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Ecrit le: Jeudi 30 Juillet 2009 à 13h42
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous,
bonjour Tagor. Merci pour l'adresse. J'ai téléchargé les pages web, je vais les traduire et on verra ou ca nous mènera. Ca avance... A plus... |
Ecrit le: Vendredi 31 Juillet 2009 à 17h34
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
31 JUILLET 2009. Bonsoir à tous. Reluctance à action asymétrique. Une conséquence oubliée : La hausse du rendement général du test ne peut pas etre attribuée à la hausse de la perméabilité du circuit magnétique car elle joue aussi à l’envers dans la bobine secondaire. En utilisant un entrefer simple ou double on diminue l’induction magnétique dans le fer, à champ magnétisant égal. De ce fait la perméabilité de ce fer augmente. Mais si la hausse de la perméabilité magnétique augmente le rendement de la bobine primaire il le diminue de la meme facon pour la bobine secondaire car un meme champ magnétisant produit plus d’induction magnétique et c’est néfaste pour le maintien de la tension secondaire. En l’absence de gain effectif par l’augmentation de la perméabilité il y a donc un gain de rendement par la seule augmentation de la reluctance. Il faut rappeler que la reluctance n’est pas une cause de perte d’énergie et ne doit pas etre comparée pour cela à la résistance ohmique. Le test se confirme comme étant un lieu de double circulation indépendante d’énergie. La circulation primaire peut etre la seule. La circulation secondaire peut etre plus ou moins grande « sans perte » et sans liaison obligatoire de quantité avec la circulation primaire. A plus… |
Ecrit le: Lundi 03 Août 2009 à 16h27
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
3 AOUT 2009. Bonjour à tous. Reluctance et rendement, suite. Pour augmenter le rendement du test il faut empecher la tension secondaire initiale de chuter pendant la séquence de connexion de la bobine secondaire. L’influence de la réluctance peut elle etre asymétrique ? Les tests avec et sans entrefer l’attestent formellement. Le test sans entrefer ne produit presque rien et provoque la rétroaction de l’intensité secondaire sur l’intensité primaire. Le rendement augmente jusqu’à 80% avec un double entrefer de 0,24 mm et approche les 100% avec un double entrefer de 0,6 mm. L’augmentation de la reluctance favorise le rendement secondaire plus vite qu’il ne dessert le rendement primaire. Supposons que le taux de conversion du champ magnétisant vers l’induction magnétique soit le meme au primaire et au secondaire. L’objet de ce taux de conversion se fait sur l’intensité primaire, d’une part et sur la tension secondaire d’autre part. En effet la tension primaire est stable et définie extérieurement, contrairement à la tension secondaire. L’augmentation de réluctance ne peut donc augmenter que l’intensité primaire crete, dans le laps de temps de sa séquence de connexion. Donc, au secondaire l’augmentation de la reluctance diminue l’induction magnétique atteinte par le champ magnétisant issu de la charge. Cette diminution de l’induction magnétique entraine une modération de la chute de la tension secondaire initiale. Cela entraine une élévation de la tension secondaire moyenne le long de sa séquence de connexion. Cela entraine donc une augmentation de l’intensité moyenne traversant la bobine secondaire car cette tension débite sur une charge de valeur fixe. La puissance secondaire est donc augmentée par ses deux composantes alors que la puissance primaire ne l’est que par une seule : l’intensité. Cela explique que l’augmentation de la reluctance provoque une augmentation asymétrique des puissances primaire et secondaire. D’un coté, la puissance consommée augmente et de l’autre la puissance produite augmente encore plus. Conséquence : le rendement augmente avec la réluctance. A plus... |
Ecrit le: Dimanche 09 Août 2009 à 17h07
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
9 AOUT 2009. Bonsoir à tous. Reluctance à action asymétrique, suite. J’ai observé une augmentation légère du rendement du test en déplacant les deux bobines sur la partie en « I » du circuit magnétique. Je pensais que cette position des bobines profitait seulement à la bobine secondaire. Rien ne me permet de penser que la bobine primaire ne « bénéficie » pas elle aussi de cette position, meme si cela ne se voit pas précisément. Je pense maintenant que la position géométrique des bobines a le meme type d’influence pour la bobine primaire et pour la bobine secondaire mais dans une conséquence opposée et une proportion différente. Supposons que la bobine primaire soit placée au point du circuit magnétique ou elle produira le moins d’induction magnétique pour une quantité d’énergie consommée donnée. Dans la meme situation, la bobine secondaire produira le moins d’induction magnétique mais là il y aura au contraire la plus grande énergie produite. Si l’on peut éliminer la piste du positionnement géométrique des bobines, on s’achemine donc vers la différence de statut des tensions primaire et secondaire. La tension secondaire est la seule qui puisse etre bonifiée et le fait qu’elle débite sur une charge ohmique stable entraine une double action de la réluctance sur la puissance. A voir. Le problème pratique va etre de gérer l’intensité crete primaire car elle va mettre à mal le relais statique. En effet l’augmentation de la réluctance va d’abord augmenter l’intensité crete primaire pour une durée de connexion donnée. La solution consiste en premier à baisser la tension d’alimentation à 6 volts pour diminuer l’intensité crete sans utiliser de résistance ohmique dans l’alimentation. On trouve des batteries de grosse capacité en 6 volts ayant donc une très faible résistance intérieure. Donc l’idée est d’augmenter l’entrefer jusqu’à obtenir en 6 volts la meme intensité crete qu’en 12 volts. Il va y avoir perte du rendement primaire puisque la meme intensité crete va agir sur un circuit magnétique traversé par un entrefer plus grand. Mais il y aura peut etre beaucoup plus de puissance produite au secondaire par la plus mauvaise transformation du champ magnétisant issu de la charge en induction magnétique « de contre effondrement ». Au bout du compte les puissances moyennes consommées et produites seront peut etre dans un meilleur rapport que dans mon dernier test. Avec quelle puissance primaire vais-je arriver à allumer les 100 watts de charge secondaire ? D’abord trouver la batterie. A plus… |
Ecrit le: Dimanche 09 Août 2009 à 18h10
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Le retour de Hubbert.
Amis de l’énergie libre, lisez donc ce texte : http://www.dedefensa.org/article-encercle_...04_08_2009.html Ainsi la déplétion rattrape la récession… Ca promet. « la baisse du débit de la marchandise qui fait circuler les marchandises entraînera la baisse du volume de cette même circulation des marchandises, autre nom de la récession ». |
Ecrit le: Mercredi 12 Août 2009 à 17h52
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
12 AOUT 2009. Bonjour à tous. Limite d’influence du seul entrefer sur le rendement. J’ai trouvé une batterie de 6 volts et 180 ah. Donc pas de problème de résistance intérieure. Je l’ai mise en place et j’ai fait un test sans modifier l’entrefer et la fréquence de connexion. Comme prévu l’intensité moyenne consommée chute de moitié et la puissance fournie à la charge aussi. J’ai mémorisé la nouvelle brillance des ampoules de charge pour la comparer avec les tests suivants. En ajoutant 0,24 mm à chaque entrefer, l’intensité moyenne consommée augmente de 4 ampères à 4,5 ampères. Cependant la brillance de la charge augmente à peine. Je rajoute encore 2 fois 0,24 mm d’entrefer et la brillance de la charge ne bouge plus. Je prends l’ensemble des cales d’entrefer et je les plie en deux pour doubler encore l’entrefer : la brillance ne bouge pas plus et l’intensité consommée atteint 8 ampères. Je lève carrément la barre en « I » ou se trouvent les bobines à 3 centimètres au-dessus de la section en « E » : la brillance ne bouge plus et la consommation atteint 10 ampères. Conclusion : l’influence positive de l’entrefer diminue avec sa grandeur. Il est très efficace de zéro à 0,6 millimètre puis au-delà il cesse assez brusquement d’agir sur la production. On pourrait presque détacher la barre en « I » et ne conserver qu’elle du circuit magnétique : comme dans les bobines classiques d’allumage de voiture. Quand je parle d’influence positive c’est au niveau du rendement global du test : la différence entre consommation et production. Je regarde l’ampèremètre de la consommation primaire et les ampoules de la charge secondaire. J’avais déjà constaté un tassement de l’influence des entrefers dans un test antérieur. Mais je n’avais pas testé avec un grand entrefer sous 12 volts de tension d’alimentation car j’avais peur de gérer une surintensité dans le relais statique. Le budget zéro pose ce genre de limite. J’ai déjà perdu un relais à 120 euros en quelques millisecondes… Ce test m’apprend que l’influence d’une partie du circuit magnétique placée au-delà de deux entrefers peut devenir très rapidement négligeable en production. Je le supposais dans mon test sur le double entrefer et maintenant j’en ai fait l’observation. C’est important car cela veut dire que la partie du circuit magnétique qui reste active en production c’est celle qui contient les bobines primaire et secondaire. Cela relance le test basé sur le double entrefer. L’idée était que si l’on place les deux bobines sur une portion très courte de circuit magnétique entourée de deux entrefers, c’est cette portion qui sera désignée comme seul support de la réluctance secondaire. Ce serait la clé du maintien de la tension secondaire initiale. La consommation primaire continue d’augmenter lorsque l’entrefer augmente. Cela veut dire que la relation de la bobine primaire à l’entrefer garde un lien d’influence au delà des 0,6 millimètres d’entrefer. Cela confirme ce que je pensais à propos du test du double entrefer : la bobine primaire réagit « avec l’ensemble du circuit magnétique ». La production secondaire stagne en augmentant l’entrefer. Cela veut dire que l’augmentation de la réluctance augmente la tension secondaire moyenne produite mais que l’induction magnétique atteinte par la bobine primaire diminue en même temps du fait de cette même réluctance. L’un compense l’autre. Mais la réluctance secondaire s’exprime sur la section du circuit magnétique ou se situent les bobines. Cette section actuelle est longue par rapport aux bobines. Elle mesure environ 30 cm en externe pour une longueur totale médiane de circuit magnétique de 100 cm. Lorsque j’ai déplacé les bobines de la section en « E » vers la section en « I » j’ai eu un gain léger de production et pas de consommation visible en plus. Je vais donc placer les deux bobines dans une section très courte du circuit magnétique, délimitée par deux entrefers de 0,6 mm maximum. J’aurai donc la même induction crête magnétique que lors du test de référence au niveau de la bobine secondaire à l’instant du début de la déconnexion de la bobine primaire. Chaque bobine fait 10 mm d’épaisseur et il suffira d’une section de 25 mm de longueur pour tester le concept. Donc recherche de tôle magnétique et usage de la cisaille à tôle… A plus… |
Ecrit le: Jeudi 13 Août 2009 à 17h33
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
13 AOUT 2009. Bonjour à tous. Inversion de l’action commune de la réluctance dans la circulation positive de l’énergie. D’abord je rappelle ce que j’entends par circulation positive de l’énergie. Il s’agit de ce que l’on appelle la « production » d’énergie, c'est-à-dire l’utilisation par l’homme de la circulation de l’énergie. Quand une batterie se décharge dans une résistance ohmique et que la chaleur n’est pas utilisée il y a circulation négative de l’énergie car l’homme n’utilise pas cette énergie : c’est une « perte ». Lorsqu’on dispose d’un alternateur connecté sur une turbine Pelton elle-même connectée sur une conduite forcée, alors on dispose d’une source d’énergie. Cette source d’énergie rend possible la circulation positive de l’énergie tant qu’il y a de l’eau pour alimenter la conduite forcée en amont. Lorsqu’on place un panneau photovoltaïque face au soleil on a aussi une source d’énergie tant qu’il y a du soleil disponible. On a aussi une circulation positive possible de l’énergie. Au niveau du test MEG il y a possibilité de disposer effectivement de la circulation positive de l’énergie si la puissance primaire consommée est inférieure à la puissance secondaire produite. Dans le cas du MEG la source d’énergie de la bobine secondaire est sans limite de temps ou d’espace. La circulation positive en elle même de cette énergie a lieu dans le circuit électrique de la bobine secondaire en direction de la charge. Au niveau de la bobine primaire, l’action de la réluctance est négative car cela augmente la quantité de wattheures nécessaires pour obtenir une induction magnétique donnée dans le circuit magnétique. C’est pourquoi on a tendance à comparer la réluctance à la résistance électrique en tant que frein à la réalisation d’une action non thermique. Le niveau d’induction magnétique obtenu en fin de chaque séquence de connexion de la bobine primaire est une « clé d’organisation » qui permet le principe de la circulation « positive »d’énergie dans la bobine secondaire, sans présumer de sa quantité. Dans le test MEG, au niveau de la bobine secondaire, la réluctance a une action purement positive car elle provoque l’augmentation de la circulation positive de l’énergie. Il s’agit bien d’une inversion de l’action communément admise de la réluctance. Cette inversion du sens de l’action de la réluctance a lieu dans le cas de la décroissance d’un champ magnétique. Dans le cas de la bobine secondaire on constate que le fractionnement de son circuit magnétique avec deux entrefers provoque aussi une augmentation de la réluctance en fonction de la proportion restante du circuit actif. Le circuit actif est celui ou sont disposées les bobines primaire et secondaire. L’observation semble indiquer que la bobine primaire est insensible au fractionnement de son circuit magnétique. Seule l’épaisseur totale des entrefers commande son inductance. A suivre... |
Ecrit le: Samedi 15 Août 2009 à 22h39
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
15 AOUT 2009. Bonsoir à tous. Une perte de rendement sans pertes : modification d’une clé d’organisation. Mon dernier test MEG atteint un rendement « aux alentours » de 100%. La précision des mesure ne permet pas d’en dire plus pour le moment mais il faut largement dépasser ce seuil pour pouvoir utiliser le MEG en pratique. Je cherche donc la ligne qui permet ce dépassement. Je refais donc un test sans entrefer. Bobine primaire de 20 spires alimentée en 12 volts sous 150 hertz avec un courant continu rectangulaire dont les séquences primaires et secondaires sont de même longueur. La consommation primaire à vide est de 3 ampères. La charge secondaire est toujours composée de deux ampoules de 12 volts et 50 watts connectées en série. Lorsque la charge est connectée, l’intensité primaire monte à 5 ampères, illustration claire de la rétroaction du courant secondaire sur le courant primaire. La brillance des ampoules est au « rouge clair », très loin de la puissance nominale. Je baisse la fréquence à 100 hertz et l’intensité à vide monte à 5 ampères. En charge cette intensité primaire monte à 10 ampères avec une brillance plus forte mais toujours inférieure à la brillance nominale. Je rappelle qu’avec le double entrefer de 0,6 mm la consommation en charge sous 150 hertz est de 8 ampères et que les ampoules sont à leur pleine brillance nominale soit 100 watts. Je précise aussi qu’avec le double entrefer l’intensité primaire à vide est de 8,5 ampères : elle baisse donc de 0,5 ampère en passant à la charge. Entre ces deux tests il n’y a aucune modification des circuits électriques primaire et secondaire. Nous constatons la même charge, la même batterie d’alimentation, les mêmes câblages : la même résistance ohmique. Il y a donc une « perte de rendement sans pertes » très visible entre les deux tests en charge. La clé d’organisation de la circulation positive de l’énergie est simplement différente. A plus… |
Ecrit le: Dimanche 16 Août 2009 à 21h26
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Bonsoir à tous, Je vous suggère de passe voir là, Vous y verrez une réplique du transfo de Thane Heins les résultats semblent à la hauteur de l'originale.
C'est plutôt une bonne nouvelle. A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
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Ecrit le: Lundi 17 Août 2009 à 12h33
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Bonjour à tous,
Le concept de Thane semble très porteur, je me suis livré à quelques réflexions le concernant, Les images qui suivent montrent un circuit magnétique sur lequel est monté deux bobines. Ces bobines sont identiques, même dimensions, même nombres de spires, même section de fils. Le circuit magnétique est muni d’un entrefer de deux millimètre dans la branche de gauche. Une des deux bobines est donc montée sur un bras munie d’un entrefer, l’autre sur un bras sans entrefer. Le courant injecté dans les bobines est de 1.5 A Sur la première image seule la bobine de gauche est alimentée, (bobine monté sur l’entrefer), Dans la seconde image seule la bobine de droite est alimentée, Le résultat que donne la simulation est assez clair, l’intensité magnétique disponible dans l’entrefer, Est plus importante lorsque la bobine émettrice est montée sur l’entrefer. Pour finir cette image, Seule la bobine de droite est alimentée, le flux reçu est maximal lorsqu’il est émis sur l’entrefer, Alors qu’à la réception, il est minimal pour une émission sur une zone sans entrefer. Cela semble logique certes, mais confirmé par les simulations. Tout ceci pour montrer que selon que l’on émette ou reçoive un flux magnétique par une bobine, Il devient judicieux de disposer correctement un entrefer qui va servir de "diode" magnétique. Le concept de Thane est appuyé sur l’utilisation de la FCEM afin qu’elle amplifie la récupération, L’utilisation des entrefers en est probablement un des secrets. A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
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Ecrit le: Lundi 17 Août 2009 à 16h13
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
17 AOUT 2009. Bonjour à tous, Bonjour Quartz. Le courant sinusoidal après le pic Hubbert. J’ai copié les photos du transformateur de Thanes pour les étudier. La bobine primaire est placée sur un troncon de circuit magnétique de section très inférieure au reste de ce circuit. D’autre part les deux bobines secondaires sont placées sur un circuit magnétique dont la moitié de la section recoit le flux primaire. L’autre moitié se ferme sur elle-même dans la périphérie du test. Lorsque la bobine primaire créera un champ magnétique variant, il y aura création d’une tension égale dans les deux bobines secondaires. Si une charge est appliquée à ces bobines elles vont etre le siège d’un champ magnétisant. Ce champ magnétisant va s’opposer à la cause qui l’a créé. Dans le cas de la décroissance d’un champ magnétique, L’opposition à l’action se fera en ralongeant la durée de la décroissance du champ initial. Cela ne peut se produire de facon instantanée que sur le parcours du champ initial lui-même. Le parcours secondaire extérieur n’est pas soumis au champ initial et se présente donc comme un parcours « vierge » soumis à l’inductance. De ce fait le gain du parcours extérieur en sera effacé par le temps de mise en action de l’intensité qui en résultera. Autre chose : le courant (ou la tension) observé à l’oscilloscope est sinusoidal. Pour moi c’est très important car cela signifie qu’il n’y a pas de séparation entre la croissance et la décroissance du champ magnétique créé par la bobine primaire. Or il est important de préciser que la circulation positive de l’énergie n’a lieu qu’en présence de la décroissance d’un champ magnétique. Si l’on veut obtenir une asymétrie dans la circulation de l’énergie il faut en premier pouvoir séparer les sens de circulation de cette énergie. Pour cela on ne peut utiliser la bobine primaire qu’en générateur de champ croissant. De la meme facon on ne peut recevoir de l’énergie « du vide » que si la bobine secondaire est connectée sur un champ décroissant. Le courant sinusoidal est un « courant d’échange symétrique obligatoire » de l’énergie. L’utilisation du courant sinusoidal impose l’existence d’une « source appropriable »externe. Dans un transformateur monophasé classique, le courant sinusoidal donne l’illusion qu’à vide rien n’est consommé car la consommation d’énergie due à la croissance du champ magnétique est aussitôt compensée par la production liée à la décroissance de ce meme champ. La physique « classique » nous fait croire que le circuit magnétique stocke l’énergie : c’est faux et facile à vérifier. Mon test depuis novembre 2006 démontre que l’énergie consommée par la bobine primaire à vide ne se retrouve « nulle part » hormis la perte ohmique ( moins de 2% dans mon dernier test). Pour savoir pourquoi ce constat n’est pas encore reconnu il suffit de suivre les fils qui partent de chaque transformateur en direction de la « production » et de se demander ce qui se passerait si le problème était exposé au grand public. Oseront ils le débat ? A plus… |
Ecrit le: Lundi 17 Août 2009 à 17h00
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Bonsoir à tous,
LABO343, je vais tenter de simuler au plus près se qu'il peut se passé, avec beaucoup de conditionnel. Je ferais une image commentée pour tenter d'y voir plus clair. Si tout va bien je post ça se soir. A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
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Ecrit le: Lundi 17 Août 2009 à 21h17
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Rebonsoir,
L'image ci dessus décrit le phénomène d'un point de vue mécanique. B1 est la bobine primaire, B2 la bobine secondaire n°1, et B3 le bobine secondaire n°2. L'image montre le système tel que, La bobine B1 est stimulée, la bobine B2 n'est pas considérée comme réactive, (pour la simple et bonne raison que si je simule les deux bobines secondaires comme tel le simu pète les plomb !!) Seule la bobine B3 est effective en réaction. La flèche centrale donne le flux primaire, cela produit l'induction de la bobine B3 entre autre, il se produit donc un flux inverse de réaction (FCEM). Ce flux est symbolisé par les trois Flèches 1, 2, 3. Le flux 1 est faussement élevé car il se produit un déséquilibre relativement au fait que la bobine B2 ne réagit pas car débranchée. En revanche les flux 2 et 3 donnent une image correct de la réaction. on remarque facilement que grâce à l'entrefer, le flux 2 est fort à l'opposé, alors que le flux 3 est faible à l'opposé. Par le jeu de ces entrefer il devient peut être possible d'avoir une addition de flux 1 et 2 dans la bobine B2, et une addition de flux 1 et 3 dans la bobine B3. reste à définir la géométrie du circuit magnétique. L'image qui suit donne une éventualité de la chose. Que te tests à effectuer !! A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
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Ecrit le: Lundi 17 Août 2009 à 22h52
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
17 AOUT 2009 B Bonsoir à tous, Rebonsoir Quartz. La bobine B1 crée le flux primaire et ce flux circule dans son circuit magnétique tel que tu le définis au centre de la figure. Les deux bobines secondaires embrassent ce flux et donc sont le siège d’une tension si la bobine B1 crée un champ variant. Mais ces bobines secondaires embrassent aussi deux autres circuits magnétiques dans lesquels le flux primaire ne peut absolument pas circuler puisqu’ils sont « un autre chemin ». Comme je le disais auparavant, les deux bobines secondaires sont le siège d’une tension en cas de flux primaire variant. Cette tension est supposée se déverser dans une charge et donc provoquer un courant. Ce courant va provoquer dans ces deux bobines un champ magnétisant. La question est : ce champ magnétisant peut il circuler ailleurs que dans le circuit magnétique de la bobine primaire ? Et si oui, comment ? Dans le circuit magnétique de la bobine primaire, ce champ magnétisant possède le statut d’opposition à la cause qui l’a créé. De ce fait il est exonéré de l’inductance et peut se déployer de façon instantanée. Mais dans les deux autres circuits magnétiques, ce statut est absent : le champ magnétisant ne s’oppose à rien et de ce fait l’inductance s’opposera à lui. La conséquence est qu’un flux instantané maximal est impossible dans ces deux circuits extérieurs. Ces circuits extérieurs auront un statut de récepteur. Dans ce système à alimentation permanente et sinusoïdale, rien n’empêchera les bobines secondaires en charge de rétroagir sur la bobine primaire sous la forme d’un appel d’intensité au pro rata de la faiblesse de la résistance de charge. Dans mon test MEG la bobine primaire est déconnectée au moment ou la charge secondaire est connectée : la rétroaction est physiquement impossible. Pour obtenir une puissance secondaire supérieure à la puissance primaire il faudrait que le champ magnétisant secondaire n’ait aucun effet sur le champ magnétique primaire à un instant donné et il faudrait en même temps que le champ magnétique variant primaire garde son influence sur les bobines secondaires sous la forme de la tension secondaire. Cette action simultanée et contradictoire est impossible. Reste à voir ce que dira ce test en réel. On est dans un territoire inconnu et rien ne me surprend plus. A plus… |
Ecrit le: Mardi 18 Août 2009 à 08h06
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Bonjour à tous, Labo, se point que tu soulève,
Est très pertinent, pense tu qu'il y aurait un gain a ce que le champ primaire, parcours l'ensemble des circuits magnétiques ? Tout en conservant des zones à entrefers, car je pense que l'entrefer est une astuce salvatrice, tes expériences la dessus, sont clairs. A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
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Ecrit le: Mardi 18 Août 2009 à 11h07
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous,
bonjour Quartz. Essaye le. Fais un test avec la bobine primaire qui "embrasse" l'ensemble des circuits magnétiques modifiés avec cet entrefer alterné. On verra bien ce que ca fait. De toutes facons cela donnera des infos en plus : c'est toujours bon à prendre. L'entrefer est une piste qui est loin d'avoir "tout donné". Je pense qu'il n'est pas utile de les tester au dela du millimètre. Un millimètre d'entrefer c'est déjà énorme. De mon coté je continue sur la piste du double entrefer définissant un fractionnement du circuit magnétique. Mon problème immédiat est de trouver de la tole au silicium convenable. Article 22 et ferrailles... A plus. |
Ecrit le: Samedi 22 Août 2009 à 08h28
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
22 AOUT 2009. Bonjour à tous. Différences exploitables en vue de la surunité. Test MEG avec deux entrefers : concepts en cours de réalisation. La tension primaire est une tension continue et constante : 12 volts. Cette tension provoque immédiatement le passage d’une intensité dans le circuit de la bobine primaire. Ceci provoque immédiatement une contre tension due à la croissance du champ magnétique. Cette contre tension est mesurable et identique en tout point du circuit magnétique pour une bobine donnée, même si ce circuit magnétique est coupé en deux par des entrefers. La tension secondaire initiale est le résultat de la décroissance du champ magnétique de la bobine primaire lors de sa déconnexion. Ce n’est donc pas une source de tension constante comme une batterie. Si le processus de décroissance du champ primaire ralentit, alors la tension secondaire baisse. Donc le commandement de la puissance secondaire est un processus et non une source stable. Cette meme puissance secondaire, par sa simple expression « demande » sa propre disparition car l’intensité secondaire crée un champ magnétisant dans la bobine secondaire qui s’oppose à l’effondrement du champ magnétique primaire et donc tend à faire diminuer la tension secondaire. Le champ magnétisant secondaire n’est jamais transformé en champ magnétique croissant et il ne produit donc pas d’inductance. Son caractère spécial est que sa transformation en induction magnétique est instantanée. La tension secondaire est controlée par le rapport entre le champ magnétisant secondaire et le taux de contre effondrement qu’il crée. Pour augmenter la tension secondaire moyenne effective il faudra que le circuit magnétique ne soit pas soumis en entier au processus de contre effondrement. Cela est possible en créant une barrière de réluctance entre deux segments du circuit magnétique au moyen d’un double entrefer. Le processus de contre effondrement est censé etre freiné par deux entrefers situés aux limites d’une portion de circuit magnétique car il est identique en cela à un aimant permanent en « U » dont l’attraction est diminuée si on place sa cible au delà de deux entrefers rigides. En effet le déploiement du contre effondrement étant instantané, il agit de la même façon qu’un aimant permanent : l’induction magnétique créée n’est pas constante dans un circuit magnétique coupé par deux entrefers. Cette induction est plus faible dans la section du circuit séparée de la fonction magnétomotrice. Un dixième du circuit magnétique est affecté aux emplacements des bobines. Lors de la déconnexion de la bobine primaire, le reste du circuit magnétique n’est pas soumis au contre effondrement et donc son champ magnétique s’effondre sans frein. La bobine secondaire va capter l’onde de diminution du champ magnétique sous forme d’une tension. Cette tension va se superposer à la tension diminuée par le contre effondrement dans le segment de circuit magnétique ou sont placées les bobines. La question est : quelle sera la valeur de la tension résultante ? Sera-t-elle en proportion avec le fractionnement du circuit magnétique ? A plus… |
Ecrit le: Samedi 22 Août 2009 à 16h52
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
22 AOUT 2009. Bonjour à tous. Je viens de mettre en ligne une vidéo sur le test MEG actuel. Vous excuserez la faible qualité des images. Le test filmé est celui qui comporte deux entrefers de 0,48 mm d’épaisseur, une charge de 100 watts en 24 volts, une fréquence de connexion de 150 hertz et les bobines placées sur la section du circuit magnétique en « i ». L’adresse de lecture est ici : http://www.youtube.com/watch?v=pSZMu6bDH5M A plus… |
Ecrit le: Samedi 22 Août 2009 à 19h28
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 814 Membre n°: 9877 Inscrit le: 28/06/2009 |
j'y comprend rien mais bravo pour ton travail
-------------------- Si tu ne le fait pas ce n'est pas un autre qui le fera pour toi
il faut planter des arbres pour notre avenir Démocratie ? économie réel :) |
Ecrit le: Samedi 22 Août 2009 à 21h57
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous, Hello Labo Bon travail en effet. Bravo !! Tu consommes donc 96 watts en en produisant 100 (aux erreurs prêt) Pour la tension résultante, est il possible d'enlever la moitié des tôles du circuit en U, pour voir l'effet de la diminution de section de cette partie, ?? Toujours en gardant les entrefers, biensûr. En effet les tensions induites sont plutôt proportionnelles à -dphi/dt ou -dB x NS/dt Faire un circuit hétérogène, en quelque sorte.. A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
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Ecrit le: Samedi 22 Août 2009 à 22h56
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonsoir à tous,
bonsoir Lhorna, bonsoir Amateur. Une petite correction sur une mesure : la barre en "I" du test fait 35 cm en mesure extérieure et non pas 40. Le discours improvisé laisse passer quelques erreurs. Le test qui consiste à diminuer la section de la partie en "E" ( effectivement en "U") est aussi une piste que je retiens. Mais vu mon budget "zéro" je préfère suivre ma piste principale actuelle qui est le circuit fractionné. Je pense cependant que cette idée sera testée, vu que nous ne sommes pas dans le secret... Un autre détail : la tension aux bornes de la bobine primaire du MEG chute de 1,5 volts au moment de l'intensité crete. Cela ramène la tension d'alimentation moyenne effective à 11,25 volts pour 8 ampères "moyens". Cela donne 90 watts de consommés pour 100 de produits en admettant que la comparaison de couleur de brillance soit pertinente. Le cendrier que l'on voit sur la vidéo est un bain d'huile pour stabiliser la valeur de la résistance de mesure d'intensité : article 22. Au milieu il y a un caillou tout bete pour maintenir la spire résistante à plat dans l'huile. L'avantage du caillou est qu'il est isolant et n'a pas couté cher... Les lattes de bois que l'on voit en haut du circuit magnétique sont utilisées pour maintenir en place la section en "I" car la vibration la faisait se déplacer immédiatement. J'ai oublié de mentionner la diode du circuit de la bobine secondaire et qui est à l'arrière du circuit magnétique. La chute de tension de 1,5 volts en intensité crete de consommation se situe aux trois quarts dans l'interrupteur principal. Je soupconne la combinaison de métaux différents d'en etre la cause ou alors la trop faible pression de contact. Je vois rien d'autre pour l'instant. A plus... |
Ecrit le: Dimanche 23 Août 2009 à 07h41
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 814 Membre n°: 9877 Inscrit le: 28/06/2009 |
salut labo c'est excelent ton travail a budget Zero
Déja ça c'est un defi moi U=RI j'ai vraiment du mal par contre mécanique et 3D si tu a besoin -------------------- Si tu ne le fait pas ce n'est pas un autre qui le fera pour toi
il faut planter des arbres pour notre avenir Démocratie ? économie réel :) |
Ecrit le: Dimanche 23 Août 2009 à 08h51
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Bonjour à tous,
LABO343, ta vidéo est très suffisante en qualité, on vois clairement se qu'il se passe. La limpidité de tes démos est toujours très bonne le câblage est aéré et les appareils de mesure bien répartis. C'est parfaitement didactique. La diode du circuit secondaire est présent pour utiliser uniquement la production sur le front descendant, nous somme d'accord ? Bravo et merci pour tout se travail, très très didactique. A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
Page YouTube, Page Dailymotion, Album Picasa, La Force contre-électromotrice, simulation magnétique, Viktor Schauberger |
Ecrit le: Dimanche 23 Août 2009 à 09h25
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 460 Membre n°: 283 Inscrit le: 12/06/2007 |
Bonjour, à tous.
LABO343, très belle démo. Je ne suis pas spécialiste, mais c’est tellement bien expliqué que me sens plus intelligent ! Juste une petite question (peut-être idiote), mais pourquoi ne pas utiliser d’ampèremètre sur le circuit secondaire, pour avoir des mesures plus précises que la brillance des lampes. Encore une fois félicitation, et très beau boulot. À plus. |
Ecrit le: Dimanche 23 Août 2009 à 13h46
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
23 AOUT 2009. Des précisions sur la vidéo. Bonjour à tous, Re bonjour Lhorna, Bonjour Quartz, Bonjour Cisco. Merci pour les compliments. L’important pour moi était d’ajouter une dimension de réalité à mes textes. Les dernières vidéos que j’ai publiées comprenaient encore l’aimant permanent au centre du circuit magnétique : de l’eau est passée sous les ponts…Depuis je les ai retirées du site qui les diffusait. La vidéo http://www.youtube.com/watch?v=pSZMu6bDH5M relate donc le niveau matériel atteint dans ma recherche à ce jour. Je confirme que la diode placée en série dans le circuit de la bobine secondaire n’a qu’une seule fonction : sélectionner l’intensité issue de la décroissance du champ magnétique créé par la bobine primaire. Sans la diode le système ne fonctionne plus et on ne peut pas empecher la rétroaction du courant secondaire sur le courant primaire. C’est une diode de puissance récupérée sur un chargeur de batteries industriel. Encore une fois : article 22… Au niveau de l’ampèremètre monté sur le circuit secondaire j’avais des lectures aberrantes avec un métrix à aiguille et rien du tout avec un digital. Je pense que cela provient de la forme très particulière de la courbe d’intensité pendant une séquence de connexion. L’intensité démarre au maximum (car il n’y a pas d’inductance dans la bobine secondaire génératrice) puis baisse selon une espèce de diagonale jusqu’à zéro juste avant la déconnexion. La facon la plus précise de mesurer l’intensité secondaire serait de l’observer à l’oscilloscope et de pouvoir transformer la courbe compliquée qui apparait à l’écran en une valeur moyenne en utilisant un logiciel adapté. Je me doute que cela existe mais le budget est absent. La brillance des ampoules n’est pas un moyen très précis de mesurer une puissance mais cela a un mérite qui est d’attester la réalité incontournable de cette puissance. On voit trop souvent des vidéos avec des ateliers sophistiqués et des fils qui trainent partout et des écrans qui affirment des choses que l’on doit croire sur parole. Cela laisse un parfum d’imposture et je milite contre cela. Il est évident que si j’ai le budget j’investirai dans les appareils les plus précis. Mais comme vous l’avez vu les trois ampoules du test s’allument à la meme « couleur de température ». Quand je montre la petite section de circuit magnétique, on apercoit un instant la bobine ultra plate que j’ai testé autour d’un entrefer. Les cablages sont différenciés par couleur. Le bleu correspond au circuit de la bobine primaire et le rouge correspond au circuit secondaire. Les fils noirs branchés autour du « cendrier » correspondent au piquage de la mesure d’intensité primaire. Le cable noir à deux fils qui va à la charge est du 6 carré. Les 3 ampoules 12 volts 50 watts font partie d’un lot commun acheté, pour éviter qu’une différence fasse griller une des ampoules en série. La charge est connectée au dela du fil noir sur deux fils rouges. Un de ces fils va à l’interrupteur de la charge et l’autre va par derrière à la diode. De la diode un fil repart vers l’arrière de la bobine secondaire, sur sa périphérie. L’alimentation de la commande des relais statiques se fait avec une batterie de 12 volts indépendante pour éviter les interactions sur les mesures. Cette batterie est placée à gauche de l’oscilloscope. Le générateur de fréquence rectangulaire envoie un signal qui est connecté par une prise plate et qui va vers un relais statique LCC 110S de chez CLARE. Ce relais est attaqué à travers une diode qui sélectionne une seule « face » du signal rectangulaire du générateur. La sortie de ce relais envoie une tension de 12 volts à l’entrée du relais statique de puissance qui est un D06D80 de chez CRYDOM. Le relais LCC 110S est minuscule et je l’ai protégé avec un couvercle en plastique d’installation électrique encastrée. Un fusible de 1 ampère protège l’alimentation des relais statiques. La courbe d’intensité sur l’oscilloscope est difficile à voir à cause de l’encodage trop serré de la vidéo. Si je me rapproche de l’écran c’est mon camescope qui déjante et qui génère du flou. A plus… |
Ecrit le: Dimanche 23 Août 2009 à 22h01
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 2064 Membre n°: 275 Inscrit le: 11/06/2007 |
Bonsoir,
j’ai visionné 3 fois, et pour ma part, je ne me sens pas plus intelligent… Bravo pour tes recherches et ta persévérance. Je suis aussi impressionné par ton transfo. [J’en ai vu partir un à la poubelle il y a un mois (tranfo de séparation pour refaire un neutre); je ne pouvais même pas le déplacer d’un ¼ de tour]. L’ampèremètre d’entrée, que l’on voit sur le moince , est peu précis. Avec un autre à aiguille ou numérique, les ~7,6A apparaîtraient, puisque cette valeur semble stabilisée ? Il me semble qu’en charge, l’aiguille baisse par rapport à vide ? Je vois que tu as mis des planchettes en bois pour maintenir le barreau du haut en horizontale. En mettant des élastiques ou des tendeurs autour des 2 montants verticaux, peut être que le bruit s’atténuerait. J’ai du mal à comprendre pourquoi les 2 bobines si proches, ne s’influencent pas. En sortie tu aurais 24 V et 4,1 A (= 98,4 W)? Et en entrée 12V et 7,6 A (= 91,2 W) Est-ce que tu pourrais charger un condo en parallèle sur le circuit ampoules ? Cela stabiliserait les mesures (à moins que tu ne l’ais déjà fait). Bon courage. |
Ecrit le: Dimanche 23 Août 2009 à 22h14
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous
J'ai trouvé cet article sur le web ? http://www.explic.com/11122-solaire.htm Comment allons nous faire pour contourner le monopole d'EDF, dès que nous aurons l'énergie à l'oeil ? Hors la loi, révolution ? -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Dimanche 23 Août 2009 à 23h58
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
24 AOUT 2009. Rebonsoir à tous. Bonsoir Gegyx, Bonsoir Amateur. J’ai trouvé le transfo dans une ferraille en 2005. C’était un transfo triphasé 380/220 de 8 KVA. Il fonctionnait et je ne sais pas pourquoi il avait été ferraillé : on jette n’importe quoi maintenant. Ca a fait mon affaire. Tu as remarqué qu’en charge l’intensité baisse et c’est exact. Au début j’étais perdu pour comprendre cela et la solution est venue avec l’oscilloscope. Dans le fonctionnement à vide, à l’instant du début de la déconnexion de la bobine primaire, la tension d’opposition à la coupure est telle qu’elle « déborde » un peu le pouvoir de coupure du relais statique et on voit apparaître à l’écran une trace fantomatique d’intensité après la coupure du relais. Cette trace dure une milliseconde environ et elle se comporte comme une consommation additionnelle légère. En charge la tension secondaire baisse immédiatement mais la bobine primaire subit la même influence et donc la cause de la trace fantomatique d’intensité disparaît. Au bilan cela donne une baisse de 0,5 ampère environ. Quand la bobine primaire faisait 28 spires cette trace fantomatique d’intensité était beaucoup plus nette car la tension de coupure de la bobine était proportionnellement plus élevée. Le problème du bruit est lié à l’élasticité des entrefers. Ce plastique est bien pratique mais il permet un peu à l’attraction des masses métalliques de s’exprimer. Si le système était bien au point je pense qu’il faudrait bloquer tout cela avec de la résine et utiliser des cales en isolant mécaniquement rigide. Pour le moment on supporte… Les deux bobines ne s’influencent pas directement parce que leurs circuits électriques sont séparés. Lorsque la bobine primaire est connectée , c’est que le champ magnétique grandit et cela génère une tension d’un sens que la diode secondaire bloque. Lorsque la bobine primaire est déconnectée, la diode laisse passer le courant secondaire car il est issu du champ décroissant. Tant que la résistance de charge ne tombe pas en dessous du point critique, les circuits des bobines sont indépendants. Le point critique est celui qui fait en sorte que le courant secondaire dure assez pour « toucher » l’instant de reconnexion de la bobine primaire. Le problème du condensateur connecté directement en parallèle de la bobine secondaire est qu’il fait durer l’intensité secondaire au delà de son temps attribué et qu’il provoque la rétroaction du courant secondaire sur le courant primaire. La charge secondaire ne peut pas être capacitive ou alors après la diode pour éviter la re décharge du condensateur dans la bobine. On peut aussi utiliser la batterie d’alimentation comme charge en la connectant correctement après la diode. Là je n’ai pas trop poussé les tests mais ça fonctionnait et j’avais une baisse de l’intensité primaire moyenne en utilisant la batterie comme charge. Je sais qu’on peut le faire mais il faut en premier gagner sur le bilan des puissances. Après ça marchera tout seul… A plus. |
Ecrit le: Lundi 24 Août 2009 à 16h24
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous.
Je suis allé voir le lien sur EDF proposé par Amateur. La réponse que cela m’inspire est la suivante : le monople de la production suppose la garantie de l’approvisionnement du consommateur. Que va t’il se passer lorsque nous nous approcherons du « gouffre énergétique » de l’uranium ? Les infos qui circulent sur internet assurent qu’une crise de l’uranium « civil » surviendra lorsque les Russes cesseront d’approvisionner le marché avec le recyclage de leurs bombes démilitarisées. Info ou intox ? Si il faut 1500 watts pour produire un kilowatt nucléaire au bout du compte, l’histoire s’arretera vite. La question de la concentration de minerai me parait valide. Ou sont les informations là dessus ? Au niveau des énergies fossiles classiques on sait avec l’ASPO que l’on va dans le mur. Mais il ne faut pas oublier que le nucléaire s’est développé en utilisant la facilité du pétrole à tous les échelons du processus. Le pic de Hubbert pose donc aussi un problème indirect à l’industrie nucléaire en augmentant le prix de la concentration et de l’acheminement de l’uranium exploitable en centrale. Je crois que le problème principal, après le pic de Hubbert, reste celui de trouver de l’énergie nette. Il faut aussi rappeler le problème posé par l’éolien et le photvoltaique : la régulation. Le réseau de distribution électrique assure une tension constante à l’usager, sans quoi les dégradations d’instruments électriques seraient permanentes. Pour assurer cette tension constante le réseau doit en permanence faire de la régulation avec des productions fossiles à variation de puissance rapide ou avec des centrales hydroélectriques à barrage. Lorsque le fossile manquera il ne restera que les barrages hydroélectriques pour réguler une éventuelle production éolienne ou photovoltaique : autant dire peu de chose. Les gestionnaires de réseaux électriques ont les problèmes devant eux et les énergies renouvelables « classiques » n’arrangent rien. Vive le MEG… |
Ecrit le: Lundi 24 Août 2009 à 22h36
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
24 AOUT 2009 B Bonsoir à tous. Suite de la revue de détail sur la vidéo http://www.youtube.com/watch?v=pSZMu6bDH5M Je constate que j’ai oublié de signaler que les deux bobines étaient aussi connectables à l’oscilloscope au moyen de fils de faible section. La bobine primaire est connectable avec deux fils souples de 1mm carré rouge et noir. La bobine secondaire est connectable à l’oscilloscope au moyen d’un câble souple blanc de section deux fois 1 mm carré. Les connexions des bobines à l’oscilloscope servent à mesurer les tensions sur les bobines. Dans la vidéo c’est le câble souple blanc qui vient du « cendrier » qui est connecté à l’oscilloscope pour faire la mesure de l’intensité primaire. Dans la vidéo, les câbles connectés aux bobines vont dans le vide devant l’oscilloscope et sont isolés. Les Deux bobines sont calées sur le circuit magnétique avec de lames de caoutchouc. L’alimentation des relais statiques se fait avec un câble rigide deux fois 1,5 mm carré noir qui vient de la batterie auxiliaire placée à gauche de l’oscilloscope. Les fils arrivent entre le refroidisseur du relais de puissance et le MEG. Un fil rouge + en sort et va au porte fusible. Le fil noir - va directement à l’entrée de commande du relais statique de puissance. La petite diode qui sélectionne une seule « face » de la tension rectangulaire de commande est visible à coté du boîtier plastique de protection du relais intermédiaire LCC 110S. Le relais en question a deux sorties et une seule va à l’autre entrée du relais de puissance. Le relais de puissance est connecté « normalement coupé » c’est à dire qu’en l’absence de signal de commande rectangulaire il ne passe pas de courant dans la bobine primaire. A plus… |
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