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Ecrit le: Vendredi 13 Février 2009 à 13h52
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous,
Bonjour Amateur. Merci pour les plans et les textes. Comme je l’ai déjà écrit, le problème posé par le test MEG que tu as répliqué est le suivant : Ou passe l’énergie « consommée » à vide ? Ta bobine primaire est d’une résistance ohmique quasi nulle et elle ne peut évidemment pas absorber l’énergie « consommée ». Si la crête de tension observée à l’instant du début de la coupure de la bobine primaire représentait une énergie « récupérée », cela se manifesterait par une crête d’intensité inverse qui rechargerait la batterie. Ce n’est pas le cas et l’oscilloscope le montre clairement. De plus cette crête de tension devrait être du même coté que la tension d’alimentation et ce n’est pas le cas. Le test est il alors un émetteur « sans antenne » de quelque chose que nous ignorons ? L’énergie circule et on peut comparer cela à un robinet qui débite de l’eau dans un milieu apparemment « visible ». La batterie « dit » qu’une intensité « sort » de ses bornes sous une certaine tension et rien de visible ne se signale comme étant la destination de l’énergie. Pour une seule séquence de connexion on pourrait douter mais si on laisse le test connecté plusieurs minutes on ne voit rien de plus. On en est là. C’est de l’observation. Tous les prix Nobel peuvent dire le contraire : la chose existe. Tu l’as vue, je l’ai vue. Je me doute que beaucoup de répliques sont faites à l’heure actuelle qui aboutissent aux mêmes questions. La phrase « un champ magnétique est une réserve d’énergie » est inexacte, même si elle « fonctionne » dans le cas des circuits qui restent connectés. Cette formulation est un dogme qui ferme la porte à des systèmes d’énergie non dépendants de la propriété. Il s’agit d’une ingérence dont le pic pétrolier réclame disparition. A plus… |
Ecrit le: Vendredi 13 Février 2009 à 15h01
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Labo
Bravo Labo, digne de Léon Hatem !! Pugnaces et persévérants tous deux .. Au diable les écrits qui ont subi la censure ou la défomation des démons assoiffés de pognon .. Allez, au taf !! je continue sur le hacheur !! A plus !! -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Vendredi 13 Février 2009 à 16h40
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Encore une petite série d'essais:
1) A vide, avec la bobine primaire à 10 spires (mesure tension et intensité au primaire): 2) En charge, avec la bobine primaire à 10 spires et bobine 16 spires au secondaire (mesures tension et intensité au primaire): 3) En charge, avec la bobine primaire à 10 spires et bobine 16 spires au secondaire (mesures tension au primaire et intensité au secondaire): A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Vendredi 13 Février 2009 à 18h32
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Re bonjour.
Ce qui apparaît c’est que la puissance fournie par la bobine secondaire est maximale à l’instant du début de sa production. Cela confirme bien que la notion d’inductance ne concerne qu’une bobine réceptrice d’énergie. Si il y avait inductance dans la bobine secondaire l’intensité ne pourrait pas commencer par son maximum. Cela confirme aussi que le nombre de spires de la bobine secondaire doit être ajusté en fonction de la résistance de charge. Un nombre de 17 spires va avec une ampoule de 12 volts dans ce cas. Dans mon test j’ai gardé la bobine en 28 spires au secondaire lorsque j’ai mis une bobine de 20 spires au primaire. Tout cela se teste. Le principal étant de conserver la chute de tension à zéro volt sur le circuit de la bobine secondaire avant la re connexion de la bobine primaire. Super... A plus... |
Ecrit le: Lundi 16 Février 2009 à 15h03
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous, Hello Labo
On ne s'énerve pas, ça vient.. Il faut que je change la valeur des potars et du condo, car la plage actuelle de fonctionnement est de 40 à 150 hz Toujours pas d'idée sur la "cache" de l'énergie absorbée par la bobine primaire à vide. Peut être de l'autre côté du miroir, là où se trouve l'action (énergie x temps).. Selon J.E. Charon, dans sa relativité complexe, dans le monde réel (issu de la partie réelle des nombres complexes appliqués aux travaux d'Einstein), il n' y a que des formes.. On a beau regarder, creuser, inspecter, partout dans l'espace réel observable, on ne perçoit que DES FORMES.. Par contre dérrière le miroir, dans le monde adjacent que Charon appelle l'espace imaginaire (du nom de la partie imaginaire des nombres complexes appliqués aux travaux d'Einstein), il y a les particules de structure étendue, emplies de lumière noumènale (par opposition avec la lumière phénoménale). Ces particules possèdent, l'esprit, la mémoire, l'action et peuvent se superposer les unes les autres sur le même espace, tout en vivant chacune leur vie. Ce sont ces particules douées d'esprit, de mémoire et d'action qui tangentent en un point chacune, en tout point avec l'espace réel observable et qui crèent les formes de cet espace observable dans lequel nous baignons.. Pour résumer, ça ressemble à Matrix, ou à un théatre où la scene est l'observable et les coulisses l'inobservable imaginaire où se concoctent les évènements de l'espace observable .. A plus les Amis -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Lundi 16 Février 2009 à 18h18
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonsoir à tous.
Bonsoir Amateur. Excellent pour le module de commande. Au niveau de l’énergie « consommée » je ne vois que la piste de la décharge partielle et « imaginaire » de la batterie. J’ai fait un test de comparaison de décroissance de la tension de la batterie entre la bobine primaire à vide et une simple ampoule de 12 volts 50 watts. La tension initiale de la batterie (chargée) était de 12,60 volts. Lors de la connexion de la bobine primaire à vide, la tension de batterie chute de 0,01 volt par seconde environ pour se stabiliser à 12,00 volts. Si je coupe l’alimentation de la bobine primaire la tension batterie remonte immédiatement à 12,15 volts puis doucement jusqu’à 12,35 volts. Le même scénario se déroule avec l’ampoule de 12 volts 50 watts. Pour le moment cela n’éclaire pas ma pensée. L’élément commun c’est l’intensité de décharge : c’est un fait établi. L’énigme c’est la tension de décharge. Il peut y avoir chute de tension pour cause de résistance interne mais ce serait immédiat. Quand on actionne un démarreur de voiture, la tension de la batterie chute de moitié de façon instantanée : cela n’attend pas une minute. Mais de toute façon le problème n’est pas celui de la résistance interne : il suffit d’utiliser une batterie de très grande capacité. Le problème c’est la durée totale de la décharge et la répartition de cette décharge parmi les éléments de la batterie. Il faudrait avoir accès aux bornes de liaison des éléments de la batterie pour voir si il y a des décrochages de tension entre ces éléments. A suivre… |
Ecrit le: Lundi 16 Février 2009 à 21h08
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Labo
Merci pour le compliment et la réponse. J'ai fait un essai à 100hz et avec 17A crête. Le refroidisser du hacheur newlook monte à environ 30°C pour une température initiale ambiante de 24°C, soit une élèvation de 6°C. Pour les 30A crête du cahier des charges, j'ai bien envie d'essayer avec les 6, 4 ou 2 spires de la bobine à sorties multiples. Une augmentation de tension de l'alim entrainerait une surtension trop forte pour le mosfet.. (j'attends des transistors de puissance IGBT resistants à 1200v, on verra alors avec une tension plus élevée).. Dès que j'ai mis au point ce hacheur, je te l'envoie (ne te casse pas la tête à en faire un). Pour la batterie, pour amoindrir la résistance interne, le fait de mettre plusieurs bateries en parallèle divise la résistance interne par autant de batteries en parallèle, selon la loi d'ohm: 1/ r résultante = 1/r1 + 1/r2 ... + 1/r n. Il ne faut pas oublier non plus que le trajet individuel des ions dans une batterie est très faible (1mm/minute peut être). Donc tout va dépendre combien d'ions auront accès aux plaques, pendant une unité de temps, pour prendre ou céder les électrons. Biensûr, plus la batterie sera grande ou plus il y aura de batteries en parallèle, plus on va offrir de surface d'atterrissage aux ions sur les plaques.. Il faudrait s'assurer quand même qu'il n'y a aucune énergie restituée par la bobine primaire à vide, lors de la coupure de l'alimentation, par un test simple, mais efficace. A plus Passionnant tout ça -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mardi 17 Février 2009 à 08h45
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous.
J'ai lu sur une documentation que le meilleur moyen de connaitre l'état de décharge d'une batterie c'était d'utiliser un pèse acide. Je vais donc partir à la recherche de cet instrument. A plus. |
Ecrit le: Mardi 17 Février 2009 à 21h30
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous, Hello Labo
Essai du hacheur avec commande intégrée. Fréquence de fonctionnement: environ 40Hz à 200 Hz Asymétrie du signal: réglage continu de 0 à 100% (à 50%, c'est temps de déconnexion = temps de connexion) Essai avec consommation de 20A crête à 50hz, cycle 50/50%: La température du radiateur monte à 80°C et se stabilise, au bout de 20 minutes. Le transistor K1522 autorise 150°C maximum. Pour une tension de 12V et une intensité de 25A crête (10A en moyenne), la résistance interne maxi du transistor en conduction est de 0,11 ohm. Ce qui fait, en théorie, une dissipation de 0,11 x 100 = 11 watts Il faut augmenter la taille du radiateur pour des durées d'essai plus longues et des intensités plus fortes, ou bien faire une circulation d'huile ou d'eau. Toutefois, la dissipation de 10 à 20 watts du transistor sera toujours là, seule la température de l'ensemble sera plus basse avec un radiateur plus gros (tablons sur 50 à 60°C). A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mardi 17 Février 2009 à 22h49
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonsoir à tous,
bonsoir Amateur. C'est genant cette dissipation de 11 watts. Ca peut masquer des phénomènes. Il faut peut etre tester avec moins d'intensité pour le moment. En meme temps c'est bien de savoir jusqu'ou ca peut tenir. A partir de quelle intensité est ce que le radiateur chauffe visiblement ? Dans mon test, jusqu'à 15 ampères crete ca chauffe pas. Merci par avance pour le hacheur. De mon coté je continue à pister la facon dont l'énergie circule ou non dans la batterie. L'énergie "disparait" ou "apparait" dans un mouchoir de poche. On a les yeux dessus et on ne voit pas... A suivre... |
Ecrit le: Mercredi 18 Février 2009 à 09h05
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous,
bonjour Amateur. J'ai repensé au problème de l'échauffement du mosfet et je me suis souvenu d'un détail de mes tests. Il y a quelques mois j'ai grillé un relais statique à la suite d'un problème de niveau d'alimentation du générateur de tension rectangulaire. J'ai procédé à "l'autopsie" de ce relais et j'ai constaté qu'il était constitué de deux mosfets connectés en parallèle. Ce serait peut etre la solution pour éviter la surchauffe. Je suppose que la connexion des mosfets en parallèle va diviser leur résistance interne globale. Dans le relais statique dont je parle il y avait manifestement l'emplacement pour un troisième mosfet. Cela devait correspondre au relais de 100 ampères. Il est évident qu'il vaut mieux travailler sur la résistance interne que sur la dissipation de chaleur car la dissipation représente de l'énergie perdue pour rien en plus d'une complication pour sortir les calories. A suivre... |
Ecrit le: Mercredi 18 Février 2009 à 14h25
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous, Hello Labo
Par chez nous, il fait -6°C:-7°C au ptit matin, alors 10 watts par ci, 20 watts par là, nous prenons Dans l'état, le hacheur chauffe graduellement en fonction de l'intensité qui le traverse: Pour 10 A crête, la température du radiateur monte à environ 25/35°C Pour 15 A crête, la température du radiateur monte à environ 40/50°C Pour 20 A crête, la température du radiateur monte à environ 80/100°C Tu as raison Labo, vaut mieux agir sur la diminution de la résistance interne. Je vais modifier le montage pour pouvoir mettre 2 Mosfets en parallèle et je te l'envoie, avec vis et isolant thermique. Je te laisse le soin de visser ou non ton K1522 dans l'emplacement libre. C'est bête qu'on ne puisse pas, dans notre cas, mettre une diode en inverse sur le Mosfet pour absorber la surtension de deconnexion, puisqu'il n'y a pas d'énergie restituée à ce moment, car nous pourrions utiliser des transistors plus courants sur le marché (capable de tension plus basse, mais intensité plus forte).. A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mercredi 18 Février 2009 à 15h47
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Re bonjour.
Ce matin à Ille il a fait beau et il était temps. C'est vrai que moi aussi les calories j'étais preneur... J'attends ton montage avec impatience. J'ai commencé à tester le pèse acide sur mes batteries de secours d'éclairage de la maison et je me suis rendu compte que la moitié des éléments étaient "errants". Après cette préparation je vais attaquer la batterie du test. A plus... |
Ecrit le: Jeudi 19 Février 2009 à 13h16
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous.
J’ai commencé par changer la batterie du test. Désormais il s’agit d’une batterie de 12 volts et 86 ampères heure et « 700 ampères de courant de démarrage » pour un usage automobile. Cela veut bien dire que la résistance interne sera très très faible. J’ai fait une charge complète de la batterie. Il a fallu que je rajoute de l’eau car le niveau était trop faible. Du coup la mesure avec le pèse acide est momentanément fantaisiste. Avant de charger et de rajouter de l’eau, la densité était de 1,30 et depuis elle est de 1,25. Je vais attendre que tout cela se remette en ordre. Le premier résultat marquant est que la chute de tension aux bornes de la bobine primaire est plus faible. A suivre… |
Ecrit le: Samedi 21 Février 2009 à 18h02
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous.
Test de décharge de la batterie. Vu la grande capacité de la batterie je procède à une décharge en plusieurs étapes. En effet je préfère surveiller le test pendant la décharge au cas ou il se passerait quelque chose de curieux. Donc j’ai commencé par mesurer la tension initiale de la batterie : 12,84 volts. On peut dire qu’elle est chargée. Le test se fait à vide ou en charge, cela ne change rien sauf le bruit. Donc je préfère le fonctionnement en charge qui est plus silencieux. Au bout d’un quart d’heure la lampe de charge commence à se lézarder. C’est une ampoule à iode halogène en 12 volts 50 watts en forme de mini spot. L’ampoule elle-même est protégée par un verre situé à ras du « spot » et c’est ce verre qui s’est lézardé. D’habitude quand une ampoule est en survoltage elle claque et c’est tout. J’ai donc mis deux ampoules en série pour baisser leur tension aux bornes respectives. Dès la connexion de la bobine primaire la tension totale de la batterie est tombée à 12,32 volts et au bout d’une heure à 12,23 volts. N’ayant pas pu accéder aux barres de liaison entre les éléments j’ai mesuré la tension entre le pole moins et les bouchons successifs en trempant l’électrode du voltmètre dans l’électrolyte. En partant du pole moins cela donne pour 12,32 volts de total : 0,60 _ 2,62 _ 4,65 _ 6,69 _ 8,76 _ 10,81 _ 12,32. Au bout d’une heure avec 12,23 volts de total cela donne : 0,55 _ 2,58 _ 4,59 _ 6,59 _ 8,60 _ 10,62 _ 12,23. Pour le moment je ne vois pas la trace d’un comportement particulier d’un élément par rapport aux autres. Au niveau du pèse acide certains éléments sont à 1,30 et les autres à 1,25. Cela reste très confus et je pense que l’acide ne s’est pas bien mélangé encore après que j’ai rajouté de l’eau Pour maintenir le niveau au dessus des plaques. Je vais donc continuer jusqu’à la décharge complète de la batterie par étapes et voir ce qui se passera. Si la puissance affichée est la puissance consommée la décharge durera environ 17 heures, à condition que la capacité affichée de la batterie soit encore effective. On verra bien… A plus. |
Ecrit le: Dimanche 22 Février 2009 à 18h09
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
22 FEVRIER 2009. Bonjour à tous. Test de décharge de la batterie, suite. 3 heures de fonctionnement d’affilée en charge. La tension initiale avant connexion était de 12,71 volts. Elle est tombé à 12,30 volts très vite puis à 12,13 volts 3 heures après. J’ai cherché à réduire la propagation du bruit en placant le circuit magnétique sur des cylinblocs. Le bruit est gênant dans le cas d’un test de longue durée : la forme du signal sonore est agressive. J’ai cherché à savoir ou était la source principale du bruit et pour cela j’ai utilisé un stéthoscope mécanique de ma fabrication. On utilise un klaxon que l’on démonte. On enlève tous ses organes intérieurs et on place sur la membrane vibrante une tige d’acier de 30 cm de long qui servira de capteur mécanique du son. La cavité du klaxon sert de chambre de compression de l’air qu’elle contient et un orifice placé dessus amène l’air compressé à l’oreille à travers un tube en plastique. Muni de cet appareil j’ai repéré le bruit principal qui se trouve au dessus de la barre en I et au dessous de la barre en E. Les bruits latéraux sont minimes. En fait le bruit se trouve dans le sens de l’attraction des deux parties du circuit magnétique. Au niveau de l’échauffement j’ai senti un très léger tiédissement du fer au dessus de la bobine primaire. Tout le reste est froid ou du moins à température ambiante. Pour ne pas créer de confusion de chaleur j’ai déplacé les ampoules de charge en hauteur et à 50 cm de l’appareil. A suivre… |
Ecrit le: Dimanche 22 Février 2009 à 23h29
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Passionné(e) Groupe: Membres Messages: 64 Membre n°: 326 Inscrit le: 22/06/2007 |
L'an passé, je suis allé voir un *bobineur* car javai besoin de fil de cuivre pour un projet et il m'avait dit que lorsque j'allais rouler mes bobines, de mettre une couche de tape électrique sur le noyau pour réduire la vibration des fils et donc, le bruit. Il m'avait aussi dit que c'etait les premieres couches de fils qui vibraient le plus, donc entre chaque couche de fil, il insérait une membrane mince quelconque pour les 2 ou 3 premieres couches de fils, cela diminuait la vibration et le bruit.
Je ne sais pas si cela peut aider pour le bruit... Fred |
Ecrit le: Lundi 23 Février 2009 à 00h13
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonsoir à tous,
bonsoir Fred 2890. On sait jamais pour le bruit. Ce que tu dis est à tester. Le bruit du test est vraiment énervant. J'avais meme pensé à tout tremper dans de l'huile pour amortir les sons mais c'est tout un montage compliqué. Je pense aussi à l'espèce de goudron qu'on met sous les chassis de voiture. Pour le moment j'ai trouvé l'idée d'un casque antibruit de chantier. On continue... A plus. |
Ecrit le: Lundi 23 Février 2009 à 12h33
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous.
A propos du bruit. J’ai fait un test de courte durée ce matin : une demi heure. J’ai mis le casque stéthoscope et j’ai pisté le bruit en charge et à vide. J’ai pisté le bruit purement mécanique du à la magnétostriction et à l’attraction résiduelle entre les tôles en I et les tôles en E. En Effet l’entrefer est en PVC et donc légèrement élastique. Et puis il y a eu un autre bruit sans contact de la tige de stéthoscope avec le circuit magnétique. Vu que la tige de stéthoscope est en acier j’ai pensé que le bruit était du à l’attraction par le circuit magnétique. Cette attraction ne se produit qu’au dessus de la bobine primaire jusqu’à l’entrefer et à condition que la tige soit perpendiculaire au circuit magnétique. Au delà de l’entrefer l’attraction est pratiquement nulle ainsi qu’en dessous de la bobine primaire. Je rappelle que dans mon test la bobine primaire et la bobine secondaire sont des bobines plates. La bobine secondaire est située en dessous de la bobine primaire. A plus… |
Ecrit le: Mercredi 25 Février 2009 à 23h58
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonsoir à tous.
J'en suis à 10 heures de décharge de la batterie. La tension en fonctionnement aux bornes de la batterie est tombée à 11,55 volts et la tension à vide après 10 minutes de déconnexion à 12,05 volts. Il me reste à obtenir 7 heures de décharge en plus si la batterie a été bien chargée et si elle est en bon état. Si la charge dure plus longtemps cela voudra dire que la puissance affichée est apparente. Si la charge dure 17 heures (ou moins) cela voudra dire que la puissance affichée est bien réelle et que donc toute l'énigme se reporte dans la seule bobine primaire au cours de son fonctionnement à vide. J'ai l'impression de voir un train entier passer à travers un miroir et disparaitre. On verra bien. Je prends mon temps car je veux rester auprès du test au cas ou il se passerait quelque chose. A plus... |
Ecrit le: Jeudi 26 Février 2009 à 09h40
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
26 FEVRIER 2009. Un émetteur sans antenne et sans émission. Le rythme de décharge de la batterie de 12 volts et 86 ampères heures que j’utilise pour mon test m’amène à prévoir que la puissance affichée est bien la puissance consommée. L’intensité moyenne de consommation de la bobine primaire est « calée » à 5 ampères. Que le test soit à vide ou en charge, cela n’y change rien bien sur. Si l’observation finale confirme cette tendance je serai bien obligé de constater que mon test MEG est un « trou noir » d’énergie. J’observe la puissance consommée disparaître devant mes yeux. Un petit peu de perte sonore, un minimum de perte ohmique, un tout petit rayonnement radio de 5 mètres : tout cela ne me dit pas ou passe le gros de la puissance consommée. Si le test est un émetteur, ou est l’antenne ? Quelle est la fréquence principale ? Je me rappelle trop de la difficulté de faire « partir l’énergie dans l’antenne » dans mes anciens tests de radio amateur. Quand on parle d’émetteur on suppose une dispersion de l’énergie radiante dans l’espace. Rien ne dit que c’est le cas et l’énergie peut très bien « rester sur place tout en circulant ». Et l’énergie créée par la bobine secondaire ne dépend de la bobine primaire que par la présence d’un flux magnétique à un moment donné et non d’une énergie car cette dernière peut disparaître sans rien créer. J’en reviens donc à ma théorie de « l’énergie dimension » et de sa circulation au moyen de clés d’organisation. Dans mon test à vide l’énergie soutirée à la batterie « revient à sa dimension », hors de la notion d’espace suggérée par un rayonnement éventuel qui n’apparaît pas. Il n’y a pas besoin de savoir ou se situe « rien » en terme d’énergie puisque c’est une dimension et que l’on n’explique pas une dimension par une autre. A plus… |
Ecrit le: Vendredi 27 Février 2009 à 18h14
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
27 FEVRIER 2009. Bonsoir à tous. Je confirme que la décharge de la batterie s’est terminée largement avant la durée de 17 heures. A la 12° heure la tension à vide après cinq minutes de déconnexion était de 11,50 volts. J’ai effectué une recharge lente de la batterie sous 4 ampères pour vérifier si la décharge était bien complète et non « superficielle ». Au bout de 12 heures le pèse acide était toujours à la limite du « rouge » et les 6 éléments étaient de même mesure. Donc clôture de la piste de la batterie. Désormais ma piste est celle de la seule bobine primaire. PISTE AVEC DEUX BOBINES PRIMAIRES J'ai fait un test avec deux bobines primaires plates de 20 spires, identiques et en opposition. Les deux bobines sont branchées en parallèle en prenant soin que le sens de rotation du fil de la première soit l'inverse de celui de la seconde. Comme je me doutais que l'inductance disparaîtrait j'ai mis une charge en série avec les bobines pour éviter un court circuit géant. L'inductance disparaît entièrement et sur l'oscilloscope la ligne de l'intensité est une droite horizontale segmentée. Cela veut dire que l'intensité maximale est immédiate et que donc le champ magnétisant maximal des deux bobines aussi. La question qui se pose ensuite est celle de l’existence de deux champs magnétiques opposés ou bien de l’absence de champ magnétique par ce montage. Pour le savoir il faut connecter ce deux bobines en courant continu non segmenté, en le limitant par une charge qui laisse passer l’intensité désirée dans chaque bobine. Si les bobines se repoussent c’est que leurs champs magnétiques respectifs existent. Pour voir cela il faut utiliser deux bobines plates face à face et pouvant coulisser sur le circuit magnétique. Lors de mon premier test en 2005 j’ai eu affaire au déplacement des bobines primaires par rapport à l’aimant permanent avec le montage Bearden. Avec le montage de deux bobines en opposition le bruit disparaît entièrement : plus une trace. La deuxième bobine plate est simplement posée sur la première et si je la fais bouger de quelques millimètres cela ne change rien à la disparition de l'inductance. L’idée est que la disparition de l’inductance permet d’obtenir le champ magnétisant crête en un instant et avec une tension simplement capable de vaincre la résistance ohmique des bobines. Une fois cet instant passé il faut observer ce qui se passe en déconnectant une seule bobine. L’idée est que le champ restant n’a aucune raison de disparaître puisqu’il reste connecté. Par contre le champ disparaissant le fera selon la vitesse propre de déconnexion de son relais. La disparition de ce champ créera une tension dans sa propre bobine déconnectée mais aussi dans la bobine encore connectée. Après cela je ne sais pas ou on va. Ce qui est sur c’est qu’à la fin du cycle les deux champs magnétiques doivent avoir disparu pour pouvoir être reconnectés ensemble et en opposition. Voilà la nouvelle piste. A plus… |
Ecrit le: Samedi 28 Février 2009 à 09h35
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous, Hello Labo
Super comme idée.. S'il y a vraiment annulation de l'inductance, on peut imaginer des gains potentiels.. Je crois que la première chose à faire est de déterminer combien d'énergie ça coûte de créer deux champs opposés avec le hacheur et sans le hacheur, en refaisant par exemple, le test de décharge de batterie, d'abord avec une bobine, ensuite avec les deux en parallèle, dans les mêmes conditions. A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Samedi 28 Février 2009 à 16h07
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
28 FEVRIER 2009. Bonjour à tous, bonjour Amateur, je vais tester en 2 volts. Précisions sur la piste suivie. La pompe à énergie. Comme je l’ai observé depuis longtemps l’énergie récupérable par la bobine secondaire dépend de la grandeur du champ magnétisant atteint par la bobine primaire à la fin de sa séquence de connexion. Ce champ magnétisant est le produit de l’intensité par le nombre de spires de la bobine primaire. Ainsi tout accroissement de l’intensité crête primaire se manifeste par un accroissement de la tension moyenne observée sur la charge. Si la charge secondaire n’est pas connectée le champ magnétisant disparaît à chaque déconnexion de la bobine primaire. L’énergie consommée pour atteindre ce champ magnétisant « disparaît » alors. Le champ magnétisant apparaît donc comme une « clé d’organisation » et non comme l’énergie en elle même. L’utilisation de deux bobines primaire en opposition de flux permet d’atteindre le même champ magnétisant crête sans le délai d’attente et sans la contre tension due à l’inductance. De ce fait nous obtenons deux champs magnétisants en consommant seulement de la résistance ohmique. La bobine de mon test en 20 spires a une résistance ohmique de 0,012 ohm et pour obtenir l’intensité crête de 14 ampères du test précédent il faut donc une tension de 0,168 volt. La puissance ohmique perdue dans cette bobine sera donc de 2,35 watts. Comme il y a deux bobines en parallèle cela fera en tout 4,70 watts. Si j’utilise des fils supraconducteurs cela fera zéro, pensons y. Comme l’inductance a disparu, l’intensité crête sera atteinte en zéro seconde, soit une énergie consommée de zéro wattheure. En pratique la perte d’énergie consommée sera fonction de la vitesse de connexion du transistor affecté à cette tache. Si je déconnecte les deux bobines primaires en même temps, leurs effets magnétiques vont aussi s’annuler réciproquement et leur décroissance respective ne produira rien. Cela apparaît clairement dans le premier test que j’ai fait dans ce cas. Par contre si la déconnexion est asymétrique l’énergie produite « sera autre que zéro ». Il faut donc en premier une connexion simultanée qui ne dure qu’un très très bref instant. Cela sera suivi par la déconnexion d’une première bobine selon une durée qui dépendra des mêmes paramètres que dans les test précédents. Puis il y aura la déconnexion de la deuxième bobine selon le même processus. Vu que l’énergie ne peut être recueillie que par l’entremise d’une bobine connectée, il faudra disposer d’une troisième bobine réceptrice de l’énergie produite par la décroissance successive des champs magnétiques des deux bobines primaires. Lorsque les deux champs magnétiques auront disparu, ce sera juste le moment de recommencer la connexion simultanée. Voilà donc une précision sur la piste. A plus… |
Ecrit le: Dimanche 01 Mars 2009 à 09h06
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous, Hello Labo
Super, en somme, c'est la loi de Lentz contre elle même, Labo, le roi du KungFu !! Ne faut il pas aussi deux bobines secondaires, car les tensions induites, dans la bobine secondaire, par les déconnexions successives des bobines primaires seront en opposition aussi (car les champs des bobines primaires le sont) et risquent donc de donner soit quelque chose d'alternatif, soit une résultante nulle dans une SEULE bobine secondaire ?? Et il va falloir un sacré système de hacheurs synchronisés pour gérer tout ça, y a du pain sur la planche là !! A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Dimanche 01 Mars 2009 à 09h32
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous,
bonjour Amateur. J'ai pensé à ce que tu dis au sujet de l'utilisation de deux bobines secondaires. A première vue cela devra faire une espèce de tension alternative, en effet. Mais on peut etre surpris par tous ces enchainements. Je pense qu'on verra en avancant dedans. Le seul problème c'est de faire attention aux court circuits en travaillant hors inductance. Avec un quart de seconde de fausse maneuvre : crac un mosfet hs... A plus... |
Ecrit le: Dimanche 01 Mars 2009 à 16h03
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous et Labo
As tu une troisième bobine (servant de secondaire) pour faire le même essai que tu as fait, mais avec la bobine secondaire en charge, pour voir si on a toujours l'installation instantannée des champs opposés avec le hacheur, ou si on a autre chose qu'une droite segmentée ?? Merci A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Dimanche 01 Mars 2009 à 19h13
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonsoir à tous,
bonsoir Amateur. Dans mon dernier test j'ai rajouté une troisième bobine aux deux déjà existantes. La bobine secondaire était située sous la bobine primaire et j'ai placé la troisième bobine sur la bobine primaire. La bobine secondaire fait donc 28 spires, la bobine primaire d'origine fait 20 spires et la deuxième bobine primaire fait aussi 20 spires. Dans ce dernier test je cherchais à savoir si l'inductance de la bobine primaire disparaitrait et pas plus. Donc j'ai branché les deux bobines primaires en parallèle et en opposition de flux sans modifier la commande du mosfet. De ce fait aucune tension n'apparaissait aux bornes de la bobine secondaire de 28 spires car la déconnexion des bobines primaires est simultanée et les champs variants opposés s'annulent. Je confirme donc que la troisième bobine en charge ne produit aucune énergie en utilisant la meme commande d'alimentation qu'avant. La troisième bobine en charge n'a, de plus, aucune action sur l'intensité primaire. Il faut donc modifier la commande d’alimentation des bobines primaires : Cahier des charges de l’alimentation du test à deux bobines primaires A et B. Il y a 3 actions par période. Il faut deux relais statiques : un par bobine primaire. La première action consiste en la connexion simultanée des deux bobines primaires A et B. La deuxième action est immédiatement engagée après la première et consiste en la coupure de la bobine A. La troisième action consiste en la coupure de la bobine B après un délai égal à celui de la décroissance du champ magnétique dans le test précédent : par exemple 5 millisecondes. Après un délai identique supplémentaire de 5 millisecondes le deuxième champ magnétique a disparu et la période est close. La première action peut recommencer. Après la deuxième action la bobine B reste connectée et consomme de la puissance ohmique. Cela confirme que cette perte ohmique doit être minimale et alimentée par la tension la plus faible qui soit. Après la deuxième action la bobine B est le siège d’une tension issue de la décroissance du champ de la bobine A. Cette tension est de même sens que l’alimentation des bobines et peut donc recharger la batterie d’alimentation. Après la troisième action aucun courant ne traverse plus les bobines primaires. La troisième bobine est la bobine secondaire. Elle est chargée de collecter l’énergie créée par la décroissance successive des deux champs magnétiques créés par les bobines primaires. Les tensions issues des deux phases de décroissance des champs magnétiques sont inverses et successives. Sur une charge thermique cela ne pose pas de problème mais dans un autre usage il faudra utiliser une quatrième bobine qui sera la deuxième bobine secondaire. La deuxième bobine secondaire sera bobinée à l’envers de la première. Chaque bobine secondaire alimentera la charge à travers une diode pour que la tension de l’une ne crée pas un courant dans l’autre. A voir... |
Ecrit le: Jeudi 05 Mars 2009 à 11h51
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
5 MARS 2009. Bonjour à tous. Des précisions et des options sur la piste du test à deux bobines primaires. Lorsqu’on connecte deux bobines identiques en parallèle et en opposition de flux, l’inductance disparaît. Ainsi l’intensité maximale qui parcourt ces bobines est atteinte de façon instantanée. Il en résulte que l’énergie nécessaire à cela est uniquement due à la perte ohmique. A l’instant précis ou la déconnexion de la première bobine commence il y a deux possibilités : Ou bien chacune des deux bobines n’ont produit aucun champ magnétique ou bien chacune d’ elles en ont produit un, opposé à l’autre. Si il n’y a aucun champ magnétique produit, la déconnexion de la première bobine ne produira aucune tension dans la seconde car la tension induite ne provient que d’un champ variant : pas de diminution d’un champ = pas de tension induite. Par contre la deuxième bobine se retrouvera seule avec une intensité qui la parcourt effectivement à cet instant ou la première bobine est déconnectée. La conséquence est qu’un champ magnétique sera installé effectivement sans délai du à l’inductance qui retarde l’établissement de la pleine intensité puisqu’elle est déjà là. Il suffira alors de déconnecter la deuxième bobine primaire pour récupérer l’énergie de la décroissance de son champ magnétique à l’aide d’une troisième bobine qui sera la bobine secondaire. Si les deux bobines primaires produisent chacune un champ magnétique opposé, la déconnexion de la première bobine produira une tension due à la décroissance de son champ magnétique. Cette tension sera produite dans les deux bobines mais une seule sera alors connectée : la seconde. Ce n’est que dans celle ci qu’un courant pourra s’établir. Dans le test avec une seule bobine primaire, lors de sa déconnexion il y a création d’une tension induite dans cette bobine primaire. Cette tension est telle qu’elle créerait une continuité de la consommation mais la déconnexion l’empêche. Par contre dans le test à deux bobines primaires en opposition, la deuxième bobine sera le siège d’une tension s’opposant à la consommation car le sens de ses spires est inverse à celui de la première bobine primaire. Cette tension d’opposition à la consommation se traduira par une recharge de la batterie jusqu’à ce que la vitesse de décroissance du champ magnétique de la première bobine primaire ralentisse et que la tension induite devienne égale puis inférieure à la tension d’alimentation. A l’instant précis ou ces tensions seront égales il serait même possible de reconnecter les deux bobines primaires car il y aurait zéro intensité partout. On pourrait donc utiliser un seul relais statique pour contrôler cela. Il n’y aurait donc pas besoin de troisième bobine secondaire pour capter l’énergie : elle serait captée par effet « rebond ». Pour le moment tout cela n’est qu’une série de pistes à vérifier. Je vous livre mes pensées en vrac et elles se modifieront surement au fur et à mesure des tests. A plus… |
Ecrit le: Jeudi 05 Mars 2009 à 18h59
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
5 MARS 2009.B Bonsoir à tous. Alimentation par deux bobines opposées, suite. Alimentation asymétrique des deux bobines. Le test se compose des deux bobines primaires connectées en parallèle et reliées en série à une charge puis à la batterie. La charge est une ampoule de 12 volts 100 watts. La fréquence de connexion est 150 hertz. Il y a égalité entre les phases de connexion et de déconnexion. Je me posais la question de savoir jusqu’ou se faisait l’annulation complète de l’inductance. Est ce qu’une différence d’intensité passant dans les deux bobines pouvait contrarier l’annulation de l’inductance ? J’ai donc inséré plusieurs résistances ohmiques en série avec une seule des bobines. Les valeurs sont : 1,8 ohms, 8 ohms et 18 ohms. A tout hasard j’ai commencé par insérer une bobine de fil de cuivre en 4 millimètre carré comprenant 9 spires de même diamètre que la bobine primaire. Cela revient environ à doubler la résistance ohmique d’une bobine de 20 spires en 10 millimètres carré. Le résultat n’est pas visible à l’oscilloscope par rapport à une connexion directe des deux bobines. On ne perçoit aucun bruit de fonctionnement. Quand les deux bobines sont alimentées directement en parallèle l’intensité atteinte dans le test est immédiatement de 8,4 ampères. Il n’y a aucun bruit de fonctionnement. Cette légère surintensité est due au fait que la lampe de 100 watts n’atteint pas sa température maximale et que donc sa résistance ohmique est inférieure à celle qui est définie comme nominale. J’insère une résistance de 1,8 ohms en série avec une des bobines. L’intensité s’établit de façon instantanée jusqu’à 7 ampères puis grandit linéairement jusqu’à 8,4 ampères en fin de séquence de connexion. On entend un tout petit bruit de fonctionnement. J’insère une résistance de 8 ohms en série avec une des bobines. L’intensité s’établit de façon instantanée jusqu’à 4,2 ampères puis grandit jusqu’à 8,4 ampères selon une courbe en arc de cercle. Le bruit de fonctionnement est un peu plus fort. J’insère une résistance de 18 ohms en série avec une des bobines. L’intensité s’établit de façon instantanée jusqu’à 3 ampères puis grandit d’abord de façon rapide puis plus lente jusqu’à 8,4 ampères. Le bruit de fonctionnement est très net. A plus… |
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