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Ecrit le: Dimanche 10 Octobre 2010 à 07h27
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous,
bonjour Gegyx. J'avais pensé au tube pour éviter les sources de lumière parasite. On verra avec les tests. La charge secondaire de mon test est constituée actuellement de trois ampoules à iode de 12 volts et 50 watts connectées en série. Ces ampoules sont strictement identiques. Je commencerai par les alimenter à leur tension nominale sur une batterie et j'observerai la quantité de flux lumineux émis. Cela me servira de référence. Ensuite, la meme batterie sera utilisée pour alimenter la bobine primaire du test MEG. L'intensité consommée au primaire augmente de facon linéaire, ce qui permet de mesurer une intensité moyenne sans erreur. Je pourrai donc savoir quelle sera la consommation moyenne du test. A l'heure actuelle cette consommation moyenne est de 114 watts, si l'on a une tension d'alimentation de 12 volts pile. Si le flux mètre indique que le flux émis par les ampoules de la charge secondaire est égal au flux émis par ces memes ampoules alimentées par la batterie, alors il y a production de 150 watts et surunité. Si le flux lumineux est plus faible, il va falloir le noter et ensuite refaire la mesure des lampes directement sur la batterie en insérant une petite résistance jusqu'à obtenir la meme valeur de flux lumineux. Ensuite on mesurera la tension abaissée aux bornes des lampes et on aura l'image identique de la production secondaire. Voila comment je compte m'y prendre. A plus... |
Ecrit le: Dimanche 10 Octobre 2010 à 08h01
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous
Les photo diodes ne peuvent elles servir ? http://shop.ebay.fr/i.html?LH_PrefLoc=2&_t...4&_sop=15&_sc=1 http://www.datasheetcatalog.org/datasheet/...SHF00003AED.pdf La tension ou le courant délivré par ces diodes doit dépendre de l'intensité lumineuse qui les frappe, non? (facile à étalonner avec un milliampèremètre) Sinon, les panneaux solaires: http://shop.ebay.fr/i.html?_nkw=panneau+so...lassifyToggle=0 A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mercredi 13 Octobre 2010 à 18h32
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonsoir à tous,
bonsoir Amateur. J'attends de trouver un luxmètre déjà pret à utiliser. Les premiers prix semblent etre aux alentours de 40 euros. La recherche continue... Au niveau des fortes puissances délivrées éventuellement par un quelconque générateur, il faut vérifier les sections des bobines pour éviter les annonces frauduleuses. En moyenne une bobine ne doit pas dépasser la densité de courant de 1 ampère par millimètre carré de section du fil de cette bobine. Dans le cas contraire elle risque de chauffer et au pire de cramer. Pour 5000 watts sous 220 volts, par exemple, on aura une intensité de l'ordre de 22 ampères, soit un fil de bobine de 22 millimètres carrés. Si cette puissance "sort" en 100 volts, cela amène l'intensité à 50 ampères, soit 50 millimètres carré de section de fil de bobine. Les plus gros fils de bobines que j'ai vu sur les vidéos internet ne semblent pas dépasser 6 mm carré... Les bobines à fil fin et très nombreuses spires perdent la plus grande partie de leur énergie en chaleur joule : voir le MEG de Bearden... Vigilance... |
Ecrit le: Jeudi 14 Octobre 2010 à 08h08
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 773 Membre n°: 284 Inscrit le: 12/06/2007 |
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Ecrit le: Jeudi 14 Octobre 2010 à 17h23
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1247 Membre n°: 303 Inscrit le: 15/06/2007 |
Bonsoir les amis .Je vous demande pardon à l'avance d' être négatif ,mais nous avons tous eu un jour ou l'autre des lampes halogène ou certains d'entre vous en possèdent .Ce que je vois c'est un alternateur qui doit faire au moins 20 ou 30 KWs .Une vingtaine de lampes sur un support ,même si elles ne font que 40 watts chacune ,si vous comparez avec un lampe halogène de 500 watts qui vous aveugle ,chez le Monsieur en question on reste quand même dans la pénombre . je vais essayer ce soir de mettre une pile de 9 volts sur ma prise 220 pour voir si je peux économiser du jus .
Si par chance la chose est vraie que ce Monsieur balance vite fait sur le net avec tous les schémas et la plus grande précision possible ,car sinon pas question de commercialisation de toutes les façons .De ça comme du reste dailleurs .Car dans dix ans ou plus ce sera toujours une relique du passé . Je crois qu'en 10 ans j'ai du laisser dans la recherche du graal 4000 ou 5000 euros ,je sais ce n'est pas grand chose peut être mais le temps des Bearden et autres rêves terminé.....en ce qui concerne ce Monsieur pareil . |
Ecrit le: Jeudi 14 Octobre 2010 à 18h15
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonsoir à tous.
LABO343 MEG 14 OCTOBRE 2010. Test de mesure de la puissance secondaire avec un capteur solaire. J’en avais marre d’attendre un « meilleur plan sur le net » au sujet des luxmètres. Je me suis décidé à tester la mesure de lumière avec un petit capteur solaire. J’ai trouvé cela chez Leroy Merlin pour moins de 30 euros : 2,7 watts et 15 volts annoncés pour la charge de petites batteries… En premier je teste la bête dans l’atelier qui est éclairé par le toit. J’utilise un métrix à aiguille que je règle sur « 15 volts, courant continu » : ca marche. Posé en face du toit le capteur fournit 6 volts et cette tension varie fortement en fonction de son inclinaison. C’est juste ce qu’il me faut. Je monte cet appareil dans le grenier ou est installé mon test MEG et je commence à chercher le meilleur emplacement. En fait il faudra placer le capteur à 1 mètre des ampoules de la charge et orienter tout ce beau monde en parfait face à face. Je fixe la position du capteur avec un réseau compliqué de fils de fer et je fais le premier test. Il y a un « bruit de fond » lumineux provoqué par la clarté du grenier. Il faudra toujours en tenir compte. Je connecte le MEG en charge et la tension du métrix monte à 9 volts pile, pour mon réglage actuel à 200 hertz et 9,5 ampères consommés au primaire. Ensuite je constitue une batterie de 36 volts pour faire une comparaison de brillance avec la tension nominale des ampoules : le metrix affiche 20 volts, mais en connectant sur « 30 volts continu » car sur 15 volts, l’aiguille tape au bout du cadran. Je refais donc un test MEG sur l’échelle 30 volts et je passe de 9 à 14 volts. Il y a donc une influence de la résistance interne du metrix dans la lecture. Si je fais une règle de trois, la puissance fournie par le secondaire est de 105 watts. Au même moment la consommation primaire est de 9,5 ampères sous 12 volts, soit 114 watts. Sur ces 114 watts, la chute de tension ohmique moyenne aux bornes de la bobine primaire est de 0,75 volts. La puissance propre consommée par le test est donc de 106,8 watts. On grattouille l’unité. Mais, le flux lumineux n’est pas en croissance constante en fonction de la tension aux bornes d’une ampoule à incandescence : le meilleur rendement est atteint à raz de la tension de service et il grimpe encore si on augmente le voltage, à mes risques et périls… Donc il est difficile de mesurer par extrapolation. Il faut mesurer par comparaison de flux lumineux égaux. Pour cela je vais prendre le problème à l’envers. Je vais prendre pour base la tension obtenue au métrix pour un flux donné du MEG et ensuite je vais reproduire ce même flux avec les batteries de 36 volts en insérant un rhéostat dans le circuit. Comme nous sommes alors en courant continu, il n’y aura aucun problème à prélever une tension nette aux bornes des ampoules ainsi que l’intensité qui les traverse. Lorsque le rhéostat aura fait en sorte que la tension du métrix soit la même que la tension atteinte lors de l’usage de la bobine secondaire, alors je connaitrai la puissance secondaire moyenne fournie par le MEG. A suivre donc… |
Ecrit le: Samedi 16 Octobre 2010 à 17h20
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
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Ecrit le: Samedi 16 Octobre 2010 à 21h05
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Labo L'Humanité ayant un âge mental moyen de 12 ans, elle ne peut s'affranchir encore du bâton et de la carotte pour avancer.. La seule solution est de remplacer les devises par une carte infalsifiable de pointage-consommation sur laquelle s'accumuleraient les heures de travail utile à la vie sur la planète et avec laquelle nous payerions nos produits et services libellés en minutes de travail utile et non plus en devises.. Quand le total des heures accumulées atteindrait 80000 heures, la carte deviendrait une carte de retraité avec consommation permanente possible.. A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
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Ecrit le: Lundi 18 Octobre 2010 à 06h27
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 773 Membre n°: 284 Inscrit le: 12/06/2007 |
bonjour voila des nouvelles de Thane le bi toroide est testé par une université
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Ecrit le: Mercredi 20 Octobre 2010 à 08h31
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 773 Membre n°: 284 Inscrit le: 12/06/2007 |
bonjour
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Ecrit le: Jeudi 21 Octobre 2010 à 05h45
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 773 Membre n°: 284 Inscrit le: 12/06/2007 |
bonjour il me semble que le test de Thane peut faire avancer celui de labo
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Ecrit le: Jeudi 21 Octobre 2010 à 11h00
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous,
bonjour Tagor. Merci pour ces infos. En ce moment je change l'isolation thermique de mon grenier et cela me prend du temps. Je suis donc un peu loin de mes tests. Ce que je peux dire pour le moment c'est qu'il y a un réglage optimum du circuit de la bobine secondaire. Le plus gros problème c'est que je ne peux pas utiliser un rhéostat pour optimiser la valeur de la résistance de charge. En effet un rhéostat va bien produire de la chaleur mais pour la mesurer en "temps réel" c'est très compliqué. Il faudrait refroidir ce rhéostat avec un fluide électriquement isolant et caloriporteur puis mesurer l'élévation de la température de sortie pour un débit de ce fluide constant. Un peu en analogie avec les circuits de refroidissement des moteurs de voiture : tant d'élévation de température signifiant tant de watts fournis. Le tout, à condition que le fluide soit ensuite refroidi et revienne sur le rhéostat à température "froide" constante. Dans mon test actuel, les ampoules évacuent la chaleur sous forme de lumière dans une proportion variable selon la puissance appliquée aux lampes. Je peux faire un test par comparaison avec la puissance nominale des lampes mais je suis prisonnier d'une résistance de charge donnée. Or il y a une résistance optimale qui doit etre obtenue par approche. Avec les lampes c'est impossible précisément. Je ne sais pas ce que l'on peut y gagner au final mais le test avec trois lampes en série et celui avec deux lampes en série ont une nette différence de rendement final. Le meilleur rendement se trouve etre celui avec deux lampes. Mais peut etre qu'entre ces deux valeurs c'est encore mieux... Peut etre existe t'il des wattmètres capables de mesurer des impulsions de puissance décroissantes. Je l'ignore totalement. Je sais que pour mesurer la puissance dissipée sur un haut parleur on divise le carré de la tension aux bornes par la résistance du haut parleur. Mais quelle est donc la tension aux bornes d'un signal aussi tordu ? On est très loin d'une sinusoide. Donc : galère et article "22"... L'enquete continue. A plus... |
Ecrit le: Jeudi 21 Octobre 2010 à 11h15
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Bonjour à tous,
Il y a un point qui me gène sur le schéma dont Tagor nous montre le lien, Les circuits magnétiques sont confondus. Or nous savons par expériences Amateur, et moi même, que si le champ magnétique à la possibilité de partir ailleurs étant repoussé par une bobine induite, il ne se fait pas prier pour y aller. Dans tous les tests de Thane, les circuits magnétiques sont distincts. Vous allez me prendre pour un puriste, mais je pense que c'est vraiment important. A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
Page YouTube, Page Dailymotion, Album Picasa, La Force contre-électromotrice, simulation magnétique, Viktor Schauberger |
Ecrit le: Jeudi 21 Octobre 2010 à 14h22
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 213 Membre n°: 9922 Inscrit le: 25/05/2010 |
Bonjour,
Quartz : Si tu regardes bien le schema tu verras que les deux tores n'ont pas la même reluctance . L'exterieur est low reluctance et l'interieur high reluctance . C'est la toute l'astuce du montage ..... Obelix |
Ecrit le: Jeudi 21 Octobre 2010 à 14h30
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Merci Obelix pour cette précision importante,
Mais il n'en reste pas moins que le champ créer par le primaire, va partir directement dans le circuit faible réluctance, dés que les bobines secondaire vont être induites. ceci n'est vrai que dans la mesure ou les circuit magnétique ne sont pas dissociés. Si je parviens à dégager le temps se soir je vous ferais une simulation FEMM de se qu'il va se produire dans la réalité. Je me suis fait avoir c'est pour ça que je souligne se point. les maquettes de Thane et autre réplicateurs sont conçu avec des circuits dissociés. Le bug est juste au niveau du schéma. A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
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Ecrit le: Jeudi 21 Octobre 2010 à 16h27
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Rebonsoir à tous.
Il ne faut pas oublier que si le champ magnétisant créé par la charge, à travers la bobine secondaire se "déverse" dans un circuit magnétique autre que celui qui lui a donné naissance, il ne peut pas échapper à l'inductance. En effet dans le circuit magnétique "low reluctance", il n'y a aucun champ préexistant : donc un éventuel champ "dévié" sera un champ croissant, soumis à l'inductance. Reste à savoir quelle en est la conséquence et dans quelle proportion. Je me rappelle, Quartz, que tu avais fait un test troublant par rapport à cela. A plus... |
Ecrit le: Jeudi 21 Octobre 2010 à 18h20
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Rebonsoir à tous.
Une bonne adresse en passant, par ces temps de "nécessaire efforts" pour les plus faibles... http://atterres.org/?q=vid%C3%A9os-du-colloque A plus... |
Ecrit le: Jeudi 21 Octobre 2010 à 19h32
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Bonsoir à tous,
Pour illustrer mes propos voici deux simulations, bon c'est pas l'exact vérité, mais cela s'en approche. Il apparait clairement que dans les circuit distincts les sens de flux peuvent être différents, au sein d'une même bobine. ce qui n'est pas le cas pour les circuit monolithiques. Les valeurs d'Ampères / tours son les mêmes pour les deux simulations A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
Page YouTube, Page Dailymotion, Album Picasa, La Force contre-électromotrice, simulation magnétique, Viktor Schauberger |
Ecrit le: Jeudi 21 Octobre 2010 à 22h03
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Lab's Le mieux, c'est que le monde fasse l'amour sans procréer pendant 15 ans et qu'on ne mange de la viande qu'une fois par semaine !! Accessoirement on pourrait supprimer le pognon, puisque la plupart n'en ont presque pas et on pourrait remplacer ce pognon par une carte de pointage-consommation sur laquelle on accumule le temps de travail utile pour la vie sur la planète et avec laquelle on achete des produits et services libellés en minutes de travail utile et non plus en devises.. Ainsi on en finirait avec cette cause (le fric) qui crèe toujours les mêmes effets -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
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Ecrit le: Vendredi 22 Octobre 2010 à 17h00
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 773 Membre n°: 284 Inscrit le: 12/06/2007 |
bonjour il me semble que le "air gap" va etre difficile a simuler dans tout les cas comme pour la manip de LABO il est essentiel
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Ecrit le: Vendredi 22 Octobre 2010 à 18h04
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonsoir à tous,
bonsoir Tagor. L'aventure est au coin de la rue. Dans mon test MEG, l'entrefer a pour fonction principale de modifier la courbe de tension de la bobine secondaire en charge. Le champ magnétique de "contre effondrement" créé par la bobine secondaire en charge disparait alors plus vite. Il permet en plus de rester loin de la saturation magnétique, que ce soit pour la bobine primaire ou bien la bobine secondaire. Son action positive s'atténue rapidement au delà de l'épaisseur d'un millimètre. Le problème des simulations c'est leur programmation de base. Je ne crois pas que ces simulations intègrent la possibilité qu'une forme particulière de transformateur puisse consommer autant à vide qu'en charge, le tout sans pertes ohmiques significatives. Les simulations "sont dans le système" qui a été mis en place vers la fin du 19° siècle pour définir l'exclusivité des énergies "médiates". Le test MEG de novembre 2006 possède un authentique caractère insurrectionnel de par la facilité de sa réplication et à cause de ses implications théoriques. A plus... |
Ecrit le: Dimanche 24 Octobre 2010 à 12h58
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG 24 OCTOBRE 2010. Bonjour à tous. Un complot presque parfait Une des conséquences du test de novembre 2006 est l’interrogation sur une éventuelle antériorité de son observation. Comment se fait il qu’un test aussi simple ait attendu 2006 pour « faire surface » ? Ce test est une variante de la bobine de Ruhmkorff. Dans la bobine de Ruhmkorff telle qu’on la connait par les médias, on cherche à obtenir une haute tension à partir d’un courant continu de basse tension. Aucune mention n’est faite dans les médias du bilan d’énergie à l’intérieur de cette bobine. Or, comme dans mon test MEG, la bobine de Ruhmkorff consomme de l’énergie à vide en dehors de la perte ohmique de sa bobine primaire. Ou va donc cette énergie ? Le prétexte le plus courant est de dire qu’elle se « dissipe » dans l’étincelle du rupteur mécanique de la bobine primaire. Que se passe-t-il au moment de la coupure du circuit primaire ? Le champ magnétique disparaissant donne naissance à une tension qui s’oppose à sa disparition. Cela veut dire que cette tension va tenter de perpétuer l’existence du champ magnétique en continuant l’existence du courant qui l’a créé. Or continuer l’existence d’un courant qui a créé un champ magnétique, c’est continuer une consommation et non une production. Cela veut dire que la tension de rupture n’est en aucun cas le « retour » de l’énergie consommée pour l’établissement du champ magnétique. L’étincelle de rupture est une consommation parasite supplémentaire alimentée par la source du courant primaire car la tension de rupture s’ajoute à la tension source. La preuve en est définitivement donnée par l’usage des relais statiques à mosfet dans lesquels l’étincelle n’existe plus : la coupure du courant de la bobine primaire ne « produit » plus rien. Peut-on penser qu’à l’époque de la bobine de Ruhmkorff, à la fin du 19° siècle, on ne savait pas mesurer les puissances électriques ? Personne ne le croira… Alors ? Alors ce que j’ai observé de façon absolue, grâce aux mosfets, a été observé il y a plus de 100 ans avec les outils de l’époque. Il est certain que beaucoup ont constaté que « le compte n’y était pas » dans le fonctionnement à vide. Et pourtant AUCUNE TRACE de cette observation n’est disponible dans les médias récents ou anciens. Pourquoi ? En l’absence de réponse, il ne reste qu’à retrouver un fantôme. Pour cela on peut utiliser une chaine logique basée sur l’intérêt. A la fin du 19° siècle commence la mise en place des réseaux de distribution de l’énergie électrique. Tesla en est un des architectes avec l’invention du moteur triphasé. L’usage du courant alternatif et du transformateur va permettre la vente à distance de la marchandise électricité. Les clients vont accepter de payer cette énergie qui « vient de loin » car ils seront persuadés qu’aucune alternative n’existe pour la « capter » sur place. Les réseaux de distribution vont en plus s’accorder avec les propriétaires des énergies fossiles car cette énergie « qui vient de loin » ne viendra pas de « nulle part » mais d’une propriété. Le même accord est conclu avec les producteurs hydroélectriques car là aussi il y a respect de la propriété du site. Le fait que la bobine de Ruhmkorff puisse dissiper de l’énergie « sur place », hors pertes ohmiques et d’étincelles, risquait de poser la question que cette énergie pouvait aussi « revenir de nulle part », sur place, gratuitement, hors d’emprise de la marchandise. Alors… |
Ecrit le: Dimanche 24 Octobre 2010 à 17h44
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonsoir à tous.
Une petite précision sur mon texte précédent. Amortissement par capacité parasite. Une objection à la disparition de l’énergie à vide dans mon test est que celle ci se dissiperait dans le circuit oscillant constitué par la self de la bobine primaire et la capacité parasite répartie dans cette même bobine. Le propre d’un circuit oscillant non entretenu est qu’il s’amortit. Mais pour cela il lui faut un transducteur d’énergie. Ce sera une antenne dans le cas d’un émetteur radio ou bien la résistance ohmique de la bobine et donc une émission de chaleur. On sait que l’antenne est exclue car sa dimension à 200 hertz est hors de propos avec la réalité du test. Concernant la résistance ohmique de la bobine de 16 spires, elle est de l’ordre de 0,01 ohm. L’intensité moyenne qui parcourt cette bobine est de 9,5 ampères. La puissance dissipée moyenne par perte ohmique est de 0,9 watt. Ce 0,9 watt représente donc la capacité de dissipation de la bobine pour une intensité moyenne de 9,5 ampères. Cette dissipation dure environ 2,5 millisecondes dans mon test actuel. Cela représente une énergie de 2 millijoules environ. La dissipation par une tension de coupure ne pourra pas dépasser cette valeur car la tension moyenne induite ne dépassera pas la tension d’alimentation pour une bobine donnée, même si la tension crête initiale lui est supérieure. Au même moment, le circuit de la bobine primaire aura déjà vu « disparaître » environ 27 millijoules. Dans mon test actuel, la tension moyenne aux bornes de la bobine primaire est de 11,5 volts environ à cause de la légère chute de tension due au porte fusible. Il y a toujours 25 millijoules qui manquent à l’appel. Etant donné que la bobine primaire ne pourrait pas évacuer l’énergie de coupure dans sa totalité, il resterait de l’énergie au bout de chaque période. Cela se manifesterait par une baisse constante de la consommation ou bien par une rapide saturation magnétique du circuit ferreux et une brutale surintensité conséquente. Au bout de plusieurs heures de fonctionnement, la bobine primaire reste froide et l’intensité primaire consommée constante…C’est une observation. |
Ecrit le: Mercredi 27 Octobre 2010 à 05h58
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 773 Membre n°: 284 Inscrit le: 12/06/2007 |
bonjour
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Ecrit le: Mercredi 27 Octobre 2010 à 09h07
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous,
Bonjour Tagor. Ci-joint une traduction « au pied levé » du texte ci-dessus. Le Transformateur bi-toroïdal (BITT) est un nouveau type de transformateur qui agit comme une diode magnétique en isolant la source de la charge. Le BITT a la capacité d'utiliser pratiquement 100% de puissance réactive, tout en offrant 100% de puissance active sur la charge. Le BITT emploie deux bobines secondaires et deux circuits magnétiques à faible reluctance qui permettent à la BEMF induite par la bobine secondaire d'être détournée de sa base, la bobine primaire. En détournant la BEMF secondaire induite loin du circuit magnétique primaire, le facteur de puissance ne change pas de vide à pleine charge. En outre, parce que la BEMF secondaire induite suit le circuit magnétique à faible réluctance autour et à l'extérieur du noyau de la bobine primaire, il n'y a pas de couplage du flux rétroactif avec la bobine primaire et son impédance ne chute pas. Par conséquence, l’intensité initiale à vide ne peut pas augmenter. Les deux bobines secondaires en charge voient la BEMF suivre le circuit magnétique à faible réluctance autour de la bobine primaire et dans la bobine secondaire voisine, maintenant ainsi le flux nécessaire pour maintenir la puissance à travers la charge. Les essais initiaux du BITT ont montré qu'il fonctionnait bien au dessus de 100% de rendement, soit dans la plage de 450% à 2700%. Parce que le courant primaire du BITT ne change pas de vide à pleine charge, la bobine primaire ne chauffe pas et les pertes ohmiques sont négligeables. Ce texte appelle quelques commentaires que je prépare avec précision. A plus… |
Ecrit le: Mercredi 27 Octobre 2010 à 11h42
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Re bonjour à tous.
Précisions sur le texte précédent. La bobine primaire est alimentée en courant sinusoïdal et crée donc dans son circuit magnétique un champ magnétique variant. Le circuit magnétique de la bobine primaire traverse les deux bobines secondaires. Ce faisant, il crée dans celles-ci une tension alternative dont la valeur dépendra du nombre relatif des spires primaires et secondaires. Si une charge est connectée sur les bobines secondaires, elle va créer dans les bobines secondaires, un champ magnétisant qui va s’opposer à l’action du champ magnétisant primaire. La conséquence en sera une baisse de la réactance de la bobine primaire et donc un appel de courant dans celle-ci. Dans le cas du transformateur bi toroïdal, un choix est proposé au champ magnétisant issu de la charge secondaire. Un autre circuit magnétique moins reluctant lui permet de s’établir sans passer par le circuit magnétique qui lui a donné naissance. Mais dans ce cas le champ magnétisant secondaire perd le statut d’instantanéité de son établissement car dans le circuit magnétique alternatif il n’y a pas de champ magnétique préexistant auquel on s’oppose. De ce fait on ne peut pas échapper à la réactance d’inductance qui va s’opposer à l’efficacité du système, sauf si l’on utilise une bobine secondaire à très faible nombre de spires. Ce n’est pas le cas visiblement de ce test. Aucune information n’est publiée à ce sujet. Au niveau des pertes ohmiques, il suffit de regarder la photo pour constater qu’on utilise du fil fin comme un cheveu et que cela ne permet pas d’éviter de lourdes pertes si l’on s’aventure vers l’obtention d’une certaine puissance. Le test ci-dessus se trouve dans une zone de très faible puissance dans laquelle l’incertitude des mesures n’est pas négligeable. Il serait donc intéressant de voir le comportement de ce test dans des gammes de puissance utilisées dans la vie quotidienne d’une maison. Pour moi, il manque donc beaucoup d'infos pour envisager une réplication. A plus... |
Ecrit le: Dimanche 31 Octobre 2010 à 15h52
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous.
LABO343 MEG 31 OCTOBRE 2010. Sortir de la zone de flou. Vu la difficulté de mesurer précisément l’énergie produite par la bobine secondaire, je suis obligé de poursuivre la baisse du nombre de spires de la bobine primaire. De cette façon je pense obtenir une surunité visible avec mes moyens d’action actuels. La bobine primaire comporte actuellement 16 spires et je vais la ramener à 13 spires. Cela va faire passer l’intensité crête primaire de 40 ampères à 49,2 ampères pour maintenir un champ magnétisant crête primaire de 640 ampères tours. Le problème pratique qui va se poser est celui de la connectique et de la section des câbles de liaisons. Je vais abandonner l’usage des « dominos » et les remplacer par des cosses de puissance soudées à l’étain et boulonnées entre elles. De plus, je vais fabriquer un porte fusible à faible résistance de contact en utilisant la pression d’un « serflex ». J’ai récupéré du câble multibrins fins de 50 millimètres carrés pour changer le circuit d’alimentation primaire. Il s’agit de produire une crête d’intensité sans écraser la tension aux bornes de la bobine primaire. Je vais aussi chercher du fil de bobinage plat de 20 mm carré de section au moins pour la bobine primaire. A plus… |
Ecrit le: Jeudi 04 Novembre 2010 à 15h39
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous.
Le test en 13 spires avance. J’ai réalisé la bobine de 13 spires en fil de 10 par 1 car je n’ai pas encore trouvé du fil plus gros. La moitié du circuit primaire est câblé en 50 mm carré. Reste à changer le porte fusible et le contacteur de puissance. Le premier test s’est effectué sous 320 hertz et l’intensité moyenne se retrouve aux alentours de 10 ampères selon le réglage de l’asymétrie de la durée des séquences. Comme prévu, le temps relatif imparti à la séquence de connexion de la bobine primaire diminue. La bobine primaire de 13 spires ne produit plus d’intensité « fantomatique » au moment de la coupure car sa tension est inférieure au seuil maximum de fonctionnement du relais statique. Le réglage du temps de travail de la bobine secondaire est donc plus « net ». La consommation primaire est toujours identique à vide et en charge. Dès que j’aurai fini le câblage, je rechercherai le rendement optimum. A plus… |
Ecrit le: Jeudi 04 Novembre 2010 à 16h20
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
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Ecrit le: Jeudi 04 Novembre 2010 à 18h48
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 814 Membre n°: 9877 Inscrit le: 28/06/2009 |
super ton travail et bravo pour ta pugnacité
-------------------- Si tu ne le fait pas ce n'est pas un autre qui le fera pour toi
il faut planter des arbres pour notre avenir Démocratie ? économie réel :) |
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