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Ecrit le: Dimanche 01 Novembre 2009 à 09h04
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous,
Bonjour Amateur. Le plus extraordinaire c’est que le test vidéo http://www.youtube.com/watch?v=pSZMu6bDH5M est une observation tout ce qu’il y a de plus matérielle. Je ne fais que constater des faits précis dont l’ordre de grandeur exclut l’erreur d’interprétation ou de mesure. Je pense que mon contradicteur ne s’est même pas donné la peine de voir la vidéo : j’ai été jugé pour offense à un tabou. Je suis un strict matérialiste : ce que j’ai vu, je ne l’ai pas rêvé et je peux refaire le test autant de fois que je veux sans que le résultat change. Toi même Amateur tu as fait une réplique du test et tu as constaté ce phénomène. On ne va pas dire que c’est faux pour leur faire plaisir. Evidemment j’inviterai ce contradicteur à venir voir le test en réel, dès fois qu’il y aurait un « truc » caché derrière le mur ou sous la planche du test. A plus... |
Ecrit le: Lundi 02 Novembre 2009 à 09h07
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous.
Ci joint l'adresse d'un site qui décrit l'éventuel "pic Hubbert" de l'uranium http://travail-chomage.site.voila.fr/energie/fin_uranium.htm Par les temps qui courent et au vu de certaines informations venant d'EDF il est bon de le savoir. 2015 c'est "demain matin" et peut être même avant... va savoir. Vraiment, tout pousse dans le sens de nos recherches. A plus... |
Ecrit le: Lundi 02 Novembre 2009 à 12h20
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Passionné(e) Groupe: Membres Messages: 64 Membre n°: 6267 Inscrit le: 21/10/2008 |
Slt a tous
Je vois que ca bosse tres dur, super ta demo Labo343. Tous est tres clair et bien expliqué donc pas de probleme sur ton experience. A+ Engine |
Ecrit le: Mercredi 04 Novembre 2009 à 23h36
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
4 NOVEMBRE 2009. Bonsoir à tous, bonsoir Engine Précisions sur la circulation de l’énergie. Dans le test http://www.youtube.com/watch?v=pSZMu6bDH5M on observe une disparition de l’énergie pendant le fonctionnement à vide. Ce processus de « disparition » peut durer des heures sans que rien ne change dans le fonctionnement du test. Cela confirme que « le lieu de destination de l’énergie » disparue n’est pas un « réduit remplissable » à la longue ou susceptible de saturation. Le fait que rien n’apparaisse en tant que rayonnement ou bien chaleur montre aussi que ce « lieu » n’est pas géographique mais « dimensionnel ». J’ai fait ce test en plusieurs endroits sans que le fonctionnement en soit changé. Lorsque je connecte la charge sur la bobine secondaire, la circulation de l’énergie se fait depuis « le vide » selon une quantification dépendant : 1°, du niveau d’induction magnétique atteint par le champ magnétique de la bobine primaire. 2°, du taux de transformation du champ magnétisant de contre effondrement de la bobine secondaire en induction magnétique effective. Donc ce MEG est obligé de créer un champ magnétique préalable au fait de pouvoir produire de l’énergie. Pourtant il peut directement, par une seule action, faire disparaître de l’énergie. On pense alors à la réciprocité complète qui serait de faire « apparaître » directement de l’énergie. Mais comment ? La piste que je suis est celle d’un bilan positif après une dépense suivie d’une production supérieure. Cela ne m’empêche pas de penser aussi à la piste « directe ». Je me dis qu’il y a quelque chose à « inverser » et que je ne le vois pas. A plus… |
Ecrit le: Vendredi 06 Novembre 2009 à 16h15
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
6 NOVEMBRE 2009. Bonjour à tous. Extrait d’une réponse sur le blog de Paul Jorion. La question de départ est celle de l’existence de l’éther. Comme vous le savez, mon test ne laisse pas indifférent : extrait : 1. Nadine dit : 6 novembre 2009 à 14:01 @LABO343 « je publie avec le même résultat surprenant de l’égalité de consommation à vide et en charge » Comment mesurez-vous la consommation de votre transformateur? Essayez de nous faire le schéma de principe précis de l’ensemble de l’expérience en indiquant la valeur numérique des differentes données mesurées et je vous dirai (calcul à l’appuie si nécessaire) pourquoi vous trouvez ces résultats qui je le crains ont une explication naturelle. A bientôt! Répondre Ma réponse : L’égalité de consommation à vide et en charge découle du fait que la consommation à vide disparait sans aucune trace. C’est bien de ce fait qu’il s’agit avant tout. Comme vous avez pu le voir sur la vidéo le transformateur est alimenté en courant continu par segments de temps d’une longueur d’environ 3 millisecondes. Chaque segment de connexion de la bobine primaire est suivi d’un segment de temps identique pendant lequel la bobine primaire est déconnectée. Si la charge était connectée en permanence sur la bobine secondaire, alors on ne pourait rien prouver de l’existence du « milieu » énergétique car on pourrait dire que le flux magnétique lui-même serait le mécanisme de stockage de l’énergie. On aurait un stockage pendant la croissance du flux et un déstockage pendant sa décroissance : tout baigne… Mais il y a un gros problème : l’énergie ne se retrouve nulle part en cas de « stockage » permanent à vide. Si le flux magnétique était un stock, alors il y aurait accumulation de l’induction magnétique à chaque séquence de connexion et on arriverait en trois ou quatre séquences à la saturation magnétique et au court circuit provoqué par la perte de l’inductance au-delà de la saturation magnétique. En pratique nous aurions un « clash » au bout d’un centième de seconde. Or rien ne se passe meme si on laisse le circuit de la bobine primaire connecté plus de 10 heures et que l’on vide effectivement la batterie. Et là il ne s’agit pas de courant « apparent » car la batterie est vraiment vidée. Pour parler en mesures numériques, la consommation ohmique « moyenne » de la bobine primaire est fonction de l’intensité qui la traverse et de sa résistance propre. L’intensité progresse dans la bobine primaire selon une courbe rectiligne en débutant par zéro et en finissant à 32 ampères. La moyenne de l’intensité circulant dans la bobine primaire est donc de 16 ampères pendant la séquence de connexion et de 8 ampères pendant la « période » totale de fonctionnement. C’est ce que confirme l’ampèremètre et la courbe de l’oscilloscope. La résistance ohmique de la bobine amène donc une chute de tension moyenne de 0,012 x 8 = 0,096 volt. La puissance perdue par perte ohmique est donc de 0,768 watt de moyenne sur l’ensemble de la période de fonctionnement. Pendant la meme période la puissance prélevée sur la batterie est de 12 x 8 = 96 watts. Déjà il manque 95,23 watts à l’appel. On peut aussi soustraire la résistance interne du relais statique qui est de 0,007 ohm ( voir la fiche technique du mosfet NTP60N06) grace à deux mosfets connectés en parallèle. Cela nous donnera 0,007 x 8 = 0,056 volts de chute de tension moyenne. Cela donne 0,448 watt perdu par échauffement dans le relais statique. Il reste toujours 94,78 watts à retrouver. Lors du test je peux court circuiter la résistance de mesure de l’intensité primaire. La conséquence en est une progression de 0,5 ampère sur l’intensité moyenne lue à l’ampèremètre à aiguille. Les cables de connexion entre la batterie et la bobine ne mesurent pas plus d’un mètre en tout et leur section est de 10 millimètres carré : je pense qu’on ne peut pas chercher l’énergie perdue dans leur résistance propre… La tension de la batterie ne bronche meme pas entre la connexion et la deconnexion de la bobine primaire. Alors que reste t’il ? Une énergie transite effectivement vers une bobine et puis « plus rien ». Un rayonnement ? Encore faudrait il une antenne accordée pour l’extraire en totalité et à la fréquence de 150 hertz cette antenne aurait un dipole de plus de 500 kilomètres de long, faute de quoi il y aurait naissance d’une onde stationnaire qui ferait tout exploser par surtension aux bornes de la bobine. Or l’oscilloscope ne capte « rien ». Une bobine à air composée de 50 spires d’un diamètre de 50 centimètres a été posée à 30 centimètres du circuit magnétique. Une tension de quelques millivolts était seule perceptible, causée par la fuite magnétique du circuit comprenant de très faibles entrefers. Au-delà de trois mètres « plus rien ». Un poste radio placé à trois mètres ne capte rien sur aucune bande de fréquence, depuis les grandes ondes jusqu’à la FM. Pas meme une harmonique. La télé ne capte rien non plus. Je peux vous dire que 95 watts ca fait du raffut en radio ou en télé si jamais ca propage. J’ai fait moi-même des tests de radio émission et avec 5 watts on peut « couvrir » 30 kilomètres. Quant au son émis par le test il est quasi égal à vide et en charge et ne saurait dissiper 95 watts accoustiques car il lui faudrait une membrane transductrice de plus d’un mètre de diamètre à cette fréquence et de plus je risquerais de démolir les cloisons avec un tel infrason… J’ai aussi pensé à une réaction nucléaire dans le cuivre ou bien le fer mais ces deux éléments sont situés au milieu de la table des éléments, c'est-à-dire là ou il n’y a pas de transfert d’énergie significatif par transmutation possible. Alors, si la nature me joue un sale tour, je ne vois vraiment pas lequel… A plus… |
Ecrit le: Samedi 07 Novembre 2009 à 08h17
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
o LABO343 MEG
o 7 NOVEMBRE 2009. o Bonjour à tous. o Ether et inductance : suite de la discussion sur le blog de Paul Jorion. Nadine dit : 6 novembre 2009 à 20:07 @LABO343 « L’égalité de consommation à vide et en charge découle du fait que la consommation à vide disparaît sans aucune trace » Ce n’est pas clair, faites un schéma de principe de votre installation (en n’oubliant rien et en indiquant toutes les données) et je vous donnerai la solution de votre problème. PS:Quand le transfo tourne à vide (circuit du secondaire ouvert) quelle est la valeur du courant électrique du primaire que vous mesurez avec votre ampèremètre (dans la video il me semble que vous dites: « à vide l’intensité ne va nulle part » donc votre amperemètre indique 0 et s’il n’y a pas de courant il n’y a pas de consommation à vide, non? Ma réponse @Nadine : Dans la vidéo, lorsque je dis « l’intensité ne va nulle part » c’est une image et cela signifie Que l’énergie consommée dans la bobine primaire ne se « retrouve » nulle part. Je sais bien que la vidéo n’est pas assez longue et précise sur tous les détails. L’ampèremètre à aiguille indique bien 8 ampères consommées « en moyenne » par la bobine primaire lors du fonctionnement à vide. L’intensité de 8 ampères circule bien depuis le pole + de la batterie En passant par le contacteur (placé au centre des trois sur la vidéo) puis par le relais statique puis par la bobine primaire pour revenir enfin au pole « moins » de la batterie. Entre le pole + et le contacteur de commande l’intensité peut aussi traverser la résistance de mesure de l’intensité (destinée exclusivement à la mesure sur l’oscilloscope) si on laisse ouvert le contacteur qui shunte ce bout de circuit. Sur la vidéo les câbles de ce bout de circuit sont en noir, de part et d’autre du contacteur placé le plus vers la gauche. Les câbles d’alimentation directe de la bobine primaire sont en bleu. Ce test est d’une simplicité absolue : dans le cas du fonctionnement à vide il s’agit d’une inductance dont le circuit magnétique est fermé. Cette inductance est alimentée en courant continu à travers un contact sans étincelle. Lorsque le courant est coupé sans étincelle, le champ magnétique disparaît et si rien n’est prévu pour récupérer l’énergie issue de sa décroissance on « obtient » une consommation d’énergie « non transformée » et « perdue ».Ceci est dit en faisant l’abstraction de la résistance ohmique, bien sur. La durée de l’alimentation doit être inférieure à la constante de temps de l’inductance, c’est à dire que lorsque l’intensité est coupée l’induction magnétique atteinte dans le circuit magnétique de cette inductance n’a pas atteint le début de la saturation magnétique de ce circuit magnétique. Cela veut dire que cette inductance développe une contre tension qui limite l’intensité qui la traverse et cela de façon dégressive. La contre tension est maximale à l’instant suivant le début de la connexion de la bobine et inférieure à l’instant de la déconnexion. Sans l’inductance, cette bobine serait soumise à une intensité immédiate qui atteindrait 1000 ampères pour une tension de 12 volts. C’est le phénomène d’inductance lui même qui assure la transition de l’énergie vers « le vide » ou vers l’éther (si l’on préfère). Dans le cas de mon test, si je baisse la fréquence de connexion, l’intensité crête augmente très vite et peut provoquer le claquage du relais car celui ci est calibré pour un maximum de 80 ampères. Dans mon test, le câble central de la bobine secondaire est relié à l’interrupteur de la charge puis à la charge elle même et le câble de retour de la charge est relié à une diode de puissance située derrière le circuit magnétique ( avec un radiateur en aluminium). Le câble qui repart de la diode de puissance revient sur le périmètre de la bobine secondaire. La diode a pour fonction de sélectionner le courant issu de la seule décroissance du champ magnétique créé par la bobine primaire. C’est la seule solution pour que l’intensité secondaire ne provoque pas de rétroaction sur l’intensité primaire. De plus il faut que la tension secondaire soit complètement éteinte avant que la bobine primaire soit à nouveau reconnectée, faute de quoi la rétroaction du courant secondaire se fera quand même sur le courant primaire. Pour arriver à ce résultat il nous faut l’aide d’un minuscule entrefer dont l’action est de raccourcir la durée d’existence de la tension secondaire. De plus cet entrefer modifie la courbe de décroissance de la tension secondaire dans le sens de l’augmentation de sa valeur moyenne. Le résultat provisoire que j’ai obtenu est d’avoir une puissance produite égale à la puissance consommée. L’action de l’entrefer est « à double tranchant » car le « bénéfice » tiré sur la production d’énergie au secondaire se paye par une plus grande consommation d’énergie dans la bobine primaire pour obtenir une induction magnétique crête donnée. En effet l’induction magnétique crête atteinte en fin de séquence de connexion de la bobine primaire est le « pivot » qui va définir en partie l’énergie disponible au secondaire. Ma recherche actuelle est de définir la meilleure géométrie du circuit magnétique pour optimiser la production secondaire sans être pénalisé par la consommation primaire. Pour cela je m’appuie sur la différence de comportement des champs magnétisants primaire et secondaire car ce dernier étant opposé à un champ magnétique décroissant est exempté d’inductance. On le constate à la simple vue de la courbe de tension secondaire ou l’on constate par déduction que l’intensité crête est instantanée dans une charge simplement ohmique, ce qui est impossible dans le cas d’un circuit soumis à l’inductance. Je pense que le circuit magnétique fractionné au moyen de deux entrefers va dans le sens de ma recherche. Le test est visible à 25 km de Perpignan. A plus et à suivre... |
Ecrit le: Dimanche 08 Novembre 2009 à 09h11
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous, Suite de la discussion sur l’inductance et l’éther, sur le blog de Paul Jorion. o Nadine dit : 7 novembre 2009 à 22:56 @LABO Bonsoir Je vous donne la solution dans la semaine qui vient si j’ai le temps. A bientôt. PS:j’ai déjà trouvé mais il faut que je vérifie J’avoue que le suspense est insoutenable. Je vais enfin savoir ou passe l’énergie qui disparaît à vide dans mon test. Patientons donc. A plus… |
Ecrit le: Dimanche 08 Novembre 2009 à 09h33
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 2064 Membre n°: 275 Inscrit le: 11/06/2007 |
Cher Labo
Aie ! Le suspense… Peut être une heureuse démonstration. Prépare-toi quand même à une réponse qui ne te conviendra pas, car il te semblera que Nadine n’a pas bien compris ton expérience. Et aussi, si elle a envisagé convenablement le problème, à une possible déception de tes longues recherches. Surtout si c’est du à un artefact de ton matériel. Mais de toutes façons, cela permettra de vérifier l’existence d’un possible trou de serrure du mystère de Dame Nature, sur lequel il faudra plancher de nouveau pour trouver la clé qui convienne… |
Ecrit le: Dimanche 08 Novembre 2009 à 14h33
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous,
bonjour Gegyx. Je ne suis pas tracassé pour un sou par l'attente de la réponse de Nadine. Je suis simplement curieux. Remettre en question le dogme du stockage de l'énergie dans une inductance n'est pas anodin et je m'attends à des réactions. Mais pour le moment personne ne me répond sur le sujet précis de la disparition de l'énergie dans une inductance déconnectée sans étincelles, sans antenne et sans résistance ohmique significative. Le débat sur l'éther est ici http://www.pauljorion.com/blog/?p=4408#comments et on verra bien ou il aboutira. Pour le moment les réponses ne me sont pas adressées personnellement ou alors pour me laisser comprendre avec sympathie que j'ai fait une simple erreur de manipulation. Mais laquelle ? La particularité de ce test c'est qu'il est extremement simple et surdimensionné dans toutes les précautions prises contre les erreurs de mesure. Les réponses de "l'analgesique", de Nadine ou de bernard Laget, ne correspondent en aucun cas à mon test. A part Nadine et H.F.D mon test est meme carrément ignoré. Pourtant il aborde le problème de l'existence de l'éther par un coté très matériel : la fameuse expérience qui doit confirmer une théorie. Mon chemin de recherche est à l'inverse : c'est une expérience vécue qui m'amène à formuler une théorie. A suivre... |
Ecrit le: Dimanche 08 Novembre 2009 à 16h37
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 107 Membre n°: 293 Inscrit le: 13/06/2007 |
Bonjour LABO343
J’avoue ne pas avoir lu le topic dans son intégralité (85 pages). Mais quitte a passer pour un imbécile voila mon hypothèse, Ton circuit est purement inductif, 0.012ohms c’est négligeable comme résistance Tu as donc un déphasage tension / intensité maximum P=U.I.cos phi Si ton cosinus phi est de 0.1 (ce qui me parait asses exceptionnel), la puissance active serait d’une dizaine de watts le reste c’est de la puissance réactive. Ça consomme du courant et ça ne produit rien. Je reconnais n’avoir jamais bien intégré cette notion, la batterie non plus d’ailleurs puisqu’elle se décharge @+ |
Ecrit le: Dimanche 08 Novembre 2009 à 17h14
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 2064 Membre n°: 275 Inscrit le: 11/06/2007 |
Chercheur en avait parlé en Avril 2008 sur ce post :
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...findpost&p=4977 https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...findpost&p=5340 Il te fallait un oscillo pour vérifier… *** https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...indpost&p=10102 *** C’est vrai aussi, je m’étais intéressé à l’énergie réactive : https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...findpost&p=7877 Pas encore de contrôleur EDF chez toi ? |
Ecrit le: Dimanche 08 Novembre 2009 à 17h47
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonsoir à tous.
Bonsoir Reeve et Gegyx. La batterie se décharge effectivement et c’est bien là le problème. Si la consommation primaire était une consommation « illusoire » ou virtuelle, le problème serait simplement transposé. En effet on aurait une consommation virtuelle et une production réelle : pas de problème, on est preneurs… Quant au déphasage il n’est existant qu’en courant sinusoidal. Dans le test on a une tension purement continue et segmentée. Seule l’intensité varie. On a donc une ligne horizontale et une droite inclinée : pas un déphasage. On n’est pas dans la meme logique que dans le courant alternatif. L’énergie réactive ne consomme « en réel » que par la perte ohmique. Dans le cas du test la perte ohmique est de 1% : ou passe donc le reste de l’énergie consommée ? Quant à EDF ils sont assez tracassés par la puissance crete éventuelle à fournir cet hiver pour s’occuper de nos débats… a plus... |
Ecrit le: Dimanche 08 Novembre 2009 à 21h52
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous
L'effet casimir ne prouve t'il pas que le vide est plein d'énergies ? https://www.chercheursduvrai.fr/quantique/effetCASIMIR.php http://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_Casimir http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/p...lassique_14191/ http://www.oca.eu/Mignard/Grex/Presentatio...A_Lambrecht.pdf a plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Lundi 09 Novembre 2009 à 00h09
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
9 NOVEMBRE 2009. Bonsoir ou bon matin à tous. Suite de la discussion sur la disparition de l’énergie dans la bobine primaire à vide, sur le blog de Paul Jorion. Dixit Monique : 1. Voici peut être une explication conventionnelle (sans aucune garantie) du mystère de la disparition de l‘énergie, je n’ai pas le temps de la vérifier, je vous laisse le faire. A vide votre système débite en moyenne 8 Ampères sous une tension unidirectionnel variable (150 hertz ) de 12 volts. L’impédance de la bobine est Z=U//I=12/8=1.5 ohms avec Z=R+jXl Avec 0.1 ohms pour le fils, la réactance inductive de la bobine est de 1.4 ohms pour 150 hertz . Le système consomme une puissance moyenne de 96 watts à vide (alors qu’une inductance pure n’en consomme pas en régime alternatif classique). En théorie l’inductance s’oppose aux variations du courant qui la traverse d’où la notion de réactance et de déphasage entre le courant et la tension. A vide votre bobine primaire oppose en moyenne une résistance de 1.5 ohms au passage du courant. Toujours en théorie, dans un circuit RL, l’énergie produite par un générateur de courant alternatif est emmagasinée dans le champ magnétique créé par l’inductance quand le courant augmente. Ce champ magnétique se dissipe quand le courant diminue et l’énergie fournie antérieurement est restituée au générateur grâce à la force contre-électromotrice induite E qui s’opposera à la variation du flux inducteur (loi de Lenz). La puissance moyenne mise en jeu dans un circuit purement inductif est donc nulle, elle ne produit aucun travail (puissance réactive = 0). Dans votre système le générateur de fréquence + le relais statique qui forme un générateur de pulsion, ferme et ouvre le circuit à une certaine fréquence, ce n’est pas un générateur classique de courant alternatif donc ce qui est dit plus haut ne s’applique pas vraiment. Lorsque le circuit s’ouvre cette énergie magnétique ne disparaît pas, il se crée un dipôle électrique induit (loi de Lenz)avec amorce d’un arc électrique qui est soufflé par le relais statique (c’est une de ses fonctions) et le fait qu’il soit soufflé ne signifie pas que l’énergie a disparu dans le vide. Un exemple pour bien comprendre: pour « souffler » un arc électrique on peut faire un mécanisme en 3 phases : l’arc serait d’abord allongé, puis il serait fixé sur des cavaliers disposés en quinconce, ce qui le fractionnerait, et enfin, par un effet de boucle on le rallongerait par des chemins imposés entre des plaques réfractaires qui le refroidirait, il pourrait ainsi « s’éteindre » et ceci dans des laps de temps très court sans chaleur apparente détectable car refroidi instantanément. Cet exemple pour se rendre compte que l’arc qui a été « éteint » a consommé de l’énergie. Quand vous fermez le circuit secondaire, cette énergie prend le chemin de moindre action par le biais du circuit magnétique qui induit une f.e.m permettant aux deux lampes d’absorber cette énergie en la transformant en lumière plutôt que de finir dans le relais statique. A vide c’est le relais statique qui consomme l’énergie alors qu’en charge se sont les lampes. Bon dimanche Ma réponse : @Monique. Comme vous en convenez dans le deuxième paragraphe de votre réponse « ce n’est pas un générateur classique de courant alternatif donc ce qui est dit plus haut ne s’applique pas vraiment. » En effet la tension appliquée à la bobine primaire est constante tout au long de chaque séquence de connexion de 3 millisecondes. Nous avons donc une tension continue de 12 volts appliquée pendant 3 millisecondes et une intensité qui varie de façon linéaire de zéro à 32 ampères pendant le même laps de temps. A l’instant ou débute le mécanisme de déconnexion (à l’intérieur du relais statique) il se produit deux phénomènes : 1° : la présence d’une tension induite à l’intérieur de la bobine primaire dont la valeur est d’environ 48 volts car cette bobine contient seulement 20 spires. Cette tension induite est fonction de la vitesse du mécanisme électronique de déconnexion. Dans le cas du relais Crydom le constructeur annonce 1 milliseconde. La tension de « claquage » du relais est de 60 volts et donc en dessous de cette tension il n’y a pas d’étincelle qui soit, d’aucune manière. En cas d’étincelle cela veut dire que le relais est mort. 2° : la baisse progressive de l’intensité primaire, visible à l’oscilloscope, de 32 ampères à zéro, pendant la phase de déconnexion qui dure une milliseconde et cela dans le cas du fonctionnement à vide, c’est à dire sans charge secondaire. En cas de charge secondaire, la tension induite sur la bobine primaire chute brutalement car le champ magnétisant « de contre effondrement » créé par l’intensité qui parcourt la bobine secondaire fait chuter brutalement les tensions induites. L’intensité primaire chute alors d’un seul coup, à la verticale sur l’oscilloscope. La conséquence curieuse est qu’en charge l’intensité primaire baisse de 0,5 ampère par rapport au fonctionnement à vide. On a donc un système qui consomme un petit peu moins en charge qu’à vide. En aucun cas, je le répète, le relais statique n’est le siège de la moindre étincelle et évidemment de la moindre émission d’onde électromagnétique. Au bout de plus de 10 heures de fonctionnement, le relais est froid. S’il devait dissiper 100 watts ce ne serait certainement pas le cas, même avec le radiateur qui l’entoure. En 2005, au début de mes tests, j’utilisais des relais électromécaniques à étincelle. La fréquence de connexion ne dépassait pas 2 hertz à cause de leur inertie mécanique. Je peux vous dire que mes tests ne passaient pas inaperçus des voisins au niveau du brouillage télé. Mais avec les relais statiques c’est terminé. Plus rien. Dans mon ancien métier je travaillais avec des disjoncteurs en THT avec soufflage d’arc et je peux vous dire que cela n’a rien à voir avec un relais statique à mosfet. Autre chose : si l’énergie devait absolument être conservée à vide, et cela en l’absence de rayonnement, il faudrait que la tension induite à la déconnexion renvoie l’énergie dans la batterie. Or c’est l’inverse qui se passe et cette tension induite a pour action de vouloir « continuer la consommation » primaire. A tel point que j’ai pensé à utiliser la tension secondaire « retournée » pour recharger la batterie. J’ai donc fait un système de bouclage de l’énergie dont le résultat à été de diminuer l’intensité générale moyenne consommée au primaire pendant la connexion de la charge secondaire. La configuration géométrique du test n’a pas permis de ramener la consommation à zéro mais de passer d’une consommation à vide de 5 ampère à une consommation en charge de 2 ampères. Tout ceci ne me dit pas ou passe l’énergie consommée à vide et tant pis pour Lavoisier. A suivre... |
Ecrit le: Lundi 09 Novembre 2009 à 15h51
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
9 NOVEMBRE 2009. Bonjour à tous. Comparaison des courbes des éléments de la puissance entre mon test et un circuit sinusoidal. Donc en premier voici un ensemble de courbes relatives à une alimentation sinusoidale Ensuite voici l'ensemble des courbes relatives à l'alimentation de la bobine primaire dans mon test http://www.youtube.com/watch?v=pSZMu6bDH5M Ces deux figures n'ont aucune ressemblance. Mon test MEG n'est en aucun cas dans une logique sinusoidale. A plus... |
Ecrit le: Mardi 10 Novembre 2009 à 09h36
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG 10 NOVEMBRE 2009. Bonjour à tous. Suite du débat sur la disparition du champ magnétique à vide sur http://www.pauljorion.com/blog/?p=4408#comments Le débat central porte sur l'existence de l'ether. Nous sommes au centre de ce débat dans le forum... Ma réponse a été postée à 1 heure ce matin. 1. Nadine dit : 9 novembre 2009 à 19:45 @LABO434 On finit par avoir des infos sur votre relais, c’est un Crydom avec une tension de « claquage » de 60 volts. Donc ce que l’on sait c’est qu’on travaille avec de fortes impédances à l’état bloqué et avec de faibles impédances à l’état passant. Quand dans le primaire le circuit s’ouvre (état bloqué), il se crée un dipôle électrique induit de 48 volts qui s’oppose à la chute de tension liée à la coupure du circuit (loi de Lenz). Cette tension induite est appliquée à la résistance d’isolement (voir notice du relais pour sa valeur) prenons par exemple 100 Méga ohms. Ce qui donne: I=U/Z=48/100Mh=48*10puissance-8 Ampére C’est sûr, là, le relais ne chauffe pas, d’ailleurs s’il chauffe c’est pour des intensités élevées lorsque le circuit est passant. Savez-vous maintenant où et comment a disparu le champ magnétique? PS:Pouvez-vous donner la valeur des impédances du Crydom pour l’état bloqué et l’état passant ? Ma réponse : Comme je l’ai déjà précisé, en position connectée, la résistance ohmique du relais statique Crydom utilisé est de 0,007 ohm car il est constitué de deux mosfets connectés en parallèle de 0,014 ohm chacun. Je ne connais pas la résistance ohmique du relais lors de sa position déconnectée. La seule information que j’en ai est que l’intensité est alors nulle, absolument nulle. Cela signifie qu’aucune puissance ne transite alors à travers lui. Le champ magnétique du test est créé par la bobine primaire pendant les 3 millisecondes de connexion de la bobine primaire. Cette bobine est constituée de 20 spires. Cela amène le champ magnétisant crête à une valeur de 640 ampère tours. Cette valeur crête est donc atteinte au moment exact précédant le début du processus de déconnexion de la bobine primaire au moyen du relais statique. Ce champ magnétisant crête est appliqué sur un circuit magnétique d’environ un mètre de longueur moyenne. Dans mon test, ce circuit magnétique est coupé en deux endroits par un entrefer de 0,48 millimètre, soit une longueur totale d’entrefer de 0,96 millimètre. L’induction magnétique crête atteinte dans mon test est de l’ordre de 0,7 tesla, limitée par la présence de l’entrefer. Le circuit magnétique est donc très loin de la saturation magnétique du fer au silicium qui le compose. Dans le fonctionnement à vide, le champ magnétique commence à décroître à l’instant précis du début du processus de déconnexion du relais statique et cette décroissance dure environ une milliseconde. Au delà de cette durée de temps, le champ magnétique a disparu, deux millisecondes donc avant que la connexion suivante de la bobine primaire ne commence. La décroissance du champ magnétique suit fidèlement la décroissance du champ magnétisant sans aucune forme de retard. La question de savoir « ou » le champ magnétique disparaît n’a pas de sens puisque la disparition est par définition une absence de localisation. Pour faire simple je pourrais dire que le champ magnétique « disparaît sur place ou bien sur lui même » mais c’est une image sans importance. Lors de la connexion de la bobine primaire suivante, la courbe de progression de l’intensité ne change absolument pas. C’est la preuve que l’induction magnétique initiale ( à l’instant du début de la connexion) est nulle car sinon nous aurions progressé dans la courbe de saturation magnétique. Cela nous aurait fait perdre une partie de la réactance d’inductance de la bobine et on aurait infléchi la courbe d’intensité vers une plus grande consommation. L’échange d’énergie avec « le vide » se fait pendant la séquence de connexion et non après. A l’instant ou l’induction magnétique commence à décroître, l’énergie consommée est déjà entièrement transférée. L’induction magnétique crête atteinte est ce que j’appelle « une clé d’organisation » qui va permettre de faire transiter l’énergie en sens inverse « depuis le vide » si une bobine située autour du circuit magnétique est connectée sur une charge pendant la décroissance de cette induction magnétique. L’induction magnétique crête est le pivot du test : il faut l’obtenir avec le moins de wattheures possible. J’exprime donc le « rendement » de l’alimentation de la bobine primaire en wattheure par Weber. Au niveau de la bobine secondaire et de son rendement de production c’est un tout autre problème mais il n’est pas lié à la question soulevée. A suivre… |
Ecrit le: Mardi 10 Novembre 2009 à 11h32
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Labo
Grace à Allais (Maurice, pas Alphonse ) Nous avons la preuve de l'existence de l'ether, mais c'est un ether entourant les planètes, dû à l'anisotropie (non continuité uniforme de l'espace) http://allais.maurice.free.fr/Laius.htm A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mardi 10 Novembre 2009 à 12h09
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 773 Membre n°: 284 Inscrit le: 12/06/2007 |
hello j'ai assisté a cette conference ( mai 2006 ) de Maurice Allais il y avait aussi R L Vallee et son fils il y a beaucoup de referneces en anglais sur les experiences de Dayton - Miller que j'ai deja mis sur un autre forum la science actuelle admet un vent d'energie avec une direction fixe mais pour revenir sur l'existance de l'ether ! c'est pas evident ... |
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Ecrit le: Mardi 10 Novembre 2009 à 16h56
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
bonjour à tous.
Ci joint un lien vers un texte, un de plus, qui démontre l'urgence de la situation énergétique face au climat. http://contreinfo.info/article.php3?id_article=2883 A plus... |
Ecrit le: Mardi 10 Novembre 2009 à 22h16
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous, Hello Labo
Certes, il faut continuer à chercher les énergies alternatives (quoiqu'il doit bien y avoir des tas de brevets rachetés dans les tiroirs, dans le monde)... Il faut surtout écoper la barque, puisqu'elle prend l'eau.. Si les rayons solaires visibles infrarouges et ultraviolets ne peuvent sortir de l'atmosphère à cause de l'écran formé par les gaz à effet de serre, les ondes ultracourtes (VHF, very hight frequency, bien connues des ex radioamateurs) peuvent sortir de notre atmosphère, et il y a une chose que l'on sait très bien faire, c'est "transformer". Alors, transformons la lumière chaleur du soleil en electricité, avec des panneaux solaires, alimentons avec ces panneaux des émetteurs VHF avec leur antennes dirigées vers le ciel et écopons la barque .. Donnons les moyens à la plupart de construire son emetteur VHF de 2000 watts solaires , pour qu'il s'en occupe et le surveille (l'union fait la force).. Ensuite poussons les dirigeants vers l'utilisation de toutes les autres énergies propres..plutôt que de dépenser l'argent pour faire des sondages pour garder un pouvoir temporel provisoire.. A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mercredi 11 Novembre 2009 à 00h09
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous,
bonjour Amateur. Suite du débat sur l'éther. 1. Nadine dit : 10 novembre 2009 à 18:55 @LBO343 A l’ouverture du circuit deux phénomènes contradictoires ont lieu, d‘une part la commande qui veut annuler subitement le courant et d’autre part la bobine qui ne peut subir de discontinuité de courant. Même si le temps de coupure est très petit, on doit dissiper l’énergie due à l’inductance soit E=½LI² Résultat du conflit :C’est la bobine qui « gagne » TOUJOURS en provoquant en l’absence de circuit de protection un arc électrique aux bornes de l’interrupteur pour maintenir le courant. Le circuit de protection: Les relais statiques subissent à chaque blocage une surtension qui peut être destructrice (peut être pas dans votre expérience mais le fabriquant ne les a pas fabriqué que pour vous). Conclusion: le fabriquant du relais Crydom a prévu ce problème en intégrant au relais statique une diode à « roue libre » pour évacuer cette énergie. Ce circuit de protection s’active lorsque la charge inductive n’est plus alimentée par la batterie. Énigme résolue, pas d‘éther, simplement de la technologie humaine! Bonne continuation. PS:D’ailleurs vous avez fait la même expérience avec vieux relais électromécanique à 2 hertz sans circuit de protection, et là vous savez bien où est passé l’énergie à chaque ouverture du circuit… Ma réponse : « on doit dissiper l’énergie due à l’inductance ». Mais c’est déjà fait à l’instant ou débute la décroissance de l’intensité primaire à cause de la déconnexion. L’énergie a été transférée dans « le vide » tout au long de la durée de l’intensité primaire. La « surtension destructrice » ne peut provoquer un dégât que si elle dépasse la tension limite donnée par le constructeur mais je suis dans « la norme et l’anonymat » en provoquant l’apparition d’une tension induite de 48 volts dans la bobine primaire. La particularité d’une diode en roue libre est d’être connectée en parallèle aux bornes de la bobine. Elle n’a aucun pouvoir propre de dissipation de puissance. Dans mon test il n’y a aucune diode placée en parallèle sur la bobine primaire. Le relais statique est connecté en série avec la bobine primaire et la batterie. Une diode en roue libre placée dans le relais statique ne peut pas accéder autrement à la bobine qu’à travers le circuit de la batterie. Dans ce cas cette diode se manifeste par une action de doublage du contact du relais statique et rend la connexion gérée par le générateur de tension rectangulaire impossible. La conséquence d’un tel montage est un court circuit au bout du temps de dépassement de la constante de temps de la bobine primaire. Je n’ai pas observé un tel cataclysme. De plus, s’il y avait évacuation d’énergie dans le relais statique, il devrait chauffer. 100 watts pendant des heures cela doit se sentir au toucher. Mettez la main sur une ampoule à filament de 100 watts et vous verrez bien que de la chaleur en sort, même au bout de 10 secondes. La courbe de l’intensité vue à l’oscilloscope ne signale aucune inversion de sens de l’intensité qui pourrait signifier un reflux de l’énergie vers la batterie. Une trace fantomatique d’intensité décroissante d’une milliseconde de durée est seulement aperçue à vide. Cette trace fantomatique disparaît en charge et provoque une baisse de la consommation moyenne de 0,5 ampère environ par rapport à la consommation à vide. Cela veut dire que le processus de déconnexion de la bobine primaire ajoute un peu de consommation dans le fonctionnement à vide. Il n’y a que de la consommation et aucune manifestation d’énergie transformée. Pauvre Lavoisier. a plus... |
Ecrit le: Mercredi 11 Novembre 2009 à 09h12
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous, Hello Labo
Passionnant ce débat !! Voilà ce que j'ai pu trouver dans les manuels, concernant le rôle de l'entrefer: On emmagasine plus d'énergie avec entrefer.. A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mercredi 11 Novembre 2009 à 14h50
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous,
Bonjour Amateur. Merci pour le texte ci-dessus. Pourrais tu indiquer l’adresse ou il est visible car j’aimerais connaitre la page précédente. Dans ce texte il est dit : « cette énergie, en partie dissipée dans l’étincelle au niveau de l’interrupteur dans un circuit classique, est en grande partie récupérée dans le moteur dans le montage ci-dessus ». J’aimerais bien voir « le montage ci-dessus ». Après cela j’en ferai une « traduction » selon la théorie de l’existence du milieu énergétique, alias l’éther. Merci d’avance. A plus… |
Ecrit le: Mercredi 11 Novembre 2009 à 15h16
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Labo
C'est issu d'un bouquin.. Je scanne les pages et te les envoie en mail.. Peux tu me confirmer, sans l'ecrire ici, que ton nouveau mail est celui sur sfr ?? A plus PS ça y est c'est parti dans ton mail sur sfr.. -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mercredi 11 Novembre 2009 à 16h18
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Rebonjour à tous,
Merci Amateur pour les textes que je viens de recevoir par e-mail. Le texte qui m’interessait est celui-ci : En effet le schéma montre clairement que la bobine est connectée à un moteur électrique à courant continu à travers une diode. Le texte précédent dit que l’énergie est « en grande partie récupérée par le moteur ». Et s’il n’y a rien de connecté ? Et si en plus il n’y a pas d’étincelle ? Et bien dans ce cas c’est ce qui se passe dans la vidéo http://www.youtube.com/watch?v=pSZMu6bDH5M à vide. Le schéma dont la photo est affichée ci dessus est celui de la diode « en roue libre » et l’énergie est ici dissipée dans un travail mécanique. Dans mon test je comble « un trou de mémoire » dans la documentation générale disponible. A plus… |
Ecrit le: Mercredi 11 Novembre 2009 à 17h59
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Labo
En effet on récupère de l'energie emmagasinée dans la bobine, et Nadine semble dire que le relais statique contient en interne une diode en roue libre et montée en inverse (entre source et drain du mosfet) et qui permettrait de renvoyer cette énergie récupérée, au moment du blocage du relais vers la batterie !! (avec le circuit composé alors de la batterie, de la bobine et de la diode, le tout en série. La diode court-circuitant le transistor en état bloqué) Mais, je me souviens qu'on a fait un test (en début d'année) pour vérifier si on récupérait quelque chose, et on avait conclu que non et que la batterie se vidait quand même selon l'intensité moyenne débitée.. Il faudrait refaire ce test en mettant un condensateur aux bornes de la batterie pour adoucir et être sûr de récupérer ces pointes de tensions de déconnexion. A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mercredi 11 Novembre 2009 à 18h30
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonsoir à tous,
Bonsoir Amateur. L’oscilloscope est formel : aucun courant inverse n’a lieu pendant la séquence d’alimentation de la bobine primaire. La décharge de la batterie est un fait avéré qui s’est déroulé sur plus de 10 heures. D’autre part le reflux de l’énergie à vide aurait fait baisser l’intensité au niveau de l’ampèremètre à aiguille fixé sur la borne « moins » de la batterie. Ce reflux d’énergie, j’ai réussi à le créer mais avec la bobine secondaire connectée « en inverse » du sens du bobinage de la bobine primaire. Cela était observable par l’ampèremètre à aiguille, ce qui veut dire que ce dernier est pertinent pour confirmer qu’aucun courant inverse ne se produit à vide sur la bobine primaire. Les tensions de déconnexions ne sont pas l’objet de la recherche : c’est l’intensité que l’on traque car elle seule peut signifier qu’une puissance transite. Dans mon test, au niveau de la bobine primaire, il n’y a que de la consommation sur la batterie et jamais de courant de recharge vers celle-ci. D’autre part, aucune émission d’énergie n’est constatée à part la très faible perte ohmique. C’est désespérément simple. Je suis curieux de voir ce qu’ils vont trouver pour « sauver » la conservation de l’énergie. A plus… |
Ecrit le: Jeudi 12 Novembre 2009 à 19h28
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous.
Encore une alerte : http://contreinfo.info/article.php3?id_article=2884 Ca se précise de plus en plus. En attendant les délestages... Amateur, il me semble t'avoir croisé chez Jorion... C'était bien toi ? A plus... |
Ecrit le: Jeudi 12 Novembre 2009 à 21h00
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous et Labo
Oui, c'était bien moi Y a des trucs illogiques dans la relativité, alors j'ai demandé des éclaircissements.. Normalement les formules des longueur et temps relativistes sont: 1) Pour les longueurs: L(v)=L0 * racine (1-v²/c²) avec L(v) = longueur à la vitesse considérée L0 = longueur au repos v= la vitesse considérée c= la vitesse de la lumière (célérité) Donc quand la vitesse v de la particule (sans masse) atteint la célérité c de la lumière, la longueur devient nulle pour cette particule. C'est à dire qu'elle est arrivée dès qu'elle est partie et que tout ce qu'elle rencontre en chemin dans le sens de son déplacement, a une longueur ou épaisseur nulle !! 2) Pour le temps: T(v)=T0 / racine (1-v²/c²) avec T(v) = déroulement du temps à la vitesse considérée T0= déroulement du temps au repos v= la vitesse considérée c= la vitesse de la lumière (célérité) Donc quand la vitesse v de la particule (sans masse) atteint la célérité c de la lumière, le temps devient infini (s'arrête) pour cette particule. C'est à dire qu'elle ne vieillit pas pendant le trajet !! Ce qui est tout à fait bizarre, car la lumière est arrétée ou absorbée par les obstacles qui ont théoriquement une épaisseur nulle pour elle.. Un rayon laser (qui est une kalachnikov envoyant des photons de célérité c) ne devrait par percer une porte puisque cette dernière à une épaisseur nulle pour les rafales de photons.. A plus Amateur qui attend des éclaircissement des grosses têtes PS: Labo, on dirait qu'elle cale Nadine !! Tous les watts seraient dissipés dans la diode en roue libre !! ahahahah !! C'est quoi les appellations des mosfets à l'intérieur de ton relais statique déjà que je vérifie s'il y a des diodes en roue libre de protection ?? Merci -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Jeudi 12 Novembre 2009 à 22h58
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonsoir à tous,
bonsoir Amateur. Je viens de t'envoyer la doc sur les relais par e-mail. L’intérêt de faire un test avec une certaine puissance c’est de s’écarter des incertitudes causées par les mesures. Lorsque l’oscilloscope indique que l’intensité primaire décroît en une milliseconde, cela ne signifie pas que la batterie se recharge mais bien qu’elle cesse de se décharger. Le mouvement de circulation de l’énergie ne change pas d’un iota dans le circuit de la bobine primaire : ou cela va vers « l’éther » ou bien cela est arrêté. En plus le système de diode en roue libre ne dégage l’énergie de l’inductance que par la résistance ohmique de la bobine ou elle est placée en parallèle. On revient toujours à ce fait que mon test est froid et reste froid pendant des heures. A plus... |
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