Transmission d'information par le magnétisme

Bonsoir à tous . . .


un peu dans la même veine que Gegyx , je pensais à l'utilisation des aimants en bracelets pour la magnétothérapie ! Y aurait-il la même origine que les expériences menées içi ? ( transmission d'infos du milieu ambiant ou autres ) . . . Soyons fou et imaginons ceci : un bracelet composé d'aimants ayant le Nord vers le poignet , au dessus des aimants Sud se trouve un petit réservoir de quelque ml . . . on y remplit le réservoir de solution que l'on veut transmettre . . . bref vous voyez le topo ! Ca va peut-être donner des idées à certain . . .

Aussi , pour ne pas laisser mon gros aimant ferrite tourner à vide , je l'ai placé autour d'une bouteille.

Je vais essayer d'y laisser une bouteille en permanence et je verrais bien si cela donne des résultats dans les semaines à venir !


Bonne soirée à tous ! ! !



Robert

On m'a donné une bonne idée à tester: mettre de l'argent dans la solution mère et des bactéries dans le lot témoin et dans la solution cible, puis voir si les bactéries de la cible vont mourir car l'argent a des vertus bactéricides. C'est une bonne idée ça!! Je cherchais justement des tests biologiques ne faisant pas appel au goût et là ça en est un.

Je rajouterai qu'ensuite si ça fonctionne, pour montrer que ce n'est pas le champ magnétique qui est la cause de ceci, faire le même test sans argent dans la solution mère et aussi faire l'expérience en inversant le sens de magnétisation, avec et sans argent de l'autre côté, tout cela pour comparaison. Ainsi les bactéries restent exposées au champ magnétique, dans la comparaison (contrairement au témoin neutre éloigné).

Résultats de l'expérience après 25h de test:



Le goût de l'eau cible du côté Nord est un peu différent de celui de l'eau témoin. Ce n'est pas le même goût d'eau "plate" que j'avais eu lorsqu'il n'y avait eu que de l'air de l'autre côté. J'ai un petit goût d'eau plate mais beaucoup moins prononcé, plus léger en fait; le goût est donc un peu plus neutre, l'eau ressemble plus à la source. Rien d'autre à remarquer.

Comme seulement une partie du cristal est en contact avec l'aiment et c'est de l'air libre pour le reste du pôle Sud de l'aimant, il y a probablement un mélange du goût transmis par l'air et de celui transmis par le cristal. Dans ce cas le cristal ne transmet pas de goût, ça resterait neutre.

Je vais refaire la même chose en inversant le sens du cristal pour voir. Si la neutralité de goût du cristal est véridique, comme l'autre côté du cristal est bien plat et qu'il va recouvrir tout l'aimant, je devrais avoir une eau de même goût que le témoin. On verra ça demain!

Bonsoir à tous


L'argent , c'est une excellente idée que l'on t'as donné ! Demain je ferais le test . . . avec du cuivre ! Ce dernier ayant aussi des vertus anti-bactéries/moisissures ! Je l'ai déjà constaté avec le récipient récupérateur des gouttes de la cafetière . . . Pour faire le test , je ne nettoyais pas le récipient , et après une semaine ( je laissais les gouttes tomber plus qu'à l'habitude !) il y avait un tapis de moisissure dedans , à tel point que l'on ne voyait plus l'eau ! J'ai ensuite mis un petit morceau de cuivre , et presque la moitié des moisissures "habituelles" n'étaient plus apparues ! L'eau apparaissait enfin et les moisissures étaient parsemées . . . Pour finir , j'ai mis un plus gros morceau de cuivre , et là , je pense avoir laissé couler les gouttes durant un mois ou 2 ( en moindre quantité évidemment , pour ne pas faire déborder le récipient !) pour un résultat pratiquement vierge de moisissures ! A peine un fin film à la surface !

Pour en revenir aux expérimentations d'içi , mon gout revenant peu à peu , le dernier test que j'avais fait concernait de l'eau/caoutchouc . . . je l'ai laissé durant 48h et il y avait un film sur le dessus de l'eau ! Je pense que ce sont des moisissures ! J'ai aussi arrêté quelques jours ... mais pas suite à cela !
Et voilà qu'une nouvelle orientation arrive et me plait !
Je mettrais cela en place demain car le "labo" est occupé à faire de l'argent colloidal ! D'ailleur , petite parenthèse , tout à l'heure je suis tombé sur un équivalent à l'AC (en terme d'effet ) mais naturel cette fois-çi :
Les pepins de pamplemousse
2ième lien

Ce sont 2 liens parmis tant d'autres . . .

Voilà , passez une bonne soirée ! ! !


Robert

Bonjour

Résultat de la tentative avec du caoutchouc





Pour moi l'eau a un très léger goût, mais pas de caoutchouc.
Ma femme y trouve un goût de lessive ??

En tout cas rien de franchement net par rapport au verre qui contient les morceaux de chambre à air et où là le goût est franchement dég... pas bon.

Bon si elle a un léger goût, c'est intéressant (en comparaison du témoin). La nature même de ce goût c'est un peu subjectif; mais bon le mien était quand même très différent avec le caoutchouc ou avec que dalle en solution mère.

Et avec que dalle comme solution mère justement, fais le test pour voir?
Tes aimants semblent petits en terme de surface par rapport à la grande surface exposée d'eau et caoutchouc et d'eau de l'autre côté. J'ai utilisé de petits disques dans de petits tubes à essai et là ça a marché; gros aimant pour gros verres et là aussi... problème de dimensionnement? Essaie d'acheter des tubes à essai à ta pharmacie (beaucoup de pharmacies en vendent il parait à l'unité, quelques dizaines de centimes l'unité) ou autre très petit flacon adapté à la surface de tes aimants.

C'est une piste possible d'amélioration.

Bonjour à tous !


Voilà , j'ai commencé l'expérience de la moisissure !

J'ai récupéré une bande de cuivre que j'ai mis dans un godet :





Comme j'ai à chaque fois ( sans le cuivre évidemment ) de la moisissure dans le récipent de la cafetière , j'ai donc fait couler la cafetière avec un reste de café ! J'ai récupéré le jus pour le mettre dans 3 godets





Le 3 ième godet étant le témoin , je l'ai placé à quelques mètres des autres !

Reste plus qu'à attendre que les spores se développent . . . ou pas !



Bonne aprèm (maussade) à tous !



Robert

J'ai fait l'autre expérience avec le cristal, en inversant le côté donc, côté plat accolé à l'aimant, donc aucun espace pour laisser de l'air (si bien sûr, mais ridiculement faible):




Après 24h15min d'attente le test du goût donne un goût totalement neutre identique à l'eau ciblée du côté nord, identique à l'eau de mon verre témoin. J'ai bien cherché, à un moment il m'a semblé qu'il y avait peut être une subtile infinitésimale différence mais elle ne m'est apparue qu'une fois. On peut dire qu'à une subtilité près c'est la même chose question goût.

Donc on peut conclure, au vu des expériences précédentes, que l'air de la pièce (d'ailleurs dans cette pièce qui a des soucis je pense il y a une odeur dans l'air très souvent quand on n'aère pas toutes les 2 heures) donne son odeur à l'eau cible. Le cristal lui, prend toute la place de l'air et au lieu que ce soit l'air qui est "pompé", c'est le cristal qui l'est. Le cristal a l'air de ne rien transférer qui donne du goût à l'eau, d'où neutralité au goût.

La portée de pompage est limitée dans l'espace, en effet l'air autour de l'aimant ne semble pas avoir donné de goût (ou imperceptible) donc c'est bien la zone directement en face de l'aimant qui est le lieu de pompage privilégié, et le volume de pompage doit dépendre probablement à la fois de la surface de l'aimant du côté sud ainsi que de la puissance magnétique. C'est un souci à prendre en compte dans les tests de transfert et c'est possiblement le problème avec les aimants de petite section mis en face de gros verres plein d'eau: le volume de pompage doit être tout petit côté sud, et ça peut oser problème pour sentir quelque chose de net.

Merçi Chercheur !

Cela voudrait dire aussi , qu'il n'y a pas forcément besoin de mettre le recipient temoin à "perpète les bains " ! Ce qui enlèveraient certain facteurs éventuels ! Par exemple : lorsque je faisais mes essais sur l'orgone avec la pyramide , j'avais remarqué une différence de structure dans la glace qui a été "orgonisée" par rapport aux 2 pots témoins ( l'un à 30 cm et l'autre à 15m , le tout étant fait à l'extérieur en période de gel !) . . . En faite , c'est juste que le pot orgonisé était protégé du vent par la structure portant la pyramide ! ( je pense que Chercheur avait publié les photos dernièrement) . . . J'ai pu en avoir la certitude en bougeant le système pour qu'il aie une prise au vent comme les autres => les 3 pots se congèlaient identiquement !

Pour mon expérience en cour , les 2 pots de test sont dans une étagère tandis que le pot témoin est sur le bureau en face . . . peut-être que ce dernier , moins "protégé" , recevra plus de spore que les 2 autres  . . . on verra avec le temps et les essais ! Ce pourquoi il serait interessant de le mettre tout près des 2 autres . . .

Voilà , bonne soirée à tout le monde !!!


Robert . . .

Bonjour à tous . . .

Comme je le dis souvent : il n'y a pas de hasard , et pour preuve ce qui suit . . .

En me renseignant sur l'électro-culture , je suis tombé sur un article qui nous interessera au plus haut point :

http://www.agriculturecosmotellurique.org/...ervescience.pdf

il se trouvait sur ce site :

http://www.agriculturecosmotellurique.org/...troculture.html


A vos aimants !


Robert

Excellent article que tu nous a déniché là.

Je note quelque chose d'intéressant, la remarque de Descartes, je ne savais pas qu'il s'était intéressé à cela, que dans l'hémisphère Nord le pôle Nord d'un aimant soutient plus de fer que le pôle Sud.

En effet Leedskalnin avait soutenu des informations de ce genre dans sa théorie et des tests menés par Biganos, adaptés de l'idée, n'avaient mené à rien.

Peut-être en fait fallait-il ne pas adapter le test indiqué? Information qui se recoupe.

Je rappelle le lien vers le texte de Leedskalnin:
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...p?showtopic=503

Et l'expérience de Biganos (beau travail qu'il a fait là!):
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...p?showtopic=654

Il faudrait donc rouvrir le chapitre sur ces tests et les faire tels qu'indiqué exactement dans le document initial pour mieux savoir.

je ne connaissais pas du tout non plus le nom de Guy Arnaud. ça fait des pistes de recherche. On retrouve le coup du caoutchouc, c'est donc lui l'inventeur de la chose plutôt que Keller semble-t-il. Bref, qui l'a fait le premier n'a pas d'importance, ce qui compte est la transmission d'information.

Merci encore pour ton document!

En se référant à cet article, la transmission se ferait par les lignes de champ extérieures à l'aimant, et pas par un pompage "traversant" l'aimant par le centre comme je l'imaginais.

On aurait un flux sortant par le Sud de l'aimant vers l'extérieur, ce flux saisissant l'information dans son entourage immédiat (par exemple l'eau caoutchoutée dans nos tests précédents), et le flux reboucle à l'extérieur en direction du pôle Nord et en se dirigeant vers le pôle nord va informer tout ce qui se trouve dans son voisinage, qui est traversé par le flux pour le rejoindre.

Du coup la dynamique est inversée par rapport à celle que j'avais émise comme idée, car elle passe par la circulation extérieure et non intérieure.

Leur hypothèse est montrée comme plus valide que la mienne par l'expérience qu'ils indiquent en dessins: le pôle Sud seul d'un aimant est disposé contre un informateur et un élément à informer et l'information va de l'informateur à l'informé dans le sens de circulation des lignes extérieures partant du Sud vers le Nord. Ici le bouclage vers le Nord n'est pas utilisé dans leur test, seule la traversée des lignes de flux provenant du Sud près de sa sortie est utilisée.

On peut facilement adapter un test avec aimant et eau+caoutchouc pour vérifier ce qui est annoncé: il faut mettre l'aimant côté sud avec le verre d'eau caoutchouté accolé au verre d'eau vierge, le tout restant côté Sud. Le truc c'est d'avoir des lignes de champ assez longues à l'extérieur de l'aimant pour traverser les deux épaisseurs eau avec caoutchouc puis eau vierge pour informer. Soit des flacons assez plat à trouver, soit plus simplement mettre du caoutchouc plaqué à l'aimant et au verre d'eau vierge, le tout côté Sud.

L'article que tu as mis est à priori un scan de l'article originial provenant du n°15 de effervescience:
http://www.effervesciences.com/numero15.html

Ce monsieur a l'air de s'être intéressé à la magnéto=thérapie, il a un brevet là dessus:
http://www.sumobrain.com/patents/wipo/Inst...2001024879.html

PDF à charger:
http://www.sumobrain.com/patents/wipo/Inst...001024879A1.pdf

Autre brevet sur la transmission magnétique avec des huiles essentielles pour le soin:
http://www.sumobrain.com/patents/wipo/Devi...2001024880.html

PDF à charger:
http://www.sumobrain.com/patents/wipo/Devi...001024880A1.pdf

Bonsoir à tous . . .


Merçi Chercheur pour ces recherches ! Je vais continuer sur ma lancée en publiant des extraits d'un livre que j'ai acquis il y a 1 ou 2 ans

Couverture :



Page 60 : la lecture commence au chapitre "Les effets des 2 pôles sur les êtres vivants"



Page 62 :



Page 64 :



Page 186 : chapitre sur l'eau aimantée :



Page 188 :



Page 190 :



Page 192 :




Voilà , bonne lecture !


Malgrés ces nouvelles informations , je laisse l'expérience du cuivre et de la moisissure en cour ! Pour le moment ,il n'y a pas encore de réaction !
J'ai toujours la bouteille baignant dans le champs magnétique d'un aimant , mais ce sera aussi pour essayer ultérieurement afin de ne pas interférer avec d'autres essais . . .



Bonne soirée à tous . . .


Robert  . . .

Si on passe sur des imprécisions et erreurs de vocabulaire physique mélangeant le magnétisme, l'électricité et l'électromagnétisme; le fond de cet article est encore très intéressant.

Merci pour ces apports qui construisent peu à peu.

L'idée de lignes convergeantes au Sud ou divergeantes au Nord paraît par contre contradictoire avec l'idée de la circulation du Sud vers le Nord de l'autre article; ici c'est l'inverse qui est suggéré?

Je voulais aussi signaler que les accumulateurs à orgone accumulent de l'orgone positive pour la vie avec des systèmes contenant des couches d'acier ou de fer, qui est un métal magnétisable et qui multiplie donc la puissance des lignes de champ magnétiques terrestre qui les parcourent dans l'air.

L'acier magnétique ou le fer fait "attracteur" à lignes magnétiques (bien plus grande perméabilité magnétique que l'air), et comme par hasard il fait aussi attracteur à orgone. Un lien? A voir!

Ce qui est intéressant , c'est le rôle que joue le Sud de l'aimant dans les 2 cas ( transmission d'infos et magnétothérapie ) . . . pour ce qui est de la théorie , c'est sur qu'içi il y a contradiction !
Seul les expérimentations fournies et facilement reproductibles nous donneront la véracité (ou pas ) de tout cela ! C'est la partie que je préfère !

Alors , faites chauffer vos aimants . . .



Robert . . .

Oui, il y a en effet du commun dans l'observation des effets, et c'est ça qui importe. L'explication du pourquoi après, c'est une interprétation de ce qui se passe, et ça n'est pas ça qui permet de juger la qualité des résultats qui eux sont ce qui compte.

Hier après midi j'avais lancé deux expériences simultanées de transmission par le sud seul de goût caoutchouc, l'un par du caoutchouc dans de l'eau contre un autre flacon d'eau vierge (mes tubes à essai, disposés différemment avec les aimants disques) et l'autre par du caoutchouc directement accolé au flacon d'eau vierge (flacon de verre avec le gros aimant pavé)

Résultats cet après-midi!

Tout ceci me rappelle qu'un inventeur de systèmes à énergie libre reposant sur les aimants et ayant participé à des projets de montage sur les énergies libres en groupe (soldés par des résultats négatifs), il y a quelques années, disait sans cesse que le Sud est le pôle émissif. Il avait pu apprendre des choses sur ce sujet en provenance de Tesla par le biais d'un ancêtre à lui qui l'avait connu et lui avait donné l'information. Il avait utilisé ce principe pour ses résultats.

Pour ceux du groupe qui se reconnaitront pour savoir de qui je parle, il était surnommé "le sorcier".

La composition des aimants avait aussi une importance pour lui, il dopait ses aimants avec divers éléments chimiques complémentaires par des projections de surface (pas de la peinture, de la projection ionique qui pénètre quand même un peu sur quelques micro mètres de surface, réalisé en industrie, par le biais de connaissances). En effet il indiquait que ce qui était émis par le Sud de l'aimant portait une caractéristique différente selon le matériau de l'aimant.

Ainsi utiliser un aimant ferrite ou néodyme n'est pas anodin, ce n'est pas qu'une question de puissance mais aussi ce qui est émis doit transporter des caractéristiques des éléments des aimants et a une action différente.

Ce message a été modifié par Chercheur le Dimanche 23 Octobre 2011 à 07h16

Voici les expériences menées:

expérience n°1:
Assemblage:



Dans la zone d'attente pour 24h:


Un autre tube à essai témoin contenant la même quantité d'eau et nettoyé en même temps et dans les mêmes conditions que le tube à essai d'eau à faire imprégner a été disposé à un peu moins de 1 mètre de là.

expérience n°2:



Dans la zone d'attente pour 24h:


Un autre flacon témoin contenant la même quantité d'eau et nettoyé en même temps et dans les mêmes conditions que le flacon d'eau à faire imprégner a été disposé à un peu moins de 1 mètre de là.

Le pôle Nord de l'aimant était dirigé pour les deux expériences, vers le nord magnétique terrestre, le système disposé dans cet axe là (donc aimant en attraction avec le champ terrestre car le nord terrestre est un pôle sud magnétique au sens des aimants).


Au bout de 27h30, voici les résultats:

expérience n°1:

J'ai noté que le bouchon en liège du tube à essai d'eau à faire imprégner était noirci, comme en état de légère décomposition, de pourrissement, juste au niveau du bouchon lui-même. J'ai retiré le bouchon et soigneusement nettoyé au sopalin toute trace de noir sur les parois du tube à essai en haut, pour ne pas contaminer l'eau du tube lui-même.
Les bouchons du tube témoin et du tube avec les morceaux de caoutchouc ne présentaient pas ce problème.

L'eau du tube à essai à imprégner avait un goût différent de celle du tube à essai témoin. Un goût que je qualifierai d'un peu caoutchouté sur la langue, après avoir avalé l'eau. Je fais toujours 2 à 3 très petite gorgées de l'eau témoin, pour bien en saisir le goût, puis de l'eau à imprégner 2 à 3 aussi pour comparer; puis je recommence le même cycle 2 autres fois. La différence se sent mieux en s'habituant au goût ainsi.


Donc il y a quelque chose qui est passé, et la différence était assez nette entre les deux tubes.

expérience n°2:

L'eau du flacon témoin avait là aussi un goût différent de l'eau du flacon avec du caoutchouc scotché autour. Sur la langue, après avoir avalé la gorgée d'eau, au bout de 3 secondes environ, on sent bien la nuance de la différence de goût: c'est le goût caoutchouté. Mais j'indique là que le goût est quand même plus faible que dans le cas des tubes à essai. Toutefois il est indiscutable.

J'ai fait goûter à ma femme pour voir; elle a très peut de goût pour goûter l'eau, elle a bien senti une différence de goût entre les deux, la qualifiant de légère. C'est vrai que c'était peu intense quand même. Mais c'était bien caoutchouté, je confirme.

Donc la transmission côté sud a bien fonctionné comme l"indiquait l'article. Ceci appuie les propos qui indiquent que ça serait une circulation extérieure à l'aimant partant du Sud, radiant vers l'extérieure sur une certaine distance et rebouclant vers le nord qui a lieu.

Dans ce test on utilise la zone de parcours des lignes sortant du Sud et s'éloignant assez pour traverser la source et l'eau à imprégner; dans les expériences menées jusque là on utilisait le retour de l'information imprégnée sur e parcours sud vers le nord.

Pour conclure que c'est bien cette dynamique là qui a lieu, il faut refaire la même expérience mais avec inversion du sens de l'aimant: côté nord vers les flacons plutôt que sud. ça sera fait.

Je note aussi que le goût semble plus prononcé lorsque la source était du caoutchouc dans l'eau (expérience n°1) que lors du caoutchouc seul dans l'air. L'eau jouerait donc un effet d'amplificateur du phénomène. Peut-être l'eau s'imprègne de l'information du caoutchouc et crée donc un volume plus important de transmission que le seul caoutchouc dans le cas n°2.

L'expérience identique à la précédente mais avec le pôle nord vers le système caoutchouc+eau vierge à imprégner a été réalisé:



expérience n°1:


Il y a évidemment un flacon témoin mais je ne l'ai pas pris en photo.

Position calée entre les deux rubiks cube:


expérience n°2:



Flacon témoin:


Au bout d'environ 26h les résultats sont les suivants:

Différence de goût nulle entre les deux flacons à imprégner et témoin de l'expérience n°1 (tubes à essai). Le volume à goûter est faible pour bien s'imprégner du goût, mais franchement je ne vois aucune différence du tout.

Pour l'expérience n°2 il y a une petit différence de goût, l'eau du flacon à imprégner étant un peu plus plate de goût que l'eau témoin. Mais absolument aucun arrière goût de caoutchouc.

Il s'est donc passé ce qui s'est passé auparavant lorsque le nord pointe vers l'eau à imprégner: l'eau a changé légèrement de goût pour être plus plate. J'avais déjà constaté cet effet.? par contre aucune "plus platitude" dans le cas n°1. On peut supposer que c'est dû au fait qu'il y a déjà un premier tube à essai d'eau (avec caoutchouc) devant le tube à essai d'eau "à imprégner". Cela ferait écran (l'eau du premier tube à essai absorberait les particules ou l'énergie drainée par le champ magnétique; alors que dans le cas de l'expérience n°2 il n'y a pas d'eau pour absorber autre que l'eau à imprégner elle-même).

En tous cas, au-delà de ces hypothèses d'écran, aucun goût de caoutchouc n'est passé alors que cela passait clairement en inversant le champ magnétique de l'aimant.

Donc l'article précédent semble bien dire vrai!

Voici un article ancien de Nexus sur les éléments Ormus:
http://nous-les-dieux.org/index.php?title=...Nexus+50+Fr.pdf

Outre le fait qu'il soit très intéressant, on y parle encore de la condensation d'éléments ormus en dehors de sacs fermés, notamment en présence de champs magnétiques. Encore un élément qui indique que ces éléments pourraient être véhiculés par le champ magnétique.

On trouve aussi cet extrait:

Dans le lien donné par l'article de nexus:
http://www.b-harmony.com/calendrier/barry_carter.htm

Ce message a été modifié par Chercheur le Mercredi 26 Octobre 2011 à 22h04

Un test que je compte faire, mais pour lequel il me faut un moyen de produire des bactéries que je pourrais visualiser à l'oeil nu (par leur coloration de l'eau par exemple) est d'utiliser une pastille micropur de purification de l'eau qui tue toutes les bactéries en 2h:
http://www.ilapharm.com/traitement-de-l-ea...-comprimes.html

Ce genre de pastilles ça se vend par exemple à Décathlon. J'en ai une plaquette pour mon sac de randonnée, donc question achat c'est réglé, pas de dépenses (ça coûtait de l'ordre de 16€ je crois la plaquette de 100 à décathlon)

ça contient du chlore (qui finit par s'évaporer) et de l'argent qui reste dans la solution sous forme d'ions argent et permet de tuer toute bactérie qui essaierait de se développer pendant une durée de 6 mois. Donc les ions argent je les ai avec ça sans me fatiguer avec de l'électrolyse d'argent. Ceux qui ont d'autres sources (comme l'argent colloïdal par exemple) pourront essayer, mais je ne sais pas si la dose d'argent colloïdal sera suffisante (il faut une certaine concentration, une pastille micropur permet de traiter 1 litre d'eau il me semble)

L'idée est donc d'abord de cultiver des bactéries dans de l'eau. Puis d'en verser un contenu égal dans deux flacons, l'un étant la solution à imprégner et l'autre la solution témoin.

Puis ensuite mettre une pastille micropur dans un flacon d'eau accolé par un aimant à la solution à imprégner par le transfert magnétique, soit avec la méthode sud=micropur et nord=à imprégner soit les deux du côté du sud avec le bon ordre, comme auparavant expliqué.

Ensuite comparer au bout d'un certain nombre d'heures.

Si je n'ai pas de bactéries facilement observables à l'oeil nu par une coloration quelconque de l'eau dûe à leur présence, il me faudrait avoir un microscope. Cultiver des paramécies par exemple est simplissime. Une feuille de salade découpée en morceaux à laisser macérer dans de l'eau durant plusieurs jours et l'eau devient saturée de paramécies, surtout en surface. Mais là à l'oeil nu je ne les verrais pas. Donc pour faire cette expérience il faut disposer d'un microscope.

J'ai bien je crois un microscope tout pourri de mes gosses, je ne suis pas sûr que la visibilité soit correcte (question grossissement pas de soucis, les paramécies c'est très gros et le plus petit occulaire suffira). ça permettrait de comptabiliser la densité de paramécies vivantes dans le flacon témoin et celui à imprégner pour voir si il y a eu différence.

Mais franchement si je pouvais avoir un test par coloration ça serait mieux. Et puis compter les paramécies c'est un challenge, si je prends une goutte d'eau comme taille de référence, il risque d'y avoir beaucoup trop de paramécies à compter, la goutte c'est très très grand au microscope; et puis il faut être sûr que j'ai pris une goutte représentative de l'échantillon, si les paramécies ne sont pas distribuées également partout, dire que j'en ai moins dans une goutte plutôt que l'autre ne concluera rien. Le mieux serait une coloration d'ensemble de la solution, ou même un réactif coloré (mais qui ne réagira pas avec les restes explosés des bactéries mortes sinon je ne ferai pas la différence).

Je manque de connaissances en biologie pour cela.

Ce message a été modifié par Chercheur le Jeudi 27 Octobre 2011 à 22h05

Bonjour les amis !

Voilà , concernant le résultat du test avec les moisissures et le cuivre , on peut dire que c'est négatif !
Le test a commencé le 18/10 et , jusqu'à aujourd'hui , aucune moisissure ne s'était déclarée !

Tout à l'heure , j'ai vu qu'elles s'étaient développées dans le godet ou la transmission du cuivre aurait du se faire ( j'avais commencé le test avant de trouver l'article avec la transmission aimant-source-destination ) :







Et voilà le godet témoin , pratiquement vierge de moisissure :



Il était temps que les moisissures se déclarent car l'eau commençait à vachement s'évaporer !

Je ferais d'autres test courant de la semaine . . . pour le moment , je vais bosser et , j'attend avec impatience le résumé de la journée d'hier de Chercheur!


Bonne aprèm à tous !!!


Robert . . .

Je t'avoue que je ne suis pas au courant que le cuivre serait sensé tuer les moisissures. Les ions argent oui, le cuivre je n'en sais rien, et si tel était le cas, ça ne serait pas des ions cuivre plutôt?

On parle de l'action bactéricide du cuivre ici:
http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=acti...bW89htg&cad=rja

Plutôt que de hasarder quelque chose qui pourrait ne pas être un bon agent, je testerai avec des ions argent de tablette micropur et sur des organismes ciblés comme tués par les ions argent. A la fois j'ai les ions et en quantité suffisante pour être bactéricide et ensuite transmettre par magnétisme.

J'ai toujours le souci du choix de "bonnes" bactéries assez "sympathiques" pour ne pas m'obliger à utiliser un microscope pour les compter, mais qui r"agiraient à une coloration pour savoir où on en est. Quelque chose de visuel donc!

Bonsoir à tous !


Bien bien bien , tu as surement raison ! D'ailleur , comment faire la différence entre la moisissure et des nids de bactérie ? Içi , c'est moi qui doit me tromper et il s'agit probablement de bactérie !

Bref , je vais préparer prochainement de l'argent colloidal à forte concentration ( du moins je vais essayer ! ) et trouver un récipient le plus mince possible afin de l'y mettre . . . Avec cette culture de germes , l'aimant et l'AC , j'ai tout ce qu'il faut pour essayer !

Mais avant tout cela , je vais mettre un peu de germe dans un godet témoin , laisser développer le tout , puis mettre de l'AC dedans afin de voir si cela tue bien les germes ! Si oui , je passerais à l'étape suivante ( transmission magnétique ) . . .

Voilà , je pense que le protocole devrait te plaire

Ps: même si c'est pas le bon sujet içi , merçi à toi pour le rapport passionnant avec JP Girard ! Dès que je peux j'essayerais de tordre une tige (creuse , en laiton et de faible diamètre pour commencer ) . . . Si j'y arrrive , j'essayerais avec quelques personnes ayant l'esprit ouvert ! (même si je n'y arrive pas d'ailleur !) . . . Je te tiens au courant . . .


Bonne soirée à tout le monde !!!!!


Robert . . .

Ouhlà, je ne faisais que dire que je ne connais pas l'action du cuivre en fait et que dans le doute je préfèrerais faire avec des ions argent; je n'affirme pas quoi que ce soit concernant la validité ou pas.

Sinon merci pour tes commentaires! Je vais ajouter des choses sur le rapport Girard.

Hum , c'est sur le ton jovial que j'ai fais le commentaire , tu me connais Chercheur
C'est pas toujours facile de faire passer la tonalité d'une conversation par le biais de quelques lignes !

Mais n'empêche que tu as surement raison avec les bactéries/moisissures et je préfère de loin t'écouter plutôt que de faire des essais qui prennent du temps et ne servent peut-être à rien !

Ceci  dit , le temps de faire le test avec l'AC , j'ai déjà mis en place l'aimant/cuivre/bactérie . . . Sait-on jamais . . .


Allez zou , je vais te lire sur l'autre page !



Bonne soirée à tous . . .

Robert . . .

Bonjour à tous . . .


Voilà , pour le prochain test , j'ai fabriqué de l'argent colloidal à du 25 ppm :



J'ai ensuite pris les 2 godets contenant la culture de bactéries :



Il y a eu juste un petit soucis : il a 2 ou 3 jours de cela , j'ai du remettre un peu d'eau dans les godets car , s'étant évaporée , le niveau descendait trop bas ! En faisant cela , j'ai "noyé" un peu les îlots de bactérie !
Ceci dit , j'ai choisi de mettre la quantité d'une moitié d'un tube à essai d'AC dans le godet témoin contenant le moins de bactérie ! Le plus important étant de voir l'effet de la transmission :





Puis j'ai assemblé le godet/AC/aimant de la même manière que Chercheur, avec bien sur le sud pour transmetteur :



L'aimant utilisé étant ce modèle-çi :



Et voilà le début de l'expérience :



Pourquoi cette dernière photo inutile ? Parce que , comme Chercheur j'ai une mauvaise mémoire

Voilà , j'espère que le roman-photo vous a plu !

Reste plus qu'à attendre quelques jours pour voir le résultat . . .


Bonne soirée à tous . . .


Robert . . .

Super!

J'ai mis à cultiver des paramécies depuis 5 jours, elles sont fines prêtes là pour que je débute mon expérience aussi (salade à infuser dans de l'eau, si vous voyiez la couleur vous jugeriez que c'est prêt aussi!). C'est prévu ce soir normalement, comme ça on aura deux tests.

Bon j'avais bien lancé mon expérience, regardé des échantillons au microscope (qui est vraiment mauvais disons le au passage, je pensais qu'il grossissait plus, ce n'est qu'un x50 donc bof). J'avais entre 10 et 15 paramécies par écran de visionnage.

Mon bouillon de culture c'était de la mache en sachet trempée dans de l'eau du robinet dans un flacon en plastique durant 5 jours.

Ensuite flacon témoin et flacon cible, le tout fermé. J'ai bien pensé qu'en fermant j'avais un risque que les bestioles meurent du manque d'oxygène éventuel, mais quand même elles sont petites et le flacon contenait de l'air. 3 jours après, je regarde les échantillons (après avoir consciencieusement pivoté mon flacon cible de 90° toutes les 1/2 journées pour avoir une exposition homogène).

Et là je commence par le témoin et ... tout est mort, plus aucune paramécie vivante. J'ai testé au moins 10 gouttes différentes qui chacune étalées sur la plaquette font un sacré nombre d'écrans. J'ai eu une paramécie vivante seulement. Evidemment même chose dans le flacon cible: tout est mort.
Donc impossible de tirer une conclusion; soit c'est mort de manque d'oxygène, soit de manque de nourriture, quoi que de ce côté là j'avais quand même des débris végétaux dans les deux flacons, donc une petit réserver de nourriture.

Tout est donc à refaire, mais de façon à ce que ça ne meurt pas. Il faut un milieu de culture. Je ne suis pas assez connaisseur en micro biologie pour cela.

Ce qu'il me faut c'est de la bestiole qui vive sur le temps du test dans les conditions maintenues; sinon pas de comparaison possible. Voilà où j'en suis.

Juste pour montrer à quel point le microscope avec écran est pourri, voilà la vidéo lors du montage du test où je compte entre 10 et 15 paramécies par écran: