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Ecrit le: Mercredi 26 Mars 2008 à 08h17
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
N'y aurait il pas aussi une analogie magnétique avec l'expérience avec un semiconducteur dégradé de Bearden que j'avais posté plus haut et dont revoici le lien?:
http://jnaudin.free.fr/html/tbfrenrg.htm A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mercredi 26 Mars 2008 à 08h52
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Bonjour à tous,
Je me joins à Amateur pour te féliciter Labo343, ta persévérance et ta précision de travail on fini par payer. Il ne reste plus qu'à faire une description précise du concept avec un schéma de timing, Je pense qu'il serait judicieux que quelques un tentes de reproduire ton principe en plus petit pour voir si les réponses sont similaires en terme de proportions. Ensuite si tout va bien il faut réaliser une version portable. Encore bravo à toi Labo343 A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
Page YouTube, Page Dailymotion, Album Picasa, La Force contre-électromotrice, simulation magnétique, Viktor Schauberger |
Ecrit le: Mercredi 26 Mars 2008 à 13h48
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
26 MARS 2008 Bonjour à tous. Je pense en effet que la solution définitive est proche. Ce qui est avéré c'est la présence d'une source d'énergie branchée sur "nulle part..". Le travail qui reste à faire est bien de séparer les éléments producteurs et consommateurs de la séquence de connexion. Je n'arrive pas à mettre sur google vidéo mes vidéos car les fichiers sont énormes en MPEG2. Il faudrait les convertir en flash et ma bécane n'y résisterait pas. Si un d'entre vous pouvait le faire je lui envoie le DVD avec tous les tests. Ma piste pour continuer est de jouer sur la fréquence de connexion mais aussi peut etre sur une alimentation décroissante type décharge de condensateur qui favoriserait l'alimentation en début de séquence. A voir. D'abord je finis d'extraire toutes les conséquences des tests déjà faits. j'ai regardé le lien sur le test de Bearden suggéré par Amateur. Je l'avais déjà vu auparavant mais sans y faire attention : il y a un air de ressemblance dans une partie du concept. On continue.. |
Ecrit le: Mercredi 26 Mars 2008 à 13h51
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
26 MARS 2008 Cause de la durée de la tension crête. La durée de la tension crête est fonction de la grandeur maximale du champ créé. La tension crête est l’expression de la variation d’induction de ce champ en création. Puisque le processus MEG n’est pas lié à une opposition à un flux, la tension créée aura pour limite haute la saturation magnétique du milieu ferreux traversé. Cela augmente la densité de puissance possible de l ‘appareil. Le quantum d’énergie qui traverse la bobine est défini par le temps de pleine réalisation du flux et par la grandeur de ce flux. Si la mise en place de ce quantum est plus brève il sera possible d’en « caser » d’avantage par unité de temps, donc d’augmenter la densité de puissance de l’appareil. Pour arriver à ce résultat il faut diminuer le nombre de spires de la bobine qui en est le siège. L’intensité de la charge agit « en retour » sur la cause de l’existence de la tension elle même. La durée de la tension crête est fixée par la grandeur atteinte par le flux incident. La hauteur de cette tension crête est causée par l’effet MEG qui diminue la constante de temps et donc augmente la tension de réactance. Donc la diminution de la hauteur de la tension de réactance est l’expression du rétablissement de la constante de temps originelle par diminution du champ magnétisant. Le champ magnétisant produit par la bobine de puissance s’oppose au champ magnétisant initial de la bobine de commande. La conséquence est la hausse de la constante de temps et donc la baisse de la tension de réactance. La charge agit par diminution de la densité de champ magnétisant. La diminution du champ magnétisant entraîne la baisse de la tension de réactance, ce qui entraîne la baisse du courant de charge, ce qui entraîne le ralentissement de l’augmentation de la constante de temps. Donc la baisse de la tension secondaire (et de réactance) suit la forme d’une courbe et non d’une droite. A plus.... |
Ecrit le: Mercredi 26 Mars 2008 à 14h10
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Re bonjour,
Deux choses Labo343, si tu veux je possède les outils pour comprimer des vidéos. Je suis parvenus sans optimiser les réglages à passer une vidéo de 340 Meg à 51 Meg. avec les options avancées on peux faire mieux. Second point avec un switch à IGBT ou MOS Fet la constante de mise en tension sera beaucoup plus faible. Ceci permettrai d'obtenir un pic peut être plus important. Je dit bien peut être, car ton relais statique étant relativement lent, c'est peut être la clef du fonctionnement. Il ne faut pas négliger que pour le moment on ne connais pas la source de cette énergie. Imaginons que cela soit lier à un temps de réponse de l'aimant !! Ou du champ issue de l'aimant ! Je dis probablement n'importe quoi, mais comme nous sommes aveugle il ne faut négliger aucune hypothèses. Encore bravo Labo343 A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
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Ecrit le: Jeudi 27 Mars 2008 à 23h10
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
Bonsoir à tous. Je commence à savoir transférer les vidéos. J'ai encodé le test de mesure de l'intensité et de la tension sur la charge. Le fichier de départ était MPEG2 et celui d'arrivée est FLV en format 300 par 400. Evidemment c'est pas la meme qualité. Donc ce premier pas est situé ici : http://video.google.fr/videoplay?docid=-256974634971588817 Dans le texte je dis à un moment que la tension de charge est de 60 volts: petit rectificatif car la tension de batterie était de 12,4 volts à cause d'une recharge récente. Il faut donc bien comprendre 62 volts comme dans le texte écrit. Je vais mettre toutes les vidéos progressivement depuis la première en 2005. Toutes ces vidéos contiennent une partie de la solution. A plus... |
Ecrit le: Vendredi 28 Mars 2008 à 08h54
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
28 MARS 2008. Bonjour à tous. Ci joint l'adresse d'une vidéo décrivant un test de mesure d'intensité calibrée dans le circuit de la bobine de commande. Il s'agit donc de la courbe de consommation du MEG. On constatera que le début minimal de la courbe d'intensité de consommation correspond avec la vidéo précedente au maximum de l'intensité de production. Encore mes excuses pour la qualité limite des vidéos : je n'ai pas encore les paramètres bien en main. Si quelqu'un veut voir les videos en DVD, envoyez moi un courrier à : labo343@free.fr Donc voici l'adresse de la vidéo sur la courbe d'intensité de consommation : http://video.google.fr/videoplay?docid=-3981890773019169389 a plus pour la suite... |
Ecrit le: Vendredi 28 Mars 2008 à 10h20
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
28 MARS 2008. Re bonjour. Ci joint l’adresse d’une ancienne vidéo de 2005. Son intérêt est de montrer la force de la crête de tension sous très basse fréquence. Le montage était calqué sur celui de Bearden avec deux bobines de commande et de puissance. La commutation électromécanique respecte le « temps de silence » entre les deux séquences de connexion attribuées à chaque bobine. On voit clairement la décroissance du « flash » sur l’ampoule qui se retrouve visible dans les tests récents grâce à l’oscilloscope. On voit aussi la force de l’impulsion sur le métrix et évidemment il devait y avoir une tension crête bien plus élevée que 13 volts. On voit aussi la limite d’utilisation des bobines à 200 spires qui ne permettent pas de faire « tourner » le test à plus de 1,5 Hz sans perdre toute puissance de sortie. On voit bien aussi l’extrême limite des relais électromécaniques. Donc la vidéo est ici : http://video.google.fr/videoplay?docid=-625847157078433597 A plus. |
Ecrit le: Vendredi 28 Mars 2008 à 12h03
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
28 MARS 2008 D Suite des vidéos téléchargées. Voici donc le test de tension de réactance à vide et en charge sur la bobine de commande. Ce test commence par une mesure d’intensité en fonction de la fréquence de connexion. On voit donc ensuite la courbe de tension de réactance à vide en 12 volts d’alimentation. La crête de tension est bien visible. Pour voir cela il faut aller ici : http://video.google.fr/videoplay?docid=-4938028357686883704 |
Ecrit le: Vendredi 28 Mars 2008 à 12h04
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
28 MARS 2008 E Suite et fin provisoire du transfert de vidéos. Ci joint l’adresse du test en 2 volts ou il apparaît que la crête de tension de réactance à vide est de la même hauteur qu’avec l’alimentation en 12 volts. Seule change la durée de cette crête. A plus , je retourne aux tests : piste de l’alimentation par décharge de condensateur… La vidéo est ici : http://video.google.fr/videoplay?docid=2322990407409111132 |
Ecrit le: Vendredi 28 Mars 2008 à 22h02
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Bonsoir tout le monde..
Bonsoir Labo.. Merci pour toutes ces infos et vidéos qui m'interessent toujours autant.. C'est la passion qui nous tient, je pense.. Si ton oscillo est un bicourbe, peux tu visualiser simultanément la consommation et la production d'énergie (aux bornes de résistances) ? Ceci pour s'assurer de la synchronicité des phénomènes !! Merci A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Samedi 29 Mars 2008 à 10h23
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
29 MARS 2008. Bonjour à tous, bonjour Amateur. Mon oscilloscope n'est pas bicourbe mais je vais m'en procurer un car ta remarque est pertinente. De plus je veux arriver à voir la crete de tension à vide sur la bobine de commande en meme temps que la courbe de consommation. Je veux voir ou démarre la courbe de consommation par rapport au début de la connexion. Autre chose : j'ai testé un montage d'alimentation décroissante par décharge d'un condensateur. Echec. J'ai utilisé un condensateur de 1000 micro farads sous 12 volts. La courbe de tension de réactance ne dépasse pas la tension d'alimentation sur la bobine de commande. Il n'y a donc pas d'effet MEG produit par ce moyen. Mais ce test est donc une info supplémentaire sur les paramètres obligatoires pour obtenir la crete de tension. Je n'abandonne pas cette piste pour autant car je garde un doute sur la séquence d'alimentation utilisée. J'ai toujours en mémoire un test de 2005 avec mon premier montage ou j'utilisais une décharge de condensateurs : le flash obtenu sur l'ampoule de charge était très fort. Mais à l'époque je n'utilisais pas l'oscilloscope et je suis surement passé à coté de quelque chose. Les paramètres étaient deux bobines de commande et deux bobines de puissance, 200 spires sur les bobines de commande et 317 spires sur les bobines de puissance. La fréquence de commutation (manuelle) était de 1 Hz. Les condensateurs étaient chaqun alloués à une bobine de commande et leur capacité était de 47000 microfarads. Important : il y avait un temps de "silence" entre les connexions. Le top du top serait d'avoir un "séquenceur" qui permettrait de controler tous les segments des phases de connexion et de silence. Ci joint le texte du test d'alimentation par condensateur. Alimentation décroissante par décharge de condensateur. On part de l’observation que la décharge d’un condensateur produit une tension décroissante lorsqu’il est connecté sur une charge. Vu le problème posé par la séparation des parties de séquence productive et consommatrice dans le test MEG, on peut imaginer que l’usage de la décharge d’un condensateur est une solution. En effet il y aurait alimentation par une tension élevée au début de la séquence de connexion, au moment ou la production gratuite est élevée. Par conséquence il y aurait aussi une faible tension d’alimentation au moment ou la réactance est la plus faible, à la fin de la séquence de connexion en charge. Le circuit d’alimentation sera donc le suivant : la borne ( - ) du condensateur sera reliée à la borne ( – ) de la batterie d’alimentation et à la borne 1 de la bobine de commande. L’autre borne du condensateur (+) sera reliée d’une part à la borne d’entrée du premier relais statique qui alimente la bobine de commande et d’autre part à la borne de sortie du relais statique qui alimente le condensateur. La borne de sortie du premier relais statique sera reliée à la borne 2 de la bobine de commande. La borne d’entrée du second relais statique sera reliée à la borne ( +) de la batterie d’alimentation. Les relais statiques seront connectés l’un après la déconnexion de l’autre. La gestion du basculement des relais sera assurée par un relais inverseur piloté par un générateur de tension rectangulaire. Le générateur de tension rectangulaire aura une fréquence réglable pour pouvoir trouver la meilleure fréquence de connexion. Dans un premier temps le condensateur se charge et dans le seconde temps il se décharge dans la bobine de commande et ainsi de suite… Bon voilà pour le moment. A plus... |
Ecrit le: Lundi 31 Mars 2008 à 16h59
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
29 MARS 2008. Suite. Test de hauteur de tension de réactance avec résistance ohmique intercalée. Suite à l’échec de l’alimentation par décharge de condensateur il apparaît que la forme du courant d’alimentation est déterminante pour créer l’effet MEG. Donc je voulais savoir si la variation de la résistance du circuit d’alimentation avait une influence sur la hauteur de la tension crête à vide. Le résultat est non. La seule différence entre un circuit plus résistant et un circuit moins résistant est la durée de la crête de tension, pas sa hauteur. Pour une tension d’alimentation donnée, moins le circuit est résistant et plus la durée de la crête augmente. En pratique cela veut dire que la durée de la crête de tension est exactement fonction de la tension aux bornes du relais statique en connexion. La résistance du circuit d’alimentation n’agit qu’en tant que simple facteur de chute de tension aux bornes du relais statique. Donc je confirme que l’effet MEG n’apparaît que si la tension d’alimentation est continue. La puissance disponible du MEG est directement fonction de la tension d’alimentation : la hausse de cette tension augmente la durée de la tension disponible sur la bobine de puissance A l’intérieur d’une séquence de connexion. Rapporté sur une charge telle qu’une ampoule cela crée l’illusion que la tension de sortie augmente par augmentation de la brillance de l’ampoule. L’intensité consommée à vide est due à l’effondrement de la constante de temps de la bobine de commande. La dernière partie de la séquence de connexion se retrouverait elle en « simple résistance ohmique » ? En augmentant encore la tension d’alimentation peut on arriver à « combler » toute la séquence de connexion avec la tension crête ? Dans l’expérience en 14 volts on voit que la durée de la tension crête augmente. La puissance disponible aussi mais on n’évite pas la croissance de la consommation. En effet durant la partie non réactante l’intensité ne peut que croître avec la tension aux bornes. A plus... |
Ecrit le: Lundi 31 Mars 2008 à 17h01
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
31 MARS 2008. Ou passe donc l’énergie consommée ? Pendant la crête d’intensité de consommation (16 ampères sous 11,4 volts) la puissance dissipée par la résistance ohmique de la bobine de commande (0,017 ohms) est de 4,35 watts. Au même instant la puissance consommée aux bornes de l’alimentation ( la tension batterie moins la mini perte de charge de la résistance de contrôle de l’intensité) est de 192 watts. Il « manque » donc 187,6 watts « perdus dans le cosmos ». Il y a donc « émission » d’énergie au sens ou la consommation mesurée « doit se retrouver quelque part ». Pas de trace d’ondes « radio » ni de champ magnétique extérieur au MEG. Je pense que ce fait déjà relaté est extrêmement important. J’ai constaté en le touchant que le relais statique « tiédit » au bout de 5 minutes de fonctionnement à vide ou en charge. J’ai donc voulu vérifier si une tension apparaissait à ses bornes en tant que perte ohmique : rien. Je continue en préparant un test de mesure simultanée des courbes de tension et d’intensité. A plus… |
Ecrit le: Mardi 01 Avril 2008 à 10h27
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
1° AVRIL 2008. Bonjour à tous. Position de la crête de tension de réactance par rapport à la courbe d’intensité de consommation. Premier test avec 4 spires de résistance de mesure d’intensité. Je cale la courbe de tension de réactance à vide de façon à ce que l’axe central du temps soit pile au début de la crête de tension. Ensuite, sans arrêter le fonctionnement du test je débranche les fils de la résistance qui vont à l’oscilloscope et j’y rebranche ceux de la bobine de commande. La base d’écoulement du temps sur l’oscilloscope est donc maintenue. Après réglage du gain de tension je compare avec la courbe d’intensité. Le résultat est que la courbe d’intensité démarre avant l’établissement de la crête de tension de réactance. La courbe d’intensité culmine à 16 ampères et dans ce test à 4 spires de résistance la tension aux bornes du relais statique est de 11,4 volts. La courbe d’intensité de ce test est une quasi droite et le seuil d’établissement de la tension crête de réactance se situe au quart de l’intensité crête soit 4 ampères. Ainsi on peut dire que le « flash » se déclenche à 112 ampères tours. Donc la densité de champ magnétisant nécessaire pour le déclenchement du « flash » serait de 11200 ampères tours par mètre pour une bobine de 1cm de long. Au niveau des puissances consommées et produites et à l’instant de la crête de tension on aura 48 watts pour la consommation et 911 watts pour la production car le seuil de déclenchement de la crête de tension de réactance à vide et en charge est situé au même endroit sur l’axe du temps. Pour comparaison je refais le test avec la résistance de mesure prise dans son entier. La tension aux bornes du relais statique sera donc de 8 volts et l’intensité crête de consommation sera de 10 ampères. La courbe d’intensité n’a pas la forme d’une droite mais bien d’une courbe dont le début est très pentu et la fin s’amortit (comme vu auparavant). Le calage sur l’axe du temps révèle que le « flash » (la crête de tension) démarre à la moitié hauteur de la courbe d’intensité soit à 5 ampères (environ ). Cela ressemble beaucoup à la condition de déclenchement du « flash » précédente. Je vais donc faire un test comparé en 2 volts pour savoir ou se situe le déclenchement du « flash » sur l’axe du temps de la courbe d’intensité. A plus… |
Ecrit le: Mardi 01 Avril 2008 à 15h42
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
1° AVRIL 2008 B Test en 2 volts : comparaison des courbes de tension et d’intensité. Je cale le début de la crête de tension de réactance à vide sur le centre de l’axe du temps de l’oscilloscope. Puis je débranche de l’oscilloscope les fils venant de la bobine de commande Et je branche à la place les fils venant de la résistance de mesure de l’intensité. Cette résistance est placée en série avec l’alimentation et je ne connecte que la moitié de ses spires. Le résultat montre aussi un décalage dans le temps entre le début de la croissance de l’intensité et l’apparition de la crête de tension de réactance (à vide). La crête de tension de réactance apparaît à 40% de la valeur de l’intensité maximale. L’intensité maximale est de 2,5 ampères, en fin de séquence de connexion à vide. Donc le « flash » est déclenché avec 1 ampère soit 28 ampères tours, soit une densité de champ magnétisant de 2800 ampères tours par mètre. La tension aux bornes du relais statique est de 1,4 volts à cause de la perte de charge dans la résistance de mesure. Sur l’axe du temps les tests avec 11,4 volts, 8 volts et 1,4 volts font démarrer le « flash » au bout du quart (environ) de la séquence de connexion. La courbe d’intensité en 1,4 volts n’est pas une droite mais une courbe plus « arrondie » que celle en 8 volts. Il y a donc contradiction avec les deux tests en 11,4 et 8 volts en ce qui concerne le seuil de déclenchement du flash. Il y a aussi un raidissement des courbes d’intensité au fur et à mesure que la tension d’alimentation augmente. Reste une question : pourquoi la crête de tension de réactance à vide ne marque pas la courbe d’intensité ? Ni d’ailleurs en charge… Il devrait y avoir un « trou » d’intensité au passage de la crête de tension de réactance. Ce « trou » qui produit 911 watts crête en charge n’a aucune « signature » sur l’oscilloscope en ce qui concerne la courbe d’intensité. La mesure de l’intensité passant dans un circuit peut se faire à partir de n’importe quel élément de ce circuit puisque l’intensité circulant est la conséquence de la somme de tous les éléments qui le composent à un instant donné. La méthode de mesure de l’intensité n’est donc pas en cause « normalement ». L’oscilloscope n’a quasiment aucune inertie de temps de mesure et s’il « voit » la crête de tension il devrait aussi « voir » sa « cause ». S’il ne la voit pas c’est qu’elle n’y est pas. On se retrouve donc avec une énergie produite sans « cause » et avec un courant consommé sans « conséquence » (hormis la très faible perte ohmique). A plus... |
Ecrit le: Mardi 01 Avril 2008 à 17h54
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
1° AVRIL 2008 C Courbe d’intensité avec deux charges. Je connecte une deuxième charge de 12 volts 50 watts en parallèle avec la première et je place un interrupteur pour la déconnecter. Je place la résistance de mesure de l’intensité avec 4 spires. Le test commence avec une seule charge et je revois la courbe raide de l’intensité. Lorsque je connecte la deuxième charge l’ensemble de la courbe d’intensité s’élève instantanément d’une valeur de un carré par rapport aux quatre carrés représentant une seule charge (en valeur crête). Cette façon de croître est le signe du fonctionnement d’un transformateur classique. Cela signifie que l’on sort du « mode MEG » au delà d’une certaine charge. 4 carrés représentaient 16 ampères en intensité crête. 1 carré équivaut donc à 4 ampères (mais là en régime continu), ce qui équivaut à 50 watts sous 12 volts (au détail près) : c’est la valeur de la charge additionnelle. a plus... |
Ecrit le: Mardi 01 Avril 2008 à 20h15
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Administrateur Groupe: Administrateurs Messages: 5756 Membre n°: 1 Inscrit le: 04/08/2002 |
Si ils partent sous la forme d'ondes électromagnétiques. Mais à ces fréquences là tu n'as pas de moyen de les capter sur ta radio portable. Essaie de te faire un bobinage de grande taille avec quelques tours de fils à disposer à quelques dizaines de cm de ton MEG et branche le sur deux résistances en circuit série. l'une des deux tu la prends de très petite valeur. Tu mesures le courant qui traverse la résistance de petite valeur en mesurant ma tension à ses bornes (i=U/R) et tu mesures la tension aux bornes de l'ensemble des deux résistances U' (le tout avec un oscillo les mesures, tu la fréquence de fonctionnement de ton MEG) Tu auras une idée de la puissance dissipée dans ton bobinage ainsi formé et tu verras qu'au regard de la surface de ton bobinage c'est beaucoup et que c'est bien dissipé en ondes radio.
Je ne comprends pas bien ce que tu mesures. Tu as une tension et une intensité mesurées; mais elle ne sont pas en phase. Comment calcules-tu ta puissance? Il ne faut pas faire le produit de la puissance max par l'intensité max pour calculer la puissance, qui plus est même si ils étaient en phase. Il faudrait une image oscillo de ton intensité et de ta tension, avec le même axe temporel pour les deux pour mesurer la puissance, sinon on ne peut rien calculer. C'est d'ailleurs un point de difficulté que j'ai eu avec mes mesures sur le MEg. Mais je ne sais pas ce que tu as fait toi exactement. Peux-tu préciser? -------------------- "L’homme sage n’est pas comme un vase ou un instrument qui n’a qu’un usage ; il est apte à tout."
"Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu." Confucius |
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Ecrit le: Mardi 01 Avril 2008 à 23h15
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
2 AVRIL 2008. Bonsoir à tous, bonsoir Chercheur. Au sujet de la bobine extérieure je vais faire le test. J’avais déjà fait ce test il y a très longtemps avec une grande spire primaire de 10 m de diamètre posée à plat sur le sol. On l’alimentait avec du courant basse fréquence style musique. L’impédance de cette bobine était de l’ordre de 8 ohms. On pouvait se balader à l’intérieur ou à l’extérieur proche de cette bobine à air avec une autre bobine à air de 50 spires et 30 cm de diamètre branchée sur un écouteur. Si la puissance d’alimentation de la bobine primaire dépassait 5 watts on avait un son audible dans le casque sans amplification. Mais c’étaient deux bobines à air : donc la bobine primaire déployait son champ magnétique dans son extérieur avec une atténuation égale au carré de la distance. J’avais fait le même test avec une bobine primaire à circuit magnétique fermé et je n’y ai jamais rien capté. Mais dans le cas du test MEG je ne sais pas à quoi j’ai affaire et toute piste doit être suivie minutieusement. Si je ne capte rien je saurai à quoi je n’ai pas affaire. Si il y a la moindre tension aux bornes d’une bobine placée aux alentours immédiats puis plus éloignés ce sera une nouvelle information qui contribuera à définir ou va l’énergie dépensée à vide (hors pertes ohmiques). En ce qui concerne la courbe d’intensité de la bobine primaire je me trouve devant une rupture de la relation de cause à effet. La manifestation la plus visible est l’identité exacte des courbes d’intensité primaire à vide et en charge. Aucune trace de l’effet (la puissance produite visible) sur la cause (l’intensité de consommation). La deuxième manifestation troublante est visible au niveau de la courbe de tension de réactance mesurée sur la bobine primaire (de commande). L’oscilloscope monte clairement la présence en presque début de séquence de connexion une crête de tension de 68 volts. Cette tension est plus de 5 fois supérieure à la tension d’alimentation (et de sens opposé par le principe de la loi de Lenz). Au moment de l’existence de cette tension le courant de consommation devrait être nul (ou encore mieux inverse si le relais statique le laissait passer). Or je constate que la courbe d’intensité observée à l’oscilloscope se présente sous la forme d’une droite inclinée vers le haut (vers le sens de plus de consommation) sans aucune interruption. Je me pose donc la question : ou se situe l’influence de la tension de réactance bien visible en début de séquence de connexion. De plus mes deux bobines ayant le même nombre de spires, la tension mesurée sur la bobine secondaire est le « calque » de la tension de réactance de la bobine primaire. J’ai confirmé cela en chargeant un condensateur sur la bobine secondaire à 65 volts. Au niveau de la puissance crête produite sur la charge qui est simplement ohmique (donc sans problème de mesure lié à un déphasage éventuel) la tension seule permet de la définir en connaissant la valeur ohmique de cette résistance. La tension crête sur la résistance de charge Est la même que celle mesurée par charge d’un condensateur et la même que celle mesurée par l’oscilloscope. Je vais donc continuer les tests avec une bobine à air destinée à capter un éventuel champ magnétique variant à l’extérieur du circuit magnétique du MEG. La signature de la courbe de tension de la bobine primaire est suffisamment particulière pour ne pas la confondre avec les traces de 50 Hz qui traînent un peu partout. Merci pour la piste, Chercheur et à plus… |
Ecrit le: Mercredi 02 Avril 2008 à 08h03
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1247 Membre n°: 303 Inscrit le: 15/06/2007 |
Bonjour .Je ne voudrais pas interférer sur vos expériences ,mais ayant travaillé sur le Meg voila quelques années ,excusez moi si je fais une répétition de détails que vous connaissez surement ,mais une des bobine de commutation + le transfo ont une fréquence de resonnance propre .Donc vous le savez bien mieux que moi ,si vous donnez un nombre de spires différent ,vous changez la fréquence de résonance de l'ensemble ,la ou les bobines secondaires n'influes pas beaucoup sur cette frequence puisque la sortie de ces bobines est passée ensuite a travers une diode ou un pont de diodes .Ce que je faisait en ce qui concerne le circuit ( transfo +self de commutation ),je branchais un générateur BF sur l'entrée d'une bobine de commutation et avec un volt-métre branché sur une bobine de sortie ,en faisant varier ma frequence BF ,au max de tension je me trouvais à l'accord maximum;car il faut respecter au max cette fréquence de résonance c'est la seule chose dont je sois convaincu pour le MEG .Pour les commutations j'ai toujours travaillé avec un montage MOS ,et j'ai obtenu par contre quelques résultats en modifiant le signal du générateur d'attaque des MOS ,soit plutôt des pulses en dents de scie ou presque .Mais jamais hélas de sur-unité .Une seule fois j'ai fait flsacher une lampe 220 volts ????mais hélas comme beaucoup mon montage a fonctionné en convertisseur de frequence .Je suis en ce moment en train de m'arracher les cheveux avec mon Muller ,je reprendrais peut etre mon Meg un peu plus tard.Salutations
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Ecrit le: Mercredi 02 Avril 2008 à 09h27
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
2 AVRIL 2008 B Bonjour à tous, bonjour Apoc. La piste que je suis utilise du courant continu. La crête de tension « anormale » qui fait la particularité de mon test ne se produit qu’avec du courant d’alimentation continu. Je n’ai Aucune crête de tension avec une alimentation à tension variante. Il y a trop de possibilités de pistes pour pouvoir tout suivre : je me concentre donc sur celle du courant continu « segmenté » alimentant une bobine plate de 28 spires en grosse section (pour liquider la résistance ohmique). Je pense que la bobine plate est déterminante car un test ancien avec une bobine de commande « longue » avait montré une absence de « flash »(tension crête ). Je vais suivre l’idée de Chercheur avec un test de récupération d’une éventuelle énergie rayonnée car j’ai du mal à imaginer encore que l’énergie puisse aller « nulle part » et pourtant la crête de tension semble bien en provenir… Je remarque au passage que si il y a rayonnement d’énergie, c’est à sens unique. Dans un émetteur radio l’énergie rayonnée peut être entièrement récupérée ou non sans que cela change quoi que ce soit à la consommation de cet émetteur (la partie rayonnée et pas la partie induite : la partie induite ne consomme rien tant qu’un récepteur accordé ne la sollicite pas). La consommation de mon test à vide est d’environ 60 watts (valeur moyenne). Cela veut dire qu’alors le test serait producteur de 58 watts (valeur moyenne) par rayonnement, de 2 watts (valeur moyenne) environ par effet joule et de 50 watts (valeur moyenne) par la récupération de la crête de tension. En tout cela ferait 110 watts pour une consommation de 60. On est toujours dans une planète inconnue… Autre chose : dans un test en courant continu « segmenté », la totalité de l’histoire se déroule à l’intérieur d’une seule séquence de connexion. Les autres séquences successives ne sont qu’une répétition de la première. On ne peut donc pas parler de phénomène de résonance qui impliquerait une liaison temporelle entre les séquence de connexion successives. A plus… |
Ecrit le: Mercredi 02 Avril 2008 à 22h20
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
2 AVRIL 2008 C Bonsoir à tous. Deux couloirs séparés. La consommation et la production sont indépendantes dans le test MEG tant que la résistance de charge possède une valeur telle que la consommation à vide est égale à la consommation en charge. Il y a donc une valeur de la résistance de charge entraînant une intensité moyenne critique qui doit être respectée pour rester dans le système MEG. La courbe de tension secondaire est décroissante en allant dans le sens de la fin de la séquence de connexion. La courbe de consommation est croissante en allant vers la fin de la séquence de connexion. Donc si la durée de la séquence de connexion diminue il y aura moins de temps affecté à la consommation la plus forte et plus de temps affecté à la production la plus forte. Donc plus de « rendement ». Quand on passe de 95 Hz à 150 Hz la consommation à vide diminue effectivement car on rogne sur la partie de la séquence de connexion la plus onéreuse. Mais le raccourcissement de la séquence de connexion élimine la partie la moins puissante De la production. De ce fait la valeur moyenne de la tension de production se rapproche de la tension crête de cette production. La conséquence en est que le courant moyen qui passe dans la charge augmente si celle ci a la même résistance qu’avant l’augmentation de la fréquence de connexion. De ce fait la « valeur critique du courant moyen de charge » est dépassée et on sort de l’effet MEG : la consommation en charge dépasse alors la consommation à vide. C’est ce que l’on voit dans une des vidéos. En augmentant la fréquence il faut donc augmenter la résistance ohmique de la charge. En pratique il faut rester sur la même brillance de l’ampoule du test en 95 Hz et rajouter une résistance variable en série sur le circuit de charge. La puissance totale produite sera donc définie par la somme des puissances dissipées dans l’ampoule et dans la résistance supplémentaire. A voir… |
Ecrit le: Vendredi 04 Avril 2008 à 08h14
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
4 AVRIL 2008 Bonjour à tous. Premiers tests d’une bobine pour capter un éventuel champ variant extérieur au MEG. Donc j’ai fabriqué une bobine en forme d’anneau de 40 cm de diamètre et de 15 spires de fil de 6 millimètres carré (j’avais que ça sous la main). Dans un premier temps je la relie à l’oscilloscope et je lance le test MEG à vide. Un signal très faible mais bien identifié comme étant du MEG apparaît. Le maximum de ce signal s’affiche lorsque je pose la bobine sur le circuit magnétique du MEG. Dès que je m’éloigne de 30 cm cela disparaît. Le réglage du gain d’entrée de l’oscilloscope est à moitié, juste à la limite du brouillage par le 50 Hz qui traîne partout. Lors de mes tests MEG le gain d’entrée de l’oscilloscope est au dixième du parcours du potentiomètre environ. Je refais le test avec le métrix digital réglé sur courant alternatif. Le résultat le plus flagrant est toujours obtenu en posant la bobine réceptrice sur le circuit magnétique du MEG. On obtient alors une tension de 210 millivolts aux bornes du métrix, cela sans résistance de charge. Puis je déplace la bobine de 30 cm et la tension tombe à 30 millivolts avec la meilleure orientation. A un mètre de distance la tension tombe à 3 millivolts. Au delà plus rien. Vu la faiblesse des tensions obtenues on ne dépasse pas quelques milliwatts de puissance disponible. La décroissance rapide de la tension est bien le signe qu’il s’agit de fuites magnétiques du circuit ferreux du MEG et non le signe d’une présence d’énergie significative à l’extérieur du test. Je fais aussi un test de capture par champ électrique (on sait jamais) et je place deux plaques métalliques en forme de condensateur à air près du test. Je capte une tension avant que le test ne fonctionne : le 50 Hz évidemment. Je trouve une tension très variable entre 1 et 2 volts. Lorsque le test MEG est branché cela ne change rien, même si je place mes électrodes près du relais statique (source privilégiée de champ électrique). Autre chose : si il y a émission d’ondes électromagnétiques c’est à cause du fait que le champ magnétique de la bobine de commande est variant. L’aimant permanent est exclu comme source. La variation du champ du test est définie par la constante de temps de la bobine de commande. De ce fait la fréquence d’une éventuelle émission d’ondes électromagnétiques sera de l’ordre de celle de la fréquence de connexion c’est à dire de 100 à 200 Hz. La séquence de connexion dure 5 millisecondes en 100 Hz et le temps de connexion du relais statique 0,3 milliseconde. Celui de déconnexion dure 1 milliseconde d’après le constructeur. Si il y a émission d’ondes au moment des mécanismes de connexion ce sera sur des fréquences de l’ordre de 500 à 1500 Hz. On reste dans des très basses fréquence, de l’ordre des fréquences audio. Meme la crête de tension de réactance à vide est du même ordre de fréquence puisqu’il s’agirait d’une « compression de la constante de temps » dans la proportion de 1 à 5 ou 6. Tout cela pour dire que la bobine à air avec laquelle j’ai cherché une trace de puissance extérieure au MEG était à même de la mettre en évidence : la même bobine captait des milliwatts audio dans un test très ancien. Dans le test MEG à vide 60 watts (valeur moyenne) disparaissent… A plus… |
Ecrit le: Samedi 05 Avril 2008 à 22h08
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Administrateur Groupe: Administrateurs Messages: 5756 Membre n°: 1 Inscrit le: 04/08/2002 |
L'énergie que tu dois capter en interception avec ta bobine de diamètre d et de à distance h de ton émetteur devrait être, si mes calculs sont exacts de (si ça intéresse quelqu'un je donnerai le détail de mes calculs, qui servent à évaluer l'angle solide sous-tendu par le bobinage dans l'espace):
fraction de puissance récupérée= (d/2)*racine carrée (d²/4+h²) soit avec d=40cm et h=30cm on a: fraction puissance = 0,0721=7,21% Donc tu devrais récupérer 7,21% de 60W = 4,32W à 30cm du MEG avec ta bobine Tu disais avoir U=30mV. Mais il te faut mettre une charge pour mesurer le courant I qui y circule (en fait deux résistances, dont l'une pour mesurer le courant par la tension à ses bornes) Ensuite ne pas oublier que la puissance que tu récupères n'est pas toute la puissance perdue; car une grande partie est rayonnée certes, mais une autre grande partie est perdue par courants de Foucault (qui créent de l'effet Joule) dans ton noyau. Donc en mesurant la température avec un thermocouple par exemple collé contre ton noyau tu peux estimer l'énergie perdue par effet Joule (moyennant la connaissance des caractéristiques thermiques du noyau). la somme de tes pertes par rayonnement radio et de cette perte par effet joule fera presque 60 W (il restera un peu de perte en agitation dans l'air, le noyau vibre lui aussi) Donc attends-toi à moins que les 4,32W à mesurer. Disons la moitié de rayonné ça sera déjà bien. Mais si tu trouves 4 milli watts alors là oui tu pourras dire que ça ne rayonne pas. Pour revenir à ton problème, je crois que pour vraiment dire si il se passe quelque chose tu ne couperas pas à devoir tracer tes signaux sur un oscillo bi-voie pour avoir tension et intensité sur la même base de temps et calculer alors la puissance réelle (puissance active) car tu peux avoir des puissances réactives avec des déphasages courant/tension. Là tu verras ce que tu as en sortie. Bon courage pour la suite des mesures -------------------- "L’homme sage n’est pas comme un vase ou un instrument qui n’a qu’un usage ; il est apte à tout."
"Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu." Confucius |
Ecrit le: Dimanche 06 Avril 2008 à 00h08
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
6 AVRIL 2008. Bonsoir à tous, bonsoir Chercheur. La tension que je mesure sur la bobine à air de 40 cm de diamètre est connectée directement sur le voltmètre sans résistance de charge. Donc on a la « tension plafond » pour chaque test. En effet la résistance d’entrée du voltmètre est par définition très élevée pour éviter les aberrations classiques de mesure. Si je place une résistance de charge de 1000 ohms par exemple, la tension baissera peut être un peu mais la puissance collectée sera quasi nulle. Par exemple avec la mesure de la bobine à air posée sur le MEG j’obtiens 0,21 volts. Sur une résistance de 1000 ohms cela fera 0,044 milliwatts collectés. Sur une résistance de 1 ohm cela fera 44 milliwatts. Tout cela avec la bobine posée sur le MEG. A 30 cm du MEG il ne reste que 30 millivolts aux bornes du voltmètre soit 9 microwatts sur une résistance de charge de 1000 ohms. N’oublions pas que la tension précède l’existence du courant dans un récepteur. Je ne croie pas non plus à une influence décisive pour les courants de Foucault : le circuit magnétique est feuilleté et 60 watts qui se dissipent en chaleur ça se remarque. Le circuit magnétique ainsi que les bobines restent absolument froides. Si il y avait dissipation par courant de Foucault, ce serait aussi bien à vide qu’en charge puisque l’intensité consommée ne change pas et que ces courants sont une perte due au champ variant dans la masse du fer. Dans ce cas il y aurait surunité directe en charge du fait de la production de la bobine de puissance en plus des courants de Foucault (qui eux restent constants à intensité consommée et tension d’alimentation égales). Je crois que le « truc » est ailleurs. A part ça, Sur mon dernier test de ce jour j’ai constaté que la courbe d’intensité change de forme en fonction de la tension d’alimentation. Avec une tension aux bornes du relais statique de 8 volts cette courbe est « bossue » avec une très forte pente au début de la séquence et une plus faible en fin de séquence. Avec une tension de 11,4 volts la courbe est droite, inclinée « vers le haut à droite » de l’écran. Avec 12,8 volts la courbe est « creuse » avec une « faible » pente au début et une plus forte En fin de séquence de connexion. Je cherche toujours l’oscilloscope bi voie. A plus… . |
Ecrit le: Dimanche 06 Avril 2008 à 08h07
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
6 AVRIL 2008 Bonjour à tous. Les nouvelles pistes les plus riches passent toutes par l'observation des courbes de tension et d'intensité. En effet comme je le disais il y a peu tout se passe "dans un mouchoir de poche" et la précision de l'observation est le paramètre que je recherche. Donc je vais essayer de trouver un oscilloscope qui puisse imprimer directement une courbe ou bien la mémoriser ou encore la "sortir" en signal numérique. Cela éviterait les flous d'observation avec le camescope. Si vous connaissez un modèle de bécane qui correspond à ma recherche donnez moi ses coordonnées: ca me fera gagner du temps. Merci d'avance et à plus... |
Ecrit le: Dimanche 06 Avril 2008 à 09h04
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Bonjour à tous,
Labo343, le plus simple et le moins chère serait un oscillo que l'on branche sur un ordi. ici, tu peux voir des modèles abordables. En principe il y a une suite logicielle qui accompagne l'interface. Il y a un enregistreur qui génère du fichier visualisable sous forme de film d'événement. Ou bien de la simple capture d’écran que tu peux commenter, du travail de pro quoi. A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
Page YouTube, Page Dailymotion, Album Picasa, La Force contre-électromotrice, simulation magnétique, Viktor Schauberger |
Ecrit le: Dimanche 06 Avril 2008 à 09h11
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Administrateur Groupe: Administrateurs Messages: 5756 Membre n°: 1 Inscrit le: 04/08/2002 |
oui je connais ce qui t'intéresse. Un oscillo numérique, à connecter sur ordinateur. C'est bien plus économique qu'on oscillo classique et connecté sur l'ordi, c'est ton écran qui fait l'affichage et tu peux enregistrer comme tu veux en fichier image pour imprimer et les mesures s'enregistrent dans des tableaux Excel par exemple, tu peux faire ce que tu veux avec.
Je te donne un lien en exemple: celui-ci à 220€ est quand même un peu cher (bivoie à 30MHz avec toutes fonctions utiles, branché sur PC): http://www.conrad.fr/webapp/wcs/stores/ser...egory=recherche mais il y a 3 ans, quand j'ai regardé les prix, il y en avait de moins performants, oscillo 2MHz seulement peut être qui coutaient environ 100€. Il faut chercher où sur le net. Il se vendait chez Conrad mais là ils ne font plus que du plus haut de gamme. PS: sinon pour mes calculs de puissance je me suis trompé, j'ai inversé dans mes notes au brouillon les deux lettres d et r à ma deuxième ligne, ça change toute la formule qui devient : fraction= 1/2-1/(2*racine carrée (1+(d²/4h²))) formule plus cohérente puisque lorsqu'on se positionne à l'émetteur, on a h=0 et donc fraction=1/2, normal, on récupère la moitié de la puissance émise dans l'espace, puisqu'on capte sur un demi-espace dans ce cas. Donc on devrait avoir dans ton cas: fraction = 0,0839=8,39% soit 5,03 W ça ne change rien donc au principe, mais bon la formule était fausse! Bon courage pour le bivoie! edit: PS: je vois que Quart m'a devancé sur le même conseil! j'avais laissé mon message en plan quasiment 45mion avant de le poster (occupé loin de l'ordi), j'aurais mieux fait de rafraichir avant. -------------------- "L’homme sage n’est pas comme un vase ou un instrument qui n’a qu’un usage ; il est apte à tout."
"Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu." Confucius |
Ecrit le: Dimanche 06 Avril 2008 à 18h39
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
Merci les amis pour les adresses. Ca va me faciliter la recherche. Jusqu'à présent je filme les tests avec la caméra branchée devant l'oscilloscope mais le problème vient avec la lumière extérieure et avec le réglage automatique du flou de l'image. De temps à autre la caméra devient dingue et on peut rien y faire. Avec un oscilloscope direct sur l'ordinateur il n'y aura plus ce problème. D'autre part quand je regarde les courbes pour les interpréter c'est en "arret sur image". Autant avoir l'image directe sur l'écran et pouvoir l'imprimer. Une courbe ca ne vous "parle" pas obligatoirement du premier coup d'oeil et avec la version papier on peut comparer plus facilement. En tout cas ce que j'observe en ce moment est stable. Il n'y a pas de dérive des paramètres en fonction du temps : c'est en soi déjà une information. Je suis sur que mon premier test avec les bobines de commande comprenant 200 spires aurait montré une courbe momentanément instable à cause de l'échauffement rapide de la bobine à fil fin. a plus... |
Ecrit le: Dimanche 06 Avril 2008 à 19h47
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous, Hello Labo
Tu peux trouver un petit programme sympa et gratuit qui transformera ton ordi en oscilloscope bicourbe ici: http://home.comcast.net/~fel4u/oscope/winscope.htm (cliquer sur l'image du programme pour télécharger le programme) Et le moyen de construire une sonde, ici (en bas de cette page web): http://pagesperso-orange.fr/deltajp/montages/desulfa.html (prendre une fiche jack stéréo pour un bicourbe) Ce programme fonctionne avec la carte son de l'ordi (20 hz à 20000 hz) et devrait suffire pour les expérience sur le MEG A plus Amateur dans les aimants -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
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