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Ecrit le: Mercredi 25 Juillet 2007 à 21h14
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Bonsoir Labo343 En effet, les solutions ne manquent pas.. Ce qui manque est la volonté politique .. L'humanité entiere est soumise à quelques monstres assoiffés de pouvoir et d'argent .. L'Etre humain est jusqu'au boutiste et ceux qui règnent veulent que rien ne change qui puisse affaiblir leur pouvoir ou compte en banque .. La solution au problème énergétique est autant politique que technique, sinon plus !!! A plus !! Amateur anarchiste ce soir !! -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
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Ecrit le: Mercredi 25 Juillet 2007 à 21h44
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Bonsoir à tous,
Je vois que l’on philosophe ici, pour reprendre tes propos Amateur, peut être plus politique encore que technique, j’ai la conviction que des dizaines de système on émergé, il y a longtemps déjà. Comme tu le souligne une volonté politique nourrie par les capitaux, font que rien ne parviens dans les mains du public. Ajoute à cela la volonté de l’inventeur de s’enrichir avec son invention (ce que je ne critique pas par ailleurs), ce cocktail fait que rien n’éclos. Le net est un moyen de sortir de cette enclave les individus communique directement comme nous le faisons. L’instantanéité des infos est imparable, ou disons difficilement. Ajoute à cela des bricoleurs qui on la ferme intention de trouver une solution, avec une goute de générosité, car il partage tout. La bombe peut un jour devenir explosive. Perso je cherche coté mouvement pour le moment car je me suis beaucoup intéressé au MEG également, une fois le projet en cours bouclé j’y reviendrais. Je vous invite à passé ici vous vous sentirez encore moi seul. Très bonne soirée à tous. -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
Page YouTube, Page Dailymotion, Album Picasa, La Force contre-électromotrice, simulation magnétique, Viktor Schauberger |
Ecrit le: Jeudi 26 Juillet 2007 à 17h05
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO 343 MEG
26 JUILLET 2007. L’anti boussole de recherche. Normalement, quand on cherche son chemin, on utilise son flair, sa boussole, son intuition. Avec ce problème de l’énergie on peut utiliser autre chose : ce que le « système » n’aurait surtout pas voulu trouver. Il ne faut pas se demander pourquoi personne n’a trouvé cela Mais pourquoi on ne s’en est pas servi. Si ça marche trop bien on ne s’en sert pas car il faut garder un minimum de pénurie pour proposer sa résolution toujours inachevée. Ce système s’est concentré sur une forme d’énergie « maîtresse » et les autres ont été effacées. La perfection est atteinte quand on « prouve » que rien d’autre n’est possible et que rien d’autre n’a jamais existé. Ainsi le soleil peut briller mais pas plus : ce n’est pas une énergie « sérieuse ». Avec le pic pétrolier ce système arrive au point ou la marchandise qui fait circuler les marchandises va diminuer en volume utilisable sur l’instant. En pratique cela signifie strictement que le pic Hubbert est le début d’une récession définitive si aucune autre forme d’énergie supérieure n’est mise en service universellement. Vous savez ce que signifie le mot Récession : c’est « la fin des temps ». On n’attendra pas que le chaos s’installe pour réfléchir à la transition énergétique. Que ceux qui croient que le nucléaire à fission les sauvera réfléchissent à la façon dont les employés des centrales se rendront sur leur lieu de travail sans pétrole, par exemple. La première conclusion c’est que le « système » est en pleine panique concernant son avenir et c’est pourquoi nous pouvons tranquillement « ouvrir la boite de Pandore » des autres énergies. Ainsi, que tous ceux qui avaient quelque peur de révéler une technique « autre » se sentent Rassurés : le système a désespérément besoin d’eux par crainte de retourner au moyen age. Maintenant : une recette. En ce qui concerne les machines tournantes, le critère à surveiller c’est l’accélération. Si une machine électrique tournante à flux magnétique constant et à tension d’alimentation constante accélère « sans fin » c’est qu’elle est sur unitaire. Si la vitesse se stabilise c’est qu’il y a un contre courant. Le roto lifter de Naudin est sur unitaire lui aussi car il accélère « sans fin ». Un condensateur asymétrique soumis à une translation ne produit pas de tension mais ce même condensateur soumis à une tension produit une translation : et hop…à plus. |
Ecrit le: Vendredi 27 Juillet 2007 à 10h03
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1123 Membre n°: 281 Inscrit le: 12/06/2007 |
Bonjour.Je trouve quand même cette notion de surunitaire tres curieuse dans ce cas !S'i l existe une surunité dans certains cas ,et je suis optimiste...., je ne vois pas en quoi le lifter roto produirait une énergie quelconque supérieure à ce qu'il 'consomme' .Ou alors il faut accepter de le voir évoluer avec une source d'énergie décroissante tendant vers "0",ce qui n'est pas le cas !De plus ,il n'accélère pas "sans fin".Bien que l'on entretienne l'idée que le procédé ne soit pas complètement expliqué ,il n'est pas raisonnable d'en rajouter et de lui prêter des possibilités qui peuvent induire en erreur. Bonne journée et bonnes recnerches. |
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Ecrit le: Vendredi 27 Juillet 2007 à 16h27
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
26 JUILLET 2007 Bonjour. Je réponds à tecno au sujet du roto lifter. Au sujet de la consommation du lifter, elle est uniquement fonction de la distance entre les électrodes et de la tension aux bornes. On peut y ajouter un paramètre "humidité" de l'air qui modifie la constante dielectrique de l'air mais ne joue en rien selon la vitesse acquise par la rotation. Que le roto lifter tourne à 5 tours minute ou à 500 ou à 5000 sa consommation sera identique car il n'y a aucune contre tension pour s'opposer au courant qui parcourt ce système. En effet la rotation d'un condensateur asymétrique ne produit pas de courant. Donc, en fonction des simples lois de la mécanique, rien ne s'oppose à ce que ce système accélère. Evidemment si c'est mal équilibré ca va valser rapidement mais si c'est solide on peut le faire tourner vite. A ce moment là on aura un couple moteur inchangé multiplié par une vitesse élevée : donc une puissance mécanique élevée. Par contre la consommation sera la meme qu'au ralenti. Si cet engin peut fournir un couple moteur suffisant pour entrainer une charge adaptée, on pourra extraire d'autant plus d'énergie que la vitesse de rotation sera élevée. En pratique il faut copier le modèle donné par Naudin sur sa vidéo real média. En effet pour éviter le frotement de l'air les "pales" du lifter doivent etre fixées à plat autour de l'axe de rotation, comme des pales de ventilo qui seraient plates. Pour obtenir de la puissance il suffirait de monter des dizaines de cellules sur un meme axe, cela augmenterait le couple moteur. Evidemment cela augmenterait d'autant la consommation mais en travaillant en haut régime et sans que la charge dépasse le couple moteur ca doit marcher. La vidéo de Naudin est introuvable sur internet mais j'en ai une copie. Je peux l'envoyer par mail: labo343@free.fr à plus... |
Ecrit le: Vendredi 27 Juillet 2007 à 18h19
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1123 Membre n°: 281 Inscrit le: 12/06/2007 |
Bonjour. bien que je te suive dans ton raisonnement ,il ne faut pas négliger que la poussée du lifter ,valable aussi en déplacement horizontal n'atteint même pas 1 gr par watt ! (entre 1/4 et 1/2 gr en fait) Même en travaillant à vitesses maxi (à étudier aussi pour en voir les limites) et en multipliant les étages ,ce qui comme tu le dis multiplira autant la consommation ,on est bien inférieur à tout système classique et exploitable actuellement.Il y a ,mais ce n'est que mon avis aprés avoir fait pas mal d'essais sur l'engin et ses dérivés ,quelques grands pas à franchir pour passer du gadget (je suis un peu dur) spectaculaire à un système vraiment performant aussi bien en" montée" qu'en rotation moteur .Mais l'espoir fait vivre et tout n'est peut-être pas bouclé dans ce domaine !
Bon courage toutefois et amicalement |
Ecrit le: Vendredi 27 Juillet 2007 à 19h13
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
SUITE DE CE JOUR rebonjour. Merci de la réponse. Je crois comme toi que le chemin est difficile mais c'est une piste. C'est toujours le meme problème : il faudrait "gagner au loto" et "mettre le paquet" sur ces expériences. Il n'y a pas de secret : il faut du temps et de l'argent. Par contre les concepts déjà établis permettent d'accélerer les recherches. Quand j'ai vu la vidéo de Naudin j'ai immédiatement pensé : "il n'y a pas de contre courant" pour que ca accélère autant. Et c'est un fait : on peut balader un condensateur dans tous les sens, il ne produira pas de courant. Voilà la piste. à plus... |
Ecrit le: Vendredi 27 Juillet 2007 à 19h44
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1123 Membre n°: 281 Inscrit le: 12/06/2007 |
Rebonjour à toi . Je coupe les cheveux en quatre mais je trouve qu'associer le terme "condensateur" au lifter n'est peut-être pas approprié et peut dérouter !Je préfère le terme d'assocation d'électrodes asymétriques. Bien sûr ça crée un effet capacitif entre elles comme tous conducteurs l'un par rapport à l'autre mais ce n'est pas la "cause" du phénomène .Un condensateur employé comme tel accumule les charges électriques ,mais ce n'est pas cette "particularité "qui nous interesse pour le lifter .c'est d'ailleurs tres faible vu la distance entre ces mêmes électrodes ,quelques picofarads, et inévitable ,sans plus.Je sais que j'embête le monde comme pour les systèmes magnétiques que l'on pourra qualifier de "moteurs" seulement le jour où ils voleront de leurs propres ailes ! Etpourtant l'appellation pulllule sur le Net.
Mais tout ça ne nous empêche pas de cogiter (ça ne se voit pas trop mais je fais partie aussi des "doux rêveurs") et même si rien de positif n'est encore sorti ,ce n'est pas du temps perdu ,c'est tres enrichissant. Bonne fin de semaine sans se décourager. |
Ecrit le: Samedi 28 Juillet 2007 à 22h47
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
28 JUILLET 2007
LABO 343 MEG Contre tension et surunité. La force de Laplace est la base des moteurs en courant continu. Si vous appliquez une tension sur un rotor de dynamo, il y circulera un courant qui entraînera sa mise en rotation. Cette même rotation créera dans ce même rotor une tension qui s’opposera à celle appliquée pour le faire tourner : le drame est posé. Quelle que soit la géométrie utilisée, on n’en sort pas, il n’y a pas de gain. Il n’y a qu’un échange d’énergie. Mais on dit qu’un courant continu traversant un fil électrique rectiligne produit un champ magnétique circulaire autour de ce fil. Partant de là, est ce qu’on pourrait remplacer le courant de la force de Laplace par son « expression magnétique circulaire » en aimant permanent ? Cela signifierait qu’une certaine combinaison très particulière de deux champs magnétiques permanents entraînerait la création d’une force de translation « sans contrepartie ». La nature de cette force serait d’accélérer le mouvement de translation si la charge qu’on y oppose est inférieure à cette même force. A voir.. Au sujet du roto lifter, le test à faire serait de le faire tourner avec un mouvement externe et de vérifier si une tension apparaît à ses bornes. Si rien n’apparaît comme je le crois, il s’agit bien d’une « force d’action » sans réaction. Dans ce cas la courbe de puissance produite croisera inévitablement celle de la consommation à partir d’un certain seuil de vitesse de rotation. Dans la vidéo de Naudin on voit bien que la prise de vitesse ne pose pas beaucoup de problèmes. De toute façon un truc qui accélère c’est bon signe. Au sujet de mon test du MEG expérience n°6, je suis en train de réfléchir sur les flux qui se croisent dans un même circuit magnétique, au niveau des domaines de Weiss. Comment cela doit se passer ? Sur un transfo monophasé, c’est clair et net : le flux primaire croise le flux secondaire exactement sur le même chemin comme si c’étaient deux étrangers. Leur influence réciproque se faisant par le jeu des réactances. Cela donne l’impression que les bobines définissent des « droits de passage » propres dans les domaines de Weiss du circuit commun. A plus… |
Ecrit le: Samedi 28 Juillet 2007 à 22h59
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Excellent idée !!
Ce que tu veux créer, c'est un offset magnétique qui pré polarise l'espace que va empreinter le champ créer par le courant parcourant le conducteur. Si j'ai bien compris ? A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
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Ecrit le: Dimanche 29 Juillet 2007 à 01h17
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 124 Membre n°: 273 Inscrit le: 11/06/2007 |
Salut !!! Moi, j'ai pas tout compris, mais ...
LABO343, j'ai pensé ... TINtintin .......................................... La même chose !!!! Bon, est-ce que tu peux mettre ta vidéo en ligne please !!! à +++ -------------------- tan pis ...
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Ecrit le: Dimanche 29 Juillet 2007 à 07h23
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
29 JUILLET 2007 bonjour. à l'attention de Lifter. Je peux t'envoyer la vidéo par e mail. Pour la publier il faut que je demande l'autorisation à JL Naudin. La vidéo est à lui et c'est la moindre des politesses de le lui demander. Je vais essayer de retrouver son adresse aujourd'hui et je m'en occupe. Mon mail : labo343@free.fr à l'attention de Quartz : je n'avais pas pensé à l'image de l'offset, c'est original. Mon idée est partie d'une réflexion de Marcel Pages : la "pression de l'énergie " de l'espace. Je ferai un texte plus précis en revenant ce soir. à plus... |
Ecrit le: Dimanche 29 Juillet 2007 à 16h45
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
29 JUILLET 2007 16 heures. Au sujet de la force de Laplace. On part de la roue de Barlow. Il y a un champ magnétique permanent :le stator. La forme du circuit magnétique la plus simple dans ce cas est le U. Dans l’espace d’air situé entre les pôles prend place un disque conducteur dont l’axe est situé à l’extérieur de ces pôles, comme dans les anciens compteurs EDF. Si on alimente ce disque conducteur entre l’axe et la périphérie située « sous » le champ magnétique il va se mettre en mouvement et accélérer jusqu’à ce que la tension induite dans le disque soit égale à la tension d’alimentation. Dans ce cas précis il vaut mieux ne pas dépasser 1 volt… Qu’est ce que le disque dans ce cas sinon une succession De conducteurs élémentaires non isolés entre eux. On pourrait imaginer qu’ils sont effectivement isolés et qu’ils se succèdent en connexion et sont soumis l’un après l’autre à la force de Laplace. Mon idée est ici : chaque conducteur traversé par un courant produit un champ magnétique circulaire autour de lui. Pourquoi ne pas remplacer chaque conducteur par l’aimant permanent qui lui correspond ? Plutôt par le micro circuit magnétique fermé en forme d’anneau carré « alimenté » par l’aimant permanent qui lui correspond. Fabriquer une roue sur laquelle seraient fixés une succession de micro circuits magnétiques fermés dans la même géométrie que serait celle des circuits magnétiques créés par la succession des conducteurs. Chaque petit anneau comprenant un aimant permanent compris entre les tôles de son circuit. L’anneau vu de face aurait son centre perpendiculaire au rayon du disque. Dans cette géométrie il y aurait un déséquilibre des flux magnétiques entre « l’avant et l’arrière » du sens de la translation. Dans un des cas (vers l’avant par exemple) le flux du stator s’ajouterait à celui du micro circuit magnétique du rotor et dans l’autre cas le flux du stator se retrancherait à l’autre coté du micro circuit magnétique du rotor. Cette différence de densité de flux pourrait s’interpréter comme une espèce de « différence de densité archimédienne de l’énergie » au sens de Marcel Pagès dont la conséquence serait une « poussée ». Pour éviter le problème de la variation de réluctance provoquée par l’éjection de chaque micro circuit magnétique du champ du stator il faudrait que ce dernier soit homogène tout autour du disque rotor. Ainsi chaque microcircuit magnétique circulerait sans à coup. Voilà une idée purement « en vrac ». J’ai contacté JL Naudin pour l’autorisation de publier sa vidéo. On attend. A plus… |
Ecrit le: Mardi 31 Juillet 2007 à 23h34
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Bonjour Comme cela pour la roue de Barlow munie de microcircuits à aimants permanents ?? Merci Amateur Shot at 2007-07-31 -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
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Ecrit le: Mercredi 01 Août 2007 à 14h35
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 124 Membre n°: 273 Inscrit le: 11/06/2007 |
Salut LABO343 !!!
Je t'ais envoyé un mail concernant la vidéo de Naudin au sujet du roto-lifter !!! J'espère que tu l'as bien reçu !!! J'attend ta réponse !!! à +++ lifter impatient !!! -------------------- tan pis ...
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Ecrit le: Mercredi 01 Août 2007 à 16h42
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
1° AOUT 2007 bonjour à tous. Merci pour le plan, c'est bien mon idée. Comme je le rappelle, c'est une idée "en vrac". Je ne l'ai jamais testée mais ca me tente. Le micro circuit magnétique est la "représentation" de l'action du fil alimenté entre le centre et la périphérie de la roue. Le problème que je soulevais en y pensant la première fois est de savoir comment les deux flux vont s'interpénetrer. Il faudra que les petits aimants permanents soient parallèles aux poles du stator et que les flux se croisent au niveau des jonctions en tole sinon la très forte réluctance des aimants permanents bloquera tout. Donc les jonctions en tole doivent etre perpendiculaire aux poles du stator et parallèles au passage du flux du meme stator. Ca c'est quelque chose que j'ai compris avec une variante du test n°6 du MEG : deux flux ne se croisent jamais dans un aimant permanent. à plus... |
Ecrit le: Vendredi 03 Août 2007 à 16h31
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
3 AOUT 2007 bonjour, ci joint un dessin de mon idée de moteur magnétique à force de Laplace. J'espère que ce sera lisible. excusez moi mais je ne maitrise pas bien les dimensions du dessin. Je rappelle que ce test n'a pas été fait. Les aimants permanents du rotor sont placés ainsi de facon à empecher le flux des micro circuits du rotor de se perdre dans le stator. En effet la réluctance des aimants permanents du stator empechera cette circulation. Les flux se croiseront dans la partie des microcircuits qui relie les petits aimants permanents. Il y aura donc un flux ajouté et un flux annullé. Cela "ressemble" à ce qui se passe au niveau magnétique dans la roue de Barlow. Le rotor de ce dessin comporte 4 microcircuits magnétiques dont un est vu de face "de haut" et deux autres vu de leur "tranche à droite et à gauche. Le quatrième est dessous et ne peut se voir. La fixation des microcircuits sur le rotor n'est pas mentionnée. Le circuit magnétique du stator est "vu de haut". L'entrefer entre stator et rotor doit etre minimum et le rotor doit etre assez rigide pour que les aimants du stator et du rotor ne se collent pas entre eux. Voilà :je ne sais pas ou ca va et si ca y va à plus... |
Ecrit le: Vendredi 03 Août 2007 à 16h57
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Moteur à force de Laplace Je me suis permis de re-formater ton post Labo343 car il me semble très intéressant, sa lisibilité me semble essentielle A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
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Ecrit le: Vendredi 03 Août 2007 à 19h00
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Bonjour
Bravo Labo !! ça me semble génial comme imagination et invention .. J'ai du mal à imaginer les forces qui agissent pour faire tourner le rotor. Je suppose que c'est la différence de densité de flux de part et d'autre de chaque microcircuit qui crèe le mouvement de rotation .. C'est digne d'expérimentations !! Encore Bravo .. Amateur tout excité -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Dimanche 05 Août 2007 à 18h50
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO 343 MEG
5 AOUT 2007 Roue de Barlow, anneau Gramme et dynamo. Dans la roue de Barlow le champ inducteur traverse entièrement le disque ou passe le courant actif provoquant la force de Laplace. La matière du « fil conducteur », le cuivre, est donc elle même traversée par le flux du stator. Dans l’anneau Gramme c’est la même chose. La partie géométriquement active des fils composant l’anneau est aussi entièrement traversée par le flux inducteur du stator. Cette partie active est celle qui se trouve sur le périmètre extérieur de l’anneau, dans l’entrefer rotor/ stator. Là aussi le cuivre des fils est entièrement traversé dans sa masse. Mais dans la dynamo non. Les fils de cuivre (en général) qui sont « immergés » dans le rotor voient le flux inducteur passer AUTOUR d’eux mais pas à travers eux. En effet la réluctance du cuivre est comparable à l’air et le flux traverse 8000 fois mieux par la masse ferreuse que par le cuivre. Et pourtant ça marche parfaitement, la force de Laplace s’exerce normalement. La comparaison de ces modèles me donne à penser que la force de Laplace ne s’exerce pas dans le fil mais autour du fil. A ce moment là il n’y a plus de contradiction entre les modèles exposés. La force de Laplace est une force de translation, donc j’émets l’hypothèse que cette translation est causée par une « différence de pression » ou bien une « différence de densité d’énergie » entre l’avant et l’arrière du chemin de translation. Cette « différence » se situant à Partir de l’immédiat extérieur du cuivre. Or qu’est ce qui se passe à l’immédiat extérieur d’un fil parcouru par un courant : un champ magnétique circulaire. Voilà le chemin qui m’a amené Au dessin précédent. A plus… |
Ecrit le: Dimanche 05 Août 2007 à 23h16
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Bonsoir à tous,
Voici la représentation animé d'un alternateur à orientation de champ magnétique. Les particularités vis à vis d'un alternateur standard, se situes au niveau du mode d'orientation du champ. Un tout petit diamètre peut permettre de commuter un grande quantité de flux. Le couple ramené sur un petit diamètre est bien entendu plus faible. Second point, les aimants produisent une partie du travail seul, d'ou une hypothétique extraction d'énergie du point 0. Au moment ou le rotor se met en position défavorable de passage du flux, c'est le champ lui même qui trouve sa répartition et non un travail direct du au rotor, car lui ne comporte pas d'aimants. Le rotor est utilisé comme une vanne de robinet. Ceci permet de raccrocher les wagons par rapport à l'hypothèse exposé au dessus, se qui est important n'est pas ce qui se passe dans le cuivre mais autour du cuivre. En bobinant le cuivre dans les trous du "8" le flux va alternativement passé d'un coté puis de l'autre du bobinage, comme dans un rotor bobiné ou le cuivre se trouve dans les encoches. Tout ceci bien sûr n'est que pure spéculation est demande à être testé. A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
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Ecrit le: Mardi 07 Août 2007 à 11h16
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 124 Membre n°: 273 Inscrit le: 11/06/2007 |
Salut !!!
Vous vous souvenez ptêt de mon lien en russe (en fait c'est du bulgare), v'là : le même lien en page d'accueil, y'a une page en anglais Je pense qu'il est interessant de fouiller, pour les vidéos et les schémas ! L'auteur affirme que son MEG à un COP>1, L'auteur dit que le flux magnétique de la bobine de commande et de la bobine de sortie devraient être séparé. Il dit que le MEG du brevet de Tom Bearden ne peut pas fonctionner (en raison des flux mutuels). Il travaille à ce problème en insérant un noyau toroïdal à l'intérieur du noyau principal. La bobine de commande est enroulée autour de ce noyau toroïdal mais ces flux ne vont pas à la bobine de sortie. Il dit aussi qu'une capacité est absolument nécéssaire et doit être connecté sur la bobine de sortie pour obtenir la résonance. Il dit que les matériaux nanocristallins ne sont pas absolument nécéssaire pour l'obtention de l'effet MEG. Ces matériaux augmentent juste l'efficacité. Par exemple, un de ces prototypes présentés sur le site travaille à 50 Hz, avec un noyau en fer doux de transfo et produit un COP = 5,4. Il présente ces scémas par couple, à gauche pas de courant dans la bobine de control, à droite avec. Le flux de l'aimant permanent est en bleu, le flux de la bobine de control est en rouge. Est-ce intéressant ??? Bonne journée !!! à + -------------------- tan pis ...
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Ecrit le: Mercredi 08 Août 2007 à 08h26
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Bonjour à tous,
Lifter j'ai tenté de bien décrypter le message du site en lien au dessus, la donnée essentiel dans tout ça selon moi, reste l'entrefer. C'est aussi ce qui était mis en avant dans le premier brevet Français du MEG. Ensuite la dérivation du circuit magnétique sur un axe différent peut être déterminant également. Ce sont des pistes à explorer. Je vais tenter d'écrire un protocole pour évaluer les importances. A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
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Ecrit le: Mercredi 08 Août 2007 à 17h45
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
8 AOUT 2007 bonjour. Je voudrais moi aussi répondre à Lifter sur la question de l’entrefer évoquée par Quartz. La bobine de puissance définie en « page8 » du site montre un entrefer non négligeable sur son circuit magnétique. Cela veut dire que l’induction magnétique maximale nécessitera beaucoup d’ampère tours pour sa réalisation. Or la puissance disponible à la sortie de cette bobine est fonction de la variation du flux et de la vitesse de cette variation de flux. Le flux permanent est fixe : il s’agit de celui fourni par l’aimant. Donc, de toute façon, l’usage d’un entrefer non négligeable est très pénalisant. Dans mon projet de test suivant le n°6 je ferai usage d’un entrefer de répartition des flux mais il sera le plus petit possible. Un entrefer de 1 millimètre peut compromettre un test en lui ôtant 90% de sa puissance. Soit. Ce qui me tracasse c’est l’hypothèse émise de la déviation du flux permanent par l’action du noyau toroïdal. Sur le plan on tend à dire que la circulation du flux de la bobine de commande Dans le tore repousse le flux permanent dans le circuit magnétique de la bobine de puissance. Cela signifierait que la réluctance du passage par le tore aurait augmenté. La réluctance ne peut augmenter dans un circuit magnétique du fait de l’action d’un flux issu d’une bobine que si celui ci amène ce circuit dans la zone de saturation du fer. En dehors de la saturation, ce circuit toroïdal laissera passer le flux permanent par simple préférence de réluctance par rapport au circuit comprenant un entrefer. Ceci d’autant plus que sa section est double pour le passage du flux permanent. Pour dire plus simple, je ne crois pas à la théorie du « robinet magnétique ». D’autre part, la bobine de puissance va débiter sur une charge. Cette charge va Entraîner le passage d’un courant. Ce courant va, pendant la phase de croissance de la tension Secondaire, s’opposer à l’action de celle ci en déversant un champ croissant inverse en direction des bobines primaires. Que va t’il s’y passer ? Si l’on regarde bien le sens du bobinage dans ce tore on constate que la bobine de gauche est enroulée dans la continuité de la bobine de droite. Il y aurait donc une annulation des effets du contre champ par opposition des tensions dans les deux bobines. La conséquence serait elle une neutralisation de la contre réactance issue de la charge ? Pendant la phase de croissance du flux incident dans le tore, une partie de celui ci aura le même sens que le flux permanent initialement résident et l’autre y sera sera opposé. Donc il y aura réactance et contre réactance au même moment dans le circuit des bobines primaires. Le flux incident ne traversera en aucun cas l’aimant permanent pour cause de très grande réluctance. Il ne traversera quasiment pas le circuit de la bobine secondaire pour la même raison : réluctance de l’entrefer. Le flux incident (primaire) restera donc quasi confiné dans le tore. Le flux permanent traverse la bobine de puissance selon une réluctance déjà donnée et forte. Le fait que la réluctance augmente dans le tore ne fera pas baisser celle du circuit de la bobine de puissance : la « tension » de l’aimant n’augmentera pas du fait de la « baisse de son débit ». En attendant je garde en mémoire cette idée de tore, on sait jamais. A plus… |
Ecrit le: Mercredi 08 Août 2007 à 20h13
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Bonjour
J'ai fait une petite expérience avec un MEG simplifié et un capteur à effet Hall 1) Présentation du matériel Un meg simplifié en tôle de transfo avec ces deux circuits ouverts et un aimant néodyne dans la branche centrale Un capteur à effet Hall pour la mesur de l'induction magnetique Un voltmètre, calibre 2 volts en continu Une pile de 4,5 v plate pour alimenter le capteur Le capteur est taré avec un petit potentiomètre, pour une indication = 0 sur le voltmètre en l'absence de champ magnétique 2) Mise en place du capteur Je maintiens le capteur en contact, tangenciellement à la tôle sur une branche du circuit du bas par pression du doigt sur le capteur. Le voltmètre indique 0,027 3) Fermeture du circuit magnetique inferieur Je ferme le circuit magnetique du bas, avec la tôle prévue à cet effet. L'induction augmente dans la branche avec le capteur. Le voltmètre indique 0,035. 4) Fermeture du circuit magnétique supérieur Je ferme le circuit magnetique du haut, avec la tôle prévue à cet effet. En principe le flux devrait se diviser en deux et l'induction chuter dans la branche munie du capteur. Hors il ne se passe rien, le voltmètre continue à indiquer 0,035 !!!?? J'ai fait l'essai en inversant les deux branches, en mettant le capteur tantôt sur un circuit tantôt sur l'autre .. J'ai beau faire ce que je veux sur un des circuits, l'induction ne change pas sur l'autre .. A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mercredi 08 Août 2007 à 21h42
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Rebonjour
A mon avis, il va falloir se débrouiller pour que tout se passe dans un seul circuit.. L'aimant, la bobine de puissance et le dispositif pour faire varier le flux. Amateur qui ne desespère pas -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mercredi 08 Août 2007 à 22h04
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Bonsoir à tous,
J'ai déjà été confronté à ce type de mesure dés lors que le capteur se trouve parallèle au champ, la mesure est erratique, au risque de me répéter se type de capteur (UGN35XX ou bien Honeywell), ne mesure bien que le champ passant au travers de lui perpendiculairement à la puce de silicium. La fiche technique du constructeur est très claire sur se point. A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
Page YouTube, Page Dailymotion, Album Picasa, La Force contre-électromotrice, simulation magnétique, Viktor Schauberger |
Ecrit le: Mercredi 08 Août 2007 à 22h31
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
8 AOUT 2007 au soir bonsoir Amateur. Il est possible que dans ce test les tôles soient saturées par l’aimant. Il faudrait vérifier cela en utilisant une épaisseur de tôle telle que la section du circuit soit la même que celle de l’aimant afin de donner au flux un choix de chemin « entier ». L’astuce pour vérifier que le chemin proposé est entier consiste à vouloir y greffer un troisième circuit. Si il n’y a aucune attraction magnétique pour ce troisième circuit, c’est que le flux n’en a plus besoin pour « circuler pleinement » et que donc on se retrouve en dessous de la saturation et en réluctance négligeable. A plus… |
Ecrit le: Samedi 11 Août 2007 à 16h32
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
11 AOUT 2007
LABO343 MEG Il y a trois flux dans le MEG. Le circuit magnétique du MEG doit être dimensionné pour permettre le passage de trois flux magnétiques en dessous du seuil de saturation. Le calcul doit partir de l’aimant permanent. La section de passage du flux dans l’aimant permanent se divise en deux dans chaque branche extérieure. La bobine de commande ne s’oppose qu à une de ces moitiés de flux. Le flux développé par cette bobine de commande n’a pas d’autre chemin de réalisation que la périphérie du MEG. En effet pour que ce flux se développe, il faut que la réluctance du circuit qu’il traverse soit minimale, donc passage impossible à travers l’aimant. La bobine de puissance produit son propre flux dès qu’elle se déverse dans une charge. Ce troisième flux doit avoir lui aussi « une place sur le chemin » du circuit magnétique pour pouvoir exister dans sa quantité nominale. Ce troisième chemin ne peut être que le même pris par le flux de la bobine de commande. Au total donc, le circuit périphérique verra passer trois fois la grandeur du demi-flux de l’aimant permanent. Il sera d’une section 1,5 fois celle de l’aimant permanent. Le fait que ces trois flux s’interpénètrent en se croisant est un débat à lui tout seul. Cela se passe déjà dans un transfo monophasé mais pour deux flux seulement. Pour éviter les ennuis liés aux mauvais croisements des lignes de force, les transfos monophasés possèdent des bobines de commande (primaires) et de puissance (secondaires) concentriques. Mais dans le MEG on ne peut pas à cause de la réluctance de l’aimant. Dans les bobines concentriques « l’empreinte géométrique des flux » est la même : pas de problème. Mais ils se croisent et ne s’annulent pas comme je l’ai vu écrit. L’annulation se fait au niveau des tensions induites dans la bobine primaire : une somme algébrique nulle. Si on en veut une preuve simple il suffit de penser à un poste à soudure à l’arc monophasé. Lorsqu’on branche un poste à soudure sans opérer de soudure, on entend un bruit de ronflement causé par la magnétostriction. Ce bruit augmente en fonction de l’intensité du champ magnétique. Lorsque vous soudez, il faudrait être sourd pour ne pas entendre l’augmentation du bruit. Cela veut dire que le champ créé par la bobine secondaire est plus fort. Ce champ s’oppose à la réactance de la bobine primaire et l’amène à augmenter sa propre intensité. Ainsi les deux champs augmentent leurs effets sonores respectifs tout en s’opposant : une différence crée une addition. Ce nouveau concept modifie légèrement mes tests à venir. Cela me conforte dans la vérification de ce qui existe pour minimiser les frais de conception à venir. Il me reste à comprendre précisément le croisement des flux dans un même circuit magnétique. A plus…. |
Ecrit le: Samedi 11 Août 2007 à 17h26
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Bonjour à tous,
Donc selon ton hypothèse Labo343 mon extrapolation schématique d'après mesure empirique, serait fondée. Voir ici A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
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