Orgone - Wilhelm Reich, théorie et expériences

Conseil: ne pas couper la bande de laine d'acier à longueur du plaid avant de l'avoir étalée; car lors de l'étalement, la bande se rétracte dans le sens de la longueur; du coup elle devient trop courte. Il faut mettre à longueur, étaler à la bonne dimension (règle à la main) puis couper ensuite.


Voilà, la deuxième couche a été posée et les 5 lignes de couture réalisées.


Comme ça je peux faire un compte du temps à prévoir par couche, avec l'habitude:
1h40 pour la réalisation de la couche elle-même
50min pour la couture des 5 lignes de points
Découpe des volants du plaid et disposition correcte sur l'autre (la laine d'acier accroche): 10min
Soit 2h40 par couche

Quand j'en aurai marre, je passerai peut-être à 3 lignes de couture seulement.

Pour ce qui est de la masse de laine d'acier, j'ai pesé le restant après avoir fait 2 couches.
J'obtiens 360g de laine d'acier 0000 par couche.
Soit 173g de laine 0000 par mètre carré en terme de densité. ça permet de prévoir les commande selon vos montages.

Cela donne une bonne densité sur le plaid; on ne voit que peu la couverture; donc on n'est pas trop fin. C'est bien plus satisfaisant qu'avec les 16cm du début en 1ère couche d'essai. Voir ce zoom de la 2ème couche:


Voilà où en est le sandwich et cela donne une bonne impression des épaisseurs:


Maintenant que tout est bien calibré; les couches suivantes vont être absolument identiques à celles-ci. Donc plus d'autres photos tant que je ne serai pas arrivé à la fin. Je me tâte pour faire moins de couches que prévu et faire une autre couverture plus tard avec les couches restantes; c'est quand même long comme travail. Je pourrai toujours ensuite mettre deux couvertures l'une sur l'autre pour avoir le même effet; sans devoir faire un trop gros travail d'un seul coup.

Pour ceux qui feraient les montages: la bobine de laine d'acier 0000 vient de se terminer. J'ai multiplié par le nombre de bandes et en tenant compte de la longueur coupée jetée aux bouts cela fait une longueur linéaire de 39,5m.

Un petit carton sert de support d'enroulement de la bobine au centre de la bobine. J'ai pesé 5g.
Masse de la laine d'acier: 1006g-5gcarton=1001g
Puisque la bobine fait 6,5cm de large au naturel (non étirée) cela fait une densité de 390g / mètre carré sans étalement.

Un conseil: si vous pouvez ne pas faire le montage par terre n'hésitez pas!
ça casse le dos de devoir passer tout son temps penché sur les bandes à ajuster et étaler en permanence.

L'idéal est de pouvoir faire ça sur une grande table à traiteaux. N'ayant pas e quoi faire sur une table assez grande, j'ai chois le sol; mais pour reprendre une position digne qu'on ne m'appelle pas le bossu de notre dame et ne pas trop avoir mal au dos; il faut faire des pauses fréquentes.

Au total, une journée de travail très remplie c'est deux couches assemblées (5h30 de travail + 2h de pauses cumulées pour récupérer du dos).

Sinon j'en suis à 5 couches:


Voilà le tissu qui servira à tout recouvrir; il sert à protéger l'ensemble quand je ne travaille pas dessus:


Les dimensions du tissu iront très bien en deux faces pour coudre le couvre-couverture.

J'ai mesuré les épaisseurs:

épaisseur par couche non comprimée (état naturel) = 1cm
épaisseur par couche bien comprimée: 0,4cm
Il faut compter le plaid de recouvrement final ensuite pour épaisseur totale (3mm environ non comprimé)

La masse de chaque plaid est de 866g. Une fois les volants coupés cela fait 822g.
Donc chaque couche pèse 822g de plaid + 360g de laine d'acier = 1,18kg environ par couche. Donc ça fait une doudoune bien lourde avec tout ça d'empilé!!

Hier j'ai failli arrêter à 3 couches car j'ai dû passer 1h30 à tout coudre dans la masse pour débarrasser la zone de travail sans risquer que tout glisse (le salon était nécessaire pour la famille). Donc j'ai été très tenté d'arrêter là. Finalement aujourd'hui repris de motivation, nouvelle journée; deux couches de plus. Là aussi envie de m'arrêter là. mais je laisse passer la nuit voir si j'aurai envie demain de faire les deux couches manquantes.

PS: la télé du salon était éteinte depuis ces 3 derniers jours et le micro-onde banni le midi; je me suis fait mal voir; mais montage dans le salon oblige; je ne veux pas polluer la couverture avec du DOR. Le stockage se fera une fois fini en haut d'une armoire dans une pièce ne contenant aucun appareillage électrique ou électronique et à distance de tout appareillage (7m du premier ordinateur à travers deux murs).

Beaucoup de travail en effet....

Le risque de glissement des couches va être un problème il te faudrait une machine à coudre, de façon à faire un cadrillage de maintien comme cette photo:



A++

Les bandes d'acier ne pourront pas glisser, elles sont cousues entre elles et sur chaque plaid sur 5 rangées de 10 points.

Ensuite pour empêcher le glissement d'un plaid sur l'autre je vais faire comme j'avais déjà fait pour le transport provisoire mais en plus long: coudre des points dans la masse en répartition homogène. ça suffira amplement.

Déjà avec ce que j'avais fait dans mon premier transport tout tenait très bien.

Je suis le travail admirable de l’ouvrage que tu confectionnes.

Je m’interroge sur le risque que des brindilles de fer, ne viennent à s’échapper par la tranche.
Et par là même, incruster le parement en acrylique bleu.
Egalement peut-être, de court-circuiter les couches ?
(Je ne sais comment l’orgone se comporte dans ce cas, car peut-être, il ne faut pas non plus, faire toucher les couches de molleton acrylique ?).

Sur les photos N&B plus haut, nous voyons que le fer est nettement en retrait du molleton.

Afin d’éviter l’échappement des fibres de la couche de laine d’acier prise en sandwich, s’il n’est pas conseillé de coudre (faufiler) les couches acryliques, il y a peut être moyen d’ajouter une bordure d’un autre tissu, neutre à ces phénomènes d’orgone (?), pour emprisonner les fibres.

Bons commentaires.

Alors figure-toi que je me suis posé exactement la même question de court-circuitage que toi. C'est pourquoi j'ai enfoncé de 1cm en retrait la laine d'acier sur tout le pourtour de chaque couche de sandwich.

De plus je compte faire une couture aller-retour sur tout le bord de la couverture juste devant la laine d'acier, pour faire filet de retenue en même temps que faire assemblage des couvertures ensemble.

Dernière chose, je compte aussi découper un de plaids pour en faire des bordures à coudre sur les côtés; pour éviter que la laine d'acier soit trop exposée à l'humidité en venant en contact direct avec le tissu acrylique extérieur.

Donc je sais que quand j'aurai fait les 2 couches qui manquent il reste encore du boulot.

Ce que je sais aussi c'est que j'ai 90% de chance que malgré tout il y ait court-circuit électrique entre chaque couche à cause de la couture d'assemblage. En effet la couture perce les plaids et a entrainé des filons de laine d'acier à travers un plaid pour s'insérer dans l'autre. Donc malgré tout cela il y a de très fortes chances de court-circuit électrique. Je compte tester ceci couche par couche avec un multimètre en ohmmètre; à condition qu'un test préalable sur une morceau de laine d'acier en échantillon ne brûle pas par le courant généré par le multimètre (ça crame bien avec le courant cette paille là).

Mon souci d'isoler les bords était plus pour l'humidité donc. Après, je ne sais pas si le court-circuitage pose un problème. Normalement non, l'orgone ne se stocke pas par un effet de simple condensateur électrique; à priori ce sont des ondes attirées et réfléchies avec l'absorbant acrylique. Mais bon je ne suis sûr de rien.

J'ai posé clairement la question à James De Meo de savoir si les contacts électriques entre couches de métal étaient un problème pour le fonctionnement de l'accumulateur d'orgone de façon générale et donc dans le cas particulier de la couverture à orgone.

Je vous donnera la réponse ici quand je l'aurai.

La réponse de James De Meo:

Note: je lui avais envoyé quelques photos des bandes déposées et de couches, du sandwich, des points de couture; pour expliquer le souci de contact.

Que je traduirai par:

Donc aucun souci noté à priori à ceci. Je continuerai demain à faire les couches; pas pu le faire aujourd'hui. Je compte arriver à 7; le courage est revenu avec la nuit passée dessus.

la nuit pasée dessus......
on avait dit pas de 45 minutes....

sourire

Oui, 45min ou une nuit... c'est pas la même chose!

Mais bon je ne me suis pas encore permis de passer la nuit sur la ouverture quand même.

Conseil pour ceux qui feront le même genre de montage: le masque que j'ai mis pour les 3 premières couches, depuis je l'ai enlevé: il est totalement inutile. Je n'ai pas relevé la moindre trace si petit fut-elle de particules quelconque de laine d'acier sur le masque, et n'ai rien vu voler; même à la découpe aux ciseaux. Et travailler avec le masque ça fait très chaud et c'est étouffant; donc à enlever.

Par contre les gants de peau restent utiles: ils se noircissent à force de manipuler l'acier; donc on a dépôt direct sur les mains si pas de gants. Ce n'est pas un grand problème en soi sauf que ça peut être allergisant à force; donc les gants c'est bien (et ça ne pose aucun souci pour tout manipuler, même enfiler le fil dans l'aiguille).

Sinon j'ai fait un test au multimètre sur un échantillon de laine d'acier; ça ne brule pas en fonction ohmmètre. J'ai utilisé un autre multimètre en ampèremètre et il ne sort que 0,7 milli Ampères de l'ohmmètre, donc en effet c'est inoffensif; courant ridicule. Du coup j'ai testé la continuité sur la couverture entre couches de laine d'acier.

Comme je m'y attendais, toutes les couches de laines d'acier sont électriquement connectées à toutes les autres; aucune ne fait exception. En fait en regardant bien, même les seuls points de couture des bandes entre elles et avec le plaid piquent une fois sur deux la laine de l'étage inférieur et font contact. En ajoutant les points de traversée de la totalité des couches c'est encore pire. Donc on a des dizaines de points de contact de chaque couche avec celle du-dessus et du-dessous.

Mais comme indiqué par De Meo (et l'impression que j'avais eu du travail provenant du livre le suggérait) ceci n'a pas d'importance pour le bon fonctionnement.

Normalement, le fonctionnement de la couverture, c'est attraction de l'orgone (=aether) environnante par l'acier qui la rejette dès qu'elle est en contact avec l'acier. La couche absorbante acrylique sert à capturer et accumuler cet orgone qui le traverse à haute dose dans un sens ou l'autre à cause de la laine d'acier qui fait attracteur/répulsif. On voit bien là dedans que connectées ou pas les couches de laine d'acier n'ont aucun rôle électrique.

En fait ce qui compte est la surface acrylique exposée au captage. Pour augmenter cette surface on empile des couches avec acier+acrylique; sur la même surface on capte donc plus.

Bon sinon j'ai opté pour terminer la couverture avec 6 couches et pas 7. ça m'aurait pris encore un jour de plus et la mobilisation de la salle à manger dure depuis trop longtemps, c'est gênant. Avec un local dédié il n'y aurait pas eu de souci. De toute façon, une couche ou 6 ou 7 ça marche; c'est juste une question de puissance. Donc le test pourra être mené.

J'ai noté que les mouches viennent anormalement se poser systématiquement sur la couverture soit pendant que j'ai une couche d'acier soit une couche acrylique; elles viennent se poser dessus et y restent. Je passe mon temps à les chasser mais elles reviennent. Pourtant il n'y a rien à manger dessus... elles percevoir quelque chose qui les intéresse provenant de la couverture. ça laisse présager que la couverture fonctionnera peut être bien comme prévu!

Bon là j'ai passé quelques heures de couture; il en reste d'autres; pour finir de verrouiller la couverture. Donc j'y retourne. Vous aurez des photos quand une étape sera finie.

Voilà, le travail est fini après environ plus de 6h de couture à la main (et seulement 20min à la machine pour la couverture extérieure bleue/verte).

Les 6 couches réalisées:


Couture sur les bords après avoir repoussé la laine d'acier de 1cm environ vers l'intérieur; le fil traverse l'acrylique seul, permettant de faire un serrage des couches entre elles qui isolent la laine d'acier et l'empêchent d'aller sur le bord; protection contre l'humidité renforcée:


Résultat:


Du coup le résultat était assez bon pour que je n'aie pas à couper une couverture pour faire une bordure de protection acrylique des bords; économie de travail.

Le travail de couture finalisé, avec bandes de retenues et points de retenues centraux et tout le bord ligaturé (c'est ça qui a pris 6h environ)


Piquage à la machine du tissu qui servira de couvre couverture extérieur (un bleu et un vert):


Voilà le couvre-couverture fini (seulement 20min avec la machine à coudre)


Et la couverture dans son couvre couverture:


Test sur un autre morceau de tissu (j'en avais 7 en tout) d’étanchéité. Le tissu mouille et absorbe l'eau; donc ça ira pour de la transpiration:


Mais par contre ce n'est pas étanche et si on renverse de l'eau dessus ça traverse; donc attention aux accidents qui produiraient une rouille de la laine d'acier irréversible:

Premiers tests sur cobaye humain.

Sujet n°1: femme adulte, 30 ans
Atteinte depuis 2 jours d'un rhume; mal de gorge moyennement intenses, rhinite importante
Mise sous la couverture pendant 1h15; seule la tête dépassait.

Sensations ressenties: s'est endormie après peu de temps. Sensations de fourmillements dans les bras au réveil. Peut être dû à un coincement des bras en fausse position.

S'est sentie relaxée tout le long; bien. Presque plus de sensation de douleur à la gorge, mais pas caractéristique car cela varie selon les moments de la journée. La rhinite continue par contre.

Par contre s'est réveillée avec une douleur très forte aux intestins. La douleur dure depuis 3h et a été assez forte pendant les 30 premières minutes ayant suivi le réveil et lever de la couverture.

Sujet n°2: enfant de sexe masculin, 6ans
Atteint d'une trachéite suivie d'une bronchite depuis 15 jours; en phase de guérison depuis moins d'une semaine après traitement antibiotiques; mais continue à tousser par moments.

Enveloppé totalement dans la couverture qui l'a pris en sandwich; seule la tête dépassait.

A eu assez chaud et très chaud sur la fin, la couverture est une énorme doudoune. On a donc arrêté à 30min au lieu des 45 min prévues.
S'est senti bien, relaxé. A eu envie de dormir au bout de 20 min et a somnolé. Aucune autre sensation particulière à noter.

D'autres expositions suivront et leurs effets notés. Puis il y aura les tests menés de manière plus protocolaire; avec des groupes de graines à charger et témoin; ça sera plus tard.

Sujet n°2:
Nouveau passage hier soir vendredi de 45min enrobé dans la couverture. S'est endormi au bout de 15min dedans.
N'a noté aucune sensation particulière pendant son passage, ni après son réveil.

Par contre ce matin; il n'a plus toussé ni craché. Depuis presque trois semaines chaque matin il tousse et tousse à répétition et crache à plusieurs reprises ce qui est accumulé dans les bronches et parfois vomit même. Hier matin cela a encore eu lieu comme tous les jours précédents de la semaine. Depuis 1 an, il est les 3/4 du temps atteint de cette pathologie: tousse à de nombreuses reprises à répétition et crache. Les passages chez le docteur révèlent une irritation pharyngée et un encombrement léger des bronches et une accumulation la nuit provoque ceci (toux répétée+crachat) au matin; parfois dans la nuit aussi; mais sans avoir jamais pu régler le problème; on m'a dit qu'il n'y avait rien à faire (cause pas identifiée;pas d'allergie détectée).

Bref, dès qu'un petit coup de rhume arrive; ça s'amplifie et ça traine avec accentuation pendant des semaines; il est malade 3 semaines sur 4 quand il n'y a pas de maladie greffée là dessus, et ça se guérit petit à petit, pas d'un seul coup. Là il s'était attrapé une bronchite par-dessus depuis 15 jours. Ce matin, plus rien du tout. Donc à voir si ça persiste encore la journée et demain; je continuerai un ou deux passages sous couverture. Si oui ça serait significatif. Déjà c'est très positif.

Sujet n°1:
Nouveau passage ce matin de 45min sous la couverture; dormait durant ce moment là après avoir somnolé 10min au début.

Depuis hier après le premier passage où les maux de gorge s'étaient d'abord estompés puis ont complètement disparu; ils ne sont toujours pas ré-apparus. Guérison normale du corps ou aide par la couverture; évidemment il faudrait une statistique de traitement sur des dizaines de malade pour affirmer quelque chose; avec un groupe témoin et un groupe test. Je dis ce que j'observe sur ceux avec qui j'ai fait le test sans affirmer prouver quelque chose. Pour le sujet n°1 qui est malade chaque jour depuis 3 semaines c'est plus caractéristique (si ça dure).

N'a noté aucune sensation particulière pendant ou après le réveil. Aucun fourmillement ni sensation particulière. Aucune douleur suspecte; celle d'hier était peut être liée au sommeil seulement et à un problème digestif.

Dans tous las cas, sur des petites pathologies cela semble donner un résultat plutôt positif. Evidemment comme je l'ai souligné, "semble" car l'impact direct n'est pas encore corrélé. mais ça me fait plaisir pour eux qu'ils aillent mieux!

Sujet n°2:
Est passé 2 fois sous la couverture samedi: 45min le midi et 30min l'après-midi.

En tous cas le résultat sur l'état de santé est confirmé: depuis le premier passage sous la couverture il ne tousse plus, ne crache plus. ça a été radical et confirmé. Après 3 semaines à tousser/cracher chaque jour, c'est quand même caractéristique et très peu probable que ça soit un hasard.



Sujet n°1:
Les maux de gorge ne sont pas revenus. Là aussi il n'y a plus d'évolution; tout est revenu à la normale. Mais le lien est plus difficile à établir car ça aurait pu partir seul; ça ne dure pas ce genre de situation.

Donc voilà un résultat positif.

Sujet n°3: homme 35 ans (moi)

Il y a 3 semaines (le 30 mai) je me suis retrouvé bloqué du dos au réveil au matin, sans raison particulière. Le blocage du ôté gauche très fort m'empêchait presque tout mouvement. Cela me faisait assez souffrir pour ne pas réussir à dormir la nuit pendant 2 nuits. Après consultation, on m'a prescrit anti-inflammatoires et 3 séances de kiné.

ça s'est amélioré sur quelques jours lentement, et au bout de 5 jours j'avais très mal mais je pouvais bouger sans souffrir le martyr.
Bref, ensuite cela a pris 10 jours pour que la douleur parte peu à peu. Il est resté un point douloureux sur toute la partie gauche si des mouvements de torsion étaient effectués. Durant la semaine de montage de la couverture c'est allé bien, en fait je ne ressentais quasiment plus rien et pouvais faire le montage facilement alors que je courbais le dos et que cela était difficile; j'avais pourtant encore mal au dos en commençant les montages; mais c'est parti sur les deux premiers jours de montage.

Là, depuis 2 jours, la douleur est revenue et depuis hier le blocage était un peu là; me faisant assez mal. Pas comme au tout début, supportable; mais assez douloureux. La nuit dernière je l'ai bien senti; c'était pas évident de bouger. Tout ce matin ça me faisait mal; les mouvements de penchement vers l'avant et légère torsion me faisaient bien mal sur tout le côté gauche.

Je suis donc passé moi aussi sous la couverture à orgone pendant 45min un peu avant midi. En sortant, je n'avais plus mal du tout; alors qu'avant d'entrer, me glisser dans la couverture était très douloureux par les simples mouvements à faire pour cela.
ça a donc constitué un résultat au moins équivalent à un excellent anti-inflammatoire.

Après la sortie, restait une petit pointe légère douloureuse si je faisais torsion à 90° gauche; chose impossible ce matin. Toute douleur de mouvement de base (et même de mouvement de torsion accentué) ayant disparue totalement. J'ai refait 45min là en fin d'après-midi et la petit pointe de douleur sur torsion est partie. Donc ça a eu un réel effet anti-inflammatoire puissant.

Du coup je me dis que le fait que ma douleur ait disparu pendant le montage de la couverture à orgone n'était peut être pas un hasard. En effet j'étais assis quasiment 80% du temps de montage sur la couverture (mettons 3h par jour au moins).

Je ne sais pas si l'effet persistera dans le temps, mais le soulagement immédiat lui est réel. A priori depuis 2 jours c'est revenu, c'est le temps depuis lequel la couverture est montée et je ne passe plus de temps dessus...

Voulant traiter le dos, je voulais que le dos et le dessus du corps soient exposés à la couverture, je me suis donc enroulé dedans comme ceci:


C'était limite en terme de largeur, le côté ouvert laissait passer l'air; la fermeture n'était pas totale. En échangeant la largeur et la longueur la fermeture totale est possible. Sinon bien sûr il reste le recouvrement sans s'enrouler dedans.

Bref en tous cas encore un résultat positif. Ayant d'autres pathologies, je continuerai les expositions les jours à venir sur une semaine pour voir si ces pathologies régressent aussi ou pas. Je vous dirai ce qu'il en est si il y a modification.

Tant mieux, si les douleurs s’arrangent.

(pas facile de tester, si on n’est jamais malade ! )

Mais si tu veux être rigoureux :
- Peut-être qu’aussi, des siestes supplémentaires sont réparatrices de l’organisme.
- Un surcroît de chaleur, du à la doudoune, est également recommandé pour les infections et les douleurs rhumatismales.

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A ce rythme là, la couverture chauffante risque de s’humidifier.
Est-ce qu’une sur-housse en coton, plutôt qu’acrylique enlèverait les capacités naturelles d’attraction de l’Orgone, de cette édredon ?
Hier, j’ai retrouvé au grenier, de la laine de fer, assez fine, qui n’est pas du tout rouillée. Elle est pourtant exposée à l’humidité sous une toiture en éternit, et à une chaleur torride l’été.
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Bizarre ta couture de la housse! Tu as fait un zig-zag à l'envers, et un autre à l'endroit, par dessus ?

Finalement une fermeture-éclair sur les côtés, pourrait transformer l'édredon en duvet.
Une fabrication qui a le mérite de réchauffer en tout temps.

Ah oui, je pensais !

Je suppose que tu laisses l’édredon s’aérer entre 2 utilisations, pour qu’il sèche, mais surtout pour qu’il se recharge ?

Justement, par chez moi, le ciel est gris venteux et humide.
Est-ce qu’il n’y a pas un risque de recharge par du DOR ?

Mon fils dort sous une couette avec pyjama toutes les nuits (donc bien au chaud!) et il était malade depuis 3 semaines à tousser à répétition et cracher chaque matin et chaque nuit, et ça s'est réglé d'un seul coup dès l'exposition à la couverture.

Quand à la chaleur, ça n'a qu'un effet provisoire de quelques minutes; j'ai eu mal ces dernières semaines assez souvent pour le savoir. Le matin même j'avais pris un bain chaud et ça n'a rien soulagé.

Donc tout ça ne tient pas.

Coton écru ou laine vierge 100% naturelle c'est des éléments isolants qui conviennent bien. J'avais pensé à de la laine à ajouter en surcouche côté où la transpiration peut pénétrer, mais je n'en ai pas trouvé.

J'ai juste piqué avec la machine à coudre avec un point zig zag et rien d'autre; aucune complication; ça a cousu une seule fois sur chaque longueur.

J'ai un côté ouvert et je pensais à une fermeture éclair en option en effet; pour que ça reste fermé.

Je ne sors pas la couverture de sa housse bleue/verte. Je laisse seulement l'ensemble étalé à plat pour que les petites traces d'humidité sur la partie verte acrylique sèchent avant de rouler la couverture et la ranger au-dessus d'une armoire.

L'accumulateur accumule l'orgone qui est présente au niveau de son environnement immédiat, au sol. Lorsqu'il fait mauvais; l'orgone est attirée en altitude et il y en a très peu au sol. C'est cette orgone en altitude qui peut devenir DOR si les conditions de sécheresse spécialement associées à cette description existent.

ça rouille si tu mouilles ou si tu as beaucoup d'humidité. Si la transpiration coule dessus ça va rouiller et si je la laissé dans mon cellier avec le sèche linge qui crée de l'humidité dans l'air à haute dose ça va aussi rouiller. Après quelle dose d'humidité minimale va provoquer l'oxydation rapidement, je ne peux te dire.

Ce matin j'ai cherché en ville de quoi faire doublure en coton d'une des faces de la couverture. Dans un magasin qui vend du tissu pour l'ameublement (tissus pour rideaux) j'ai trouvé du tissu en coton d'assez bonne épaisseur qui absorbera bien la transpiration.

J'en ai profité aussi pour acheter de la fermeture éclair (ça se vendait au mètre, impeccable!) et j'ai cousu tout ça cet après-midi.

Après avoir enlevé la couverture à orgone à proprement parler, je travaille sur le couvre-couverture:

Couture de la doublure coton sur la face verte:


Puis retournement du couvre-couverture et couture de la fermeture éclair:


Il a fallu manoeuvrer précautionneusement et astucieusement pour coudre la fermeture des deux côtés sans enlever totalement le zip qui sinon ne peut être remis (la vendeuse m'a bien prévenu: si vous l'enlevez, c'est fichu) et bien bloquer les extrémités par couture  pour éviter que ça ne s'enlève en tirant trop loin. Le résultat:


Et voilà donc le couvre couverture une fois la finition réalisée:


Je n'ai protégé que la face verte qui sera donc celle exposée au corps humain.

Je suis passé jusque là 5 fois à la couverture à orgone, 40 à 45 min à chaque fois. En fait je fais deux séances par jour pendant 3 jours (aujourd'hui le dernier) et je vais attendre de voir les effets sur d'autres petites pathologies sur 10 jours.

Dans l'attente je vais démarrer des expériences avec des graines (je vais laisser les graines se charger dans la couverture pliée quelques jours avec un groupe témoin bien sûr dans une autre couverture mais pas à orgone). J'ai acheté des graines de radis à pousse rapide et de haricot mange-tout; comme ça on a des plantes qui poussent vers le bas et d'autres vers le haut pour voir si ça fait une différence (voir le travail de partage sur les graines germées avec l'eau informée)

A part dire que le dos va toujours bien; je peux préciser des impressions pendant le passage dans la couverture. Je me suis systématiquement enveloppé totalement dedans.
Pendant les 5 à 10 premières minutes je sens un état de relaxation s'installer et petit à petit une chaleur bienfaisante diffuse. J'ai chaud mais pas une chaleur qui fait transpirer et rend mal à l'aise comme sous une couverture standard. Moi qui transpire beaucoup, au litre même je dirais (l'été il y a des rigoles d'eau par terre pour suivre mes trajectoires, je ne rit presque pas); là ça va. Et au bout de 10min je suis dans un état de relaxation profonde. Je ferme les yeux tout le long.

Là je sens comme des genres de fourmillement (mais rien à voir avec les fourmillements quand on a laissé le bras ou la jambe dans une fausse position) qui ressemblent plus à une diffusion de quelque chose qui circule en vagues à la surface du corps. Parfois ça fait un peu picotement et parfois ça fait comme une sensation de brûlure mais qui ne fait pas mal. ça va, ça vient, mais avec une sensation agréable de bien-être. Là la relaxation devient vraiment profonde et je ne vois plus le temps passer (j'ai une montré accrochée au-dessus du lit que je peux voir en ouvrant les yeux si je le veux).

Environ vers 30min passées, je me mets soudain à sortir de mon état de relaxation et le bien-être se dissipe assez rapidement. Là je commence à me sentir un peu mal à l'aide et de plus en plus et à avoir chaud; je sens que là je commence à transpirer. je ne me sens plus à mon aise dans la couverture et je compte les minutes pour arriver à 45min, temps que je me suis fixé.

La sortie se fait toujours vers 30 à 35min de durée. Je pense que lorsque je sors de l'état de relaxation, c'est que mon corps doit commencer à saturer d'orgone; et là je n'en veux plus; mon corps n'en veut plus. Donc là je commence à avoir chaud d'une chaleur qui n'est pas bienfaisante mais pesante; alors qu'avant pas du tout.

Je me rappelle que lorsque la question avait été posées à James De Meo de savoir combien de temps rester dans un accumulateur à orgone, il répondait que les gens le sentent; ils savent quand ils en ont assez; que c'est comme la soif: on boit car on en a besoin, le corps en réclame et puis à un moment donné le corps dit STOP. Là si on continue, on se force; et au lieu que ça soit agréable, ça devient une corvée et un effort qui met mal à l'aise. C'est exactement ça qui se passe. Sa description est bonne. Il donnait 45min comme temps maximal à ne pas dépasser pour ne pas surcharger, ce qui veut dire que la charge du corps humain se fait à moins que 45min. En effet pour moi c'est de l'ordre de 30min. Donc les prochaines fois je n'insisterai pas; je n'utiliserai pas le chrono comme moyen de déterminer quand je sors; mais le fait que le bien être s'arrête.

j'avais remarqué que mon fils était content et dormait sous la couverture; sauf que les 10 ou 15 dernières minutes il se plaignait d'avoir chaud et demandait à sortir toutes les 30sec; alors qu'il ne se plaignait de rien sur tout le début. Je comprends pourquoi. Il y a un effet de trop plein, de saturation du corps à un moment donnée.

Alors que les expériences sur la germination des graines exposées à l'orgone et du groupe témoin continue et que j'ai repris des tests physiologiques sur de petites pathologies qui avaient évolué lors d'une exposition de 3 jours à la couverture à orgone, je réalise le second appareil prévu: la boîte de conserve accumulatrice d'orgone.

Voici la boîte de conserve choisie: grosse boîte de conserve alimentaire (j'ai testé avec un aimant qu'elle est magnétisable, l'aimant colle fort, donc dedans c'est soit du fer soir de l'acier; pas de l'aluminium).

On note que l'intérieur et le dessous sont recouverts d'une couche de couleur dorée que j'ai dû poncer; en supplément d'une bande collante en plastique blanche qui recouvre la jointure interne.







Après plusieurs heures de ponçage réparties sur quelques jours (ponçage au papier de verre, d'abord avec une perceuse avec un outil de ponçage adapté qui a permis le plus gros, puis le reste à la main avec papier de verre spécial métal gros grain et un outil en métal pointu à tête rugueuse pour cureter ce qui ne partait pas bien, notamment le collant de la jointure):








Voilà, le plus long est fait. Il faut encore faire la même chose au couvercle.
Restera à couper des plaids acryliques en bande et mettre la laine d'acier, y compris pour le dessus et le dessous.

Je rappelle qu'il n'est pas besoin d'étanchéïté de la boite de conserve accumulatrice une fois fermée pour qu'elle fonctionne; car évidemment le capuchon ouvert à l'ouvre boite ne sera jamais jointif.

Salut Chercheur
je suis un peu surpris du manque de réaction positive, voir enthousiaste, sur ton expérience sur la couverture d’orgone !

Bon, il faut plus de temps avant d’être sûr de l’efficacité, mais jusqu’à preuve du contraire, on peut y croire et se réjouir de ces bons résultats ! En tout cas, je te dis bravo pour ce travail et nous sommes amateur de faire l’essai, ma femme en particulier, qui a souvent des petites bricoles, style toux… Quand tu viendras, on veut bien que tu amènes cette couverture.

Sinon, il paraît normale de ressentir une limite, une saturation d’utilisation de cette couverture, c’est comme pour se nourrir, même si ce que l’on mange est idéal pour la santé, il y a des quantités à respecter.

Mais je suis presque sûr qu’il y a quand même une réaction « négative ou répulsive »spécifique due à la nocivité des matières acryliques.

Depuis ma jeunesse, j’ai toujours été très sensible aux matières des vêtements, et je ressens très fortement un bien être avec des tissus végétaux, coton 100% ou autres, moins bien avec la laine mais si c’est 100% pure laine, c’est bien, mais tous les autres, style nylon, acrylique… J’ai toujours ressenti, plus ou moins rapidement, les sensations que tu décris, étouffement, malaise, sensation rapide de saturation…

Je pense que même si on doit respecter des quantités, avec du tissus pur coton ou pure laine, on n’aurait pas ces sensations de saturation vives et rapides. A vérifier ! Je pense que l’on va s’en faire une.

Salut DIENGARD,

Pour le manque de réaction positive/négative sur le sujet me parait normal, des que tu touches à la santé même des bricoles, c’est très délicat, une peur s’installe, il faudrait beaucoup de recul sur l’expérience et un certain nombre de kamikazes.
Je me souviens de copains qui faisaient des tests pour des labos, afin de payer leur études, certains jours ce n’était pas triste…(médicament en psychiatrie).

Chercheur, pour les tests de la boite, ce serait bien que quelqu’un d’autre là fasse, je veux dire que tu confies les boites, bocaux, etc à quelqu’un d’autre qui ne sache pas de quoi tu parles…. Si tu penses un peu comme moi que le psy influence la matière, se serait pas mal.

Explication de mon point de vue:
J’ai lu quand j’étais môme la « théorie de l’envie », que je vous recommande en expérimentateur, vous m’en direz des nouvelles..

Il faut que tu sois entouré d’une ou plusieurs personnes (le métro est idéal), et un peu de concentration quand même, de la rigueur :
La distance importe peu tant que tu vois le sujet(s)..

Tu t’imagines une démangeaison, pas longtemps à attendre, en principe elle arrive toute seule dans cette disposition, il faut vraiment qu’elle soit la, (on n’est plus dans la pensée, la démangeaison est bien réelle) tu laisses amplifier la chose, et surtout tu t’interdis d’y mettre les doigts ou autres pour te soulager. En principe il y a quelques personnes qui se grattent autour de toi, immédiatement, à l'endroit de ta démangeaison, c’est imparable. Je n’ai pas d’explication rationnelle sur ce fait.

Donc je suis prudent, sans superstitions, sur l’envie, le désir de, lorsqu’il est fort, se transmet aux humains c’est sur, pour la matière je ne crois pas, sur les plantes je suis plus réservés, la main verte n’est pas un gag. Selon moi pure théorie mais bon.... le désir c'est une énergie, qui rayonne autour de toi, et trouve le sujet qui va le réaliser, c'est en lien avec le physique mais pas que..

Anecdote : J’ai planté un marronnier (simple marron trouvé dans la rue) un jour de grosse colère contre mon voisin, qui venait d’installer une terrasse en surplomb donnant sur mon jardin sans m’en parler. Bref le marronnier a poussé, aujourd’hui c’est un monstre (énorme) aussi gros que ceux dans ma rue qui ont vingt ans, mais lui n’en a que sept, mes copains pensaient que je l’avais acheté, je le rabote un peu depuis deux ans, pour avoir la paix. Je n’ai pas de recul sur la croissance du marronnier, mais ils viennent d’en changer un dans ma rue, il a deux ans parait-il, je ne peux m’empêcher de sourire….

Vire mon post si tu le penses hors sujet, j’étais parti là

A++

Quant à moi cela ne me paraît pas normal; si toi oui. Il n'y a absolument rien de Kamikaze; personne ne prend de produits toxiques; il n'y a aucun risque quel qu'il soit.

La seule raison du silence ambiant est la même que d'habitude pour tous les sujets: les gens sont en masse des passifs qui ne font rien et ça reste leur manière habituelle de fonctionner. Très peu se bougent vraiment. Pas la peine de relancer la chose, c'est constaté.

Je ne cherche pas à prouver ou pas que ce n'est pas moi qui influe dessus. Les tests en double aveugle c'est à mener par ceux qui pensent critiquer le système pour montrer qu'il ne fonctionne pas si c'est ce qu'ils pensent. De mon côté je vérifie si le système correspond à ce qui est décrit par la théorie; je ne fais pas de preuve; je fais une vérification.

Si tu veux prouver quelque chose, personne ne t'empêche de faire une boite toi-même.

Jusque là la croissance des germes montre bien une différence entre celles passées à la couverture à orgone et les autres. J'attends que la croissance soit arrivée suffisamment loin pour conclure. Pour moi jusque là les éléments montrent que la couverture à orgone montre les effets décrits par Reich. J'aurais encore à faire avec un accu plus puissant en boite qui se terminera pour avoir une conclusion poussée sur le sujet.

Je crois que c'est le constructeur de couvertures et accumulateurs à orgone que j'avais contacté aux USA qui m'avait dit que la sensation physique différait selon que c'était de la laine ou de l'acrylique.

Selon le site, l'acrylique provoque une sensation d'effet positif sur les muscles, alors que le vinyle ou les polyester provoquent la sensation contraire. L'acrylique provoque la sensation de brulure (qui ne fait pas mal).

Je pense que l'orgone se "colore" donc du matériau qui sert à l'imprégner. Il y a une forme d'empreinte énergétique du matériau. Avec de la laine l'effet de sensation doit être différent; mais dans tous les cas il y a saturation, limite à ne pas dépasser après quoi le ressenti devient celui du mal à l'aise (et pas du malaise, différence dans les mots que j'utilise).

Je n'ai jamais fait de malaise avec al couverture. je parle de mal à l'aise au bout d'un certain temps, c'est à dire ne plus me sentir détendu totalement mais plus très bien.

D'ailleurs j'ai repris des tests de passage à la couverture deux fois par jour depuis 5 jours, pendant 45min et je ne perçois plus la sensation de trop plein qui me mettait un peu mal à l'aise. J'ai fait une séance d'1heure une fois et là ça commençait un peu. Le corps s'est donc habitué et a repoussé le moment du trop plein à plus tard; ma quantité de trop plein à plus qu'auparavant.

Est-ce qu’avec ce sentiment de « mal à l’aise » qui est retardé, le phénomène de sudation est retardé d’autant ?

Parce qu’avec la chaleur de ces derniers jours, ce devait être pénible.

Chercheur,

Désolé, pour les kamikazes, c’était de l'humour dans mes propos...et l’anecdote sur les testeurs des médicaments psy., pareil

C'est surtout l'aspect toxique du DOR, que j'ai retenu à travers tes posts (tu vois je suis). Etant en bonne santé, je ne vois pas dans mon cas l'utilité d'une telle pratique. Si l'on considère que c'est efficace comme un médicament, je considère qu'il faut l'utiliser comme tel, j'ai des doutes sur le préventif en matière de santé...

Pour les boites, c'est pas à toi que je vais apprendre à faire une expérience, mais comme tu dis j’essaierai probablement de mon coté comme je l'ai dit sans influence de ma part... pour en avoir le coeur net, pas que je doute, mais moi je ne sais pas.
pour l'influence ça oui....la bonne comme la mauvaise

A++

Oui, aucune transpiration, et ce n'est pas qu'un ressenti; en sortant de la couverture, je ne vois quasiment aucune trace d'humidité; en fait aucune sauf légère une fois ou deux.

Du coup je ne transpire plus dedans vu que je n'arrive plus au moment du "mal à l'aise", sauf la fois où je suis resté 1h, les 5 dernières minutes ça commençait à bien faire et là j'ai transpiré un tout petit peu.

Couvercle avant (sauf grattage au milieu pour vérifier que ça part):


Le même après ponçage intensif recto et verso et détordage des bords à l'éteau, de même aplanissement d'une des rigoles par l'éteau pour gagner du diamètre, limage des bords:


Après mesures, le diamètre de la boite fait 15,6cm et la hauteur fait aussi 15,6cm.

Tracé au feutre à DVD sur le plaid acrylique de bandes de 17cm:


Découpe de 4 bandes:


Couture des bandes entre elles par ligature:


Voilà la grande bande totale:


Les calculs m'avaient amené à 4 bandes pour faire 6 couches et l'essai a montré que cela a fonctionné. Comme il y avait du rab j'ai même pu faire 8 couches.

Donc accu en boite à 8 couches! (auxquelles on ajoute une couche acrylique externe sans laine d'acier).

Début de l'enroulement:


Enroulement partiel pour continuer à dévider la laine d'acier sur la bande (blocage avec paquet de mouchoir pour que ça ne se déroule pas):


Fin de la partie de laine d'acier:


Couture:


Puis enroulement de la partie restante pour faire double couche acrylique externe.

Et fin du travail:
Il y a eu découpe aux ciseaux pour égaliser les surfaces et voilà le résultat:

Recto:


Verso:


Vue globale:


Il reste maintenant à m'occuper des capuchons haut et bas et ça sera enfin fini. Il va falloir faire chauffer le compas pour faire des disques!

Voici les photographies d'évolution de graines de radis après exposition d'un groupe à la couverture à orgone et de l'autre à une couverture classique. L'exposition a été faite durant 2 jours et demi: 1 jour de mauvais temps et 1 jour et demi de très beau temps.

Préparation des enveloppes fermées au scotch isolant contenant la même masse de graines chacune (6g de graines dans chaque enveloppe de radis):


Mise dans les couvertures le 23/06/2011à 9h30

Couverture classique:


Double tour d'enroulement:




Couverture à orgone:


Double tour d'enroulement (équivalent de 12 couches acryliques/laine d'acier)




Sortie le 25/06/2011 à 20h30.

L'expérience de sortie des graines et mise dans les coupelles et première eau a débuté le 25/06/2011 à 21h.

Les graines sont ensuite alimentées en eau 2 à 3 fois par jour, chaque groupe avec la même masse d'eau pesée à la balance. Les masses des pousses sont mesurées à chaque fois que l'eau va être ajoutée pour avoir un relevé et les photographies sont faites.

Voilà donc ces photographies (pas les premières où la germination n'avait pas encore commencé, j'ai mis les premières où ça "pousse" vraiment!)











Là les germes chargés à l'orgone ont pris un sacré coup de chaud, les tiges penchent vers le bas; alors que l'autre est en bonne santé. Je suis passé mettre de l'eau le matin et puis tard le soir et je pense que comme les germes à l'orgone étaient en plus grand nombre et plus haut, il y avait plus de surface d'évaporation et plus de besoin de pompage d'eau; et donc il a souffert le premier alors que l'autre avait encore assez d'eau (les quantités d'eau mises étant identiques):


Après recharge en eau, les germes à l'orgone ont récupéré de leur baffe:






En observant le développement on conclue que les graines chargées à la couverture à orgone ont poussé plus rapidement et plus haut que les autres; puis il y a eu ensuite rattrapage du premier groupe témoin; le groupe à orgone étant quand même un peu plus fourni.

Il y a donc un impact visible.

Le groupe des graines haricots croit beaucoup trop lentement; je commence à peine à avoir quelques débuts de tigettes maladroites qui se développent sur quelques graines et pas de différence visible.

Il me paraît en fait très compréhensible qu'au bout d'un certain temps il n'y ait plus de différence: l'orgone est absorbée par l'eau (c'est même comme ça qu'on peut désintoxiquer un accumulateur rempli d'orgone négative). A chaque fois que je mets de l'eau dans les graines, elle absorbe une grosse partie de l'orgone contenue dans les graines chargées. Puis avec l'évaporation une partie de cette eau s'en va hors de la plante avec une partie de son orgone.

Donc plus le temps passe, plus j'arrose et plus l'orgone initialement contenue dans les graines part avec l'eau qui s'évapore. Donc c'est au début qu'il y a une différence. Ensuite ça s'amenuise avec la charge qui part.

Pour avoir un résultat visible fort il faut cultiver un groupe dans l'accumulateur tout le temps et un autre dans une boite témoin. C'est d'ailleurs ce qui a été fait dans les tests de James De Meo.

Mais déjà les tests faits ici montrent une différence au début; donc positif.

Pour en revenir aux haricots, ils commencent à peine à germer vraiment et là on n'est plus du tout au début.

Pour ma boîte à orgone, quand elle sera achevé, je ferai des cultures de germes directement dedans (avec la couverture je ne pouvais pas!).

Ce message a été modifié par Chercheur le Samedi 02 Juillet 2011 à 08h14