonjour. C'est un peu gros quand même ! A défaut d'être risible !

Comment explique-t-il que la Terre tourne autour du soleil sans subir son attraction
Elle aurait du partir en ligne droite et on ne serait pas là pour en discuter !
Comment explique-t-il que la lune tourne elle aussi autour de la Terre qui ne devrait pas l'influencer d'après sa théorie et en subit l'attraction notamment dans les forces de marée ! Pareil pour tous les corps célestes ,les satellites artificiels et tutti quanti !
Comme crédibilité pour le reste de ses écrits , ça se pose là !
Malgré le respect du à ce monsieur et à sa vie consacrée à ses recherches ,je vois pour ce sujet l'absence du simple bon sens !
Même un" Savant" peut partir en vrille à défaut d'être lévité. icon_lol.gif
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Ecrit le: Vendredi 14 Janvier 2011 à 14h42 Posted since your last visit
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Bonjour Tecno,

J’ai eu la même approche que toi, y compris pour Boutard, mais à la différence des causeurs et théoriciens, ils ont diffusés leurs travaux,, ils proposent et ont fait des expériences, donc reproductibles, et si même il ne reste que 10% de probable, en regard que ce que nous avons ce serait un bon départ.

C’est vrai que leurs jargons et leurs interprétations de la physique restent difficile d’accès icon_biggrin.gif fait un effort icon_biggrin.gif

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Ecrit le: Vendredi 14 Janvier 2011 à 15h14 Posted since your last visit
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Bonjour tecno

Dès l'ouverture de ce sujet Chercheur avait prévenu ce certaines preuves avancées par Dufourg étaient plutôt "capillo-tractées". Pour ma part je ne suis pas non plus convaincu par ce qu'il dit être des "preuves", mais je pense qu'avec ce genre de texte il ne faut surtout pas prendre la terminologie au premier degré.

La première partie de son livre semble à première lecture une réfutation sans compromis, et même avec une certaine suffisance, de toutes les théories scientifiques modernes, alors qu'il encense les connaissances Antiques dédaignées par les modernes.

Cependant, si on remplace simplement "lévitation" par "équilibre", le texte n'est pas dénué de bon sens. Et si on compare ses dires avec les théories soutenues par Pouquet, on peut se poser des questions sur les déductions de Newton.
Dans ce cas, même si les explications de Dufourg sont "anti-contre-tout", comme ses résultats semblent avoir été confirmés on ne peut pas faire un amalgame entre les effets dont il parle et sa façon de les exprimer. D'ailleurs s'il s'agit d'une difficulté de compréhension, où est le vrai problème: sa façon à lui de les exprimer ou notre façon à nous de les assimiler. Comme il ne sera pas possible de lui demander de re-formuler ses propos, reste à essayer de les décoder si c'est possible, par bribes et par analogie avec d'autres textes, bien que sans garantie de résultat.




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Citation (tecno @ Vendredi 14 Janvier 2011 à 13h06)
""La Terre est lévitée.
Sa Pesanteur est annulée par rapport aux autres mondes, qu’elle n’influence pas, sans quoi sa lévitation serait compromise.
La cause de ce phénomène est dans le fait que notre monde est isolé dans l’espace par l’atmosphère d’Ether où il est baigné et qui le pénètre jusque dans ses atomes.
Lorsqu’on isole un corps, en lui faisant une atmosphère d’Ether, on le met en état d’être lévité, c’est-à-dire qu’on le soustrait à l’attraction qui fait sa pesanteur."


Bonjour. C'est un peu gros quand même ! A défaut d'être risible !

Comment explique-t-il que la Terre tourne autour du soleil sans subir son attraction
Elle aurait du partir en ligne droite et on ne serait pas là pour en discuter !
Comment explique-t-il que la lune tourne elle aussi autour de la Terre qui ne devrait pas l'influencer d'après sa théorie et en subit l'attraction notamment dans les forces de marée ! Pareil pour tous les corps célestes ,les satellites artificiels et tutti quanti !
Comme crédibilité pour le reste de ses écrits , ça se pose là !
Malgré le respect du à ce monsieur et à sa vie consacrée à ses recherches ,je vois pour ce sujet  l'absence du simple bon sens !
Même un" Savant" peut partir en vrille à défaut d'être  lévité. icon_lol.gif

Comme je l'ai déjà dit, beaucoup de ses idées n'ont rien de convainquant. Ce n'est pas un théoricien, encore moins un scientifique. Il cite à plusieurs reprises des éléments à charge de prouver tel ou tel élément de ses théories qui n'ont aucune valeur de preuve quelconque et dont pour la plupart on pourrait se convaincre facilement avec des données actuelles qu'elles sont même fausses.

Comme je l'ai déjà dit aussi, ce n'est pas parce que ses idées conceptuelles permettant d'expliquer les choses ne sont pas solides que les faits expérimentaux qu'il a trouvé n'existent pas. C'est là que le problème réside: ceux qui ne cherchent pas à s'intéresser à gratter et jettent tout ensemble, l'eau du bain et le bébé avec sous prétexte que l'eau est sale.

Pour en revenir enfin à cet élément particulier, il n'est pas un élément en particulier sur lequel portent mes propos de théorie ne tenant pas debout, au contraire de ce que tu en dis; même si mes concepts ne sont pas les siens sur le sujet. En effet, si tu fais plus que lire simplement l'extrait cité par Biganos mais que tu lis le livre (donc les propos de l'auteur ... indispensable avant de donner une analyse de jugement) tu verrais qu'il indique que pour lui les planètes sont donc en état de coupure gravitationnelle entre elles mais qu'elles tournent autour de l'astre central par un mouvement de pompage circulaire effectué par l'astre emportant l'éther dans lequel baigne la planète (qui n'a pas d'inertie donc et suit parfaitement le flux circulaire sans effet de projection, sans besoin de force centrale de rappel qui la lie à l'astre "attracteur"), ce qui provoque son mouvement de rotation autour de l'astre. Il précise ainsi que tout mouvement dit d'attraction gravitationnel de rotation d'un corps céleste autour d'un autre n'est pas dû à l'attraction gravitationnelle qui selon lui cesse dès éloignement de l'atmosphère (pour les corps qui en possèdent) mais dûs à une émission d'une énergie par les corps célestes, qui provoquent la rotation de l'éther qui les environne, éther qui emporte par viscosité les corps qui baignent dedans.

Il attribue ce fonctionnement à une puissance intelligente supérieure qui aurait le désir de provoquer cette mise en mouvement; à une volonté.

Ses propos ne sont donc pas aussi "débiles" que tend à le dire ton message (même si tu n'as pas explicité ce mot); et ont une logique. Simplement ça ne me paraît pas cohérent dans mon cadre de pensée en cette occasion. Maintenant déjà si on enlève l'idée de la volonté supérieure qui doit VOULOIR faire graviter les autres corps autour en impulsant une rotation, on enlève l'idée du Dieu directeur qui s'implique directement dans la physique de chaque corps et qu'on y met un principe qui émet des ondes tournantes dans l'éther provenant des particules de matière (vortex provoquant des champs de torsion) alors là ça me plait plus (mais il manque pour moi la notion de liaison d'attraction qui doit exister comme force de répulsion de l'éther, donc ça ne me convient pas pour autant comme description de la réalité)

C'est pour ça que lorsque Biganos dit qu'il y a à reformuler, c'est bien plus vrai qu'il ne t'y paraît. On peut donner de la cohérence à certaines choses en approfondissant ses points de vue simplifiés. Encore une fois, il a découvert des choses; mais n'a rien d'un théoricien. A nous en effet de voir comment utiliser ses idées, en les liant à d'autres convergentes pour en tirer profit.

Quant à ses expériences elles sont simples. Elle nécessitent au départ de savoir utiliser une baguette de sourcier pour trouver un lieu d'émergence du "fluide magnétique" pour le capter dans la bouteille et toutes les autres expériences s'en suivent. Donc la première étape est de voir si on a la capacité sensitive de faire cela, sinon de trouver quelqu'un qui l'a pour nous détecter un lieu convenable pour faire l'expérience de la bouteille...

Ce message a été modifié par Chercheur le Vendredi 14 Janvier 2011 à 22h47


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Autre rapprochement possible entre 2 auteurs différents, qui ne se connaissaient probablement pas et qui, à défaut de démontrer leurs théories ont néanmoins "montré" des résultats. Là aussi les mots pour le dire ne sont pas ceux qu'emploierait un prof de physique, mais l'expérience proposée par Leedskalnin (le constructeur du château de corail) n'est pas des plus complexe à reproduire (du moins pour l'attraction), et rejoint assez bien les propos de Dufourg. Je n'en avais pourtant jamais entendu parler en cours de physique, mais bon je ne vole pas très haut et peut-être est-ce quelque chose de commun pour certains.

Extraits du livre de Dufourg: Les Forces de l'univers (Forces brutes 1932)
Page 23
Citation
Or, les molécules des deux pôles sont inégales en puissance.
Car celles du pôle sud absorbent, en les attirant, celles du pôle nord, tandis que les molécules de mêmes pôles en contact se repoussent.
Pour cette raison, les courants qu’elles forment sont d’inégale Force.
L’expérience prouve que l’intensité du pôle sud est plus active que l’intensité du pôle nord.
Dès lors, le courant produit par les molécules sud est plus énergique que celui des molécules nord.
C’est pourquoi je baptise ces courants du nom qui indique et marque leur puissance respective, et je dis :
Courant majeur produit par le pôle sud ;
Courant mineur produit par le pôle nord.

Page 63
Citation
Le pôle sud, le plus actif de la Terre et d’un Aimant, attire les courants de Force mineure, improprement nommés négatifs, et repousse les courants majeurs dits positifs.


Extrait du livre de Leedskalnin: MAGNETIC CURRENT (1945)
Page 6
Citation
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Oui, très belle convergence, tu as bonne mémoire Biganos, bravo d'avoir remonté ça. J'avais bien lu ça chez Leedskalnin, mais oublié cette expérience sur la dissymétrie de la puissance des deux pôles.

Non, ce genre de phénomènes de dissymétrie n'est pas sensé exister. Le seul argument qu'on peut invoquer est la composante du champ magnétique terrestre qui s'additionne au champ de l'aimant et provoque donc une diminution d'un des deux pôles. Mais pour que cela soit visible normalement, il faut que les champs soient d'un ordre de grandeur comparable.

le champ terrestre est de l'ordre de 0,00005 Tesla et celui d'un aimant ferrite de base les moins puissants disponibles est de 0,2 tesla donc 4000 fois plus puissant. Et on peut trouver des aimants ferrites de 0,5 tesla et on peut prendre des aimants Neodyme fer Bore de 1,3 Tesla (rapport de 26000 dans ce cas), ce qui accroît encore la différence. Une telle différence d'ordre de grandeur, même à minima, de 4000, ne devrait produire aucune différence d'effet visible comme l'indique l'expérience.

De plus, le champ magnétique terrestre suit à peu près l'inclinaison de la latitude donc chez nous en France il est incliné à 45° environ. D'où la composante du champ magnétique nord vers le haut est diminuée d'autant par un facteur cos(45°) soit coefficient multiplicateur de 0,7 en défaveur du champ magnétique; donc 4000/0,7=5700 de rapport de puissance (37000 de rapport pour un NeFeBore)

Bref, ce genre de différence ne devrait pas être visible à l'oeil nu, il faudrait des mesures ultra fines pour voir des différences de l'ordre de 5700 fois plus petites que la hauteur des monticules de ferraille soulevés par un pôle que par l'autre.

Je n'ai pas réalise cette expérience ultra simple; il serait bon qu'on soit plusieurs à la mener pour voir si on observe bien la différence annoncée par Leedskalnin et dont on retrouve concordance chez Dufourg (pour le même pôle!!)


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p 121: Captage des énergies par les arbres et différence selon l'essence de bois utilisée
Citation (Dufourg)
Or nous avons appris que le fluide minéral stérilise par brûlure la substance végétale de la graine et que les fluides trop chauds tuent l’animal par désaimantation de sa substance.
En somme, les accidents des dernières expériences sur l’organisme d’un sensitif sont la confirmation de cette Vérité essentielle.
En conséquence, tout fluide dont la proportion minérale dépasse celle de l’organisme dans lequel il est introduit est susceptible d’occasionner des troubles d’autant plus graves que la quantité de fluide minéral y est augmentée.
Nous allons voir que la partie expérimentale sanctionne cette théorie.
Cette fois nous opérons sur une source de fluide magnétique terrestre de nature minérale, c’est-à-dire sur un foyer où l’élément minéral domine l’élément végétal, car tous les courants terrestres sont mixtes dans des proportions variables.
Dès que le courant en circuit s’établit par le conducteur reliant les deux mains du sensitif, l’organisme de celui-ci est ébranlé par des commotions qui l’obligent à rompre le courant par excès de calorique qui atteint le cerveau.
Mais nous opérons sur un organisme dans lequel entrent en quantités variables les éléments chimiques du végétal.
Il est donc intéressant d’expérimenter sur des bois dont l’essence marque des différences bien tranchées, comme les bois blancs tendres et légers et les bois de couleur, lourds et durs.
Plaçons un sensitif sur le tronc d’un saule ou d’un peuplier fraîchement coupés.
Dès que le circuit est fermé, le conducteur tourne sans trop de fatigue pour le sensitif.
La même expérience pratiquée sur le tronc d’un ormeau ou d’un chêne provoque la rotation en sens opposé du premier cas observé.
En outre, le sensitif ne peut résister au courant et doit s’y soustraire après quelques rotations démonstratives.
Les mêmes effets, mais moins violents, sont obtenus lorsque le sensitif se place debout sur la tige et en travers d’un ormeau et d’un chêne abattus depuis quelques mois.

Enfin, une preuve indubitable que le fluide minéral est le seul agent en cause dans les troubles enregistrés se trouve dans ce fait, que les mêmes troubles et le même sens de rotation sont produits par la pierre de carrière et le Sable de mine dont le fluide est de nature minérale. 



En comparaison des informations de Boutard je donne les extraits suivants:

Citation (Boutard @ Brevet p28 du PDF compilé Arsitra)
flux léger périphérique écarté par l’autre hache
de bois qu’est la fascine d’osier, fagot fascinateur.


Citation (Boutard @ Brevet p25 du PDF compilé Arsitra)
En même temps, le flux périphérique, atome léger libéré de l’atome lourd, est monté par les pores,
en sautant, jusqu’au rebord du haut vase de terre cuite où l’on peut le recueillir par un autre
conducteur en métal différent et moins lourd que celui sus-décrit (laiton, bronze d’étain ou bronze
d’aluminium), discontinu ou continu, dans les mêmes conditions que celui du flux d’axe.

[...]

Mêmes résultats si l’on met le conducteur sur un collier de bouchons (chêne-liège, bois-de-lierre,
etc.) flottant à la surface sur le pourtour du vase.

[...]

La différence de poids entre la pierre pesante et le léger bois poreux a donc facilité l’écartèlement et
la séparation en ses deux éléments atomiques de la monade disloquée par le heurt sur les pointes.


Citation (Boutard @ Brevet p30 du PDF compilé Arsitra)
Pour accroître l’étendue de la tension sur ce point mitoyen de la rupture bi-fluide, au lieu de limiter
ce cercle à une ligne circulaire théorique, il convient de décolleter sur un pôle, boréal par exemple,
le rhomboïde de bois lourd servant de moule jusqu’au pourtour de cet anneau en l’allongeant tant
que l’on voudra, même au delà de la ligne neutre entre l’austral et le boréal par évidement de
l’austral.


On voit que Boutard utilise lui aussi la notion de bois lourd (dans les autres écrits qu'on a pu lire il cite l'aubier en exemple) et le bois léger, chacun captant un type de fluide différent: le périphérique léger ou l'axial lourd. On a bien les mêmes informations que Dufourg à ce sujet.

p 122: Circulation des fluides dans les corps: circuits magnétiques
Citation (Dufourg)
Or il n’y a pas que les sensitifs chez lesquels s’établissent des courants avec les fluides atmosphériques passés dans leur organisme.
Certainement leurs pores et leurs nerfs ont un degré de sensibilité caractéristique, puisque les doigts repliés sur le conducteur déversent sur lui le fluide qui y circule en courants.
Tout organisme animal en contact avec le sensitif fait dévier le courant, qui ne peut plus de ce fait arriver au conducteur pour concourir à sa rotation.
Toute main appliquée sur un bras du sensitif interrompt le courant qui est ainsi dévié.
Et si l’on veut avoir un exemple du fil aboutissant à la Terre pour éviter le fil de retour de la télégraphie, il suffit de faire tenir par un tiers une des branches du conducteur pour le voir tourner dans une main du sensitif et dans une main de la tierce personne qui ne concourt pas à la production de la rotation : le courant s’écoule en pure perte après accomplissement du travail mécanique en vue duquel son fluide a été capté et polarisé par l’organisme animal.


p 129: Les polarités magnétiques "végétales" et "minérales" et la composition de l'énergie magnétique animale
Citation (Dufourg)
Nous y disons que le pôle sud minéral de la Terre est en même temps nord végétal.
Et que le pôle nord minéral est sud végétal.
Si les faits sanctionnent ces affirmations, chaque hémisphère terrestre aurait la double polarité. Cette vérité est établie.
Or la puissance des pôles s’affirme par ses effets d’attraction et de répulsion sur les corps et sur les courants.
C’est pourquoi le pôle de l’hémisphère sud ou austral de la Terre attire le pôle nord de l’aiguille de la boussole, en vertu du principe, que deux Forces inégales s’attirent, tandis que deux Forces égales se repoussent.
De même, le pôle sud de la Terre attire le conducteur dans lequel circule un courant mineur, et il le repousse dans le cas où il est parcouru par un courant de Force majeure.
C’est la manière infaillible de déterminer la puissance de chaque hémisphère terrestre et la puissance des pôles des organismes végétaux et animaux.
C’est le procédé qui nous a permis de découvrir la division en deux Forces distinctes du magnétisme terrestre : un fluide minéral qui agit sur l’aiguille de la boussole, et un fluide végétal sans action sur le premier.
Leur nature différente les rend antagonistes dans leurs effets.
Et comme ces deux masses forment la totalité da fluide magnétique terrestre, chaque hémisphère a sa part de fluide minéral et de fluide végétal. Seulement, en raison de ce qu’ils se comportent comme deux Forces distinctes dans le rôle qu’ils ont à jouer par association, le fluide majeur minéral est en concours avec le fluide mineur végétal, tandis que le mineur minéral est associé au majeur minéral.
C’est pourquoi chaque hémisphère terrestre a la double polarité, par représentation de chacun des deux fluides qu’il produit.
L’hémisphère sud majeur minéral par rapport à son action sur l’aiguille de la boussole et son influence attractive sur le courant mineur minéral, est l’hémisphère nord du fluide végétal.
Et l’hémisphère nord minéral est hémisphère sud végétal.
A l’égard du fluide minéral, cette polarisation terrestre n’est pas contestable : c’est par elle que les navigateurs peuvent tracer sur l’eau des océans les routes par lesquelles ils atteignent tous les ports du monde.
Quant à la polarisation terrestre du magnétisme végétal, elle se déduit de son action attractive et de son action répulsive sur les courants de fluide végétal établis dans les conducteurs dont les axes sont formés par les mains du sensitif.
En outre, les faits montrent que la polarisation végétale terrestre est inverse de la polarisation minérale.
Enfin, le fluide animal, fait de neuf parties de fluide végétal, se comporte comme celui-ci.
Il importait de bien établir l’action du magnétisme végétal sur toute la surface du globe terrestre pour justifier que ce fluide passe dans l’atmosphère après avoir vaincu la résistance du sol où nous le puiserons en tant que de besoin.


p 135: fluide émis par l'homme et les clairvoyants: moyen de connaître l'état de santé - moyen de se "recharger"
Citation (Dufourg)
La preuve de la double polarité de notre organisme a été faite par l’influence attractive et par l’influence répulsive des deux mains.
Egalement, la preuve de la polarisation du fluide attiré a été faite par les pieds.
Car pour circuler en courants de Force sur un courant mis en rotation, il faut que le fluide soit polarisé.
Maintenant, le fluide qui s’écoule à l’extérieur par les extrémités digitales porte-t-il une marque particulière, un signe distinctif de sa polarité ?
Nous l’affirmons sur la foi que nous en donne un visionnaire, qui doit être soumis à un rigoureux contrôle avant de proclamer l’infaillibilité de cette méthode investigatrice en matière si délicate, si grosse de conséquences pour la santé publique.
Une lumière intense en absorbe une autre moins vive.
C’est la raison qui nous invite à procéder dans l’obscurité à l’examen des fluides émis par l’organisme animal.
Généralement, le pôle majeur minéral dit positif est à droite : le fluide qui s’écoule par les doigts est d’un beau rouge.
En ce cas, les doigts de la main gauche émettent un fluide d’un beau bleu accusant le pôle mineur de ce côté.
Les effets de chacun des deux pôles sur le conducteur s’affirment par l’attraction et par la répulsion.
Dans les cas d’exception où le côté gauche est majeur minéral au dire du visionnaire, que la couleur du fluide renseigne, on a recours à l’expérience pour s’assurer de l’exactitude de cette précision.
La faculté du visionnaire est particulièrement précieuse dans les cas d’affaiblissement général ou partiel de l’organisme.
La couleur vive du rouge et du bleu du fluide des pôles est un indice de toute la Force qu’un organisme peut posséder.
Toute altération de couleur marque une diminution de Force et un changement d’orientation si, par exemple, le rouge du côté majeur s’offre sous l’aspect rougeâtre.
En ce cas, le côté majeur, attractif dans l’état de bonne santé, devient mineur et répulsif par suite de faiblesse révélée par la couleur altérée du fluide émis.
Confirmée par les effets de l’expérience, cette précision du visionnaire est d’une importance capitale : elle mérite l’attention non seulement du médecin guérisseur, mais de tous ceux qui ont quelque souci de leur santé.
Enfin, lorsque la couleur des deux pôles est altérée, l’attraction et la répulsion sont affaiblies.
Nous avons eu des cas où elles étaient annulées par la faiblesse du fluide dont la couleur tend de plus en plus vers le blanc.
Toutes ces indications, données par le visionnaire en exploration dans le cabinet noir, résultent de la couleur des fluides émis par les extrémités digitales ou des orteils des sujets soumis à l’examen des Forces en activité dans leur organisme.
Et comme la puissance de ces Forces conditionne le degré de santé avant la manifestation des maladies, on peut considérer le visionnaire comme le plus précieux instrument de mesure des Forces vitales.
On comprend maintenant pourquoi les mieux doués de ces sujets privilégiés étaient honorés dans l’Antiquité, et pourquoi ils jouaient un rôle important dans les temples, où l’on s’occupait à la fois de science et de morale comme étant deux parties inséparables de la même OEuvre.
Passons à la partie expérimentale pour preuve que la Terre nous fortifie.
Toute nourriture insuffisamment substantielle affaiblit l’organisme qu’elle alimente : ce sont les cas de faiblesse partielle et de faiblesse générale dont nous venons de parler.
Les causes de faiblesse sont nombreuses : excès de travail, abus de toute sorte, peines morales, etc.
Lorsqu’elle est constatée par la vue directe des couleurs et par ses effets dans les conditions indiquées, on la combat en faisant séjourner le sujet sur un puissant foyer terrestre régénérateur de la Force vitale.
Dix, quinze, vingt minutes de promenade sur une puissante source de fluide végétal bienfaisant – il y en a de malfaisants – suffisent pour pourvoir l’organisme de la Force qui lui fait défaut.
La faiblesse partielle ou générale, constatée par changement de polarité ou par diminution de Force attractive et de Force répulsive, disparaît après cette réaimantation de l’organisme.
En effet, on constate que la polarité est redevenue normale et que l’attraction et que la répulsion ont augmenté de puissance.
En outre, des sujets plus sensibles que d’autres à l’action des fluides se sentent plus vigoureux, tandis que certains sensitifs ont l’impression que des courants chauds circulent dans leur organisme.
Mais ce qui ressort de clair et de précis de cette réaimantation d’organisme affaibli, ce sont les effets mécaniques, que tout le monde peut contrôler, pour preuve irrévocable de la valeur de la méthode régénératrice des sujets qu’elle fortifie.
En conséquence de ces faits, contrôlés les uns par les autres, la Terre ne nous alimente pas seulement par la production de produits végétaux.
Elle nous fortifie par action séparée des fluides puisés à de puissantes sources de réaimantation.


p 142: régénération du fluide animal par la terre: technique de soin simple
Citation (Dufourg)
Il ne faut pas confondre les terrains magnétiques avec les fluides émis par les eaux souterraines en nappes et en courants.
Un terrain est magnétique dans le sens que nous l’entendons lorsqu’il produit une abondante montée de fluides issus de la dématérialisation de corps terrestres et non d’eau souterraine.
On trouve ces terrains aussi bien dans les plaines que dans les lieux accidentés par des mamelons, des collines et des montagnes.
Ils sont des sources de santé en raison de la puissance calorique qui en émane, comme les sources d’eaux chaudes dites thermales sont des eaux médicinales.
Qu’elles soient sulfureuses, sulfatées, alcalines, ferrugineuses ou gazeuses, les eaux sont utilisées en vue de combattre des affections précises, tandis que les fluides des terrains magnétiques s’appliquent à renforcer la santé générale, à régénérer l’organisme.
Leur emploi a pour but de prévenir les maladies, en maintenant le corps à un degré de calorique qui empêche les fluides viciés d’occasionner des ravages sur sa substance.
Mais ils sont les plus purs éléments de formation de la substance en état perpétuel d’évanouissement, à la condition qu’ils n’émanent pas de sources viciées.
Il y a plusieurs manières d’appliquer ces fluides au traitement des sujets affaiblis.
Il suffit d’établir avec les fluides une atmosphère dans laquelle baigne le sujet qui les y puise par attraction : la soie, la laine et le caoutchouc, dont sont imprégnés les tissus imperméables, sont des isolants dont on ne doit pas se couvrir.
En creusant un trou circulaire ou rectangulaire de un mètre quatre-vingt centimètres de profondeur, on est sûr que dans cet espace vide, il s’établira une atmosphère de fluide dans laquelle le sujet, après un séjour variable et dont la durée doit être en rapport avec son degré de faiblesse, puisera l’énergie qui lui manque.
Ce procédé, le plus simple et le moins coûteux, a le désavantage de ne pas répondre à la commodité à laquelle on donne la préférence à cause de la descente acrobatique dans l’excavation dont les proportions doivent être réduites.
On préfère entrer de plein pied dans une cabine aménagée sur le terrain magnétique et s’asseoir sur un siège fixé.
Prévoyant que cette médication naturelle remplacera à l’avenir les drogues intoxicantes, nous n’hésitons pas à en proclamer les bienfaits, en précisant que pour prévenir les maladies, il faut veiller à ce que la somme de fluide vital ne descende pas au-dessous de son niveau.
Dans les cas les plus rebelles, vingt jours de traitement suffisent pour rétablir l’équilibre des Forces organiques.
Nous avons assez expérimenté, avec des succès satisfaisants, sur des cas désespérés et abandonnés pour demander que l’on revienne au plus tôt à la médecine de l’Antiquité, par les fluides et par les plantes régénérées.
On aurait de la peine à croire qu’un sujet épuisé, qu’un neurasthénique, dont l’anémie cérébrale voisine la folie, peut guérir en se couchant sur la terre d’un champ magnétique et en renouvelant l’expérience pendant quelques jours, sans toutefois abuser de cette médication aussi simple que scientifique.
L’ignorance que l’on a de ces Forces n’autorise pas à nier les guérisons qu’en obtenaient dans l’Antiquité les grands maîtres de la science.
Les miracles de Jésus n’étaient que l’effet des Forces qu’il condensait sur lui-même, comme nous les condensons sur les dispositifs qui nous permettent de les utiliser pour l’accomplissement des prodiges qui nous auraient valu, au moyen âge, les honneurs du bûcher et que des officiels, par crainte d’être éclipsés, ont tenté d’étouffer.
Les princes des prêtres, les scribes, les pharisiens et les publicains d’il y a deux mille ans ont leurs successeurs dans la nuée de savants et de moralistes contemporains qui souffrent de ce que leurs doctrines sont déclarées entachées d’erreur et de mensonge par des hommes indépendants qu’ils ne vaincront pas.


p 146: réfabrication d'un membre amputé et resusciter un mort: on aurait aimé avoir plus d'info sur l'enquête!
Citation (Dufourg)
Nous connaissons deux frères : mobilisés le même jour dès le début, de la guerre européenne, en août 1914.
L’aîné eut la main gauche emportée par un éclat d’obus.
Recueilli avec un autre blessé par un médecin qui les mit en lieu sûr et secret, la main ne fut pas réparée : elle fut refaite en entier, soudée et greffée au poignet.
Cette main n’est pas inerte et sans vie, mais elle est l’image vivante de celle qu’elle a remplacée.
Et n’étaient le point de soudure et quelques particularités, que d’ailleurs l’on trouve dans de très nombreuses mains jumelles d’homme qui ont travaillé, il n’est pas possible de distinguer la main refaite de celle qui n’a pas été blessée.
Le frère de ce miraculé par des procédés éminemment scientifiques, que nous expliquons, ne fut pas moins heureux que son frère aîné.
Grièvement blessé à la tête, il fut opéré dans un poste de secours, c’est-à-dire un peu à l’arrière du champ de bataille.
Après l’opération et constatation de son décès, son corps fut jeté dans le tas des cadavres destinés à être déposés dans la fosse commune : c’était sur la fin du jour.
Dans la nuit, le corps de ce soldat fut emporté par des mains mystérieuses, confié à une vieille femme d’origine belge qui le soigna comme son enfant et mis en lieu sûr.
Comme son frère, il fut soustrait à l’autorité militaire.
Et revenus à la santé, l’un et l’autre, préservés de la mort par une Volonté supérieure, se sont consacrés à une mission de la plus haute importance morale sous un nom d’emprunt.
Lorsque la mère se lamentait quand elle fut avisée de la mort du fils que l’autorité militaire annonça, nous la consolâmes en lui affirmant que son fils vivait.
Avant la fin des hostilités, on annonça à la mère la mort de son fils aîné, mais qu’elle savait vivant.
Il appartient à ces deux sujets de faire constater ce que nous avançons pour preuve de ce que peuvent ceux qui sont au courant des Forces dont nous nous occupons.
C’est le seul moyen de triompher de l’incrédulité publique.
Car il n’est pas possible de douter de la mort d’un soldat dont l’autorité militaire envoie à la mère les objets trouvés dans ses poches et qu’elle reconnaît.
Mais impénétrables pour ceux qui ne sont pas renseignés sur les propriétés des Forces Intelligentes, ces mystères méritent d’être développés avec toute l’ampleur digne de tels sujets.
Jusqu’ici nous nous sommes appliqué à l’étude des Forces Brutes et des lois qui les régissent et principalement à justifier que la matière peut changer de forme sans jamais disparaître, enfin qu’elle est immortelle.
Certainement ce sujet n’est pas épuisé, et il y a beaucoup de choses à en dire.
Nous en avons esquissé les lignes principales qui suffisent pour l’explication de phénomènes dont nous n’avons pas parlé.
Lorsque nous disons qu’il appartient aux deux frères, bénéficiaires de la guérison obtenue dans des conditions mystérieuses, de se faire connaître, nous entendons qu’ils donnent la preuve de ce que nous avançons pour que ces deux faits entre tant d’autres aient la sanction qu’ils méritent et qu’ils ne restent pas le secret de ceux qui les connaissent.
Celui que les médecins militaires ont déclaré mort après avoir jeté son cadavre parmi ceux qui furent ensevelis dans la tranchée commune sera pour eux un ressuscité d’entre les morts.
Et celui qui a eu sa main refaite sera un exemple des prodiges accomplis dans l’Antiquité et de ce que l’on peut obtenir de sujets prédisposés à ces phénomènes.
Pour rétablir la main dans son état primitif, pour édifier cet organe et obtenir l’équilibre de ses cellules vivantes, il a bien fallu que le Canevas Fluidique existât.
Car sans lui, sans le Plan, on n’aurait qu’une masse de substance informe par suite de sa désagrégation, puisqu’il est le support et la Force équilibrante des molécules qui y sont matérialisées.


p 148/149/151: tchnique non révélée de vision à travers la matière par ses fluides: photographie de k'invisible
Citation (Dufourg)
J’appelle Invisible tout ce qui échappe à ma vue : invisible par éloignement ou par interposition de corps opaques.
Un document secret déposé dans un coffre-fort scellé à un Mur intérieur d’une habitation, voilà pour moi l’invisible.
Des soldats et des engins de destruction dans un ouvrage souterrain sont pour moi des corps invisibles.
Eh bien, peut-on photographier ces divers corps invisibles ?
En un mot, peut-on trouver des rayons assez pénétrants pour que les corps opaques ne fassent pas obstacle à leur propagation ?
La radiographie et la télégraphie sans fil consacrent le principe scientifique de la question et ferment éternellement la bouche à quiconque essaierait de nier la puissance des énergies en cause.
Alors pourquoi voudrait-on nier a priori la découverte d’une énergie en quelque sorte aussi pénétrante que la pensée, à la pénétration de laquelle aucun corps opaque ne fait obstacle ?
Mais cette énergie, je la connais et je l’utilise depuis plusieurs années. J’en jongle avec autant de précision que des énergies avec lesquelles je procède aux expériences publiques que vous contrôlez et dont les merveilleux résultats feront crier au miracle. Cependant les représentants de la science officielle me fuient, bien qu’ils sachent que je peux assurer la prospérité et la richesse nationales.

[...]

Les Forces que j’utilisais et l’explication que je donnais de leur nature et de leur puissance, dans la production des résultats qu’il avait contrôlés, ne lui permettaient pas de douter que j’avais découvert des rayons capables, tout comme l’Ether, de pénétrer les corps solides.

[...]

Et maintenant, pour satisfaire la curiosité ou la cupidité de gens malveillants, dois-je dévoiler la nature des rayons d’éclairement de la photographie de l’invisible et la manière de les utiliser ?
Evidemment non, puisque l’intimité de tous les intérieurs et le secret de tous les écrits pourraient être violés par la reproduction photographique qu’en feraient des professionnels peu scrupuleux.
Des photographes de profession consultés à Toulouse m’approuvent. Si je ne publie pas leur nom, c’est parce que leur modestie pourrait en souffrir.
Ce procédé ne doit être employé que dans des circonstances exceptionnelles extrêmement graves où la sécurité d’un Etat est en jeu. C’est un secret qui ne doit pas tenter son dépositaire, serait-il dans la plus profonde misère. Car des gens peu scrupuleux ne manqueraient pas d’offrir de grosses sommes pour la violation de secrets qui répugne à une conscience honnête.
Il y a aussi dans la Nature des Forces capables de morigéner à de longues distances les misérables qui tenteraient de déclencher la guerre entre peuples voisins. Que ceux-ci se le tiennent pour dit, car ils pourraient être les seules victimes de leur tentative fratricide.
La télégraphie sans fil est le principe de cette électrocution à divers degrés, possible par la mise en oeuvre des Forces qui nous baignent.
Les énergies que j’utilise ne troublent en aucun cas l’ordre établi, au début des âges, dans notre planète et son atmosphère, ordre troublé par l’homme avec son progrès matériel, qui ne lui permet pas, dit Gustave Lebon, dans son livre, L’Evolution des Forces, de connaître la véritable raison première des choses, ni même les causes réelles d’un seul phénomène.


FIN de LECTURE du LIVRE


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Expérience de la bouteille:

Après avoir utilisé la baguette de sourcier pour trouver une zone de terrain magnétique (source d'eau en-dessous selon la baguette de sourcier, voir lien ici à ce propos: https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...ndpost&p=17434), j'ai balisé avec 4 piquets la zone donnée par la baguette.

J'ai creusé au milieu pour y enterrer 3 bouteilles: une avec un fil de cuivre (provenant d'une gaine de 7 fils de cuivre de 6mm² de section totale que j'ai dégainé) piqué dedans, une avec un fil de fer galvanisé (fil de fer de magasin de bricolage; dans cette première expérience je n'ai pas gratté la couche galvanique qui protège le fer) et une bouteille témoin. Chaque bouteille contient au fond 7 cuillères à café pleines de sel de mer (gros sel). Les bouteilles (de vin, achetés pour l'occasion et contenu vidé dans l'évier; je ne bois pas d'alcool) ont été séchées au sèche cheveu après que j'ai décollé les étiquettes dessus en les trempant dans l'eau bouillante.
Il restait quand même un peu d'humidité dedans. Avec tout le sel que j'ai mis, ça ne sera pas un gros souci.

Les bouchons de liège ont été bien lavés et ensuite le fil piqué à travers grâce à une grosse aiguille à coudre qui a fait le trou de passage. Le trou est fermé au-dessus par de la cire déposée en quantité (cire de bougie) et la cire a aussi été déposée sur le pourtour du bouchon au cas où. Il devrait y avoir étanchéïté.

J'attendrai 48h avant d'aller voir ce que ça a donné.

Voici les photos des étapes de l'expérience:
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cire déposée sur les bouchons:
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fond des bouteilles avec du sel:
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zone de terrain balisée avec la baguette de sourcier:
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trou creusé et dépôt des bouteilles dedans, au milieu (je n'ai pas pu creuser aussi profond que je voulais, ayant rencontré du caillou ensuite; donc je recouvre de terre par dessus après, ce qui dépassera):
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vue des bouteilles déposées:
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disposition des fils de chaque bouteille dans le sens horizontal (dans une tranchée); dans l'axe du cours d'eau détecté pour que les fils soient baignés dans les flux:
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le tout est bien enterré et recouvert ensuite:
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Un piquet de repérage a été déposé à proximité du centre et les 4 piquets de balisage enlevés, pour que ça ne soit pas trop voyant. Le piquet de repérage est quelque peu camouflé par un peu d'arbuste mis là.

La suite dans plus de 48h.

PS: j'ai mis le sel DANS le fond des bouteilles. A la lecture de l'expérience décrite, on voit que le sel pourrait avoir été mis sous la bouteille dans une première version et dans la bouteille dans une autre version. Si le test ne donne rien j'essaierai avec le sel en-dessous de la bouteille, mais la bouteille mise alors hors de la zone de flux magnétique. On verra.


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Je suis allé récupérer les bouteilles laissées pendant 3 jours et demi.

En arrivant j'ai pu constater que le haut du bouchon de deux bouteilles sur les 3 (les deux bouteilles avec le fil de métal) était à découvert; dépassant de la Terre. Comme le trou n'était pas assez profond j'avais recouvert de terre; manifestement cela s'est dégagé de trop avec la pluie de ces deux derniers jours. Toutefois seule une partie du bouchon état dégagé, la bouteille restant dans le noir. le fil était quand même exposé à la lumière sur la partie connexion au bouchon:
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Observation des résultats: aucun résultat visible. Aucune brume dans les bouteilles. l'étanchéïté à la cire a bien été assurée, malgré deux jours avec des épisodes de pluie par moments:
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Donc l'expérience est négative. Les bouteilles n'étant pas corrompues, je les ai ré enterrées; après avoir passé du temps à détecter un noeud du réseau Hartmann qui est situé au-dessus du cours d'eau. Voilà le détail de cette recherche ici:
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...indpost&p=17510

J'ai donc une zone qui devrait être normalement plus magnétique encore. De plus en creusant, je ne suis pas tombé sur des pierres in-enlevables, et j'ai pu aller plus profondément, assez pour pouvoir mettre les bouteilles entières dans le trou, sans que le haut ne dépasse cette fois-ci. J'ai aussi adopté la stratégie de mettre le fil de métal de chaque bouteille dans le sens du champ magnétique tellurique, sens vertical.

Chose intéressante: la pluie avait mouillé la terre en surface, sur quelques centimètres, ensuite je suis tombé sur de la terre sèche; donc pas imprégée par les dernières pluies. Mais en allant à 35cm de profondeur, d'un seul coup, j'ai trouvé de la terre mouillée, de la boue presque. Il semble que j'approche d'une nappe d'eau; ce qui veut dire que la détection de source d'eau semble quand même accréditée par cet élément qui joue en faveur.:
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J'ai mis les bouteilles:
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Et enfin enterré proprement avec un petit bâton de repérage rouge discret:
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Donc j'irai déterrer tout ça plus tard, voir si il s'est passé quelque chose ou pas.


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Récupération des bouteilles dans le trou après un peu plus de 3 jours.

La zone repérée par un piquet, était restée parfaitement recouverte, j'avais creusé assez profond:
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Je dégage les bouteilles qui sont là avec les bouchons en bon état (cire protectrice toujours dessus):
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Je sors les bouteilles et les essuie avec un mouchoir papier. Résultat: néant. Aucun signe particulier observable à l'intérieur d'une des bouteilles:
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Donc l'expérience n'a pas marché. Soit le terrain n'est pas assez magnétique, soit l'expérience est mal menée (le sel ne doit peut être pas être disposé ainsi ou en telle quantité), soit le principe même ne fonctionne pas.

J'ai voulu re-mesurer les distances entre murs Hartmann, pour avoir une meilleure moyenne. J'ai balisé les lignes en marche Est-Ouest et là ... surprise!
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Mes murs sont espacés de 2m80 à3m10 en moyenne; avec une extrême à 2m60 et un autre à 3m40; disons qu'on a une bonne moyenne de 3m d'espacement. Ce n'est pas du tout l'espacement que j'avais la dernière fois. Je suis repassé sur mes lignes plusieurs fois, et à 10cm près les lignes de bord des murs je retombe dessus à chaque fois. J'ai fait trois zones de mur et c'est toujours la même chose.

Donc je prolonge dans la zone où j'avais placé les bouteilles, et là je vois que la zone n'est carrément plus dans le mur Hartmann Est-Ouest ù elle était initialement. Je refais la recherche du mur Nord-Sud et lui par contre est bien exactement au même endroit. Comme il commençait à pleuvoir, je n'ai pas eu le temps de mesurer d'autres murs Hartmann en marche Nord-Sud pour voir si ils s'étaient déplacés et si leur espacement avait changé. En tous cas celui de la zone des bouteilles était exactement au même endroit; et je suis repassé 3 fois sur chaque piquet pour être sûr là aussi.

Du coup j'ai mis les piquets balisant le noeud, à l'intersection du mur Hartmann Est-Ouest et Nord-Sud, et j'ai disposé des piquets en étoile au sol là où étaient les bouteilles; pour qu'on voit bien le déplacement:
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Ainsi les murs se sont déplacés; et c'est tout un pan de grille qui l'a fait (leur espacement a changé). Il y a donc une dynamique dans leur position, qui dépend de quoi? météo? une certaine forme de bio-vie planétaire? Aucune idée. Je ne savais pas que ces murs n'étaient pas forcément fixés.

Donc les bouteilles n'étaient plus dans le noeud; et ce depuis quand, je ne sais pas. L'expérience a donc été sensiblement identique à la première dans la source, hors noeud (on était quand même dans un des deux murs). Peut être donc le terrain était insuffisamment magnétique. Même dans le noeud, je ne sais pas si l'émission magnétique aurait été suffisante.

Prochaine expérience prévue dans plus longtemps, j'enterrerai les bouteilles sur le mont Bugarach; là le terrain est très réputé pour sa très haute émissivité tellurique au niveau mondial et j'habite à 60km environ. Donc je trouverai une occasion d'y aller. Si ça ne marche toujours pas; là on aura atteint des sommets de terrain magnétique (au sens tellurique) et il faudra remettre en cause soit la manière de disposer le sel soit le principe même de fonctionnement de l'expérience. Je ne sais pas quand j'irai; je reviendrai poster ici quand ça sera le cas.

J'ai quand même ouvert mes bouteilles là et les laisse à l'air libre, le fil de métal plongé dans le fond; voir si il se passera quelque chose; mais vu qu'aucune brume n'était visible...


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Ecrit le: Samedi 05 Mars 2011 à 11h16 Posted since your last visit
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J'ai donc recommencé l'expérience avec les bouteilles. J'ai lavé les bouteilles et les ai placées au four à 70°C pour évaporer toute trace d'humidité. J'ai profité qu'elles étaient encore très chaudes pour les remplir cette fois-ci de sel fin de table, et pour boucher (après avoir aussi nettoyé les bouchons des anciennes traces de cire et refait passer les fils à travers; celui de fer galvanisé ayant été remplacé par un neuf et celui de cuivre simplement frotté et lavé). En se refroidissant l'air dedans va aspirer les bouchons créant une dépression légère qui va tout aider à mieux fermer encore. Les trous de passage des fils sont fermés à la cire pendant que tout était chaud:
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Puis je suis allé au mont Bugarach dont on voit la photo depuis le parking de stationnement (il était dans la brume et il faisait un temps plutôt pas terrible; il a même pleuviotté en cours de route; chemins boueux):
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J'ai parcouru 30min de marche environ avant de décider que j'étais assez près de la zone émissive magnétique (je ne pouvais pas amener tout ça au pic, il est indiqué 1h30 de marche de randonnée sur le panneau touristique du parking; mais à chaque fois que j'ai fait l'ascension ça m'a pris entre 2h30 et 3h; je l'ai fait l'été dernier et il m'a fallu 3h; je ne suis pas un randonneur normal; mais un randonner pas athlétique).

Chose très intéressante: je suis allé en haut du pic l'été de l'an dernier encore, et je n'ai jamais rien senti de spécial là bas. Je suis déjà allé dans des lieux sensés avoir une forte émissivité (cathédrales de Chartres,hauts lieux en France, etc) sans JAMAIS rien ressentir de particulier depuis 10 ans que j'ai pu visiter des lieux spéciaux (sensés l'être).

Là j'ai senti, arrivé à un certain moment de ma marche, que tout mon corps était dans un état particulier de tension intérieure; et notamment dans la tête, une tension plus forte; et un état particulier que je ne pourrais expliquer de fourmillements dans la tête; pas vraiment des foumillements... bref je pense que c'est ce qu'on appelle "ressentir la vibration du lieu". Quand je suis redescendu, j'ai noté à un moment donné de ma marche que je ne ressentais plus du tout cet état qui a cessé sur la fin du chemin pour retourner au parking. J'ai donc semble-t-il développé une sensitivité quelconque qui fait que je peux sentir l'émissivité du lieu. C'est probablement ce développement qui fait que j'arrive bien à manipuler les baguettes. Ce qui a changé depuis l'été dernier essentiellement c'est que depuis je porte presque tout le temps sur moi ce médaillon RUS antenne scalaire/Lakhovski qui émet des ondes scalaires à partir du champ EM ambiant solaire (dont j'ai mesuré une émissivité avec les baguettes d'ailleurs, voir sujet sur la géobiologie). Bref, en tous cas j'ai effectivement senti que j'étais dans un lieu qui émet quelque chose.

Je suis allé m'enfoncer un peu dans la foret et ai cherché un lieu où enterrer les bouteilles. La croix rouge indique la zone de forêt ou ceci a été posé: on voit que la zone "d'émissivité" commence assez loin du centre du pic, mais pas à la zone du parking (il faut compter 20min/25min de marche pour y entrer, à mon rythme de marche):
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Ne sachant où poser les bouteilles, je me suis dit que je pouvais les mettre dans un noeud du réseau Hartmann. J'ai cherché à faire la grille du réseau (j'avais amené tout mon matériel) mais avec les arbres en réseau très dense ça a été très long et difficile. A chaque fois que j'ai pu trouver un noeud, comme par hasard il y avait un pied d'arbre dessus, même il semblait que le réseau se déformait de manière non linéaire pour être comme capté par un pied d'arbre au niveau d'un noeud. Je soupçonne que les arbres soient capables d'attirer le réseau d'éther qui les entoure afin que le noeud converge vers eux. Bref j'ai fini par me décider à creuser le trou dans un endroit positionné seulement dans un mur Hartmann dont j'ai matérialisé l'épaisseur par deux bâtons rouges plantés au sol:
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Impossible de creuser profondément, les racines des arbres créant un réseau dense dès 2 ou 3cm de profondeur; j'ai dû en couper de nombreuses pour me faire une petit place. Comme la forêt était en pente, j'ai décidé de placer les bouteilles en suivant la pente; et de faire traverser le mur Hartmann par les fils de métal disposés en travers, le tout dans le sol à quelques centimètres sous la surface. J'ai aussi placé les bouteilles de façon que le bout du fil de métal qui est dans la bouteille soit bien mis dans le milieu du tas de sel du fond de bouteille.

Puis j'ai tout recouvert et ai enlevé mes deux piquets matérialisant le mur Hartmann, laissant d'autres piquets pour retrouver mon système à déterrer la semaine prochaine:
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J'irai chercher tout ça dimanche dans une semaine et voir si il s'est enfin produit quelque chose dans les bouteilles. Dans le cas contraire je jetterai l'éponge, n'ayant pas d'autres terrains "magnétiques" pour tester l'expérience.


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Ecrit le: Samedi 05 Mars 2011 à 11h48 Posted since your last visit
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Bonjour Chercheur,

F. Dufourg ecrit dans un des extraits que la chaleur semble être un élément clé permettant la remontée du fluide éthérique du sol vers l'air libre. Si l'expérience est négative, peut être faudrait il la refaire en été ? Juste une idée...
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Ecrit le: Samedi 05 Mars 2011 à 12h44 Posted since your last visit
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Effectivement tu as raison, merci du rappel intelligent. Il dit de plus avoir fait l'expérience de piquer les fils de métal dans un sol magnétique rendu particulièrement plus magnétique par la chaleur d'un grand soleil d'été et après 2 jours de ce traitement, avoir disposé ce fil dans une bouteille avec sel ce qui a attiré le magnétisme condensé par le fil provenant du terrain.

Donc expérience avec fil et bouteille séparées; le fil seulement exposé; mais là il parle de l'accroissement du magnétisme sous la chaleur du soleil d'été. Les rayons solaires ne doivent pas apporter que la chaleur... ils doivent être porteurs d'un des flux d'éther aussi je pense. Donc bonne idée à mettre de côté.


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Ecrit le: Dimanche 13 Mars 2011 à 21h41 Posted since your last visit
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Récupération des bouteilles au Bugarach aujourd'hui, donc après 8 jours d'expérience.
Après les pluies de ces deux derniers jours j'avais peur que l'eau ait raviné dans la forêt en pente où j'avais enterré les bouteilles à faible profondeur (difficulté d'enterrer profondément à cause du réseau dense et solide de racines).

Il faisait beau et grand soleil aujourd'hui, et chaud; beau temps pour aller récupérer tout ça.

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J'ai essayé de noter la zone où je sens que l'environnement est différent; cette tension intérieure que j'ai senti de nouveau. Je ne sais pas où ça commence mais à partir de là je sais que j'y suis:
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J'avais laissé des piquets de repérage cachés comme le petit poucet, sur un axe Sud-Nord, avec un point de départ permettant de retrouver mon lieu d'enterrement. Je l'ai trouvé facilement. J'ai pu constater que mes peurs étaient infondées: les bouteilles étaient restées parfaitement recouvertes:

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J'ai donc commencé à déterrer:
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Je voulais voir rapidement si quelque chose apparaissait dans les bouteilles, avant que la lumière n'ait le temps éventuellement de le décomposer. J'ai essuyé le dessus des bouteilles; mais il n'y avait rien à voir:
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J'ai fini de tout déterrer et bien essuyé pour des photos claires: vraiment rien à voir dans les bouteilles:
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Agrandi de la bouteille avec le cuivre pour le détail de l'intérieur:
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Donc l'expérience a été un échec total. Pourtant j'étais bien dans un haut lieu cosmo-tellurique connu de tous les sensitifs; connu de plusieurs amis qui ont la sensibilité (le magnétiseur/sourcier qui a soigné mon fils pour sa verrue il y a 3 semaines avec grand succès me l'a confirmé aussi qu'il sentait un puissant magnétisme là bas) et ma sensibilité récente m'a fait sentir que j'étais en l'emplacement des bouteilles dans une zone spéciale en effet.

Les bouteilles sont bien restés dans le noir sans discontinuer, bien ensevelies; avec du sel dedans au fond et cela pendant 8 jours; bien plus que les 48h de M. Dufourg. Et il n'y a strictement rien eu.

Soit:
1) Le protocole de la bouteille est mauvais et le peu qu'il y a dans le livre n'est pas assez descriptif pour faire ça bien (notamment le sel au fond: dan sla bouteille vraiment comme ça au fond?)
2) Cette histoire ne marche pas du tout.

Donc je ré essaierai en été pour voir ce que ça donne au chaud, et peut être plus au coeur de la montagne; mais jusqu'à preuve du contraire il y a un hic.


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Ecrit le: Dimanche 27 Novembre 2011 à 11h48 Posted since your last visit
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J'ai fait connaissance de quelqu'un ayant la capacité de voir les énergies des lieux (clairvoyant, mais pour les sources telluriques ou cosmiques d'énergie).

Il voit l'énergie sous la forme de vortex montant quand elle vient du sol (tournant dans un sen sou l'autre et jusqu'à une certaine hauteur) ou descendante cosmique; ou les courants telluriques au sol.

Je lui ai envoyé les photographies des zones où j'ai enterré les bouteilles, aussi bien la zone en campagne que la zone à Bugarach.

Il ne voit rien du tout et ne mesure rien du tout de spécial à ces endroits là. Il est aussi radiesthésiste et n'a rien mesuré de puissant à ces endroits là.

Donc ça parait logique que rien ne se soit passé. Comme je le disais, il me manque des moyens de mesure pour savoir si je suis à un endroit "magnétique" convenable selon les mots de Dufourg.


Par conter il m'a donné à 50km de chez moi (sur le chemin pour aller à Bugarach, donc en fait un peu moins loin que mon dernier test) un endroit dont il a fait l'étude car il compte y aller et où il y a une fontaine tellurique en vortex tournant, un endroit suffisamment bien expliqué pour que je puisse le localiser exactement, je veux dire être dessus au centimètre près, car il y a un marquage.

Donc il faut que je passe voir si le sol de l'endroit se prête à pouvoir enterrer les bouteilles (ce qui n'est pas certain) et y refaire l'expérience.
Voilà avec des informations comme ça on peut essayer d'avance, car sans détecteur on y va à l'aveugle. Mes détections Hartmann ou d'eau c'est bien mais bon il n'y a rien de spécial là-dessus; et ça je ne sais pas comment le savoir tout seul. Voilà un peu d'aide pour relancer la machine.


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