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Ecrit le: Vendredi 25 Septembre 2009 à 17h20
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous.
Ci joint une photo de moto électrique servant de test pour transmettre des schémas et photos du MEG. Moto modifiée par mes soins en 1974 environ. Le moteur est une dynamo de camion en 24 volts ou j'ai mis des charbons cuivrés. Les batteries sont deux éléments de 12 volts 80 Ah. Sur le guidon figure le réhostat de démarrage composé de fil de fer enroulé sur un chevron de bois isolé. L'accélérateur est un collecteur de démarreur de camion ou chaque lame correspond à un nombre de spires sur le réhostat. La transmission se fait par chaine avec un rapport de 11 à 99 dents. Entre le guidon et la selle se situent le contacteur d'arret et aussi une commande d'inversion de sens de marche. Il y a aussi un limiteur d'intensité d'excitation pour augmenter la vitesse en "plat". A plus... |
Ecrit le: Vendredi 25 Septembre 2009 à 19h41
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 107 Membre n°: 293 Inscrit le: 13/06/2007 |
Bonsoir LABO ,
J'adore ton café Racer, tu n’a pas du passer inaperçu, sourires et admiration garanti sans compter la curiosité ! Quelles étaient les performances de cette machine ? Vitesse et autonomie (a peut près car j’ai vu quelle n’avait pas de compteur). Bravo pour cette idée visionnaire, en 1974 et bon courage pour tes recherches sur le MEG. @+ |
Ecrit le: Vendredi 25 Septembre 2009 à 21h52
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonsoir à tous,
bonsoir Reeve. Merci pour la moto électrique. La vitesse maximale pouvait froler les 25 km à l'heure et l'autonomie environ une heure. Avec les batteries au plomb on pouvait pas faire beaucoup plus... La moto était à l'origine une 175 Terrot. J'ai enlevé le moteur thermique et j'ai du repenser le berceau pour y loger les batteries au plus près du sol pour le centre de gravité. Le pignon arrière a été fabriqué au lycée de Prades par des élèves en mécanique : un exercice pratique. Le contacteur était un coupe circuit de batterie. Le plus surprenant, évidemment c'était le silence... Evidemment il y avait des pertes ohmiques au démarrage mais il fallait peu de temps pour atteindre la vitesse de croisière et en descente je rechargais les batteries. Pour obtenir la valeur de la résistance de démarrage j'avais déployé du fil de fer de cloture jusqu'au point du seuil de déplacement et ensuite je l'ai bobiné. J'ai divisé le bobinage en une dizaine de secteurs qui ont été reliés à une lame du collecteur. Ensuite il y avait le charbon et le porte charbon qui circulait dessus et qui était lui meme relié en retour à la masse. Un très bon souvenir. A plus... |
Ecrit le: Samedi 26 Septembre 2009 à 06h55
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous, hello Labo
Suuuppeerr la moto !! Elle sera peut être almentée grâce à ce jeune génie: http://gadgetvice.com/?p=3610 A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Samedi 26 Septembre 2009 à 14h32
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous.
Ci joint le schéma du test http://www.youtube.com/watch?v=pSZMu6bDH5M Je n'ai pas de matériel pour faire un dessin "pro" et j'ai donc improvisé à la main. url=http://mabul.org/][/url] |
Ecrit le: Dimanche 27 Septembre 2009 à 08h03
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous.
Après ce schéma je pense que toute autre explication sur le circuit électrique est pour le moment peu importante. Je vais me concentrer sur la représentation graphique du changement d'état dans le circuit magnétique. Je vais faire cela à partir de dessins en utilisant les changement de couleurs pour "visualiser" les changements d'état du test. Il faut visualiser l'augmentation de l'induction magnétique dans le circuit magnétique. Il faut aussi visualiser la diminution de la contre tension d'inductance. Enfin il faut visualiser ce qui peut se passer au moment de la décroissance du champ créé par la bobine primaire en présence des deux entrefers. Voilà mon programme à venir et j'aimerais aussi pouvoir faire des animations car c'est encore plus explicite. A plus... |
Ecrit le: Dimanche 27 Septembre 2009 à 14h20
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous.
Voici mon premier test d'animation. Cela représente la croissance de l'induction magnétique pendant la séquence de connexion de la bobine primaire. L'idée de progression des couleurs différenciée permet de visualiser l'effet dégressif des entrefers constaté à cause du phénomène de l'inductance. L'animation représente une durée réelle de 3 millisecondes environ. Les bobines sont représentées sans connexion, sous forme symbolique. Les entrefers sont délibérément exagérés pour plus de visibilité. Le noyau central du circuit magnétique dans la vidéo http://www.youtube.com/watch?v=pSZMu6bDH5M n'est pas représenté car il est neutralisé dans le test. A plus... |
Ecrit le: Dimanche 27 Septembre 2009 à 18h16
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Labo
Oui là c'est très clair, bravo !! Reste à savoir si le décalage ou retard à l'induction de la branche arriere en U est dû aux fuites de champ dans l'air aux entrefers (flux non constant dans le circuit), ou un retard dans le temps dû à ces mêmes entrefers (flux constant dans le circuit) ?? A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Lundi 28 Septembre 2009 à 08h15
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
28 SEPTEMBRE 2009 Bonjour à tous, Bonjour Amateur. Je ne pense pas qu’il y ait beaucoup de fuites magnétiques à travers des entrefers de 0,48 mm. La boucle magnétique à air posée à 50 cm du test est silencieuse : pas de tension induite observable au métrix digital. Avec 100 watts « moyens » qui transitent dans la bobine primaire on devrait avoir un signal très fort en étant à coté en cas de fuites. En effet l’intensité est variante et donc peut provoquer des tensions induites au loin si le circuit magnétique est bien « ouvert ». Ce n’est pas le cas. Le test du 18 septembre me laisse observer qu’il y a un retard à l’égalisation de l’induction magnétique dans les deux tronçons. L’égalisation des inductions magnétiques se fait en fin de séquence de connexion. Cela pose la question de la durée de la séquence de connexion et donc de la fréquence de fonctionnement maximale du test. En effet il est possible qu’une fréquence trop élevée ne permette pas l’égalisation de l’induction magnétique. Dans le test http://www.youtube.com/watch?v=pSZMu6bDH5M je suis à 150 hz. Je testerai au dessus et en dessous pour voir… A plus. |
Ecrit le: Mardi 29 Septembre 2009 à 16h14
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
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Ecrit le: Mardi 29 Septembre 2009 à 18h23
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonsoir à tous.
Voyez cet article : http://contreinfo.info/article.php3?id_article=2817 C’est le « plan du futur » politiquement correct. Tout n’y est qu’énergie marchandise : implacable. Quand je remets mon test en service, je commets une hérésie car le doute s’installe en moi sur le bien fondé de la « crise énergétique ». Je DOIS me tromper et ce que je vois n’est qu’illusion, meme de 100 watts. La science doit pouvoir trouver « le truc » qui coince. A moins que le truc qui coince ce ne soit pas mon test mais une « réalité socialement modifiée » à très grande echelle, depuis longtemps et pour une raison que j’ignore. Ce qui est certain c’est que le concept de « taux d’énergie nette » prend le devant de la scène Et que c’est l’expression de la plus dure des réalités. A plus… |
Ecrit le: Mercredi 30 Septembre 2009 à 07h48
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous.
Je suis en train de me demander comment je pourrais représenter graphiquement le processus de contre effondrement du champ magnétique pendant sa période de décroissance. La représentation directe ne montrerait rien : il faudra procéder par comparaison avec un phénomène connu. Je cherche. A plus... |
Ecrit le: Mercredi 07 Octobre 2009 à 13h03
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
7 OCTOBRE 2009. Bonjour à tous. Allez voir cet excellent article de Georges Monbiot, ici : http://contreinfo.info/article.php3?id_article=2827 Cela remet les idées en bon ordre. Voir le contre effondrement. Je continue la recherche sur une représentation animée du processus de contre effondrement du champ magnétique du à la charge sur la bobine secondaire. La visibilité directe de ce phénomène me semble impossible. Je pense comparer cela avec une cuve à eau qui se vide en traversant en premier une pompe qui peut refouler l'eau dans la cuve. La sortie de la pompe débouche sur une turbine qui produit de l'énergie lors de la vidange de la cuve. Dans le fonctionnement à vide, la pompe ne fonctionne pas et seule la turbine se trouve en activité. Comme aucune énergie n'est consommée, cette turbine produit une tension "plafond" car elle tourne sans frein. L'énergie mécanique est transformée en courant continu par une dynamo à excitation indépendante et la tension à vide sera le double de la tension en charge. Cette tension à vide pourra se déverser dans un moteur en courant continu à excitation indépendante qui entrainera la pompe de refoulement dont l'action s'opposera ainsi à la cause qui l'a créée. Tout ce processus fonctionnera tant que la cuve ne sera pas vidée. Une résistance de controle d'intensité sera insérée entre la dynamo et le moteur. La pompe et le moteur représentent le champ magnétisant de la bobine secondaire. La turbine et la dynamo représentent la bobine primaire. La résistance de controle représente la charge sur la bobine secondaire. La cuve représente le circuit magnétique. La quantité d'eau présente dans la cuve représente l'induction magnétique crete à l'instant de la déconnexion de la bobine primaire. La turbine et la pompe sont canalisées en série comme la décroissance du champ et son contre effondrement agissent sur le meme circuit magnétique. Ci joint une ébauche statique du projet La turbine est bien reliée à une dynamo. Je n'arrive pas à corriger la photo. A plus. |
Ecrit le: Mercredi 07 Octobre 2009 à 13h23
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous.
Une petite erreur graphique apercue à l'instant. La pompe et la turbine sont toutes les deux une représentation de la bobine secondaire. Le processus se passe pendant la décroissance du champ magnétique et la bobine primaire est déconnectée. La turbine représente la tension initiale de la bobine secondaire et la pompe le champ magnétisant de contre effondrement, créé au sein de la meme bobine secondaire. Il faut donc rectifier la lecture sur le dessin. Ce qui induit en erreur c'est qu'en réalité, dans le test, la pompe et la turbine sont "au meme endroit". La représentation en deux corps est un artifice pour mieux comprendre la chose. A plus... |
Ecrit le: Mercredi 07 Octobre 2009 à 16h23
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
7 0CTOBRE 2009. C Re bonjour à tous. Voici un essai de schéma de principe de la double circulation de l'énergie depuis et vers "le vide". La zone intermédiaire représente le corps du MEG. La zone du dessus représente la zone d'action humaine. La zone du dessous représente "le vide" ou bien la "dimension énergie". L'expression du rendement n'est pas représentée : seulement la circulation de l'énergie. A plus... |
Ecrit le: Dimanche 11 Octobre 2009 à 10h46
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Bonjour Tous et Labo
Voilà un pdf qui montre des analogies hydrauliques avec des hacheurs: http://membres.lycos.fr/bothirol/doks/hach...hydraulique.pdf ça pourrait t'inspirer. J'aime assez aussi le hacheur forward, avec son enroulement supplémentaire, qui permet de récupérer l'énergie de coupure de la bobine tout en limitant la surtension aux bornes des éléments fragiles (transistors). Ici: http://richard.francony.free.fr/cours/conv_dc_dc.pdf (page 10/16) ou encore appelé "enroulement de démagnétisation", là (aller dans le chapître Alim découpage (en bas de page, montage forward) dans le menu Alimentation, a droite): http://pagesperso-orange.fr/f6crp/elec/index.htm en fin de page des Alim découpage, " montage forward" A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Dimanche 11 Octobre 2009 à 15h03
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
11 OCTOBRE 2009. Bonjour à tous, Bonjour Amateur. Ces liens sont intéressants. Les alimentations à découpage sont « des cousins proches » de mon test. Je reste étonné que personne ne soit « tombé » par hasard sur la consommation d'énergie à vide « sans destination ». Cela confirme en moi l’intuition selon laquelle on recherche « en fonction des donneurs d’ordre ». Ceux-ci ne cherchent pas l’énergie en elle-même mais une simple amélioration commerciale d’une marchandise existante. Dans le cas des alimentations à découpage on a cherché à réduire le poids, l'encombrement et le prix des anciennes alimentations. Peut etre qu’un chercheur a rencontré la meme chose que moi mais si on lui a dit « de fermer sa gueule car ca rapporte rien », alors c’est tombé dans la poubelle… L’intérêt de l’analogie avec l’hydraulique découle des limites de la représentation par le réel. Je m’apercois que la simple observation dans son apparence directe du test ne me permet pas de voir le processus dans son intégralité. Le réel cache le fonctionnel. Le test http://www.youtube.com/watch?v=pSZMu6bDH5M se présente sous la forme d’un circuit magnétique tout simple mais il est partout entouré de chatterton, de bois, de fils et cela peut fausser l’intuition qui permet d’avoir une idée. Lorsque j’utilise un logiciel de représentation graphique, je peux obtenir la vision « nette » du circuit magnétique : on va à l’essentiel du concept. Il faut cependant que la représentation soit pertinente et qu’elle ait un pouvoir de communication avec les autres chercheurs. Il faut transmettre les concepts et pas seulement signifier qu’ils existent, comme on le voit souvent. La comparaison avec l’hydraulique « colle » bien avec la circulation de l’énergie mais pas avec la variation de l’induction magnétique. L’induction magnétique n’a pas de couleur et sa représentation par une couleur qui varie est une comparaison avec une notion subjective de danger qui grandit. Comment représenter la réalité du niveau d’induction magnétique dans un circuit ferreux, alors que nous ne pouvons que supposer ce qui s’y passe dedans ? Il y a un compromis avec le réel pour transmettre ce concept. Le but est bien, dans ce cas, de « rendre visible » la croissance de l’induction magnétique pendant la séquence de connexion de la bobine primaire. J’utilise donc une comparaison avec la croissance de la colorisation en rouge à partir du blanc. Je décide subjectivement que le blanc représente le niveau zéro de l’induction et que le rouge représente l’induction crete, assimilée à la pression maximale, au danger. La vérité exacte ne peut etre transmise que par un texte précis et il faut parfois faire une longue phrase pour décrire un phénomène inconnu. Les schèmas électriques ont eux aussi une limite : comment décrire la disparition de l’énergie à vide dans mon test ? Il me faut faire une phrase. La langue francaise est capable de tout expliquer : il suffit de prendre son temps, de rester simple, de respecter l’orthographe et le sens admis des mots. Le problème est que pour visualiser un concept dans sa tete, il faut éviter les phrases trop compliquées. Dans le test http://www.youtube.com/watch?v=pSZMu6bDH5M je n’arrive pas bien à me représenter la notion de contre effondrement dans un circuit magnétique fractionné. Je cherche donc une comparaison graphique voisine pour m’aider à y voir plus clair. A plus... |
Ecrit le: Mardi 13 Octobre 2009 à 17h31
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonsoir à tous.
Bienvenue dans le monde de l'après Hubbert. http://www.dailymotion.com/relevance/searc...-christian_news http://dotsub.com/view/b0fb7146-8477-4851-910d-d68fc90b6f6d# Les conséquences sont là pour cacher l'imposture de la cause. A plus... |
Ecrit le: Mardi 13 Octobre 2009 à 19h35
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Labo
Résistons citoyen, résistons.. Prenons les maquis !! -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mardi 13 Octobre 2009 à 23h33
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
14 OCTOBRE 2009. Bonjour à tous. Bobine de Ruhmkorff et vieille imposture. Supposons une bobine de Ruhmkorff dont on ne garde que la bobine primaire. Cette bobine fonctionnera avec des vis platinées comme dans une bobine d’allumage classique de voiture, mais sans le condensateur. On prendra soin d’utiliser un circuit magnétique fermé, pour ne pas avoir de dispersion du flux magnétique dans l’espace voisin. La connexion de la bobine se fera par segments de temps avec une alternance égale entre connexion et déconnexion depuis une batterie. Les segments de temps de connexion seront inférieurs à la constante de temps de la bobine. Pendant la connexion il y a consommation d’énergie de façon croissante. A l’instant du début de la déconnexion, la décroissance du champ magnétique crée une tension dans la bobine qui s’oppose à cette déconnexion. Cela se manifeste par un arc électrique qui prolonge la consommation. Il n’y a que de la consommation : l’étincelle ne recharge pas la batterie et un soufflage d’arc ou une atmosphère comprimée peuvent la réduire à très peu. Supposons que la bobine primaire soit de très faible résistance ohmique. Que va dire le bilan d’énergie ? Qu’il y a un trou entre l’énergie consommée et l’énergie restituée par le rayonnement de l’étincelle et la perte ohmique. Comment penser qu’on ne sait pas cela depuis au moins 100 ans ? Dans mon test je n’ai fait que supprimer la perte d’énergie lumineuse de l’étincelle, grâce au relais statique. A plus… |
Ecrit le: Lundi 19 Octobre 2009 à 08h40
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
19 OCTOBRE 2009. Bonjour à tous. Suite de l’enquête dans un mouchoir de poche. Dans l’hypothèse de l’utilisation d’un circuit magnétique fractionné je veux limiter la longueur du tronçon avant à la dimension des deux bobines plus une petite marge. Les bobines font 10 millimètres de large chacune et doivent être éloignées de 5 millimètres environ pour assurer l’isolation, l’absence de capacité parasite et l’évacuation des calories sur les faces en regard. La longueur du tronçon avant serait donc de l’ordre de 30 à 35 millimètres. Je tombe alors sur une définition : celle du calcul de l’inductance d’une bobine avec noyau magnétique. Il y est dit que plus de longueur de la bobine diminue l’inductance. Il faut donc amener une précision : la longueur de la bobine secondaire sur mon test est de 10 millimètres car c’est une bobine plate. Cette longueur ne peut pas changer. Dans la définition citée on supposera que le noyau magnétique est de la même longueur que la bobine qui l’entoure. C’est important car si on augmente la longueur du noyau magnétique par rapport à la bobine on augmentera l’inductance. C’est ce qui se passe quand on approche un bout de ferrite d’une bobine haute fréquence non magnétiquement blindée dans un poste radio. La conséquence est que si le tronçon avant est réduit au minimum de longueur acceptable, l’inductance de la bobine secondaire sera elle aussi au minimum par rapport à un circuit magnétique fermé sans entrefer. Reste à savoir si la proximité du tronçon arrière avec les bobines ne créera pas une influence magnétique parasite. La conséquence sera que le flux de contre effondrement créé par l’intensité qui passe dans la bobine secondaire sera aussi au minimum possible et ainsi la tension secondaire initiale sera au mieux préservée. Je ne pense pas que le fait de diviser par deux la longueur du troncon avant double le rendement. En effet le fait de doubler la longueur d’un noyau magnétique dépassant de sa bobine ne doublera pas son inductance puisqu’il reste un trajet du flux dans l’air qui relativise le gain. Dans le test la comparaison est possible à cause des entrefers qui « isolent » le troncon avant comme s’il était seul dans l’espace. Mais là aussi c’est relatif, c’est une tendance : pas un absolu. La réluctance du circuit magnétique du test ne change pas au niveau de la bobine primaire pendant la séquence de connexion primaire puisque les entrefers gardent la même épaisseur, quelle que soit leur distance réciproque. C’est un pas en avant, petit mais en avant. Ci-dessous une représentation graphique de ce que je veux faire avec le troncon avant, comme précisé dans la vidéo http://www.youtube.com/watch?v=pSZMu6bDH5M A plus... |
Ecrit le: Lundi 19 Octobre 2009 à 15h26
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Re bonjour à tous.
Pour confirmer l'urgence de la maitrise de l'énergie du vide il faut lire cet article http://www.voltairenet.org/article161915.html Un de plus sur le pic Hubbert mais il est très documenté. Comme dirait Coluche : il ne nous reste que le choix de l'embarras... A plus... |
Ecrit le: Jeudi 22 Octobre 2009 à 08h43
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
22 OCTOBRE 2009. Bonjour à tous. Recherches dans un mouchoir de poche, suite. On place la bobine secondaire à coté de la bobine primaire car grace à cela on obtient la tension secondaire à vide la plus élevée et c’est un des éléments de la puissance recherchés. Si on placait la bobine secondaire sur le troncon arrière on aurait une tension secondaire initiale plus faible et le bilan énergétique en serait très affaibli. La recherche du meilleur rendement, c’est au final un travail sur la courbe de tension secondaire en favorisant le maintien de la tension initiale. Pour cela il faut que le champ magnétisant de la bobine secondaire en charge se transforme très mal en flux de contre effondrement. Pour arriver à cela il n’y a que l’outil de la réluctance. Pour créer une asymétrie positive dans l’usage de la réluctance, on utilise une différence utile : au niveau de la bobine secondaire le niveau d’induction magnétique atteint ne se calcule pas de la meme facon que pour la bobine primaire car il n’y a pas d’inductance dans un champ magnétique décroissant. Au passage, il faut éviter une erreur suggérée par le montage de Bearden dans son MEG : l’emploi d’une bobine secondaire comprenant de très nombreuses spires. Le nombre de spires secondaires ne change rien au taux de contre effondrement car ce dernier est issu du produit « n x i ». La puissance produite au secondaire fera toujours circuler une intensité dans la bobine secondaire au pro rata de sa tension d’utilisation et de la résistance de charge. La « qualité » de la charge ne change rien non plus : pour qu’une puissance s’exprime il faut toujours une intensité et celle-ci traversera la bobine secondaire, fatalement. Dès l’instant ou la charge est connectée et alors que le champ magnétique décroit, l’existence de la tension secondaire est autonome et ne dépend plus du mécanisme de déconnexion de la bobine primaire. Il y a un transfert de commande et la tension secondaire dépend des conséquences du champ de contre effondrement qu’elle crée elle-même. Pendant le fonctionnement à vide, la tension secondaire se maintient tant que l’intensité primaire poursuit sa décroissance. Lorsque l’intensité primaire cesse, la tension secondaire disparait aussitôt. Pendant le fonctionnement en charge, la durée de la décroissance du champ magnétique dépend du niveau atteint par le champ de contre effondrement du à la charge. Dans le premier cas le contrôle de la tension est originellement décroissant et dans l’autre il est décroissant par effet induit car la charge ne peut pas créer un champ supérieur à celui qui décroît sous peine de supprimer la tension secondaire elle-même. L’action sur le rendement se situe donc au niveau du circuit magnétique, en sachant que ce circuit est commun à la bobine primaire et à la bobine secondaire. On sait aussi que l’action sur le circuit magnétique doit se faire « en série » et non « en parallèle ». Cela veut dire que chaque élément du circuit magnétique doit etre placé à la suite d’un autre pour former une seule boucle totale. Si l’on met une boucle de circuit magnétique en parallèle avec la bobine secondaire, elle sera le siège d’une inductance en cas de courant de charge car le flux secondaire ne s’opposera pas à un flux décroissant dans cette boucle extérieure. Le problème d’un troncon avant court c’est d’en définir l’induction magnétique précise. Dans le cas d’un circuit magnétique fermé, on sait le faire précisément. Mais pour un circuit ouvert c’est plus subtil car il faut estimer l’influence du retour du flux dans l’air. Il est évident que le rapprochement progressif de la forme d’un cercle fermé va favoriser la hausse de l’induction magnétique, pour un champ magnétisant donné. Le troncon court placé entre deux entrefers est identifiable à un élément de circuit magnétique droit placé dans l’air et cela d’autant plus que les entrefers seront épais. Il y a aussi une limite à l’épaisseur des entrefers car elle favorise la consommation d’énergie primaire pour un flux crete donné. La relation des tensions secondaires ( à vide) au tronçon avant et arrière ( 48,6 volts et 40 volts) doit pouvoir nous donner une indication précise du taux de contre effondrement secondaire. En effet cette différence de tension mesure l’influence de la bobine primaire en déconnexion sur le troncon arrière. Cela se passe dans le cadre d’une décroissance de flux et donc hors inductance : cela sera pareil pour l’action de contre effondrement de la bobine secondaire. Il y aura le meme taux d’influence. Ce taux d’influence peut signifier le taux d’influence du troncon avant lui-même par rapport à l’absence d’entrefer. Le taux de baisse du contre effondrement serait donc de 17,6% par rapport à l’absence d’entrefers. Cela reste à préciser. La baisse de ce taux était déjà avérée par l’arrêt de la rétroaction : il est désormais presque quantifié. Au niveau du rendement global du test cela doit être modéré par la perte relative d’énergie nécessaire pour obtenir une induction crête primaire donnée à cause de ces entrefers. Cela doit être cependant majoré par le fait que la rétroaction du courant secondaire sur le courant primaire est ainsi évitée car la baisse du taux de contre effondrement raccourcit la durée de décroissance du flux primaire. Plus on augmente l’épaisseur des entrefers et plus il y a indépendance des deux tronçons. Au delà d’une distance critique plus rien ne relie les deux tronçons et le rendement n’augmente plus. La croissance du flux primaire devient un gouffre énergétique. Le circuit magnétique fractionné utilise la composante d’indépendance pour doper l’effet de la réluctance propre des entrefers. Cette composante d’indépendance ne joue qu’en l’absence d’inductance, c’est à dire au secondaire. Quantification à préciser, A plus… |
Ecrit le: Vendredi 23 Octobre 2009 à 15h42
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
23 0CTOBRE 2009. Bonjour à tous. Transmission de l’énergie transitoire. Dans le test http://www.youtube.com/watch?v=pSZMu6bDH5M l’énergie produite par la bobine secondaire est transmise à la charge de facon très discontinue. L’essentiel de cette énergie est transmise pendant le premier quart de la durée de la décroissance du champ magnétique créé par la bobine primaire. La puissance maximale est délivrée à l’instant meme du début de la décroissance du champ magnétique. Cette puissance maximale succède instantanément à une puissance nulle. Cette situation ressemble à la gestion des transitoires en « hi fi ». Dans ce cas on préconise l’emploi de cables de liaison de forte section et de faible capacité parasite répartie, c'est-à-dire dont les fils sont écartés entre eux. On évite aussi les longueurs inutiles de cables de liaison entre la source et la charge. Les organes de commande doivent etre aussi surdimensionnés pour ne pas devenir une cause de perte ohmique. Dans mon test la résistance ohmique de la charge est de 5,76 ohms. C’est la résistance de deux ampoules de 12 volts et 50 watts connectées en série. La tension secondaire à vide du test est de 68 volts pour une bobine de 28 spires. L’intensité crete passant dans la charge sera donc de 11,8 ampères à l’instant du début de la décroissance du champ magnétique. Cela nous donne une puissance crete de 802 watts en début de séquence secondaire. Cette crete de puissance a donc besoin « d’aise » pour s’exprimer, au niveau des cables et connexions. Cela donne aussi une idée sur la solidité requise d’une charge. La production d’énergie par impulsions peut etre stabilisée en chargeant la meme batterie qui alimente la bobine primaire. J’ai déjà testé cela et ca marche. Je n’ai pas eu de surunité car mon circuit magnétique ne le permettait pas encore. Si le taux de contre effondrement est maitrisé, il suffira donc de coupler une batterie avec un MEG pour avoir une source stabilisée d’énergie. La seule obligation de capacité de la batterie sera celle qui lui donnera une résistance interne suffisament faible. Le couplage MEG / batterie serait à la base d’un véhicule électrique à autonomie infinie. C’est ce qu’il m’aurait fallu pour doper mon ancienne moto… A plus… |
Ecrit le: Samedi 31 Octobre 2009 à 15h54
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous.
Hier, en lisant le blog de Paul Jorion, j’ai trouvé un texte sur la « redécouverte » de l’ether. Ce texte est ici http://www.pauljorion.com/blog/?p=4408#comments et j’y ai fait un commentaire lié à l’énergie. Voici ce commentaire : Il semble que le test visible ici http://www.youtube.com/watch?v=pSZMu6bDH5M confirme l’existence de l’ether. J’appelle cela aussi « le vide » ou bien « le milieu énergétique ». De toute façon « le vide » est « actif » car on ne peut pas expliquer autrement la vidéo ci-dessus. Mon hypothèse historique est qu’au début du XX° siècle il y a eu une bifurcation vers « un vide vraiment vide » pour une raison purement commerciale. En niant l’existence de l’éther, milieu énergétique, on reste orphelin de cette énergie. Cela fait évidemment l’affaire des énergies fossiles qui vont rester les seules « sur la place » pendant 100 ans. Les énergies renouvelables « classiques » comme l’hydroélectrique sont des énergies « médiates » dans le sens ou la propriété des installations physiques sont obligatoires et de plus la proportion de ces énergies est minime : le grand jeu n’est pas dérangé. Avec le photovoltaïque et l’éolien on dérange un peu plus « le jeu » mais pas trop car la régulation de ces énergies est leur « fil à la patte ». Sans régulation, la prolifération des panneaux photovoltaïques va provoquer des chocs sur le réseau en cas de brusque passage de nuages et bien sur il y aura les nuits à assurer. Il est une certitude, c’est que la régulation de grande puissance est actuellement impossible pour une simple raison économique. La seule régulation d’envergure existante c’est les grands barrages hydroélectriques ou bien les groupes fossiles à gaz ou au fuel. On tourne donc en rond et le pic de Hubbert est là pour nous menacer du manque de la régulation fossile. Je ne serais pas étonné que l’éther soit bientôt « redécouvert » pour assurer le redémarrage de la croissance par la baisse radicale du prix de l’énergie. En effet je dis depuis des années que le pic de Hubbert va faire baisser la disponibilité de la marchandise qui fait circuler les autres marchandises et il ne peut en résulter qu’une baisse du volume de cette circulation dont l’autre nom est la récession. Il n’y a pas de relance durable en deca de l’abondance énergétique. Les propriétaires du fossile ont le choix de l’embarras : ou bien on va tranquillement vers la déplétion et la récession et ils seront des vendeurs sans clients solvables, ou bien on va vers l’énergie « du vide » gratuite et personne ne voudra plus de leur marchandise. Bien du plaisir. A plus… |
Ecrit le: Samedi 31 Octobre 2009 à 17h14
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Bonjour à tous,
Labo, je ne me souviens pas si tu as accès à la parti réservé de ce forum, Je suis en train d'explorer le fonctionnement de ton montage mais sur un système à mouvement. J'utilise un moteur universel d'aspirateur, relativement à l'orientation des charbon, je le fait tourner avec le seule et unique alimentation du rotor via les charbon et collecteur. L'angle natif entre l'axe du stator et l'axe magnétique du rotor permet de créer un moteur à réluctance minimale. le rotor cherche à s'aligner au mieux avec les pôles du stator mais n'y parvient jamais (commutation collecteur). Le but de départ est de voir si en utilisant le moteur en mode répulsion entre rotor et stator via des bobines de court circuit sur le stator, je pouvais récupérer tout ou partie du courant exploitable pour ré-alimenter le rotor. Il semble que cela ne puisse être fait car pour obtenir un couple correct il faut un courant de court circuit important, Hors le dilemme tension courant entre jeux et dés que je cherche à élever la tension le courant diminue bien évidemment. à force de tartouiller le machin une idée à jailli, utiliser le mode de fonctionnement que tu utilise sur le secondaire. Je me résume, un primaire (rotor) dans lequel je vais envoyer un pavé de courant, cela va créer un champ magnétique impulsionnel, donc une induction des bobines du stator, (secondaire), Dans le circuit secondaire une diode, qui interdit le passage du courant sur le front montant. le rotor va tourner pour chercher la réluctance minimale, seconde phase, on interromps le courant dans le rotor, le champ diminuant il va se produire une induction dans les bobines du stator, qui cette fois va produire un courant relativement au bon sens de la diode. Ce courant va avoir tendance à faire perdurer le champ magnétique dans le système, cela ne va créer aucun freinage ni ralentissement mécanique mais aussi va pouvoir créer un courant récupérable dont la valeur prélevée n'aura pas d'incidence sur le couple moteur. En théorie nous devrions produire un couple moteur de bon rendement sur le front montant d'alimentation du rotor, et récupérer un courant utilisable lord du front descendant d'alimentation du rotor. Le système est pratiquement identique au tient dans le sens ou le rotor est encapsulé dans un entrefer vis à vis du stator. Nous avons donc deux circuits magnétiques distincts isolés l'un de l'autre par un entrefer. Si tout va bien nous devrions atteindre un rapport de transformation primaire secondaire proche de 1 comme le tient, mais en plus nous arrons le mouvement. qui a pouvoir faire tourner un alternateur. On peux toujours rêver !! A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
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Ecrit le: Samedi 31 Octobre 2009 à 18h16
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous,
bonjour Quartz. Je lis ton texte avec grand intéret. Je vais rechercher un moteur universel pour refaire ton chemin de pensée. A plus... |
Ecrit le: Samedi 31 Octobre 2009 à 18h33
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Content que cela te parles, Labo
Une chose importante le moteur que tu vas trouver peut avoir différentes caractéristiques, Si c'est un moteur universel de perceuse réversible par exemple, L'axe magnétique du rotor sera probablement perpendiculaire à l'axe des pôles du stator. Dans ces conditions le moteur est parfaitement réversible et offre le même couple et la même vitesse dans les deux sens de rotations donc d'excitations. En revanche si tu utilise un moteur prévu pour un seul sens de rotation il est probable que l'axe magnétique du rotor, ne soit pas perpendiculaire au stator. C'est se qui m'est arrivé, j'ai utiliser un moteur d'aspirateur de récupération, et il se trouve que ce type de moteur est optimiser pour la vitesse et n'est pas réversible en rotation. si tu à un moteur du premier type tu vas être contrains de déplacer les charbons et de leurs donner l'angle souhaité pour l'utiliser en mode réluctance maximale. C'est le point important qu'il faut savoir. Perso je me suis fait avoir, sur le moteur d'aspirateur j'ai déplacer les charbons, et comme ils étaient nativement au bon angle et bien cela ne fonctionnait pas terrible. En revanche une fois que j'ai remis les charbons à leurs position d'origine, le fonctionnement est optimal. A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
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Ecrit le: Samedi 31 Octobre 2009 à 23h59
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonsoir à tous.
Le texte qui suit est une réponse au commentaire publié à 15 h 54 concernant l’éther. Ce qui frappe en premier c’est l’ignorance totale du test vidéo : il n’existe pas. C’est évidemment une vulgaire erreur de manipulation commise par un profane non autorisé. C’est très important car c’est comme cela que fonctionne « le silence » obligatoire. Dans le deuxième paragraphe l’auteur s’égare dans des considérations hallucinatoires pour conclure son propos. Curieux rapport à l’observation vérifiable. Voici donc le texte : La théorie de Newton s’était débarrassée de la notion de repos absolue, il a fallu ,trouver « une substance » par rapport à laquelle qu’on puisse mesurer la vitesse de la lumière. On fit appel à l’éther, présente partout,même dans l’espace vide. Plusieurs expériences dont celle d’Albert Michelson et Edward Morley (1887 Cleveland ,Case School of Applied Science) comparant la vitesse de la lumière (ondes électromagnétiques) dans la direction du mouvement de la terre et celle perpendiculaire à ce mouvement , ont prouvé que la vitesse de la lumière reste constante.La vitesse de la lumière reste constante quelques soit les mouvements des observateurs .Des personnages,tel que l’hollandais Hendrick Lorenz ont essayés d’expliquer les résultats de ces expériences en termes d’horloges ralentissant en voyageant à travers l’éther. L’éther ordinaire, oxyde d’éthyle C2H5-O-C2H5 appelé commercialement éther sulfurique ,se prépare par l’action de l’acide sulfurique sur l’alcool ordinaire et s’emploie parfois à l’extérieur comme anesthésique et a l’intérieur en potion ou en injections hypodermiques, comme antispasmodique et pour activer la circulation du sang dans le cerveau, peut éventuellement expliquer le refus catégorique de certains « physiciens » du 21ème siècle d’accepter les théories relativistes d’Einstein et de Poincaré demandant seulement d’abandonner l’idée de temps absolu… A plus… |
Ecrit le: Dimanche 01 Novembre 2009 à 08h46
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous, Hello Labo
Et oui, les scientifiques orthodoxes sont des handicapés baillonnés, car ils se limitent volontairement à l'observation dite "objective et raisonnée" issue des sens pour explorer le "réel". Nous savons que les sens sont limités et surtout qu'il faut quelqu'un pour interpréter toutes ses informations issues des sens et qu'on appelle sensations ou ressentis. Et ce quelqu'un est la conscience. Les tenants des religions ou plutôt des philosophies esotériques ont en plus des sens, la croyance, et pour eux l'ether existe depuis toujours, certains l'appellent akasha, d'autres, le prana, etc .. D'ailleurs rien que le fait de parler de vitesse limite pour la lumière, devrait mettre la puce à l'oreille. Dans un vide absolu, pourquoi la lumière aurait elle une vitesse limite puisque rien ne la freinerait ?? Par contre un vide empli d'un océan d'energies ondulatoires s'annulant "statistiquement" les unes les autres, mais existant néanmoins, jouent le rôle de l'eau qui freine le navire sur son étrave et ses flancs .. D'où mes deux poèmes ci-dessous, qui datent déjà de 2003 Pour ce qui est de la conscience: Qui es tu TOI ? Qui es tu toi, propriétaire de ce corps Le propriétaire n'est pas la propriété Dans ce temple, tu vis des moments forts Par les sens, à chaque instant abreuvé Tu te meus sans cesse en équilibre Dans ce décors changeant et mouvant De ta machine tu sens être la fibre Tu commandes à tes ressorts émouvants Qu'une agréable sensation t'atteigne Et te voilà jusqu'aux larmes, rieur Qu' on te pique comme une teigne Te voilà en larmes, pleurant ta douleur Qui es tu toi qui ressens ces vibrations Qui de partout viennent en légions Tu les filtres de tes belles persiennes Te les appropriant, les faisant tiennes Quand la nuit tes yeux se ferment Chef d'orchestre, tu poses ta baguette Les musiciens alors, de leurs termes En rêves, te décrivent leur pipelette Qui es tu toi, qui me lis de tes yeux Qui souris de mes mots, de leur jeu Toi qui luis sous ton précieux toit Qui s'amuse sans cesse de tes doigts Pour ce qui est du vide empli d'énergies ondulatoires: Univers d'ondes De la Source limpide, elles s'écoulent En cascades et gerbes se répandent Tel un torrent d'écume, elles déboulent Sur tous les mondes, elles s'étendent Les voilà qui s'additionnent Et le tangible jaillit à nos yeux Les voilà qui se tamponnent Et l'intangible alors, dirige le jeu L'hirondelle et son nid ne font qu'un Le saumon et sa source sont réunis Comme les deux pics de l'iceberg serein Par le même corps noyé, sont unis Tout autour ce sont des ondes Ne cherche plus de ta sonde Tu fais partie de cette ronde Nous sommes unis en ce monde Tu es toi aussi, parcelle d'éternité Tu fais partie de cette vaste humanité Quand chaque perle sera illuminée La trame entière sera de toute beauté A plus Amateur -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
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