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Ecrit le: Mercredi 02 Janvier 2008 à 19h27
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
2 JANVIER 2008 suite bonsoir à tous. Je réponds d’abord à Quartz. Il faut bien spécifier que l’alimentation de la bobine de commande est du courant continu. Tout au long de la séquence de connexion nous avons affaire à du courant continu. Le générateur est une batterie de 12 volts et 40 ampère heure Qui n’a pratiquement pas de résistance interne. La tension d’alimentation est donc suffisamment stable pour être négligée. Comme tu dis en premier le champ magnétique de l’aimant permanent est installé. Ensuite il faut tout voir dans la seule séquence de connexion. Dès le début de la connexion Le champ incident commence à croître avec un rythme qui dépend de sa constante de temps. En gros le nombre de spires. A un moment donné de la séquence (un tiers) se passe un phénomène de « confrontation » entre le champ incident (ayant acquis une certaine grandeur) et le champ permanent. Jusqu’à cet instant la croissance du champ incident produit dans la bobine qui le crée une tension induite qui s’oppose à cette création. Cette tension est continue et non variable car La séquence est calculée pour être inférieure à la constante de temps de la bobine. De ce fait la tension d’opposition est quasi constante (on est dans le bas de la courbe de la constante de temps). La résistance ohmique de 28 spires de fil de section 10 millimètres carré peut être considérée comme négligeable (je réponds sur ce point à Amateur). Cette tension continue d’opposition à la tension d’alimentation crée la réactance (il faut bien l’appeler comme cela) qui définit un courant de consommation dans la bobine de commande En l’absence quasi complète de résistance ohmique. Au moment ou cette tension d’opposition s’effondre (après le premier tiers de la séquence), La conséquence en est une baisse de la réactance et non une hausse (sur réactance) et il s’en suit une hausse proportionnelle du courant de consommation jusqu’à la fin de la séquence de connexion. Ensuit on peut dire en effet que le champ magnétique global est « réorganisé » puisque la consommation reste stable jusqu’à la fin de la séquence. Après pour ta dernière phrase je ne sais pas encore : il faut avancer lentement pour pas se mélanger les pinceaux… Je réponds à Amateur. Ton montage est très voisin du mien et tu dois pouvoir tomber facilement sur le « mur » de confrontation des flux. Comme ton circuit magnétique est plus petit, il doit falloir faire une transposition. Au sujet de w, c’est à dire la relation au temps, je me sers d’une phrase pour la définir. Constatant que l’alimentation est du courant continu, la « pente du temps » qui définit la tension induite dans la bobine est donnée par la seule constante de temps. Obligation ensuite Est faite de ne pas dépasser la limite de cette constante de temps pour la séquence d’alimentation, faute de quoi il y aurait effondrement rapide puis brutal de la réactance de la bobine de commande. Nous sommes en courant continu, nous ne pouvons pas utiliser littéralement le concept de pulsation. Je ne sais pas encore ce qui bouge. Il y a deux pistes : ou bien c’est L (l’inductance) qui varie Après le seuil de confrontation ou bien c’est la « décroissance » du flux permanent qui induit dans la bobine de commande « une tension opposée à la tension opposée » à la tension d’alimentation. Une « dé réactance » comme j’en avais parlé avant. Dernier point : au sujet de la perméabilité relative du circuit magnétique, je rappelle que je suis en dessous largement du seuil de saturation. Donc, « théoriquement », il ne devrait pas y avoir effondrement de la réactance à cause de cela… Voilà ou j’en suis pour le moment. Si vous voulez une copie rapide de la vidéo, envoyez un mail labo343@free.fr mais la qualité est médiocre pour le moment. A plus… |
Ecrit le: Mercredi 02 Janvier 2008 à 21h19
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Bonsoir à tous,
Oui pour moi le courant continu était acquis, simplement lorsque je parle de "sur-réactance", cela s'entend dans le cycle de mise en tension. Je tente d'imaginer se qui peu se produire durant se cycle, le changement d'état magnétique du noyau doit provoquer une réorganisation importante dans le noyau, par conséquent le fait que le signal se décompose en plusieurs zone distincs dans la phase de mise en tension, correspond à un changement relatif à une constante de temps propre du circuit magnétique ou bien à un comportement compensateur de l'aimant, (ne connaissant pas la véritable nature de l'aimant). Imaginons que l'aimant est une constante de temps de réaction très faible de l'ordre de la dizaine de millisecondes, il est possible que les commutations à flancs raides sois trop rapide, pour localiser un quelconque phénomène X. Une étude de la réactance au plus prés d'un signal de mise en tension du type rampe, pourrait peut être nous dévoilé quelques chose !! Pure spéculation. A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
Page YouTube, Page Dailymotion, Album Picasa, La Force contre-électromotrice, simulation magnétique, Viktor Schauberger |
Ecrit le: Mercredi 02 Janvier 2008 à 21h36
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Au moment de la connexion de la bobine de commande le flux créé par cette bobine s'oppose au champ de l'aimant permanent.
L'induction créée (avec un petit retard, car c'est une réaction) par cette bobine s'oppose à la cause qui lui donne naissance (loi de Lentz) et va dans le même sens que le flux de l'aimant permanent. On atteint peut être alors la saturation par addition de l'induction de l'aimant + l'induction dûe à la loi de Lentz de sens identiques. D'où µr qui chute brutalement entrainant l'inductance et la réactance dans sa chute .. !!?? Bon allez, on va mesurer tout ça .. -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mercredi 02 Janvier 2008 à 21h38
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Du vrai kung fu entre les réactances et les champs, crévindiou !!
-------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mercredi 02 Janvier 2008 à 21h44
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
On atteint la saturation avec quel champ pour ce genre de tôle de transfo ??
100 A/m ?? -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mercredi 02 Janvier 2008 à 23h17
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
2 JANVIER 2008 re suite bonsoir à tous , je réponds à Amateur pour la saturation dans le circuit magnétique de mon test. Ce sont des toles au silicium. J'ai trouvé sur google un graphique montrant que les toles au silicium ont une courbe qui "commence le début de la saturation" vers 1 tesla. L'aimant permanent que j'utilise est censé donner 1,2 Teslas d'induction maximum. Cette induction ne se retrouve que dans le noyau central mais dans les deux autres branches il ne doit y en avoir que la moitié soit 0,6 Tesla maximum. La bobine de commande fait 28 spires et le circuit magnétique ou elle se déploie ne fait pas loin d'un mètre (vu la taille de mon test). Donc pour s'opposer "entièrement" au flux permanent périphérique (0,6 Tesla maxi) il doit lui falloir 100 ampère tour par mètre environ. Voila posé l'ordre de grandeur. Je réponds à Quartz. La constante de temps de l'aimant permanent : question magique. Je n'ai aucune info dessus . Pour moi c'est zéro temps mais va savoir... A plus.. |
Ecrit le: Jeudi 03 Janvier 2008 à 12h35
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Bonjour Tous
Merci Labo pour les infos et la vidéo .. N'est il pas possible que le champ de self induction (loi de lenz) de la bobine de commande associé au champ préexistant de l'aimant permanent conduise à la saturation du noyau avec un léger retard par rapport à la connexion et qu'à ce moment la réactance s'effondre .. ?? A plus Amateur -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Jeudi 03 Janvier 2008 à 13h50
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
3 JANVIER 2008 Bonjour à tous, je réponds à Amateur. Si tous les calculs sont bons, mon test est en dessous de la saturation. De plus le phénomène d'effondrement de la réactance se produit au tiers de la croissance du champ incident, soit encore plus loin de la saturation. Donc en étant "logique" on doit se trouver en face d'autre chose. Tu me diras ce que tu en penses en voyant la vidéo. Pour le moment je n'ai pas plus de vision du problème. Pour utiliser d'autres mots je pense que les deux flux magnétiques en coexistence ne sont pas de "longs fleuves tranquilles". A plus... |
Ecrit le: Dimanche 06 Janvier 2008 à 23h28
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
6 JANVIER 2008. Bonsoir à tous. Proportions. Suite à l’observation de la séquence de connexion à l’oscilloscope, j’ai calculé la proportion entre le temps de consommation à vide (du à la faible réactance) et le temps total de la séquence. Le temps total de la séquence est la somme du temps de connexion et de l’intervalle entre deux temps de connexion. Dans mon test, à 90 hertz, l’intervalle entre deux connexions dure deux fois le temps de la connexion. Le temps de forte réactance dure un tiers du temps de connexion. Donc le temps de faible réactance (de forte consommation) dure deux neuvièmes du temps total de la séquence. L’ampèremètre à aiguille du test indique 5 ampères à vide de consommation. On peut en déduire que pendant le temps de faible réactance il y a une consommation de 22,5 ampères, si l’on admet que pendant le temps de forte réactance la consommation est négligeable. Je comprends pourquoi j’ai « claqué » les premiers relais statiques avec la bobine de 28 spires : ils étaient calibrés pour 10 ampères maxi et il y a du y Avoir des crêtes bien plus fortes. Je vais faire un montage pour vérifier la courbe de l’intensité sur l’oscilloscope avec une résistance ohmique très stable. A plus… |
Ecrit le: Vendredi 11 Janvier 2008 à 23h05
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
10 JANVIER 2008. Visualisation de la courbe de l’intensité de consommation de la bobine de commande à vide et en charge. Pour y arriver j’ai inséré une résistance de 1 ohm (environ) dans le circuit d’alimentation de la bobine de commande. Cette résistance est de grande dimension (poids 1kg) pour assurer une dissipation thermique garantissant sa très faible variation. J’ai ensuite branché l’oscilloscope aux bornes de cette résistance pour observer le profil de la courbe d’intensité qui y transite (ainsi donc que dans la bobine de commande). La surprise est de constater que la courbe à vide et en charge est « exactement » la même. On pourrait les superposer comme un calque. En l’absence de vidéo (pour le moment) je vais décrire cette courbe. Cela commence par un tracé ascendant presque vertical qui commence à s’infléchir au deux tiers de la hauteur maximale atteinte et au premier tiers du temps écoulé. Puis la courbure s’affirme pour terminer avec une pente de 45 degrés. Ainsi cette courbe ne permettrait pas de voir ce qui se passe dans l’ordre du temps dans la bobine de commande à vide et en charge. Ce qui est sur c’est que l’intensité augmente le long du temps de la connexion. A vide ce n’est pas du tout « normal ». J’ai donc voulu comparer avec un montage sans aimant permanent. Pour cela j’ai utilisé un petit transfo 220 volts vers 12 volts, utilisé pour alimenter une ampoule à iode de 50 watts. J’ai branché la partie « 12 volts » à la place de la bobine de commande et j’ai connecté l’oscilloscope aux bornes de cette bobine. Le tracé de la réactance s’est montré comme une ligne horizontale en début de séquence avec une inflexion légère en fin de séquence due à la courbe inévitable de la constante de temps de cette bobine. Cette ligne horizontale est atteinte instantanément au niveau maximum correspondant à la réactance d’inductance. En augmentant la fréquence de connexion (donc en diminuant le temps de connexion) la courbe se raidit en restant haute. La consommation à vide est en ce cas quasi nulle. Ensuite j’ai branché une charge sur la sortie « 220 volts » à travers une diode comme dans le test MEG. J’ai connecté deux lampes de 220 volts 60 watts en série car la tension de sortie à vide atteignait 330 volts pour une fréquence de connexion de 200 hertz. Dès la connexion de la charge l’intensité passant dans la bobine de commande s’est élevée à 10 ampères (sous 12 volts). Donc cela prouve bien que le montage de mon test, utilisant la même source d’alimentation et le même mode de connexion navigue dans une autre planète… Ce que j’en déduis c’est que l’aimant permanent « détraque » le mécanisme de la réactance Dans une configuration précise. Je vais donc continuer la recherche en fabricant un système de retard de connexion sur la charge pour voir si je peux faire baisser effectivement la consommation en charge par rapport à la consommation à vide. A plus… |
Ecrit le: Lundi 04 Février 2008 à 23h38
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
3 FEVRIER 2008. Bonjour à tous. Débrouiller l’embrouillé : ce sera compliqué. Je commence par l’interprétation d’une observation. Comment l’intensité varie pendant la connexion en charge. Conditions de départ : La tension d’alimentation est constante. La résistance ohmique des deux bobines est négligeable. La durée de la séquence de connexion de la bobine de commande est inférieure à la constante de temps. Dans un transfo classique, la courbe de la tension de réactance à vide est presque droite. Dans le MEG elle prend la forme d’un L. Dans le MEG, si la charge garde constante sa valeur ohmique cela n’empêche pas l’intensité qui la traverse de varier tout au long de la séquence de connexion. L’intensité qui traverse la charge « démarre » par une valeur zéro puis augmente jusqu’à la déconnexion. Cela montre une relation entre la grandeur du flux magnétique à un instant donné et l’intensité qui parcourt la charge au même instant. La courbe d’augmentation de l’intensité se calque sur la courbe d’augmentation du flux magnétique. On pourrait dire que l’intensité qui passe dans la charge à un instant donné est liée au nombre de domaines de Weiss « réalignés » au même instant. La limite de l’intensité disponible sur la charge est donc donnée par la section du circuit magnétique utilisé juste avant saturation, à nombre de spires constant. Cela n’empêche pas la tension aux bornes de la bobine secondaire d’être au maximum dès la connexion ( à vide) puisque la tension est issue de la vitesse de croissance du flux. Je dois arriver à décrire précisément tout le déroulement de la séquence de connexion sans qu’il y ait une seule contradiction, en partant de l’observation disponible et des lois électriques et magnétiques. Il faut pouvoir établir précisément le jeu des causes et des conséquences, l’ordre des opérations dans le temps. Il faut savoir à quoi s’oppose le courant de charge pour exister. Dans la séquence complète le courant de charge démarre avant que le conflit n’éclate avec l’aimant permanent. On ne peut donc pas dire que la charge s’oppose à l’action de l’aimant au début mais après le seuil critique oui. Donc il y aurait deux oppositions successives et « opposées ».Au début on aurait une charge fonctionnant comme un transfo classique et après le seuil de déclenchement de l’action de l’aimant permanent on aurait une charge « diminuant la consommation ». Comment faire « cadrer » cette interprétation avec l’observation ? A cette condition on doit pouvoir isoler et définir théoriquement le processus d’extraction de l’énergie. A plus… |
Ecrit le: Jeudi 07 Février 2008 à 22h17
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello tous.. Hello LABO
En explorant le net sur Bearden; j'ai trouvé cela: http://jnaudin.free.fr/html/tbfrenrg.htm Dans cette expérience, on utilise les régimes transitoires et un collector (bobine faite avec du fil en alliage ALU / FER dont le temps de relaxation est de 1 milliseconde.. D'après ce que je comprends, Bearden explique que si on alimente ce collecteur (bobine) avec une tension en dent de scie dont la durée est inférieure au tenps de relaxation de la bobine, on envoie une onde electromagnétique qui n'est qu'un potentiel (courant quasi nul). Potentiel qui va activer les électrons libres de l'alliage alu fer. La deuxieme phase consiste alors à basculer le collecteur vers la charge pour un écoulement conséquent de courant.. Le collecteur deviendrait une source à energie libre.. Pour Bearden, l'énergie potentielle est gratuite .. ça peut ptêtre servir pour être transposé au MEG !! A plus Amateur -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Vendredi 08 Février 2008 à 18h27
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
bonjour à tous. Bonjour Amateur. Le lien avec le site de Bearden est interessant. Evidemment il faudrait tester... Je vous signale en passant un article important paru dans la revue "la décroissance". Il s'agit de la possible et prochaine pénurie d'uranium "énergétiquement rentable". Si ce qui est écrit s'avère, les investissements dans le nucléaire à fission sont un gaspillage dramatique. Plus que jamais j'ai l'impression que nous sommes dans un train fou conduit par des fous. En passant je vous informe que la centrale hydroélectrique dont j'assurais le destin a déposé le bilan. Normalement une telle entreprise produit des kilowatts. Dans notre cas une nouvelle forme d'énergie était requise : le "fiscawatt"... La commission europeenne demande à la France de doubler sa production d'énergie renouvelable. C'est bien parti... Tout va bien. A plus... |
Ecrit le: Vendredi 08 Février 2008 à 18h50
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 773 Membre n°: 284 Inscrit le: 12/06/2007 |
AREVA pretend qu'il ny' a eu aucun effort de fourni pour chercher de nouvelles mines d'uranium mais quand cela sera necessaire ils sont sur d'en trouver !! sinon ils se projettent dans l'avenir pour 2100 date ou le cout de cet uranium et l'effort pour en chercher se croiserait dans ce cas ils mettraient en place de nouvelles centrales quiseraient capables de recycler le combustible usé ... ce sont les surgenerateurs qui reviennent !! contrairement a ce que disent les ecologistes areva voit une explosion de la demande de centrale nucleaire ... ont est pas sorti de l'auberge si on ne trouve pas d'alternative !! |
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Ecrit le: Samedi 09 Février 2008 à 00h06
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
rebonsoir à tous, bonsoir Tagor. Areva peut dire des choses sur le cout de l'uranium en terme de monnaie. Le problème se pose en terme de kilowattheures. Si il faut plus d'un kilowattheure de dépense énergétique pour produire un kilowattheure par fission cela ne sert à rien. Pour moi le nucléaire à fission est un appendice de rentabilisation de la bombe, dépendant du bas prix de la principale énergie primaire : le pétrole. Si il faut utiliser des bateaux à voile pour ramener le minerai des terres lointaines... Si les engins de chantier utilisés dans les gisements ne marchent plus au pétrole.. Peut etre marcheront ils au charbon, ou à voile, ou à pédales.. Au niveau des surgénérateurs je me rappelle qu'on doit y utiliser du sodium liquide. Je conseille aux éventuels futurs riverains de s'en écarter au plus vite. Je crois qu'il vaut mieux continuer à se creuser la cervelle comme on le fait dans le forum. Sincères kilowattheures, à plus... |
Ecrit le: Samedi 09 Février 2008 à 08h28
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello tous Hello LABO
Si on met des aimants permanents sur la tranche (transversalement) du circuit magnetique d'un transfo et qu'on fait parcourir du courant continu dans une des bibines du transfo, on arrive à faire dévier une boussole posée à l'endroit où les deux champs se croisent .. Il y a donc bien composition géométrique des champs, avec, par exemple si les deux inductions (aimant et solénoide) sont égales, une induction résultante égale à 1.414 (racine de 2) fois plus grande.. On voit donc la bousssole prendre la direction bissectrice.. Par contre, si on tente de récupérer cette augmentation d'induction à l'aide de bobines, ça ne marche pas, l'aimant ne participe pas à l'induction.. ?? késako ?? A plus, pour plus de détail sur ce concept quand j'aurai porté ma dose de meubles Amateur -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Samedi 09 Février 2008 à 10h02
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 773 Membre n°: 284 Inscrit le: 12/06/2007 |
il est quand meme possible d'envisager un demenagent : 2100 ca laisse un peu de temps |
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Ecrit le: Dimanche 10 Février 2008 à 17h30
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343
Bonjour à tous. Amateur, pourrais tu nous faire un dessin de ton test? Le problème avec les bobines placées dans un circuit magnétique c'est qu'il y a le jeu des réactances. Tu te trouves comme moi à devoir débrouiller tout cela. De toute facon l'aimant "participe" à quelque chose. Pour y voir plus clair il faut ramener la recherche à ce que j'appelle la séquence de connexion (pour une alimentation en courant continu) ou sa transposition en courant alternatif. Après tout se répète à chaque fois. Pour récupérer l'augmentation d'induction cela doit se passer entre le moment ou il y a connexion de la bobine d'alimentation du test et le moment ou le champ créé par cette bobine est entièrement "réalisé". Il faut maitriser cet intervalle de temps. Dans la vidéo de mon dernier test avec un oscilloscope je compare les intensités à vide et en charge pendant la séquence de connexion. Je vois deux courbes identiques et pourtant les phénomènes sont très différents. Alors je me demande si ces deux courbes ne sont pas décalées à l'intérieur du temps de connexion : la courbe de consommation à vide "apparaissant" après le seuil de confrontation avec l'aimant permanent. D'autre part, en charge, la courbe de consommation se situerait avant le seuil de confrontation. Au total, pour l'ampèremètre à aiguille cela serait identique du fait de son inertie mécanique. C'est une piste que je suis en vérifiant s'il n'y a pas de contradictions. Un mot pour Tagor. Quand j'étais ado j'avais eu dans les mains un morceau de sodium métallique de provenance obscure. J'avais entendu dire que ca explosait au contact de l'eau. J'ai voulu faire une farce à un copain ignorant du fait. Je lui ai dit de jeter ce "truc" dans l'eau pour s'en débarrasser. Tout le quartier l'a entendu.. Que dire s'il y en a des tonnes? Meme 100 ans avant c'est prudent d'éviter. a plus... |
Ecrit le: Lundi 11 Février 2008 à 08h56
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Bonjour tous
Bonjour LABO Après les essais infructueux de MEG classique et de déviation des lignes magnétiques d'aimants permanents, je me suis dit qu'on pouvait peut être composer géométriquement les inductions induites par une bobine parcourue par un courant et celles d'aimants permanents, selon le schéma ci dessous: Pour le moment, ça n'aboutit pas non plus, mais cela donnera peut être des idées aux génies pour développer ce concept d'associations géométriques d'inductions.. A plus Je vais brancher ma plaque de cuisson pour que ma Dulcinée me fasse des bons ptits plats.. mm miam miam !! -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Lundi 11 Février 2008 à 09h03
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
-------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Lundi 11 Février 2008 à 12h40
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1346 Membre n°: 274 Inscrit le: 11/06/2007 |
Bonjour à tous,
Amateur à mon humble avis le flux de tes 2 aimants dans tes 2 bobines secondaires doit être invariable. Je te proposerais plutôt cette version , bien sûr seulement la pratique peut clairement trancher si l'idée est bonne ou mauvaise. IDEE D'UN MEG A FLUX TRANSVERSAL DEVIé. Le flux des aimants dessiné en rouge est dévié pour une alternance de la bobine primaire . Pour l'autre alternance le flux est dévié vers la gauche et la bobine 1 devrais voir une augmentation du flux alors qu'au même moment la bobine 2 voit une diminution du flux provenant des aimants. La bobine du primaire n'induit aucune tension dans les 2 bobines. Bonne bricole. |
Ecrit le: Lundi 11 Février 2008 à 16h11
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 773 Membre n°: 284 Inscrit le: 12/06/2007 |
je n'ai aucune intention d'habiter pres d'une centrale nucleaire si j'ai évoqué le sujet ici c'est pour anticiper ! car mieux vaut prévenir que guérir |
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Ecrit le: Lundi 11 Février 2008 à 17h38
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
Bonjour à tous. Amateur, j'ai vu tes plans ainsi que celui de Derfla. Ce qu'on cherche en premier c'est une tension sur les bobines 2 et 3. Une tension ne peut provenir que de la variation du flux qui la traverse. Si je comprends bien tu n'obtiens pas de tension sur les bobines connectées en série. Essaye de mesurer sur une seule et après sur l'autre. Essaye de varier l'angle des bobines 2 et 3. Pour que l'aimant permanent intervienne dans la création de tension induite, il faut que le flux variable de la bobine 1 modifie par quelque moyen l'induction (le nombre de Teslas) de cet aimant. Il faut aussi que les bobines 2 et 3 entourent la zone ou ces modifications ont lieu. Par contre je sens qu'il doit y avoir un problème géométrique. Je pense que les sommes de variations d'induction ne génèrent une tension résultante algébrique que sur un seul axe. La perpendiculaire doit etre neutre. A voir. Je me permets d'ajouter une citation empruntée sur le site http://www.sortirdunucleaire.org/ : "Le prix de l'uranium, qui a déjà été multiplié par 10 ces dernières années, va continuer à s'envoler mais, là aussi, ce n'est pas du fait d'un quelconque "grand retour" du nucléaire, vu que le nombre de réacteurs en service n'augmente pas. L'explication est connue : depuis des années, un tiers du combustible nucléaire mondial provient du déclassement des armes atomiques russes et américaines. Or, ces stocks approchent de leur fin et, de fait, l'uranium va finir par manquer pour les réacteurs." C'est important et je trouve qu'un débat public devrait etre ouvert. Nos tests à nous utilisent des matériaux qui ne vont pas disparaitre. Si on fait une percée, leur bazar est cuit... |
Ecrit le: Mardi 19 Février 2008 à 23h53
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
Bonsoir à tous. Le pétrole vient de redépasser les 100 dollars le baril, ce soir... A plus. |
Ecrit le: Mardi 26 Février 2008 à 16h38
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
26 FEVRIER 2008. Bonjour à tous. Encore une complication. Sur la bobine secondaire d’un transfo classique alimenté il apparaît une tension à vide. C’est de cette tension qu’est issu le courant secondaire. Dans mon test MEG il n’y a une tension secondaire que lors du premier quart de la séquence de connexion. Ensuite la courbe de tension tombe brusquement à zéro puis il y a un décrochage brusque de la courbe vers le sens négatif et une remontée progressive jusqu’à la déconnexion. Donc seule la première partie de la courbe serait en mesure de générer un courant. Et bien non : la deuxième partie de la courbe génère un courant « ex nihilo » de tension. Le courant de première partie de courbe est un courant « classique ». La courbe de tension en charge sur la bobine secondaire devrait amener à la création d’un courant de charge dégressif par simple respect de la loi d’Ohm. Ce courant de charge dégressif devrait se retrouver « normalement » sous forme de baisse progressive de la consommation primaire : c’est exactement le contraire qui se passe. On a donc une courbe de tension dégressive sur la bobine secondaire qui crée un courant progressif sur la bobine primaire. La courbe de tension en charge sur la bobine secondaire est le « fantôme » de la courbe de réactance sur la bobine primaire au même instant. Or la consommation primaire suit la courbe de réactance de sa bobine : si la réactance baisse la consommation augmente. La courbe de tension à vide sur la bobine secondaire n’est pas le seul fruit de la bobine primaire mais en fait celui de la réaction de l’aimant permanent à la croissance du champ primaire. Si j’admets que la chute de la réactance à vide sur la bobine primaire a lieu au moment ou le champ incident « accroche » le champ permanent, alors il y a un réglage possible avec la tension d’alimentation. Si la tension d’alimentation est plus élevée, le point d’accrochage sera plus vite atteint et donc la proportion de séquence de connexion « classique » moins importante. J’ai récupéré des éléments de batterie de 2 volts chacun et je vais faire des tests progressifs. Je suis à la recherche d’une temporisation électronique pour le circuit de charge. Il me faudrait une temporisation de 0,5 à 4 millisecondes variable. Si quelqu’un connaît une adresse ça m’arrangerait : j’ai pas encore réussi à en trouver. A plus.. |
Ecrit le: Mardi 26 Février 2008 à 19h32
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous
Bonjour Labo on peut faire des temporisateurs simples avec l'ampli opérationnel NE555 http://alain.canduro.free.fr/montages.htm http://www.datasheetcatalog.net/datasheets...5/5/NE555.shtml http://fr.wikipedia.org/wiki/NE555 A plus Amateur -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mardi 26 Février 2008 à 19h34
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Le NE555 servira, je pense, de pilote à un tansistor de puissance MOSFET ou IGBT ou relais statique
-------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mercredi 27 Février 2008 à 09h03
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343
Bonjour à tous. Un grand merci à Amateur pour la temporisation. Pour le montage je dois utiliser le signal de commande du relais statique de la bobine primaire. Ce signal me donnera le "temps zéro" du début de la connexion. Ensuite, grace à la tempo je vais commander un autre relais statique placé sur le circuit de la bobine secondaire. Je vais tester un retard à la connexion de 0,5 à 4 millisecondes pour voir ce qui se passe. J'ai vu le film de Quartz et j'attends avec impatience de voir ses plans. A part ca j'ai attrapé une saleté de grippe. Il faudrait trouver un truc pour polariser les virus dans une maison et les claquer sur une tht... A plus... |
Ecrit le: Mercredi 27 Février 2008 à 09h54
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1346 Membre n°: 274 Inscrit le: 11/06/2007 |
Bonjour à tous,
Voilà ce qui ' il te faut LABO343 IONISATEUR Purificateur d'air. Avec 3 g de vitamine C naturelle réparti dans la journée avec 500 mg - 1000 mg de Gluconate de magnésium et de la vitamine B6 (100 à 200 mg ) et du Zinc ( 30 - 50 mg de Zn élémentaire ) sous forme de gluconate ou autre forme. Voilà la recette pour faire avancer l'énergie libre... en stimulant l'interféron gamma pour booster le système immunitaire. Bon rétablissement. |
Ecrit le: Mercredi 27 Février 2008 à 13h41
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Bonjour à tous,
Je continu les mesures sur l'alternateur, je passe du temps car je ne veux pas vous induire en erreur et nous diriger sur une mauvaise piste à cause d'une erreur de mesure, ou d'interprétation. Le seul fait avéré pour le moment est dans l'aspect locale de l'induction. Cela dit ce n'est pas nouveau. Je continu les mesures afin d'être sur de se que je présente puis je vous fais un rapport. A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
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