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> LABO343's MEG
Ecrit le: Samedi 12 Décembre 2009 à 17h36 Posted since your last visit
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Hello Cisco icon_smile.gif

Tu as fait un montage spécial, avec compression et maintien des tôles au préalable ? Tu as attaqué les tôles par le travers ou en pleine face ? Et avec une défonceuse ?
A plus


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Ecrit le: Samedi 12 Décembre 2009 à 18h03 Posted since your last visit
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J’ai juste remis des vis dans les trous déjà présents sur les blocs avec un fer plat pour tenir l’ensemble et le tout dans l étau de la fraiseuse.

Un de mes premiers essais.
user posted image

La défonceuse, pour la vitesse de broche, c’est même excessif. Mais Pour la tenir et faire une découpe précise et suivre un contour ça va être du sport.

A plus
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Ecrit le: Samedi 12 Décembre 2009 à 18h50 Posted since your last visit
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Hello Tous et Cisco icon_smile.gif

Merci pour la réponse.. Oui pas mal le boulot !!
J'ai une défonceuse et la table pour la faire travailler en dessous, mais c'est vrai que ce n'est pas simple pour usiner ce genre de piece !!

A plus


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Ecrit le: Samedi 12 Décembre 2009 à 19h07 Posted since your last visit
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Bonsoir à tous, icon_biggrin.gif

ça bosse dur les p'tit loups !!
Perso je fait ça à la scie à métaux plus coup de lime,
Comme le précise Labo, tant que ça tourne pas ça va.
Cisco, il nous fait ça comme un pro comme d'hab.

Pas pu avancé aujourd'hui, le samedi c'est toujours la galère.

Bon courage à tous.

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Ecrit le: Samedi 12 Décembre 2009 à 21h32 Posted since your last visit
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heu juste comme ca c'est pas mieux les découpes a l'eau ...
si non si vous savez modélisé en trois 3 y a ce site la pour les petite pièces qui fait des truc précis au 5 centième "si je me souvient bien"

shapeways.com

sur un autre forum un gars que je connais fait des truc comme ca icon_wink.gif
user posted image

et un autre fait ca
mais c'est un truc de fondu icon_wink.gif

http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=69285899.jpg

lien vers des pieces réalisé par ce gars


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Ecrit le: Dimanche 13 Décembre 2009 à 00h30 Posted since your last visit
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Bonsoir à tous.

Je pense avoir fait une erreur sur le sens d'action de la bobine selon la croissance ou la décroissance du champ magnétique avec la variation de réluctance.
En fait la bobine en charge s'oppose à l'aimant permanent pendant la phase de croissance du flux (la diminution de la réluctance) et au contraire renforce l'action de l'aimant permanent dans la phase de décroissance du flux ( augmentation de la réluctance). Donc au bilan la charge ohmique crée un frein mécanique sur l'axe du rotor. Il faut donc que je revoie précisément le plan traduit. Comme quoi il vaut mieux avancer lentement dans ces jeux de circulation d'énergie. Vous m'excuserez de cet emportement d'optimisme. Mais cela ne change pas le fait que cette piste est très interessante. Il faut retrouver la bonne asymétrie.
Je m'y replonge.
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Ecrit le: Dimanche 13 Décembre 2009 à 09h32 Posted since your last visit
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Bonjour à tous.

Cette nuit j'ai repensé à ces bilans d'énergie pendant une variation de réluctance et je raisonne en comparaison avec mon test MEG. Dans mon test la piste consiste à trouver une asymétrie dans la réluctance entre la bobine primaire et la bobine secondaire. Dans le cas du sytème à variation de réluctance dont on parle il ne faut pas oublier la réluctance propre de l'aimant permanent et il faut voir comment cela s'imbrique dans le bilan d'énergie. D'autre part il faut voir si l'on peut jouer sur la création d'une asymétrie dans l'utilisation de la réluctance variable entre la phase de diminution de la réluctance et la phase de croissance de cette réluctance.

La réluctance, c'est ce qui fera que l'action d'opposition du courant de charge au champ variant qui lui a donné naissance sera plus ou moins intense. Le courant de charge c'est l'intensité qui traverse la charge et qui crée en retour dans la bobine productrice un champ magnétisant dont la grandeur est fonction de l'intensité et du nombre de spires n x i. Mais ce champ magnétisant ne se transforme en induction magnétique (en teslas) qu'en fonction de la réluctance du circuit magnétique traversé. Donc cette réluctance sera fonction de la position géométrique du rotor à un instant donné et aussi de la traversée de l'aimant permanent. Dans mon test MEG j'ai constaté que l'aimant permanent est presque de la meme perméabilité magnétique que l'air ! autant dire que c'est un entrefer. Mais je ne sais pas comment cela se passe si les inductions magnétiques s'ajoutent (celle du champ magnétisant de la bobine en charge avec celle de l'aimant permanent).

Autant dire qu'il y a beaucoup a voir encore.
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Ecrit le: Dimanche 13 Décembre 2009 à 19h23 Posted since your last visit
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Bonsoir à tous,
Bonsoir LABO,

Je suis passé chez JPC, il faisait des copeaux. icon_biggrin.gif
user posted image

Cisco, j' espère que tu as installé un chauffage dans ton atelier. icon_biggrin.gif

Citation (LABO343 @ Samedi 12 Décembre 2009 à 16h10)

Dans le test ci dessus on n'est pas dans la logique des forces de Laplace mais dans celle de la création d'une tension dans une bobine soumise à un champ magnétique variant. Ce champ est variant en intensité mais il est fixe dans sa géométrie : il n'y a pas de déplacement du champ et de la bobine dans l'espace, l'un par rapport à l'autre. Donc la loi de Lenz s'applique en opposant à la variation de réluctance une action d' atténuation de l'intensité de cette variation. Cela veut dire que le bilan mécanique est nul pour un cycle complet de rotation du rotor.


Labo Ton commentaire s' applique parfaitement au Roto-Commutateur. Nous allons vérifier ça rapidement. icon_biggrin.gif

A++
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Ecrit le: Dimanche 13 Décembre 2009 à 22h59 Posted since your last visit
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Bonsoir à tous,
bonsoir Yatanagan.
J'attends les tests mécaniques avec impatience. Je sais que ce test évite les forces de Laplace. Je pense qu'on peut trouver une asymétrie dans le flux d'énergie dans ce test en jouant sur les reluctances.
Je continue l'étude demain.
Bonne continuation.
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Ecrit le: Dimanche 13 Décembre 2009 à 23h00 Posted since your last visit
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oups je parlais de modélisation 3D bien sur je m'en suis redu compte en relisant mon commentaire désolé


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Ecrit le: Lundi 14 Décembre 2009 à 11h06 Posted since your last visit
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Bonjour à tous,
bonjour Lhorna.

Le texte anglais sur le générateur à variation de réluctance parle d’effort nul sur l’axe de rotation pendant sa connexion sur une charge. Vous vous doutez bien que cela ne laisse pas indifférent. C’est ce qui m’a emballé et fait oublier de rester prudent et précis. En regardant à nouveau la bobine (ou les bobines s’il y en a deux face à face comme dans la figure 3 du texte) je me suis dit que cela ressemblait à mon test MEG. En conséquence cette bobine sera le siège d’une tension d’une polarité donnée dans le cas de la croissance du champ magnétique qui la traverse et d’une polarité opposée dans le cas de la décroissance du champ qui la traverse. Mais l’aimant permanent, lui, ne change pas de polarité. Donc la bobine productrice en charge aura un champ magnétisant qui sera de même sens que celui de l’aimant dans un des sens de la variation de réluctance et ensuite ce champ magnétisant sera de sens opposé à celui de l’aimant permanent lorsque la variation de réluctance changera de sens. Là on ne peut pas se tromper : la polarité de la bobine de production donne le sens au courant qui la traverse.

Maintenant se pose la question de la polarité effective de la tension de la bobine dans un des cas de la variation de réluctance. Cette tension est une tension continue, tant que le champ magnétique varie dans le même sens, par exemple sa décroissance. Mais cette tension « continue » sera de voltage fixe si le champ varie de façon linéaire, ce qui ne sera sûrement pas le cas. En effet un rotor taillé pour la variation de réluctance aura toutes les difficultés pour effectuer une variation linéaire de l’intensité du champ magnétique. C’est à cause de la répartition géométrique des sections de passage du flux. Donc, c’est probable, on aura une tension continue variant en voltage le long de la séquence de croissance ou de décroissance du champ magnétique.

Je n’ai jamais testé ce montage et je ne peux parler de la polarité de la tension produite que par déduction. Le test de machine à variation de réluctance que j’ai fabriqué il y a longtemps se basait sur l’utilisation d’une simple bobine qui attirait le rotor dans sa position de réluctance minimale. Donc j’utilisais la croissance du champ magnétique pour produire de la force mécanique. Dans ce test il est apparu une contre tension dans la bobine qui a eu pour effet de limiter le courant qui y circulait. Cette contre tension était fonction de la vitesse prise par le rotor et à une certaine vitesse atteinte il y a eu arrêt de l’accélération.
La conclusion que j’en tire est que la contre tension induite s’oppose à la croissance du champ magnétique. Cela se passe de la même façon dans mon test MEG pendant la phase de croissance du champ magnétique : la contre tension d’inductance s’oppose à la tension d’alimentation. Donc je me dis que dans ce nouveau test cela va se passer de la même façon pendant la croissance du champ magnétique ( c’est à dire pendant la diminution de la réluctance ) : la tension créée dans la bobine de production va s’opposer… Mais à quoi ?
Elle ne va pas s’opposer à une tension d’alimentation car il n’y en a pas. Le champ magnétique initial est créé par un aimant permanent. Il est donc clair qu’à vide cette tension ne s’oppose à rien. Par contre, en connectant la bobine sur une charge cette tension produite va créer un courant, en fonction de la valeur de la résistance ohmique de la charge. Ce courant traverse effectivement la bobine et crée de ce fait un champ magnétisant. Je dis, par déduction prudente que ce champ magnétisant va s’opposer au champ magnétique effectif de l’aimant permanent. Prenons cette hypothèse pour vraie. Que va t’il se passer au niveau du bilan d’énergie de cette phase de diminution de la réluctance ? Sans la bobine connectée, cette phase de décroissance de la réluctance produit de l’énergie tirée de l’éther. Avec la bobine connectée sur une charge il va y avoir diminution de l’induction magnétique moyenne pendant la variation de réluctance. La conséquence en sera la diminution de la puissance transférée depuis l’éther, tout au long de cette diminution de la réluctance. Tout ceci est un ensemble de déductions et non une observation, il faut le préciser.

Inversement et selon les mêmes déductions, pendant la séquence de croissance de la réluctance ( de diminution du champ magnétique, donc) la tension produite par la bobine va créer un champ magnétisant qui va s’ajouter au champ magnétique effectif de l’aimant permanent (si la bobine est connectée sur une charge).
La conséquence énergétique en sera que l’induction magnétique moyenne présente pendant cette phase sera augmentée. Or l’augmentation de l’induction magnétique pendant l’augmentation de la réluctance c’est l’augmentation de la consommation d’énergie. Autrement dit, une plus grande quantité d’énergie va circuler vers l’éther : en pure perte.

Si ceci est une réalité, il est inutile de l’escamoter. Mais, une fois ce mécanisme posé, rien ne nous empêche de regarder comment on peut y créer une asymétrie qui nous soit favorable.
De quoi disposons nous ?
La géométrie du couple rotor / stator dans la figure 3 est à explorer. Je pense que c’est la piste que suit Quartz.
Le comportement réluctant de l’aimant permanent par rapport à un flux extérieur situé sur son circuit magnétique est il symétrique selon le sens de ce flux extérieur ?
La variation de réluctance elle même peut être le siège d’une asymétrie en connectant la charge de la bobine selon une séquence de temps particulière. C’est une piste voisine que je suis dans mon test statique du MEG. Je cherche à obtenir une asymétrie dans le bilan des réluctances au moyen d’entrefers à action asymétrique selon la croissance ou la décroissance du champ magnétique.

Les tests pratiques qui sont en cours nous apprendront beaucoup.
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Ecrit le: Lundi 14 Décembre 2009 à 12h22 Posted since your last visit
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Bonjour à tous, icon_biggrin.gif

Labo, cette nouvelle façon de considérer l'induction nous amène à voir les choses sous un angle différent.
Rien que pour cette raison c'est une bonne démarche.

Lorsqu'une bobine à noyau de fer passe devant un aimant il y a induction de cette dernière qui développe en sont noyau un champ magnétique opposé, ok.
se champ est contraint d'apparaitre en surface de noyau si non il n'y aurait pas opposition magnétique.
De ce point de vu on peut penser que le noyau de fer de la bobine est entièrement polarisé à l'inverse du flux créateur.
mécaniquement parlant, on pourrait dire que la bobine s'oppose à l'entée du flux de l'aimant dans sont noyau, elle fait barrage.
Je n'avais jamais adopter se point de vu, qui est peut être faux par ailleurs, mais bon ça à le mérite de faire phosphorer.
Cela nous amène en parallèle à penser que si la bobine lutte contre l'entrée du flux,
La pièce polaire de court circuit (rotor) non polarisé de faite, va bien adopter la polarité que lui impose la bobine.
Et comme tu le souligne Labo, l'entre du pôle dans la bobine, ne va poser aucun problèmes,
en revanche la sortie devrait produire une accentuation de l'intensité du flux à la perpendiculaire de la bobine induite.
Ce qui a avoir pour conséquence la diminution du flux disponible pour la bobine suivante.
D'où l'intérêt de ne pas prélever la FEM issue du flux sortant.

A+++


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Ecrit le: Lundi 14 Décembre 2009 à 13h15 Posted since your last visit
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Bonjour à tous,
Bonjour Quartz.

Ce que j’aimerais savoir c’est le comportement de l’aimant permanent par rapport à un champ magnétisant opposé ou bien de meme sens situé sur son propre circuit magnétique. Le but c’est bien sur de trouver une asymétrie exploitable.
Ma seule observation se ramène à un test du MEG avec l’aimant permanent placé dans le noyau central comme dans le test de Bearden. J’avais placé les deux bobines primaire et secondaire sur le même noyau que l’aimant permanent. Je voulais tester l’annulation du champ permanent par la bobine primaire et voir ce qui « sortait » sur la bobine secondaire : hélas, presque rien en puissance de sortie. J’avais lu ensuite que l’aimant permanent se comportait comme un véritable entrefer en cas d’opposition à son flux et que sa perméabilité magnétique était comparable à l’air. Mais dans le cas de l’addition des deux champs magnétiques je ne sais rien. Est ce qu’un membre du forum aurait la réponse ? Est ce qu’on additionne la puissance magnétisante d’un aimant permanent avec celle d’une bobine placée sur son même circuit magnétique, elle même ayant la même puissance magnétisante, par exemple ? Est ce qu’un aimant permanent qui donne une induction magnétique de 1 tesla dans son circuit magnétique va contribuer à faire augmenter cette induction magnétique si une bobine ayant la même force magnétisante lui est ajoutée ? Je me doute que le résultat ne sera pas 2 teslas car on serait dans la « zone rouge » de la saturation magnétique. Mais savoir combien cela donne m’intrigue.
Comme beaucoup d’entre nous ont fait des tests avec des aimants combinés avec des bobines, peut être y a t’il des infos utiles à faire circuler.

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Ecrit le: Lundi 14 Décembre 2009 à 14h22 Posted since your last visit
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Ce soir je vais tenter une simulation pour voir,
Cela nous donnera une idée de la position du logiciel de simulation sur cet aspect.

A+++


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Ecrit le: Lundi 14 Décembre 2009 à 21h32 Posted since your last visit
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Bonsoir à tous, icon_biggrin.gif

La première simulation montrant un circuit magnétique simple, sans courant dans la bobine.
user posted image
Seconde image montrant le même circuit magnétique mais cette fois un courant est injecté dans la bobine.
user posted image
Il apparait clairement que le champ est globalement plus important dans le circuit magnétique, et particulièrement dans la bobine.

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Ecrit le: Mardi 15 Décembre 2009 à 10h16 Posted since your last visit
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Citation (LABO343 @ Lundi 14 Décembre 2009 à 12h15)
Bonjour à tous,
Bonjour Quartz.

Ce que j’aimerais savoir c’est le comportement de l’aimant permanent par rapport à un champ magnétisant opposé ou bien de meme sens situé sur son propre circuit magnétique. Le but c’est bien sur de trouver une asymétrie exploitable.
Ma seule observation se ramène à un test du MEG avec l’aimant permanent placé dans le noyau central comme dans le test de Bearden. J’avais placé les deux bobines primaire et secondaire sur le même noyau que l’aimant permanent. Je voulais tester l’annulation du champ permanent par la bobine primaire et voir ce qui « sortait » sur la bobine secondaire : hélas, presque rien en puissance de sortie. J’avais lu ensuite que l’aimant permanent se comportait comme un véritable entrefer en cas d’opposition à son flux et que sa perméabilité magnétique était comparable à l’air. Mais dans le cas de l’addition des deux champs magnétiques je ne sais rien. Est ce qu’un membre du forum aurait la réponse ? Est ce qu’on additionne la puissance magnétisante d’un aimant permanent avec celle d’une bobine placée sur son même circuit magnétique, elle même ayant la même puissance magnétisante, par exemple ? Est ce qu’un aimant permanent qui donne une induction magnétique de 1 tesla dans son circuit magnétique va contribuer à faire augmenter cette induction magnétique si une bobine ayant la même force magnétisante lui est ajoutée ? Je me doute que le résultat ne sera pas 2 teslas car on serait dans la « zone rouge » de la saturation magnétique. Mais savoir combien cela donne m’intrigue.
Comme beaucoup d’entre nous ont fait des tests avec des aimants combinés avec des bobines, peut être y a t’il des infos utiles à faire circuler.

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Hello Tous, Hello Labo et Quartz icon_smile.gif


Jamais fait ce test, mais je pense que les deux FMM (forces magnéto motrices) de l'aimant permanent et de la bobine montée en série doivent s'ajouter tant qu' il y a des domaines de Weiss dans le fer doux qui ont de la marge de rotation pour s'orienter dans le sens du champ (après, c'est la saturation, car tous les domaines de Weiss sont orientés au mieux de leur possibilité de rotation). Si j'arrive à dégager du temps, je fais l'essai avec ma sonde de hall pour mesurer le champ..
N'oublions pas qu'un aimant ou que le champ magnétique transmet son pouvoir, sa puissance à tout ce qui le reconnait, c'est à dire les substances ferromagnétiques principalement.. Un barreau de fer doux devient un aimant quand il est plongé dans un champ magnétique..

Comme quoi, Dieu aimant exhausse et donne sont pouvoir à ceux qui croient en Lui.
Y en a mêmes qui gardent les stigmates de sa puissance s'il s'éloigne, ce sont les aimants permanents justement icon_smile.gif

A plus icon_smile.gif


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Ecrit le: Mardi 15 Décembre 2009 à 13h07 Posted since your last visit
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Hello Tous, Hello Quartz icon_smile.gif

J'ai cogité et ai pondu ce montage (voir image ci-dessous), dans lequel le rotor en fer doux feuilleté est soumis à deux circuits magnétiques dont les aimants provoquent des champs inverses dans les branches coupées alternativement par le rotor (d'un morceau):


user posted image

Peux tu, Quartz, si tu as le temps, faire une simulation avec ce montage, pour voir ce qui s'y passe, en tournant le rotor de 10 ou 20 degrés, dans le même sens, à chaque fois ?

Merci

A plus icon_smile.gif


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Ecrit le: Mardi 15 Décembre 2009 à 13h14 Posted since your last visit
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Bonjour à tous, icon_biggrin.gif

Amateur, sans simulation je peux te dire qu'il va se produire une variation de flux extrêmement faible dans les bobines,
le champ va passer par l'entrefer présent entre les circuits magnétiques.
Ou par le rotor selon sa position donc le variation de flux sera faible et toujours de la même orientation.
Je tente la simulation se soir pour confirmer.

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Ecrit le: Mardi 15 Décembre 2009 à 13h19 Posted since your last visit
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Ok merci Quartz
On peut augmenter les entrefers entre les deux circuits (par exemple en faisant partir les branches en biais se rejoignant presque auprès du rotor). Biensûr, un entrefer mini pour le rotor dans sa cavité.

On peut aussi imaginer d'autres configurations ou montages dans lesquels le rotor (oblong) n'aura pas de position de réluctance mini privilégiée avec donc un couple mini à exercer pour le faire tourner .. (par exemple, si on multiplie le nombre de branches arrivant sur le rotor, ce dernier ne saura pas trop à quel saint aimant se vouer icon_smile.gif )


user posted image


Merci d'avance pour les simuls icon_smile.gif

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Ecrit le: Mardi 15 Décembre 2009 à 13h28 Posted since your last visit
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Bonjour à tous,
bonjour Amateur.

Ce test de vérification du comportement d’un aimant permanent en présence d’un électroaimant opposé est très important. En effet si un électroaimant pouvait
« effacer » temporairement l’induction magnétique d’un aimant permanent, cela ouvrirait directement les portes de la surunité. Je m’explique. Considérons un moteur à variation de réluctance composé d’un rotor en fer doux de forme adéquate. Considérons ensuite un stator composé d’un aimant permanent placé en série avec un électroaimant (en série veut dire, pour moi, que ces deux sources d’aimantation sont situées sur le meme circuit magnétique, l’une après l’autre). Dans la première phase de la rotation la réluctance est maximale et l’électroaimant est déconnecté. Donc il va y avoir production d’énergie mécanique depuis l’éther jusqu’à ce que le rotor se place en position de réluctance minimale. Ensuite il faudrait théoriquement dépenser la meme énergie pour revenir à la réluctance minimum. Mais, si au moment ou on va faire revenir le rotor à sa position initiale on connecte la bobine avec une polarité inverse à l’aimant permanent, que va-t-il se passer ? On suppose que le champ magnétisant de la bobine serait tel qu’il y aurait annulation du champ permanent. Si l’induction magnétique créée par l’électroaimant arrive à « s’exprimer » malgré la réluctance dingue de l’aimant permanent, alors on aurait un résultante d’induction magnétique « zéro ». Et que se passe t’il alors ? Le rotor revient à sa position initiale sans apport d’énergie, sans consommation. La bobine « verra » bien un flux magnétique « zéro » varier en réluctance mais variation de zéro = zéro !
Donc, si ca marche, on n’aurait pas de tension contraire induite dans la bobine, qui s’oppose à sa tension d’alimentation. Conséquence : la consommation de la bobine ne serait qu’ohmique soit trois fois rien. Conséquence : on a directement une asymétrie dans la circulation de l’énergie. L’enjeu est évident.

Donc cette histoire de traversée du champ magnétique d’un aimant permanent par celui d’une bobine a une réelle portée. Je n’ai pas la possibilité actuelle de faire un test rotatif (budget zéro pointé) mais on peut vérifier le concept avec un test de portance. En effet on peut faire un montage composé d’un aimant permanent et d’une bobine en série en forme totale de « U » et y placer un barreau de fer doux pour tester le poids nécessaire à l’arrachement. Cela permettrait de savoir à quel moment il y a annulation du champ total et si la chute du barreau ne restituait pas un champ partiel. En effet il faut que l’annulation du champ magnétique soit totale durant toute la durée de la chute du barreau pour confirmer qu’il n’y a pas de tension induite parasite dans la bobine.

Il restera à voir aussi si l'on a affaire à l'inductance de la bobine et dans quelle proportion cela peut il nuire. Je n'en sais rien.

A plus…
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Ecrit le: Mardi 15 Décembre 2009 à 14h52 Posted since your last visit
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Amateur les simulations serons postées se soir car la ou je suis, la liaison ramouille sévère.
Mais c'est conforme à se que je t'ai raconté,
Concernant ton second schéma, le rotor va se mettre préférentiellement dans la position ou t l'as dessiné.

Labo, le soucie avec l'annulation du champ par un électroaimant,
c'est l'énergie dont on a besoin qui, et ceci dans tous les tests que j'ai pu faire,
est égale au moins mais supérieur le plus souvent à l'énergie récupérable.
Il faut d'abord chassé le champs (pas facile) puis le tenir à distance.
dés que l'on chasse le champ on subit déjà une auto induction bien sur,
mais augmenté par le champ présent de l'aimant qui s'en va.
J'ai été relativement long à comprendre se phénomène qui est bien réelle pourtant.

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Ecrit le: Mardi 15 Décembre 2009 à 16h00 Posted since your last visit
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Citation (LABO343 @ Mardi 15 Décembre 2009 à 12h28)
Bonjour à tous,
bonjour Amateur.

Ce test de vérification du comportement d’un aimant permanent en présence d’un électroaimant opposé est très important. En effet si un électroaimant pouvait
« effacer » temporairement l’induction magnétique d’un aimant permanent, cela ouvrirait directement les portes de la surunité. Je m’explique. Considérons un moteur à variation de réluctance composé d’un rotor en fer doux de forme adéquate. Considérons ensuite un stator composé d’un aimant permanent placé en série avec un électroaimant (en série veut dire, pour moi, que ces deux sources d’aimantation sont situées sur le meme circuit magnétique, l’une après l’autre). Dans la première phase de la rotation la réluctance est maximale et l’électroaimant est déconnecté. Donc il va y avoir production d’énergie mécanique depuis l’éther jusqu’à ce que le rotor se place en position de réluctance minimale. Ensuite il faudrait théoriquement dépenser la meme énergie pour revenir à la réluctance minimum. Mais, si au moment ou on va faire revenir le rotor à sa position initiale on connecte la bobine avec une polarité inverse à l’aimant permanent, que va-t-il se passer ? On suppose que le champ magnétisant de la bobine serait tel qu’il y aurait annulation du champ permanent. Si l’induction magnétique créée par l’électroaimant arrive à « s’exprimer » malgré la réluctance dingue de l’aimant permanent, alors on aurait un résultante d’induction magnétique « zéro ». Et que se passe t’il alors ? Le rotor revient à sa position initiale sans apport d’énergie, sans consommation. La bobine « verra » bien un flux magnétique « zéro » varier en réluctance mais variation de zéro = zéro !
Donc, si ca marche, on n’aurait pas de tension contraire induite dans la bobine, qui s’oppose à sa tension d’alimentation. Conséquence : la consommation de la bobine ne serait qu’ohmique soit trois fois rien. Conséquence : on a directement une asymétrie dans la circulation de l’énergie. L’enjeu est évident.

Donc cette histoire de traversée du champ magnétique d’un aimant permanent par celui d’une bobine a une  réelle portée. Je n’ai pas la possibilité actuelle de faire un test rotatif (budget zéro pointé) mais on peut vérifier le concept avec un test de portance. En effet on peut faire un montage composé d’un aimant permanent et d’une bobine en série en forme totale de  « U » et y placer un barreau de fer doux pour tester le poids nécessaire à l’arrachement. Cela permettrait de savoir à quel moment il y a annulation du champ total et si la chute du barreau ne restituait pas un champ partiel. En effet il faut que l’annulation du champ magnétique soit totale durant toute la durée de la chute du barreau pour confirmer qu’il n’y a pas de tension induite parasite dans la bobine.

Il restera à voir aussi si l'on a affaire à l'inductance de la bobine et dans quelle proportion cela peut il nuire. Je n'en sais rien.

A plus…

Hello Quartz et Labo icon_smile.gif

Merci pour vos réponses, interventions et essais..

Quartz: La position du rotor, à mon avis n'est pas sûre, si les branches morcelées à son pourtour aboutissent de l'autre côté à UN seul aimant permanent cylindrique à aimantation radiale (ou diametrique) et se partagent toutes une partie du champ de ce seul aimant (un seul Dieu à satisfaire au mieux icon_smile.gif ).. Il suffirait de créer un nombre de morcellements impair, ou que le rotor n'en conduise simultannément qu'une partie inférieure à 50% du champ total, les autres parts du champ, insatisfaites et en position de force réclameront aussi leur part de conduction et seraient même peut être amenées à faire tourner le rotor d'elles mêmes, Non ?? icon_smile.gif (enfin c'est mon point de vue) Merci pour ton point de vue Quartzelet de, je suppose Paris (que j'ai été visité la premiere fois en locomotive en 1957) icon_smile.gif

Labo. Aussitôt dit, aussitôt fait.. J'ai fait l'essai avec l'aimant permanent et la bobine montés en série et opposition de champ sur un circuit magnétique fait de fer doux.
Voici les résultats et photos:

1) Sans courant dans la bobine:

user posted image

2) Avec circulation d'un courant d'environ 6A (je dépasse l'échelle de l'ampèremetre)

user posted image

La plaque de fer doux tombe quasiment instantannément (établissement du courant dans la bobine) à la connexion de la batterie.

Remarque qui me parait importante.

A la différence de la bobine, le champ de l'aimant permanent persite (un côté de la plaque reste collé à la branche ).. Le champ de la bobine cesse de jouer son rôle d'annulation du champ de l'aimant permanent, dès que le circuit magnétique est ouvert, même si un courant la parcoure.

Labo, donne moi plus de précisions sur la séquence qu'il faudrait pour exploiter ton idée, afin que je puisse réflechir et concevoir le circuit électronique qui y conduira. Merci Labounia du Sud icon_smile.gif


A plus icon_biggrin.gif


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Ecrit le: Mardi 15 Décembre 2009 à 16h26 Posted since your last visit
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Merci de relire mes posts, car quelquefois je les corrige dans la foulée au gré de l'inspiration qui me vient .. et vous pourriez lire une première version incomplète..

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Ecrit le: Mardi 15 Décembre 2009 à 17h33 Posted since your last visit
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Rebonjour Tous icon_smile.gif

En multipliant par 4 le nombre de spires de la bobine du test précédent, la plaque de fer doux tombe à 1,2 A

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Ecrit le: Mardi 15 Décembre 2009 à 18h24 Posted since your last visit
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Bonsoir à tous,
Bonsoir Amateur et Quartz.

Le test est concluant mais il se passe ce que je craignais : il persiste une aimantation lorsque le barreau commence à tomber. Peut être faudrait il que l’aimant permanent soit situé entre deux bobines et que donc le barreau n’ait pas de contact direct avec l’aimant permanent.
Ou bien il faudrait fabriquer un bobinage concentrique autour de l’aimant permanent pour que leurs lignes de forces soient parfaitement symétriques dans leur opposition. Mais dans ce cas je ne sais pas si ca fonctionnera car le noyau de cette bobine sera du matériau magnétique et non du fer doux.

Ce qui est sur c’est que la plaque de fer tombe. Or l’énergie maximum transmise se situe aux alentours du moment de la réluctance minimale. Il y a peut être quelque chose à gagner.

Le problème du bilan d’énergie c’est qu’on ne peut pas le voir sur un test de portance. Il faut nécessairement un test rotatif et voir si ca accélère. Si le régime se stabilise à un certain niveau on reste dans un moteur qui échange l’énergie entre ce qu’on lui donne et ce qu’il produit. La surunité arrive quand le moteur accélère comme un malade, quitte à exploser son rotor. Elle peut arriver aussi à un régime de rotation donné s’il y a un frein placé sur l’axe du rotor et que la quantité de puissance mécanique sortante dépasse la quantité de puissance électrique entrante. Dans ce cas il faut le calculer. Ce qui est certain c’est qu’à vide ce moteur doit accélérer comme un fou.


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Ecrit le: Mardi 15 Décembre 2009 à 18h59 Posted since your last visit
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Citation (LABO343 @ Mardi 15 Décembre 2009 à 17h24)
Bonsoir à tous,
Bonsoir Amateur et Quartz.

Le test est concluant mais il se passe ce que je craignais : il persiste une aimantation lorsque le barreau commence à tomber. Peut être faudrait il que l’aimant permanent soit situé entre deux bobines et que donc le barreau n’ait pas de contact direct avec l’aimant permanent.
Ou bien il faudrait fabriquer un bobinage concentrique autour de l’aimant permanent pour que leurs lignes de forces soient parfaitement symétriques dans leur opposition. Mais dans ce cas je ne sais pas si ca fonctionnera car le noyau de cette bobine sera du matériau magnétique et non du fer doux.

Ce qui est sur c’est que la plaque de fer tombe. Or l’énergie maximum transmise se situe aux alentours du moment de la réluctance minimale. Il y a peut être quelque chose à gagner.

Le problème du bilan d’énergie c’est qu’on ne peut pas le voir sur un test de  portance. Il faut nécessairement un test rotatif et voir si ca accélère. Si le régime se stabilise à un certain niveau on reste dans un moteur qui échange l’énergie entre ce qu’on lui donne et ce qu’il produit. La surunité arrive quand le moteur accélère comme un malade, quitte à exploser son rotor. Elle peut arriver aussi à un régime de rotation donné s’il y a un frein placé sur l’axe du rotor et que la quantité de puissance  mécanique sortante dépasse la quantité de puissance électrique entrante. Dans ce cas il faut le calculer. Ce qui est certain c’est qu’à vide ce moteur doit accélérer comme un fou.


A plus…

Rebonsoir Tous icon_smile.gif

ça reste à améliorer, biensûr.. icon_smile.gif
J'ai mis deux aimants, un de chaque côté de la bobine.. Dans ce cas le barreau ne tombe pas même avec 10A et avec 4 fois plus de spires.. Donc, apparemment, le champ de la bobine ne traverse pas les aimants. Le champ de la bobine se retranche algebriquement du champ de l'aimant, uniquement dans le matériau ferromagnétique. Cela me parait logique, vu que les aimants permanents néos ont leurs domaines de Weiss figés par de la colle après aimantation et compression chauffe de la poudre alliage qui les constitue.. Il ne peuvent donc rien laisser passer (leur domaines de Weiss de grande aimantation sont immobilisés mécaniquement par la chauffe et la colle).. Il faut donc imaginer un circuit magnétique avec un ou des aimants permanents séparés par des portions de matériau ferromagnétiques dans lesquels ont puisse créer une fmm qui isole ces aimants permanents du rotor.
Personne n'empêche de faire des portions de fer avec une grosse section pour la bobine (d'où faible champ à produire) et section allant en s'amenuisant vers l'aimant permanent et concentrant ainsi les ligne de champ pour avoir une induction B d'opposition bon marché en termes d'énergie.

On va cogiter tout ça icon_smile.gif

On les aura, on les aura !!

J'attends des petits moteurs pas à pas qui pourraient servir car facile à usiner..


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Ecrit le: Mardi 15 Décembre 2009 à 20h00 Posted since your last visit
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Bonsoir à tous, icon_biggrin.gif

user posted image user posted image user posted image
Voici donc les images de simulation.

Amateur, pour tenter de répondre à ta question, concernant le rotor, il va se positionner de manière à offrir le maximum de surface magnétique.
Dans le cas précis de ton schéma il y a probablement plusieurs position qui vont convenir,
Mais celle que tu as dessiner me semble vraiment pas mal.

Dernier point, pour se qui est des testes de commutation magnétique, ne perdez pas de vu que lorsque nous somme en statique,
tout semble merveilleux, en revanche dés que ça bouge on perd tout le bénéfice que l'on croyais acquis lords des test en statique.

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Ecrit le: Mardi 15 Décembre 2009 à 23h34 Posted since your last visit
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ça y est le rotor de l'alternateur est découpé,
La forme globale du système est la suivante
user posted image
La zone 1 correspond à un point de freinage, ou retenue du rotor.
La zone 2 correspond elle à un point d'accélération du rotor.
Ces deux zones doivent se compenser car le stator n'est pas content de perdre sont court circuit magnétique,
en revanche il est très enthousiaste de le retrouver ceci compense cela.
Si non pour tout le reste de la course cela se fait sans freinages d'aucunes sortes.
Demain je vais regarder le type de pains présents sur les bobines.

Ensuite je vais lier l'axe du rotor à un moteur électrique afin de faire de vrais mesures.

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Ecrit le: Mercredi 16 Décembre 2009 à 00h31 Posted since your last visit
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Citation (quartz @ Mardi 15 Décembre 2009 à 19h00)
Bonsoir à tous, icon_biggrin.gif


Amateur, pour tenter de répondre à ta question, concernant le rotor, il va se positionner de manière à offrir le maximum de surface magnétique.
Dans le cas précis de ton schéma il y a probablement plusieurs position qui vont convenir,
Mais celle que tu as dessiner me semble vraiment pas mal.

Dernier point, pour se qui est des testes de commutation magnétique, ne perdez pas de vu que lorsque nous somme en statique,
tout semble merveilleux, en revanche dés que ça bouge on perd tout le bénéfice que l'on croyais acquis lords des test en statique.

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Hello Tous, Hello Quartz icon_smile.gif

Je réponds avec un peu de retard, car je reviens du ciné. J'ai été voir AVATAR en avant premiere et en 3D.. Un film superbe, à aller voir.. On y voit la connerie humaine, mais le film est vraiment bien fait ..

Merci pour les simuls.. Tu avais raison, on ne gagne pas beaucoup de variation de flux avec cette configuration. Les analogies électriques me donnaient aussi cette conclusion, mais je n'étais pas sûr avec les champs magnétiques. Nous sommes ainsi fixés.
Merci encore.

A plus icon_smile.gif


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Ecrit le: Mercredi 16 Décembre 2009 à 09h44 Posted since your last visit
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Bonjour à tous,
bonjour Quartz et Amateur.

Beau travail Quartz ! Enfin on va pouvoir vérifier ce que contient cette idée traduite du texte anglais. Excellent détournement d'un moteur monophasé.
En plus tu récupères la structure en alu qui maintient le rotor en place, ce qui n'est pas rien au niveau de l'économie de l'usinage. Comment vas tu faire au niveau de la commutation des bobines ? Il faut bien capter le positionnement du rotor pour déclencher le signal de connexion ou ensuite de coupure. Dans mon très ancien test à variation de réluctance sans aimant permanent j'avais détourné le collecteur pour faire une distribution géométrique de la connexion. Mais j'utilisais une dynamo ou se trouvait déjà un collecteur. Je suppose qu'avec les moyens de l'électronique on doit pouvoir faire comme dans les moteurs thermiques actuels.
Je suis impatient de voir.
A plus...
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