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Ecrit le: Jeudi 05 Mars 2009 à 21h08
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous, Hello Labo
Passionant et curieux qu'on remonte à 8,4A malgré la mise en série de résistances .. et si on met une résistance identique en série avec les deux bobines en même temps.. On doit avoir instantannément 3, 4,2 ou 7 A, ou 8,4A tout de suite ? A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Jeudi 05 Mars 2009 à 23h19
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonsoir à tous,
bonsoir Amateur. Si on met une résistance en série identique sur les deux bobines on aura une intensité immédiate dont la valeur sera affaiblie par ces résistances. Dans le cas de la seule résistance sur une des deux bobines primaires on a un des deux circuit qui est bien moins résistant et après le délai du à l'inductance résiduelle l'intensité se définit pratiquement par rapport à celui là. S'il y a égalité des résistances il y a action instantanée. Si il y a différence de résistance, un délai d'établissement de l'intensité se crée en proportion du taux de différence des résistances. A plus... |
Ecrit le: Vendredi 06 Mars 2009 à 13h00
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
6 MARS 2009. Bonjour à tous. Quelque chose m’échappe. Il y a un problème sur l'alimentation asymétrique des deux bobines primaires car il y a des trucs qui "ne collent pas". Lorsque je mets une résistance ohmique de 1,8 ohms en série sur une seule des bobines primaires je crée une asymétrie de passage du courant. Ce problème je l'ai bien connu dans mon ancien travail pour gérer la sortie d'un alternateur triphasé de 1200 KVA en 380 volts. On sortait les centaines d'ampères par des faisceaux de câbles branchés en parallèle et il fallait régler leurs longueurs respectives au millimètre pour faire une bonne répartition des intensités sinon on avait des câbles froids et d'autres bouillants. Dans le test que j'ai fait hier, la voie de la première bobine comporte donc une résistance propre de 1,8 + 0,012 ohms et la voie de la seconde bobine seulement 0,012 ohm. La proportion est de 1 à 150. Cela voudrait dire que lorsque l'intensité qui passe dans la deuxième bobine est de 5 ampères, celle qui passe dans la première n'est que de 0,033 ampère. Donc la proportion des champs magnétisants serait aussi de 1 à 150 et enfin l'annulation de l'inductance devrait être quasi nulle. Or dans ce cas l'intensité instantanée est de 83% de la valeur finale. A plus… |
Ecrit le: Vendredi 06 Mars 2009 à 15h53
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous, Hello Labo
L'inconnue n'est pas si inconnue que cela Labo. Tu as oublié ton ampoule de 100 watts (environ 1,44 ohms) que tu as mis en série avec l'ensemble pour protéger ce même ensemble. En réalité, tu as un rapport de: 1,8 / (0,012 + 1,44) = 1,24 (donc 24% de moins d'intensité environ avec la résistance de 1,8 ohms, car la résistance de l'ampoule peut varier avec la température) au lieu de 1,8/0,012 =150 Peut être que je me gourre , mais je ne crois pas A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Vendredi 06 Mars 2009 à 17h21
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Rebonjour à tous.
Amateur, tu m'as donné à réfléchir. Je précise donc : les deux bobines sont branchées en parallèle. Sur une des branches du circuit parallèle se trouve une résistance en série de 1,8 ohms. Cela veut dire que la résistance globale est : 1/R = 1/R1 + 1/R2. Dans ce cas cela donne : 1/R = 0,5555 + 83,3333 = 83,8888. Donc R = 0,01192 ohm, si R1 = 1,8 ohms et R2 = 0,012 ohm. Ensuite on décide que l'intensité commune qui parcourt ces deux bobines est de 5 ampères. La tension aux bornes de ce groupement de résistances ohmiques sera donc de 0,0596 volt en considèrant les bobines comme des simples résistances ohmiques. L'intensité par branche sera donc : i = u/r et donc 0,0331 ampère pour R1 et 4,9666 ampères pour R2 soit un rapport de 1 à 150. J'ai oublié d'ajouter la résistance de la bobine sur le circuit de R1 mais ca ne change pas grand chose. Donc si l'on s'en tient au rapport des intensités que les résistance ohmiques laisseraient passer on ne peut pas obtenir une intensité instantanée à la connexion de 83% de l'intensité en fin de séquence de connexion car il n'y aurait presque pas de force d'opposition entre les bobines. Il y a donc une correction par quelque chose : peut etre par l'inductance résiduelle qui est donc "portée" par la bobine sans résistance supplémentaire. Là ca commence à fumer... A plus... |
Ecrit le: Vendredi 06 Mars 2009 à 19h27
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Labo
Ce raisonnement est il pour un régime permanent à courant continu stable ou transitoire à créneaux de tension à 150 hz ? En régime transitoire, ne faut il pas tenir compte des inductances, selon l'expression i(t) = E/R ( 1- exp(-Rt/L) ? R étant la résistance équivalente totale du circuit (ampoule comprise) L l'inductance équivalente totale du circuit (deux inductances en parallele) E la tension de la batterie = 12V t le temps qui passe Pour en revenir aux hacheurs. Je me rends compte qu'il est préférable d'avoir des transistors pas trop rapides, car ils occasionnent des surtensions trop élevés. Je viens de cramer une diode ultrarapide en faisant le test de delestage de la surtension de deconnexion (heureusement, j'en ai une vingtaine ) Ton relais statique Crydom est plus adapté pour ce genre de test MEG que les transistors MOSFET, trop rapides et qui entrainent de trop fortes surtensions.. Je vais chercher des transistors de commutation ayant une vitesse de quelques microsecondes au lieu de quelques nansecondes et avec une très faible résistance interne .. Assez rare, je pense .. Prends soin de ton crydom A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Samedi 07 Mars 2009 à 16h26
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
7 MARS 2009. Bonjour à tous, bonjour Amateur. Je vais rechercher les références du mosfet dans le relais Crydom de mon test. Quand j'ai "autopsié" un des relais grillé je l'ai noté. Test à deux bobines primaires, suite. J’ai connecté les deux bobines primaires en opposition et en prenant soin que les extrémités des deux bobines soient de même longueur de circuit. J’ai ensuite tenté de lever la partie en « I » du circuit magnétique. Cette partie est simplement posée sur la partie en « E ». Dans le test avec une seule bobine primaire, la tentative de levage de la partie en « I » provoque un fort bruit, une surintensité immédiate et nécessite une grande force. Avec le test à deux bobines en opposition je pensais qu’il n’y aurait aucune attraction entre les groupes de tôles si les champs magnétiques avaient « disparu ». Je constate qu’il y a une attraction, beaucoup plus faible mais très nette. L’attraction est le signe évident de la présence de flux magnétique. En levant et en reposant les tôles en « I » j’ai bien observé l’oscilloscope branché en ampèremètre et je n’ai pas vu la moindre modification d’une ligne d’intensité parfaitement horizontale. Dès que les bobines sont déconnectées la force nécessaire pour lever les tôles en « I » est celle due à leur seul poids. Les tôles sont au silicium et ne possèdent pas de rémanence qui pourrait induire en erreur. J’en conclus que la connexion des bobines en opposition parfaite ne fait pas disparaître le ou les champs magnétiques mais fait disparaître absolument leur inductance. Reste à savoir comment se comportent les lignes de forces aux alentours des bobines. J’ai commencé à le chercher avec une boussole mais c’est assez confus pour le moment. Les deux bobines sont parfaitement identiques et posées l’une sur l’autre avec une cale d’un millimètre d’épaisseur en caoutchouc entre elles. A plus… |
Ecrit le: Dimanche 08 Mars 2009 à 19h44
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
8 MARS 2009. Bonsoir à tous. Test avec deux bobines primaires, suite. J’ai fait un test avec une des deux bobines primaires connectée directement sur l’alimentation, sans passer par le relais statique. La deuxième bobine primaire passe, elle, par le relais statique. Ainsi on a une succession de séquences ou une seule puis deux bobines puis une, puis deux, etc… sont connectées. L’observation la plus étrange est que l’intensité est quasi linéaire, sans interruption et à un niveau dépendant uniquement de la résistance ohmique du circuit. Lorsque les deux bobines sont connectées ensemble l’intensité est exactement rectiligne. Lorsque la première bobine est déconnectée par le relais statique, l’intensité de la seconde baisse de 0,3 ampère pendant moins d’une milliseconde puis s’aligne exactement sur l’intensité de la double connexion. Cette intensité est alors de 6,5 ampères. Cette intensité inférieure aux tests précédents est due au fait que l’ampoule de charge reste allumée en permanence et que donc sa température moyenne monte nettement, augmentant sa résistance ohmique. Le plus extraordinaire est que lorsque la deuxième bobine est connectée toute seule son champ magnétique n’est plus annulé par celui de la première bobine et que pour y arriver on n’est pas passé par l’étape de l’inductance. A plus… |
Ecrit le: Dimanche 08 Mars 2009 à 21h32
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous, Hello Labo
Et le fin du fin est de remplacer le champ magnétique de la bobine constamment alimentée, par le champ d'un aimant permanent et de regarder le résultat sur l'intensité de la bobine alimentée au travers du relais statique. A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mardi 10 Mars 2009 à 16h30
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
10 MARS 2009. Bonjour à tous, bonjour Amateur. Le problème avec l'aimant permanent c'est sa réluctance énorme qui ne permet pas d'utiliser un circuit magnétique entièrement commun. Il faut utiliser le circuit magnétique double avec l'aimant au noyau central et la bobine sur une des branches périphériques. Dans mes tests précédents j'avais fait un tel montage mais je n'étais pas sur que le champ magnétisant de la bobine primaire soit l'exacte réplique de celui qui passait dans la meme branche en provenance de l'aimant permanent. Donc c'est bien un test restant à faire : encore une zone obscure... Les test MEG sont dans une "cité perdue" de la physique. J’ai l’impression de me promener dans un territoire abandonné... Test avec deux bobines primaires identiques et opposées, suite. Lorsque les deux bobines sont connectées ensemble en parallèle, leur alimentation va débuter Chacune au même moment. Dans ces conditions il est évident que la croissance du champ magnétique de l’une s’opposera symétriquement à la croissance du champ magnétique de l’autre. Le résultat est « une absence apparente » de champ magnétique, bien que l’observation signale une attraction subsistante au niveau des éléments du circuit magnétique. Le résultat le plus important est que la valeur maximale choisie de l’intensité dans les bobines est obtenue sans aucun délai et donc sans aucune dépense théorique d’énergie autre qu’ohmique. Il m’a pris la fantaisie de déconnecter une des bobines au cours du test et de la reconnecter sans me soucier du passage de l’intensité ou non dans l’autre bobine. Rien ne change. Après de nombreuses récidives je constate que l’annulation de l’inductance est indifférente à la synchronisation de connexion des deux bobines. Du moment que les deux bobines sont connectées cela suffit pour obtenir une ligne horizontale d’intensité sur l’oscilloscope. Il suffit que les deux bobines soient strictement identiques. Autre chose : Je fais un test en maintenant une des deux bobines primaires branchée en permanence sur la batterie. L’autre bobine est contrôlée par le relais statique. Je constate le même phénomène. L’annulation de l’inductance est indifférente à la synchronisation de la connexion des bobines. Dans ce cas le phénomène est encore plus net car lors de la connexion de la bobine commandée par le relais statique il y a un champ magnétique déjà établi et un autre qui n’existe pas : ils ne croissent donc pas ensemble mais l’effet d’annulation d'inductance se produit. Ce qui est curieux aussi c’est que l’intensité se répartit de façon égale entre les deux bobines quand elles sont connectées ensemble et qu’ensuite toute l’intensité se retrouve sur une seule bobine sans que cela ne fasse de « vagues ». Ainsi le champ magnétisant restant sur la bobine connectée double sans appel de courant supplémentaire depuis la batterie. J’ai aussi vérifié l’existence « réelle » du champ magnétique restant : l’attraction entre les tôles en « E » et les tôles en « I » est très nette dans ce test. A plus… |
Ecrit le: Mardi 10 Mars 2009 à 19h04
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous, Hello Labo
Extras comme essais !! Je suis entrain de dessiner un autre schema de commande des hacheurs, que le compteur sequentiel .. En fait, je fais des pwm ou mli (modulation de la largeur d'impulsion) doubles et synchronisés, plus souples que le compteur séquentiel avec pas et configuration figée .. On pourra régler d'une manière continue les temps de connexion de chaque bobine séparément et selon la fréquence et la séquence qu'on veut.. Une question qui en vaut deux, pour que je prenne la bonne direction avec les hacheurs Quand les deux bobines sont connectées et qu'on les deconnecte l'une après l'autre (disons avec un intervalle d'une seconde), une surtension apparait elle sur l'une puis sur l'autre à leur déconnexion respective pour récupérer leur énergie ou bien faut il s'orienter vers un hacheur flip flop qui alimente et coupe alternativement chaque bobine en espérant qu'il y ait une variation de flux monstre dans le circuit magnétique ?? A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mardi 10 Mars 2009 à 23h54
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Re bonsoir à tous,
Re bonsoir Amateur. On commence par connecter les deux bobines ensemble. Puis, immédiatement après, on déconnecte la première bobine et là il n’y a aucune surtension identifiable. C’est le plus fou. S’il y avait une surtension à la première bobine déconnectée il y aurait une grosse modification de l’intensité qui circule dans la bobine restant connectée. Or on n’observe qu’une minuscule diminution d’intensité sur un très bref instant. Le test que j’ai fait comporte un seul relais statique et je ne pouvais que mesurer deux bobines puis une seule connectée. Par contre je suis sur que lors de la déconnexion de la seule bobine restante il va y avoir une surtension identique à celle du test avec une seule bobine primaire. Mais pour le confirmer il faut la commande à deux relais. Il ne faut pas la commande flip flop car le secret de la pompe à énergie c’est de commencer la période par l’annulation des champs de deux bobines. Le plus surprenant c’est que la déconnexion d’une des bobines ne « remette pas les compteurs à zéro » : c’est un fait observé. La ligne horizontale de l’intensité visible à l’oscilloscope parle toute seule. L’absence totale de bruit pendant ce genre de séquence aussi. Le test est simple : utiliser deux bobines identiques et de sens de bobinage inverse, connecter l’une d’elles directement sur le pole + de la batterie et l’autre en passant par le relais statique. Pour éviter le court circuit géant prévisible, mettre une charge entre le point commun de connexion des deux bobines et le pole – de la batterie (ou inversement selon le montage). Entre le pole + et le contacteur général de mise en marche insérer une faible résistance ohmique pour prélever une tension qui indiquera l’intensité à l’oscilloscope. On verra donc apparaître une belle ligne droite horizontale, quelle que soit la fréquence de connexion. Une ligne droite cela veut dire que l’on obtient un champ magnétisant utilisable pour produire de l’énergie par sa décroissance et que cela est obtenu sans inductance donc Avec une seule perte ohmique qu’il suffira de maîtriser par l’abaissement de la tension d’alimentation et la durée de connexion. Et hop… |
Ecrit le: Mercredi 11 Mars 2009 à 08h29
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous et Labo
Merci pour les précisions, donc je continue sur le hacheur double pwm (pulse widh modulation, modulation de la largeur d'impulsion).. L'essentiel dans ce test, est d'obtenir une variation de flux à bas coût énergétique pour en récupérer une énergie plus grande (comme dans toute machine surunitaire).. Le fait qu'il n'y ait pas de surtension à la déconnexion de la première bobine ne m'étonne pas, puisqu'on a supprimé les inductances avec les bobines aux champs opposées. L=0 donc -Ldi/dt =0, par contre la déconnexion de la deuxième bobine va certainement en créer une.. Ne faut il pas l'éviter ? C'est jamais bon les surtensions pour les composants électroniques.. Ne vaudrait il pas mieux deconnecter et reconnecter alternativement les bobines avec un petit temps de chevauchement pendant lequel les deux seraient connectées simultannément, le tout pour faire varier le flux sans jamais avoir de surtension, mais des variations du sens du champ dans le fer ?? Bon je vais répliquer l'essai chez moi.. dès que j'ai planté mes arbres, car la sève monte A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mercredi 11 Mars 2009 à 09h14
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous,
Bonjour Amateur. C’est la surtension qui est l’amorce permettant la production d’énergie sur la bobine secondaire. Sans surtension pas de courant secondaire issu de la décroissance du champ magnétique de la bobine primaire. Je sais bien que la surtension cause des problèmes sur les transistors et c’est pour cela qu’il faut utiliser des bobines à peu de spires pour ne pas trop multiplier cette tension crête. En travaillant avec une bobine primaire de 20 spires maximum on peut « gérer » une tension crête pas trop élevée. Ce moyen de profiter de la décroissance du champ magnétique de la bobine primaire a fonctionné depuis le début de mes tests. Dans mon test de vérification de la décharge de la batterie le relais statique a fonctionné plusieurs heures d’affilée sur ce principe sans problème. A plus... |
Ecrit le: Samedi 14 Mars 2009 à 17h47
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
14 MARS 2009. Bonjour à tous. Test sous 1,20 volts. Ayant eu beaucoup de difficultés à trouver un élément de batterie au plomb de 2 volts j’ai fait un test avec une batterie de piles rechargeables connectées en parallèle. J’ai utilisé 10 piles rondes de type R20 dont la capacité est donnée pour 4 Ah. Donc je me retrouve avec une batterie de 1,2 volts et 40 Ah théoriques. La résistance interne doit être divisée par le nombre de piles. Pour les assembler je les ai pris en sandwich entre deux plaquettes de bois et j’ai fait courir un fil dénudé de chaque coté des pôles, le tout tenu en pression par du chatterton à chaque pile. Les piles sont supposées bien chargées et leur tension est de 1,29 volts à vide et avant le test. Je substitue cette batterie de 1,2 volts à la batterie de 12 volts et je connecte le test avec une seule bobine primaire. La tension au niveau de la batterie tombe à 1,28 volts, ensuite au niveau de la sortie de la résistance de mesure d’intensité à 1,16 volts et enfin au niveau de l’entrée du relais statique à 1,14 volts. L’intensité est illisible, presque nulle. Ensuite je connecte le test avec les deux bobines primaires en parallèle et en opposition avec la résistance de mesure d’intensité. L’intensité moyenne affichée à l’ampèremètre à aiguille marque 2,5 ampères et l’oscilloscope marque 6 ampères en régime « plat » pendant la durée de la connexion, soit un temps sur deux. Ensuite je fais un test avec deux bobines primaires opposées et sans la résistance de mesure de l’intensité. Je ne pourrais lire que l’intensité moyenne à l’aiguille : elle est de 6,5 ampères. A cette intensité la tension aux bornes de la batterie est de 1,19 volts et de 1,06 volts à l’entrée du relais statique. L’intensité moyenne de 6,5 ampères signifie que 13 ampères passent par les bobines primaires pendant la phase de connexion. Dès que les deux bobines primaires sont connectées le signal d’intensité est rectangulaire comme dans le test en 12 volts. Cela signifie que l’on obtient immédiatement le champ magnétisant voulu avec très peu de puissance. A plus… |
Ecrit le: Samedi 14 Mars 2009 à 22h16
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous, Hello Labo
Bravo pour ces essais.. On consomme donc en gros 13 à 15 watts crête pour installer le champ magnétisant au lieu des 12V x 13A = 156 watts crête avec une bobine et une tension de 12V. Reste à déterminer la manière de récupérer l'énergie .. Je vois deux manières: 1ere: deconnexion d'une bobine, puis de l'autre avec création d'une surtension et exploitation de cette surtension avec une troisième bobine ou autre dispositif de récupération (diodes et condensateurs) 2ieme: Alterner les connexions et déconnexions de chaque bobine, en prenant soin que la bobine opposée soit toujours connectée au moment ou on déconnecte l'autre .. C'est à dire qu'il ne doit jamais y avoir zéro bobine déconnectée, et il doit toujours y avoir une ou deux bobines connectées .. Ainsi on garde, en permanence, l'effet de suppression de l'inductance et on fait varier intensivement le champ magnétique dans le fer, car les deux bobines créant des champs opposés l'un à l'autre, le champ résultant va basculer d'un sens dans le sens opposé (180° ou demi tour), selon que c'est l'une ou l'autre bobine qui est alimentée et le crée .. Energie récupérable dans une troisième bobine. Je préfère de loin la deuxième solution si je ne me trompe pas dans mon raisonnement .. Et il existe peut être d'autres manières ?? A plus Amateur prudent... -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Samedi 14 Mars 2009 à 23h02
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonsoir à tous,
bonsoir Amateur. Je pense que l'annulation de l'inductance est pleine de possibilités. Je pense que la voie est ouverte et que la piste continue par là. Ca a l'air d'un territoire vierge. A suivre... |
Ecrit le: Dimanche 15 Mars 2009 à 09h37
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous.
J’ai débuté sur ce forum en décembre 2005. Depuis on aura vu approcher puis arriver le pic de Hubbert. On aura vu s’affirmer la catastrophe climatique et enfin on aura assisté à l’explosion en vol du libéralisme économique. On peut dire que tout cela va vite… Et maintenant ? Nous avons le choix de l’embarras comme disait Coluche : trois crises à la fois. L’obligation de réduire l’empreinte écologique empêche la « reprise économique » par l’accroissement du volume d’échange des marchandises (alias la croissance). La planète nous impose d’abandonner le mythe de Sisyphe et de ne plus « nous donner les moyens croissants de faire croire qu’on arrive au but avec l’intention cachée de ne jamais y arriver ». Il ne reste plus qu’à trouver un autre plan d’organisation : vaste programme… |
Ecrit le: Dimanche 15 Mars 2009 à 16h48
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous, Hello Labo
Cet autre plan d'organistation, ne passe t'il pas par une régulation de la population mondiale ? La planète est elle en mesure de subvenir aux besoins fondamentaux de 10 milliards d'humains avec une qualité de confort décente ? Les loups eux mêmes, ne régulent ils pas leur population, en fonction des richesses que met à leur disposition d'année en année, la nature ? L'épuisement des richesses du sous sol, va nous pousser au recyclage et vers du matériel durable et non de la camelotte jetable.. L'humain est il fait pour vivre sur une planète, vu qu'il la saccage ou est il plutôt fait pour vivre dans de grands vaisseaux spatiaux munis de synthétiseurs de matière, à partir de l'espace temps (les équations de Minkowski, un pote d' Albert Einstein, prouvent que la matière n'est que de l'espace temps chiffoné) http://www.europhilosophie.eu/recherche/IM.../during_tp2.pdf A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Lundi 16 Mars 2009 à 08h56
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous.
Le test en 1,2 volts nécessite une alimentation particulière. Pour recharger les 10 piles groupées en parallèle j'ai fabriqué un chargeur spécial à partir d'un transformateur toroidal. Il est facile de bobiner quelques spires supplémentaires sur un tel transfo. J'ai donc utilisé un pont de diodes connecté sur la batterie de piles rechargeables et j'ai bobiné 1 puis 2 puis 3 puis 4 spires autour du transfo. Je me suis arreté au moment ou l'intensité de charge me suffisait. Un petit pas de plus. A plus... |
Ecrit le: Lundi 16 Mars 2009 à 14h20
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous et Labo
Les 40AH de batteries 1,2V s'évaporent aussi vite que ça dans le test ?? ça devrait tenir au moins une dizaine d'heures avec une consommation de 3A moyen non ? Je dessine le circuit imprimé du hacheur à salves synchronisées .. Pas mal le logiciel TCI3 pour faire ce boulot Amateur inquiet là -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Lundi 16 Mars 2009 à 15h48
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Re bonjour.
Bonjour Amateur. Je n'ai pas déchargé les piles en un instant. J'ai simplement cherché le chargeur avec la plus faible tension à vide pour minimiser la dépense inutile. Les piles doivent surement durer comme tu dis. La question que je me posais était aussi celle de l'intensité de recharge. Je ne crois pas me perdre de trop en restant à 100 milliampère par pile environ. A plus... |
Ecrit le: Mercredi 18 Mars 2009 à 09h27
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
18 MARS 2009. Bonjour à tous. Test en 1,2 volts, avec deux bobines primaires dont l’une des deux est connectée en permanence. L’autre est contrôlée par le relais statique et le générateur de signal carré. Le courant global passe à travers la résistance de contrôle de l’intensité. Le résultat principal est une intensité continue de 6 ampères. L’intensité lisible à l’oscilloscope est la même qu’à l’ampèremètre à aiguille. En effet la ligne d’intensité visible à l’oscilloscope est une droite horizontale sans interruption. La seule particularité est un tout petit décrochement entre les deux séquences d’une valeur de 0,2 ampère. Mais aucune pente laissant entrevoir une quelconque inductance. Comme dans le même test en 12 volts, l’intensité se répartit en deux pendant la phase de connexion simultanée des bobines puis se transfère sur une seule bobine lorsque celle ci est la seule à être connectée. Ce transfert d’intensité s’effectue de façon instantanée. Le test a été tenté jusqu’à la fréquence de 500 hertz, soit une milliseconde par phase. A cette fréquence aucune inductance n’est apparue et l’intensité est restée exactement à 6 ampères de façon linéaire. Cette intensité de 6 ampères a été atteinte malgré la présence de la résistance de mesure de l’intensité par l’oscilloscope. Sans cela l’intensité dépasserait cette valeur en fonction de la résistance interne de la batterie. Sans doute elle atteindrait environ 13 ampères comme dans le test avec les deux bobines primaires opposées connectées en même temps. Je vais construire une résistance de mesure d’intensité de valeur minimale. Elle sera réduite en fonction de l’amplification maximale possible de l’oscilloscope. Dans ce test la bobine secondaire ne produit aucune tension, preuve de l’absence de champ variant et donc d’inductance. De ce fait la charge secondaire n’a aucune influence sur l’intensité primaire. Le champ magnétisant obtenu en fin de séquence de connexion d’une seule bobine est de 120 ampères tours. Il aura fallu 2 millisecondes pour y parvenir, soit une énergie de 0,012 joule sous une tension effective aux bornes des bobines de 1 volt. Ce champ magnétisant obtenu est « réel » et il se manifeste par une attraction des deux parties du circuit magnétique si on veut les séparer. Ce même champ magnétisant de 120 ampères tours aurait nécessité 0,046 joule avec une seule bobine primaire connectée seulement. En effet l’inductance aurait nécessité une tension de 5,15 volts pendant 3 millisecondes pour atteindre l’intensité crête de 6 ampères. Il y aurait eu une intensité consommée moyenne de 3 ampères Ou bien la tension de 12 volts pendant 1,29 milliseconde aurait produit l’intensité crête de 6 ampères et de 3 ampères de moyenne Le rapport d’énergie dépensée est égal à 3,8 entre les deux procédés. Ca se présente bien pour le moment. A plus… |
Ecrit le: Mercredi 18 Mars 2009 à 13h40
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous, Hello Labo
Merci de nous tenir au courant .. Le graal n'est pas loin !! Le typon pour le hacheur à salves synchronisées est dessiné: Je me suis basé sur le cahier des charges impulsions que tu m'as envoyé. 1) connexion des deux bobines simultannément 2) deconnexion d'une bobine 3) deconnexion de la deuxieme bobine et on reprend en 1) Est ce toujours d'actualité ?? J'attends une imprimante laser pour passer à sa réalisation sur circuit imprimé. Les résistances de 0,022 ohm que je t'ai envoyées avec le premier hacheur, ne peuvent elles pas servir de résistance de mesure? Elles font chacune 7watts, donc peuvent encaisser 17A. Tu peux les mettre en série ou parallele.. A plus Amateur qui vient de planter les dahlias !! (keskifopafère dans cette vie !!) -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mercredi 18 Mars 2009 à 16h46
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Re bonjour à tous,
rebonjour Amateur. Super photo, super travail. Bien sur que c'est d'actualité ce plan. J'ai fait un test avec une résistance de mesure d'intensité plus faible. Sur ma résistance bobinée j’utilisais 4 spires. J’ai débranché une longueur identique à 4 spires et j’ai branché un domino sur une extrémité du fil résistant ainsi obtenu. Puis j’ai baladé un domino le long du fil résistant jusqu’au moment ou je n’avais plus de pertinence de mesure sur l’oscilloscope pour une intensité crête de 20 ampères. Au delà de cette intensité je ne pense pas faire de test dans l’immédiat. J’ai donc récupéré 30% de résistance en moins sur les circuits de tests. Pour dépasser ces problèmes il faut du matériel dont le prix relève de ceux qui ne nous aideront jamais. Cela n’empêche pas d’avancer : avec « l’article 22 »… Pour stabiliser la mesure d’intensité il faut que la température du fil résistant ne varie pas trop. J’ai trempé le fil dans l’huile de moteur de voiture. Le réceptacle de l’huile est un cendrier large en céramique : isolant et avec une grande surface de dissipation thermique à l’air. Avec la nouvelle résistance de mesure j’ai obtenu un courant de 8,3 ampères sous 0,28 volts aux bornes des bobines primaires. La chute de tension est de 0,86 volt dans la résistance de mesure d’intensité pour ce courant de 8,3 ampères. A plus… |
Ecrit le: Samedi 21 Mars 2009 à 19h26
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous.
Il faut aller jeter un coup d’œil à l’article effrayant de George Monbiot : ici http://contreinfo.info/article.php3?id_article=2598 Si nous arrivons à la clé de l’énergie de l’espace nous pourrons donc inverser cette fatalité en capturant le carbone dans l’air. C’est une réaction endothermique mais avec l’énergie de l’espace on ne compte plus…On réserverait le pétrole pour ce qu’il a de plus génial : la chimie hors combustion dans l’air. Evidemment il y aura passage obligé à la voiture électrique mais là on ne pourra plus objecter que son énergie primaire est le pétrole ou le gaz ou le charbon via les centrales thermiques : un simple MEG dans la malle et hop ! A plus… |
Ecrit le: Samedi 21 Mars 2009 à 20h54
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous, Hello Labo
ça vient, je pense que j'aurai fini le hacheur à salves synchronisées vers la mi avril. compte tenu de tous les autres boulets domestiques .. Pour ce qui est du réchauffement climatique, nous devrions nous proposer, toi et moi comme présidents, car le nôtre, pour le moment s'intéresse plutôt aux rollex, raybans et vacances gratuites, en bossant pour ses potes ultrafriqués et en délaissant le Peuple qu'il est sensé représenter .. Il y a déjà plusieurs mesures faisables que les humains peuvent mettre en place en urgence: 1) Quand la barque prend l'eau, la premier chose à faire est d'écoper l'eau, ou quand la cocotte minute chauffe de trop, elle siffle. Donc il faut mettre des soupapes de sécurité autour de la planète.. Si les infrarouges ne peuvent quitter la planète à cause des molécules de carbone qui jouent le rôle d'écran et donc d'effet de serre, nous pouvons très bien transformer une partie de la chaleur terrestre dûe au soleil en la transformant en ondes électromagnétiques courtes, via des centrales électriques solaires. Tout radioamateur sait construire un émetteur à ondes courtes. Ces émetteurs (petits, gros, énormes) joueront ainsi le rôle de soupapes de sécurité de la cocotte minute Terre, pour évacuer le trop plein de chaleur vers l'extérieur sous forme d'onde courtes ou ultra courtes, qui elles, perceront l'écran de CO2.. 2) Il faut s'arranger pour qu'il y ait un maximum de surfaces réfléchissantes sur Terre. Donc de la couleur blanche ou claire partout ou les humains habitent. 3) On peut capturer le CO2 directement à sa source (partout ou cela est possible)et le réduire en carbone et oxygène en faisant brûler du sodium dans le CO2 (le sodium enflammé continue à brûler dans le CO2, c'est un puissant réducteur), en faisant un réacteur concu pour le cycle des trois réactions chimiques suivantes: 1) 2Na + CO2 ---> 2NaO + C + chaleur à transformer en électricité 2) 2Na0 + H2O ---> 2NaOH saturé + 1/2 de O2 + chaleur à transformer en électricité 3) 2NaOH saturé + électricité pour l'électrolyseur --> 2Na + H20 + 1/2 de O2 Et on revient en 1) Y a rien de tel que les cycles et le va et vient, pas vrai !!? On récupère ainsi 7 milliards de tonnes de charbon par an (on peut fermer les mines) et on rejette l'oxygène qui avait été capturé par le carbone lors des combustions diverses. Et qu'on ne vienne pas me dire que c'est trop cher et non rentable, car nous n'avons pas le choix, c'est "la bourse, ou la VIE" !! Choisissez Humains !! Banzaïïï !! Au taf les humains si vous voulez vivre -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Dimanche 22 Mars 2009 à 17h37
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous, Hello Labo
Quand nous allons passer aux puissances supérieures, quelles dimensions devront avoir le noyau pour un transformateur monophasé en tôles E I pour une puissance de 50 KVA ? Des tôles E I (semblables à celles qu'on utilisent dans nos tests) existent elles dans la normalisation, pour cette puissance ? Et quelle quantité de fil de cuivre va t'il falloir ? (diamètre, longueur, etc).. Il faut déjà commencer à y penser Il existe peut être du fil en alu émaillé ??! A plus Amateur dans la civilisation de l'après MEG -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Dimanche 22 Mars 2009 à 23h22
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous,
Bonjour Amateur. Un transfo de 50 Kw c’est pas bien gros. La question principale est de savoir quelle puissance moyenne peut produire une séquence de décroissance d’un champ magnétique. Cette puissance moyenne dépendra de l’induction atteinte par la dernière bobine primaire déconnectée, exprimée en Teslas. Cela dépendra aussi de la section à travers laquelle cette induction sera atteinte. La longueur du circuit magnétique doit être la plus faible possible pour limiter la réluctance malgré l’inévitable entrefer. Il faudra juste laisser la place pour le logement des trois bobines. Ce logement peut être réduit en trempant le circuit magnétique et les bobines du MEG dans l’huile pour évacuer la perte ohmique inévitable mieux que le simple contact du fil des bobines avec l’air. Il existe du fil émaillé en alu dans les transfos de puissance. Dans mon ancien travail il y avait un transfo triphasé de 1600 KVA avec bobines en alu. Au niveau des sections de fil de bobine on dit qu’il ne faut pas dépasser 1 ampère par millimètre carré. Comme il faut des bobines avec peu de spires ça laisse de la marge pour utiliser du fil plat de grande section. L’idéal est d’utiliser du fil plat de 1 x 10 ou 20 ou 30 mm. C’est plus facile à plier mais il faudra augmenter d’autant la longueur du circuit magnétique pour loger de plus grandes bobines : il faut voir. Il faut penser à rester aussi en dessous de la saturation magnétique. La vraie limite sera celle des mosfets. Une fois cette limite atteinte il faudra simplement multiplier le nombre des cellules de production. Il faudra aussi domestiquer l’énergie produite car elle se manifestera sous la forme d’une tension et d’une intensité décroissante à chaque séquence de production. Tout un programme… |
Ecrit le: Samedi 28 Mars 2009 à 09h36
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous, Hello Labo
Le mauvais temps m'a libéré du temps pour faire le hacheur. Voilà l'engin: Le générateur fournit deux signaux d'amplitude 10 à 12 volts (de quoi attaquer des transistors de puissance). Les fronts montants des signaux sont synchronisés et la largeur de chaque créneau de tension est réglable ainsi que leur fréquence. Sur l'oscillo, temps de connexion de la premiere bobine = 1,2 milliseconde, temps de connexion de la deuxième bobine 1,6 milliseconde, temps de relaxation du champ magnétique = 7 millisecondes Je vais te l'envoyer dans une semaine environ.. A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
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