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> LABO343's MEG
Ecrit le: Samedi 10 Janvier 2009 à 21h50 Posted since your last visit
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Citation (quartz @ Samedi 10 Janvier 2009 à 18h19)
Amateur as tu eu le temps de passer lire les pages perso que j'ai mis en place, avec l'aide de Gegyx et Mp_Avenir ?

Oui j'ai lu ces pages persos formidablement faites .. icon_smile.gif C'est super, Bravo à vous !!
Elles font un tour d'horizon des différentes techniques de production d'énergie..
Je suis d'accord avec vous que c'est le mouvement qui crèe la vie et porte l'énergie.. Je souhaite néanmoins faire encore quelque barrouds d'honneur pour le tout statique (quoique on ne voit pas à l'intérieur de la matière s'il y a mouvement ou pas, je crois qu'il y en a même si l'objet semble inerte)..
Rien n'empêche non plus de travailler aussi sur les machines à mouvements.. et la stratégie de réussite la plus rapide étant le copiage, rien n'interdit non plus de s'inspirer de ce qui se fait ailleurs pour agir avec efficacité pour l'obtention rapide d'un système producteur d'énergie libre ..

Amateur qui mange à tous les rateliers (la fin justifie les moyens) icon_smile.gif


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Ecrit le: Dimanche 11 Janvier 2009 à 10h34 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
10 JANVIER 2009.
UN COP DE PLUS DE 70 : voilà l’enjeu.
Bonjour à tous.

Résumé de la situation dans le fonctionnement du test MEG à vide.

Je teste une nouvelle piste depuis quelques jours. Après avoir constaté depuis fin 2006 que
L’énergie issue de la batterie pendant les séquences de connexion de la bobine primaire ne se retrouvait nulle part, je me pose désormais la question de la pertinence de la mesure de la consommation de cette énergie. La seule trace d’énergie identifiable dans la bobine primaire est celle qui est issue de la perte ohmique. On peut aussi mentionner par souci de précision la très faible énergie perdue par magnétostriction, illustrée par un bruit disgracieux. Toutes ces pertes d’énergie sont insignifiantes.

Je précise le mode de mesure de la puissance consommée. Je mesure la tension de la batterie avec un voltmètre placé sur ses bornes. Voltmètre digital ou voltmètre à aiguille : cela ne change rien. La batterie a une forte capacité et le courant crête de 14 ampères ne fait quasiment pas varier sa tension à vide.

Je mesure l’intensité qui passe dans le circuit de la bobine primaire de deux façons. La première est par l’intermédiaire d’un ampèremètre à aiguille placé directement sur une borne de la batterie. Sa lecture comporte une inertie mécanique qui l’empêche de visualiser la variation de l’intensité le long de la séquence de connexion. La mesure affichée est une moyenne.
La deuxième façon de mesurer l’intensité est l’oscilloscope. J’ai disposé une faible résistance purement ohmique en série dans le circuit de la bobine primaire et je lis la tension à ses bornes en tant qu’intensité passant dans le circuit après étalonnage.

Pendant une séquence de connexion de la bobine primaire l’intensité augmente régulièrement.
A la fin de la séquence de connexion j’obtiens une valeur crête dans mon test actuel de 14 ampères. Cette valeur augmente si je baisse la fréquence de connexion car j’augmente la durée de chaque séquence de connexion. Cette valeur augmente aussi si j’augmente la tension aux bornes de la bobine primaire. J’obtiens donc les paramètres de définition d’une puissance à cet instant donné de la fin de la séquence de connexion. Le produit de la tension par l’intensité est de 168 watts si j’admets que la tension aux bornes de la bobine primaire est 12 volts, c’est à dire sans résistance interne de la batterie, sans résistance interne du relais statique et sans résistance ohmique des cables de connexion. La résistance ohmique de la bobine primaire est de 0,012 ohms. La puissance dissipée par effet joule est donc de 2,35 watts. La question est donc : que se passe t’il avec les 165,65 watts restants ?

Je repars donc vers les définitions électriques. Quel est le statut de la bobine primaire ?
Un récepteur passif ? Oui mais pour 2,35 watts en crête.
Un récepteur actif ? Pour dire que oui il faudrait savoir sous quelle forme apparaît l’énergie à cet instant donné. Un récepteur actif transforme instantanément l’énergie en autre chose que la chaleur. Il n’y a ni rayonnement, ni énergie mécanique ni énergie chimique observables.
Un générateur ? La définition du générateur placé dans un circuit impose que sa tension aux bornes soit existante au préalable comme une pile, un accumulateur ou bien une dynamo en rotation. Pourtant il s’agit bien d’un générateur : la contre tension est bien issue d’un champ magnétique variant. La particularité de ce générateur est que sa tension est une conséquence de sa connexion et non un préalable.

Je rappelle aussi que le champ magnétique créé par la bobine ne produit pas une accumulation d’énergie. Si c’était le cas cela se verrait à la 1° déconnexion de la bobine primaire : le champ magnétique créé par la 1° connexion continuerait à exister (en tant qu’énergie accumulée) et à chaque re connexion on ajouterait de l’induction magnétique pour arriver très rapidement à la saturation magnétique. L’observation montre que non. L’usage des relais statiques élimine l’hypothèse de la transformation en rayonnement de l’énergie accumulée dans la bobine par l’étincelle des relais mécaniques lors de la déconnexion. A la déconnexion sans étincelle le champ magnétique disparaît, point final.
Dans le cas du maintien de la bobine connectée on resterait dans une logique d’échange d’énergie impliquant la dépendance à une source tierce. Le maintien de la connexion de la bobine primaire marque la frontière entre le transformateur et le MEG..

Mon idée actuelle est de dire que si la puissance affichée ne se retrouve nulle part c’est qu’elle n’existe pas : elle est apparente.
Nous aurions donc deux générateurs de tension opposées et une résistance ohmique globale connectés en série dans le circuit de la bobine primaire. La tension efficace pour mesurer la puissance vraiment consommée serait la différence entre la tension de la batterie et la contre tension induite de la bobine primaire.

Cela me fait penser au transformateur monophasé alimenté au primaire par un réseau de distribution électrique mais dont le secondaire n’est pas connecté sur une charge . Une tension est affichée à ses bornes primaires. Une intensité est aussi mesurable mais la puissance réellement consommée sur le réseau n’est due qu’à la perte ohmique en dehors des pertes du fer. Cette puissance ne se mesure pas en utilisant la tension aux bornes de la bobine primaire mais par le produit de sa résistance ohmique par le carré de l’intensité : le résultat est très différent.

Conclusion : la puissance réelle consommée dans mon test à vide serait uniquement constituée par la perte ohmique.
Conséquence : la puissance moyenne apparente consommée par période du test est égale au quart de la valeur crête (car la durée de connexion de la bobine primaire est égale à la demi période), soit 42 watts. La puissance réelle moyenne consommée serait de 0,58 watt selon la même proportion utilisée.
La puissance moyenne produite par la bobine secondaire en charge est de 50 watts sans que l’intensité moyenne primaire ne change. Meme si la précision de la mesure de puissance de la charge est de 10% cela amène le coefficient de surunité à plus de 70.
On comprendra que la question puisse être creusée.
A plus…



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Ecrit le: Dimanche 11 Janvier 2009 à 10h56 Posted since your last visit
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Citation (LABO343 @ Dimanche 11 Janvier 2009 à 10h34)
LABO343 MEG
On comprendra que la question puisse être creusée.
A plus…


bonjour a tous

et bravo LABO , bel exemple de persévérence

je pense que 2009 pourrais se révéler comme un grand cru

aussi je vous souhaite de réussir dans vos différentes manip
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Ecrit le: Dimanche 11 Janvier 2009 à 11h16 Posted since your last visit
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Bonjour à tous, icon_biggrin.gif

C'est pire qu'une enquête policière des experts ton aventure !!
c'est pas facile de débusquer le coulomb, surtout que l'appeau n'existe pas.

En tout cas, quel exemple de persévérance !!

Bravo


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Ecrit le: Dimanche 11 Janvier 2009 à 22h37 Posted since your last visit
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Hello Tous, Hello Labo icon_smile.gif

Excitant, en effet !!

Il faudrait pouvoir élucider, confirmer cette apparente consommation au primaire ..

Peut être créer un circuit avec une bobine identique à celle de ton primaire mais dans l'air au lieu d'être sur le transfo et une batterie en série et en opposition avec la batterie d'alimentation. Cette deuxième batterie sensée remplacer la fem induite aurait une tension légèrement inférieure à la batterie d'alimentation (ou encore, un réglage par rhéostat )

En fait 2 essais :

Un essai avec le primaire dans l'air alimenté par la batterie de 12v (déjà là tu devrais avoir une intensité plus conséquente qu'avec le transfo. Essayer sans relais statique par touche ultrabreve sur la borne de la batterie pour voir l'indication de l'amperemètre)

Un essai avec le primaire dans l'air et une autre batterie et son rheostat en série, le tout alimenté par la batterie de 12v ..

A plus


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Ecrit le: Lundi 12 Janvier 2009 à 11h17 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
11 JANVIER 2009.
Bonjour à tous,
bonjour Amateur.
Le test avec deux batteries dont une a une tension inférieure produirait la charge de celle qui a la plus faible tension et la décharge de celle qui a la plus forte tension. Le tout serait « calibré » par la résistance du rhéostat. La batterie a la double casquette : générateur et récepteur actif en fonction du fait que sa tension est supérieure ou inférieure à l’autre.
Je parle des batteries rechargeables comme celles au plomb par exemple. Avec les piles non rechargeables je ne sais pas ce qui se passe entièrement. J’ai fait un test avec une pile de 9 volts et une autre pile de 4,5 volts en face, en série avec une ampoule : la tension sur l’ampoule est bien 4,5 volts. Il y a soustraction de tension mais par contre je ne sais pas ce qui se passe dans la pile de 4,5 volts : ce qui est sur c’est qu’elle ne se recharge pas. Elle chauffe peut être…

Le test avec la bobine à air produirait un court circuit immédiat sur la batterie car son inductance serait infinitésimale. La bobine en 10 millimètres carré de 20 spires à air alimentée en 12 volts laisserait passer immédiatement un courant de 1000 ampères. La batterie serait capable d’en laisser passer 500 sous 6 volts : ça ferait un bel embrasement…
Je préfère ne pas imaginer l’état du relais statique après ce choc.

Je n’arrive pas bien à imaginer l’action de la force contre électromotrice ( la contre tension)
Dans la batterie. La batterie que j’utilise est composée de 6 éléments de 2 volts chacun.
Est ce qu’un seul de ces éléments « porte » la décharge ? Ou bien est elle répartie sur les 6 éléments de façon identique ? Dans mon test le pole « moins » de la batterie est relié en permanence à la bobine primaire. Dans ce cas ce serait le 6° élément coté « plus » qui prendrait la décharge ?

La logique me dit : ce qui n’est pas transformé n’est pas consommé. Si la partie de la tension qui ne représente pas la perte ohmique n’est pas consommée je ne vois pas d’autre solution que d’opérer une simple soustraction de tension.

L’oscilloscope doit pouvoir dire ce qui se passe. La contre tension est « en face » de la tension d’alimentation sur la bobine primaire mais cela ne se voit pas directement. Pour le « voir » je suis obligé de me référer à la tension apparaissant sur la bobine secondaire. Cette bobine secondaire est placée à ras de la bobine primaire. Comme la bobine primaire c’est une bobine plate en section 10 millimètre carré : une seule couche de fil plat enroulé sur lui-même en escargot. La bobine secondaire fait 28 spires et il faut donc réajuster la tension lue sur l’oscilloscope en proportion avec la bobine primaire. Il y a aussi une autre façon de caler la lecture : à l’instant précis du début de la connexion de la bobine primaire, l’intensité consommée est égale à presque zéro. Cela entraîne le fait qu’il n’y a aucune chute de tension pour cause ohmique. Donc la contre tension initiale est quasi égale à la tension d’alimentation à vide. On peut donc caler le début de la courbe de la contre tension lue sur la bobine secondaire à la même valeur lue en connectant l’oscilloscope sur la batterie à vide.

Le problème qui se pose est aussi de mesurer la tension « restante » sur les éléments matériels qui constituent la résistance ohmique globale du circuit primaire. En effet dans le cas de la bobine primaire en connexion, la résistance ohmique est considérée comme un récepteur caché au sein d’un générateur. La lecture directe de la tension perdue par l’effet joule est donc impossible. On connaît la tension globale perdue par effet joule et il faut ensuite calculer les segments de résistance en fonction de leur section, de leur longueur et de la résistivité du cuivre. Pour la batterie il faut utiliser une résistance étalon et faire un calcul. A plus…

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Ecrit le: Lundi 12 Janvier 2009 à 13h35 Posted since your last visit
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Pour les batteries au plomb, la charge décharge doit être sensiblement répartie entre les éléments, sinon les éléments ne travaillant pas se détérioreraient rapidement. Les plaques de batteries c'est fait pour travailler.

Au secondaire, tu mets une diode, si je me souviens bien ?

Ton test semble déjà fonctionner avec un cop d'environ 70 ou plus, puisque tu ne consommes réellement que 0,58 watt au primaire pour 50 watts produits au secondaire !!
A moins que quelque chose ne m'échappe encore ??
Sinon, passons à la production/commercialisation, armés jusqu'aux dents pour repousser les opposants éventuels icon_biggrin.gif

A plus



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Ecrit le: Lundi 12 Janvier 2009 à 16h56 Posted since your last visit
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Re bonjour.
Au secondaire il y a une diode placée en série dans le circuit pour ne choisir que le courant issu de la décroissance du champ magnétique créé par la bobine primaire. Sans cette diode la charge sur le secondaire sera aussi connectée pendant la séquence de connexion de la bobine primaire. Il y aura alors rétroaction du courant secondaire sur le courant primaire, comme dans un transformateur.

Au niveau de la commercialisation, la question qui se pose pour le MEG est la meme qu'on a posé à Tesla : mais ou est ce qu'on place les compteurs ?
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Ecrit le: Lundi 12 Janvier 2009 à 18h13 Posted since your last visit
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Rebonjour

Reste à determiner le moyen d'augmenter la puissance de l'engin.. Je suppose qu'il faut un transfo beaucoup plus conséquent pour assurer 15 à 20 kw de puissance..
Pour les compteurs, rien ne nous empêche de laisser le compteur EDF avec abonnement mini et une seule ampoule de 25 watts branchée dessus.

Le reste de l'installation faisant partie de la propriété privée défendue bec et ongles icon_smile.gif


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Ecrit le: Mardi 13 Janvier 2009 à 12h08 Posted since your last visit
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Citation (LABO343 @ Lundi 12 Janvier 2009 à 10h17)
LABO343 MEG
11 JANVIER 2009.
Bonjour à tous,
bonjour Amateur.

Je n’arrive pas bien à imaginer l’action de la force contre électromotrice ( la contre tension)

Hello Tous, Hello Labo icon_smile.gif

Voici quelques liens qui expliquent:
1) la fem induite:

http://formation.paysdelaloire.iufm.fr/res...er/transfo.html

(cliquer sur le bouton pour lancer l'animation)

2) l'auto induction:

http://mpeea.free.fr/data/trotech/cours-trotech-trous-08.pdf
(à partir de la page 20)

3) les deux:

http://membres.lycos.fr/montagreg/montages...20INDUCTION.pdf


Existe t'il une analogie mécanique ?

Un vérin d'amortisseur peut être.
S'il n'y a pas d'huile dans le vérin, une faible force suffit pour agiter l'axe du vérin.
S'il y a de l'huile dans le vérin, il faut une force plus grande et d'autant plus grande que la vitesse d'agitation de l'axe est grande

Apparemment, la diode dans le circuit secondaire de ton test, "supprimerait momentannément et sélectivement l'huile du vérin", ce qui entrainerait une agitation quasi gratuite de l'axe icon_biggrin.gif


A plus icon_smile.gif


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Ecrit le: Mardi 13 Janvier 2009 à 13h57 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
13 JANVIER 2009.
Bonjour à tous,
bonjour Amateur.
Je réponds sur ton premier texte. Je répondrai sur l'autre ce soir après bonne lecture.

Pour augmenter la puissance du test.

1° le circuit magnétique doit être le plus court possible. La forme idéale est celle des transformateurs utilisés pour alimenter les ampoules à iode en basse tension. On gagne du flux en utilisant une très grande épaisseur de circuit combinée à une toute petite longueur de ce même circuit. De ce fait la bobine primaire risque de ne comporter que 2 ou 3 spires très épaisses qui produiront le même flux que les 20 spires de mon test actuel.

2° augmenter la tension aux bornes de la bobine primaire pour augmenter l’intensité crête.
La limite est de rester en dessous de la partie droite de la courbe de saturation magnétique.

3° augmenter l’épaisseur de l’entrefer jusqu’au point de retournement du maximum de la puissance de sortie.

4° diminuer le nombre de spires de la bobine primaire pour pouvoir réaliser plus vite le flux maximum.

Pour les trois dernières pistes il faudra que l’électronique de commutation de la bobine primaire suive la compétition.

Pour la première piste il faut une définition de l’action. Les tôles de transformateur utilisées sont en forme de E et de I. Dans le transformateur classique ces tôles sont entrelacées. Il faudra les dissocier et ensuite les regrouper selon leur forme de façon à pouvoir mettre en place l’entrefer. La tôle en E comporte une section centrale qui est le double de la section des cotés..
Lorsqu’on regarde la tôle en E et la tôle en I on voit le circuit magnétique de face. Si je regroupe un grand nombre de tôles j’obtiendrai ce que j’appelle une épaisseur du circuit magnétique. Pour augmenter la puissance du test il faudra privilégier l’accroissement de l’épaisseur du circuit magnétique en conservant une longueur de circuit magnétique la plus petite possible pour ne pas augmenter la réluctance.

Les bobines seront situées sur la section centrale. Ce seront des bobines plates constituées avec du fil plat enroulé sur lui même en escargot. Les deux bobines seront quasi jointives car il vaut mieux éviter qu’elles soient concentriques. En effet deux bobines quasi jointives auront une dispersion thermique favorisée par le contact avec l’extérieur de deux faces des fils et on pourra noyer le tout dans l’huile pour accélérer le refroidissement si besoin.
On peut fabriquer une bobine plate en fil rectangulaire en utilisant deux couches de fil. Pour une bobine de 20 spires on calcule le milieu de la longueur du bobinage. Ensuite on part du milieu et on bobine 10 spires et puis on fait deux replis du cuivre pour continuer le même sens de bobinage avec l’autre moitié du fil pour les 10 autres spires. On obtient ainsi une bobine plate avec deux broches de connexion périphériques et non avec une des connexion à ras du circuit magnétique. La bobine ainsi faite ressemblera à deux bobines collées. Dans ce cas il y aura quatre alignement de fil sur le noyau central du circuit magnétique. Je l’ai testé et ça fonctionne parfaitement.

A plus…

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Ecrit le: Mardi 13 Janvier 2009 à 16h16 Posted since your last visit
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Ok pour fonctionner en basse tension et forte intensité pour un optimum du MEG.. L'electronique sera sans doute constituée par des transistors MOSFETs, IGBT ou Thyristors de puissance (moindre coût, car deviennent obsolètes). Si on doit ensuite transporter l'énergie produite par le MEG, il sera nécessaire de la transformer en augmentant la tension.

Qu'entends tu par:

3° augmenter l’épaisseur de l’entrefer jusqu’au point de retournement du maximum de la puissance de sortie. ??

L'entrefer n'est il pas préjudiciable à la réluctance de l'ensemble ??

Pourquoi une course aux perfomances maxi ?
Peut on se contenter d'un COP moindre (environ 10 ou 20) qui permettrait l'emploi de matériel plus conventionnel ? (En Lorraine, on a besoin d'un peu de dissipation par effet joule pour maintenir les installations hors gel en hiver, chose qui n'est peut être pas nécessaire à Perpignan icon_smile.gif )

A plus


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Ecrit le: Mardi 13 Janvier 2009 à 16h25 Posted since your last visit
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réponse sur le dernier texte.
L'entrefer est inévitable. C'est une condition siné qua non du fonctionnement. Dans mes tests il est de l'ordre de 0,1 à O,3 millimètre. C'est de l'observation : sans entrefer ca ne marche pas. L'entrefer se trouvait sur mon test suite à une erreur de découpe du circuit magnétique pour y insérer l'aimant permanent : à quoi ca tient !! Sans entrefer la décroissance de la tension secondaire est si abrupte qu'elle est inutilisable. C'est une observation, je le répète. Je sais bien que ca a l'air contradictoire avec la recherche de la moindre réluctance. Cela n'empeche pas de rechercher le circuit magnétique le plus court : mais avec u entrefer.
J'ai testé l'accroissement de l'épaisseur et cela augmente la puissance de sortie utilisable mais aussi l'intensité crete de la bobine primaire. J'ai pas voulu aller plus loin de peur de claquer le relais. Simplement.
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Ecrit le: Mardi 13 Janvier 2009 à 17h29 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
13 JANVIER 2009 suite.
réponse au premier texte.
La diode sur le circuit de la bobine secondaire.
A l’instant précis ou démarre le processus de déconnexion de la bobine primaire dans le relais statique une tension apparaît sur la bobine secondaire. Cette tension est liée à la vitesse de déconnexion de la bobine primaire. C’est une performance propre au relais statique. Dans le test on va dire que la fréquence est de 100 hertz. Donc la période sera de 10 millisecondes.
Chaque période se divise en deux : la séquence de connexion de la bobine primaire puis sa déconnexion. Le temps de déconnexion de 5 millisecondes se décomposera en deux phases.
La première durera environ 1 milliseconde : c’est le temps propre du processus de déconnexion dans le relais. Cela donne « la pente » de décroissance du champ magnétique et donc la valeur de la tension aux bornes de la bobine secondaire. Sur mon test cette tension à vide est de 68 volts environ pour 28 spires.
Au delà de ce temps de 1 milliseconde le champ magnétique a cessé de décroître car il n’existe plus. La conséquence est que la tension issue de cette décroissance disparaît aussi sans laisser de traces.
Sauf si une charge est connectée sur la bobine secondaire. Dans ce cas le courant créé par cette connexion crée les conditions de sa propre survie provisoire au delà de la milliseconde initiale de la présence de la tension. C’est là que se situe sûrement la création d’énergie « ex nihilo ». L’intensité qui « survit » crée aussi les conditions de la décroissance de la tension qui lui a donné naissance et tout ceci se dirige plus ou moins vite vers zéro. L’observation montre que la baisse de la résistance de charge augmente la durée de survie du courant de cette charge mais sous très basse tension. Cela veut dire qu’en dessous d’une certaine résistance de charge l’intensité peut survivre au delà du temps attribué à sa séquence de connexion. La conséquence est que ce débordement crée une rétroaction de la bobine secondaire sur la bobine primaire et on sort de l’effet MEG. Il y a donc une résistance de charge « plancher » que l’on doit déterminer pour chaque montage.
L’intérêt de la diode c’est que son action est immédiate. Dès l’instant du début du processus de déconnexion de la bobine primaire la diode laisse passer le courant de charge de la bobine secondaire et pas un instant avant. Je le répète : sans la diode cela ne fonctionne pas. Il faut que la circulation de l’intensité dans la bobine secondaire soit strictement cantonnée à la période de temps ou la bobine primaire est déconnectée.

Pour les analogies mécaniques je crois que c'est un "phénomène premier" c'est à dire qu'on ne peut pas l'expliquer par autre chose.
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Ecrit le: Mardi 13 Janvier 2009 à 22h51 Posted since your last visit
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Hello Labo icon_smile.gif

Eh bien merci pour cette démonstration décortiquée finement ..
C'est un travail de vrai scientifique qui ne se laisse apparemment pas ou peu perturber par ses émotions, mais qui raisonne logiquement. La voie royale pour aboutir quoi !! icon_smile.gif ..

L'entrefer est donc nécessaire pour créer une pente de déconnexion du secondaire (durée non nulle) et pouvoir l'exploiter ..

La diode permet de séparer les séquences de déconnexion du primaire et alimentation de la charge, tout en empêchant la loi de Lenz de s'appliquer au primaire en augmentant sa consommation.

La charge permet par l'intensité variable et décroissante qui la traverse, la création d'une fem d'autoinduction dans la bobine secondaire, fem qui permet à son tour une décroissance de durée non nulle de la tension et de l'intensité, donc une exploitation possible de cette énergie extraite du néant..

Le tout devant être calibré pour respecter la succession et répétition des séquences..

Il faut que cela décante en moi, alors l'inspiration viendra !!

Je vais déjà commencer par décortiquer un transfo d'isolation de 1 kw qui répond aux définitions que tu as données.

A plus, c'est vrai, c'est excitant cette affaire de maitrise des réactances icon_smile.gif


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Analogies électriques-magnétiques

Phénomène curieux:

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Merci pour vos cogitations fécondes icon_smile.gif


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LABO343 MEG
16 JANVIER 2009.
Bonjour à tous,
bonjour Amateur.

Statut multiple de la bobine primaire.

Considérons le test MEG à deux bobines de faible nombre de spires : 20 pour la bobine primaire et 28 pour la bobine secondaire. L’alimentation de la bobine primaire se fait avec une source de très faible résistance interne pour pouvoir négliger son action. Une batterie au plomb de démarrage de voiture correspond exactement à ce profil au delà de 40 ampères-heure. L’alimentation se manifeste sous la forme de segments de temps alternés et égaux. Un de ces segments permet la connexion de la bobine primaire, l’autre est un temps de déconnexion. Pendant le temps de connexion la courbe de progression de l’induction magnétique doit rester quasiment droite. Dans mon test la durée de la séquence de connexion ne doit donc pas dépasser 5 millisecondes. Voilà posé le décor.

Donc pendant la durée de connexion :
1° la bobine est un récepteur passif à cause de sa résistance ohmique. L’énergie consommée à ce titre est calculée en multipliant le carré de l’intensité moyenne pendant la connexion par la résistance ohmique de la bobine et ensuite par la durée de cette connexion.
2° la bobine est un générateur de tension simple. En effet la tension fournie par ce générateur est toujours inférieure à la tension d’alimentation. De ce fait aucun courant ne peut circuler, issu de l’action génératrice de la bobine. Le statut de générateur de la bobine est issu du fait qu’elle se trouve placée dans un flux magnétique variant.
3° la bobine est le support d’un flux magnétique croissant. Le produit de l’intensité par le nombre de spires est le champ magnétisant. La prise en compte de la seule intensité dans ce calcul montre bien que le flux magnétique n’est pas une puissance et ne peut donc pas représenter une quantité d’énergie pendant la durée de la séquence de connexion.

Statut « magique » de la bobine secondaire.
Grâce à la diode placée en série avec la charge, la bobine secondaire ne délivre un courant que lors de la décroissance du champ magnétique créé par la bobine primaire.
En l’absence de charge, seule une tension apparaît aux bornes de la bobine secondaire pendant la durée du mécanisme de déconnexion de la bobine primaire. Dans ce cas l’absence d’intensité exclut la présence d’une puissance produite. Le champ magnétique disparaît comme il était apparu : sans aucune manifestation énergétique qui lui soit propre.
La tension aux bornes de la bobine secondaire est « la clé d’organisation » qui permet l’extraction d’énergie du « vide ». L’intensité qui se déverse dans la charge est à proprement parler « magique » car elle ne repose sur aucun support d’échange dans le système matériel du test. La connexion primaire est coupée et le champ magnétique n’est pas une énergie. Cette énergie ne peut provenir que de « rien », c’est à dire du « milieu ». A la limite ce n’est pas très important de le savoir : tant qu’il en sort, autant se servir…
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Ecrit le: Vendredi 16 Janvier 2009 à 10h51 Posted since your last visit
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Helo Tous, Hello Labo icon_smile.gif

Merci pour ces éclaircissements.. J'ai trouvé un transfo de sécurité "Legrand" de 1kw, comme tu l'as décrit dans un post pécédent.. Les tôles ne sont pas enchevêtrées, les tôles en I sont maintenues aux tôles en E par un cordon de soudure externe peu profond de chaque côté du transfo.. Je suis entrain de scier longitudinalement ces cordons de soudure pour extraire le bobinage et récupérer la carcasse de tôles.. Par contre, je ne sais pas où trouver du fil de cuivre émaillé plat. Je vais donc faire un câble multibrins en fil émaillé de 0,8 mm de diamètre, pour atteindre 10 ou 15 mm², ou bien utiliser du fil de 10mm² dans sa gaine de plastique qu'on achète dans les grands surfaces de bricolage pour alimenter les plaques de cuissons par induction par exemple (7kw de puissance)!!??

Par contre, question énergie, je me demande que devient l'énergie 1/2 LI², normalement emmagasinée par la bobine primaire pendant sa séquence de connexion.

J'ai eu le même problème en travaillant sur les condensateurs.. J'ai cru atteindre la surunité en chargeant un condensateur, au travers une résistance électrique très faible, progressivement par paliers de tension, au lieu de le charger en lui imposant directement la tension finale, en me disant que la somme des paliers de 1/2Cu² consommés serait inférieure au 1/2CU² final acquis, mais il n'en est rien..

Je n'ai pas encore abandonné cette piste, car il faut jouer sur les temps de connexions des différents paliers de tension (aller en temps décroissant , plus le palier est haut en tension)

J'atteins des rendements de 98%, au lieu de 50% avec la charge brutale à la tension finale au travers de la même résistance, mais pas de surunité.

L'énergie emmagasinée par le condensateur peut être conservée pendant un instant plus ou moins long selon la qualité du condensateur, par contre l'énergie emmagasinée par une bobine 1/2LI² est très fluide et ne se conserve normalement pas, et ce doit être elle qui se transforme quasiment instantannément en contre tension d'autoinduction dûe à la variation de croissance du courant de connexion, enfin, d'après moi !! icon_smile.gif

Nous devons faire un bilan expérimental des énergies consommées et produites..
Par exemple, pour l'énergie consommée, voir en combien de temps la batterie se décharge en laissant fonctionner le système pendant un moment.

A plus


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Ecrit le: Vendredi 16 Janvier 2009 à 12h50 Posted since your last visit
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Rebonjour.
Amateur, il me reste un peu de fil lat en 10 mm carré. Si tu veux je te l'envoie.
Cela ne me servira pas pour le moment car il me reste encore deux exemplaires de tests en service. Rapelle moi sur labo343@free.fr et donne moi ton adresse postale. Je te l'envoie aussitot.
A propos de la formule de l'énergie "contenue" dans une inductance je pense que la question est celle de la connexion. En effet dans mon test la bobine primaire est déconnectée après la fin de sa séquence. Je pense que la formule classique de la relation de l'inductance avec l'énergie est opérationnelle dans un circuit ou il n'y a pas de rupture. Je vais revoir cela avec précision.
A plus...
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Ecrit le: Lundi 19 Janvier 2009 à 17h05 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
19 JANVIER 2008.
Bonjour à tous.

E = ½ L i2 ?
Dans mon test MEG à vide, cette formule ne fonctionne pas à moins d’accepter que l’énergie désignée par cette formule puisse absolument disparaître sans aucune trace.
La bobine primaire de mon test MEG est bien le siège d’une réactance d’inductance
Qui se manifeste par la croissance progressive de l’intensité qui la parcourt après la connexion.
Dans mon test MEG la tension d’alimentation est constante durant la séquence de connexion, ce qui n’est pas le cas des bobines alimentées en courant sinusoïdal : il faut le préciser.
Dans un transformateur monophasé la phase de croissance et la phase de décroissance du champ magnétique créé par la bobine primaire se font en connexion avec l’alimentation.
La bobine secondaire du test MEG est un générateur et n’est pas soumis à l’inductance, comme l’observation de sa courbe d’intensité le prouve. En effet si la bobine secondaire était soumise à l’inductance, l’intensité maximale ne se situerait pas en début de sa séquence d’action mais à la fin.
Je ne sais pas quoi dire de plus sinon qu’il faut reproduire mon test MEG et voir ce que j’ai vu. Il faut sauter le pas et observer.
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Ecrit le: Jeudi 22 Janvier 2009 à 10h14 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
22 JANVIER 2009.
Bonjour à tous.
Réplication du test.

Informations pour ceux qui veulent répliquer le test MEG.

1° il ne doit pas y avoir dans le test de bobines au grand nombre de spires. En effet la tension crête issue de la déconnexion de la bobine primaire peut « claquer » l’isolation d’une bobine à trop haute tension initiale. Ce problème m’est arrivé avec un test construit à partir d’un transformateur 220 / 12 volts ou je n’avais pas supprimé la bobine de 220 volts. Il faut rester sur un plafond de 40 spires maximum, en fonction de la section du circuit magnétique et de sa longueur. Ceci pour une fréquence de connexion qui doit « tourner » entre 100 et 300 hertz environ.

2° pour fabriquer une bobine plate il vaut mieux utiliser un mandrin en bois dont la section sera à peine supérieure à la section du circuit magnétique choisi. De plus, pour éviter de coincer la bobine sur le bois il faudra que la section du mandrin soit légèrement mais immédiatement dégressive. Pour bobiner avec du fil plat j’ai utilisé un manche à balai posé horizontalement dans l’étau et j’y ai placé le touret de fil plat dedans. Ensuite j’ai pris le mandrin et j’ai fixé le début du fil avec un chatterton et j’ai commencé à bobiner en tournant le mandrin et en maintenant le fil bien plaqué sur la spire précédente. Inutile de dire qu’il ne faut pas être dérangé par qui que ce soit pendant cette opération sinon le fil va déraper et hop on recommence… Au début du bobinage je place une ficelle sous la première spire et dès la fin du bobinage je la noue autour de la bobine pour arrêter la possibilité de dérapage du fil.
Dans le cas d’une bobine faite d’une seule couche de 20 spires (par exemple) je commence par plier le début du fil plat à 90° pour faire la connexion centrale de la bobine. Dans le cas du fil 10 par 1 j’ai utilisé deux pinces plates et ensuite un léger coup de marteau mais sans trop.

3° le circuit magnétique sera bruyant à vide et il est conseillé de le coller sur du caoutchouc pour éviter d’en faire un émetteur sonore.

4° il est conseillé de choisir une diode puissante avec un bon radiateur car la puissance crête sur la charge est importante : on sait jamais.

5° le générateur de tension de commande doit envoyer absolument des signaux carrés et surtout pas sinusoïdaux.

Pour le moment je vois pas autre chose. A plus…
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Ecrit le: Jeudi 22 Janvier 2009 à 12h46 Posted since your last visit
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Merci pour ces précisions salvatrices de bobines. Je suis entrain de faire un rhéostat pour faire varier la charge et obtenir l'effet MEG optimal, vu que les conditions de fonctionnement sont très encadrées ..

A plus


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Ecrit le: Jeudi 22 Janvier 2009 à 17h03 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
22 JANVIER 2009 B.
Re bonjour à tous.
Réplication du test , suite.
Il faut d’abord obtenir l’effet principal du test, c’est à dire l’égalité de consommation affichée à vide et en charge. Pour cela on peut agir à partir de la valeur de la résistance de charge sur la bobine secondaire et aussi (surtout en pratique) avec l’entrefer.

Une fois le premier test d’approche effectué la meilleure aide viendra de l’oscilloscope.
Il faut connecter l’oscilloscope sur la bobine secondaire et surveiller sa courbe de tension.
Pendant la séquence de déconnexion de la bobine primaire a lieu la décroissance du champ magnétique qu’elle a créé. Si une charge est connectée sur la bobine secondaire à travers une diode (essentiel, je répète) sa courbe de tension va apparaître comme une ligne décroissante de façon très rapide au début et de moins en moins en allant vers la fin de sa séquence.

L’intensité agit en augmentant la durée de sa propre survie pendant la décroissance de la tension. Il faut ABSOLUMENT que la tension secondaire tombe à zéro juste avant l’instant ou la bobine primaire est à nouveau reconnectée : sans cela on ne peut pas obtenir l’effet principal du test, l’égalité entre la consommation affichée à vide et en charge.

Autre chose : il ne faut pas avoir peur de connecter une bobine primaire de peu de spires. Le bruit sera peut être inquiétant mais tant que l’intensité crête ne dépasse pas la valeur admissible par le transistor de puissance tout va bien.

Si le test est comme chez moi, on pourra entendre le fait curieux que le fonctionnement en charge est bien plus silencieux que le fonctionnement à vide.

Dans le doute sur le courant crête de la bobine primaire il faut commencer la connexion avec une fréquence plus élevée pour diminuer le temps de progression de l’intensité. Ensuite on « descend » la fréquence pour chercher la puissance.

Au niveau de l’entrefer on peut même utiliser du papier « A4 ». Le plus simple c’est de la feuille de PVC ou du chatterton.

Un truc « article22 » pour faire un bon radiateur de transistor de puissance : utiliser une plaque d’aluminium épaisse récupérée sur des ustensiles de cuisine. Le principal est d’avoir une épaisseur de 5mm au moins au niveau du transistor et ensuite une surface importante pour dissiper les calories dans l’air. Il faut aussi que le contact de l’aluminium avec le transistor soit parfaitement plat.

A plus…
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Ecrit le: Jeudi 22 Janvier 2009 à 18h30 Posted since your last visit
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Bonjour à tous,

Labo343, hier soir avec Tagor et Quartz ont en est arrivés à parler de toi et de tes expériences, ont est convaincus que tu détiens quelque chose. Peut être même le seul à avoir en main quelque chose d’important !

Il est dommage qu’il n’y a pas plus de curieux de ton expérience et de réplicateur !!
Si tu pouvais faire une vidéo du test de A à Z se serait pas mal !!

Bravo encore pour ta témérité !

A++
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Ecrit le: Jeudi 22 Janvier 2009 à 19h07 Posted since your last visit
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Re bonsoir à tous.
Merci les amis.
J'ai une série de petites vidéos du test. Les premières sont encore avec l'aimant permanent mais les mesures à l'oscilloscope sont parlantes. Je les ai supprimées de Google vidéo car la piste de l'aimant permanent n'est pas la bonne et que cela ferait de la confusion. On pourrait aussi utiliser Messenger pour voir la forme des bobines et l'aspect du circuit magnétique. Le reste vous connaissez : c'est de l'électronique basique. J'ai un DVD déjà réalisé. Je peux l'envoyer. Donnez moi une adresse postale à labo343@free.fr
A plus...
A tout hasard mon adresse messenger : MEG343@hotmail.fr
si ca peut faire avancer la chose...
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Ecrit le: Jeudi 22 Janvier 2009 à 19h25 Posted since your last visit
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Je confirme, il vaut mieux agir sur l'entrefer pour faire chuter le courant secondaire à zéro, avant reconnexion de la bobine primaire.

Je viens d'essayer avec un rheostat (de 2 ohms à 16 ohms, par bonds de 2 ) en guise de charge, ça n'a pas eu d'effet sur la vitesse de chute (peut être que l'inductance du secondaire utilisé est trop grande, j'utilise un petit transfo classique avant de passer à un plus gros avec entrefers possibles).

Une petite question:

Si on deconnecte (avec les moyens synchrones appropriés) le secondaire de sa charge, juste avant la reconnexion du primaire et qu'on le reconnecte à la charge en même temps qu'on reconnecte le primaire, c'est à dire qu'on laisserait un petit temps mort sans connexion, ni du primaire à sa source, ni du secondaire à sa charge, quelles peuvent en être les conséquences ?? (mise à part une légère perte d'énergie au secondaire)

A plus

Amateur réplicateur, et d'un !!
Y en a peut être d'autres dans le monde ?? icon_smile.gif


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Ecrit le: Jeudi 22 Janvier 2009 à 23h50 Posted since your last visit
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Rebonsoir à tous.
Rebonsoir Amateur.
Comme je te l'ai confirmé par mail ton hypothèse est une piste. Mais je confirme que l'entrefer est indispensable. J'ai fait un test sans entrefer et on ne peut pas obtenir l'indifférence entre la consommation affichée à vide et en charge. Sans entrefer la courbe de tension secondaire décroissante va buter désespérément sur le début de la connexion suivante de la bobine primaire sans tomber à zéro. C'est surement ce détail qui a fait que personne ne s'est trouvé "au bon endroit" pour voir le phénomène. Je précise toutefois que la résistance de charge a une importance : mon test se fait avec une ampoule de 50 watts en 12 volts et si j'en mets 2 en parallèle la consommation primaire "bouge" car la courbe de décroissance de la tension secondaire est prolongée par la surintensité et "touche" la séquence de la connexion de la bobine primaire
A plus...
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Ecrit le: Vendredi 23 Janvier 2009 à 10h24 Posted since your last visit
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Je vais attaquer la réplication avec le gros transfo à entrefers..
Il nous faut faire un bilan énergétique (énergie dépensée / énergie produite) en mode MEG, pour en avoir le coeur net.

A plus icon_smile.gif


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Ecrit le: Samedi 24 Janvier 2009 à 16h08 Posted since your last visit
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bonjour à tous
tempete à Perpignan. Plus de courant. La ligne en 400.000 volts a laché. C'était jamais arrivé. Amateur je ne pourrai pas connecter ce soir car pas d'éclairage.
A plus..
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Ecrit le: Samedi 24 Janvier 2009 à 17h57 Posted since your last visit
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Oui j'ai entendu qu'il y avait des rafales à 183 km/h sur Perpignan..
Protégez vous bien et ne sortez surtout pas ..
ça y est j'ai fait la premiere bobine de 17 spires:

user posted image

Demain, j'attaque la deuxieme

A plus


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