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> LABO343's MEG
Ecrit le: Mercredi 27 Janvier 2010 à 23h58 Posted since your last visit
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Re bonsoir à tous,
bonsoir Derfla.

Aucun problème pour moi : ce ne sont que des titres pour désigner un test. De toute façon nos pistes sont bien distinctes : je n’utilise pas d’aimant permanent comme toi.
J’ai commencé avec un aimant permanent et puis je suis tombé par hasard sur l’égalité de consommation à vide et en charge. J’ai trouvé ca tellement énorme que j’ai abandonné toute autre piste. Il y a longtemps que Chercheur me suggérait de faire le test sans aimant. J’ai cru encore un certain temps que l’aimant permanent était pour quelque chose dans l’égalité de consommation à vide et en charge. Lorsque j’ai franchi le cap et que rien n’a bougé dans le test, il m’a fallu tout revisiter dans mes pensées.
Le 17 septembre 2009 (page 83) je suis tombé par hasard sur un site concernant les alimentations à découpage. Je me suis rendu compte que le principe « fly back en mode discontinu » était « un cousin proche » de mon test http://www.youtube.com/watch?v=pSZMu6bDH5M La question que je me suis posé est donc : comment ont réagi ceux qui ont constaté que l’énergie consommée à vide « ne revenait pas » ou autrement dit « disparaissait » ? Ces alimentations à découpage sont omniprésentes et il me semble impossible que
« l’accident de constatation » ne soit jamais arrivé. Cela montre la force des dogmes en activité.

La différence principale entre mon test MEG et ces alimentations à découpage fly back réside dans mon usage d’un circuit magnétique fractionné par deux entrefers et avec position des bobines dans la fraction courte du circuit. De plus je ne place pas de condensateur en parallèle avec la charge secondaire après la diode placée entre la bobine secondaire et la charge car il se comporte comme un « rallongeur de durée de décroissance » du champ magnétique.
Enfin mon test travaille en très basse fréquence avec très peu de spires, ce qui élimine pratiquement les effets de capacités parasites réparties dans les bobines.

A plus…
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Ecrit le: Jeudi 28 Janvier 2010 à 09h45 Posted since your last visit
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Salut LABO,

video intéressante, te serait il possible d'utiliser ton oscillo pour effectuer plusieurs mesures:

à vide (au plus prés du primaire)

- mesurer la tension la tension aux bornes du primaire
- avec un shunt le courant (en entrée ou sortie du primaire)

mêmes mesures en charge

avec comme résultats les courbes d'oscillo, les calibres (verticaux) , par contre la même base de temps pour pouvoir comparer le déphasage courant-tension.

Ensuite les mêmes mesures sur le secondaire en charge (toujours au plus pès du secondaire).

Si tu as l'occasion de mettre la main sur un thermometre infra-rouge, il serait intéressant de voir la variation de température des éléments de ton montage (avant alimentation, à vide, puis en charge).

On serait un peu moins dans l'approximation, cela donnerait un meilleurs resultat, sans malgrés tout faire abstraction de certaines mesures (rayonnement électromagnétique, champ magnétique de la carcasse en tôles etc ...) faute de matériel.

et aussi d'avoir la tension effective de la batterie (un simple voltmètre) au repos, primaire à vide, et en charge.

Cordialement.

Géo icon_wink.gif.

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Ecrit le: Jeudi 28 Janvier 2010 à 11h38 Posted since your last visit
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Bonjour à tous, icon_biggrin.gif

Un autre brevet, dans le genre orthogonal.

A+++


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Ecrit le: Jeudi 28 Janvier 2010 à 12h02 Posted since your last visit
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Bonjour tous.
Bonjour Labo .
Merci pour le lien et pour ta réponse courtoise.
Je pense qu'il serait intéressant de se pencher sur la trace "fantomatique" .
Il faudrait un oscillo double trace pour visualiser ensemble la commande du commutateur et le "signal" issu de la bobine et voir la relation de "phase" précise entre les deux observations .Le "courant" est lui aussi intéressant à vérifier .
Ne pas oublier que la bobine ,à la déconnexion , se comporte comme un "récepteur" et que les protections du commutateur ne sont pas à négliger pour l'explication de ce léger surcroit de "consommation". Une diode intégrée est chargée d'empêcher la surtension inverse ,et va "absorber" pour une durée extrêmement courte une partie de l'énergie "rendue" par la bobine . (la petite consommation en plus...)
Pour le reste de l'énergie disparue ,penser aussi à la relative lenteur du commutateur
(pertes thermiques pendant la décroissance) Pertes par hystérésis et courants de Foucaut dans un noyau peu adapté à un découpage que l'on veut rapide .Ce n'est pas pour rien que les alims utilisent des ferrites .
Ton obstination et ta "précision" sont très honorables mais j'ai du mal à parle d'éther avant d'avoir éliminé toutes les possibilités même si elles ne sautent pas aux yeux si facilement .
Amicalement.
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Ecrit le: Jeudi 28 Janvier 2010 à 14h46 Posted since your last visit
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Bonjour à tous.

Geotrouvetout,
Tecno :

Toutes ces mesures ont déjà été faites et publiées à part l’usage d’un thermomètre infrarouge.

1° : la tension aux bornes de la bobine primaire varie de quelques centièmes de volt. La tension baisse en fonction de l’augmentation de l’intensité, comme il est normal que cela le fasse en présence d’une résistance ohmique, même très faible.
2° : l’intensité du dernier test augmente de façon quasi linéaire car la résistance ohmique du circuit de la bobine primaire est très faible et l’intensité maximale correspond à une induction magnétique qui est très loin de la saturation magnétique. Sur l’oscilloscope on voit très nettement la différence entre le dernier test et celui ou j’ai utilisé la première fois l’oscilloscope. En effet, lors des premiers tests, la bobine de shunt était d’une trop forte résistance ohmique, ce qui faussait déjà la mesure. Je voyais une courbe qui montait d’abord de façon linéaire puis qui s’infléchissait vers le ralentissement de la croissance. J’ai donc débobiné la résistance de mesure jusqu’au seuil de sensibilité de l’oscilloscope. La résistance qui se trouve dans le cendrier (sur la dernière vidéo) est le minimum possible. Cependant j’ai mis en place un shunt de cette résistance pour effectuer des tests avec « résistance ohmique proche de zéro ». A partir de là on doit se contenter de lire l’intensité moyenne sur l’ampèremètre à aiguille. Il suffit de faire une proportion pour retrouver les valeurs.
3° : l’intensité en charge a la même courbe que l’intensité à vide : un vrai clone. Cela se passe dans la partie croissante. Lors de la déconnexion de la bobine primaire il y a deux possibilités.
A vide il y a une trace fantomatique d’intensité qui dure le temps du processus de déconnexion, à savoir une milliseconde. Cette trace fantomatique est une consommation qui « vaut » environ 0,5 ampère sur l’ampèremètre à aiguille. Cette consommation est due au fonctionnement du relais statique car la tension crête de déconnexion est quasi égale à la tension de service du relais. La bobine de 20 spires est encore à peine un peu trop « forte ». Il faudrait tester avec 19 spires pour éliminer ce phénomène parasite. Lors des premiers essais avec l’oscilloscope, la bobine primaire comptait 28 spires et ce phénomène fantomatique était bien plus fort. Cela se manifestait par un trait de décroissance de l’intensité plus « épais ».
En charge ce phénomène parasite n’a pas le temps de se manifester car la tension induite tombe immédiatement à cause du champ de contre effondrement créé par la charge. La conséquence est que la trace fantomatique n’existe pas en charge. Mais je répète le plus important : la trace fantomatique est une consommation et non une restitution de l’énergie consommée pendant la croissance du champ magnétique.
4° : il n’y a pas de déphasage courant / tension car nous ne sommes pas en présence d’un courant sinusoïdal. Il y a simplement une intensité qui ne se déploie pas instantanément mais en fonction de l’inductance de la bobine.
5° : les mesures d’intensité et de tension secondaires se font en captant la tension aux bornes de la bobine secondaire. En effet la charge est purement ohmique, ce qui entraine une lecture directe de la tension et donc de l’intensité qui parcourt ce circuit ultra simple. Cela se passe comme dans la mesure de la puissance dans les hauts parleurs.
6° : au niveau de la température du test, j’ai fait les mesures « à la main » comme j’avais l’habitude de le faire dans mon ancien travail sur les alternateurs triphasés de puissance.
La main « sait » ce que veut dire le mot « froid » et elle ne se trompe pas. Je sais aussi que la température ambiante perturbe toute mesure et de plus il faudrait des thermomètres collés sur les bobines, sur le circuit magnétique, sur le relais statique et sur la batterie. C’est faisable mais je n’ai pas insisté car la différence avec mon tout premier test était énorme. Mon tout premier test de 2005 était réalisé avec des bobines de 200 spires en fil assez fin et la résistance ohmique de chaque bobine primaire (je testais alors le MEG de Bearden) était de 3 ohms. Je peux vous dire que cela chauffait vite en 12 volts et qu’on n’y laissait pas la main dessus. Pourtant la puissance ohmique dissipée était de 48 watts, c'est-à-dire la moitié de la puissance consommée à vide dans mon dernier test. Cette puissance dissipée se manifestait si on laissait la bobine en « continu » bien sur. En cas de commutation la puissance consommée tombait à 25 watts environ et on avait 12 watts de pertes ohmiques, soit 50% de la consommation !
Alors que fallait-il penser du « gouffre ohmique » des tests de Bearden avec ses bobines fines comme des cheveux !
Pour conclure, la bobine primaire à vide et en charge reste « froide » car sa résistance ohmique ne lui permet même pas de générer un watt « ohmique » lorsqu’une intensité moyenne de 8 ampères la traverse.
7° : la tension de la batterie ne « bouge pas d’un poil » au repos, à vide et en charge.
La batterie se décharge progressivement et donc sa tension décroit régulièrement « dans le temps qui s’écoule » mais la comparaison instantanée des modes de consommation est égale à zéro. C’est un peu normal car ce genre de batteries est utilisé pour des intensités crête de 700 ampères dans les démarreurs de voiture. Mon intensité crête de 32 ampères ne l’égratigne même pas. En fait la mini chute de tension aux bornes de la bobine primaire se répartit entre les contacteurs et les câbles, malgré leur section élevée. La plus forte chute de tension est due au couple de métaux qui composent le contacteur. Je ne parle pas de la résistance de mesure de l’intensité qu’on peut shunter.
8° : la bobine primaire se comporte comme un « récepteur » pendant la croissance du champ magnétique. Un récepteur consomme de l’énergie mais n’en produit pas. Autrement dit : ce qui consomme de l’énergie est un récepteur. Ce qui « rend » de l’énergie est un générateur et ne saurait en aucun cas consommer quoi que ce soit. Ainsi la trace fantomatique de déconnexion est une annexe de la consommation et donc reste dans le cadre d’un récepteur.
9° : la résistance ohmique du relais statique est de 0,007 ohm soit une puissance ohmique consommée de 0,02 watt pour une intensité moyenne de 8 ampères.
10° : les alimentations à découpage utilisent des fréquences de connexion supérieures à 20.000 hertz et mon test fonctionne en 150 hertz. A cette fréquence les pertes dans le fer sont minuscules pour une induction magnétique crête de 0,7 Tesla dans des tôles au silicium de transformateur.

Je vais commencer à faire un index de mes textes pour retrouver les concepts évoqués plus facilement.
A plus…
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Ecrit le: Jeudi 28 Janvier 2010 à 14h56 Posted since your last visit
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Bonjour à tous les gens de bonne compagnie.

Je vais dire sûrement une bêtise icon_redface.gif

Est-ce qu’une partie de l’énergie consommée, ne partirait pas en décibels ?
Est-ce possible, avec la mise en vibration des tôles, plus ou moins amortie ?

icon_rolleyes.gif

Edit: c'est aussi bruyant qu'un ampli 100W (musicaux)

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Ecrit le: Jeudi 28 Janvier 2010 à 15h00 Posted since your last visit
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Bonjour à tous, icon_biggrin.gif

Non Gegyx, c'est pas une connerie, le bruit ça coute pas mal d'énergie,
il faudrait ajouter ça au bilan effectivement.
ça va pas péter loin probablement, mais bon, précision oblige.

A+++


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Ecrit le: Jeudi 28 Janvier 2010 à 15h30 Posted since your last visit
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Rebonjour Labo.

"les alimentations à découpage utilisent des fréquences de connexion supérieures à 20.000 hertz et mon test fonctionne en 150 hertz. A cette fréquence les pertes dans le fer sont minuscules pour une induction magnétique crête de 0,7 Tesla dans des tôles au silicium de transformateur."

Valable en régime sinusoïdal ! Nous ne sommes absolument pas dans ce cas !
Quant à ta bobine" générateur" ,elle se comporte en récepteur dès la déconnexion ! *

Ton commutateur doit quand même chauffer (pendant son milliseconde de déconnexion ,il ne passe pas instantanément de la conduction à l'"isolement" ) Je vois d'ailleurs qu'il est sur un radiateur assez important !

* On utilise d'ailleurs ce système "basique" pour élever une tension sans autre bobinage en utilisant la surtension de déconnexion ! Donc générateur devenu récepteur !
Mais bon , on ne va pas essayer d'apporter d'autres explications ,tu as tout testé ,tu es sûr de tes mesures donc il parait inutile de participer à part abonder dans ton sens.
Amicalement.
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Ecrit le: Jeudi 28 Janvier 2010 à 17h04 Posted since your last visit
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Re bonjour à tous,
bonjour Gegyx

La perte acoustique :

Je confirme que oui. Une partie de l’énergie consommée part en décibels. Mais c’est très faible. La vibration principale provient de la relative élasticité des cales en PVC des entrefers.
Cela permet une vibration minuscule, étant donné que la longueur des cales est de 0,48 millimètre et que l’élasticité est une toute petite fraction de cela. Le son est un peu moins disgracieux en charge qu’à vide car dans ce dernier cas il a une forme de « dent de scie » après l’attraction des deux tronçons du circuit magnétique.
La surface vibrante est située sur la section courte du circuit magnétique. Cela correspond environ à celle d’un haut parleur de 15 centimètres de diamètre.

Pour essayer d’avoir une comparaison pertinente en termes de puissance acoustique, j’ai enregistré le son du test MEG et je l’ai reproduit avec un ampli de 2 fois 50 watts « électriques ». Cela signifie « 50 watts aux bornes des haut parleurs », qui sont eux même des piètres convertisseurs électro acoustiques. Le même niveau de gène sonore est obtenu au cinquième du volume de l’ampli environ. A pleine puissance, j’aurais fait tomber les murs du salon.

J’ai aussi essayé de presser les deux parties du circuit magnétique avec un montage à vis et écrous que l’on voit dans la vidéo de 2008. Cela ne change pas
« un poil » de la consommation ni de la production du test . Cela tient au fait que la puissance acoustique effective mise en jeu est négligeable. La solution sera de trouver un isolant magnétique ultra rigide et de noyer l’ensemble du circuit magnétique dans de la résine pour annuler ce bruit disgracieux. Je ne crois pas pouvoir récupérer plus que quelques watts par cette opération.
Mais tout est bon à prendre. Pour la phase des essais, je supporte le bruit.

A plus...
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Ecrit le: Jeudi 28 Janvier 2010 à 19h32 Posted since your last visit
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Bonsoir à tous.

Voici un extrait de la fiche constructeur concernant le relais statique que j'utilise.

user posted image

Avec une intensité moyenne de 16 ampères transitant pendant 4,75 millisecondes sur un total de 7, 5 millisecondes on arrive à une dissipation d'environ 5 watts par temps de connexion et déconnexion et donc à une moyenne dissipée de 3,16 watts.
La courbe d'intensité est une quasi droite : cela permet de chiffer à 16 ampères l'intensité moyenne "passante" dans le relais en partant d'une intensité crte de 32 ampères.
On comprend pourquoi ca ne chauffe pas.
A plus...
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Ecrit le: Jeudi 28 Janvier 2010 à 20h53 Posted since your last visit
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Bonsoir à tous,

Je vois que l'ambiance est devenue plus harmonieuse, ainsi on peut mieux avancer.

Voilà la dernière mouture du MEG à flux de rétro-action secondaire piégé. On a un coût énergétique de la commutation minimum et testé par quartz. Dans la version précédente MEG à réluctance asymétrique il y avait un gros problème. Une partie du flux commuté ne passait pas à travers les secondaires. Ce problème semble maintenant largement résolu. Il subsiste néanmoins encore un petit flux parasite. S'il devait s'avérer gênant on peut résoudre le problème de 2 manières différentes : soit alimenter que 2 bobines primaire au lieu de 4 et augmenter le courant dans les 2 bobines actives pour une alternance donnée, soit utiliser la commutation par saturation locale. Avec cette dernière configuration le coût énergétique de la commutation par saturation doit être bien moindre que la simulation réalisée par notre ami quartz.

Explications

En brun c'est une grande pièce polaire en fer qui reboucle le flux des aimants et il sert à reboucler 4, 6 ,8 , etc de circuit magnétiques doubles commutés , en jaune ( tôles de trafo normalisées ). Tous les circuits magnétiques doubles sont distribués sur et au dessous d'une grande carcasse de transformateur toroïdal, dessiné en orange et qui est traversé par le centre par la grande pièce polaire en fer. Ce circuit toroïdal est le siège de tous les secondaires. Quand un courant est consommé sur le/les secondaires le flux rétroactif créé par ce courant circule dans ce circuit toroïdal à réluctance vraiment minimale et ne peut pas influencer la consommation primaire, c'est en tout le grand espoir que j'ai, seul un test pratique permets de trancher. Sur le dessin vous constater que le flux des 4 bobines primaires se retrouve bien sûr sur le circuit secondaire toroïdal donc sera influencé par la consommation secondaire. Ce dernier point négatif peut être résolu par une commutation par saturation locale qui elle ne fait passer aucun flux additionnel dans le circuit toroïdal.

Voilà, j'espère que le discours était suffisamment limpide ( j'ai toujours un peu de peine à être clair ) pour comprendre le concept. Encore un point pour éviter un court-circuit électrique par l'intermédiaire du grand fer polaire et le reste, il faut prévoir un petit entrefer isolant pour chaque pièce jaune qui porte tous les primaires. Cet entrefer fait une pierre deux coups, il sert aussi à assurer une meilleure "isolation" magnétique de la rétro action entre circuits magnétiques primaire et circuit mag. secondaire.

user posted image]MEG à flux rétro-actif Piégé[/URL]

Cette configuration semble cumuler tous les avantages, flux alternatif dans le secondaire, commutation efficace, à part la grande pièce polaire ne fer, tout est trouvable sur le marché, et surtout le fait d'avoir une grande chance de pouvoir casser l'infernale rétro-action. Il ne reste plus qu'à tester.... là c'est une autre question. J'attends volontiers vos remarques et questions.

A+
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Ecrit le: Jeudi 28 Janvier 2010 à 22h53 Posted since your last visit
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Salut à tous,

Heureux de voir que tu cogites toujours Derfla. icon_coucou.gif
Toujours des plans détaillés et nickel.


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Ecrit le: Jeudi 28 Janvier 2010 à 23h31 Posted since your last visit
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Bonsoir à tous, icon_biggrin.gif

Derfla, voici une vidéo, il s'agit du MEG Bulgare dont je parle régulièrement, apparemment la les hommes semble parler italien.
Je suis persuadé que la source est la même car sur une autre vidéo que je ne parviens plus à localiser,
Le technicien qui fait les calcule est le même que dans la vidéo on les hommes parles slave.
Je vous l'accorde c'est pas clair.

Tout ça pour en venir au fait que se qui me semble important se sont les différences de sections possibles grâce à la coupure par effet de bouclage toroïdal.
user posted image
Cette image donne une idée assez claire du phénomène,
Rendez vous sur cette page, c'est très bien documenté.
La clef est qu'en irriguant une section on bloque l'équivalent de deux sections.


A+++

PS:La machine d'origine


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Ecrit le: Vendredi 29 Janvier 2010 à 10h15 Posted since your last visit
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Bonjour à tous,

Hello jys17, tu est aussi là mais probablement passablement occupé par la famille qui doit s'être agrandie maintenant.

Quartz, dans ton MEG bulgare que tu as simulé avec FEMM où la commutation magnétique fonctionne parfaitement en donnant un flux alternatif dans la branche centrale du H. Sur le papier je lui trouve 2 faiblesses :

1) C'est la plus importante et on le retrouve dans tous les montages MEG équivalents que je connaisse, sauf le cas à part de Labo: quand on consomme au secondaire ( qui doit être sur la branche centrale du H couché ), le flux généré par le courant consommé s'oppose frontalement ( c'est à dire dans la même section fer qui induit la tension secondaire ) au flux qui induit la tension du secondaire. Nous sommes encore et toujours dans les effets néfastes archi connu de la rétro-action. La commutation est excellente bien que j'ignore le NI nécessaire par arriver à cette commutation et les sections des circuits magnétiques utilisés. Certes il y a manifestement un avantage par rapport à un transformateur classique car la cause primaire qui provoque le flux alternatif est relativement bien "isolée" par rapport au secondaire.

2) C'est l'aspect pratique de la réalisation, il y a trop de tôles à faire sur mesure et ceci freine considérablement l'amorce d'une expérimentation par quiconque.

J'ai l'impression que j'ai pas été assez clair avec le dernier dessin et explications. Je vais voir ce que je peux faire.

A+



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Ecrit le: Vendredi 29 Janvier 2010 à 18h28 Posted since your last visit
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Bonsoir à tous,

Avant de vous présenter éventuellement (suivant les résultats ) une toute dernière version de MEG optimalisée, j'aurais besoin de compétences qui me manque, à savoir : effectuer plusieurs simulations d'une unité de commutation magnétique représentée ICI : Test de commutations magnétiques en comparant les différents NI ( ampères.tours ) qui est très proche du brevet que quartz nous a eu la bonne idée de trouver. BREVET

Il faudrais arriver à la même induction résiduelle dans les branches désertée par le flux des aimants permanents et de comparer les NI des différentes configurations. Il n'est pas nécessaire de faire les 2 alternances, une seule par configuration suffit. Je dis déjà merci à la bonne âme qui se présenterais.

A+
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Ecrit le: Vendredi 29 Janvier 2010 à 19h25 Posted since your last visit
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Première image 4 bobines en Push Pull,
chaque bobine ne possède qu'une seule spire, elle sont alimentées par un courant de 6 A.
Le produit NI est on ne peut plus simple 4 x 1 x 6.
user posted image

Seconde image deux bobines alimentées en Push 2 x 1 spire 6 A.
Le produit NI 2 x 1 x 6.
user posted image

Troisième image deux bobines alimentées en Pull 2 x 1 spire 6 A.
Le produit NI 2 x 1 x 6.
user posted image.

Le reste va suivre


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Ecrit le: Vendredi 29 Janvier 2010 à 20h11 Posted since your last visit
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La suite,
Là, les bobines "toroïdales" comporte une spire sur chaque cotés,
donc 4 fil dans le trou central.
Deux bobines alimentées en quinconce pas question de Push Pull ici.
Le produit NI va être de 4 spires x 2 bobines x 6 A
user posted image

Je te laisse conclure,
Si tu as besoin d'autre chose n'hésite pas.

A+++


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Bonsoir à tous,

Super quartz alias Lucky Luke pour la rapidité de ta réponse. Je n'ai pas osé de faire appel à toi de façon directe, encore merci.

Pour les résultats c'est clair : les trous pour la version proche saturation locale diminuent trop la réluctance du circuit, on le voit notamment par une intensité de l'induction plus faible dans le circuit extérieur( et ailleurs ). Il faudrait comparer les NI avec des sections utilisables identiques. Les trous diminuent trop cette section utile et cela favorise une plus mauvaise commutation pour la version toroïdale avec un NI double par rapport à la version push-pull. Il y a aussi probablement un problème de longueur de la zone à trous.

Comme tu me le propose bien aimablement, c'est bien volontiers que je reviendrais pour quelques nouvelles simulations. Je tiens à la version "toroïdale", elle me serais très utile ( elle aide significativement à l'isolation de la rétroaction entre primaire et secondaire) mais il faut arriver au moins à la même qualité de commutation avec une même consommation que la version classique. Je vais essayer d'atteindre ce but grâce à ton aide efficace.

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Ecrit le: Samedi 30 Janvier 2010 à 09h48 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
30 JANVIER 2010.
Bonjour à tous.

L’écho amplifié.

L’utilisation finale du test MEG est de produire de l’énergie à partir de l’éther. Pour cela il faut avoir un « gain ». La façon la plus simple d’obtenir un gain utilisable c’est le « bouclage » de l’énergie sur une batterie. La réalisation effective du test impose que l’intensité moyenne finale « revienne » vers la batterie « depuis » le MEG.

J’ai déjà testé le bouclage de l’énergie sur la batterie. C’est visible sur la vidéo du 15 juillet 2008. Le rendement de ce bouclage était bien inférieur à 100% car le circuit magnétique ne permettait pas de faire mieux. Au vu des courbes d’intensité on peut dire que ce rendement était de l’ordre de 70%. Au vu de l’ampèremètre à aiguille, il était en fait de 50%. La différence est due à la présence de la perte ohmique du capteur d’intensité qui modifie le tracé des courbes d’intensité de façon négative.

Le test à refaire serait donc exempt de toute résistance ohmique et l’on lirait l’intensité moyenne globale sur l’ampèremètre à aiguille. Les premières mesures se feraient avec la résistance de captage et ensuite il suffirait d’extrapoler.

Sur le test du 15 juillet 2008 on voit que l’intensité secondaire cesse à peine un peu avant la fin de sa séquence attribuée. Cela vient du fait que la batterie de 12 volts empêche la « queue de décroissance » du champ magnétique de faire perdurer l’existence de celui-ci. En effet la tension de 12 volts correspond à la quasi fin de la décroissance du champ magnétique en termes d’induction magnétique mais pas en termes de survie de la « traine d’existence finale » qui risque de provoquer la rétroaction.

La question qui se pose est celle de l’adaptation de la résistance interne de la batterie à la création du champ de contre effondrement et donc à la tension secondaire moyenne.
Mais dans le cas de la connexion sur la batterie, le problème de la tension secondaire est particulier car c’est obligatoirement réduit à la tension de la batterie. La batterie fait 12 volts et ne va pas « monter » à 36 volts. La conséquence est que la tension secondaire ne se « verra plus » mais se transformera en intensité de charge de la batterie.

Puisqu’on ne peut pas agir sur la valeur de la résistance de charge, on agira sur la tension initiale secondaire pour obtenir une courbe d’intensité qui ne s’effondre pas immédiatement après le début de la décroissance du champ magnétique. L’important est que le « n x i » secondaire initial soit inférieur au « n x i » final de la croissance de la bobine primaire. De ce fait il n’y a pas de chute verticale initiale de la tension secondaire, donc aussi de son intensité.
Plus précisément il faut que le niveau d’induction magnétique de contre effondrement soit inférieure à l’induction magnétique crête atteinte au moment du début de la décroissance du champ magnétique.

Le rendement du bouclage dépendra de la géométrie du circuit magnétique, tout comme le test avec une charge purement ohmique.

Pour agir sur la tension secondaire initiale, on agira sur le nombre de spires de la bobine secondaire.


Dans ce test les deux bobines ont une liaison commune avec le pole « moins » de la batterie.
La bobine secondaire est reliée par son autre borne à la diode de puissance. L’autre borne de la diode sera reliée au pole « plus » de la batterie.

La courbe d’intensité de charge de la batterie ne commence à devenir visible à l’oscilloscope que si la tension secondaire cesse de s’effondrer à la verticale.

Je continue à développer ce test.
A plus…


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Ecrit le: Samedi 30 Janvier 2010 à 21h03 Posted since your last visit
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Bonsoir à tous,

En vue d'économiser la puissance nécessaire pour la commutation magnétique et éliminer la grande pièce polaire centrale ( difficile à réaliser pour un éventuel proto ) qui passe par le centre de la carcasse du transformateur toroïdal, voici la nouvelle version de MEG à flux rétroactif piégé. Cette fois le matériel est complètement trouvable sur le marché sans passer par un usinage quelconque si ce n'est que la coupe des morceaux de fer pour les nouvelles pièces polaires.

Malgré une consommation 2 à 3 fois plus grande par rapport à une commutation classique par bobine ouverte, j'ai choisi l'option de la commutation par la petite magnétisation toroïdale à 3 trous. L'avantage de ce genre de commutation c'est le fait que localement le système est magnétiquement fermé, à l'opposé d'une commutation par bobines. Le but recherché c'est de freiner au max la rétroaction provoqué par la consommation secondaire, sur la consommation primaire.

user posted image]Effet négatif de la rétroaction[/URL]

Sur l'extrait agrandi du plan on voit que lorsque la consommation secondaire augmente, automatiquement la consommation primaire augmente également dans ces 2 bobines de commutation. D'où l'adoption d'une commutation toroïdale locale. La dernière étape sera d'augmenter le rendement de cette commutation en utilisant les compétences de quartz.

Voici le plan de la dernière version accessible à tout bricoleur motivé.

user posted image]MEG avec commuation toroïdale[/URL]

Avec cette configuration je pense avoir atteint le maximum pour isoler l'effet négatif de la rétroaction. On pourrais très bien se passer des unités de commutation situé au dessous de la carcasse du transformateur toroïdal. Avec ce montage on génère un flux magnétique alternatif original avec déplacement spatial alternatif de la zone d'induction au secondaire. C'est clair qu'il y a encore une rétroaction provoquée par la consommation, mais celle-ci ( la rétro ) est très indirecte et lointaine en comparaison avec un transformateur classique où le couplage magnétique de la rétroaction est maximal et direct, chaque milliwatt consommé au secondaire est instantanément reporté sur le primaire.

Comme déjà annoncé je vais maintenant me concentrer pour améliorer, si c'est possible, la commutation par toroïde local.

A+
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Ecrit le: Samedi 30 Janvier 2010 à 23h19 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
30 JANVIER 2010.
Bonsoir à tous.

Schéma du bouclage de l’énergie sur la batterie.

Ce bouclage a fonctionné sur le test vidéo http://www.youtube.com/watch?v=SXCxqUMdJx0 et http://www.youtube.com/watch?v=RKUKAgbtCRw en 2008.

D’abord une petite correction : la borne périphérique de la bobine secondaire est reliée à la diode de puissance, sur sa tresse. Ensuite la base de la diode vissée sur son radiateur est reliée au pole « moins » de la batterie à travers l’ampèremètre à aiguille. La borne centrale de la bobine secondaire est directement reliée au pole « plus » de la batterie. On peut insérer un fusible ou bien un contact de commande entre cette borne centrale et le pole « plus ».

La borne périphérique de la bobine primaire est reliée à la borne « 1 » du relais statique de puissance. La borne centrale de la bobine primaire est reliée au pole « moins » de la batterie à travers l’ampèremètre à aiguille.

Les deux bobines sont des bobines plates et elles sont bobinées dans le meme sens.
Le nombre de spires de la bobine secondaire est mentionné à titre indicatif et dépendra finalement des futurs calculs du test.

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A suivre...
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Ecrit le: Dimanche 31 Janvier 2010 à 01h18 Posted since your last visit
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Bonjour à tous, icon_biggrin.gif

Une petite simu pour Dédé,
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Les deux simulations sont identiques dans les cotes nombre de spire (1) et le courant (20A).
Pourtant l'une commute très bien l'autre pas terrible.
J'ai minimiser le nombre de spire à trois la section est 1/2 donc au plus économique.
Selon ce bobinage minimaliste le sens du courant de commutation donne des résultats très différents, cela semble intéressant.

Je pense que nous avons avancé d'une case là !!
Dernier point j'ai mis 100 spires et 200mA à la place d'une spire 20A le résultat est identique.

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Ecrit le: Dimanche 31 Janvier 2010 à 09h15 Posted since your last visit
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Bonjour à tous, icon_biggrin.gif

Une nuit plus tard (petite nuit),
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Le système de droite ne comporte qu'une seule spire alimenté par 20A,
Le résultat est le même, toutefois, le courant doit être dans le bon sens.
A gauche rein de changer une spire dans chaque trou 20A voyez le résultat.
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La j'ai excentré le trou ça ne fonctionne plus, quelques soit le sens du courant.
Même en mettant un courant de 50A ou -50A dans la spire,
C'est d'une extrême précision cette affaire !
Si la simulation est exacte cela rend le BREVET caduc.
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Ecrit le: Dimanche 31 Janvier 2010 à 12h00 Posted since your last visit
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Bonjour à tous,

Quartz, je viens de voire tes post et je dois partir maintenant , ça l'air très intéressant, je vais étudier cela tranquillement ce soir.

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Ecrit le: Dimanche 31 Janvier 2010 à 19h31 Posted since your last visit
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Bonsoir à tous,

Quartz, tu m'impressionne par ta capacité à bosser aussi tard ou tôt dans la nuit. Ménage toi un peu , à force d'être au four et au moulin, le corps pourrais un jour ou l'autre présenter sa facture ...

Tu as levé un lièvre en mettant que 3 fils au lieu de 4. Pour moi c'est l'aspect le plus intéressant de ta découverte, car cette manière de faire permet une nouvelle manière de commuter un flux magnétique. On a un nouveau type de switch magnétique commandé en courant alternatif. Pour une alternance on laisse passer le flux, pour l'autre on le bloque. Certes il reste toujours le problème du coût énergétique de cette commutation, mais on a progressé.

Concernant le décalage du trou c'est pas du tout étonnant car pour un courant donné, chaque spire augmente la puissance de l'électro-aimant dans le volume du matériel ferromagnétique que les spire enveloppent. Cet électro-aimant referme son flux sur une section plus grande. Tu as beau mettre 5o ampères, la petite section génératrice de l'aimant est saturée depuis longtemps et le courant excédentaire ne sert qu'à chauffer le cuivre, alors que la grande section du rebouclement du flux ne voit rien venir de plus et du fait de cette section plus grande et d' une marge suffisante avant d' entrer dans l'état saturé c'est le flux des aimants permanent qui passe.

Concernant le brevet, je pense également qu'il ne peut fonctionner efficacement, voire pas du tout, il a probablement voulu breveter qu'une idée sans proto à la clef. A nous de la transformer cette idée pour que cela fonctionne convenablement.

Je suis agréablement surpris qu'une seule spire fasse aussi bien que 3. Il doit y avoir une influence synergétique entre les 2 switch à cause de leur rapprochement . Si ce n'est pas déjà fait essaie de mettre également 1 spire pour l'autre switch, pour voir. L'économie d'énergie est toujours bonne à prendre, c'est même primordial, car pour l'instant on est encore entre 80 et 120 pour le NI, c'est énorme. Si cet essai a déjà été fait , essaie de rapprocher les 2 switch vers le bas, quitte à mettre un trou tout près de la jonction entre le U et le reste du circuit magnétique.

Question : as-tu mis un petit entrefer ?

Ne te mets pas la pression, celui qui ménage sa monture va le plus loin.


Dédé le pépé
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Ecrit le: Dimanche 31 Janvier 2010 à 20h02 Posted since your last visit
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Oui tu as raison, je vais faire attention, mais bon je me suis fait un petit pionpion s'taprème,
user posted image user posted image user posted image
La série d'images montre les différentes phases de commutation.
1 spire dans chaque trou j'alimente une paire en quinconce, ou l'autre selon la commutation voulu.
toujours 20A dans les deux spires à commuter pas d'entrefer du tout, section d'aimant 20mm.

En faite se système fonctionne comme le MEG Bulgare mais mécaniquement beaucoup plus simple à réaliser.

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Ecrit le: Dimanche 31 Janvier 2010 à 21h53 Posted since your last visit
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C'est bien d'arriver à 40 comme valeur du NI pour commuter, cela devient intéressant mais pour qu'elle qualité d'aimant, section 20 mm ? 20 mm carrée ( 20 x20 ) ou ronde ? Longueur d'aimant ? Qu'elle section du fer? Les longueurs du fer ? Je n'arrive pas à comparer avec les autres simule. Essaie de prendre toujours une même qualité d'aimant, une même section des fers ou bien indiquer chaque fois les spécifications complètes. A mon avis avec ta dernière simule on se retrouve en plein avec le problème de la rétroaction et on ne pourras pas à approcher un semblant de solution avec ça. C'est pourquoi je cherche des solutions plus élaborées. Mais je peux me tromper, seul un essais permettrais de voir plus clair si la sur-unité serais déjà au rendez-vous.

En tout cas merci pour tout ton travail accompli.

A+
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Ecrit le: Dimanche 31 Janvier 2010 à 22h52 Posted since your last visit
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Et bé ya ka d'mander mon Dédé,
La section est homothétique sur ce logiciel 2D, c'est à dire que la pièce fait 20mm de large,
mais elle peut faire un millimètre ou 10 cm d'épaisseur le logiciel considère que c'est pareil.
La qualité des aimants sont des néodyme grade 40, là il font 20mm de large,
et pour être homogène la largeur de fer est également de 20 mm.
Concernant la dernière simu oui tu as raison je n'ai pas tenu compte de la rétroaction direct.
J'ai pris cette forme pour que les concepts de commutation soit le plus clairs possible.
J'ai tout de même bien envi de tenter un test rapide avec une des vieilles carcasses de transfo en C.
Je vais regarder ça, la forme sera au plus simple à savoir,
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Ecrit le: Lundi 01 Février 2010 à 09h16 Posted since your last visit
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Bonjour à tous,

Oui ce serait super ton essais pour nous donner des certitudes pour une orientation future. J'ai été un peu carré dans le post précédent. Mais la rétroaction te guette quartz prend garde qu'elle ne te saute dessus icon_biggrin.gif

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Ecrit le: Lundi 01 Février 2010 à 09h23 Posted since your last visit
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Tu sais Derfla, j'en suis plus à une morsure près.

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