Photographie Kirlian et GDV

La photographie Kirlian permet de visualiser les champs d'énergie émis par les êtres vivants. Depuis 15 ans une autre technique similaire, le GDV est arrivée.

Faisons le point sur ce qu'est chacune de ces techniques et comment elle fonctionne.

Photographie Kirlian:

Découvert en 1939 par Semyon Kirlian, ingénieur électricien russe d'origine arménienne et Valentina Kirlian sa femme, l'effet Kirlian consiste en la photographie d'un objet déposé sur une plaque elle-même soumise à une haute tension et à moyenne fréquence.

La tension peut varier de 10 000V à 100 000V et la fréquence doit être de plusieurs dizaines de Kilo Hertz.
Soumis à ce potentiel de haute tension et moyenne fréquence l'objet rayonne un halo lumineux par ionisation des gaz immédiatement situés à sa surface.

Jusque là rien d'exceptionnel dirons-nous. C'est un effet Corona disons classique.

Mais ce qui a commencé à questionner c'est lorsque la photographie a permis de montrer la forme fantomatique d'une feuille coupée, forme absente qui émettait toujours un halo lumineux.

Feuille normale:


Feuille coupée et effet fantôme:


L'inventeur de la technique ne voulait lui-même pas y croire; cela lui posait problème.

Alors comment fonctionne l'effet? Après des années de réflexion de diverses personnes, une explication possible pourrait être la suivante: le champ électrique moyenne fréquence et haute tension crée une résonance du champ d'énergie vital de la forme vivante qui y est soumise.

Cet effet de résonance avec le champ vital (donc le champ électrique peut s'y coupler) crée des zones de noeuds et de ventres électriques à haute tension, créant donc un effet Corona du gaz environnant plus ou moins important. On va dire que c'est comme si le champ vital de l'individu, son corps vital, faisait structure résonante sur laquelle une partie des ondes électriques émis par l'appareil peuvent rebondir et s'accumuler, ou bien sir ce corps vital vibrait sur des fréquences similaires et par un couplage toujours inconnu amplifient les ondes électriques émises sur ces fréquences.

Il faut à la fois une fréquence suffisante pour que l'effet de résonance ait lieu et une tension suffisante pour avoir l'effet Corona (sinon on ne visualise rien).

Toutefois l'effet Corona utilisé produit une luminosité très faible. Si la pièce était totalement plongée dans le noir et l'oeil habitué au sombre, on pourrait peut être le voir directement lors de la photographie Kirlian.

En photographie Kirlian, on utilise une émulsion photographique plaquée sous l'objet à étudier et les émissions électroniques de l'effet Corona produisent une sensibilisation de l'émulsion. Ainsi ce n'est pas la luminosité émise par effet Corona (par l'ionisation du gaz) mais les électrons envoyés lors de cet effet Corona qui sont mesurés.

On appelle cela des émissions d'électrons froids.

Des études plus récentes ont permis de conclure que le gaz ionisé est essentiellement celui émis par le corps de la forme de vie étudiée si c'est une forme vivante qui est étudiée. En effet on a tous une "odeur" car ont émet des gaz par les pores de la peau, et les plantes font de même. Dans le cas d'objets inanimés le gaz ionisé est l'air environnant. Peu importe au final, car c'est la structure résonante du corps vital qui est importante dans l'effet observé, le support gazeux ionisé n'a aucune importance réelle.

Photographie GDV:

C'est un procédé inventé par le Professeur Konstantin Korotkov en 1993, Russe, docteur en électronique physique et docteur en ingénierie médicale. Il a développé son procédé à l'université de Saint Pétersbourg qui a conduit un la création d'un appareil utilisé comme imagerie médicale en Russie. Le système est opérationnel depuis 1996.

En fait ce qu'il a inventé est simplement une version numérique de la photographie inventée par Kirlian. Sur le fond il n'y a rien d'autre.

Une plaque est soumise au champ électrique haute tension et moyenne fréquence sur laquelle une personne pose un doigt. La photographie est prise par un capteur CCD au lieu d'une émulsion photographique: c'est la version numérique du Kirlian tout simplement.



On voit l'emplacement du doigt situé au-dessus de la fenêtre de vue de la caméra CCD. La zone ou est placé le doigt est soumise au champ électrique haute tension moyenne fréquence.

Ensuite, tout le travail intéressant qu'il apporte est d'avoir interprété les données lues par logiciel. Chaque doigt est pris en photo et la photo numérique est traitée par un programme spécifique sur ordinateur. Le dispositif de prise en photo est donc branché sur l'ordinateur.

Voilà les empreintes de doigts prises en photo par le logiciel:



Que fait le logiciel: il ne fait que mesurer la quantité de lumière détectée pour chaque empreinte de doigt par secteur circulaire.

Ensuite ces informations sont croisées avec la médecine chinoise qui associé chaque zone des extrémités des doigts avec un organe du corps. Donc si il y a des zones de "trous" dans l'anneau lumineux émis par le doigt à un endroit donné, le trou d'énergie correspond à l'organe correspondant.

Voilà le découpage en secteur correspondant aux organes en médecine chinoise:

Avec tout ceci, une fois tous les doigts passés à la caméra, on a un bilan de santé global de l'individu:





Le docteur Korotkov a mesuré les états bio-énergétiques de plusieurs dizaines d'individus femmes et hommes en bonne santé, afin de créer une base de valeur de mesure de la "normale". C'est à dire qu'il a mesuré la quantité de lumière émise dans chaque secteur circulaire pour chaque doigt et a mis ça en base de données. Ces valeurs (les aires des surfaces lumineuses) servent donc de référence.

Puis, la mesure d'une personne donnée est comparée avec cette base de données pour indiquer si les organes sont en sous état énergétique ou sur état énergétique, afin de diagnostiquer un défaut de vitalité ou une survitalité de chaque organe.

Puis une interprétation en terme de vitalité de chaque Chakras est donnée (toujours par la mesure des zones du corps associées à ces chakras par le biais des doigts) pour indiquer un centrage ou décentrage de ces chakras:


Donc l'appareillage sert à faire des bilans de santé, avec la médecine chinoise et en utilisant les points d'acuponcture des doigts, ainsi que l'interprétation des canaux subtils (nadis) et chakras indous. Mais dans le fond qu'a-t-il inventé? Rien du tout! Il n'a fait qu'utiliser le procédé Kirlian à des buts médicaux en utilisant ses compétences en imagerie médicale et leur utilisation.

Prix des appareils: exhorbitants. Je rappelle que c'est un simple générateur de haute tension (et courant faible) à moyenne fréquence avec une caméra CCD (une webcam disons). Prix des appareils: de 6 100€ (appareil qui ne mesure qu'un doigt à la fois, donc mesure à faire 10 fois, en nettoyant bien la plaque à chaque fois avec un produit adapté et en laissant sécher entre chaque doigt, car il faut TOUS les doigts pour avoir un bilan énergétique) à 15 500€ (appareil qui capture simultanément l'image des 10 doigts, pour aller bien plus vite).

Ce qui a de la valeur, c'est le travail logiciel associé. Le logiciel en version de base est livré avec l'appareil pour le prix! Mais l'appareil n'est pas vendu seul. Quand au logiciel est vendu à 4200€ en version complète.

Voici le lien vers l'importateur vendeur en France des systèmes GDV:
http://www.gdvonline.fr/

Une explication sur l'utilisation correcte de l'appareil GDV et de son fonctionnement est donnée ici:
http://www.arsitra.org/yacs/files/article/482/GDVjfr.pdf

Notamment on voit que si on veut utiliser le GDV pour comparer avec la table de référence, il faut se mettre dans les mêmes conditions que les personnes ayant servi à la création de la base de données: à jeûn, le matin, mains propres, ni moites ni sèches, sans avoir pris d'alcool, de café, de médicament, sans avoir subi récemment d'évènements émotionnels forts. Sinon la comparaison n'indique rien!!

Tout ceci n'est donc qu'un interprétation à partir de photographies Kirlian numériques d'empreintes de doigts. La base est toujours la photo Kirlian, et seulement des doigts ici.

Découverte du procédé et de ses propriétés:

D'après: http://labe.ch/?p=19

D'après: http://www.dynavive.eu/Competences/kirlian.html

Si le procédé n'est qu'à moyenne fréquence en terme de bande de fréquence électronique, il est appelé haute fréquence en comparaison de la basse fréquence du secteur.

D'après: http://www.dynavive.eu/Competences/kirlian.html

D'après: http://www.outre-vie.com/contacter/inconscient/aura/aura.htm

Ce message a été modifié par Chercheur le Jeudi 31 Mai 2012 à 10h53

Plan de réalisation d'un appareillage Kirlian:

D'après: http://www.outre-vie.com/contacter/inconscient/aura/aura.htm

La feuille est placée sur une plaque métallique, appelée plaque de décharge. L'objet à photographier est placé sur le film. Si l'objet à photographier est inanimé, il faut le connecter à la Terre.

Une haute tension à haute fréquence est appliquée sur la plaque pendant une certaine durée. La décharge Corona entre l'objet et la plaque de décharge passe à travers le film qui l'enregistre. Quand le film est développé, on a la photographie Kirlian.

Voir schéma:



Un montage de réplique amateur produisant des photographies Kirlian:

Schéma


B1 et B2 sont des batteries de 67,5V faisant une tension totale de 135V. On peut utiliser d'autres piles de tension inférieure, en augmenter le nombre dans ce cas. Par exemple au moins 10 piles de 9V. Une centaine de volts au moins est nécessaire. Une sortie de transformateur 110V ira bien aussi pour un fonctionnement sur secteur.

Un transformateur à haute tension est utilisé pour produire la tension sur la plaque de sortie. Tout le projet est monté sur une plaque en bois (contreplaqué, etc).

Le transformateur utilisé est un auto-transformateur.
C1 à C4 sont des condensateurs de capacité non précisée (montés en parallèle).

Le déclenchement se fait par un interrupteur. C'est lui qui permet de générer une impulsion dans le transformateur. Il faut mettre l'interrupteur sur On puis sur OFF. C'est un interrupteur à glissière: en position OFF il est comme indiqué sur le schéma, fermant les deux connections du bas, en position ON, il ferme les deux connections du haut.

Le plateau de décharge est en cuivre, recouverte ensuite d'une fine pellicule de plastique protecteur qui dépasse d'environ 2,5cm autour de la plaque tout autour. Un fil est soudé sur la plaque, mais il doit être protégé par du plastique isolant projeté par une bombe spray. Rien de métallique ne doit rester exposé sinon lorsque l'objet sera placé sur la plaque c'est par là que le courant fuira, empêchant la création d'images sur toute la surface.

Montage:


Exposition:


Une plaque de verre ou de plastique peut être intercalée entre la plaque électrode recouverte du film plastique et l'objet, si on a besoin de pouvoir poser l'objet bien à plat.

Le film émulsionné noir et blanc ou couleur doit être placé émulsion vers le haut. L'objet à photographier est placé par-dessus.

Ne jamais connecter à la Terre une personne vivante ou un animal sinon il sentira un choc électrique violent. La personne doit être isolée de la Terre et ne rien toucher qui y soir relié. Seuls les objets ou éléments inanimés doivent être reliés.

Faire basculer l'interrupteur de la position ON à OFF entre 10 et 20 fois pour générer assez d'impulsion permettant de sensibiliser le film par l'effet Corona entre objet et plaque. A chacun d'essayer pour voir le nombre d'impulsions utiles à une bonne exposition du film.

Les films utilisés sont directement exposés à la lumière, donc la photographie doit être prise dans une pièce entièrement noire, une vraie chambre noire comme pour le développement photographique. Une lumière rouge peut être utilisée pour y voir quelque chose si le fil est en noir et blanc. Avec un film couleur le noir doit être absolu. Dans ce dernier cas en prenant le film couleur en sandwich entre deux feuilles de papier opaque, une lumière rouge peut être utilisée; mais il faut rester en chambre noire.

Selon le film utilisé, les couleurs obtenues seront différentes sur la photographie.

Exemple de photographie obtenue avec ce montage:


Observations:
L'auteur de ce bricolage indique qu'il n'a pas pu obtenir d'images de fantômes lors de la découpe de feuilles. Il indique ne pas connaître la fréquence ni la tension utilisées pour les obtenir.

Ainsi on constate que bricoler un montage est une chose, mais le bricoler aux bonnes spécifs en est une autre. En effet là on a de la haute tension mais les fréquences envoyées proviennent de l'impulsion qui en génère tout un tas de façon chaotique et de manière brève; en impulsionnel.

Kirlian indique que l'appareil fonctionne en haute fréquence, pas en impulsionnel, et la durée d'exposition dépend de ce qu'on veut obtenir.

D'après: http://www.imagesco.com/articles/kirlian/k...phy-device.html

Un montage de réplique amateur produisant des photographies du type GDV:

Le même bricolage amateur précédent indique comment il a pu prendre des photographies par appareil photo (et donc c'est la même chose avec un appareil numérique ou une caméra CCD ou une webcam, évidemment):

Il faut pour cela construire une plaque de décharge transparente.
Alors, il faut placer l'objet d'un côté de la plaque transparente, et l'appareil photo de l'autre côté.
La haute tension est appliquée au plateau de décharge transparent et l'appareil photo prend l'image de la décharge Corona ayant lieu entre l'objet et la plaque, à travers la plaque transparente, justement parce qu'elle est transparente.

La plaque de décharge transparente est une plaque de verre avec une couche conductrice transparente (oxyde d'étain typiquement) sur un seul côté. Une électrode annulaire en cuivre faite d'une feuille fine de cuivre est placée sur une portion de la plaqué côté conducteur pour y souder un fil reliant à la haute tension. Puis une feuille de plastique transparent fine recouvre la surface conductrice, de la même façon qu'on avait isolé la plaque dans le montage à film émulsionné.

La haute tension connectée à la couche d'oxyde d'étain peut vaporiser cette couche en un instant si on a des étincelles dues à une mauvaise connexion. Donc si la liaison électrique entre la feuille de cuivre et la couche d'oxyde d'étain est mal faite, des étincelles vont avoir lieu (courant qui saute dans l'air entre la feuille de cuivre et le surface conductrice) et vont détruire l'oxyde d"tain, rendant la surface non conductrice. Il faut donc veiller à faire une connexion électrique correcte.

Il ne faut surtout pas réaliser la connexion par un fil directement relié à la surface d'oxyde d'étain. En effet avec un point de connexion seulement, le point crée une étincelle qui s'étend tout autour sur la surface d'oxyde d'étain qui n'est pas au même potentiel et qui propage la vaporisation sur la surface.

C'est pourquoi il faut une liaison électrique par une électrode qui fasse contact avec tous les bords du verre recouvert d'oxyde d'étain. Cela fait une électrode de grande surface, de forme annulaire (qui épouse la forme de la plaque en fait). Une colle epoxy conductrice à l'argent est utilisé pour réaliser une forte et bonne liaison électrique entre l'électrode anneau et la couche mince d'oxyde d'étain.

Une bonne transparence est aussi importante (90% au moins).










Le bricoleur vend les plaques transparentes à l'oxyde vierges ou déjà toutes montées:
http://www.imagesco.com/articles/kirlian/k...arge-plate.html

La plaque est recouverte sur un seul côté. Il est impossible de visuellement détecter quel est le côté conducteur. Prendre un multimètre pour tester (on a une résistance de l'ordre de 165 ohms pour 2,5cm d'écart des électrodes du multimètre sur la plaque).

Les photos sont prises par un appareil qui photographie la plaque transparente comme si c'était une simple plaque de verre à prendre en photo. Il faut un mode macro.

Par exemple, pour une photo de feuille, on la place sur une surface noire non réfléchissante et isolante. Ce permet d'avoir un contraste plus important à la photographie. Puis l'électrode en verre (plaque de décharge) est placée par-dessus la feuille. Le côté plastique isolant fin de la plaque de décharge est mis sur la feuille. La feuille (inanimée) est connectée à la Terre par une pince crocodile.

L'appareil photo est placé au-dessus du tout. Avec le mode macro ou un adaptateur on fait en sorte de ne prendre que l'objet; on fait la mise au point sur l'objet (enlever l'auto-focus si il y en a un).

Mettre l'ouverture sur f=2.0 ou 2.4 et régler le temps d'exposition à 10 à 20 secondes (ou pause B si commande manuelle). Le film utilisé est du 1000 ISO ou 1600 ISO.

Il faut réaliser la photographie avec les lumières éteintes dans la pièce, une fois la mise au point réglée (et pas d'auto focus pour la dé-regler). En cas de besoin de lumière, utiliser une lampe de poche avec un filtre rouge. La pièce doit être dans le noir le plus possible. Il faut réaliser des impulsions pendant le temps de capture.

Observations personnelles:

On constate que tout ce bricolage est très utile pour toute la partie mise au point mécanique et électrique. Ce qui laisse à désirer est le système de génération de tension haute fréquence qui n'est pas adéquat.

En reprenant tout ce qui a été fait là, et en changeant le schéma électronique on arrive à une caméra Kirlian.

Remarque du montage bricolé:

Pour ne pas avoir de photographie de fil attaché à l'objet connecté à la Terre (uniquement dans le cas de non vivant ou d'inanimé) une connexion à la Terre est réalisé par un fil relié à la Terre, traversant le papier noir de contraste et arrivant en contact avec l'objet.



C'est ainsi que les photographies prises ne montrent pas de fil!

Le bricoleur en question vend un appareillage tout monté:
http://www.imagesco.com/kirlian/device.html

Prix: 340$ la version simple et 390$ la version améliorée.
L'appareil à priori génère la haute tension de façon non impulsionnelle cette fois-ci.
Le prix est correct en rapport du matériel et du montage.

Un autre bricolage propose de constituer une plaque transparente de décharge par deux plaques de verre fermées hermétiquement comme un double vitrage, sauf un point d'entrée permettant de remplir le vide par une solution d'eau salée (sel dissout au maximum sans rendre l'eau trouble):
http://www.rmcybernetics.com/projects/DIY_...lian_photos.htm



L'objet est scotché sur la plaque:


Puis on branche la Haute Tension haute fréquence:


Résultat:


La bobine à haute tension utilisée est ici:

Vendue ici: http://www.rmcybernetics.com/shop/high-vol...oil/prod_4.html

Elle est alimentée par un module variable en fréquence:

Vendu ici: http://www.rmcybernetics.com/shop/cyber-ci...xi/prod_40.html

Ensemble du montage kit Kirlian:


Le module HF est capable d'alimenter depuis le continu jusqu'à 1,5MHz.

Les constructeurs du kit Kirlian indiquent:

A haute fréquence, le plasma (l'aura) tend à être plus doux et donne une luminosité douce sur la surface de la plupart des objets. A plus basse fréquence, le plasma tend à être plus allongé et à ressembler à des étincelles. Dans ce dernier cas il a tendance à venir des angles de l'objet plutôt que de toute sa surface.

Le système permet de voir les images fantômes.
Les constructeurs indiquent que pour eux c'est l'explication officielle qui tient pour les images fantômes: ce sont des traces résiduelles de micro rayures ou de la vapeur d'eau de la feuille coupée sur le verre qui produisent cet effet fantôme. Si on change la vitre contre une autre la feuille coupée ne produit plus d'effet fantôme.

C'est à tester!!

Je m'intéresse à ce type d'appareillage pour avoir un autre moyen de tester la dynamisation des eaux énergétisées; les germinations de graines donnant des résultats totalement chaotique, dépendant d'un paramètre caché non déterminé.

Effet fantôme:

On trouve l'information suivante:

D'après: http://fr.wikipedia.org/wiki/Photographie_Kirlian

Donc la fréquence nécessaire est de plus de 100KHz et la tension entre 15 000V et 20 000V pour visualiser l'effet fantôme.

Kirlian a travaillé avec son épouse avec un générateur délivrant entre 75kHZ et 200kHZ, tout à fait compatible avec les informations des indiens.

Maintenant qu'en est-il de la cause de cet effet fantôme: est-ce un artefact totalement explicable par les éléments physiques indiqués ou une vraie résonance avec le champ vital de l'être vivant?

Seule l'expérience tranche.

Ceci ne répond pas au problème de l'image fantôme.

Une recherche documentaire permet de trouver les références de l'article de 1983 cité:

Kejariwal, P., Chattopadhya, A., & Choudhury, J. K. (1983). Some observations of the phantom leaf effect. In W. G. Roll, J. Beloff & R. A. White (Eds.). Research in parapsychology, 1982 (pp. 110–111). Metuchen, NJ: Scarecrow Press.

Et l'article de Wikipédia donne la référence de l'article critique indiquant que l'effet fantôme, si il est bien observé en effet, n'est pas un vrai effet mais un artefact dû à des modifications de surface du verre entre la photo avant amputation puis après:

Eidson, William W.; Faust, David L.; Kyler, Harry J.; Pehek, John O., « Kirlian photography: Myth, fact and applications », dans New Electronic Means for Medical Diagnosis and Treatment Using the Human Energy Field: A New Beach Head for Scientific Discovery, Electro ‘78, Electronic Show and Convention, May 23-25, Boston, Special Evening Session, Part One. The Institute of Electrical and Electronics Engineers, New York 1978.

Une expérience qui montre que l'effet Kirlian capture bien des phénomènes de l'ordre du champ vital de la plante:

http://shadowboxent.brinkster.net/lemurkirlian2.html

Moi je rajoute que l'effet psychique perçu par la plante de ce qui allait lui arriver est imprimé sur la photo, indiquant que l'énergie vitale troublée de la plante par ce qui allait lui arriver a pu agir sur le phénomène électrique Kirlian, ce qui montre l'interaction entre le corps vital et le phénomène de photo Kirlian.

Pour ce qui est des plantes douées de capacités de perception, j'en suis convaincu depuis qu'étant ado j'avais lu "La vie secrète des plantes" aux éditions Laffont:
http://www.amazon.fr/vie-secr%C3%A8te-plan...r/dp/2221002318

Mais là on sort du sujet.

Une technique de photographie sans effet Kirlian montre que l'effet fantôme est visible optiquement, preuve qu'il y a bien une forme d'interaction du champ vital de la plante avec l'énergie électromagnétique (dans le visible là):
http://afterlife-knowledge.com/phanpics.html

En substance, une feuille est découpée, et on la prend en photo avec un appareil photo numérique à haute résolution et surtout avec des images non compressées, brutes, sans pertes.

La feuille est déposée sur un fond blanc, et on enchaîne de nombreuses photographies à la suite les unes des autres.


Par logiciel on colorise la zone blanche laissée visible par une échelle correspondant aux fluctuations de luminosité observées sur les différentes images par rapport à leur moyenne.

On devrait normalement obtenir un bruit de fond sans aucune structure. Eh bien la réalisation montre qu'on arrive à discerner (difficilement mais c'est là) la structure de la feuille: les veines de circulation de la sève pour l'exemple.





Ce phénomène de fluctuation de l'énergie électromagnétique locale par le champ vital, amplifié par un apport massif électromagnétique qui fait résonance (effet Kirlian) explique ce qu'on observe en photographie Kirlian.

Je reste donc intéressé à pratiquer la chose, car les explications de micro rayures sur la surface de la plaque qui expliquent tout ne me satisfont pas au vu des éléments que je viens de dénicher.

On trouve enfin ici des affirmations expérimentales qui vont à l'encontre des propos tenus sur le fait que l'image provient de micro rayures de la feuille exposée avant la coupure:

http://www.vectorpub.com/CH7-9.htm

Le rapport mentionné est:
Hubacher, J., and Moss, T., “Phantom Leaf Effect as revealed through Kirlian Photography” (UCLA, unpublished).

Comme il est indiqué qu'il n'a pas été publié il faut le demander à l'UCLA directement pour en avoir copie.


ça ne m'étonne pas que les critiques n'aient pas fait l'expérience dans l'autre sens, ni même qu'ils aient pris la peine de répéter l'expérience assez souvent pour voir si ce qu'ils considèrent comme une disparition de l'effet n'est pas juste un effet qui ne se montre que difficilement.

C'est pour ça qu'il faut fouiller et ne pas s'arrêter aux arguments des "contre" qui vont vider le bain avec le bébé dedans dès qu'il est trop froid car ça les arrange d'avoir trouvé un élément pour tout jeter, et des "pour" qui vont prendre tout élément pour quelque chose qu'il n'est pas.

Je pense (sans en être sûr) qu'on peut rapprocher ce phénomène au ressenti de leur membre absent de la part des personnes amputées. Dans ce cas, pas de micro rayures mais une sensation (souvent douloureuse) bien réelle et dans une proportion encore plus importante.
Je rêverai de la mise au point d'une machine capable de montrer l'effet kirlian d'une personne entière en temps réel. Le montrer à la personne permettrai en plus un feed-back des plus intéressants.

J'étais intéressé par l'expérience de photographie et détermination visuelle des fluctuations de luminosité.

Le problème est que, comme pour mes expériences avec l'orgone, j'ai un appareil photo pourri ultra basique.

Là il faudrait que je puisse prendre les photos en RAW (sans perte par compression, brut total), ce que ne fait pas mon appareil.

De plus il faut que je puisse régler la mise au point de façon fixe, donc en désactivant l'auto-focus, qui refait la mise au point à chaque photo, mais je ne peux pas. Donc mes photos sont remises au point par l'appareil à chaque fois, et il change donc le facteur d'échelle légèrement parfois, les images prises à la suite les unes des autres n'ont donc pas toujours exactement la même position.

Il me faudrait enfin un appareil qui supporte un déclencheur par fil à distance, appareil posé sur un pied pour l'immobilité; là je le pose sur une pile de livre et à chaque fois que j'appuie sur le bouton, ça bouge tout l'appareil, j'essaie de faire en sorte qu'il bouge le moins possible, mais sans déclencheur c'est la galère, et puis les livres s'enfoncent un peu, et ensuite ça revient par flexibilité. J'ai mis un déclenchement retardé de 2sec pour avoir une stabilisation avant chaque photo.

Donc comme on voit, que des conditions merdiques au possible à cause d'un manque d'équipement.

J'ai pris 30 photos et j'ai fait un traitement des images. J'avais vraiment trop de bougé et de plus l'appareil changeait la durée de pose à chaque fois, 1/17s puis 1/15s puis 1/16s. Donc luminosité différente à chaque fois, ce qui empêche toute comparaison des fluctuations. Heureusement j'ai quand même une option dans cet appareil merdique pour fixer la vitesse d'obturation, c'est déjà ça.

J'ai recommencé avec 25 photos et j'ai dû descendre à 18 photos utilisables en enlevant celles où il y avait trop de bougé ou lorsque l'auto-focus avait mis au point flou.

Voilà le résultat. Après un traitement recadré sur la portion utile de la photo (feuille cueillie 10min avant et coupée 5min avant):

Photo médiane des 18 photos (une photo moyenne on dira):


C'est la photo qui est la médiane pixel par pixel des 18 photos. Elle sert de référence au traitement. On appellerait ça un offset en terme de traitement.

Puis cette photo d'offset est soustraite pixel par pixel de chaque photo réalisée, ce qui permet d'obtenir les zones de fluctuation lumineuse. J'ai additionné ces fluctuations pour obtenir une fluctuation globale sur l'ensemble des photos:


Si j'ajoute cette somme de fluctuation sur l'image d'offset on a:


Puis on amplifie ces fluctuations en multipliant les valeurs des pixels par une certaine valeur:


On ne voit toujours aucune veine se dessiner (dites-moi si vous en voyez, même esquissées seulement). Pas étonnant avec tous les paramètres pourris que j'ai cumulé.

Voilà ce qu'était le morceau enlevé:


Donc résultat négatif mais avec que du matériel pourri qui ne fait pas ce qu'on veut.

De plus 25 photos c'est léger, mais c'est déjà grosse galère quand on n'a pas de déclencheur comme acrobatie pour que l'appareil ne bouge pas à chaque appui sur le bouton.

Les images ont été traitées avec un logiciel d'astronomie que j'ai chargé pour l'occasion, appelé IRIS (gratuit). Il ne fait pas tout ce que je voudrais (j'en utilisais un avant pour les traitements astronomiques qui faisait tout, mais par ligne de commande et pour l'installer j'en ai pour la journée).

Donc je fais un appel à VOLONTAIRES. Pour ceux qui ont un appareil photo numérique réflex faisant tout ce qui est nécessaire (images RAW, assez de Mégapixel, 8 Méga c'est suffisant, auto-focus désactivable, mise au point réglable par l'utilisateur de façon fixe), déclencheur et pied (avec un déclencheur, sans pied c'est quand même faisable sur une surface dure), pourriez-vous SVP faire les photos d'une feuille dans les mêmes conditions? Il faut aussi vous munir d'une feuille fraichement cueillie et la couper sur des veines (pas plus de 10% de la surface de la feuille)

Je pourrai faire les traitements d'images (envoi des photos par CD ou DVD par la poste pour les traiter) je ne vous demande aucune compétence en ce domaine si vous ne savez pas faire; mais prendre les photos je ne peux pas, je n'ai pas le matériel qu'il faut.

Il faut une luminosité qui ne varie pas dans le temps; donc soit la lumière naturelle si il n'y a aucun nuage dans le ciel qui viendra la faire varier, soit lumière électrique dans une pièce aux volets fermés. Et arrière plan blanc c'est mieux.

Je suis sûr que plein de monde qui passe ici a le matériel nécessaire.

Un article publié sur la photographie Kirlian de l'effet fantôme ne pouvant provenir d'exposition préalable sur la plaque:

Titre: The Kirlian phantom leaf.
Auteurs: Thathachari, Y.T. ; Pushpa, S.
Magasine: Current science. Curr Sci Mar 20, 1976, 45 (6) p. 205-210.

Article à télécharger:
http://cs-test.ias.ac.in/cs/Downloads/article_17741.pdf

Extraits:








L'article indique donc que des photographies Kirlian ont été faites avec la sortie Haute Tension et Haute Fréquence d'une bobine de Tesla qui délivre du 20kHz sous 10 000V.

Expérience réalisée par l'ITT de Mandras (Indian Institute of Technologie)

Des pulses de 1ms espacés de 1s chacun ont été imposés à des feuilles (objet O) prises en sandwich entre deux films à émulsion pour rayon X émulsionnés chacun sur leurs deux faces (F), le tout enveloppé dans du papier noir imperméable à la lumière, mis en sandwich entre les plaques en acier inox (E) isolées par un diélectrique (D) constitué par du film à rayon-X usage développé.

Les plaques E sont reliées aux sorties de la bobine de Tesla.

Les feuilles utilisées sont des feuilles cueillies fraichement sur des arbres ou arbustes près du laboratoire peu avant l'expérience. Les feuilles étaient à peu près plates. Les meilleurs résultats ont été obtenus avec des épaisseurs de feuille de l'ordre de 0,1mm à 0,2mm. La longueur des feuilles était de l'ordre de 4cm à 6cm. La condition était d'avoir un espace vide d'environ 2,5cm autour des feuilles pour avoir une vue photographique Kirlian autour de la feuille jusqu'à bonne distance.

Un petit morceau de la feuille était coupé de celle-ci dans les minutes qui suivent sa cueillette de l'arbre. Le morceau coupé était mis de côté et la feuille amputée était mise en sandwich entre les films pour exposition et photographie Kirlian. L'exposition consistait seulement en deux pulses de la bobine de Tesla. Après l'opération, une empreinte de la feuille était réalisée en la posant sur un film photographique et en allumant une lampe au tungstène au-dessus. Même empreinte conservée pour la partie excisée de la feuille.

Dans la figure 2, en A on a l'empreinte réalisée par la lampe au tungstène de la feuille coupée en V. En B et C on a le recto et le verso de la photographie Kirlian réalisée. On peut distinguer les veines de la feuille.

C'est l'expérience la plus réussie obtenue. De nombreuses expériences ont été menées et très souvent il n'y a rien à observer, pour des raisons non connues. Les paramètres permettant la reproductibilité sont à chercher.

Ce qui est important est que la partie manquante de la feuille n'a jamais été posée sur les films, ne s'en est jamais approché. C'est donc un effet Kirlian qui n'a aucune explication par les soi-disantes rayures de verre, traces déposées par la partie manquante de la feuille sur le film, etc. Les auteurs précisent que la feuille entière n'a jamais été approchée des électrodes, des films, des plaques ou autre. L'excision s'est réalisée loin de tout le matériel et seule la feuille coupée a été disposée.

Les critiques disent que la zone lumineuse provient de l'ionisation des matériaux intérieurs de la plante projetés dans l'air. Evidemment ils ne peuvent pas expliquer pourquoi cela prend la forme exacte du morceau manquant ni pourquoi on perçoit la structure de la partie manquante (pas visible sur la photo de mauvaise qualité de l'article).

Un critique qui a décidé que ce n'était pas possible ne va pas s'embarrasser d'une explication qu'il n'a pas, si elle lui permet de réfuter quelque chose dont il ne veut pas entendre parler, forcément...

Pour moi il y a bien assez d'éléments pour accréditer l'hypothèse de la mesure du corps vital par amplification électrique.

Donc valable pour mesurer les effets de la dynamisation sur des sujets test.

Je cherche toujours un volontaire ayant un appareil photo numérique capable de faire du RAW, capable de désactiver l'auto focus pour régler la mise au point manuellement avec au moins 5 méga pixels, 8 c'est mieux.

Il faudrait dans l'idéal un pied et un déclencheur; mais dans le cas contraire en étant précautionneux ça peut se faire sans.

Le but est de prendre des photos d'une feuille avec un morceau coupé sur fond blanc avec éclairage non variable. Je pourrai traiter ces photos pour voir si il est possible de discerner les interactions avec le champ vital de la plante.

ça n'intéresse personne? Tout le monde ayant ce matériel et passant ici est trop occupé pour passer 30min à prendre des photos d'une feuille avec la curiosité du résultat?

Nouvel appel à des personnes ayant un APPAREIL PHOTO NUMERIQUE évolué pour faire les expériences de photo (simple à faire, juste prendre des photos, 30min de travail) comme indiqué ici:
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...indpost&p=21844

Désolé, j'ai aussi un appareil très limité.

Merci quand même.

Mais il doit y avoir des personnes équipées qui passent ici et ne prennent pas la peine de penser à le faire, c'est ça qui est dommage; pas ceux qui comme toi voudraient bien mais n'ont pas le matériel.

Je suis allé relire le texte du l'auteur qui a fait les photos optiques permettant de visualiser une interaction avec le champ vital par le biais des ondes lumineuses et donc de visualiser un bruit de l'intensité qui redonne l'image fantôme.

J'avais compris qu'il comparait les différences entre plusieurs images de la même feuille prises dans le temps, pour une positon de pixel donnée.

Mais en relisant j'ai compris qu'il a fait plus simple encore: il a comparé les intensités relatives des pixels adjacents entre eux sur une même photo.
Disons que comme il n'explique pas le détail il faut deviner ce qu'il a fait. Je lui avais déjà posé une question sur sa méthodologie lorsque j'ai découvert son site, par le biais de son forum; mais c'est resté sans réponse.

Je lui ai reposé la question de nouveau, en demandant si il faisait un travail sur une seule image et quel travail précisément (intensité de quel pixel par rapport à quel pixel).

En attendant j'ai fait deux test:

1) Prises de photos à la webcam haute sensibilité que j'ai acquis récemment pour les études spectreo; j'ai pris 30 images fixes (pas besoin de déclencheur là, le déclencheur c'est l'ordinateur) et j'ai fait une image médiane.

Puis j'ai soustrait cette image médiane à chaque image de la liste. J'ai cumulée les pixels obtenus sur une seule image (ce qui me permet de cumuler tous les bruits). Puis j'ai enlevé une valeur d'offset et j'ai multiplié les valeurs obtenues pour étaler et créer ainsi une fausse colorisation automatique.
ça c'est ce que j'avais compris avant que je repasse sur son site.

Voilà ce que ça donne:
Avant/Après


On a l'impression de discerner la veine oblique du bas, sous forme de traces à peine perceptible.

2)J'ai adopté la méthode une seule photo. Là j'ai pris l'appareil photo numérique, qui n'a pas de grande sensibilité mais permet plus de pixels que la webcam.

Après le même genre de traitement, et une détection des différences en dérivant les valeurs des pixels en supplément, voici ce que ça donne:

Avant/Après



Là aussi on arrive à percevoir une trace de la grosse veine principale que j'ai sectionné, et peut être aussi en oblique celle juste au milieu.

L'appareil photo numérique n'a pas de bonne qualité d'enregistrement d'image, je ne peux pas faire de raw. Le résultat n'a pas l'air terrible. Par contre la webcam prend en mode brut, équivalent raw, donc même si elle a moins de pixels c'est de la haute qualité brute.

J'attends une réponse de l'auteur du site pour savoir comment il a affiné son traitement pour faire comme lui. Comme quoi j'arrive à bricoler en attendant. ça a l'air de donner quelque chose; mais j'attends mieux avec un traitement plus intelligent.

J'ai eu plusieurs échanges par email avec l'auteur cet après-midi, et il a répondu sur ses forums ainsi que par email sur sa procédure exacte.

Tout est détaillé, donc je vais pouvoir faire pareil bientôt.

Donc l'auteur a bien détaillé sa procédure que je reprends ici en citation:

Donc nanti de ces informations, j'ai écrit mon petit programme de gestion d'images en Delphi. J'ai pu donc faire mes paramétrages dans le même style que lui.

Voilà ce que donne son traitement (du même genre je veux dire) sur les photos postées la dernière fois:






J'ai refait des expériences aujourd'hui avec une nouvelle feuille, photos prises à l'appareil numérique:



D'abord en comparant l'image avec le fond pris séparément (la deuxième méthode qu'il propose):



Puis en faisant le traitement direct sur la seule photo de la feuille prise, comme j'avais fait la dernière fois:



Un autre essai avec une autre feuille de nouveau, avec webcam:



Et voilà le résultat de traitement direct sur les photos (prises à la webcam):

J'ai développé une version propre et plus facilement utilisable par tout le monde du logiciel Delphi que j'avais bricolé pour les études de photographie. Il ne fonctionne que sur plateforme Windows (Windows 2000,Millenium, XP, etc ou Windows 7)

Voici donc un installateur à télécharger qui installe et lance le logiciel réalisé pour l'étude des structures fantômes dans les trous de coupure des feuilles.

Il s'intitule PhantomStructures.exe et est fourni avec 3 fichiers exemples de feuilles de chez moi dont j'ai mis les résultats ici (j'ai malheureusement perdu l'original d'une des trois dont la qualité est bien moindre que celle de départ, pas grave).

Je vous engage donc à utiliser le programme sur vos propres photos et venir nous dire ici si vous avez pu avoir des résultats, et les montrer si oui:

Il vous suffit donc d'avoir n'importe quel appareil photo numérique qui sort les images en JPG ou de les convertir en JPG. ça perd de la qualité avec le format RAW, mais mon programme ne marche pour le moment qu'en JPG et j'ai pu avoir des résultats ainsi.

Donc monsieur tout le monde passant ici peut traiter ses photos, reste à prendre une feuille et la couper, photographier, mettre la photo sur l'ordinateur et lancer le logiciel.

Lien pour le téléchargement du programme PhantomStructures en version 1.01:
Phantom Structrures

Le logiciel se lance automatiquement en Anglais. Vous pouvez immédiatement le passer en français en allant dans le menu "Language" et en choisissant "français".

J'ai pris des photos de deux nouvelles feuilles avec amputation ensuite.

Webcam, image médiane de 10 images:


Après traitement:


Le fond est parfaitement uniforme, tous les pixels ont exactement la même couleur, mais parfaitement exactement, dans presque toute la zone de fond. Donc aucune structure.

Autre feuille, appareil photo numérique, autre emplacement dans la maison:



Après traitement, il n'y a strictement rien de visible, en changeant les réglages on n'a strictement rien d'autre que du bruit thermique et du aléatoire:


J'ai fait la photo du fond seul avec le même temps d'exposition que la feuille avec fond et j'ai soustrait les intensités de pixel, et multiplié les intensités résultantes par 10 afin d'étaler les couleurs. On n'a toujours que du bruit thermique:


Conclusion: mes photos d'aujourd'hui ont toutes donné un résultat nul de détection alors que la dernière fois elles avaient toutes permis de montrer une structure qui se percevait un petit peu.

Mais il y a une grosse différence dans les conditions de prise: la dernière fois j'avais un ciel bleu ensoleillé avec quelques nuages blancs de ci de là et j'avais la lumière solaire indirecte provenant du ciel bleu.

Ici le ciel est archi-couvert, nuages très épais à couper au couteau, on a passé la journée à se demander quand est-ce qu'il pleuvrait. On a une illumination uniforme blanche provenant de tout le ciel.

Donc les conditions de lumière sont peut être très importantes pour obtenir quelque chose. Pour confirmer cela il faudra que je reprenne une série de clichés lorsqu'il y aura un ciel découvert de nouveau; pour savoir si la qualité des rayons lumineux a un impact sur la détection des variations du champ vital de la plante. Car là c'est très net, il n'y a rien du tout.

J'ai pris une feuille que j'ai torturé en fin de journée, vers 19h30.
J'ai pu trouver un hygromètre digital retrouvé dans des vieilles affaires: humidité à 41%

Le temps était très beau, grand soleil, ciel bleu avec plusieurs nuages blancs.
J'ai modifié le programme de traitement PhantomStructures pour permettre l'utilisation plus intelligente de la palette par défaut qui est linéaire en multipliant les intensités des pixels par un facteur ajustable. je mettrai une version améliorée plus tard en téléchargement.

J'ai coupé la feuille de l'arbre, fait un trou dedans 2min après et pris les photos encore 1min après. J'ai pris 3 photos.

Feuille intacte:


Avec la méthode de palette aléatoire j'ai eu:


Avec la modification, qui permet de multiplier les variations d"intensité sans modifier la logique de structure des couleurs:




On a l'impression de voir l'une des veines de la feuille. On voit la même chose sur les 3 photos, donc ce n'est pas un simple phénomène de bruit aléatoire, sinon il est là 3 fois.

Plus de 1heure 30min après cela, je refais une nouvelle photo avec une plus grande résolution, je ne vois plus rien:


Donc ce qu'on peut voir finit par disparaître; si c'est le champ vital qui interagit avec la lumière, il s'est très atténué, ce qui est logique.

Ce message a été modifié par Chercheur le Lundi 02 Juillet 2012 à 21h04

Ton sujet m'intèresse aussi
J'ai du matos pro, RAW, APN 14bits natifs, objectif macro manuel, écran de contrôle en 10bits etc...

J'ai fait des photos de la manière suivante
APN Nikon D800 en RAW (14bits), exposition manuelle (1/250s F/16) , 50 ISO. objectif macro sigma 105mm,focus manuel sur la feuille quand elle est là.

1) photo de la plaque de plexi opaque blanc qui est horizontale. (le flash est dessous en mode puissance manuelle)

2) placement de la feuille de laurier palme, qui est toujours solidaire de l'arbre donc vivante, sur la plaque, puis je découpe une fenêtre dans la feuille. je fais alors une deuxième photo.

3) Je replace le morceau de feuille coupée dans le trou et je fais une troisième photo.

Fin des prises de vues. début de post traitement sous PS CS6 en 16 bits toujours sans compression.

Le flash crée un "blanc" compris entre 217 et 228.
application de l'outil courbe pour dilater ces valeurs sur la pleine echelle 0 - 255.
La feuille est dans la plage 18-82, elle n'est donc pas impacté par le post traitement.

Résultat : je ne vois rien...

je trouve une solution pour le stockage d'image et on continuera la discussion...

Formidable si un pro de la photo s'y met

Je signale qu'il existe un système d'envoi de fichier lourd, très utile, sans pub, ni ennui viral.
Je l'ai utilisé dernièrement pour envoyer les .MP4 à Biganos pour qu'il les stocke sur son serveur.
C'est

http://dl.free.fr/

C'est pour tout le monde, vous n'avez qu'à choisir le fichier sur votre PC
Inutile de marquer les adresses mails.
(Éventuellement la votre, si vous voulez vous rappeler plus tard, de l'adresse du fichier.)
Mais à la fin du téléchargement tampon, il vous fournit cette adresse.
Cette adresse de fichier, vous la donnez au collègue désirant ce fichier.
En, cliquant dessus, cela arrive chez lui.
Un fichier par adresse.
Pour des photos, je pense qu'il faut faire un seul fichier zippé (?)

Super! Je suis content que quelqu'un prenne la suite de ce travail.
Il faudrait que je mette la mise à jour de mon programme de traitement à dispo pour les dernières options de colorisation.

Tu n'as pas eu de résultat, ça n'encourage pas évidemment au premier coup.
Une note quand même: je n'ai pas eu dé résultat lorsque j'ai pris des photos avec un ciel uniformément blanc couvert, ni avec la lumière électrique intérieure de la maison (sur deux tests réalisés, lampe halogène).

Donc la source lumineuse au flash je pense que ça fait le même genre de problème.
Là où ça a bien marché, plusieurs fois, deux jours différents, c'était avec la seule luminosité du Soleil comme source, mais mais directement au Soleil (trop de lumière); un jour de Soleil avec un ciel bleu, pas couvert, beau temps (l'été c'est plus facile comme actuellement).

Il est possible que ça soit une qualité énergétique de l'atmosphère (orgone?) qui soit emportée avec les rayons lumineux et interagisse sur le champ d'énergie de la plante; lorsque le temps est couvert on sait que l'orgone quitte le sol et monte dans la couche nuageuse, là où est l'humidité; donc lien possible fort.

En tous cas tenir compte de l'information sur l'exposition à la lumière peut débloquer la non observation.
Sinon tu fais quoi exactement comme pseudo colorisation?

En RAW en tous cas c'est bien, aucune perte! J'espère plus de succès à ton prochain essai. Si tu as des images à me faire parvenir pour que je passe tes images à ma moulinette n'hésite pas. Mon programme n'est prévu que pour traiter des JPG, donc tu peux me les mettre à ce format là, il y a de la perte, mais je n'ai pas prévu de travailler en RAW jusque là, même si c'est l'idéal. ça tu peux le faire avec ton logiciel manifestement.

Les fichiers redimensionnés à 50% de leur tailles initiales sont visibles en cliquant dessus :



la reférence pour montrer les taches sur le plexiglas

L'appareil,(le D800e) est à priori le meilleur appareil "grand public" concernant le rapport signal bruit.
tu peux voir que malgré l'amplification de contraste, le bruit de l'APN est très faible.
Je n'estime pas nécessaire de faire plusieurs photos pour "moyenner" le bruit, n'y d'introduire des "fausses couleurs" pour aider la perception.

Effectivement la répartition spectrale d'un flash n'est pas celle d'un ciel bleu (que je n'avais pas le jour de la PDV, il pleuvait...).