LABO343's MEG

Bonjour à tous.
Bonjour Lhorna.

Voici la photo de l'astuce pour réaliser un porte fusible pas cher et à faible perte par contact. Je profite de la grande section du cable de connexion pour y loger le fusible en son centre. Les extrémités du fusible sont donc entièrement recouvertes de cuivre et la pression de contact est assurée par les vis des colliers.



A plus...

LABO343 MEG
6 NOVEMBRE 2010.
Bonsoir à tous.

La valve d’éther.

Mon test MEG a pour but d’ouvrir une « valve dans l’éther » au moyen de l’intensité crête primaire. Le produit de cette intensité crête par le nombre de spires de la bobine primaire crée un champ magnétisant qui provoque lui-même une « déformation » locale de l’éther permettant de faire circuler l’énergie depuis celui-ci. Lorsque la déformation a disparu, l’énergie cesse aussitôt de circuler.
L’ouverture de cette « valve » s’accompagne de la circulation de l’énergie vers l’éther. La circulation de l’énergie vers l’éther dure autant que dure le processus d’ouverture de la « valve ». La relation entre la quantité d’ouverture de la
« valve » et la quantité d’énergie circulant pour y parvenir n’est pas une constante.
L’ennemi reste toujours la perte ohmique, ce qui justifie l’emploi d’un circuit primaire de grande section.



Les cables bleus qui montent vont à la charge secondaire. Les gros cables noirs constituent le circuit primaire. Le contacteur de puissance est un contacteur triphasé dont les trois circuits sont connectés en parallèle.

A plus...

Bonjour à tous.

Dans le cadre de la traque de la perte ohmique : optimisation des connexions sur la batterie.



Jusqu'à présent la connexion de l'ampèremètre à aiguille se faisait par l'intermédiaire d'une longue vis en fer étamé. Le fer étant bien plus résistant que le cuivre, je l'ai doublé par une liaison de forte section en cuivre.
J'ai aussi changé les cosses de la batterie pour y mettre des modèles à haute intensité.
Petit à petit...

je ne comprends pas grand chose au montage.
mais en tout cas ca fait plaisir de voir la main à l'oeuvre.

le porte fusible est très original

Bonjour à tous,
bonjour Benoit.

LABO343 MEG
9 NOVEMBRE 2010.

Bobine primaire de 13 spires.
Optimisation des réglages de la fréquence et de la proportion du temps des séquences.

Dans un premier temps on cherche à définir le meilleur temps de décroissance du champ magnétique. Puis, en partant du réglage de la bobine primaire à 16 spires, je rogne sur le temps de connexion de la bobine primaire. Ensuite je fais grimper un peu la fréquence générale pour éviter une surintensité surprise. Ensuite je cherche à stabiliser l’intensité moyenne primaire autour de 8 à 9 ampères en rabaissant progressivement la fréquence générale. Je veux rester en dessous de 10 ampères « moyennes » pour conserver la sécurité du relais statique. Je regarderai ensuite la puissance secondaire produite pour estimer le rendement par comparaison de brillance avec l’ampoule test, connectée sur la batterie.
Le meilleur réglage obtenu pour le moment définit un rapport de temps de connexion et déconnexion de 6 à 8. 6 unités de temps pour la connexion de la bobine primaire et 8 unités de temps pour la décroissance du champ magnétique dans la bobine secondaire



La chute de tension crête aux bornes de la bobine primaire est d’un rapport de 0,5 à 4,5, soit 11% de la tension de la batterie à vide. Il y a encore une petite chute de tension dans le fusible lui-même et je pense qu’on ne peut plus rien y faire : je m’en sers pour mesurer l’intensité à l’oscilloscope.
Le meilleur réglage de la fréquence générale trouvé est de 320 hertz. En dessous, le temps de décroissance du champ magnétique est trop court par rapport à son temps alloué, ce qui crée un « temps mort » néfaste qui réduit le rendement général.

A suivre...

Bonjour à tous.

La "feuille de route" est déjà tracée :
http://www.youtube.com/watch?v=0LMFCqcylaw

A plus...

Bonjour à tous.

LABO343 MEG
13 NOVEMBRE 2010.

Calculs sur le rendement dans le cadre des temps asymétriques.

Dans le test à 13 spires de la bobine primaire il y a une consommation moyenne de 9 ampères.
La proportion entre le temps de connexion primaire et de déconnexion est de 6 à 8. Chaque élément de mesure « vaut » 9 ampères et il y en a donc 14 en tout. Le total fait donc 210. Si seulement 6 d’entre eux sont des éléments « actifs », chacun aura une valeur de 21 ampères.
Ceci sera donc la valeur de l’intensité moyenne du temps de connexion. Comme la progression de l’intensité est quasi linéaire, on peut affirmer que l’intensité crête est le double de cette valeur moyenne, soit 42 ampères. Cela va définir un champ magnétisant crête de 546 ampères tours. Il se trouve que ce champ magnétisant de 546 ampères tours « allume » les ampoules de la charge secondaire à leur puissance nominale, comme auparavant le champ magnétisant de 640 ampères tours du test à 20 spires de la bobine primaire. La différence provient du raccourcissement du temps mort des ampoules de la charge par raccourcissement du temps d’établissement du champ magnétique avec une bobine primaire à moins de spires.

Ce test à 13 spires « tourne » à 320 hertz, c'est-à-dire que la période dure 3,12 millisecondes.
La proportion des temps amène la durée de la connexion primaire à 1,34 milliseconde.
La tension à vide de la batterie est 12 volts et la perte crête ohmique de tension est de 11%.
Cela signifie que la tension chute de 1,32 volts en crête et de 0,61 volt en moyenne aux bornes de la bobine primaire. La puissance moyenne consommée aux bornes de la bobine primaire est donc de 11,39 x 21 = 239,19 watts. L’énergie consommée pour atteindre 546 ampères tours et « allumer » 100 watts de charge est donc de 0,32 joule.

Rappel des tests "symétriques" antérieurs.
Je fais une mesure de la bobine primaire en 200 hertz sous 12 volts. La bobine primaire contient 20 spires. L’intensité moyenne est de 7 ampères et l’intensité crête atteinte en fin de connexion est de 28 ampères. Les deux séquences sont identiques. Le champ magnétisant atteint est donc de 560 ampères tours.
Ce champ magnétisant est atteint en 2,5 millisecondes. Cela représente une énergie consommée de 0,42 joule.
Je fais une mesure identique avec une bobine de 25 spires. Je cherche la comparaison du champ magnétisant car il est le pivot de l’énergie dans mon test MEG. J’alimente la bobine de 25 spires en 12 volts sous 150 hertz. L’intensité moyenne consommée est de 5,5 ampères et l’intensité crête atteinte en fin de connexion est de 22 ampères. Les deux séquences sont aussi identiques. La durée de connexion est de 3,75 millisecondes. L’énergie consommée pour atteindre 550 ampères tours est de 0,495 joule.

Le rendement va progresser avec la différence des temps de séquences. Si le temps de connexion diminue et que le temps de déconnexion reste fixe, l’importance relative du temps de connexion va aussi diminuer. La compensation négative du rendement ne s’opère que si le rapport des durées est de 1 à1. Dans ce cas, l’augmentation du rendement primaire est contredite par le trop grand raccourcissement du temps secondaire qui provoque un dépassement du temps de décroissance du champ et qui se retrouve « mordre » la séquence primaire suivante.
En gardant la durée de 1,78 milliseconde pour la séquence secondaire tout en diminuant la durée de la séquence primaire on amortit l’importance de la hausse de la puissance primaire moyenne consommée. Si le rapport des temps est de 1 à 2, alors un doublement de la puissance consommée moyenne dans la séquence primaire ne produira qu’une augmentation d’un tiers dans la période entière. Le gain sera donc sera donc de 1 sur 6, soit 16%.
Si le rapport des temps est de 1 à 1, une augmentation du double de la puissance primaire amènera une augmentation de 50% de la consommation moyenne de la période.

En résumé il faut une asymétrie des temps de connexion, seule rendue possible par la baisse du nombre de spires primaire. La constante de croissance primaire doit être bien plus rapide que la constante de décroissance secondaire.

Le rapport des temps ne se décrète pas : il est la conséquence de l’optimisation des réglages pour un nombre de spires primaire donné. Le rapport des temps définit aussi une fréquence optimale de la période dans laquelle le temps secondaire est ni trop court pour rétroagir sur le primaire ni trop long pour créer un « blanc » en fin de séquence de déconnexion.

Le rapport des temps dépend de la puissance moyenne de la période que l’on ne veut pas dépasser. Si la valeur estimée par brillance de la charge est de 100 watts, on convient qu’il ne faut pas dépasser ce chiffre au primaire. Si l’on arrive à se situer en dessous, on se trouve en surunité.

Conclusion : je prépare un test avec une bobine primaire de 11 spires.

A plus…

labo notre expert S meg
+1 pour le porte fusible je garde ca pour mes futur montage

Bonsoir à tous,
bonsoir Lhorna.
Le porte fusible c'est "l'article 22"
Faire de la performance avec la matière première disponible : toute une école...
A plus.

Bonjour à tous.

Quelques observations sur la variabilité de la charge.

La résistance ohmique de la charge de la bobine secondaire « en température de fonctionnement » est de 5,76 ohms. Mais la résistance de la charge « froide » est de 3,5 ohms.
Cela explique que dans le test à 13 spires primaire, l’intensité consommée fait une courte pointe à 12 ampères, le temps que la résistance de charge chauffe et que sa résistance augmente à 5,76 ohms. Après cette très brève pointe, l’intensité primaire consommée tombe à 9 ampères. Ce phénomène est du au fait que la durée de décroissance du champ magnétique est « rognée » au maximum, entraînant une rétroaction vers plus de consommation primaire dès que la résistance de charge est modifiée à la baisse.

Sur la photo des courbes de tensions primaire et secondaire on voit que la fin de la décroissance de la tension secondaire s’effectue un peu au-dessus de la ligne du « zéro volt » représentée par la ligne de quadrillage horizontale. Cela résulte du réglage manuel de la durée de la séquence secondaire « au plus serré avant rétroaction ».

A plus...

Re bonjour à tous.

LABO343 MEG
15 NOVEMBRE 2010.

L’importance relative de la tension à vide de la batterie.

La batterie d’alimentation de la bobine primaire ne se trouve jamais en permanence à la tension exacte de 12,00 volts. Cela pourrait poser un problème d’incertitude de la mesure des puissances comparées de la production sur la charge et de la consommation primaire.
Mais l’ampoule qui sert à la comparaison de brillance est aussi alimentée par la meme batterie. Ainsi l’influence de la variation de la tension de cette batterie est annulée.

La chute de tension sur le circuit de la bobine primaire est une proportion exacte, visible à l’oscilloscope, et qui se moque de l’exactitude de la tension à vide de la batterie. Par défaut, il suffit de prendre 12,00 volts pour mesure de la tension de la batterie à vide.

La courbe de tension primaire, visible sur la photo précédente, n’est pas la lecture directe de cette tension mais une tension induite sur la bobine secondaire au pro rata du nombre de spires. On peut affirmer que le début de la courbe représente la tension à vide de la batterie car l’intensité primaire est alors nulle et la chute de tension avec.

A plus…

Bonjour à tous.

Voici une adresse pour un texte qui a l'air important

http://www.dedefensa.org/article-_dialogue...18_11_2010.html

a plus...

A force de ponctionner les Peuples, ceux-ci vont finir par se débrouiller sans argent et les collectionneurs de biftons pourront alors jouer au monopoly avec
La destruction par les méchants ne peut durer longtemps, car ils deséquilibrent la loi de la conservation du néant originel..

Bonjour à tous,
bonjour Amateur.

Relation entre le pic de Hubbert, l’énergie du vide et l’oligarchie.

Ce n’est plus un secret pour personne : le pic de Hubbert est passé en 2008. Nous sommes donc engagés sur un chemin qui mène à « la pente descendante ». Cela va plus ou moins vite, selon le degré de ralentissement du à la crise économique mais « on y va ».

Dans le forum nous tentons de conjurer le mauvais sort qui nous est promis en réfutant le caractère inéluctable du déclin de la ressource énergétique. Nous sommes donc « sur le front » de la lutte contre le retour au moyen âge. Nous dénonçons le complot des énergies fossiles soit disant « irremplaçables ».

Il y a pourtant des gens que ce retour au passé ne dérangerait pas beaucoup : certains écologistes « profonds » par exemple. Ces gens ne sont pas tracassés de dire que la planète devrait revenir à 500 millions d’habitants… Qu’est ce qu’on fait des autres ? On les « régule »… Juste 6 milliards…

Dans un tel contexte, on comprendra facilement qu’il n’y a plus de place pour la classe moyenne ni pour les « prolétaires ». On gardera juste l’oligarchie et une poignée de larbins lobotomisés pour faire « tourner la boutique ». Cela se prépare tous les jours sous nos yeux.

Je crois qu’il faut garder les yeux bien ouverts et qu’il faut à tout prix faire une
« percée » sur le front de l’énergie du vide avant que quelque virus « régulateur » vienne « finir le travail »…

A plus...

Bonjour à tous,

Labo, je partage ton point de vue à 100%, j'ai lu la même chose
pour l'energie libre c'est pas encore gagné, mais de en plus de gens sont maintenant concernés, il devrait en sortir quelque chose.

A++

Il y a aussi ce texte déjà visionnaire écrit par Jules Romains en 1930

Les trois courbes

Vu d'assez haut, l'évolution de l' humanité depuis la préhistoire laisse apparaître trois courbes particulièrement remarquables. Nous les appellerons pour choisir les termes les plus simples — courbe de la nature humaine ; courbe des institutions ; courbe de la technique.

La nature humaine, c'est la nature humaine individuelle ; c'est l'homme moyen, avec ses tendances, ses aptitudes, le mécanisme de ses réactions innées, Certes, en fait, à cette nature que I 'homme apporte en naissant se superpose toujours une seconde nature, qui est le fruit du dressage et de l'éducation ; ainsi qu'une mentalité, c'est-à-dire un ensemble d'idées, de partis pris, de préjugés, qui peut modifier beaucoup les réactions instinctives et les dictées du caractère premier. Mais l'on sait aujourd'hui que ni l'éducation ni la mentalité ne sont héréditaires donc qu'elles ne s'incorporent point à la nature de l'homme individuel. L'une et l'autre, en réalité, relève plutôt du domaine des institutions.

Le mot d'institution doit être pris en un sens très large. Il s'agit en somme de ce que tous les hommes en société inventent pour organiser et perpétuer leur vie collective, pour y adapter l'individu ; et de tout ce climat moral et intellectuel que la société crée autour de l'homme et qui s'appelle culture. Dans les institutions, nous faisons donc rentrer non seulement les lois, les structures politiques, les arrangements divers, juridiques ou économiques, qui règlent les rapports des hommes entre eux et ceux des peuples ; mais aussi les moeurs, et dominant le tout, les religions et les créations supérieures de l'esprit, comme la philosophie, la littérature, l'art et la science, dans la mesure où la science ne se tourne pas vers les applications pratiques. Il est aisé de voir que l'éducation et la mentalité sont un produit direct des institutions ainsi entendu.


Enfin la technique n'a guère besoin d'étre définie. C'est tout ce que I' homme en société a inventé au cours des âges pour améliorer les conditions matérielles de sa vie et augmenter son pouvoir sur la nature extérieure, depuis les silex éclatés de l'homme des cavernes jusqu'à l'avion actuel et aux dispositifs de commande mécanique à distance. La courbe de la technique serait même mieux appelée courbe du pouvoir (de l'homme sur la nature). Car philosophiquement il est facile de contester que, dans le passé, un progrès de la technique est chaque fois comporté une amélioration réelle de la condition humaine, et un accroissement du bonheur. Mais chaque fois, et sans doute aucun, il a entraîné une augmentation du pouvoir.


Or depuis les âges les plus lointains que peut atteindre l'histoire et reconstituer la préhistoire, jusque vers le milieu du XVIII siècle, ces trois courbes avaient cheminé d'un pas analogue, et sans s'écarter beaucoup l'une de l'autre. A vrai dire, la courbe de la nature humaine - au sens strict du mot : nature humaine - s'est presque réduite à une ligne droite horizontale, à un pallier indéfini. Du moins depuis quarante ou cinquante milliers d'années, c'est-à-dire depuis l'époque où une comparaison avec les deux autres courbes prend une ébauche de signification. Il est hautement probable que l'homme de Cro-Magnon nous ressemblait comme un frère, même au point de vue psychologique. Il avait les mêmes aptitudes cérébrales, les mêmes mécanismes de réactions émotionnelles, les mêmes possibilités de freinage volontaire. Placé dés sa naissance dans un milieu social identique au nôtre, l'homme de Cro-Magnon donnerait à vingt ans un adulte indicernable du contemporain moyen. Tout au plus s'en distinguerait-il en se classant probablement un peu au-dessus de la moyenne ; car pour produire nos souches actuelles il s'est certainement mélangé à des types humains moins doués. Bref, de sa nature à la nôtre, il n'y a pas eu de changement appréciable...


C'est une courbe du même aspect qui correspond aux institutions. Plus nettement ascendante, à coût sûr. Si septique que l'on se flatte d'être à l'égard des progrès de la société, l'on est bien obligé de reconnaître — sauf si l'on est de mauvaise foi — qu'au total, et avec toutes sortes de régressions locales ou temporaires (le lieu était parfois très vaste, et le temps très long ) il s'est produit au cours des millénaires une amélioration des systèmes politiques, des lois, des moeurs, mère des relations entre peuples, en même temps qu'un enrichissement et approfondissement de la culture, C'est même par ce détour que la nature humaine individuelle a été atteinte, est entraînée tant soit peu dans le sens d'un progrès. Jusqu'au milieu du XVIIIème siècle, la courbe de la technique a été, elle aussi, très lentement ascendante, avec de larges paliers, et des descentes, qui correspondait en général à un recul des institutions, provoqué par quelque catastrophe historique. Mais à partir de cette date elle prend une allure entièrement différente. Elle s'écarte de plus en plus des deux autres. Elle commence une ascension qui est tout de suite rapide, mais qui,chaque quart de siècle, acquiere une accélération plus grande. Tant que le pouvoir conféré par la technique â l'homme ne grandissait pas plus vite que la force des institutions civilisatrices et que leur contrôle sur les impulsions violentes de l'individu et des masses — cet accroissement restant d'ailleurs très lent des deux côtés — les catastrophes, tout en variant de gravité et d'ampleur suivant les circonstances, se tenaient autour d'une certaine valeur moyenne, et n'avaient jamais franchi certaines limites. Ainsi la guerre de Trente Ans n'avait pas été plus désastreuse que la guerre de Cent Ans ; ni celle-ci plus que la crise qui avait liquidé l'empire carrolingien. Et cette crise elle-même avait moins détruit que n'avait fait la chute de l'empire romain d'Occident.

Mais au moment où la courbe du pouvoir commençait son ascension vertigineuse, il eut fallu que les autres courbes connussent une ascension analogue ; c'est-à-dire que le perfectionnement de la nature humaine et celui de l'organisation politique de l'humanité marchassent aussi vite. Il n'en a rien été. L'humanité s'est trouvé dans la situation d'un enfant qui à l'âge de cinq ans et un mois recevrait soudain, avec entière liberté d'en disposer suivant ses caprices, des revolvers, des bombes, un baril de poudre, un tonneau d'acide sulfurique, sans oublier une collection de poignard, et toute la variété possible d'allumettes, de briquets, et d'instruments à perforer. [...]

Si le mouvement des trois courbes reste de même allure, c'est-à-dire si leur écart continue à croître de la même façon vertigineuse, il me paraît impossible d'échapper aux conclusions suivantes ;

1) Le même jeu de forces qui jusqu'ici a provoqué les catastrophes n'a aucune raison de n'en pas produire de nouvelles (par des combinaisons peut-être imprévisibles, donc impossibles à déjouer d'avance. Autrement dit, éliminer par exemple l'impérialisme, éliminer le socialisme totalitaire, ne nous garantit nullement qu'un nouveau fléaux quelconque ne surgira pas), Et il n'y a aucune raison pour que le retour de ce phénomène tarde longtemps.


2) Une nouvelle catastrophe sera nécessairement beaucoup plus grave que la dernière. Elle présentera le pouvoir de destruction de celle-ci plusieurs fois multiplié — d'autant plus de fois multiplié que l'intervalle entre les deux catastrophes aura été plus long (donc, en fin de compte, rallongement du délai sera sans profit pour l'humanité).

3) Le seul motif de croire que cette série de catastrophe en progression géométrique ne durera pas très longtemps est qu'il suffira probablement d'une, ou au plus de deux encore, pour que la civilisation disparaisse (et que les trois courbes reviennent à leurs positions de la préhistoire).

Jules ROMAINS, Le problème numéro 1 , Éditions PLON,

***************************************************

J'ai réfléchi à ce problème et j'en conclue comme Jules Romains, que pour en sortir, les trois courbes doivent évoluer de concert ou bien faire évoluer la nature humaine pour qu'elle prenne de la hauteur et maitrise ses pas..
Ayons confiance en l'Humanité .. Mais rien ne nous empêche de poursuivre nos recherches et nos trouvailles..

A plus

BONJOUR A TOUS , BONJOUR A AMATEUR

REMARQUE A CERTAINE PARTIE DE TON TEXTE AMATEUR



Si le mouvement des trois courbes reste de même allure, c'est-à-dire si leur écart continue à croître de la même façon vertigineuse, il me paraît impossible d'échapper aux conclusions suivantes ;

REMARQUE :Parfaitement d’accord


1) Le même jeu de forces qui jusqu'ici a provoqué les catastrophes n'a aucune raison de n'en pas produire de nouvelles (par des combinaisons peut-être imprévisibles, donc impossibles à déjouer d'avance.


REMARQUE : C’est déjà là, Amateur par tout ce que je vous ais écris.
Ce qui a d’imprévisible c’est que l’on a pu scientiser le pouvoir des maîtres spirituelles et comme d’habitude l’utiliser au négatif.



Autrement dit, éliminer par exemple l'impérialisme, éliminer le socialisme totalitaire, ne nous garantit nullement qu'un nouveau fléaux quelconque ne surgira pas), Et il n'y a aucune raison pour que le retour de ce phénomène tarde longtemps.


2) Une nouvelle catastrophe sera nécessairement beaucoup plus grave que la dernière.

RENARQUE :C’est beaucoup plus grave, c’est l’asservissement total des êtres et la robotisation de autres. C’est l’empêchement de la réalisation spirituelle et la fin de la réincarnation. (question sur ce point je suppose!) Le pire c’est que ce pouvoir sur le contrôle mental des gens empêche la dénonciation. Tu dénonce mais le contrôle mental t’empêche d’y croire ou te détourne en provoquant d’autres intérêts ou en te plaçant au ridicule avec tes craintes car le pouvoir passe entre autre par l’invisible à nos yeux.

Depuis que les américains ont remarqué durant la guerre du Viet Nan que certaines ondes radio influençaient leurs matelots les recherches n’ont cesser sur ce point. Plus les recherches sur Tesla. Il y a à l’heure actuelle plus de 60 ans de recherche pour le contrôle du cerveau humain ceci sans oublié que certains extra-terrestre apportent leur contribution.


Elle présentera le pouvoir de destruction de celle-ci plusieurs fois multiplié OFFICIEL — d'autant plus de fois multiplié que l'intervalle entre les deux catastrophes aura été plus long (donc, en fin de compte, rallongement du délai sera sans profit pour l'humanité).

3) Le seul motif de croire que cette série de catastrophe en progression géométrique ne durera pas très longtemps est qu'il suffira probablement d'une, ou au plus de deux encore, pour que la civilisation disparaisse (et que les trois courbes reviennent à leurs positions de la préhistoire).

Jules ROMAINS, Le problème numéro 1 , Éditions PLON,

***************************************************

J'ai réfléchi à ce problème et j'en conclue comme Jules Romains, que pour en sortir, les trois courbes doivent évoluer de concert ou bien faire évoluer la nature humaine pour qu'elle prenne de la hauteur et maitrise ses pas..
Ayons confiance en l'Humanité .. Mais rien ne nous empêche de poursuivre nos recherches et nos trouvailles..

A plus

Ta raison Amateur. IL faut développer nos potentiels intérieurs développer notre cerveau droit qui perçois l’autre monde et etre moins absorbé par le matériel et donner du temps d’observation a nos êtat d’ames et d’esprit pour comprendre les influences, comprendre l’être humain mais par une vision intérieure de ces mécanismes.. Les mouvements slow cité ont leur place.

Puis trouver des applications scientifiques a nos observations pour être à la hauteur.

Michellab

Hello Michellab

Oui j'attends tjrs une réponse sur la maniere dont ils s'y prennent pour détruires des âmes et empêcher la réincarnantion..
Peux tu me répondre sur le topic concernant ce sujet (là où j'ai posé la question)
Merci..

Pour ma part, depuis l'âge de 13 ans je considère mon cervau comme un outil à ma disposition ..

A plus

La tu y vas fort amateur tu devrais avoir peur 2012 approche a grand pas

moi; j'ai très peur du grand robot moralisateur démoralisateur, celui qui a tout lut qui sait tout de l'internet et des bas font de nos âmes

En un mot celui qui nous montre la voix sans nous donné aucune réponses.


bon en un mot: arrêtez un peut d'emmerdé notre labo: lui au moins il se branle pas le bulbe comme nous

ok je sort

Bonjour à tous.

A propos des trois courbes.

A l’heure actuelle, il semblerait que la science « officielle » atteigne un « mur ». Pour exemple concret il faut suivre les aventures du « JSF » sur le site http://www.dedefensa.org/index.php Sur le même site on explique depuis longtemps que le « technologisme » du pentagone n’est plus une source de « progrès » et que toute nouvelle invention a plus pour conséquence de compliquer tout plutôt que de « résoudre des problèmes ».

Dans notre vie courante on voit bien aussi que quelque chose ne va plus avec la technique : on ne peut presque plus rien réparer des derniers « joujoux » de la science en 2010. Nous sommes devenus très « performants » mais aussi très fragiles si un jour le système arrête de fabriquer ces marchandises « high tech ». Dans les années 1980 je me rappelle avoir souvent dépanné ma voiture : une 4L 6volts et trois vitesses. Pour changer le démarreur, par exemple, on pouvait y accéder du premier coup. On avait encore la chance de ne pas avoir de vitres électriques : quel travail de remonter la vitre à la main… Maintenant on ne peut plus rien toucher sans la valise de James Bond que le garagiste vous fait payer du seul fait de la voir. Et si la valise tombe en panne : fini… Avant on réparait les télés : maintenant ca coute presque aussi cher de réparer que de changer. Alors on jette ces marchandises et on reconsomme, toujours et toujours. Sauf si un élément de la construction vient à manquer : paraît-il qu’il y aurait un problème chinois avec les « terres rares »… Dans les années 1980 on avait évoqué la construction modulaire des marchandises pour simplifier leur dépannage : mauvais plan pour la rotation du capital. Le « must » pour une marchandise c’est qu’elle tombe en panne à la sortie du magasin : ainsi le capital tourne au maximum. En plus il faut que cette marchandise soit achetée à crédit pour la payer deux fois : le consommateur participe ainsi à la croissance économique et soutient l’emploi. Moins ca sert et plus ca compte. Il y avait une vie avant l’arrivée des téléphones portables. Si encore ils étaient gratuits d’achat et d’usage, on pourrait dire que cela rend des services en quelques cas. Mais au vu de ce que cela coute, j’ai un doute. Je ne suis pas hostile à ces nouveautés mais à condition qu’elles soient gratuites. Il y a même des téléphones ou on peut regarder les programmes télés en s’usant les yeux alors qu’on s’endormirait dessus à la maison.

Au niveau de la courbe de la mentalité humaine, ce qui retient l’attention c’est la psychologie très spéciale des « possédants ». Les « riches » sont devenus des « spécialistes de la consommation » comme disait Guy Debord. Au lieu de profiter de la liberté offerte par la suppression du « besoin d’assurer la survie » ils entassent des marchandises « spécialisées » dans l’appartenance de classe.
Cela reste une autre forme de misère. Ca change quoi d’avoir des robinets en or massif au niveau de la qualité de l’eau ? Ca sert à quoi d’avoir une voiture qui atteint 300 km à l’heure pour rouler à 130 ?
Ca sert à quoi de vivre dans 1000 mètres carrés si son âme n’en occupe que 20 ? Ca sert à quoi de payer dix fois le prix d’un habit parce qu’il y a un signe convenu écrit dessus ? Beaucoup de riches sont de vrais pauvres qui s’ignorent. Et que penser des « pauvres » qui ne pensent qu’à vivre comme les « riches » ? Aucune liberté. Comme disait Vaneigem, c’est un ensemble d’esclaves sans maitres.

Comme dit le proverbe sélénite « le bâton ne sert qu’à cacher l’imposture de la carotte ».
A plus…

Hello Labo

C'est ça que de vivre dans le matoss et avoir le matoss comme but..
Les Tibétains ont fait l'inverse, ils ont porté la spiritualité à l'extrème.
Les lamas tibétains étaient capables de léviter leur corps, jusqu'au plafond de leur temple, dès l'âge de 7 ans ..
Ils étaient capable de se balader dans l'astral pour aller voir leur potes situés à des centaines de kms..
Et maintenant les Chinois viennent les pourrir avec leur technologie ..
Pourtant le message des crops circle (dessins qui apparaissent dans les champs) est clair.. Au sol on n'arrive pas a distinguer leur vaste forme..

Le message est donc clair..

L'humain doit "s'élever" pour en admirer et comprendre la signification

A plus

Re bonjour à tous,
bonjour Amateur.

Je ne rejette pas la technologie et je pense qu’il ne faudrait pas beaucoup d’efforts pour obtenir la lévitation. Il faut toujours voir « qui ca emmerde » pour comprendre pourquoi on ne s’en sert pas encore. Marcel Pages avait accusé Dassault de saboter ses recherches sur l’antigravitation : je l’ai lu dans son livre. Le mobile est évident…

L’essentiel de la technologie « officielle » actuelle est aux mains d’oligarques qui veillent à ca qu’aucune idée nouvelle ne puisse émerger en dehors de leur cercle. Il s’agit d’un blocage complet du vrai progrès technique pour des raisons commerciales. Les moines tibétains seraient les ennemis jurés des compagnies d’ascenseurs, par exemple…

Pagès avait même suggéré la méthode pour fabriquer un tapis volant en utilisant un alliage métallique à densité progressive d’une face à l’autre. Que feraient donc les fabricants d’hélicoptères si ca avait fonctionné … Ce qui est sur, c’est que le condensateur asymétrique produit effectivement une force qui provoque la translation dans la direction de la plus petite électrode. Les « lifters » sont là pour l’attester. Mais qui s’en préoccupe actuellement ? Plus personne alors que de nombreuses pistes sont ouvertes. Mais que fait Naudin ?

J’ai assisté à une conférence de Pagès à Perpignan (il y a longtemps) et un prof de fac lui a répondu que ses théories remettaient en cause son enseignement et qu’il les combattrait donc.
Sur le blog de Paul Jorion, on m’a bien laissé comprendre que mon test MEG était truqué et qu’on ne pouvait pas faire « disparaitre l’énergie ». Même les yeux devant, ils ne l’auraient pas cru car le dogme l’interdisait et l’interdit toujours.

Le dogme scientifique est à l’oligarchie la même chose que la religion du temps des aristocrates : le contrôle des bornes de la pensée.

réponse a Amateur,

Pour la réponse que tu attends sur la subtance des esprits sa définition et sur comment on peut détruire les âmes. Le tout est retardé par une demande de droit d'auteur sur ces nouvelles conceptions. Je ne t'ai pas oublié.

A plus tard

Michellab

Autre réponse a Amateur,

Tu dis:

Les lamas tibétains étaient capables de léviter leur corps, jusqu'au plafond de leur temple, dès l'âge de 7 ans ..
Ils étaient capable de se balader dans l'astral pour aller voir leur potes situés à des centaines de kms..
Et maintenant les Chinois viennent les pourrir avec leur technologie ..
Pourtant le message des crops circle (dessins qui apparaissent dans les champs) est clair.. Au sol on n'arrive pas a distinguer leur vaste forme..

Le message est donc clair..

L'humain doit "s'élever" pour en admirer et comprendre la signification

AUTRE VERSION, Je comprend ton point de vu sur le sujet mais l'histoire entre les chinois et les tibétains possède une autre version.

Brièvement: l'ninitiateur du Bouddhisme est Sakyamuni. ll a eu une forte popularité à son époque au Inde. Voyant cela l'Hindouisme s'est inquiété pour la perte de leurs disciples. Il ont donc pour récupérer des membres eu l'idée de partir un mouvement Bouddhiste au Tibet enseignant le bouddhiste mais gérer en secret par des membre de l'hindouisme qui voulaient récupérer des membres et couper la forte influence de Sakyamuni.

Les plus grands disciples de Sakyamuni se sont développer en Chine avec Zihi et d'autres donc les noms m'échappe. Puis au japon dans la ligné de Nichiren. Le Bouddhiste de la chine sous l'ordre de Zihi enseigna les vraies bases de l'enseignement et les tibétains faisait tout en secret et subtilement pour les discrédités. De la réaction de la chine contre le bouddhiste tibétain. Derrière leur apparente de sainteté c'est la rivalité obscure qui les motivaient a faire mal paraitre la chine. (A notez que la chine n'a pas eu que du Bouddhiste et il y a du travail a faire contre la corruption aussi) C'est le fond de l'histoire. Mais il faut resté respectueux devant tous les disciples tibétains car ils ne s'avent pas que la tête des mondes subtiles de leur organisation a été dévié depuis prèes de 2000 ans Ils rendent toujours un culte a Sakyamuni mais les énergies du culte sont déviés.

Un peu d'histoire.
Michellab

Hello Tous

Merci Labo et Michellab pour vos éclaircissements..
Je pense que la Terre sera toujours habitée par des êtres aux niveaux d'évolution différents.. C'est un lieu de transit !!

Merci a toi aussi Amateur.

Michellab

Bonsoir à tous.

Pour moi la technologie, c’est l’imagination, la liberté et la fête.

Quand j’étais ado, nous étions une bande de copains qui se réunissaient pour comparer nos trouvailles techniques : modification des mobylettes, des vélos, etc…Plus c’était fou et mieux c’était.

Un jour, il y a longtemps, j’avais découvert la réalité particulière des prises de terre du réseau EDF : leur résistance ohmique toujours existante. Dans un quartier desservi par un même transformateur moyenne tension / basse tension, il y a une mise à la terre du neutre avec une certaine résistance ohmique. Je me suis dit que l’on pourrait propager une information entre le neutre et la terre dans tout ce quartier, à cause de la résistance ohmique. Bel et bien. J’ai fabriqué une super prise de terre avec une grande feuille de zinc gavée d’engrais au nitrate et bien arrosée. J’ai connecté un ampli musical entre le neutre du réseau et cette prise de terre et je suis allé à plus de 500 mètres avec un écouteur de téléphone pour voir si le son « passait ».
Il fallait se brancher sur un tuyau d’eau en cuivre et sur le neutre d’une prise de courant après l’avoir repéré avec un testeur : impeccable. Un son tout juste déformé par la composante 50 Hz résiduelle. Je suis donc allé au bistrot ou nous avions nos habitudes et j’ai dit au patron que je pouvais capter la musique entre son distributeur de bière et la prise de courant : il m’a dit que je me foutais de lui et il est resté « baba » quand il a entendu le son dans l’écouteur de téléphone.

Un autre jour on m’avait donné une mobylette « grise » assez délabrée et j’avais décidé d’y mettre un pot d’échappement en forme de tuyau de poêle avec une girouette en bout. Tout a été réalisé au chalumeau car le tuyau était trop fin pour la soudure à l’arc. Pour effacer tout le bruit du moteur, la partie horizontale du tuyau était remplie de laine de verre : un tuyau de diamètre 120 millimètres permettait d’obtenir un silence quasi absolu. La partie verticale du pot faisait un mètre de haut avec la girouette en bout…

Un jour, j’avais « modifié » un solex en transformant le freinage. J’avais mis le système de frein / accélérateur sous la selle et pour accélérer il suffisait de s’assoir. Pour freiner il fallait simplement lever ses fesses…

Un autre jour on avait décidé de fabriquer un vélo à longue fourche : 2 mètres. Totalement inconduisible. Avec un volant de camion à la place du guidon pour finir le style. Il avait fallu accrocher du plomb autour de la jante avant pour produire un renforcement de l’effet gyroscopique à basse vitesse pour pouvoir rester stable…

Ceux qui ont connu « le labo » à l’époque, rigolent rien que d’y penser…

Contrairement à ce que pensent les écolos, la technique LIBRE c’est bien la grosse fête.

Hello Labo

Eh oui !! à l'époque on faisait les postes à souder et les bateaux radiocommandés nous mêmes. J'avais un téléphone privé (fait avec du matoss de l'armée) avec les copains pour se donner rendez vous pour faire ceci ou cela. On faisait aussi des explosifs (fulmicoton ou autres)
La technique a de quoi remplir nos vies et je crois que les écolos sont plutôt animés par la peur du futur ..

Bonsoir à tous,
bonsoir Amateur.

Le téléphone par les clôtures

J’avais un copain qui habitait à 300 mètres du « labo » et qui était un génie de l’électronique. Il fabriquait lui-même ses amplis et émetteurs récepteurs à lampes à partir de récupération sur des télés et vieux postes radios. J’avais constaté que les clôtures sont très peu mises à la terre car le ciment est un très faible conducteur par temps sec. Donc le fil de clôture pouvait devenir un lien entre deux maisons en utilisant la terre comme retour. On connectait la sortie « haut parleur supplémentaire » d’un poste radio à lampes sur un transfo de modulation 4,5 ohms / 5000 ohms. La sortie haute impédance était reliée à la clôture et à la terre. L’inverse se faisait chez le copain et on avait une liaison téléphonique à double sens si on branchait un microphone sur l’entrée « ampli » du poste radio. Par temps pluvieux il y avait amortissement du passage des infos mais ca marchait quand même. Mon copain m’avait relié à son émetteur récepteur ondes courtes et j’avais pu converser avec l’autre bout du monde à travers les clôtures des voisins.

PS : je suis toujours à la recherche du fil émaillé plat de 20 mm carré. Pas simple…

A plus…

Re Bonsoir à tous

La technique « libre » est une source de performance pour pas cher.
Comment obtenir des basses fréquences « non colorées » ?

Le problème le plus difficile pour une bonne chaine stéréo est de restituer le registre grave des sons. Trouver un bon ampli est une chose facile mais trouver de bons baffles c’est différent.
Le problème ne se pose pas pour les sons médium et encore moins pour les aigus car un minuscule coffret ouvert à l’arrière suffit.
Le son grave produit par un haut parleur se retrouve sur chacune de ses faces et hélas en opposition. En l’absence de baffle le son grave n’existe quasiment pas. Il faut donc neutraliser l’action de la face arrière mais sans que l’action de la face avant en soit perturbée. Cela dépend du volume disponible et captif à l’arrière. En fonction de ce volume on diminuera ou non la surpression ou la sous pression dans l’air captif. Cela entrainera des échos sur les parois internes qui viendront « colorer » le son fourni à l’avant. Si le volume atteint un mètre cube pour une membrane de 46 centimètres de diamètre, la « coloration » parasite du son sera quasi inaudible. De plus, pour éviter que les parois du baffle ne rayonnent par elles même, il faut les réaliser en matériau très rigide et le « top » c’est le béton. Bien sur il faut intégrer le baffle dans la maçonnerie lors de l’installation de la chaine stéréo et renoncer à vouloir en changer les emplacements…



Tout est possible avec la technique et l'imagination non censurée.
A plus...