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Ecrit le: Vendredi 24 Août 2007 à 23h40
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 305 Membre n°: 424 Inscrit le: 25/07/2007 |
Bonsoir,
Avec ma maigre culture, je suis en phase avec "Amateur". Variation naturelle ou aidée d' une forçe = énergie à récuperer. Mes profs m' ont appris qu' un galvanometre precis, sensible et cher, doit toujours etre mis en court circuit avant de le ranger au placard. Ceci pour éviter que les variations minimes de l' environnement soient transformées en courant dans les bobinages trés sensibles, et que l' appareil se déregle au fil du temps. Faites l' essai avec un voltmetre numerique bas de gamme calé sur 200mV. On trouve du courant, partout, entre ses doigts, entre deux métaux reliés de composition différente, entre une antenne et le sol, ect ... Je suis optimiste, et reste convaincu que tout n'est pas encore découvert. Mes remarques sont basiques, mais, j' espére, utiles pour les invités néophytes qui surfent içi. -------------------- Croire n'est ni un besoin, ni un but, mais une envie et un plaisir de chercher, sans idole ni gourou, puis enfin trouver .
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Ecrit le: Samedi 25 Août 2007 à 07h21
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 773 Membre n°: 284 Inscrit le: 12/06/2007 |
il faudrait pouvoir tester cette machine en dynamique il me semble que c'est ce qu'a réalisé chass campbell avec un montage un peu différent |
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Ecrit le: Samedi 25 Août 2007 à 22h41
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
25 AOUT 2007 tard bonsoir à tous. Dans le registre des systèmes asymétriques je voudrais ajouter le "moteur à réaction interne". J'avais vu dans un vieux "science et vie" un article sur une "machine Dean" et ca m'avait troublé. J'étais ado à l'époque et sans matériel. J'ai fait un test plus tard avec un relais électromécanique dont la carcasse constituait le "stator" et la partie mobile le "rotor". J'avais mis tout cela sur des rails faits avec du gros fil de fer et je l'alimentais avec le 220. Ca avancait !! C'était impressionnant, au moins du 1 km à l'heure pour un truc tout juste sorti de l'esprit. Le principe en était la différence des masses entrainant une disymétrie de l'acquisition réciproque de l'énergie cinétique des dites masses. La direction prise par l'ensemble étant donnée par la plus grande énergie cinétique acquise c'est à dire celle de la petite masse. Un test "à la professeur Choron" est facile à faire. Vous prenez une caisse en bois solide et grande. Vous y rentrez dedans muni d'une masse et vous tapez sur une face interne : vous avancez, la caisse, la masse et vous. Pourtant il n'y a pas de roues : le mouvement de translation a une cause interne. Encore un truc qui marche avec la disymétrie. La roue animée de la vidéo qui m'a feinté doit utiliser la différence de couple de force (à la pesanteur) entre la partie avant et arrière puisque la masse active arrière est plus proche de l'axe que la masse avant. à plus... |
Ecrit le: Dimanche 26 Août 2007 à 17h13
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 305 Membre n°: 424 Inscrit le: 25/07/2007 |
En lien, un site pas mal, mais en allemand. http://www.hcrs.at/SMOT.HTM
Y a des photos et des videos, et dire qu' on a failli tous parler allemand. Oups... -------------------- Croire n'est ni un besoin, ni un but, mais une envie et un plaisir de chercher, sans idole ni gourou, puis enfin trouver .
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Ecrit le: Lundi 27 Août 2007 à 23h05
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
27 AOUT 2007. Reprise de la piste de l’énergie “non causée”. Le résultat principal de mes tests est cette égalité entre fonctionnement à vide et en charge dans le MEG considéré comme un transformateur « dévié ». L’idée qui se présent à moi depuis un certain temps est que mon axe de recherche est fugace. Une seule piste doit « percer » et je ne la vois pas encore. La méthode que j’utilise consiste à déblayer le terrain pour éliminer les fausses pistes. Progressivement l’étendue des hypothèses restantes diminue et à un moment « l’éclair doit jaillir ». La première fausse piste est celle des aberrations de mesure dues à la résistance ohmique. La résistance ohmique est la « première porte » à ouvrir. Donc l’utilisation de gros bobinages à peu de spires est la réponse INEVITABLE. La deuxième fausse piste est celle du « déplacement du flux d’un aimant permanent » avec une bobine de commande. C’est Chercheur qui m’a ouvert les yeux : c’est impossible. La troisième fausse piste est l’usage de deux bobines de commande alternées : l’erreur découle de l’erreur précédente : si il n’y a pas déplacement du flux permanent, il n’y a pas besoin de deux bobines de commande. La quatrième fausse piste est celle de la « haute fréquence » de connexion de la bobine de commande. Cette connexion doit absolument rester « collée » à la réalité de la construction du circuit magnétique. La fréquence de connexion doit varier entre 50 et 500 hertz selon la performance de durée de connexion des relais utilisés et surtout pas comme l’envisage Bearden. La piste de la réactance est absolument exacte, elle. En effet dans le test n°6 elle est visiblement perturbée (selon les normes classiques). Le problème est celui du « taux de perturbation » qui semble être de 50% dans le test n°6 et de beaucoup moins dans mes tests précédents. J’ai essayé de voir ce qui avait créé la « progression » entre les tests et je ne vois que la suppression de la deuxième bobine à cause des empiètements sur leurs séquences de connexions propres. Il y a aussi la juxtaposition des deux bobines qui est un élément positif certain : la disposition des bobines de Bearden ( commande par rapport à puissance) est bien une fausse piste. Au delà de tout cela je crains que la solution ne me « glisse entre les doigts » pour une question de précision dans la fabrication des tests. Tant qu’on détourne du matériel existant on profite de sa précision de fabrication. Si on se contente d’ un seul « étage de détournement » on garde un taux de précision acceptable mais au delà on peut se perdre. Et si on veut créer « ex nihilo » la totalité du test avec précision il faut un budget énorme. D’autre part l’idée d’inversion de polarité de la réactance m’est venue par hasard, grâce à des « additions qui ne collaient pas ». On n’est donc pas à l’abri d’autres surprises et une piste suivie peut en « sortir » une autre. Le problème du matériel existant est qu’il est « chargé de sens propre » Et que la pensée qui veut le dévier tend à se conformer à son programme initial. J’en viens donc à refuser l’observation du test comme source d’indice pour une piste à suivre : je me force à créer le test « mentalement » et ensuite il reste à voir comment on peut le matérialiser. A plus… |
Ecrit le: Lundi 27 Août 2007 à 23h49
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Bonjour
Bin voilà, j'suis marié youppiieee !! Dans le test n° 6 de LABO on s'aperçois que la consommation de courant est de 5 ampères, qu'on soit à vide ou en charge. Cela veut il dire que: 1) La réactance Lw de la bobine de commande ait été annulée ou fortement diminuée, à vide, par l'existence d'un champ magnetique statique dûe à l'aimant ? 2) Que cette réactance ne réapparaisse pas quand il y a courant de charge qui circule dans la bobine collectrice ? ou autre explication ?? Merci Amateur curieux -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mardi 28 Août 2007 à 11h08
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 116 Membre n°: 564 Inscrit le: 20/08/2007 |
j'avais imaginé un MEG sans même avoir vu que j'avais rien inventé mais à ma sauce, il y a bien longtemps j'avais intuitivement présenti que j'allais dans un mur en quittant mon MEG à moi, pour me rapprocher du meg à commande magnétique complexité des calculs, etc, j'ai jeté l'éponge mon MEG initial, est rustique et original car la relation de cause à effet est sans continuité le MEG, c'est magnétisme contre magnétisme ici, le magnétisme ne peut agir sur le pt de Curie énergie du chaos comment j'avais imaginé ce MEG , sans savoir que cela existait déjà j'avais reçu un catalogue Philips sur les ferrite, les tores en ferrite certains avait un entrefer, (air gap), bon dieu, pourquoi faire chuter la réluctance des tores, si parfait, avec une ferrite à grand mu alors une idée a germée, mettre dans le air gap, une fine tole magnétique, afin de retrouver les bonnes caractéristiques, de faible réluctance magnétique perdue somme des réluctances, plus le tore a une réluctance faible, tore ramassée et avec une ferrite à grand mu, plus la moindre gap, si étroit soit t'il fait chuter le flux, si on lui met un bobinage magnétisant alors si je met dans un air gap de 50 micron, une tole fine de 49 microns magnétique, à 25 °C, mais qui devient amagnétique, à 100 °C alliage à faible pt de Curie (Tc), par effet joule, je fais varier le flux comme la masse à chauffer est faible, et que la courbe de transition aigue cela peut donner un gain l'originalité est la discontuinité parfaite, action , réaction aucun champ inverse, ni agit sur le point de Curie reste la vitesse du cycle, bien refroidir, afin que le cycle soit rapide Dv/Dt |
Ecrit le: Mardi 28 Août 2007 à 15h28
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
28 AOUT 2007. Bonjour à tous. Je réponds d’abord à Amateur. Dans mon test n°6 la réactance de la bobine de commande est fortement diminuée mais pas annulée. En effet si elle était annulée le courant à vide serait énorme, vu la résistance ohmique dérisoire du circuit de la bobine de commande. Quand je dis que le « taux de perturbation » de la réactance est de 50% c’est en constatant l’égalité entre la consommation à vide et en charge. Cette perturbation est due à l’action « inversante » du champ de l’aimant permanent. En effet le champ créé par la bobine s’oppose au sens du champ existant créé par l’aimant permanent. Donc la croissance du flux issu de la bobine entraîne la décroissance du flux général « ressenti » par la même bobine. On aura donc une réactance normale de la bobine créée par la croissance de son flux propre mais avec une conséquence quasi simultanée qui sera une réactance inverse due à la décroissance du flux général. La question qui reste posée est la proportion entre les deux réactances opposées. A mon avis cela dépend du fameux « taux de coïncidence géométrique » du flux incident (la bobine) avec le flux résident (le champ de l’aimant permanent). Dans mon test ce taux est donné par le hasard et entraîne une consommation à vide de 5 ampères dont je rappelle tout de même qu’elle ne se dissipe quasiment pas en chaleur ni en rayonnement « identifiable ». Les bobines restent froides, le poste radio et la télé silencieux… La bobine de puissance « s’oppose » à l’action de la bobine de commande et s’il ne se passe « rien » c’est que cette opposition est elle même « partagée » en deux segments antagonistes. A première vue cela ramène encore une fois à un problème géométrique, comme je l’ai décrit précédemment. Je réponds à Darthelectret. Ton idée est de contrôler la réluctance d’un circuit avec un matériau qui change de statut avec la température : une vanne magnétique utilisant le point de Curie. Si l’énergie nécessaire pour atteindre le point de curie est inférieure à l’énergie que l’on peut extraire par la variation de la réluctance : c’est gagné. La question c’est la bobine « extractrice » de l’énergie : elle va se trouver dans le meme circuit magnétique que l’aimant permanent. Dans un test précédent, j’avais placé les bobines sur le même noyau du circuit magnétique que l’aimant permanent, croyant résoudre à bon compte le problème de la superposition des champs : hélas, puissance de sortie dérisoire, rendement ridicule. La question me semble la suivante : lorsqu’une bobine est soumise à un champ variant, il y a création d’une tension à ses bornes. Si l’on connecte une charge à ces bornes un courant s’établit et la puissance « s’exprime ». Ce courant va créer en conséquence immédiate un champ magnétisant sur cette même bobine, ce qui va engendrer la croissance d’un flux. Dans quelle proportion ce flux va t’il traverser l’aimant permanent dans ton test? S’il ne peut pas le traverser, quelle sera la puissance disponible aux bornes de la bobine ? Cela demande à être testé. A plus… |
Ecrit le: Mercredi 29 Août 2007 à 14h39
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
29 AOUT 2007 Bonjour à tous. A propos de mon interrogation sur le comportement d'une bobine soumise à une variation de réluctance, j'ai trouvé des exemples existants. Les alternateurs dont le rotor est constitué avec des aimants permanents m'ont donné le "déclic". En effet dans l'idée proposée par Darthelectret on ne se trouve plus dans une "logique" de transformateur car il y a variation de réluctance et une seule bobine "réceptrice". Dans ce cas le fait que le champ magnétique créé par le courant qui traverse la bobine puisse ou non traverser l'aimant permanent n'a aucune importance. L'énergie est issue de la variation de réluctance et non d'une bobine "primaire" influencable par la réluctance d'un aimant permanent. Le problème qui se pose alors est celui de la vitesse de passage au point de curie dans un sens et dans l'autre. En effet l'énergie sera toujours créée par la transition entre une faible réluctance et une forte réluctance (au point de curie). Si l'on prend pour exemple la fréquence de 100 hertz, cela voudra dire que pendant quelques millisecondes il faudra atteindre la température de curie et par la suite revenir à la température initiale dans le meme laps de temps. Le problème principal ne sera pas d'atteindre la température mais de refroidir dans le temps voulu. En effet si l'on place des refroidisseurs rapides pour évacuer les calories il faudra qu'ils soient absents pendant la croissance de la température sous peine de l'empécher. Je pense que c'est un défi technique. à plus... |
Ecrit le: Mercredi 29 Août 2007 à 17h54
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 116 Membre n°: 564 Inscrit le: 20/08/2007 |
[img=http://img164.imageshack.us/img164/8672/p1040584xi8.th.jpg]
Pour ma part j'ai un petit atelier bien outillé pied à coulisse digital sonde THT LCR meter auto à détection auto de composants alim scies diverses dremel avec flexible etc etc multimètre avec connection PC electrometer avec connection usb j'ai abandonné la voie magnétique ou électromagnétique pour de bon trop de déboires je dois pas vous faire un dessin : darthELECTRET, cela on dit long que la force électrostatique soit avec moi [img=http://img212.imageshack.us/img212/5551/p1040544tj9.th.jpg] [img=http://img212.imageshack.us/img212/7919/p1040595ek9.th.jpg] |
Ecrit le: Mercredi 29 Août 2007 à 18h05
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
plus tard Que la force électrostatique soit avec vous. Veuillez recevoir l'expression de mes sincères mégavolts. à gigaplus... |
Ecrit le: Mercredi 29 Août 2007 à 18h14
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 116 Membre n°: 564 Inscrit le: 20/08/2007 |
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Ecrit le: Jeudi 30 Août 2007 à 19h42
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1346 Membre n°: 274 Inscrit le: 11/06/2007 |
Bonsoir à tous, En lisant le topic de LABO343 du 29 août :
J'ai eu un déclic et il m'est venu l'dée d'utiliser deux interrupteurs magnétiques pour couper le 1/2 flux de l'aimant permanent principal. Cette coupure serait provoquée par une saturation controllée et alternée des 1/2 flux du circuit magnétique du MEG. Pour éviter de griiller de l'énergie inutilement dûe à la saturation locale et transversale il me semble intéressant de monter un aimant parmanent dans les 2 circuits magnétiques secondaires. Cet aimant devrait être bien choisi pour ne pas saturer le circuit du MEG en permanence, mais tout en étant proche de la saturation. La saturation interviendrait seulement lorsque on alimenterait la bobine du circuit magnétique secondaire avec réglage de la tension d'alimentation de cette bobine de commande pour éviter une sur-saturation inutile et grilleuse d'énergie dans la bobine de commande. L'idéal serait de trouver un matériel magnétique du MEG saturant trés rapidement dans sa totalité, comme cela il faut peu de variation de flux pour passer dans un état saturé ou non. Il est nécessaire aussi de prendre un matériel anisotrope pour le MEG à cause du passage transversal du flux additionel de commande. La saturation locale provoque une très grande augmentation de la réluctance d'une partie du circuit du MEG donc on provoque une induction de tension dans les 2 secondaires du MEG ( non dessinés). Voilà l'idée théorique. Les 2 croix et les 2 points indiquent le sens des flux des circuits magnétiques de commandes, c'est impératif. Le dessin n'est pas correct il indique les 2 flux de commande en même temps. A+ By Derfla]MEG avec 2 interupteurs de flux[/URL] |
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Ecrit le: Jeudi 30 Août 2007 à 22h09
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Bonjour
Pour une saturation rapide, les alliages au cobalt semblent convenir. Il en font chez METGLAS il me semble. Les anneaux carrés, saturables, munis d'aimants permanents fixant leur point de fonctionnement, ne pourraient ils pas traverser les deux branches du meg ?? Grande section pour le flux des branches du meg.. Petite section pour le flux de commande et saturation A plus Amateur persuadé que nous vaincrons !! -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Jeudi 30 Août 2007 à 22h45
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
30 AOUT 2007. Bonsoir à tous. Quelques idées après la lecture du concept proposé par Derfla. Si j’ai bien compris, on utiliserait les aimants permanents du « robinet de flux » pour approcher la saturation au plus près. Pour que ces aimants puissent « exprimer » leur flux propre il faut qu’ils soient eux mêmes insérés dans un circuit magnétique. On aurait donc deux petits circuits magnétiques dont chacun croiserait les demi circuits du MEG. Le point de croisement serait le point de saturation contrôlable par une bobine insérée dans les mini circuits magnétiques. Dans le volume concerné par le croisement des flux du MEG et des circuits magnétiques du « robinet » il va y avoir « partage » des domaines de Weiss. Le flux de l’aimant permanent central du MEG va en occuper la moitié au maximum puisque son flux est divisé en deux branches et que le circuit principal du MEG est « non saturé ». Si l’aimant permanent du circuit « robinet » en occupe un quart de plus ou presque tout, il faudra peu d’énergie à la bobine de commande pour occuper le reste. Mais les flux antérieurs restent Inchangés… Ou pas ? Est ce qu’il peut y avoir « capture » des domaines de Weiss attribués au départ au flux central du MEG ? Est ce qu’il y a une « prime » au flux résident par rapport au flux incident ? D’autre part dans le mini circuit magnétique du « robinet », peut il y avoir addition des flux permanent et de la bobine si on utilise des aimants permanents dont la réluctance propre est énorme au passage du flux de la bobine ? Ca je ne l’ai pas testé. Le seul truc que je sais c’est qu’un flux de bobine ne traverse pas un aimant permanent en sens inverse : je l’ai vérifié. Mais dans le même sens, si quelqu’un l’a testé ça ferait beaucoup avancer la chose. A plus… |
Ecrit le: Vendredi 31 Août 2007 à 00h51
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Intéressé(e) Groupe: Membres Messages: 7 Membre n°: 561 Inscrit le: 19/08/2007 |
Bonsoir à tous,
pour parler saturation Malheureusement en anglais, http://www.tpub.com/content/neets/14180/css/14180_143.htm C'est le schéma d'un amplificateur magnétique travaillant à saturation.Il ressemble a un MEG. C'est peut etre une autre direction... |
Ecrit le: Vendredi 31 Août 2007 à 06h29
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1346 Membre n°: 274 Inscrit le: 11/06/2007 |
Bonjour à tous,
C'est magnifique vous avez tous compris l'dée de départ car le dessin n'était pas complet. Je pense pas que le flux des 2 aimants auxiliaires va se promener dans les branches du MEG car il est inséré dans leur propre circuit magnétique avec leur bobine de commande. Le flux de ces aimants cherchera le chemin de la réluctance minimal pour se refermer sur lui-même. Pour saturer la petite section du Meg il faut que le flux du circuit de commande ( flux de l'aimant auxiliaire + flux de la bobine de commande ) soit plus grand que le flux total de l'aimant central du MEG puisque le Meg ne doit normalement pas saturer par l'addition des 2 demis flux de l'aimant central et de la bobine de commande. C'est une voie à explorer. L'avantage d'un tel dispositif de commande du flux du MEG c'est le peu de rétroaction entre le circuit magnétique de commande et celui du MEG mais l'offset magnétique imposé par les 2 aimants du robinet va certainement influencer le flux du MEG. L'inconvénient c'est l'aspect assez pointu du système et l'inconnue de l'ampleur de l'énergie nécessaire pour actionner les robinets. Le lien donné par soulsouf est intéressant, mais je n'ai pas encore compris la finalité du système et moi avec l'anglais on fait deux. Bonne journée à tous. |
Ecrit le: Vendredi 31 Août 2007 à 07h27
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Bonjour
J'avais expérimenté cette idée (2006) d'insertion d'un petit circuit saturable dans un plus grand composé d'aimant et de bobine receptrice d'énergie. Ce n'était pas un MEG à deux branches, mais un circuit simple. Cela n'a pas donné de résultat probant. Sans doute ai je utilisé, alors, des matériaux communs (tôle de transfo classique). Mais je vais le réessayer avec ce qu'il faut et dans la configuration MEG. C'est aussi pourquoi, dans un post précédent (avec la boussole), je demandais comment se composaient des champs magnétiques croisés au sein de la matière. En théorie, il y a composition vectorielle des inductions (c'est à dire que l'induction résultante de deux inductions égales qui se croisent à angle droit serait une induction dirigée selon la bissectrice des deux premieres et égale à 1.414 (racine de 2) fois l'une d'entre elles). Mais le magnétisme nous réserve des surprises et il vaut mieux tester.. A plus Amateur joyeux -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Vendredi 31 Août 2007 à 07h55
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Bonjour Merci pour le lien. Ce circuit s'apparente à l'amplidyne que nous avions dans les années 60, 70 pour faire varier la vitesse des moteurs.. Il utilise la courbe B=f(H) du circuit magnétique pur amplifier ou non le signal variable d'entrée. Je ne pense pas que ce circuit produise en lui même de l'énergie, mais c'est toujours bon à prendre pour réflexion . A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
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Ecrit le: Vendredi 31 Août 2007 à 09h29
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Intéressé(e) Groupe: Membres Messages: 7 Membre n°: 561 Inscrit le: 19/08/2007 |
Bonjour à tous,
effectivement Amateur c'est un vieux truc d'avant les semi conducteurs..D'ans l'idée c'est un transistor electromagnetique,il avait du génie les gars.Donc cela ne produit pas d'energie.,Juste un robinet .C'est encore utilisé dans les alimentations Pc et autres et dans l'audio. Mon idée de base etait de mettre des aimants (non magnetise) dans les bobines de puissances.Puis de les programmer jusqu'au niveau pret de la saturation avant utilisation en passant un fort courant via le Bias ou le control.Cela devrait permettre une programmation tres precise des aimants sans gaussmetre et trop de calcul savant.. Mais bon ensuite j'ai trouve ce forum,et quand je vois comme vous bosser Derfla,Labo..Je me sens tres,tres amateur. Mais je continue mon bonhomme de chemin sur cette idée.Remplacer une partie du circuit de puissance par des aimants. |
Ecrit le: Vendredi 31 Août 2007 à 10h19
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1346 Membre n°: 274 Inscrit le: 11/06/2007 |
Voici un lien piqué sur un forum ami qui pourrais donner de l'eau à notre moulin l'amplificateur magnétique et au robinet magnétique.
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Ecrit le: Vendredi 31 Août 2007 à 10h22
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 116 Membre n°: 564 Inscrit le: 20/08/2007 |
En fait, il est vrai que le simple circuit avec bobinage primaire d'excitation pose problème , bravo labo343 pour tes remarques judicieuses mais j'avais imaginé à cette époque un MEG à point de Curie avec deux entrefers : piloté par effet joule quand une branche est amagnétique entrefer, le flux de l'aimant va dans l'autre branche, comme le MEG classique on bascule en flip flop le ruban à bas pt de Curie est chauffé par effet joule résistif, la réluctance totale du circuit devient grande, puis une impulsion de courant dans l'autre entrefer thermovariable, ce qui laisse le temps au premier ruban thermomagneto variable à se refroidir, puis rebelot, ce qui tu peux en convenir permet d'augmenter le cycle mieux , pourquoi pas des entrefers avec chauffage séquentil, un peu le pendant du moteur rotatif, à multi cylindre on chauffe un, puis on passe au suivant, puis au suivant, ce qui augmente le cycle la variation du flux commence ;lors du passe magnétique , vers amagnétique plus de bobine d'excitation mais un aimant permanent deux branches avec multi entrefer thermo variable et un microprocesseur de commande, un capteur à effet hall, détecte la chute du flux et commande les différents entrefers themo variables au cas où tous a échoué, voilà la dernière cartouche à ma sauce mais comme j'ai dit, j'ai forgé mon propre concept qui ressemble à rien actuellement, je finalise et je vais pas faire l'impasse de vrais mesures probantes il y a déjà trop de tape à l'oeil peu probant |
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Ecrit le: Vendredi 31 Août 2007 à 18h51
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Bonjour
Ne faut il pas chauffer au dessous du point de curie environ 5 mm d'épaisseur de circuit pour avoir un résultat sensible ?? A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Vendredi 31 Août 2007 à 18h52
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Pardon Ne faut il pas chauffer au dessus du point de curie environ 5 mm d'épaisseur de circuit pour avoir un résultat sensible ?? A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
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Ecrit le: Vendredi 31 Août 2007 à 21h15
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
31 AOUT 2007 tard. Bonsoir à tous. Je réponds à Amateur au sujet de l’épaisseur de l’entrefer : avec 1 ou 2 millimètres on aura déjà une très forte action sur la réluctance. Je réponds à Darthelectret au sujet du problème de refroidissement du matériau chauffé. Si on utilisait un ruban composé de ce matériau et que ce ruban défile à travers l’entrefer avec des poulies de renvoi, on pourrait plus facilement « créer » des zones chauffées et des zones froides qui défileraient alternativement. Cela résoudrait le problème de l’inertie thermique : on ferait comme sur un film de cinéma avec une « image chaude » suivie par une « image froide » et ainsi de suite… Le problème serait de savoir si il n’y aurait pas attraction des images froides et quel serait l’impact des frottements. Au sujet du lien sur « l’amplificateur magnétique » je pense que c’est une forte source d’inspiration. L’intérêt c’est que ce qui est décrit fonctionne effectivement : il faut donc le « détourner » mais en sachant que ce n’est pas « du vent ». Dans toute l’électrotechnique doit traîner une foule de « segments de connaissance pratique » éparpillés concernant notre piste. A nous de les rassembler et de les disposer comme les pièces d’un puzzle. Tous les souvenirs d’éléments même très simples doivent être publiés : on sait jamais… à plus |
Ecrit le: Samedi 01 Septembre 2007 à 14h10
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
1° SEPTEMBRE 2007.
LABO343 MEG Bonjour à tous. Retour sur le prix du kilowattheure. Notre recherche commune est la sur unité. Nous sommes au centre du problème économique. Mon idée est que notre société fonctionne grâce à la sur unité opérée par la combustion du pétrole. Cette sur unité n’est pas constante et je pense qu’elle est en baisse depuis pas mal de temps. Le passage en 2005 du pic de production du pétrole « conventionnel » a du accélérer cette baisse. En effet ce qui caractérise les nouveaux gisements sous marins, polaires, liquides de gaz, sables bitumeux et autres c’est la plus grande fraction de kilowattheure pour produire un kilowattheure (en d’autre termes plus de fraction de baril pour produire un baril). La conséquence c’est la baisse de la marge nette d’énergie et cela se retrouve partout sous forme de complications dans l’action. Une piste pour atténuer la chute du taux d’énergie nette est de faire baisser « le taux de désordre » dans les opérations économiques. J’appelle taux de désordre la quantité de kilowattheures nécessaires pour obtenir un produit utile dans une durée définie. Si l’on continue à fabriquer des produits en insérant volontairement une limite à leur durée on Gaspille les kilowattheures de leur fabrication et l’on crée du désordre. La situation qui arrive Ne donnera plus les moyens de créer une pénurie artificielle pour assurer la rotation accélérée du capital : l’énergie manquera et la matière primaire disponible en basse énergie aussi. Si on prend comme exemple le prix du kilowattheure « domestique » en France (0,077 euros) On peut en tirer le « prix de l’euro » en kilowattheure, soit : 12,98 kwh. Mais le vrai « prix » du kilowattheure doit s’exprimer aussi en kilowattheure : c’est le gros problème car il faut calculer tous les frais même lointains. Mais ce serait une mesure exacte de la situation réelle et pour avancer il faut s’appuyer sur le réel. A plus… |
Ecrit le: Samedi 01 Septembre 2007 à 14h30
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1346 Membre n°: 274 Inscrit le: 11/06/2007 |
Bonjour à tous,
Pour répondre à LABO343, grâce au lien sur l'amplificateur magnétique j'aurais une solution plus pratique à proposer pour le MEG en utilisant les 2 robinets magnétiques. Mais pour l'instant je suis saturé, je suis sur la force centrifuge que suis pas prêt à lâcher car je vois une issue favorable, ( sur papier ) et je termine en parallèle le montage du MM à engrenages. A+ |
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Ecrit le: Samedi 01 Septembre 2007 à 21h23
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Bonjour
Envoie, s'il te plait, un petit croquis de ton idée Derfla, qu'on puisse travailler en groupe et en temps masquer pour tester .. ça avance plus vite ainsi .. Merci, A plus .. -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Samedi 01 Septembre 2007 à 22h47
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1346 Membre n°: 274 Inscrit le: 11/06/2007 |
Bonsoir à tous,
Pour gagner du temps, je vais essayer d'explique l'idée déjà maintenant. Si besoin je ferais plus tard un dessin. Le but étant de démontrer la viabilité du concept des 2 robinets magnétiques , dans un premier temps, pour remplacer les deux aimants des 2 robinets magnétiques qui peuvent se révéler difficile à dimensionner, je pensais les remplacer par 2 bobines à faible résistance de fil et alimenté en courant continu assez important , mais faible voltage. Ces 2 bobines sont branchés en série mais en opposition de phases dans le but d'éliminer la tension alternative induite par les 2 èmes bobines du circuit magnétique de commande , qui elles seraient commandé et alimentés par de l'énergie électrique réactive du réseau 230 V, grâce à un condensateur adéquat sur la phase du réseau . L'autre bobine de commande est aussi alimentée à partir du même condo. Je ne sais pas si faut mettre les 2 bobines en série ou en //. Il faut surtout veiller qu'une alternance du réseau augmente le flux dans un circuit magnétique de commande et diminue dans l'autre circuit et vice versa. On pourrais facilement régler la valeur de l'offset magnétique en réglant la tension continue d'alimentation des 2 bobines. On pourrais relativement facilement régler le courant dans les bobines de commande en augmentant / diminuant par palier, la capacité branchée sur la phase. Le but de tout ceci est de consommer un minimum d'énergie pour provoquer la saturation d'une portion du circuit magnétique du MEG. Est-ce une bonne option ? . L'avantage principal d'une telle configuration c'est de pouvoir tester le concept de la saturation sans beaucoup de matériel . J'espère que je me suis fait comprendre suffisamment . A+ |
Ecrit le: Dimanche 02 Septembre 2007 à 07h25
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Bonjour
Merci pour la réponse Derfla .. Oui je comprends que la composante de courant continu des petites bobines permette de remplacer les aimants pour une expérimentation plus aisée du montage, en fixant le point de fonctionnement sur la courbe B=f(H) comme bon nous semble, quoique les aimants permanents aient une réluctance très grande face à celle d'un electroaimant. Et pourquoi utiliser la puissance réactive du réseau ? Pour ne pas laisser passer la composante continue ?? Je ne comprends pas là .. Ne peut on utiliser un multivibrateur de puissance alimenté par la même source de courant continu (les deux sorties du multivibrateur sont déjà en opposition de phase et sont de forme rectangulaire) Sachant qu'à terme, le montage complet devra être autosuffisant et surunitaire ?? . Merci Amateur -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
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