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> LABO343's MEG
Ecrit le: Dimanche 02 Septembre 2007 à 08h40 Posted since your last visit
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Bonjour à tous,

Amateur, je comprends tes interrogations. Je suis parti pour ce montage dans l'esprit d'avoir un montage d'une simplicité maximale, de telle façon que cela donne envie à d'autres personnes de se lancer dans l'expérimentation du MEG 50 Hz. Pas d'électronique, que du fil de cuivre et des tôles de transformateur, un condensateur et l'aimant central du MEG.

On peut parfaitement créer un flux magnétique dans un transformateur avec de l'énergie réactive d'un condensateur , on peut même saturer le circuit magnétique du trafo. A ce moment là bien sûr l'énergie active grimpe en flèche, autrement bien avant la saturation, on a les pertes classiques et normales.

Citation
Pour ne pas laisser passer la composante continue ??
Je ne comprends pas là ..


Euh ... là je ne comprends pas ! Le but des 2 bobines d'offset magnétique, mis en série et en opposition de phase, étaient d'éliminer la tension alternative induite par les 2 bobines de commande pour que l'alimentation en courant continu soit pas perturbée par la composante alternative. On pourrais d'ailleurs songer d'éliminer les 2 bobines d'offset magnétique et de saturer la portion transversale du MEG uniquement avec l'énergie réactive. Mais le but final c'est d'arriver à une configuration qui consomme le minimum d'énergie pour la commutation magnétique du MEG. Faut-il vraiment des aimants d'offset ou bien uniquement l'énergie réactive ou bien une combinaison des 2. La question est ouverte. Bien sûr le but final c'est la sur-unité, si on a une configuration qui consomme le minimum d'énergie pour la commutation magnétique ( interruption efficace du flux dans une branche du MEG ) et bien c'est tout bénéfice pour arriver à la sur-unité.

Citation
Ne peut on utiliser un multivibrateur de puissance alimenté par la même source de courant continu (les deux sorties du multivibrateur sont déjà en opposition de phase et sont de forme rectangulaire) Sachant qu'à terme, le montage complet devra être autosuffisant et surunitaire ?? .


C'est tout OK, mais cette configuration consomme-t-elle , pour la même fréquence de commutation, moins d'énergie ? J'en doute fort.

Conclusion : je me répète, le but d'une telle configuration est de tester la validité du concept 50 Hz, à saturations alternées locales et transversales des branches du circuit magnétique du MEG avec un minimum d'énergie active. Ceci avec l'idée qu'on pourrais démontrer la sur-unité même avec des fréquences aussi basses que celle du réseau 230 V et avec un matériel minimum

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Ecrit le: Dimanche 02 Septembre 2007 à 13h45 Posted since your last visit
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Correctif

1) Désolé, Amateur, je n'avais pas compris , euh ...ce que tu n'avais pas compris. Le but de l'énergie réactive ( ou active) c'est de provoquer une coupure du flux du Meg dans une branche pour que tout le flux de l'aimant central passe par l'autre branche. Avec un offset magnétique, généré soit par un aimant secondaire ou par une bobine alimentée en courant continu et en permanence, le flux transversal qui traverse une petite portion du MEG et provenant du circuit magnétique de commande n'est juste pas suffisant pour faire entrer cette petite portion dans la zone de saturation et ainsi bloquer le flux de la branche concernée du MEG. Pour saturer, il faut un flux supplémentaire donnée par la bobine alimentée en énergie réactive ( ou active) du réseau 230 V , mais il faut que le même courant réactif traversant les 2 bobines de commande provoque un flux opposé dans le 2ème circuit magnétique, qui s'oppose au flux déjà existant et donné par la bobine d' offset magnétique. On a ainsi un magnifique "flip-flop magnétique", saturant une branche du MEG puis l'autre et ainsi de suite. Si tout fonctionne comme espéré, en utilisant un autre langage, on a ainsi créé un double switch magnétique qui fait passer tout le flux de l'aimant central du MEG une fois à droite, une fois à gauche et ainsi de suite alternativement, et ceci sans électronique, donc à la portée de tout bricoleur ne craignant pas de se faire secouer par le 230 V du réseau. Au besoin, pour les distraits il faudrait acquérir un transformateur d'isolation et on éliminerais ainsi le danger de la phase du réseau.

2)
Citation
On pourrais d'ailleurs songer d'éliminer les 2 bobines d'offset magnétique et de saturer la portion transversale du MEG uniquement avec l'énergie réactive.


Excuse moi, cette phrase est erronée, on doit avoir un offset magnétique pour que le switch magnétique fonctionne. S'il y a pas d'offset on bloquerais plus ou moins bien les 2 branches du MEG en même temps.

A+
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Ecrit le: Dimanche 02 Septembre 2007 à 14h32 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
2 SEPTEMBRE 2007
Bonjour à tous.
La question du verrou magnétique est donc définie par le moyen de saturer le volume de matériau ou se croisent le demi circuit magnétique du MEG et le circuit magnétique croisé de commande. Ce volume voit donc deux flux se croiser dont le premier est "résident" dans le sens ou son origine est l'aimant permanent central.
Le deuxième flux est créé soit par addition de celui d'un aimant et d'une bobine, soit par addition de deux bobines. Le résultat est le meme : on cherche à atteindre la saturation. Or la saturation d'un matériau magnétique est l'utilisation de tous ses domaines de Weiss. Comme dit plus tot, supposons que le flux résident en utilise 50%. Pour saturer il faudra en ajouter autant. Mais si on en ajoute autant, rien ne s'oposera en principe au passage de chaque flux en particulier. Supposons que la bobine de commande envoie dans le "volume de croisement" deux fois "trop" de flux que ce que les domaines de Weiss peuvent laisser passer. La question centrale qui va se poser est donc : QUI VA PASSER EN PREMIER ? L'ancien ? Le nouveau ? Le plus "fort" ? Et selon quel critère ? Le champ magnétisant ? Je pense que l'expérience tranchera. Si le champ magnétisant du circuit de commande réussit à "capturer" une partie des domaines de Weiss du circuit originel du MEG, on aura donc une influence. Cette influence sera efficace meme avec trois millimètres d'épaisseur de circuit MEG "verrouilée". Le circuit de commande a donc intéret à etre quasi plat : cela économisera autant de puissance magnétisante. A plus...
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Ecrit le: Dimanche 02 Septembre 2007 à 14h55 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
2 SEPTEMBRE 2007 plus tard
rebonjour. Un détail de plus en passant : la position géométrique des bobines sur le mini circuit de commande. Ces bobines doivent etre placées de facon à ce que leur axe "traverse en ligne droite" le circuit magnétique du MEG. C'est à dire une dessus et une dessous et surtout pas dans le reste du mini circuit de commande car leur flux propre risque de "mal prendre les virages" et n'occuper qu'une portion du volume de croisement des flux, laissant intact un passage possible hors saturation. A plus...
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Ecrit le: Dimanche 02 Septembre 2007 à 20h53 Posted since your last visit
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Bonsoir à tous,

J'apprécie ta concision, LABO343, c'est un plaisir à te lire. Je ne puis être que d'accord avec ton analyse pertinente et tu as relevé la grande inconnue du comportement des 2 flux dans le volume de croisement. Alors il y a peut-être quelque chose à apprendre dans de telles configurations magnétiques.

Il y a un aspect que j'aimerais relever, c'est le comportement à la saturation du flux venant du circuit magnétique de commande. Il doit certainement fortement se disperser latéralement à cause de la saturation et de ce fait on devrait avoir nécessairement un flux de commande passablement plus grand que prévu pour garantir la saturation.

Si j'avais le temps et un trafo avec une carcasse en E avec primaire sur la branche du milieu, j'essayerais de provoquer avec deux aimants néodymes de saturer une branche du E et de mesurer limpact sur un secondaire sur l'autre branche du E. Tout ceci pour voir l'efficacité de la commutation magnétique provoquée par les 2 néodymes. Il faut simplement diminuer de moitié le flux généré par le primaire pour ne pas saturer le circuit à cause de l'accroissement du flux provoqué par la commutation magnétique.

A+
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Ecrit le: Lundi 03 Septembre 2007 à 18h19 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
3 SEPTEMBRE 2007.
Bonsoir à tous. Une idée en passant au sujet du « circuit magnétique de commande » perpendiculaire. Ce circuit doit avoir « une prime à l’action magnétique » sur le circuit
Magnétique principal du MEG. Pour cela il faudrait que ce circuit (très plat, 3 ou 4 mm au plus) soit constitué de tôles magnétiques (tôles de transfo par exemple) sans rupture géométrique pendant le croisement avec le circuit principal. Ce sera le circuit principal qui sera « découpé » au niveau de ses propres lames. Ainsi le volume de croisement aurait peut être une « priorité à la capture des domaines de Weiss »opéré par le circuit de commande. Cela aiderait aussi à éviter la « dispersion des lignes de flux de commande » au delà du volume de croisement. Dans mes tests précédents je n’avais pas eu idée d’utiliser un circuit perpendiculaire pour saturer le circuit principal. Ce qui est sur c’est que la bobine de commande directement posée autour du circuit principal n’agit pas en « robinet magnétique » : son champ magnétisant concerne l’ensemble du circuit périphérique du MEG, dont la section est homogène. Cela donne « ou tout ou rien » et c’est rien. Avec le circuit croisé il n’y a que quelques millimètres à saturer.
Je ne peux pas faire le test, n’ayant pas assez d’éléments disponibles et je dois garder en l’état mon test n°6 qui est déjà un « portail vers l’inconnu » en parfait fonctionnement. Je fais confiance à votre capacité d’action. Le décorticage de l’amplificateur magnétique doit pouvoir donner des infos sur le partage forcé des domaines de Weiss. A plus…
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Ecrit le: Lundi 03 Septembre 2007 à 18h49 Posted since your last visit
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Bonjour icon_biggrin.gif

Les circuits de commande doivent effectivement couper les branches du MEG et je dirais qu'il faut utiliser pour ces circuits de commande un matériau qui posssède une perméabilité plus grande que celle des branches du MEG, tout en ayant un B sat faible. (mumetal, acier au cobalt, tore de petit transfo torique)

A plus .. icon_smile.gif



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Ecrit le: Lundi 03 Septembre 2007 à 19h39 Posted since your last visit
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Rebonsoir icon_smile.gif

Labo, je comprends que tu ne veuilles pas détruire ton montage..
Une idée me vient pour ta configuration..
Et puisque tu as cette configuration, si tu mettais une deuxieme bobine identique à ta premiere (avec les cuivre en méplat), deuxieme bobine située très près de la premiere. !!!
N'est il pas possible de saturer l'espace entre les deux bobines en les alimentant simultannément de maniere à ce que leurs flux s'additionnent à celui du demi flux issu de l'aimant permanent dans la branche concernée du MEG ??
Je fais un dessin si tu en as besoin..
A plus..


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Ecrit le: Lundi 03 Septembre 2007 à 20h16 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
3 SEPTEMBRE 2007
plus tard.
Bonsoir Amateur. Je ne crois pas que l'addition de deux champs magnétisants provoque une saturation en un point plutot que dans l'ensemble du circuit concerné. La saturation est aussi un rapport entre le champ magnétisant et la section magnétisée. Cette section étant constante dans mon test, ce sera "tout ou rien" sur toute la longueur du circuit magnétique. Le fait que deux bobines soient très proche provoque un phénomène dans l'air mais pas dans un circuit à haute perméabilité tel les toles au silicium. En effet le chemin que doit parcourir le flux est bien défini dans le circuit ferreux alors que dans l'air "ca revient par un peu tous les chemins". Les deux bobines très proches se comporteront comme une seule dans le fer. Dans mon test n°6 le gain des bobines proches est du à la superposition exacte des réactances entre ces bobines. Le montage de Bearden et Naudin comporte un virage à 90° qui ne permet pas le couplage exact des bobines de commande et de puissance. Comme tu le sais , mon problème reste la superposition géomètrique exacte entre les deux bobines ET le demi flux de l'aimant permanent. En attendant la solution technique de ce problème je reste très curieux de voir l'efficacité du système à flux croisés. a plus...
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Ecrit le: Lundi 03 Septembre 2007 à 20h30 Posted since your last visit
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Rebonsoir .

La propagation de l'induction est elle instantannée dans le fer, les domaines de Weiss ne changent pas de direction intantannément partout avec le même couple ?

N'y a t'il pas une fréquence ou un laps de temps d'alimentation des bobines de commande tel qu'une saturation locale se fasse et permette le basculement du demi flux de l'aimant concerné par cette saturation locale, vers l'autre branche ?

J'attends un petit transfo triphasé que je viens d'acheter sur Ebay .. en attendant je vais faire des montages en statique avec champs croisés et capteurs magnetiques situés dans des trous pratiqués un peu partout dans le circuit magnetique en fer doux plein.. On verra bien ce qui se passe..

A plus


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Ecrit le: Lundi 03 Septembre 2007 à 20h42 Posted since your last visit
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Rerebonsoir

Labo, avec ton kung fu de réactances de la bobine de commande et de la bobine de puissance (celle qui aura la charge) , tu cherches à consommer ou équilibrer le demi flux de l'aimant permanent ?? C'est cela??
Dans ton essai n° 6, tel que je l'interprete, l'aimant permanent annule la loi de Lenz régissant la bobine de commande .. Il faudrait donc que la loi de Lenz regissant la circulation du courant dans la bobine de charge vienne s'opposer à tout cela en annulant le courant consommé ..
Ne faut il pas en consequence, essayer avec des bobinages enroulés dans un sens, puis dans l'autre ?

A plus


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Ecrit le: Lundi 03 Septembre 2007 à 22h55 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
3 SEPTEMBRE 2007
très tard.
Rebonsoir Amateur.
La bobine de commande du test n°6 crée un flux dont le sens est opposé à celui du demi flux permanent ou elle se situe. Ce qui compte c’est que ce montage perturbe le sens de la réactance d’inductance de cette même bobine primaire et donc le « contrôle de l’énergie ».
La loi de Lenz fait qu’à vide, sans l’aimant permanent et en l’absence de perte ohmique signifiante il ne devrait presque pas y avoir de consommation : or il y en a une de signifiante.
La circulation du courant de charge dans la bobine de puissance « s’oppose à tout cela » en vertu de la même loi de Lenz, quel que soit le sens des bobines entre elles. Ce qui compte c’est que la bobine primaire (commande) soit alimentée de façon à s’opposer au champ permanent. Ce qui compte aussi c’est que la diode placée sur le circuit de puissance laisse passer le courant issu de la fraction de temps ou la bobine de commande est alimentée, faute de quoi on tombe en plein désordre et on perd « le fil du phénomène ». Au bout du compte
L’inversion de la « polarité d’action » de la loi de Lenz doit faire en sorte qu’ à vide ça consomme et qu’en charge non : je suis à « moitié chemin » dans mon test. C’est tout simple et c’est vérifiable. Ce que je sais aussi c’est que pour avancer il me faut de l’usinage pour obtenir la précision nécessaire pour ne pas « perdre le fil du phénomène ». Pour fabriquer le test avec le contrôle de la coïncidence des flux grâce à un système d’entrefers, il me faut usiner au dixième de millimètre au moins. Ma pince à découper la tôle est inopérante à ce niveau. Je suis donc en train de monter un dossier financier long et compliqué pour aller de l’avant sur ce test. A un moment donné on heurte le « mur de la précision » c’est à dire le capital. Le capital est « bourré » de programmes internes apparemment extérieurs à cette recherche sauf le fait de la crise de l’énergie dont la réalité ne peut plus être niée. Cependant l’accès par le critère de crise est « négatif » et ne crée pas pour le moment de « fenêtre de tir ». Mais ça peut changer d’un coup… à plus.
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Ecrit le: Jeudi 20 Septembre 2007 à 10h23 Posted since your last visit
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20 SEPTEMBRE 2007.
LABO343 MEG
Expérience n°7.
J’ai sauté le pas. Après avoir gardé un an le test n°6 intact je me résous à le modifier.
Ainsi j’ai disposé les deux bobines sur la branche gauche du double circuit magnétique du MEG, en haut juste sous l’entrefer entre les lames en E et en I. Les deux bobines sont quasi « collées » entre elles. Ceci comme sur le photo montage précédent mais sans diminuer la hauteur du circuit magnétique pour cause de manque de précision dans la découpe des lames.
Le problème maintenant c’est la détermination de l’épaisseur de l’entrefer pour obtenir la répartition entière du flux permanent sous les bobines. Aidé par ma première approche théorique, je dois maintenant tester plusieurs jeux de cales. A suivre…

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Ecrit le: Jeudi 20 Septembre 2007 à 16h29 Posted since your last visit
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LABO 343 MEG
20 SEPTEMBRE 2007 plus tard.
Une reflexion m'est venue : il se peut qu'il me faille réaliser un entrefer "compensé" géométriquement pour obtenir une distribution équilibrée du flux permanent. Ce serait donc un entrefer dont l'épaisseur serait fine à la périphérie et un peu plus grande vers le centre. Il faut que je vérifie sur un modèle simple. La réalisation se ferait à la "mini disqueuse". A plus...
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Ecrit le: Samedi 22 Septembre 2007 à 10h39 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
22 SEPTEMBRE 2007.
Annexe à la théorie économique régie par le kilowattheure.
L’org , unité d’organisation.
Chaque acte utile accompli dépense une quantité donnée de kilowattheures mais « produit » aussi une certaine « quantité d’organisation ». Cette quantité d’organisation a pour effet de diminuer le nombre de kilowattheures demandés pour une autre opération. Si le concept utilisé pour cette opération est « brillant », il y aura d’autant plus de quantité d’organisation créée pour un même nombre de kilowattheures.
Exemple tiré de mon entreprise. Nous sommes en montagne, à 1000 mètres d’altitude et il faut réparer une charpente en fer cassée par la neige. Il faudra donc amener de la plaine (à 100 mètres d’altitude par exemple) un ensemble de fers profilés qui seront soudés sur place. L’opération d’amenée du fer consommera « x » kilowattheures pour franchir l’altitude, la quantité de frottements liée à la distance et la pénétration dans l’air. Si le véhicule fonctionne à l’essence cela consommera davantage de kilowattheures que pour un moteur diesel car le rendement est inférieur. Donc le véhicule diesel contient une « quantité d’organisation » supérieure au moteur à essence. La ferraille sera livrée sous forme de profilés. Le profilé « anticipe une action organisée » en se prêtant plus facilement au jeu des forces mécaniques que le rondin brut : il contient lui aussi une « quantité d’organisation propre ». La soudure à l’arc de la charpente cassée consommera « x » kilowattheures et le résultat sera le rétablissement de la quantité d’organisation du toit qu’elle soutenait. La quantité d’organisation apportée par le toit est la protection contre la pluie, le vent, le froid et les poussières. On retrouve donc un « but premier » de l’organisation qui est de permettre à l’homme de posséder à tout instant les meilleures conditions de son épanouissement.
Ce toit est situé en montagne, loin de toute communication. Cependant un objet « bourré » de quantité d’organisation, le téléphone, va permettre de transgresser cet isolement. Il a fallu « x » kilowattheures pour fabriquer ce téléphone mais grâce à lui on a économisé 100 fois plus de kilowattheures que si on avait du se rendre en plaine pour commander la ferraille, peut être indisponible au premier endroit prévu. La technologie est le système qui augmente sans arrêt les quantités d’organisation pour un nombre de kilowattheures donné. La quantité d’organisation agit aussi sur le temps. Si on avait utilisé une charrette à roues en bois, sans pneus ni suspension, le temps d’amenée des ferrailles pour la charpente aurait été 20 fois plus long, sous peine de casser le matériel et de perdre donc « toute la quantité d’organisation » de l’opération. Si on utilisait un véhicule électrique au lieu du combustible fossile, on pourrait récupérer les kilowattheures consommés pour monter à 1000 mètres en rechargeant les batteries en descente. On récupèrerait aussi les pertes d’énergie cinétique en chargeant des condensateurs au freinage. Ce serait donc un niveau d’organisation supérieur : la voiture électrique amène une quantité d’organisation supérieure au niveau de la consommation d’énergie.
On pourrait définir l’org comme la quantité d’organisation nécessaire pour économiser un kilowattheure dans une opération « utile », c’est à dire favorisant l’épanouissement humain.
Ainsi la « valeur » d’un objet utile serait duale : d’une part il y aurait sa valeur « en amont » pour le fabriquer et l’amener (exprimée en kilowattheures) et d’autre part il y aurait sa valeur « en aval » exprimant la quantité de services rendus (la quantité d’organisation) définie en org.

Concept créé lors de mon « stage ». à plus…
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Ecrit le: Dimanche 23 Septembre 2007 à 18h57 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
23 SEPTEMBRE 2007.
L’entrefer plat n’est pas un répartiteur de flux.
Les premières mesures de l’expérience n°7 montrent que le seul fait de disposer les bobines à ras de l’entrefer ne change presque rien aux résultats du test n°6. Le seul fait important est que la baisse de consommation en charge est très nette pour une ampoule de 20 watts. La consommation à vide et en charge reste égale pour une ampoule de 50 watts. Le bruit est lui aussi très explicite : à vide il est très fort et en charge il s’écrase au trois quart. La différence entre le fonctionnement à vide et en charge est beaucoup plus nette que sur le test n°6 sur ce dernier point.
La solution du problème de répartition du flux permanent sera donc de mettre en place un entrefer variable. L’angle de variation dépendra de la différence de réluctance entre la périphérie et le centre du circuit magnétique extérieur. La correction de réluctance se fera en convertissant les centimètres de différence de chemin dans le fer à la périphérie en millimètres de chemin dans l’air au coté centre du circuit magnétique extérieur.. à plus…
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Ecrit le: Mardi 25 Septembre 2007 à 20h24 Posted since your last visit
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Bonjour icon_smile.gif

On dirait qu'avec une ampoule de 20 watts, on épuise pas l'induction de l'aimant permanent (passage au zéro), mais qu'avec une ampoule de 50 watts, on l'épuise et on part vers l'induction inverse ?? Le flux sera il réparti uniquement dans l'entrefer d'épaisseur variable ou bien dans l'ensemble de la branche du circuit magnetique ?

A plus ..

Amateur curieux .. icon_surprised.gif


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Ecrit le: Mardi 25 Septembre 2007 à 22h27 Posted since your last visit
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25 SEPTEMBRE 2007
Bonsoir Amateur.
Le flux ne sera réparti que dans l'immédiate zone de l'entrefer variable. Le circuit restant se comportera comme avant. D'ou l'importance d'utiliser des bobines plates pour "coller" à la zone de répartition.
L'ampoule de 50 watts semble etre le seuil de dépassement du fonctionnement en MEG de ce test. Je continue le calcul d'approche de la partie ouverte de l'entrefer. à plus...
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Ecrit le: Mercredi 26 Septembre 2007 à 17h17 Posted since your last visit
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25 SEPTEMBRE 2007.
Calcul de l’entrefer variable.
Mon calcul est basé sur les valeurs numériques du test n°6 et 7 concernant le circuit magnétique. Les dimensions « de face » du circuit magnétique double sont en mm :
1° : périmètre extérieur : hauteur 295 et largeur 300.
2° : périmètre intérieur d’un des circuits : hauteur 155 et largeur 60.
3° : largeur des trois branches verticales du circuit magnétique : 60.
4° : largeur des deux branches horizontales 68.
L’aimant permanent est placé sur la branche verticale centrale et on considère que le flux magnétique y occupe toute la section. Il se divise en deux flux gauche et droit. Le flux gauche occupera donc la moitié de la section de la branche verticale centrale. La zone de « possible flux gauche » occupera un périmètre extérieur égal à (295 + 150) x 2 = 890 mm.
Le périmètre intérieur sera de (155 + 60) x 2 = 430 mm.
Donc une ligne de force de l’aimant permanent doit parcourir 890 mm si elle est située sur le périmètre extérieur et 430 mm si elle est sur le périmètre intérieur, soit moins de la moitié du chemin extérieur.
Pour trouver l’angle d’ouverture de l’entrefer il faut imaginer que l’aimant est remplacé par une bobine qui donne la meme induction. Pour obtenir 1,2 Teslas dans la tole au silicium il faut 400 ampères – tours par mètre.
Cela fera : 400 x 0,890 = 356 ampères–tour pour la ligne de force située à l’extérieur et 400 x 0,430 = 172 ampères–tour pour la ligne de force située à l’intérieur. La différence est de 184
Ampères-tour. L’entrefer devant etre entièrement occupé par le flux, l’induction y tombera à
0,6 Teslas. Pour obtenir une induction de 0,6 Tesla dans le vide il faut une force magnétomotrice de 497 ampères-tour par millimètre. 184 ampères-tour représenteront donc un vide de 0,37 millimètre. Ce serait donc la mesure de la partie ouverte de l’entrefer.
Je ne doute pas qu’il faudra de nombreux correctifs mais cela donne un ordre de grandeur de la chose. A plus…
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Ecrit le: Mardi 09 Octobre 2007 à 22h09 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
9 OCTOBRE 2007.
Bonsoir à tous. Le compte à rebours du pétrole vient d’accélérer : le pic de Hubbert vient d’être fixé à nouveau pour 2010 par l’ASPO. Voir le document « pdf » « october 2007 » en anglais sur le site : http://www.aspo-ireland.org/index.cfm/page/newsletter les chiffres du début parlent tout seuls.
Un peu plus de deux ans et après on bascule. On arrive clairement à la bifurcation : l’énergie de l’espace ou le retour au moyen age. Rien n’est encore écrit… à plus.

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Ecrit le: Jeudi 11 Octobre 2007 à 12h08 Posted since your last visit
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Bonjour icon_smile.gif

Bin, il est temps que ces énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon) ne soient plus utilisées du tout ..

Qu'en est il de l'énergie d'origine solaire pure??

Ne peut on pas faire déjà ce qui suit, dans un premier temps ??

Plusieurs surfaces de 50km de côté tapissées de panneaux solaires en silicium amorphe et disposées intelligemment autour du globe, pour en avoir toujours plusieurs éclairés par la lumière du jour.

Ce n'est pas plus cher que les centrales nucléaires ou éoliennes.

Et pour les véhicules faisons déjà cela:

http://www.nextenergynews.com/batteries/batteries5.html

A plus ..





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Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix
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Ecrit le: Vendredi 12 Octobre 2007 à 21h05 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
12 OCTOBRE 2007.
Pourquoi serions nous pessimistes ?
Pourquoi ne pas utiliser « l’imagination industrielle » pour accélérer la recherche ?
On part du principe que l’imagination c’est la capacité d’établir des liaisons entre les informations contenues dans la mémoire. On part du principe aussi que l’imagination est à la base de la transformation des situations. On part aussi du principe « d’information active » c’est à dire de concept capable de « créer de l’organisation ». Il faut donc avant tout sélectionner les informations actives dans tous les domaines. Le strict sens du mot « utile ».
Il faut ensuite créer un local ou toutes ces informations actives « affleurent à la vue » sous forme de résumé ou de formules. Dans ce local doit aussi apparaître une grande diversité d’objets industriels basiques (comme dans un entrepôt de matériel électrique). Il faut circuler dans cet environnement et se « charger » de concepts tout en suivant une piste de recherche préalable. Le foisonnement d’information peut aider à la résolution de problèmes par le mécanisme des transpositions de concepts : c’est un conditionnement positif. C’est le contraire de ce que nous traversons dans le « monde » résident ou les informations sont presque toutes « inutiles » car non re liables à la transformation des situations. Le premier obstacle à la recherche c’est bien le conditionnement cloisonnant. Il est partout : dans la rue, sur les bâtiments, dans les médias, même dans la « nature ». Partout. La première porte de sortie c’est d’échapper à cela. Après cela il faut faire des « exercices d’imagination » en reliant le plus de concepts éloignés possible. Dès qu’on sera « décloisonné » mentalement se posera clairement la question de la vraie qualité de l’information et donc de sa rétention par le secret, le silence et l’imposture. La situation énergétique actuelle ne permet plus d’esquiver ce front. A plus…
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Ecrit le: Vendredi 12 Octobre 2007 à 21h40 Posted since your last visit
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Bonsoir,

J'aime bien ton concept, cela dit n'est ce pas un peu se que l'on fait sur ce forum, de manière virtuel.
Chacun y va de son idée de sa controverse ou de ses arguments.
Publication de photos de vidéos dessins schéma etc...

Je trouve que c'est un début pas mal.

C'est vrai qu'un lieu serait l'idéal, le problème est que cela pénalise les gens loin.

Par rapport à ce problème j'évoquais avec Biganos je crois la possibilité de monter un lieu tel que tu le décrit, dont la surface serait sous caméras IP.
Ainsi les internautes motivés pourrait se plugger pour voir les travaux en cours et apporter leurs idée et expériences.
se serait un champs ouvert ou les plus motivé pourrais passé de temps à autre pour concevoir une expérience de leurs cru ou bien participé à une en cours.

une sorte d'open space incubateur, à la fois virtuel et réelle.
Associé à la gestion d'une base de donnée, cela ferait une véritable mine d'informations,
suivit de concrétisations.

Une logistique démocratique permettrai de voter les idées les plus prometteuses afin de les concrétiser.

Je rêve là mais bon, c'est vendredi !!!!

A+++



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Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
Page YouTube, Page Dailymotion, Album Picasa, La Force contre-électromotrice, simulation magnétique, Viktor Schauberger
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Ecrit le: Lundi 15 Octobre 2007 à 22h11 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
15 OCTOBRE 2007

22 Heures 58.
Le west texas est à 86,13 dollars le baril. Plus que jamais nos cogitations sont dans le sens de l'histoire. à plus..
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Ecrit le: Mercredi 17 Octobre 2007 à 08h19 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
17 OCTOBRE 2007.
Dégravitation des nuages.
Le principe de dégravitation utilisé par les nuages semble lié au rapport entre le volume et la surface des agglomérats de molécules d’eau en suspension dans l’air. Lorsqu’il pleut ce rapport vient d’être modifié et la dégravitation de l’eau cesse. Ainsi on pourrait chercher une piste sur la polarisation de surface des agrégats en suspension causant leur dégravitation.
N’oublions pas que les nuages ne sont pas de la vapeur d’eau puisque leur température est bien inférieure à 100 degrés. Il s’agit bien d’eau liquide dont la densité est 1000 fois celle de l’air. Les nuages utilisent donc l’antigravitation depuis la nuit des temps avec un bilan d’énergie positif. A plus…
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Ecrit le: Mercredi 17 Octobre 2007 à 10h36 Posted since your last visit
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Bonjour.
Les gouttelettes (quelques molécules d'eau en fait) tombent en permanence mais extrêmement lentement du fait de leur taille et du freinage de l'air ! elles retrouvent alors ,plus bas,une température plus élevée qui leur permet de se vaporiser et de remonter pour se recondenser... et le cycle continue.Ajoutons encore les courants ascendants et je crois que l'on n'a plus besoin de faire appel à une quelconque "dégravitation".
Amicalement.
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Ecrit le: Mercredi 17 Octobre 2007 à 15h37 Posted since your last visit
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icon_biggrin.gif Salut à tous !!!

Petit point, les nuages comme le brouillard, c'est de la vapeur humide !

à +++ icon_wink.gif


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tan pis ...
PM
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Ecrit le: Mercredi 17 Octobre 2007 à 16h59 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
17 0CTOBRE 2007 plus tard
rebonjour à tous.
L'eau bout à 100° au niveau de la mer et à guère moins à une hauteur de 3000 mètres. On ne voit pas en montagne les ruisseaux bouillir à 20°. Je confirme donc que ce qui compose les nuages ce n'est pas le gaz appelé "vapeur d'eau". Il s'agit bien d'eau liquide sous une dimension minimale. La vapeur d'eau à 20° je ne l'ai jamais vu. L'eau est définitivement plus lourde que l'air et il est forcé de constater que les nuages pratiquent l'inversion de situation dans l'alignement gravitationnel des densités. Cet inversion d'alignement est à la base de toute la production hydroélectrique qui est uniquement issue de la pluie. à plus..
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Ecrit le: Mercredi 17 Octobre 2007 à 17h25 Posted since your last visit
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Bonjour . C'est vrai j'aurais du mettre évaporer au lieu de vaporiser ..quoique le terme soit éxact. D'ailleurs si l'eau liquide bout à 100 degrés ,il n'y a pas besoin de cette température pour "évaporer"..... Là c'est une ébullition ou vaporisation accélérée et "forcée".

Quant aux nuages composés de fines gouttelettes ,il me semble que c'est ce que j'ai écrit plus haut et que nous sommes d'accord !! Rien qui aille dans le sens de la dégravitation ! C'est explicable sans ambiguïté par les météorologues !
http://www.passion-meteo.net/decouverte/propriete_nuage.htm
à +
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Ecrit le: Mercredi 17 Octobre 2007 à 17h37 Posted since your last visit
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Citation (LABO343 @ Mercredi 17 Octobre 2007 à 16h32)
LABO343 MEG
L'eau est définitivement plus lourde que l'air et il est forcé de constater que les nuages pratiquent l'inversion de situation dans l'alignement gravitationnel des densités.


oui absolument l'eau est plus lourde => c'est pour cela qu'elle se condense !!!

Non absolument pas il n'y a pas inversion struc muc bleu gravitationnel
mais tout simplement des turbulences .

dans un avion , lors d'un orage il suffit d'écouter la petite annonce :
<<attention nous entrons dans une zone de forte turbulence >>!!!

c'est quand meme plus simple comme cela !!

pour complement d'info aller a :
http://www.linternaute.com/science/environ...rouillard.shtml
Citation
Comme le nuage, donc, il est constitué d'une suspension de minuscules gouttes d'eau maintenues en l'air par des mouvements de turbulence. ..


Citation (LABO343 @ Mercredi 17 Octobre 2007 à 16h32)

Cet inversion d'alignement est à la base de toute la production hydroélectrique qui est uniquement issue de la pluie. à plus..


je veux bien croire que les scientifiques sont parfois imbu de leur personne
mais je pense quand meme ,que sur ce coup la ,
ils donnent de vraies bonnes explications

mais en poussant le bouchon a l'extreme l'on pourrait etre amener à considerer
la turbulence comme une forme de degravitation
PS : c'est quand meme tiré par les cheveux
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