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> LABO343's MEG
Ecrit le: Dimanche 18 Février 2007 à 16h00 Posted since your last visit
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18 FEVRIER 2007.
MEG LABO 343
Les bobines ne stockent pas d’énergie.
Au début de mes tests j’avais compris que le temps que durait la connexion et la coupure de la bobine de commande influait énormément sur les possibilités du MEG. En effet si l’on prend pour base une fréquence de 100 hertz cela voudra dire que le cycle complet du MEG se déroule en 10 millisecondes. Pendant ces 10 millisecondes, 5 seront attribuées à la croissance du flux de la bobine de commande par la connexion à l’alimentation et les 5 autres seront attribuées à une absence de connexion. Et ainsi de suite. Donc le « temps actif » du MEG sera de 5 millisecondes par cycle. Le problème évident qui surgit est celui de la durée du phénomène de connexion et de déconnexion lui même. Pour le relais statique que j’utilise, le temps d’établissement de la connexion est de 0,3 milliseconde : soit 6% du temps actif.
Par contre le temps de déconnexion est de 1 milliseconde soit 20% du temps actif. Cela poserait un problème de confusion si il n’y avait pas de diode dans le circuit de la bobine de puissance. En effet cette diode sélectionne comme courant admis celui qui est résultant de la croissance du flux de la bobine de commande : donc le problème ne se pose pas mais cela signifie que le temps attribué à la déconnexion de la bobine de commande ne peut pas etre inférieur à 1 milliseconde. Donc si l’on veut augmenter la densité de puissance du MEG il faudra utiliser une séquence de courant dont les composantes seront inégales :la principale sous forme de connexion étant celle attribuée à la croissance du flux de la bobine de commande et l’autre sous forme d’absence de connexion devant durer autant que la construction du relais l’y obligera.
Ces observations rappellent aussi que la fréquence maximale de fonctionnement du système est limitée par les performances de l’électronique de connexion.
Autre chose : pour éviter de perdre de l’énergie purement ohmique il faut que la constante de temps de la bobine de commande soit supérieure à la durée de la partie du cycle attribuée à la connexion. Jusque là tout va bien. Mais quand on coupe la bobine de commande avec un relais statique dont la durée de déconnexion est nettement inférieure à la constante de temps
Et au temps de connexion, il se passe quelque chose avec l’énergie « accumulée » dans cette bobine selon la formule « énergie = 0,5 x L x I au carré ». En effet cette énergie n’est pas « restituée »entièrement sauf pendant la milliseconde de déconnexion (dans le test). Si cette énergie était « cachée » dans un espèce de ressort la conséquence en serait qu’au cycle suivant le champ de la bobine de commande serait partiellement existant , que son espace de croissance se réduirait et qu’au bout d’un certain nombre de cycles il disparaîtrait. Ce n’est pas le cas. Donc il n’y a pas d’accumulation d’énergie dans la bobine au sens strict du terme.
La formule d’ « accumulation » de l’énergie n’est valable que dans le cas d’une bobine reliée
A un circuit extérieur pendant un temps au moins égal à celui ou elle a été connectée. Donc si
L’énergie n’est pas « accumulée » c’est qu’elle est déjà là.
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  Ecrit le: Vendredi 23 Février 2007 à 14h51 Posted since your last visit
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sur le site de fredéric gauthier,il parle d'un (GENERATEUR TESTATIKA)
testatika à m.e.g. le courant passent peut-etre...http://www.fredericgauthier.com/energie/testatika.html
je donne cette information si ca peux vous aider a y voir plus clair...mais peut-etre que frederic gauthier est inscrit sur ce site

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Ecrit le: Samedi 24 Février 2007 à 22h51 Posted since your last visit
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LABO 343 MEG
24 février 2007.
Bonjour, j’ai visité le site de la machine de testatika. J’ai cru comprendre qu’il y avait une génératrice électrostatique et un système d’abaissement de la tension. Ce serait bien de trouver une vidéo de cet appareil : je vois pas comment arrive l’énergie dans le disque. La seule piste que je connaisse en électrostatique est celle du « lifter ». En effet cet appareil qui est un condensateur asymétrique ne produit pas de courant en le déplaçant. Or quand on y applique une haute tension ( 30 KV par exemple) il est soumis à une force qui se dirige de la grande électrode vers la petite. Si on place ce système sur un axe et qu’on le fait fonctionner en tournant il va accélérer sans contrepartie due à un contre courant. Et si la vitesse atteinte est suffisante il produirait plus d’énergie qu’il n’en consomme… A condition que la charge sur son axe soit inférieure à son couple moteur bien sur. A vérifier... Il y avait sur le site de Jean Louis Naudin une petite vidéo en format « réal player » montrant l’accélération étonnante d’un « lifter » rotatif : cela m’avait intrigué. Mais je ne suis qu’une piste à la fois et c’est celle du MEG. En ce moment je cherche des informations sur le net pour « descendre de plusieurs étages au sous sol » de la matière et de l’énergie. C’est long mais passionnant.
A plus.
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Ecrit le: Samedi 24 Février 2007 à 22h51 Posted since your last visit
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LABO 343 MEG
24 février 2007.
Bonjour, j’ai visité le site de la machine de testatika. J’ai cru comprendre qu’il y avait une génératrice électrostatique et un système d’abaissement de la tension. Ce serait bien de trouver une vidéo de cet appareil : je vois pas comment arrive l’énergie dans le disque. La seule piste que je connaisse en électrostatique est celle du « lifter ». En effet cet appareil qui est un condensateur asymétrique ne produit pas de courant en le déplaçant. Or quand on y applique une haute tension ( 30 KV par exemple) il est soumis à une force qui se dirige de la grande électrode vers la petite. Si on place ce système sur un axe et qu’on le fait fonctionner en tournant il va accélérer sans contrepartie due à un contre courant. Et si la vitesse atteinte est suffisante il produirait plus d’énergie qu’il n’en consomme… A condition que la charge sur son axe soit inférieure à son couple moteur bien sur. A vérifier... Il y avait sur le site de Jean Louis Naudin une petite vidéo en format « réal player » montrant l’accélération étonnante d’un « lifter » rotatif : cela m’avait intrigué. Mais je ne suis qu’une piste à la fois et c’est celle du MEG. En ce moment je cherche des informations sur le net pour « descendre de plusieurs étages au sous sol » de la matière et de l’énergie. C’est long mais passionnant.
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Ecrit le: Lundi 26 Février 2007 à 17h07 Posted since your last visit
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26 février 2007.
LABO 343 MEG
Visite à la cave. Nouvelle piste.
Puisque apparemment l’énergie disparaît entièrement « à la cave » à vide (à part 1% de pertes ohmiques), il faut bien aller visiter la « cave ». La première chose qui saute aux yeux quand on visite la « cave » c’est la formule de transformation de la matière en énergie et inversement. Or on constate qu’à vide (dans mon test) l’énergie « disparaît » et que visiblement elle ne doit pas prendre beaucoup de place… Donc critère de recherche : « transmutations à faible énergie ». A voir…

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Ecrit le: Samedi 24 Mars 2007 à 17h27 Posted since your last visit
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LABO 343 MEG
24 MARS 2007.
Bonjour à tous et vive le forum !
Depuis l’interruption de fonctionnement je suis parti à la recherche des infos sur le fonctionnement possible du MEG au niveau atomique. Le champ de recherche est énorme
Et on se sent d’abord un peu perdu. J’ai donc procédé « au senti ». Le premier critère de recherche a été : « transmutations à faible énergie ». Je pense que c’est une fausse piste car les transmutations sont à « sens unique » pour le niveau d’énergie considéré. Par contre le changement d’orbite des électrons est immédiatement réversible et un mécanisme de « production » et de « consommation » d’énergie y est engagé. C’est très difficile de trouver
Des explications sur l’origine du champ magnétique et sur son fonctionnement au niveau atomique. Quelle est l’architecture de la croissance d’un flux ? Est ce le nombre « d’éléments de base » qui augmente quand croit le nombre des ampères des bobines ? Ou bien « la qualité » d’un nombre « d’éléments » défini au départ par la section du circuit magnétique ?
On trouve plus facilement des infos sur le fonctionnement atomique des aimants permanents
Mais pour le MEG ce n’est que la moitié de l’histoire : la seule certitude c’est que l’aimant permanent n’a pas de réactance et que c’est grace à cela qu’on observe le résultat surprenant
De ma dernière expérience. L’énergie « circule » et peut être captée sous forme électrique par une bobine lorsqu’un champ magnétique varie en intensité : cela signifierait que « l’augmentation d’un nombre ou bien l’augmentation d’une qualité » dans le circuit magnétique fait circuler des électrons dans une bobine dont la matière est extérieure à ce circuit magnétique. L’augmentation d’un flux magnétique est un phénomène que nous croisons à longueur de journée : si je prends la cause ce concept comme critère de recherche
(Sur Google par exemple) je ne trouve rien d’utilisable. Pourquoi ?
J’ai réalisé une deuxième vidéo beaucoup plus précise sur ma dernière expérience. Sa longueur est de 20 minutes. Je vais essayer de la transmettre sur la même adresse que la première. A plus…
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Ecrit le: Lundi 26 Mars 2007 à 22h19 Posted since your last visit
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26 MARS 2007.
LABO 343 MEG
Domaines de Weiss.
En cherchant sur le web avec des critères décentralisés (orbitale des électrons) je suis tombé
Sur un texte qui explique clairement le fonctionnement du champ magnétique au niveau atomique dans le fer : les domaines de Weiss. Je pensais que cela ne concernait que les aimants permanents (j’avais déjà vu cela auparavant sans y prêter attention) alors que tous les matériaux ferromagnétiques sont concernés. La différence entre le circuit magnétique du MEG et l’aimant permanent lui même réside dans la « solidité » de ces domaines. Pour l’aimant permanent, donc, il faut une très forte énergie pour les désorganiser. Ainsi on peut dire que chaque cycle du MEG est une espèce de gestion spéciale de la quantité de désordre dans un matériau qui contient déjà une aimantation. La résultante de ce désordre serait nulle dans le circuit magnétique en l’absence de l’aimant permanent et de l’action des bobines. L’aimant permanent créerait un « ordre de base » dans les domaines de Weiss du circuit magnétique grâce à ses propres domaines. La bobine de commande, pendant la phase de croissance de son flux « fabriquerait un ordre » opposé à celui de l’aimant permanent. Cette phase consommerait de l’énergie en direction du MEG, non limitée par la réactance (contrebalancée par la déréactance) à vide. Question : ou se loge l’énergie introduite ou extraite dans l’organisation ou la désorganisation des domaines de Weiss ? Autre question : la résultante de l’action de la bobine de commande contre l’aimant permanent est elle un « désordre » ou un « ordre nul » ? C’est passionnant. A plus.
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Ecrit le: Jeudi 29 Mars 2007 à 18h25 Posted since your last visit
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29 MARS 2007.
LABO343 MEG
Alignement des axes.
La croissance du flux provoqué par la bobine de commande dans le circuit magnétique du
MEG est donc due au processus d’alignement des moments magnétiques des atomes de fer.
Cet alignement est déjà sous jacent grâce aux domaines de Weiss. Le champ magnétisant de la bobine agit donc comme un ordonnateur des atomes. Soit. Mais l’énergie ? Ou est elle ?
Un alignement des axes ce n’est pas une « gain » d’énergie. Si l’on revient au niveau macroscopique un instant et que l’on compare l’énergie consommée par une bobine
Connectée en permanence avec du courant continu et la même déconnectée : en terme
D’énergie spécifiquement utilisée pour maintenir le champ magnétique il y en a zéro. La seule
Consommation est ohmique. Donc pour passer d’un état non magnétisé à un état magnétisé on
Passera d’une consommation zéro à une consommation zéro. Et pendant la transition entre ces deux états il y a « manifestation » de l’énergie dans la bobine. Si il s’agissait d’une modification de l’orbitale des électrons on aurait une émission d’énergie pendant la coupure de la bobine après la pleine expansion du champ : force est de constater que ce n’est pas le cas en utilisant les relais statiques. Si cette énergie ne provient pas d’une transition de niveau énergétique dans l’atome c’est que l’énergie en question est déjà sur place et que pendant le processus d’alignement des moments atomiques, une « porte » s’ouvre avec l’énergie en tant
Que dimension. A suivre…
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Ecrit le: Samedi 07 Avril 2007 à 16h25 Posted since your last visit
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LABO 343 MEG
7 AVRIL 2007.
Hypothèse : « un lac d’énergie »
Tout m’amène à penser que l ‘énergie est comme un lac de dimensions infinies « accessible » par des espèces de clés d’organisation. Cette énergie « circulerait » « depuis » et « vers » ce « lac » dans une chaîne d’actions à résultante nulle.
Dans mon test l’énergie disparaît (à vide) au moment de la croissance du champ de la bobine de commande grâce à la « clé d’organisation » de l’inversion de polarité de la réactance. Cette énergie disparaît directement « dans le lac ». Si il n’y avait pas d’aimant permanent placé dans mon test la réactance d’inductance créerait un contre courant tel que la seule consommation serait celle due aux pertes ohmiques et dans le fer.
La chaîne d’actions à résultante nulle peut comporter des segments à résultat différé. L’énergie peut se « figer » comme dans les produits « naturels » exothermiques (pétrole, charbon..). Le niveau peu élevé d’organisation nécessaire à leur usage les a placé au devant de la scène jusqu’à faire croire « qu’ils sont l’énergie » dont le stock limité devient un « pouvoir » jusqu’au « pic » et un fardeau au delà. Une question en passant, sur la géothermie : la chaleur de la terre est elle « un stock qui refroidit lentement », ou bien « un générateur interne à température externe régulée » ? Dans le dernier cas d’ou vient l’énergie ?
Nucléaire ? On serait tous « grillés » d’irradiations… De la gravitation à cause de la pression ? La pression « produirait » de l’énergie ?
L’énergie est selon moi une dimension de l’univers, comme l’espace et le temps.
Un champ magnétique « variant » et une bobine entourant le passage de son flux sont ensemble une « clé d’organisation » permettant la circulation de l’énergie.
Dans un transformateur « classique » il y a un double mouvement vers et depuis le champ d’énergie (le lac). L’énergie ne « transite » pas d’une bobine à l’autre à travers un processus « en cours » d’alignement et de désalignement des moments atomiques. Pas plus qu’en utilisant un quelconque rayonnement : en effet il serait détecté aux alentours du circuit magnétique dans lequel il ne saurait se confiner. Dans ce système de transformateur, l’échange égal d’énergie entre les bobines est inévitable à cause du jeu des réactances mais
L’énergie de la bobine secondaire est extraite sur place sous commande lointaine.
A propos de la conservation de l’énergie il y a aussi des questions gênantes. Supposons un générateur d’énergie embarqué sur un véhicule. Ce véhicule absorbe cette énergie pour accélérer et obtenir une « vitesse de croisière ». Mais il va la transformer en chaleur si il doit freiner et stopper. Que va devenir cette chaleur ? Elle va se « diluer » dans l’espace sous forme d’infrarouge ou d’échauffement de l’air ambiant jusqu’à l’équilibre des températures. Mais pour que la loi de conservation de l’énergie soit respectée il va falloir que le milieu ambiant soit un tant soit peu réchauffé. Jusqu’ou ? On dit que la chaleur est le résultat final de l’énergie : la température aurait donc tendance à monter sans fin à la suite de tout écoulement d’énergie. Ce n’est pas le cas automatiquement en pensant à la possibilité de dispersion dans l’espace. Après je vois plus…mais je pense que l’énergie revient au champ d’énergie. Il doit y avoir des « puits d’énergie » permettant de « baisser les températures ». à plus…
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Ecrit le: Lundi 09 Avril 2007 à 18h10 Posted since your last visit
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LABO 343 MEG
9 AVRIL 2007.
A propos de l’hypothèse de « l’énergie dimension » et pour en finir avec le
« pétrocentrisme » , ce petit calcul effectué en 2004 :

ENERGIE SOLAIRE RECUE SUR TERRE : COMPARAISON
AVEC LE PETROLE :
Tour de la terre = 40.000 km
Donc diamètre = 40.000 divisé par 3,14 = 12.738 km

Le flux solaire frappant la terre peut être assimilé à une surface circulaire dont
Le diamètre sera celui de la terre.
Donc surface du flux = p x rayon de la terre au carré = 40.564.161 x p =
127.371.465 kilomètres carré.

Si l’on prend pour base que la densité de rayonnement solaire est de 1 kilowatt
Par mètre carré on aura une puissance de 1.000.000 kilowatts pour 1 kilomètre
Carré soit 1.000 mégawatts soit 1 terawatt.

Donc le soleil envoie sur terre en permanence une puissance de
127.371.465 térawatts soit 127.371.465.000 mégawatts.
Soit en le disant : cent vingt sept milliards, trois cent soixante et onze millions,
Quatre cent soixante cinq mille mégawatts.

1 tonne équivalent pétrole = 11.600 kilowattheures. Soit 11,6 mégawattheures.

En une heure le soleil envoie donc : 127.371.465.000 mégawatts divisé par
11,6 = 10.980.298.700 tonnes équivalent pétrole.

1 baril de pétrole = 159 litres.
On prendra une densité moyenne du pétrole de : 0,8
Donc 1 baril = 159 x 0,8 = 127 kilogrammes.
Donc 1 tonne équivalent pétrole = 1000 divisé par 127 = 7,87 barils.

Donc en 1 heure le soleil envoie sur terre : 10.980.298.700 x 7,87 =
86.414.950.760 équivalents barils.
Soit donc environ 86 giga barils par heure.

Les réserves de pétrole restantes en 2004 sont estimées à 1000 giga barils
Soit 11 heures et 30 minutes de rayonnement solaire frappant la terre.
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Ecrit le: Vendredi 13 Avril 2007 à 16h42 Posted since your last visit
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LABO 343 MEG
13 AVRIL 2007
Bonjour, comme annoncé il y a peu, j'ai réussi à télécharger une nouvelle vidéo de mon dernier test du MEG. On la trouvera ici : http://video.google.fr/videosearch?q=reactance2
Cette vidéo dure 20 minutes et j'ai essayé d'etre le plus précis possible. Je m'excuse pour la faible qualité de la première vidéo mais j'étais assez troublé par ce que j'avais vu.
à plus...
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Ecrit le: Mercredi 18 Avril 2007 à 18h02 Posted since your last visit
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LABO 343 MEG
18 AVRIL 2007.
L’énergie « dimension » et le soleil, suite.
Explorant l’hypothèse de l’énergie « dimension », je me suis permis un petit calcul supplémentaire sur l’énergie du soleil. Je suis parti d’informations puisées dans un simple
Dictionnaire. Vu l’énormité des chiffres concernés, on me pardonnera un certain flou dans les mesures. Donc la terre est éloignée du soleil d’une distance de 150 millions de kilomètres.
Le rayon du soleil est de 696000 kilomètres. Le diamètre de la terre est de 12738 kilomètres
Si l’on admet que sa circonférence est de 40000 kilomètres. On suppose que le rayonnement
Solaire est omnidirectionnel. Cela amène à penser que la surface solaire dont les rayons visent
La terre peut être définie de façon statistique. Pour obtenir cette surface il suffit de tracer un triangle isocèle dont le sommet se situe au centre du soleil et dont la base recouvre pile le diamètre de la terre. La distance entre le centre du soleil et sa surface sera arrondie à
700000 kilomètres. Le rapport entre cette distance et la distance de la terre au soleil sera donc
environ de 214 fois. Ainsi le diamètre de la terre ( la base du triangle) visera le centre du soleil (le sommet du triangle) en passant par la base d’un autre triangle (la surface solaire)
dont le sommet est commun. Cette nouvelle base sera 214 fois plus petite que la première
(le diamètre de la terre) soit 59,52 kilomètres. Ainsi la surface de rayonnement solaire concernant statistiquement la terre sera de 2781 kilomètres carré. Le rayonnement solaire frappant la terre peut être comparé à un disque dont le diamètre est celui de la terre et dont la surface sera donc de 127.371.465 kilomètres carré. Cela fait 45.800 fois plus que la surface solaire émettrice. Conséquence : si l’on admet que le rayonnement solaire frappe la terre avec
une intensité de 1 kilowatt par mètre carré on aura donc une densité de rayonnement émis à la surface du soleil de 45.800 kilowatts par mètre carré !!!
Avec la formule de calcul de la surface d’une sphère on obtient pour le soleil
1521 milliards de kilomètres carré. Donc 1 kilomètre carré de soleil « envoie » 45 térawatts
de rayonnement. Cela ferait donc pour toute la surface solaire :
68.447.970.000.000 térawatts. Ouf.. Et tout cela depuis 4 milliards d’années… Ne cherchons
même pas à calculer les kilowattheures … Comment croire qu’il s’agit d’un stock…
( le térawatt vaut 1 milliard de kilowatts)


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Ecrit le: Mardi 24 Avril 2007 à 21h19 Posted since your last visit
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24 AVRIL 2007.
LABO 343 MEG
La « circulation » de l’énergie et son rapport au « territoire » humain.

Je conserve l’image poétique du « lac » pour désigner la « dimension énergie ».
L’énergie « circule » donc « depuis le lac » et « vers le lac » mais au niveau humain on parle
De « consommation » lorsque l’énergie circule depuis une « origine propriétaire » propre en
Se dirigeant « vers le lac ». Inversement il y a « production » lorsque l’énergie circule « depuis le lac » en allant vers la « propriété humaine ».
La consommation et la production sont des concepts sociaux de l’énergie.
La « production » d’énergie permet une « action humaine ». Cette « action » est un « produit de l ‘énergie par l’organisation dans l’espace-temps ».
Je pense que l’organisation est aussi une dimension de l’univers.
Le « mélange » « espace-temps-organisation-énergie » doit permettre des solutions que la
Conception « pétrole-stock-pouvoir-pénurie » interdit d’imaginer.
La « sur-unité » est encore un concept « prisonnier ». Je lui préfère celui de « circulation
Maîtrisée de l’énergie ». Cela suppose d’avoir atteint un « niveau d’organisation » le
Permettant. Par effet de rebond la maîtrise de la circulation de l’énergie entraînera un
Essor énorme du degré d’organisation de la société. On pourra appeler cela « confort, sécurité,
Prospérité, etc.. ». Pour moi il n’y a aucune fatalité à la crise de l’énergie. Si le « pic de Hubbert » est bien réel , rien ne nous oblige à sombrer avec lui. Rien ne nous oblige à subir
Le sort que préconisent les partisans de « l’écologie profonde » dont je ne veux même pas
Mentionner les moyens supposés.
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Ecrit le: Mardi 24 Avril 2007 à 21h28 Posted since your last visit
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Bonsoir à tous, icon_biggrin.gif

Je suis séduit par ta philosophie que me semble très recevable.
J'ai également la conviction que nous somme enfermé dans des concepts quasi étanches,
nos barbières mentale nous empêchez de voir la simplicité.

Enfin c'est mon opinion.

A+++


--------------------
Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
Page YouTube, Page Dailymotion, Album Picasa, La Force contre-électromotrice, simulation magnétique, Viktor Schauberger
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Ecrit le: Lundi 30 Avril 2007 à 06h59 Posted since your last visit
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30 AVRIL 2007.
MEG LABO 343
La perte ohmique comme « dispersion » de l’énergie.
La dispersion étant une forme d’organisation. La notion de « perte » ohmique dans la bobine de commande du MEG est un concept social. La « perte » d’énergie s’apprécie depuis un objectif humain non atteint. En effet une bobine de 1 ohm parcourue par 5 ampères créera une
« dispersion » de puissance de 25 watts en plus de l’objectif assigné au courant de 5 ampères :
l’énergie ne se perdra pas mais se « dédoublera ». Dans mon dernier test j’ai fortement limité
le dédoublement de la puissance en travaillant sur une bobine de commande de 0,017 ohm grâce à l’usage de la fréquence d’alimentation de 100 hertz. Dans ce cas je ne pratique pas la « sur-unité » mais le « bon rendement ». Là ou je « sors » du système de référence « pétrocentriste » c’est avec l’égalité de consommation à vide et en charge. En effet le dogme
l’interdit. La « charge » DOIT avoir une « compensation » qui S’AJOUTE au fonctionnement
à vide. Dans mon test c’est le jeu particulier des réactances dans un circuit magnétique très particulier qui est la clé d’organisation permettant la circulation « non conforme » de l ‘énergie. Si j’arrive à « faire circuler » l’énergie depuis ce montage, on pourra dire qu’elle est « gratuite » dans le sens qu’elle ne vient pas d’un stock. A plus…



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Ecrit le: Lundi 30 Avril 2007 à 16h59 Posted since your last visit
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30 AVRIL 2007.
LABO 343 MEG
Sur l’énergie nucléaire.
La formule E = M x (CxC) est issue de celle de l’énergie cinétique : E = ½ M x (V x V).
Dans le cas du nucléaire l’énergie est émise sous forme de rayonnement, donc à la vitesse de la lumière. Cela explique qu’il faille une « disparition » de masse infime pour obtenir une énergie énorme. Cette « disparition » de masse ne peut s’obtenir que si l’on part d’atomes se situant aux extrêmes du tableau périodique et que l’on « se dirige » vers la « création » d’atomes se situant « plus vers le centre » du tableau périodique :la fission et la fusion.
Cela laisse à entendre que si tous les atomes « extrêmes » sont transmutés en atomes « du centre » il n’y aurait plus d’énergie nucléaire disponible. Donc pour l’uranium par exemple
On va se « couper en quatre » pour en rassembler des traces répandues sur terre, le purifier,
Séparer l’isotope actif et enfin obtenir une « énergie potentielle » très concentrée. Bon. Mais
Quelle est la différence entre l’uranium 235 et l’uranium 238 ? Le 238 est placé « plus loin » vers l’extrême du tableau et il ne « produit rien ». Toute cette énergie se manifeste en tant
Qu’énergie cinétique extrême et pour le moment on ne sait pas la récupérer autrement que
Par un cycle de la chaleur à très bas rendement. C’est apparemment un sous produit de la « bombe » dont le « rendement intégral » est peut être suspect. Surtout après le pic de Hubbert
Car les opérations amenant la disponibilité active de l’uranium 235 consomment de l’énergie
Pour l’extraction du minerai, son transport au loin, son traitement, etc…Peut être que ce
Système d’énergie possède sa logique économique propre et se suffit de sa propre affirmation.
Mais si le baril « passe » à 200 dollars on en reparlera…
Ce qui reste très intéressant c’est que dans certaines conditions (clé d’organisation) un fragment de matière puisse « disparaître » et se « transformer » en énergie. Donc la « matière » serait une « représentation hyper concentrée » « sous condition d’activation » de l’énergie ? Mais dans l’atome de fer cela ne peut pas se passer : il se situe « au milieu »
Du tableau périodique. Alors ? Les éléments qui constituent l’atome de fer sont les mêmes
Qui constituent l’atome d’uranium, seul change leur « nombre ». Comment un « nombre »
Peut « produire » de l’énergie ? Je ne conteste évidemment rien de ce qui a été découvert.
Ce qui me questionne c’est la limite de l’explication par le positionnement sur le tableau
Périodique des éléments. A plus…

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Ecrit le: Samedi 05 Mai 2007 à 16h47 Posted since your last visit
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5 MAI 2007.
MEG LABO 343
Y a t’il possibilité d’émission d’ondes électromagnétiques à 100 hertz dans le MEG ?
Je me rappelle avoir fait des tests d’émission radio sur la fréquence « CB » en 27 mégahertz.
L’antenne d’émission basique est un « dipôle » dont la longueur totale est égale à la moitié de la longueur d’onde. Chaque « brin » aura une longueur du quart de la longueur d’onde. Dans le cas de la CB cela faisait environ 2,77 mètres. En fait cela fait une longueur d’onde de 10 mètres pour 30 mégahertz. Par extension cela fera 3000 kilomètres pour 100 hertz. Donc une antenne susceptible de rayonner le 100 hertz sera composée de façon basique par un dipôle
Dont chaque brin mesurerait 750 kilomètres !! Et encore ce dipôle devrait être éloigné de toute masse conductrice d’au moins un quart de la longueur d’onde soit encore 750 kilomètres… On voit bien que l’émission électromagnétique du MEG est exclue. Quant à l’émission purement « magnétique » elle ne peut « fonctionner » qu’avec un circuit magnétique « à air » ouvert. J’avais fait ce test avec une spire unique de 30 mètres de diamètre posée au sol et alimentée par un courant « musical » donc inférieur à 10000 hertz. L’énergie injectée dans la spire peut être captée par une bobine à air distante : c’est un simple transfo. Le MEG lui est un circuit « fermé » et rien n’en « sort » ; seule la bobine pourrait émettre à condition d’être couplée sur une antenne accordée de longueur calculée plus haut.
Je voudrais signaler cependant une espèce de similitude entre le MEG et l’émission radio.
Dans un émetteur radio le circuit oscillant reçoit l’énergie de l’alimentation et la dissipe dans l’antenne. Si l’antenne est déconnectée ou mal accordée, l’amplitude des oscillations croit au risque de dégrader l’appareil. Il y a création d’ondes stationnaires qui empêchent l’énergie de
« partir dans l’espace ». Dans le MEG , si on enlève l’aimant permanent, on a la réactance de la bobine de commande qui empêche la consommation à vide. Et si on remet l’aimant permanent on a le jeu antagoniste des réactances qui permet d’envoyer de l’énergie dans « le vide » : l’aimant permanent dans le MEG se comporte comme une espèce « d’antenne pour courant continu ». à plus…
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Ecrit le: Mercredi 09 Mai 2007 à 19h13 Posted since your last visit
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Le MEG émet énormément d'énergie électromagnétique, c'est du sûr et certain. Il suffit de voir les parasites sur la télé et les écrans d'ordi à proximité lors du fonctionnement et aussi les effets ressentis sur la peau.

La fréquence est celel de l'alimentation des bobinages en alternatif (ou en haché) puisque c'est les bobinages qui émettent un champ magnétique alternatif en combinaison d'un champ électrique alternatif: donc un champ électromagnétique.

Il n'est pas besoin d'antenne pour arriver à cela. Evidemment, sans antenne il y a un taux d'ond stationnaire énorme mais ça émet un maximum à proximité.


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Ecrit le: Mercredi 09 Mai 2007 à 23h21 Posted since your last visit
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LABO 343 MEG
9 MAI 2007.
Bonjour. Je réponds à Chercheur au sujet des émissions d’ondes électromagnétiques du MEG.
Mon test est différent de celui de Bearden en ce qui concerne la fréquence d’alimentation de la bobine de commande. Cette fréquence est très élevée par rapport à celle de mon test : il est
Donc compréhensible qu’un rayonnement s’en échappe par une dissymétrie de longueur ou un manque de blindage des fils d’alimentation des bobines de commande.
Je ne suis pas surpris que vous ayez constaté une émission électromagnétique.
Mais comme vous le savez je ne crois pas à l’efficacité de la fréquence proposée par Bearden.
L’inductance des bobines de commande sur son test dépend de leur circuit magnétique. Or une bobine sur un tel circuit magnétique ne peut pas réaliser entièrement la création de son champ magnétique à cette fréquence. Le courant haute fréquence traverse effectivement sa bobine de commande mais je crois en plus que c’est en pur désordre pour une raison de capacité parasite répartie.
Mon test, en 100 hertz, est dans le même « domaine de travail » que les transformateurs du réseau de distribution qui ne dégagent pas de rayonnement électromagnétique.

Je suis en train de concevoir un projet d’atelier pour les derniers tests. A plus…
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Ecrit le: Lundi 14 Mai 2007 à 17h35 Posted since your last visit
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13 MAI 2007.
LABO 343 MEG
A propos de la fréquence de connexion.
Dans le MEG, la bobine de commande est caractérisée par le temps que met le courant continu (qui la parcourt) a développer son champ magnétique jusqu’à la limite du début de sa saturation. Sur un graphique cela se traduit par une ligne à peu près droite. Cet intervalle de temps est appelé « constante de temps ». Si la séquence de courant continu appliqué à cette bobine est plus longue que sa constante de temps il y aura perte de rendement car une partie du temps de la connexion se fera dans la zone de saturation magnétique. Si la séquence de courant continu est plus courte que la constante de temps il y aura perte de densité de puissance car le circuit magnétique du MEG ne sera pas utilisé à son induction optimale.
Le plus simple est de se caler sur la constante de temps. Il ne faut pas oublier non plus que
L’effet « MEG » n’est possible que PENDANT la variation du champ de la bobine de commande. Il ne faut pas oublier que les matériaux pour circuits magnétiques variants
Ont pour but de minimiser la perte de puissance par le champ rémanent parasite et la perte de rendement par courant de foucault. Si ces matériaux permettent d’atteindre des coefficients de perméabilité magnétique supérieurs cela aura pour conséquence qu’à nombre de spires égal
Il y aura une inductance de la bobine supérieure et donc une constante de temps plus longue.
Dans mon premier test la constante de temps des bobines de commande correspondait à une fréquence de connexion de 5 hertz environ. Cela pour un nombre de spires de 200. Le test de Bearden utilise un circuit magnétique de 10 centimètres carré de section environ avec 100 spires de bobine de commande. Mon test utilise un circuit magnétique de 30 centimètres carré
De section environ. Le coefficient de perméabilité de la tôle au silicium est de 9000 en dessous de la saturation. Le coefficient de perméabilité du metglass dépasse 20000.
Le rapport des sections est de 1 à 3. Pour mon premier test le rapport des spires est de 1 à 2.
Le rapport de spires de 1 à 2 entraîne une hausse de 1 à 4 de l’inductance : le rapport total serait environ de 1 à 6 ce qui amènerait la constante de temps du test Bearden à une connexion efficace de 30 hertz environ. L’utilisation du metglass permet de construire des bobines de commande avec moins de spires pour une même constante de temps : l’avantage est la baisse de la perte ohmique. Il est évident qu’il vaut mieux faire travailler le MEG dans la fréquence de connexion la plus élevée pour avoir la plus grande densité de puissance et pour utiliser des bobines à peu de spires qui neutralisent la perte ohmique. Cependant il ne faut pas oublier que tous les problèmes s’aggravent avec la hausse de la fréquence : en particulier celui de la durée de mise en contact et de la coupure de la bobine de commande.
Au delà d’un certain seuil on ne sait plus trop ce qui se passe. En plus il y a la capacité répartie dans les bobines qui doit perturber la lisibilité du test pendant les temps d’établissement des connexions : le phénomène s’aggrave avec la fréquence.
Rien n’empêche cependant de « forcer » l’alimentation de la bobine de commande (pour un nombre de spires et une fréquence donnés) en élevant la tension d’alimentation : ce faisant on aggrave la perte ohmique car le « forçage » augmente les ampères sans qu’il y ait diminution de la résistance (comme dans le cas de la diminution du nombre de spires). Si l’on veut augmenter la fréquence il faut absolument « coller » à la constante de temps : chaque fréquence « veut » un nombre de spires idéal. Plus on montera en fréquence et moins il faudra de spires. Quelle sera la tension d’alimentation idéale pour la bobine de commande ? Cela dépendra du nombre d’ampères-tours nécessaires pour établir son champ permanent juste en dessous de la saturation. Une fois cette valeur obtenue il faut la majorer en remarquant que le calage de la fréquence de connexion sur la constante de temps ne permet pas d’obtenir la création totale du champ à chaque cycle mais environ les deux tiers. Donc on pourra majorer environ d’un tiers la tension utilisée pour établir le champ permanent non saturé. A plus…
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Ecrit le: Lundi 28 Mai 2007 à 22h10 Posted since your last visit
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28 MAI 2007.
LABO 343 MEG
Localisation dans la section du circuit magnétique des domaines de Weiss
Orientés par des champs magnétisants antagonistes.
Y a t’il superposition ou juxtaposition ? Si il y a juxtaposition , y a t’il une « prime géométrique de moindre réluctance » au flux « résident » (le champ permanent) par rapport au flux « incident » (le flux de la bobine de commande) ?
Dans l’expérience n°1 il y a une lampe dans chaque demi circuit magnétique. Chacune de ces lampes est connectée à une des bobines de puissance (même test que Bearden) à travers une diode. Lors du basculement de l’alimentation des bobines de commande on voit bien que les lampes s’allument l’une après l’autre. Si l’on inverse le sens des diodes les ampoules s’allument aussi l’une après l’autre mais pour une même position de connexion des bobines de commande, les lampes s’allumeront sur les bobines de puissance inverse. Tout cela pour dire que l’énergie apparaît sur les lampes lorsque le flux qui circule sous les bobines de puissance croit ou décroît. Dans le cas du demi circuit ou le flux « incident » s’ajoute au flux « résident » tout a l’air « normal » et le seul danger réside dans le dépassement du seuil de saturation du circuit magnétique. Mais dans le demi circuit ou ces flux s’opposent, que se passe t’il ? L’annulation complète du flux du demi circuit gauche suppose la pleine réalisation du flux de la bobine de commande concernée. On aura donc bien deux flux « existants » dont la « somme » est nulle. Que se passera t’il au niveau des domaines de Weiss ? Puisque la réalité d’un flux suppose la réorientation du sens de ces domaines, on pourrait en déduire que sur la section du demi circuit aux flux opposés on trouvera à la fois des domaines orientés dans un sens et d’autres en sens inverse. Ce qui est sur c’est que cela ne peut se concevoir que sous la forme de « lignes continues » sur tout le circuit magnétique. Sans cela l’induction magnétique n’aurait pas de réalité.
La bobine de puissance placée sur le demi circuit magnétique ou les champs s’opposent
« semble » indiquer que le champ général décroît au moment ou le champ de la bobine de commande croit. Cela est du au fait que la bobine de puissance « englobe » les deux champs opposés et « intègre la présence préalable » du champ permanent.
Dans l’expérience n°1 il y avait un « défaut » de fabrication : un léger basculement de la barre
Supérieure du circuit magnétique vers la gauche ou la droite en fonction de la connexion des bobines de commande. Ce défaut révélait que le demi circuit magnétique ou s’opposaient les champs n’était plus le siège d’une attraction mécanique au niveau de cette barre.
Cela suppose donc que tous les « fils magnétiques » étaient superposés et donc neutralisés. En effet si sur cet entrefer il y avait eu une partition distincte des flux contraires cela aurait entraîné la subsistance d’une attraction mécanique de la part de chaque flux en particulier.
L’entrefer est donc la solution pour la superposition exacte des flux opposés.

Adresse directe vidéo : http://video.google.fr/videoplay?docid=-4148989027527286664
à plus...
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Ecrit le: Jeudi 07 Juin 2007 à 23h36 Posted since your last visit
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8 JUIN 2007.
LABO 343 MEG
Calcul de l’épaisseur de l’entrefer pour obtenir la superposition complète des flux.
Supposons que la densité de flux créé par l’aimant permanent est telle que la portion centrale du circuit magnétique est « entièrement occupée » par ce dit flux et que les deux branches extérieures du circuit magnétique ne le sont qu’à moitié, dans la partie la plus courte.
Donnons arbitrairement au circuit magnétique général une perméabilité P = 1.
Supposons en plus que la dimension vue de face de la section d’une branche extérieure du circuit magnétique soit de 6 centimètres, quelle que soit son épaisseur.
Dans ces conditions on peut définir une portion carré du circuit extérieur ou circule « effectivement » le flux permanent. Ce sera un carré de 3 cm x 3 cm. Supposons désormais
Que ce carré sera compris dans un matériau dont la perméabilité est de P = 0,5. Pour que le flux continue à maintenir la même valeur il faudra que la largeur de ce carré soit doublée : de ce fait il deviendra un rectangle qui occupera toute la section du circuit magnétique et non la moitié. Supposons maintenant que la perméabilité de ce rectangle tombe à P = 0,05. La seule solution pour maintenir le même flux sera de diminuer de 10 fois son épaisseur soit 0,3 cm
En maintenant l’occupation totale de la section du circuit par ce flux. Pour P = 0,005 on aura
0,03 cm soit 0,3 mm. Pour P = 0,0005 on aura 0,03 mm. Pour une valeur de P = 0,000125
on aura une mesure de 0,0075 millimètres pour obtenir une répartition totale du flux sur les faces de cet entrefer. La proportion entre 0,000125 et 1 est de 8000, soit le rapport de proportion entre la perméabilité des tôles au silicium et l’air. Ainsi un entrefer de 0,0075
millimètres sera suffisant pour répartir uniformément un flux occupant la moitié d’une section
dont la dimension « de face » est de 6 centimètres, ce flux traversant le « noyau central » du circuit magnétique double en l’occupant entièrement. En dessous de cette épaisseur il n’y aurait pas totale répartition et au dessus il y aurait perte inutile par réluctance de l’air.
Une correction sera donnée si le flux passant par le noyau central n’occupe qu’une proportion
De la section de ce noyau. A plus…
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Ecrit le: Mardi 12 Juin 2007 à 18h04 Posted since your last visit
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LABO 343 MEG
11 JUIN 2007.
Expérience N°6 à vide : comportement d’une spire dans un champ variant non homogène.

Dans l’expérience n°6 les bobines sont disposées sur la partie horizontale gauche, en haut du circuit magnétique. Pour mieux expliquer mon propos on supposera que la section du circuit magnétique est circulaire. On supposera que la bobine de commande ne comporte qu’une spire. D’après mon hypothèse le champ permanent traverse cette spire dans sa seule moitié inférieure pour une raison de différence de réluctance entre l’extérieur et l’intérieur du circuit magnétique périphérique. Lorsqu’un champ variant (créé par le passage d’un courant continu
Pendant l’intervalle de la constante de temps de la bobine) est « appliqué » à cette bobine il crée une tension qui s’oppose au passage du courant créateur. C’est la réactance. Si l’on pouvait regarder la spire face à sa section on verrait que la tension totale créée à ses bornes est la somme algébrique de toutes les tensions créées par les éléments géométriques qui la composent. On verrait donc que le courant « créé par le haut de la spire » est de sens opposé
« vu de face » au courant « créé par le bas de cette spire ». On peut en déduire que le centre de
la section du circuit magnétique est un espèce de « point neutre » définissant la limite d’influence entre le flux magnétique et une portion quelconque de la spire. Si l’on admet que le champ permanent traverse la spire par la moitié basse de sa section, on en déduira que la réactance « simple » ne concerne que la partie haute. En effet dans la partie basse toute croissance du flux incident entraîne une décroissance du flux général. Donc la tension qui s’oppose à la croissance du flux incident se voit opposer une autre tension inverse qui s’oppose elle même à la décroissance du flux général. Chaque spire ne produira donc que la moitié de « sa » réactance. D’ou le courant « anormalement fort » à vide. A plus…
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Ecrit le: Mercredi 13 Juin 2007 à 13h07 Posted since your last visit
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Bonjour. icon_biggrin.gif

Je suis nouveau sur le forum et je lis avec intérêt vos différents développements autour du MEG et je voulais savoir si les relations d'Hopkinson dans les circuits magnétiques, et notamment leur analogie avec les circuits électriques, pouvaient aider à la solution?

D'autre part, la variation de réluctance d'une des deux branches du MEG est elle incontournable pour assurer la surunité en énergie, quand on sait que la perméabilité µ du circuit est la pente de la droite passant par l'origine et le point de fonctionnement sur la courbe B= f(H) du matériau et que cette pente ne varie somme toute pas beaucoup entre un état non saturé et un état saturé du matériau, d'où une variation de flux assez faible à attendre de ce coté ?? ..

A vous lire avec intérêt.. icon_biggrin.gif


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Ecrit le: Mercredi 13 Juin 2007 à 18h41 Posted since your last visit
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LABO 343 MEG
13 JUIN 2007.

Bonjour, je vous réponds à propos de la densité de flux dans le circuit magnétique extérieur du MEG. J’ai fait le test suivant. Le champ magnétique permanent circule donc à égalité entre les deux branches. Si je crois favoriser la circulation dans une branche plutôt que l’autre en augmentant sa section : je me trompe. Mettons en parallèle sur une longueur du circuit gauche un deuxième ensemble de tôles magnétiques pour diviser par deux la réluctance sur cette longueur. Que se passe t’il ? Il n’y a aucune attraction et l’ensemble de tôles tombe par terre. Or il y a attraction quand il y a diminution de la réluctance. Donc il est clair que l’augmentation de la section n’est pas obligatoirement « remplie » par le flux. Autre exemple avec un transfo classique monophasé : le circuit magnétique central est le double de section du circuit double extérieur. Cela montre bien que le « remplissage » du flux suit celui de la portion du circuit ou se trouve les bobines. A condition d’être en dessous de la saturation. Autre chose, dans mon test actuel n°6 visible sur la vidéo, il n’y a pas de variation de réluctance dans le processus « MEG » utilisé. Le circuit magnétique est de réluctance fixe. L’induction magnétique du champ permanent est de 1,2 Teslas dans le noyau central : c’est nettement en dessous de la saturation de la tôle au silicium. Le champ produit par la bobine de commande ne dépasse pas cette intensité sinon on « sort » de l’effet MEG. Au début je pensais que les bobines de commande agissaient par saturation locale du circuit magnétique. Je n’ai pas cherché plus dans cette voie quand j’ai constaté le processus d’inversion de polarité de la réactance. C’est ma piste de recherche actuelle et pour le moment elle est très ouverte. Je ne trouve pas de contradiction avec cette théorie pour expliquer le test n°6.
Pour moi le test n°6 est un « phare » : comment expliquer en dehors de mon hypothèse le fait que la consommation à vide et en charge ne s’ajoutent pas ? Et pas d’un peu : de 100%.
Je surveille chaque jour un transfo triphasé de 1000 KVA et je peux vous dire qu’il y a une différence entre la puissance à vide et en charge sur un système classique.
Une idée pour utiliser le MEG de Bearden : modifier le montage des demi circuits en metglass. Positionner les entrefers de leur rencontre de façon horizontale. Supprimer toutes les bobines précédentes et fabriquer 2 bobines identiques plates positionnées sur un des entrefers. Alimentation en 200 hertz maxi avec une forme « - - - - - du courant ». Bobines de 30 spires maximum, voire 20 à cause de la perméabilité du metglass. Une diode à la sortie de la bobine de puissance. A voir…
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Ecrit le: Jeudi 14 Juin 2007 à 07h47 Posted since your last visit
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Bonjour, merci pour la réponse.. icon_smile.gif
Une phrase que je ne comprends pas:

<<Pour moi le test n°6 est un « phare » : comment expliquer en dehors de mon hypothèse le fait que la consommation à vide et en charge ne s’ajoutent pas ? Et pas d’un peu : de 100%>> ??

Pouvez vous expliquer ou développer ?? Merci ..

Pour qu'il n'y ait pas de difference notable de reluctance entre les périphéries extérieure et intérieure du circuit magnetique, ne faudrait il pas s'orienter vers des sections de circuit larges et peu epaisses (tôle en metglass de 100 mm de large et de 5 mm d'épaisseur, par exemple) ??

@plus icon_biggrin.gif


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Ecrit le: Jeudi 14 Juin 2007 à 16h03 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
14 JUIN 2007
bonjour, je réponds à votre question concernant la puissance à vide et en charge.
Dans toute explication "classique" on ajoute la consommation à vide à la charge. La consommation "à vide " étant considérée comme due aux pertes ohmiques et aux pertes dans le fer, la consommation totale en charge sera la somme des pertes et de la charge. Dans mon test, rien ne distingue la consommation à vide de la consommation en charge à part le bruit qui se déplace sur le circuit magnétique. Concernant l'idée du circuit magnétique plat et large, pourquoi pas?
Je ne suis pas cette piste mais on sait jamais. Mon problème est betement budgétaire et je suis obligé de viser à fond sur une seule cible. à plus...
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Ecrit le: Dimanche 17 Juin 2007 à 18h23 Posted since your last visit
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Bonjour icon_smile.gif

Oui je comprends .. Vos réalisations m' émerveillent .. Notamment votre vidéo ..
J'aurais quelques questions si vous le permettez ..
Vous parliez de saturation locale dans un post plus haut ..
L'induction ne se propage donc pas instantannément dans le circuit magnetique ?
La vitesse de propagation dépend de quels paramètres (réluctance, type de matériau utilisé, forme du circuit, autres ??)
Pourrions nous imaginer des montages, des formes de circuits magnétiques qui retarderaient la propagation de l'induction, de manière à ce que la variation de flux soit en retard sur les variation de la force magnétomotrice et d'autres qui l'accelèreraient.. Je pense à un équivalent magnetique de l'inductance ou du condensateur utilisés en electronique ..
Qu'en pensez vous ??
Merci icon_smile.gif


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Ecrit le: Dimanche 17 Juin 2007 à 21h28 Posted since your last visit
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LABO 343 MEG
17 JUIN 2007.
Bonjour, je vous répond sur le temps de « complète réalisation » du flux magnétique. Cela s’appelle la constante de temps. Cherchez le sur google, ça gagne à être bien connu, surtout le graphique qui montre la courbe de cette constante. L’intérêt d’utiliser la constante de temps, c’est la simplicité du montage : on obtient un champ variant directement à partir d’un courant continu. Cependant il faut utiliser la partie « droite » de la courbe : au delà la réactance s’effondre. Pour un circuit magnétique donné, la constante de temps dépend du nombre de spires de la bobine de commande. Si l’on veut augmenter la puissance disponible du test en conservant un même circuit magnétique et une même tension d’alimentation il faudra diminuer le nombre de spires des bobines tout en augmentant la fréquence du courant « segmenté - - - - oui non oui non ». Encore faudra t’il que les performances du relais statique
De la bobine de commande suivent… Au delà de ce problème je pense que le plus important c’est de « piéger » le mécanisme de la réactance. C’est la piste que je suis. A plus…
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Ecrit le: Mardi 19 Juin 2007 à 12h17 Posted since your last visit
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Bonjour icon_biggrin.gif

Merci pour l'info .. A t'on un ordre de grandeur de l'induction (B en tesla) induite dans un circuit magnétique par les aimants permanents au néodyne ou équivalents ??


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