LABO343's MEG

Hello Tous et Eihis

Que devient l'energie d'un ressort comprimé qu'on relâche brusquement dans l'air ??

Et connait on l'énergie totale contenue et développée par un rocher qui dévale une colline (potentielle de par sa hauteur+cinétique de par sa vitesse+électrochimique de par ses composants enthalpiques+électromagnétique de par ses liaisons électroniques+nucléaire de la par la liaison des composants de ses noyaux d'atomes+autres..) ??

A plus

Bonjour à tous,
bonjour Amateur.
Je pense que tu seras ravi d'apprendre que l'énergie qui disparait dans te réplique du test MEG à vide est en fait capturée dans un mot : le mot "potentiellement".
Donc, à défaut de comprendre la réalité physique de la chose, nous avons désormais la possibilité de la rendre virtuelle.

C'est l'argument qui est répété à chaque fois par les Torquemada du système.
Le niveau de l'explication reste pitoyable.
A plus...

Hello Labo

En effet, tout est potentiel , même l'espérance de vie des citoyens vue par les monstres dirigeants qui cassent le social, donc assassinent l'humain, car ce dernier est justement un être social .. Je me demande quelle peut être l'éspérance de vie des travailleurs du bâtiment ou de ceux atteints par des maladies professionnelles !!?

Iznogood veut sa place dans l'éventuel gouvernement mondial, il se fiche éperdument du Peuple et sous les ordres des banksters internationnaux mafieux et planqués qui tirent les ficelles, il casse le social, donc assassine l'humain qui est justement un être social..

Utilisons massivement et urgemment (avant l'action brutale), la matraque spirituelle de la missive anonyme:

"Que tous les psychopathes qui gèrent ou tentent de gérer ma planète, prennent immédiatement la voie de la conscience, la voie de l'Amour universel, ou qu'ils soient rejetés de la planète, sans délai"


Pour l'éther, je pense qu'il est constitué par un infini empli par des forces magnétiques enchevêtrées dans tous les sens, car provenant de partout à la fois..
Les autres énergies étant dérivées de cette énergie magnétique primordiale et la matière est une condensation de cette énergie (appellée prana par les orientaux). Condensation rendue possible localement par l'expérience et la mémoire acquise par l'univers depuis son aventure éternelle..

Prenons l'exemple de la saga des chauves souris et des papillons de nuit.

Jadis, les chauves souris pouvaient facilement localiser les papillons de nuit avec leur sonar, car ils n'avaient pas de duvet sur leurs ailes et l'écho sonar, en retour, réceptionné par les chauves souris était clair et net..

Au bout de plusieurs générations d'expériences (dramatiques pour les papillons de nuit mais fructueuses pour les chauves souris), les papillons de nuit, grâce à la mémoire de ces experiences dramatiques inscrites dans leurs gènes, dévellopèrent un duvet sur leur ailes.

Ce duvet a eu pour conséquence de rendre flou l'écho sonar des chauves souris, qui ne pouvaient plus localiser correctement les papillons pour les dévorer..
Et quelques générations de chauves souris frustrées, plus tard, ces dernières développèrent un second sonar qui leur permit d'obtenir un effet volumétrique avec les échos et ainsi de pouvoir à nouveau repérer les papillons correctement..

Prochaine évolution attendue des papillons en guise de bouclier !!??

A plus

bonjour,

pour la question du ressort :
tu le comprime a une vitesse V1 , avec une force F1
il se detends avec une vitesse v2 , d'une force de poussée F2

le rapport V1*F1 est strictement egal au rapport V2*F2

ce qui signifie que ton ressort, s'il n'a que très peu de force qui s'oppose a sa detente (et c'est le cas si tu le relache dans l'air) , va se détendre très rapidement ( puisque la multiplication V2*F2 devra donner la meme valeur que V1*F1)

Donc ton ressort fournit a la detente le meme travail que celui qui a été nécéssaire a sa compression , c'est a dire dans notre cas, on force très faible mais très rapide appliquée au medium environnant (l'air) : tu l'entends "siffler" , au cas tu n'aurais jamais remarqué.

Aucun rapport avec l'ether, mais la question est judicieuse puisqu'elle devrait vous permettre de vous poser des questions quant a la facon dont le champ magnétique stocké 'disparait' sans laisser de trace,mais malheureusement j'ai de la peine a croire qu'avec le matos de mesure que j'ai vu dans la video, labo soit capable de detecter la moindre impulsion magnétique avec la rapidité nécéssaire , vu la vitesse du phénomène mis en jeu.

Si vous avez pris le temps de lire les docs sur les flyback dont j'ai posté un lien, vous devriez avoir compris que leur conception est discrete : on commute soit le primaire, soit le secondaire, de facon a ce que la charge sur le secondaire ne vienne pas agir sur la consommation primaire.
L'alim consomme ce qui lui est nécéssaire a faire croitre un champ magnétique dans la self primaire.
On peut agir sur la puissance qu'elle va consommer en faisant varier la rapidite des impulsions ou leur largeur (pwm)

La seule question est : qu'est ce qui empeche le champ d'etre 'instantanément' produit par la self dans le primaire, mais la aussi, les réponses sont connues depuis longtemps : On parle d'inertie (d'élasticité ?? qui sait héhé) . mais ca ne prouve pas l'existence de l'ether.

@+

Bonjour tous .
Je vois que quels que soient les arguments ,notre ami Labo restera bloqué sur sa position . Je conçois qu'il soit difficile ,après tant d'essais de revoir sa position .
Essayer de contredire l'option "éther" demande de l'énergie qui là ,c'est certain,sera complètement perdue .
Amicalement à tous

Salut à tous,
salut eihis,

je pense que c'est peine perdu, ton énergie à t'expliquer part dans le vide (peut etre l'ETHER), par contre ce qui est paradoxale de la part de LABO qui à l'esprit non formaté est de parler de reluctance, de saturation, Ampères /tour etc ...
Pour aller dans ton sen LABO, j'ai essayé le chant et danse indienne pour faire pleuvoir et ça à marché après mainte et mainte tentative, j'ai du réussir à le faire parfaitement car il à plu, comme je l'ai constasté la pluie tombe grace au chant et à la danse donc que l'on ne vienne pas me parler de l'évaporation de l'eau et de son refroisissement ou toute autre explication que l'on fait croire à tous le monde.
Pour ma part le sujet est clos, et je vais dépenser mon énergie à chercher à pomper l'énergie du vide (qui sait peut etre à base de magnétisme comme apparemment tout est issu de la dualité magnétique).

Géo .

Re Hello Tous

L'Ether peut prendre plusieurs appellations, par exemple ici, il prend le nom de tachyon ou néguentropie ou autre

http://www.magnetosynergie.com/Pages-Fr/Do...R-Dogmes-05.htm

L'expérience de Sagnac, tendrait à contredire Michelson
http://ondes-relativite.info/DomniqueCabal....htm#chp4Sagnac

Et l'effet Casimir violerait le principe de conservation de l'énergie.
https://www.chercheursduvrai.fr/quantique/effetCASIMIR.php

Principe de conservation de l'énergie remis aussi en cause par Léon Hatem.
http://ecoledevie.fr/59.html
http://ecoledevie.fr/39.html


En tout état de causes, notre but de pragmaticiens est de trouver une machine surunitaire, afin d'éviter le retour à l'âge des grottes mentionné par Labo !!

Le plus dur va être de convaincre les humains qui ont fait leur nid avec le modèle civilisationnel actuel ..

Bonsoir à tous,
Bonsoir Quartz,

Comme Quartz vous êtes tous curieux de connaître la structure interne du HMEG ou Roto-Commutateur.

je comprends votre frustration, mais si JPC m’ a autorisé à communiquer sur ses travaux, il a aussi posé des limites.

Cependant, au fil de mes post j’ ai donné beaucoup d’ informations.
Notamment qu’ il n’utilise pas des commutateurs type [/B]Hilden Brandt[/B], dont le petit aimant coupe directement tout le flux du gros aimant mais des commutateurs dont le petit aimant ne coupe pas mais dévie le flux, ceci dans une zone où il ne subit pas directement les effets de la bobine.
Là on rejoint les derniers travaux de Quartz.

Bientôt plusieurs HMEG fonctionnels ???

A+++

Bonsoir à tous.

Geotrouvetout,
J’ai simplement observé la disparition d’une certaine quantité d’énergie dans une bobine de 0,012 ohm sans que cette énergie réapparaisse sous une forme de rayonnement hertzien, calorifique ou bien sous forme d’action mécanique. Il te suffit de refaire ce test pour le constater mais je pense que cela ne te convient pas. Tu préfères penser comme d’autres que l’énergie est « potentielle » ou bien
« inutilisée ». Cette attitude est un simple refus de tirer une conclusion d’une observation. Tu ne comprends pas le concept de circulation de l'énergie.
a plus...

Re bonsoir à tous.

Nouvelle version : la « vitesse de la puissance ».
Donc dans mon test, il y a 100 watts qui disparaissent à vide. Comment ? La nouvelle version dit : « trop vite pour que tu le voies ». La puissance disparait si vite que personne ne peut s’en apercevoir. Et ou va-t-elle donc ? C’est trop tard pour poser la question : il fallait se réveiller avant. Mais, la batterie est vidée ! Et alors ? Ca te dérange ? Une batterie, ca se vide : c’est son destin.
Amen…

Labo, tu semble confondre impulsion magnétique et onde electro-magnetique, c'est déja un premier probleme.
ensuite, si tu n'as pas pris le temps de lire le papier que j'ai cité en référence, prends le et ravale ta prétention, tu y apprendras bcp de choses que tu crois maitriser , mais ca n'est pas le cas (en particulier ce qui concerne le GAP du noyau et le flux a cet endroit précis)
T'es un indécrotable de l'affirmation sans fondement. tu n'as aucune mesure SERIEUSE du rayonnement entourant ton montage . Si pour toi tester la présence d'une onde se résume a brancher un poste radio et a balayer les bandes qu'il t'offre, permet moi de rire a en faire dans mon froc.

@+

Dernière version, suite : l’émetteur de 150 hertz sans antenne.

Mais quand ? Pendant la durée de connexion de la bobine primaire ?
Si c’est le cas cette émission sera aussi présente à vide et en charge puisque la charge est connectée quand la bobine primaire est déconnectée. Dans ce cas d’où vient l’énergie de la charge puisqu’elle a été déjà dissipée en onde pendant la croissance du champ magnétique ?
Si cette émission d’ondes est présente à l’instant de la déconnexion de la bobine primaire, elle le sera à cause d’un champ décroissant. Mais quelle est la différence entre un champ croissant et un champ décroissant ? Aucune : ce sont tous deux des champs variants.
Si émission il y a pendant la décroissance, émission il y aura pendant la croissance et on aura donc une émission de trop…
Et puis, n’est ce pas miraculeux cette émission de 100 watts en 150 hertz sans antenne ? Tous les radio amateurs vous le diront : à quoi bon une antenne accordée ? Il suffit de la simple bobine du circuit oscillant branchée dans le vide : c’est plus simple.

alors, cher labo...
il faut cesser de te contredire..
Tu nous a parlé toi meme des parasites que tes montages a rupteurs mécanique balancaient dans le voisinage, mais aujourd'hui tu nie le fait que ton montage 'a relais statiques' puisse le faire.
Pourtant, une étincelle, c'est electrique , et pas magnétique a la base. alors comment explique tu que les recepteurs (tv/radio) du voisinage pouvaient le capter ? tu me fais marrer.


maintenant, le regime sinusoidal est préférré pour avoir le MAXIMUM de variation du flux magnétique. mais rien n'interdit de concevoir un montage dont une bobine serait alimenté par un signal présentant une composante continue + une composante alternative, lequel signal de passerait jamais en dessous d'un certain valeur positive de tension : ce serait mauvais en terme d'efficience, mais fonctionnel .
Le fait est que c'est la VARIATION du champ magnétique qui permet de transmettre 'de l'energie' d'un coté a l'autre du montage.
Donc, voila mon exemple :
Imaginons un aimant permanent, collé a un barreau de fer. imaginons un solenoide enroulé autour du barreau.
je branche un voltmetre aux bornes du solenoide.
je n'y vois aucune tension.
maintenant, par un quelconque moyen, je chauffe (rapidement ou pas dailleurs) l'aimant.
je passe son point de curie (j'espère que c'est bien son nom, si ma mémoire est bonne) : l'aimant de désaimante.
donc, le solenoide voit un champ magnétique qui disparait.
Donc, je lis sur mon voltmetre une tension qui décroit trsè rapidement dans le temps, et correspondant a la disparition du champ magnétique.

Si tu me suis jusque la (et je l'espère) , posons un deuxieme cas :
Je refais la meme manip, sauf que je ne lis RIEN . rien n'est branché aux bornes du solenoide.
Le champ disparait, mais ca n'a rien ENGENDRE dans le solénoide, puisqu'il n'y a aucune circulation des electrons possible.

et ma question dans ce cas est : ET ALORS ?

le champ magnétique n'a pas 'en lui' une quelconque puissance. il est "l'IMAGE" d'une puissance.a ce titre, sa variation peut etre utilisée pour engendrer un courant, mais ca n'est pas une NECESSITE , tout comme la rotation d'un disque qui serait bardé d'aimants n'engendre RIEN comme effet dans l'air environnant.
La seule chose que ton disque aimanté va bouffer, c'est l'energie necessaire a le faire tourner de par sa masse.

Mais je parle dans l'ether, j'ai l'impression...

Bonsoir.
Parler d'émission à 150 hertz est impropre !
Il y a notamment à vide ,à la déconnexion, présence d'une oscillation résultant de l'échange d'énergie décroissante entre la bobine et les capacités parasites,celles de la dite bobine et du commutateur . Amorties d'ailleurs par les protections de ce dernier !
Ces oscillations n'en sont pas moins présentes et produisent une onde faible mais mesurable (fondamentale et harmoniques ).Ce n'est donc pas une onde à 150 hertz .
Bien qu'elles se produisent évidemment 150 fois par seconde !
je ne pense pas d'ailleurs que dans ton cas ,la production soit trés généreuse ,le "commutateur n'étant pas très "rapide" (1miiliseconde c'est long !)
A+

Salut à tous,

salut LABO,

donc si je suis ton concept, qu'est ce qui interdit de tirer 16 Ampères sous 12 Volts en sortie (donc 200 % de l'entrée) puisque lors de la deconnection du primaire et la connection de la charge l'énergie vient du vide celui ci ne sachant pas la limite puisque c'est un reservoir immense.
Tu ne peux pas parler de décroissance du champ dans le cicuit magnétique car tu en fais abstraction dans tes propos.

Géo .

Bonsoir à tous.


L‘étincelle produit une émission d’ondes électromagnétiques « apériodique ». Dans la variété de fréquences produites, il y en a en UHF entre autres et dans ce cas
« tout fait antenne » car la longueur d’un brin quart d’onde est alors de quelques centimètres. Toute différence de longueur dans un circuit génère une mauvaise antenne et en UHF il faut très peu de puissance pour perturber une réception télé.
Dans le relais statique il n’y a pas d’étincelle et la vitesse de variation du champ magnétique ne dépasse pas la vitesse de coupure du mosfet, lors de la déconnexion. Ce temps de déconnexion est
d’une milliseconde. On reste donc dans de la très très basse fréquence avec la nécessité d’une très très longue antenne pour évacuer la moindre énergie électromagnétique.

La tension secondaire est issue d’un champ variant : un champ décroissant. Pour obtenir un champ décroissant, encore faut il qu’il existe avant sa décroissance. La bobine primaire produit ce champ magnétique. Le problème est que l’inductance de la bobine primaire empêche la production instantanée de ce champ magnétique. C’est à ce moment là que se situe la consommation de l’énergie.
En effet s’il n’y avait pas d’inductance, l’intensité choisie pour un champ magnétisant donné serait atteinte de façon instantanée. Nous aurions une puissance consommée en un instant, donc pas d’énergie consommée car le temps de consommation ne se serait pas écoulé. Le transfert de l’énergie dans l’éther se situe exactement pendant la croissance de l’intensité, jusqu’à la limite décidée en fonction du champ magnétisant voulu.

A l’instant où commence la déconnexion de la bobine primaire, l’énergie est déjà partie dans l’éther.
C’est pour cela qu’il ne sert à rien de chercher l’énergie « perdue » à vide au moment de la déconnexion : elle a déjà circulé. Le champ magnétique maximal existant à l’instant de la déconnexion de la bobine primaire est une « clé » qui va permettre de faire circuler l’énergie depuis l’éther jusqu’au moment ou ce champ aura disparu, à condition qu’une bobine soit placée autour de ce champ magnétique et qu’une charge soit reliée à cette bobine. Si la charge n’est pas connectée, le champ magnétique va décroitre au rythme de la capacité de déconnexion du mosfet et il n’y aura aucune énergie produite.

Au bilan on a un système qui consomme de l’énergie à vide en la transférant dans l’éther.
En charge, le transfert se fait dans le sens inverse au niveau de la bobine secondaire, mais à condition qu’elle soit connectée. Il y a donc rupture de l’obligation d’échange égalitaire des flux d’énergie. Cela conduit à dire que cet échange peut être asymétrique « de façon positive » pour nous, c'est-à-dire
« surunitaire ».

Pour arriver à la surunité il suffit de modifier favorablement la courbe de décroissance de la tension secondaire. La tension secondaire initiale est donnée par la vitesse de déconnexion de la bobine primaire. Dès que la tension secondaire initiale est connectée à la charge, il se crée une intensité initiale en fonction de la résistance ohmique de la charge. Cette intensité initiale crée un champ magnétisant opposé à la décroissance du propre champ qui lui a donné naissance. La conséquence en est un effondrement de la tension secondaire d’autant plus rapide que la résistance ohmique de la charge sera faible. Pour contrer cette chute de tension secondaire, il suffit de rendre plus difficile la transformation du champ magnétisant secondaire en induction magnétique effective. Pour y arriver il suffit d’augmenter la réluctance du circuit magnétique.

Le problème se pose alors de la symétrie d’action de la réluctance augmentée. En effet le circuit magnétique est commun aux bobines primaire et secondaire. Augmenter la réluctance du primaire c’est augmenter la consommation d’énergie pour obtenir une induction magnétique donnée.
C’est dans ce cadre que j’ai constaté une asymétrie dans le bilan énergétique en utilisant un circuit magnétique fractionné par deux entrefers et en posant les deux bobines sur la fraction de circuit magnétique la plus courte. Il y a un gain de rendement constaté sans modification des « pertes » ohmiques.

La piste continue donc…

et on continue....

tu as une facon admirable de contourner les questions posées.
pas de réponse a ma question concernant l'aimant qu'on chauffe pour supprimer le champ... peut etre est elle trop bete pour un grand chercheur comme toi.
on explique que "l'inertie" qui agit lors de la création du champ magnétique existe , tout comme , dans l'univers, les charges tendent a s'equilibrer.
la bobine s'oppose a tout changement d'état du champ magnétique interne.
j'ai l'impression que tu vois a l'envers les choses. lors de l'alimentation de la bobine, ton courant augmente jusqu'au point ou tu decide d'arreter l'alimentation.
ce point, tu l'as choisi en fonction du la bobine et du noyau, de facon a avoir le maximum d'intensité.
Mais "l'inertie" de la bobine n'est pas consomatrice d'energie au sens strict.
Elle est consommatrice de temps , ce qui - par integration - se repercute sur la consommation puisque tu as besoin d'un temps T pour obtenir un changement de courant de 0 jusqu'a Imax.
Au final , l'integrale du courant consommé sur la periode connection te donne la puissance qui a été nécéssaire a établir un champ magnétique B dans la self.

MAIS

Rien n'oblige ce champ a avoir une quelconque action sur quoi que se soit.
Si une self est présente dans ce champ quand il va décroitre , il y'aura production de courant pour peu qu'un charge soit présente aux bornes de cette self.

Si rien n'est présent, rien ne se passe, et je ne vois pas en quoi ca te pose probleme .

Le champ magnétique est crée par le mouvement des charges dans l'espace (ou un conducteur) . dès lors qu'il n'y a plus de mouvement de la charge (arret du courant aux bornes de la self primaire) , le champ cesse d'exister. il n'est que l'image du mouvement des charges dans le conducteur.

en quoi cela viole t'il une quelconque loi de conservation de l'energie ?
J'aimerais des réponses, plutot que du dédain.

@+

bonjour



mais ...

il est reconnu et bien établi :
si un aimant produit ou consomme de l'énergie , il y a variation
de sa température

ben 100 watt ca doit se voir quelquepart !!! a moins d'inventer d'autres sources d'énergie

meme si l'énergie part en fumée ... il n'y a pas de fumée sans feu

Salut à tous,

salut Tagor,

un aimant ne consomme pas d'énergie, sauf un électro-aimant, et dans ce cas c'est la bobine qui chauffe, idem lors de la production d'énergie à partir d'un aimant (en mouvement) c'est toujours la bobine réceptrice (en charge) qui chauffe, sinon imagines des génératrice de plusieurs kW on aurait vite fait d'atteindre le point de Curie et la mort des génératrices, ainsi que les gros électro-aimant dans les casses auto ou récupérateurs de métaux si tu a l'occasion d'aller voir et toucher tout reste froid, donc les 100 Watts c'est du pipi de chat à coté.


@ LABO,

une idée par rapport à ton montage, pourquoi ne pas utiliser une seule bobine en utilisant un relais inverseur (connection sur la souce, déconnection sur la charge), avec une modification (mécanique ou électro-mécanique) de l'entrefer synchronisé avec la connection / déconnection, on devrait se rapprocher de ce que tu cherches pour obtenir une éventuelle surunitée à moins que je n'ai rien compris à ton concept et ce que tu tentes de faire pour faire avancer ton projet.

J'espére que tu ne prends pas mal les posts de eihis, Techno et moi même, au moins ce qui est interressant est le débat d'idées c'est comme cela que les choses avancent et que la plus part des découvertes ont été faites sur des erreurs de manip ou une anomalie (matériaux, fréquences etc...)

En l'état actuel des choses ça reste dans le domaine de l'électromagnétisme primaire.

Peut etre, on l'espére, trouveras tu une faille autre que celle de ta conclusion hative sur l'ETHER.

Géo .

Bonjour.

"A l’instant où commence la déconnexion de la bobine primaire, l’énergie est déjà partie dans l’éther."


Nous y voilà ! L'éther informé avant la déconnexion(la clé ?)qu' il y a une bobine secondaire toute prête à récupérer quelque énergie s'empresse de renvoyer l'ascenseur ! Pas fou ,il ne va pas perdre son temps si rien n'est connecté au secondaire !
J'admire tes certitudes Labo ! Ne crois-tu pas qu'il serait préférable d'employer le:
"à mon idée ou je pense", plutôt que des affirmations passablement exotiques ?
D'ailleurs les : "il suffit de" qui émaillent tes réponses laissent penser que ça ne doit pas être trop dur à prouver .
Bon après-midi.

Bonjour à tous.


Le but recherché pendant l’alimentation de la bobine primaire c’est d’obtenir une induction magnétique choisie avec le moins d’énergie consommée. Pour cela je me réfère à une courbe de la perméabilité magnétique du fer au silicium en fonction de l’induction magnétique atteinte. Cette courbe indique que la plus grande perméabilité magnétique se situe autour de 0,7 tesla. Cela définit donc une limite haute au champ magnétisant de la bobine primaire.
Dans mon test l’intensité primaire grandit de façon quasi linéaire jusqu’à 32 ampères. Cette croissance de l’intensité aboutit à un champ magnétisant de 640 ampère tours car la bobine primaire compte 20 spires. La courbe de perméabilité ne tient pas compte de la présence des entrefers. Ceux-ci permettent d’augmenter encore le champ magnétisant sans dépasser la meilleure zone de perméabilité magnétique du fer au silicium.

Le relais statique que j’utilise permet de contrôler une intensité maximale de 80 ampères. J’ai donc de la marge de ce coté là. ll y a plusieurs façons d’augmenter l’intensité crête.
On peut augmenter la tension d’alimentation, on peut augmenter l’épaisseur des entrefers ou encore baisser la fréquence de connexion, ce qui augmentera l’intensité crête en augmentant son temps de croissance. Ce n’est pas ma piste actuelle. Je reste calé sur 12 volts et 640 ampère tours. L’énergie est consommée dans la bobine primaire pendant la croissance du champ magnétique. La puissance consommée est croissante, tout comme l’intensité. La tension d’alimentation aux bornes de la bobine primaire reste quasiment égale à sa tension à vide. En effet j’ai choisi une batterie de 80 Ah qui possède donc une très faible résistance interne. Les câbles d’alimentation sont d’une section de 10 mm carré. La résistance de mesure de l’intensité à l’oscilloscope est court circuitable. Enfin, le relais statique a une résistance interne de 0,007 ohm.

La fraction de puissance consommée dans la bobine primaire au titre de la résistance ohmique est de 0,768 watt pour une résistance ohmique de 0,012 ohm et une intensité moyenne de 8 ampères. Au même moment, la puissance moyenne consommée au titre de l’inductance est de
95 watts environ et c’est cette puissance là précisément qui circule vers l’éther. Je rappelle que les chiffres ci-dessus sont une moyenne et qu’en réalité la puissance qui transite vers l’éther varie de zéro au début à 372 watts. Ces chiffres tiennent compte du temps de connexion de la bobine primaire égal à son temps de déconnexion.

L’utilisation d’une seule bobine est facile pour faire circuler l’énergie vers l’éther en la consommant. Par contre, au niveau du retour de cette énergie, il peut se poser des problèmes pratiques de durée de connexion. Je ne cherche pas dans cette piste.
Je ne cherche pas non plus sur la piste du chauffage d’un aimant permanent. Je sais que certains le testent et tant mieux si ca marche.

Tout ce qui est dit sur ces dernières réponses a déjà été dit sur le forum. Il suffisait de le lire.
C’est écrit en français, sans grossièretés ni insultes dont je doute de l’utilité à transmettre quelque concept que ce soit.
Quant à l’éther, les procès en sorcellerie ne sont pas encore rétablis mais je pense que Torquemada a beaucoup de descendants.

j'ai beaucoup de mal a suivre le raisonnement

"idem lors de la production d'énergie à partir d'un aimant (en mouvement)"

désolé , mais si c'est l'aimant qui produit l'énergie , il doit se refroidir !!


"c'est toujours la bobine réceptrice (en charge) qui chauffe,"

d'une part , je ne comprends pas ce que vient faire la charge ici !!
de plus je ne vois pas pourquoi la charge serai une bobine , pourquoi pas un mouvement ? et si c'est bien fait , pourquoi du chaud ?


"sinon imagines des génératrice de plusieurs kW on aurait vite fait d'atteindre le point de Curie et la mort des génératrices"

quel est le rapport entre les génératrices et le point de curie ?
si par hasard les aimants étaient assimilés a une génératrice ( pour l'instant on est
encore bien loin de le prouver ) dans ce cas ,
les aimants devraient se refroidir , rien a craindre pour le point de curie !!!



"ainsi que les gros électro-aimant dans les casses auto ou récupérateurs de métaux si tu a l'occasion d'aller voir et toucher tout reste froid, donc les 100 Watts c'est du pipi de chat à coté"


la , il y a une grosse décharge , un gros tas avec des tas de choses , avec des tentatives de récupérations ...
je n'arrive plus du tout a suivre ...

des métaux froids au toucher ca s'explique tres bien en physique !!
quel est le probleme ?
mais 100 watts en continue ca s'apprécie tres tres bien
quel que soit la surface et quelle que soit la méthode !!

Salut tagor,

je ne fais que répondre à ce que tu dis un aimant consomme de l'énergie je ne vois pas comment, un aimant produit de l'énergie s'il est statique je ne vois pas comment, donc s'il induit une bobine, suivant la charge sur cette bobine celle ci peut chauffer, mais l'aimant ne chauffe ni ne refroidit (il peut perdre quelque peu de son magnétisme dans le temps)
Le rapport entre génératrice et point de Curie, c'est par rapport à la production d'énergie avec des aimant comme tu le mentionnes, et ne sont pas utilisés comme génératrice, mais dans la génératrice.
Le gros électro-aimant est toujours par rapport à ta citation "un aimant consomme de l'énergie" il faut donc que ce soit un électroaimant et j'en reviens que ça ne chauffe ni se refroidi.
C'était une simple réponse à ce que tu avançais.

@ LABO,

je ne vois pas de différence d'utliser une seule bobine, puisque dans ton montage tu déconnectes la source pour connecter une charge sur un secondaire, alors une seule bobine qui passe de la source à la charge revient au même (dès lors que les 2 bobines sont identiques)

Géo .

encore une fois désolé mais je n'ai rein dit de tout cela

maintenant prend une rampe SMOT et une bille magnétique
pose la bille en bas de la rampe !
la bille remonte la pente !

l'énergie qui sert a remonter la pente vient forcéments des aimants !

ce que je dis ( et rien de plus ) , c'est que pour fournir cette énergie
les aimants doivent se refroidirent , je persiste et signe :
c'est de la thermodynamique de base !!


tout le reste est de l'enfumage et démontre une méconnaissance de la physique

hum.

@tagor :
"c'est de la thermodynamique de base !! "


pour placer la bille en bas de la rampe, il t'a fallu de l'energie.
c'est dailleurs précisement a cause de ça qu'aucun SMOT fonctionnant en boucle close n'existe.
si tu ne considère QUE sa course par attraction dans la rampe, forcément, ton bilan est positif !!!
si d'emblée tu pose ta logique sur des fondations erronées, bonjour les conclusions !

-> et ca, c'est de la LOGIQUE de base.

Ensuite, et comme l'a bien expliqué géo, un aimant en soit ne recele aucune energie. il 'contraint' l'espace par un champ magnétique .
L'energie qui est 'extraite' provient du passage d'un conducteur dans ce champ.
C'est le mouvement du conducteur dans le champ qui consomme de l'energie, pas l'aimant 'qui en donne'.
C'est pourquoi il n'y pas a 'perdre de la température' pour que le bilan soit positif.
Je me demande ou tu as lu ça , dailleur. donne moi des sources , j'hallucine...



@labo:
toujours pas de réponse sur mon expérience de l'aimant chauffé. je peux aller me brosser, bien entendu.. ca ne m'étonne pas.

Re bonsoir à tous.

La tension précède l'existence de l'intensité.

A l’ instant où la bobine primaire est déconnectée, il apparait une tension sur la bobine secondaire. Deux alternatives sont possibles : ou bien rien n’est connecté sur la bobine secondaire ou bien une charge y est connectée.

Si rien n’est connecté sur la bobine secondaire, il va subsister une tension continue qui va durer autant que le processus de déconnexion dans le mosfet du relais statique. Dans le cas de mon test cela dure environ une milliseconde. La tension secondaire est continue car la pente de décroissance de l’intensité primaire est une droite.

Si une charge est connectée sur la bobine secondaire, une intensité va s’établir qui sera dégressive comme la tension secondaire.

Dans les deux cas, la tension secondaire initiale de mon test est de 68 volts et elle existe du fait même de la décroissance du champ magnétique créé par la bobine primaire.

Je n’ai pas testé la présence d’une tension issue du passage du point de curie sur un aimant permanent et n’ai donc pas d’opinion utile à ce sujet. Je suis sur que des membres du forum auront des infos intéressantes sur cette piste.

A plus...

Bonsoir à tous,

Quel énergie perdu plutôt qu'à traquer la solution !!

Pour en revenir au document PDF de chez Texas, très pertinent, il y juste un bémol au début.
Ils ont fait une erreur dans le schéma sur la première page, un détail, diode dessinée à l'envers !


ça fait sérieux !!

A+++

Bonsoir.

"Je n’ai pas testé la présence d’une tension issue du passage du point de curie sur un aimant permanent et n’ai donc pas d’opinion utile à ce sujet. Je suis sur que des membres du forum auront des infos intéressantes sur cette piste."

Je ne sais pas si quelqu'un teste ce genre de chose !
En plus d 'atteindre le point de curie (énergie de chauffage ?) Il faudrait à chaque cycle remagnétiser l'aimant ! Pas très performant tout ça !

Tiens!
Tu ne connais pas ?



http://www.econologie.com/forums/oscillate...ire-vt8343.html

Salut Gegyx. J'avais déjà vu cette expérience de fait.
Ce n'est d'ailleurs pas l'aimant que l'on chauffe mais une petite lame de fer.
Fer qui chauffé suffisamment cesse d'être magnétique au délà du point de curie.Sorti de la flamme il refroidit et donc est attiré à nouveau par l'aimant. Le cycle peut se répéter ! L'énergie électrique prélevée sur la bobine ,l'autre aimant est là pour ça ,peut donc être "utilisée !Mais bon question rendement par rapport au gaz utilisé ça ne doit pas être fameux.On pourrait aussi chauffer au soleil avec un miroir....là c'est gratuit ,
Je pense que tu avais compris toi aussi le système.
Un contrainte : une lame de fer(ou autre métal avec point de Curie plus bas) suffisamment petite pour ne pas avoir trop d'inertie thermique . La rapidité du passage de l'autre aimant devant la bobine en dépend et c'est là qu'est l'os .