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Ecrit le: Vendredi 09 Mai 2008 à 18h49
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1123 Membre n°: 281 Inscrit le: 12/06/2007 |
""Si on prend pour exemple un circuit oscillant avec inductance et condensateur liés, pas de problème. L’énergie circule de l’un à l’autre et la formule s’applique""
""Mais si le circuit d’alimentation d’une inductance est coupé au moment ou le champ vient d’être établi dans son maximum avec un dispositif sans étincelles tout change.""" Bonsoir LABO343. C'est en fait le même cas de figure ! Le condensateur qui n'existe pas de façon matérielle est en fait la capacité parasite du bobinage ! Il est bien sûr de valeur trés faible mais n'en constitue pas moins avec la self un circuit oscillant ! A la coupure ,il se produit aux bornes une surtension tres rapide amortie que seul l'oscillo permet de voir .C'est pour cette raison que le transistor de commutation doit être choisi "trés large" en tension ! Amicalement et bon courage |
Ecrit le: Vendredi 09 Mai 2008 à 20h10
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonsoir à tous, bonsoir Tecno.
Dans le cas du circuit oscillant classique j’ai oublié de mentionner que l’énergie que se renvoient le condensateur et la self ne « reste pas sur place » mais provient de l’alimentation et se dirige vers l’utilisation : l’antenne en ce qui concerne les émetteurs. L’énergie circule. Dans le cas de la bobine du test MEG il n’y a aucune « antenne » et aucune trace de rayonnement ou de couplage inductif possible. Donc l’énergie serait condamnée à créer de la surtension explosive ou de la chaleur et ce n’est pas ce que l’on observe. On ne peut pas créer de la chaleur joule en dehors de la résistivité de la bobine. Les tôles magnétiques ne chauffent pas non plus et si elles absorbaient l’énergie consommée elles le feraient aussi en charge et pourtant alors la consommation n’augmente pas… Quand je dis que l’énergie consommée à vide dans mon test « disparaît » c’est qu’on ne la retrouve nulle part. Elle ne revient pas vers la batterie lors de la coupure : l’ampèremètre à aiguille indiquerait alors une consommation « moyenne » quasi nulle et ce n’est pas le cas. A suivre… |
Ecrit le: Jeudi 15 Mai 2008 à 18h22
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
15 MAI 2008. Bonsoir à tous. La réactance observée pendant la séquence de connexion n’est pas constante. Pendant la séquence de connexion de la bobine primaire de 20 spires de mon test MEG L’intensité grandit de façon continue. C’est une observation : cela signifie que la réactance baisse lorsque le champ magnétique grandit. Autre constatation : la durée de la connexion ne doit pas dépasser un certain seuil. Celui ci est défini par l’intensité maximum atteinte en fin de cette connexion. L’intensité du champ magnétique créé par la bobine est fonction du nombre d’ampère tours de cette bobine. En fonction de la longueur du circuit magnétique ou se situe cette bobine on peut définir le nombre d’ampère tours maximum avant saturation du matériau magnétique. Une fois ces paramètres définis on connaîtra l’intensité maximum pouvant transiter dans la bobine primaire. Au delà il y aura saturation magnétique et l’intensité supplémentaire se transformera en perte ohmique inutile. En dessous de la saturation magnétique, le champ magnétisant (n x i instantané) est l’expression exacte du champ magnétique au même instant. Pendant la phase de croissance du champ magnétique issu de la bobine primaire, l’énergie circulant depuis l’alimentation « disparaît dans la bobine ». Donc l’énergie circule d’abord en traversant l’espace (depuis la batterie d’alimentation) puis « circule sur place », « en profondeur ». Cette « circulation sur place » ne se produit que lors de la variation du champ magnétique : en disparition lors de la croissance du champ et en apparition lors de sa décroissance. La réactance est un aspect du phénomène de la disparition de l’énergie si ce n’est le phénomène lui même…La courbe de réactance observée à l’oscilloscope pendant la phase de connexion dessine « le contour exact du nombre de wattheures » mis en jeu pendant ce laps de temps. Tout ceci s’entend hors pertes ohmiques, tenues pour dérisoires. A plus… |
Ecrit le: Lundi 19 Mai 2008 à 06h16
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
18 MAI 2008. Bonjour à tous Contradictions à propos de la réactance variable dans une bobine alimentée en courant continu segmenté. Depuis le début de mes tests j’utilise uniquement les informations disponibles et « avalisées » Par leur « fonctionnement » dans la réalité quotidienne. Cependant je persiste à croire qu’un concept n’est vraiment opérationnel que s’il ne contient aucune contradiction : c’est ma boussole dans la recherche au milieu de l’inconnu. D’autre part je considère que l’observation est l’expression de la vérité sans laquelle on ne peut pas avancer. L’observation prime sur le concept issu du « réseau de données proposées » Car une « erreur » peut toujours s’y glisser. Revenons donc au test MEG. Dès l’instant de la connexion, la croissance du champ magnétique induit une tension dans la bobine qui s’oppose à l’intensité qui le crée en diminuant la tension effective « aux bornes » de la bobine. La conséquence est que le champ magnétique existant immédiatement après la connexion n’est pas celui qui serait donné par la tension aux bornes de la bobine en fonction de sa seule résistance ohmique. Cependant… L’observation montre que l’intensité augmente pendant la séquence de connexion. Cela veut dire que la réactance diminue, c’est à dire que la tension contraire créée dans la bobine diminue. Cette « tension contraire » est définie par la vitesse de croissance du flux de la bobine. Cela voudrait donc dire que la croissance du flux ralentit quand l’intensité augmente : cela ne peut se passer « normalement » que si l’on arrive à la saturation magnétique et ce n’est pas le cas. L’intensité crête de 14 ampères sur une bobine de 20 spires dans mon test MEG est bien loin de saturer son circuit magnétique. Dans sa « vie antérieure » mon circuit magnétique était le siège d’un champ magnétisant maximal de 3800 ampère tours alors que là on « plafonne » à 280 ampère tours. Dans le test à 20 spires l’observation montre que la « courbe » d’intensité visible à l’oscilloscope est une droite qui va « vers le haut à droite », ce qui veut dire que l’intensité du flux augmente de façon constante : c’est un fait. L’intensité qui traverse la bobine est toujours définie par la formule de la résistance : U = R I. Donc si l’intensité augmente de façon linéaire à travers une résistance (ohmique) constante c’est que l’augmentation de la tension effective sur la bobine (tension d’alimentation moins tension de réactance) est aussi linéaire. Tous ces calculs se font en dessous du seuil de la saturation magnétique. L’alimentation de la bobine se fait en courant continu pendant une durée ou il ne peut y avoir que de la croissance de son champ magnétique. On se trouve devant une contradiction. Si l’on part du principe de création de tension par variation de l’intensité du champ magnétique on aura un seul paramètre déterminant : la vitesse de variation du champ. Pour une alimentation en courant continu cette vitesse est fixe (en dessous de la saturation) et sa valeur dépend du nombre de spires de la bobine : la tension de réactance devrait donc être fixe le long de la séquence de connexion. Donc l’intensité devrait aussi être fixe : ce n’est pas le cas. Dans le cadre du test MEG à vide, l’intensité qui circule dans la bobine augmente en même temps que le champ créé et selon la même proportion. Pourquoi l’intensité ne reste pas constante et proche de zéro jusqu’à la plénitude du champ pendant sa phase de croissance ? Ce serait une observation conforme à la loi de la réactance issue de la tension induite mais cela ne se passe pas ainsi. J’en conclu que : Le passage de l’énergie « vers nulle part » « augmente son passage » comme une brèche dans une digue qui s’agrandit du fait du passage même de l’eau. La réactance d’inductance se comporte comme un ralentisseur de la croissance de l’intensité traversant une bobine alimentée en courant continu dont le champ maximal créé par elle est inférieur à la saturation magnétique du matériau de son circuit. C’est ce que j’observe : ce n’est pas exactement ce que j’ai appris. C’est grâce à cette observation sur la croissance de l’intensité que je peux diriger ma recherche sur le concept de wattheure par weber. A plus… |
Ecrit le: Mardi 20 Mai 2008 à 01h07
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Passionné(e) Groupe: Membres Messages: 43 Membre n°: 696 Inscrit le: 20/09/2007 |
Vraiment studieux les totos, chapeau!!
pour bidouiller vos affaires de générateurs de courant électrique je vous suggère de faire un tour sur ce site: Technosoft vous avez là la solution à tout type de moteur. un peu chérot 1000$ la carte avec le soft. construit autour d'un DSP Texas, Technosoft en suisse a développé ce concept intégré, çà vaut la peine, vous ferez tous les courants que vous voudrez dans n'importe quelle bobine. mais continuez sur votre lancée théorique, vous avez de la lecture pour un humour apprécié. joyjoy |
Ecrit le: Mardi 20 Mai 2008 à 16h35
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous,
Bonjour Joyjoy et merci pour l’adresse. 129,20 : à 17h 30 ; Vous savez ce que c’est… J’ai affirmé il n’y a pas longtemps à un représentant de l’autorité que nous serions à 150 avant la fin de l’année. Je vois que la route est dégagée… A plus… |
Ecrit le: Jeudi 22 Mai 2008 à 06h35
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
22 MAI 2008. Bonjour à tous. 134,65 à 7h 30. Pour en finir avec le mythe de Sisyphe. Tout n’est pas à jeter dans notre système économique. De toute façon il est là et il n’y a pas d’autre solution qu’une réforme précise pour éviter le chaos. Le problème urgent est un problème de physique : la disponibilité de l’énergie. La solution viendra après avoir supprimé une « clé d’organisation » absolument néfaste : le fonctionnement de l’économie selon le mythe de Sisyphe. Mais avant tout il faut faire un constat : la marchandise qui fait circuler les autres marchandises, le pétrole, « a cessé de croître en quantité ». Le pic de Hubbert est atteint. Au delà de ce pic la disponibilité de cette marchandise va diminuer et donc provoquer une contraction du volume des échanges de marchandises, autrement dit une récession. La pistes à suivre pour trouver une nouvelle énergie susceptible de remplacer le pétrole dans tous ses usages économiques se trouve dans le changement d’attitude vis à vis des solutions possibles : il ne faut plus rejeter l’énergie « gratuite » sous prétexte qu’elle nuit à la « croissance ». En effet l’usage d’une énergie gratuite supprimerait une grande quantité d’acteurs économiques actuels, basant leur présence sur ce que j’appelle les « énergies médiates ». Ce faisant un progrès réel serait ressenti par ce système comme une récession, c’est à dire le mal absolu. Le système actuel est basé sur le mythe de Sisyphe c’est à dire sur l’impossible accès à la fin des pénuries. Selon le système il faut toujours « renouveler l’effort » et la pénurie en voie de résolution permanente et impossible s’appelle maintenant « économie de marché ». Une pénurie est un « don du ciel » qui doit être soigneusement préservée. Le « progrès » consistant à s’approcher toujours plus de la solution sans jamais l’atteindre. Les exemples de « pénuries entretenues » foisonnent dans notre vie quotidienne. La méthode employée est par exemple l’usure calculée des marchandises entraînant leur disparition rapide et créant « de ce fait » de la « croissance » en accélérant la circulation générale « inévitable » des dites marchandises. La « pénurie mentale » est aussi une source de « croissance » que l’on cherche à préserver. Dans ce cas les exemples sont si nombreux que leur disparition causerait immédiatement chômage et récession. Un faisceau de limites naturelles amène au fait que tout cela ne peut plus fonctionner et le pic hubbert « donne le coup de grâce ». Il ne reste plus qu’a devenir rationnels et accepter de résoudre les problèmes jusqu’à leur extinction définitive en ne basant plus l’activité économique sur le « sabotage créateur ». La science et la technique ont développé une masse énorme de pouvoir humain sur la nature Originellement hostile : c’est un comble de constater l’impuissance du système actuel concernant son simple fonctionnement avec tout cet arsenal. Notre recherche sur l'énergie de l'espace (gratuite...) est donc percue comme une "urgence détestable... A plus. |
Ecrit le: Vendredi 23 Mai 2008 à 22h11
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous, Hello Labo !!
Les loups restreignent leur progéniture pendant les pénuries.. Le bipède humanoïdus en sera t'il capable ?? Avec le soleil, ne peut on pas faire du gasoil ?? A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Vendredi 23 Mai 2008 à 22h19
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Ou par exemple
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/achet...ef=ARC-TRK-G_01 http://huilevegetalebrute.over-blog.com/article-1242260.html http://www.biocarbu.net/Lebiocarbu.html http://pboursin.club.fr/velec/pile.htm A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Samedi 24 Mai 2008 à 15h59
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous, bonjour Amateur.
Dans l’immédiat disponible, à part le solaire je ne vois pas de piste qui nous mène loin. Je dis bien immédiat disponible : cela se conçoit en dehors de nos recherches sur l’énergie de l’espace. Le solaire a l’avantage d’être offert par un générateur omniprésent, gratuit et disponible sur une très longue durée. Sur le toit de ma maison se trouve un capteur solaire pour l’eau chaude constitué par 5 spires de « Plymouth » d’un diamètre de 3 mètres. Ce tuyau plastique d’un diamètre interne de 40 millimètres est en place depuis 1980 et m’a coûté à l’époque environ 300 francs. Il me fournit l’eau chaude en été gratuitement depuis donc 28 ans sans autre forme d’installation. Il est posé sur le toit sans isolation ni stock : c’est son diamètre interne qui constitue le stock. En alignant tant de mètres carré de tuyau noir (isolé sous verre ou plastique transparent) faisant capteur on obtient autant de kilowatts thermiques gratuits. Après il suffit d’une pompe de circulation et d’un stock bien isolé pour passer les nuits, les nuages et l’hiver. 28 ans après sa mise en place le tuyau en Plymouth est comme neuf. Il a résisté aux ultraviolets, au gel et ne rouille pas : excellent usage du pétrole. Gratuit. C’est pour cela qu’on n’en parle nulle part. Pour chauffer une maison il y a aussi le « mur Trombe ». Le principe est très simple : chaque mur de la maison exposé au soleil est un capteur solaire potentiel. Il faut d’abord le peindre en noir pour qu’il ne rejette pas le rayonnement. Ensuite il faut construire une espèce de serre verticale devant le mur, à 30 cm de distance environ. Un trou est fait en bas de la serre coté maison et communique avec le bas de la pièce à chauffer. Un autre trou est fait en haut de la pièce à chauffer qui communique aussi avec le haut de la serre. Le rayonnement chauffe le mur noir qui chauffe l’air de la serre puis une circulation de convection se fait naturellement avec la pièce à chauffer. La nuit on récupère la chaleur accumulée dans la profondeur du mur et quand il n’y en a plus on ferme les trous. Un mètre carré : un kilowatt. 20 mètres carré : 20 kilowatts…Gratuits. Qui a entendu parler du « mur Trombe » ? Trop simple… A plus… |
Ecrit le: Dimanche 25 Mai 2008 à 10h07
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello tous et Labo
Alors, il faut bien choisir les dirigeants ou bien pas du tout de dirigeants et faire une démocratie directe européenne directe avec les 300 millions de citoyens européens. Démocratie vraiment populaire, avec sa propre monnaie appuyée sur le stock d'or diffus (et restant diffus dans la population). C'est à dire en moyenne 10gramme d'or détenu par citoyen x 300 millions de citoyens = 3000 tonnes d'or diffus .. Les autres monnaies (celles contrôlées par une poignée de milliardaires monstres) n'ayant plus cours dans nos échanges inter-citoyens.. Ensuite, on met en place les vraies réformes, dans tous les domaines .. A plus Amateur révolutionnaire, fédérateur des Peuples d'Europe -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Dimanche 25 Mai 2008 à 11h52
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1753 Membre n°: 291 Inscrit le: 13/06/2007 |
Bonjour à tous,
Je vois que Notre ami Amateur nous prépare un beau bordel !! Labo angoisse pour le prix du pétrole et son accélération Perso je trouve qu'il n'est pas encore assez cher ! Quelle est l'urgence le manque de pétrole ou le réchauffement climatique ? Perso c'est comparer un pistolet à plomb et une bombe atomique! Il est urgent d'arrêter les conneries (mais comment ?) Gageons que si les 300 millions d'administrés d'Amateur rangeaient leurs voitures au garage pendant 1 mois le pétrole redescendrait à 40 $ le baril. C'est tout le problème !! Rendre le prix du pétrole artificiellement haut à des vertus ! Si on considère que les états sont conscients du problème ! Je pense que les américains jouent un rôle déterminant dans cette histoire (avec l'Irak) Freiner les ardeurs économiques de la chine, et payer à termes leurs déficits abyssaux ! Le capitalisme et une sorte de MM qui crée lui-même ses déséquilibres pour ce relancer ! A++ |
Ecrit le: Dimanche 25 Mai 2008 à 15h56
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous, bonjour Amateur et thx4.
Je pense que le problème du climat est extremement important aussi. Je n'ai qu'une expérience partielle sur le climat. Cela m'a été "facilité" par mon ancien travail. En effet pour gérer une production hydroélectrique on est bien amené à se préoccuper de la pluie et de la sécheresse. La seule chose que je puisse dire (pour l'avoir ressenti) c'est que le climat est devenu plus violent depuis environ 1995 et avec une espèce d'accéleration dans la violence depuis. Quant au prix du pétrole j'ai vraiment angoissé en 2004 quand j'ai découvert le pic Hubbert. Pendant trois jours j'ai cru qu'on "était cuits". A l'époque ma passion c'était le lifter : j'ai abandonné pour chercher tout ce qu'on "savait" sur l'énergie et je suis tombé sur la piste du MEG... Au sujet de l'Irak il suffit de se rapeller que c'est la deuxième réserve "estimée" de pétrole dans le monde après l'Arabie Saoudite et que ce pétrole ne "coute presque rien" à exploiter par rapport aux forages en eau profonde. Les Américains sont allé faire un tour la bas juste par hasard... Ce qui est remarquable en ce moment c'est la convergence de plusieurs secteurs de l'économie dans le contentieux sur le prix du carburant : les pecheurs, les transporteurs, les agriculteurs et aussi depuis hier les professions de la distribution du carburant. Ca fait un "beau merdier" en perspective. Tout cela avait été prévu par Yves Cochet dans ses livres sur le pic hubbert et on lui a éclaté de rire au nez à l'époque... Gouverner c'est prévoir, dit on... Il devrait y avoir une foule de licenciements chez les politiciens, "normalement". Personnellement je les ai "filmés" à la suite de la destruction fiscale de notre entreprise de production d'énergie renouvelable dont "on" dit que c'est désormais une priorité... On en reparlera après les premiers délestages. Bon je reviens au MEG et je prépare un texte sur la décroissance du champ magnétique en présence d'une charge. A plus... L'énergie de l'espace vaincra ! |
Ecrit le: Dimanche 25 Mai 2008 à 15h58
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 2064 Membre n°: 275 Inscrit le: 11/06/2007 |
Ah zut! moi qui voulait voter pour "Amateur Président"... Justement pour mettre le bazar.
Mais tu prends un mauvais exemple puisque le capitaliste ne marche pas, assurément... |
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Ecrit le: Vendredi 30 Mai 2008 à 15h31
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
30 MAI 2008. Bonjour à tous. La charge modifie la courbe de décroissance du champ magnétique. Questions et contradictions. Dans le test MEG on situe l’observation au moment ou il y a décroissance du champ magnétique causée par la déconnexion de la bobine primaire, la bobine secondaire étant reliée à une charge. Pendant cette phase de décroissance il y a « rétroaction » du courant de charge sur le phénomène qui produit la tension qui le génère lui même (c’est à dire le champ décroissant). L’observation nous montre que la rétroaction se manifeste par le changement de forme de la courbe de décroissance du champ magnétique. A vide la constance de la tension observée sur la bobine secondaire pendant le temps que dure alors la disparition du champ magnétique signifie que cette disparition se fait de façon linéaire. La tension initiale sur la bobine secondaire est définie par le temps que dure la coupure de l’alimentation de la bobine primaire : ce temps entraîne la création instantanée d’une « pente De décroissance » du champ magnétique. Cette « pente » crée une tension qui crée un courant de charge qui crée lui même un champ magnétique croissant de même sens de polarité que celui qui décroît en créant ladite tension. Ce champ créé par le courant de charge ne peut être que croissant : dans le cas contraire il cesserait d’être à l’instant même du début de son existence. Il ne peut pas être non plus constant car un courant ne crée pas un champ de façon instantanée : sinon il n’y aurait plus de réactance d’inductance. Donc le temps de disparition initial (à vide) du champ est rallongé par la « diminution de la quantité de diminution » de ce champ. La charge se comporte donc comme un ralentisseur de disparition du champ magnétique. Au maximum si le champ créé par la charge était issu d’un champ magnétisant de même grandeur et de « même tempo » que celui qui disparaît, le temps de disparition deviendrait infini et donc la tension de décroissance disparaîtrait, ce qui annulerait la cause de sa disparition. Cela est impossible car la disparition du champ initial se fait selon le tempo du relais statique qui est plus court que la constante de temps de la bobine ou il crée une tension. De ce fait le Champ magnétique créé par le courant de charge ne peut pas grandir aussi vite que le champ magnétique initial décroît, même s’il y a égalité des champs magnétisants. Si le champ magnétisant créé par le courant de charge a une valeur égale à la moitié que celui qui disparaît , alors le temps de disparition initial sera doublé et de ce fait il y aura diminution de moitié de la tension qui crée ledit courant de charge. Donc l’effet d’augmentation de la durée de décroissance par la charge s’auto annulerait…Ce n’est pas ce que l’on observe. La valeur de la résistance de charge modifie le temps de décroissance du champ magnétique. Plus la résistance de charge est faible et plus le courant de charge augmente et plus le temps de décroissance du champ magnétique augmente. La baisse de la résistance de charge « creuse » aussi la courbe de diminution de la tension de charge : au delà d’un certain seuil on cesse donc d’augmenter la quantité d’énergie produite à chaque séquence de disparition du champ magnétique. Sur l’oscilloscope on constate une diminution de la tension issue de la décroissance du champ Magnétique (décroissance due à la déconnexion de la bobine primaire) pendant la séquence de mise hors tension de la bobine primaire et cette diminution « ralentit » le long de la durée de décroissance du champ. Quel est le phénomène qui porte le germe de la modification de la courbe « droite » de décroissance à vide ? la décroissance du champ magnétique pourrait se faire selon une ligne droite de pente simplement différente. La charge entraînerait une simple baisse de la tension initiale avec un maintien constant jusqu’à extinction du champ magnétique. Ce n’est pas le cas. L’énergie « produite » se manifeste uniquement par le courant traversant la charge de résistance ohmique donnée. La quantité d’énergie productible par séquence de disparition du champ magnétique dépend de la quantité de flux disparu et du temps que dure cette disparition. A vide le flux disparaît vite et sans « produire d’énergie ». En charge la même disparition de flux, plus lente, « produit de l’énergie ». Cette « production » n’est donc pas une conséquence obligatoire de la disparition du flux mais une « circonstance annexe ». A plus... |
Ecrit le: Dimanche 01 Juin 2008 à 07h52
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
1° JUIN 2008. Bonjour à tous. Pourquoi on ne peut pas utiliser une décharge de condensateur pour alimenter le MEG. L’observation montre que la puissance moyenne de l’énergie disponible sur le circuit secondaire en charge est liée à l’intensité crête observée en fin de séquence de connexion sur la bobine primaire. La caractéristique principale d’une décharge de condensateur est la chute de tension qui s’observe le long de la durée de cette décharge. Cela veut dire qu’une séquence de connexion sur la bobine primaire utilisant une décharge de condensateur comme alimentation aura le plus mauvais rendement possible car la coupure de la bobine primaire s’effectuera sous la plus faible tension de la séquence de connexion. La résistance ohmique du circuit primaire est aussi un frein à l’intensité crête. Il faudra donc utiliser des câbles de connexion de forte section et une batterie d’alimentation de forte capacité pour bénéficier de sa faible résistance interne. Il faut donc éliminer les alimentations à transformateur et diodes dont la résistance interne totale ne souffre d’aucune comparaison avec une batterie d’accumulateurs. A plus... |
Ecrit le: Dimanche 01 Juin 2008 à 18h08
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
1° JUIN 2008. B Bonsoir à tous Utilisation d’un graphique sur papier millimétré pour enrichir la vision brute des courbes. Test en 150 hertz, bobine primaire de 20 spires, bobine secondaire de 28 spires, charge : ampoule 12 volts 50 watts. La courbe de tension observée à l’oscilloscope montre que la tension crête sur la charge entraîne un « contre champ magnétisant » de 610 ampère-tours alors que le courant crête de la bobine primaire est de 14 ampères pour 20 spires soit 280 ampère-tours. En toute logique cela signifie que le champ « d’opposition de disparition » est supérieur au champ initial disparaissant. Donc le champ résultant devrait grandir…et donc la tension de décroissance disparaître très brusquement. C’est ce qui se passe. Et puis au fur et à mesure que cette tension baisse, la « pression d’opposition à la décroissance du champ initial » baisse et donc la vitesse d’effondrement de la tension de charge baisse. La tension initiale sur la charge est donnée par la vitesse de déconnexion du relais statique : cela ne dure qu’un instant avant l’enchaînement des réactions d’opposition à la disparition du champ initial. Donc la baisse de la valeur de la résistance de charge augmente la « pression d’effondrement de la tension de charge » mais aussi la durée de la disparition du champ. La « pression d’opposition à la décroissance du champ initial » se mesure par la différence entre le champ magnétisant «d ‘opposition » et le champ magnétisant initial disparaissant. C’est bien ce que l’on observe. A plus.. |
Ecrit le: Vendredi 06 Juin 2008 à 18h47
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonsoir à tous
Vous avez vu le pétrole? 10 dollars en un jour. Je sais pas ce qui se passe mais "ca chauffe" quelque part surement. Je suis en train de préparer un texte sur le bouclage de l'énergie dans mon test. A plus... |
Ecrit le: Vendredi 06 Juin 2008 à 20h03
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous Hello Labo
ça doit spéculer fort sur le pétrole .. A peine le pic de Hubbert dépassé, hop ça y est les prix flambent !!.. Il est temps qu'on invente quelque chose pour qu'ils le boivent leur pétrole. Les éléments Peltier.. Une face qui chauffe et l'autre qui refroidit quand un courant passe .. Ou bien si on applique du froid sur une face et du chaud sur l'autre on a de l'énergie electrique.. On devrait pouvoir en faire quelque chose.. http://www.conrad.fr/webapp/wcs/stores/ser..._search=peltier A plus Amateur qui étudie les condos là -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Dimanche 08 Juin 2008 à 07h47
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
LABO343 MEG
7 JUIN 2008. BOBINE DE RUHMKORFF SURUNITAIRE. Test de bouclage de l’énergie avec une batterie au plomb. Le circuit magnétique est celui des tests précédents. La bobine primaire est constituée de 20 spires alimentées en 12 volts continu « segmenté » à la fréquence de 170 hertz. La bobine secondaire comprend 28 spires comme avant. Le circuit de la bobine secondaire (de puissance) traverse une diode et la batterie d’alimentation de la bobine primaire ( bobine de commande). Il n’y a plus d’aimant permanent dans le circuit magnétique. Les deux circuits primaire et secondaire traversent ensemble une faible résistance ohmique Qui sert de capteur de mesure d’intensité pour l’oscilloscope avant de se relier à la borne + de la batterie. Le problème que je m’attendais à rencontrer est celui de la « résistance de charge » de la batterie. Je me doutais que cette « résistance » serait très faible. C’est un fait et cela pose un problème de « rendement » car je pense qu’il existe une résistance de charge précise pour le meilleur rendement. Sur le premier test de bouclage le « rendement » est de 80% environ avec une courbe de tension secondaire complètement écrasée. Ce rendement est inférieur à celui mesuré par comparaison de brillance avec une ampoule de 50 watts identique à l’ampoule constituant la charge dans le test précédent (sans bouclage de l’énergie). L’ampèremètre à aiguille se trouve toujours sur la borne « moins » de la batterie et lorsque le test de bouclage est activé l’aiguille (qui indique 4 ampères de consommation à vide) redescend presque vers zéro, confirmant le fait que l’énergie de la bobine secondaire reflue bien vers la batterie. Si j’insère une résistance ohmique additionnelle dans le circuit de charge la courbe de tension secondaire se relève mais il y a perte ohmique. J’ai donc testé l’usage d’une self pour gérer la résistance de charge secondaire. Ca marche et donc j’ai cherché la valeur optimale par approches successives. Je suis resté sur 8 spires bobinées autour de la carcasse magnétique d’un transfo monophasé de 500 watts. Je continue les tests avec cette mesure. En utilisant cette self je n’ai quasi aucune perte ohmique car j’utilise du fil « 6 mm au carré » et la longueur du fil est dérisoire. Il y a aussi un problème avec le seuil de tension nécessaire pour déclencher le mouvement d’énergie vers la batterie : 12 volts. En effet lorsque la charge est une ampoule seule il n’y a pas de seuil de tension pour le transfert d’énergie vers elle et « toute la courbe de tension » de production de la bobine secondaire du MEG est transformée en lumière et en chaleur. Cela m’amène donc à penser qu’il y a peut être un nombre de spires optimum sur la bobine secondaire pour s’adapter au mieux à la production vers une batterie. Il y a en ce moment 28 spires sur la bobine secondaire et je ne pense pas que cela doive dépasser 10 spires de plus. Je verrai par approches successives. Tout ceci se passe avec un générateur de fréquence symétrique. Je ne pense pas dépasser l’unité avec ce générateur de fréquence utilisé pour le bouclage de l’énergie sur une batterie mais m’en rapprocher au plus près. Après je testerai le générateur asymétrique. Il me faut en premier maîtriser les paramètres me permettant de définir l’énergie maximale qui puisse sortir de la bobine secondaire en se déversant dans une batterie au plomb. Je pense qu’il faut préciser que mon test est bien un MEG dans le sens ou il n’y a pas d’organe en mouvement pour produire de l’énergie mais on peut rattacher aussi ce test à la bobine de Ruhmkorff qui fonctionne sans aimant permanent. Je suis d’ailleurs étonné que les curieux bilans d’énergie que je rencontre dans mon test n’aient pas été repérés depuis très longtemps dans l’usage des bobines de Ruhmkorff. A plus… |
Ecrit le: Mardi 10 Juin 2008 à 22h19
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous
Je travaille sur les charges de condensateurs en ce moment et j'aurai une question. Comment se fait il qu'un condensateur se charge au travers d'un transistor MOSFET (condensateur placé entre le plus de la pile et le drain du MOSFET), alors que celui-ci n'est pas excité sur sa gate ?? Existe t'il un transistor qui n'ait pas cet inconvénient ? Merci pour vos infos A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mercredi 11 Juin 2008 à 08h03
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Bonjour à tous,
Amateur, quel ref de Mos utilise tu ? Quelle valeur de condensateur ? Le mos fet se comporte comme une résistance pilotable en valeur (+ ou -), les caractéristiques font état d'un RDSON mais pas trop du RDSOFF (Résistance Drain Source à l'état ON et OFF) selon le mos la résistance à l'état non passant n'est pas infini loin de là, la très forte résistance restante est peut être suffisante pour charger ton condo, surtout si il est de valeur faible. Donne nous les précisions de valeurs et de références et je regarderais se qu'il en est. A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
Page YouTube, Page Dailymotion, Album Picasa, La Force contre-électromotrice, simulation magnétique, Viktor Schauberger |
Ecrit le: Mercredi 11 Juin 2008 à 08h47
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Tous, Hello Quartz
Merci pour ton aide. Le Mosfet est un IRF540 (20A, 100V) et le condensateur 10000 µF 25V. Que je mette le condensateur: 1) entre le + de la pile de 12V et le drain du mosfet ou bien 2) entre la source du mosfet et le - de la pile de 12V il se charge sans excitation du mosfet sur sa gate.. Existe t'il un élément électronique (transistor capable de > 1A ou autre élément) pilotable de préférence en tension et qui bloque la charge du condo quand il n'est pas excité?? Merci pour vos infos A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mercredi 11 Juin 2008 à 09h45
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Expert(e) Groupe: Modérateurs Messages: 4027 Membre n°: 181 Inscrit le: 07/10/2006 |
Le condo est énorme en combien de temps prend t-il quelle charge ?
est il possible que la commende de ton mos ne soit pas parfaite ? Si tu veux être totalement sur de ta commande tu peux bloquer le mos, avec une tension négative sur la grille vis à vis de la source, disons -5V c'est sufisant. Si non tu prends un IGBT, c'est un transistor NPN piloté par un mos fet, le tout dans un seul boité. Tu as des ref cher IR également du type IRGPC ........ quelques document sur ce composant ici. n'hésite pas si tu souhaite des précisions. A+++ -------------------- Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
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Ecrit le: Mercredi 11 Juin 2008 à 10h33
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Quartz
Merci pour ton aide, la charge met environ 1 seconde à 12V..!! J'espère que mes Mosfets ne sont pas foutus.. J'en ai essayé deux, avec les mêmes résultats.. Je vais essayer ce que tu me dis.. tension négative sur la gate et IGBT, si ça ne donne pas de résultat.. Merci A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mercredi 11 Juin 2008 à 12h18
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 956 Membre n°: 141 Inscrit le: 01/12/2005 |
Bonjour à tous,
bonjour Amateur et Quartz. Alors Amateur, tu as une piste sur les condensateurs? Le seul truc "suspect" que j'ai trouvé sur les condensateurs c'est les condensateurs asymétriques : voir les lifters et le moteur Laforgue. Mais comme "l'aventure est au coin de la rue" il me tarde d'avoir des nouvelles de ta piste. Pour ma part je continue le test de bouclage de l'énergie à travers une batterie au plomb. Ce qui me prend du temps c'est d'interpreter correctement les courbes lues sur l'oscilloscope. C'est un travail de patience pour éviter les contradictions. Ca permet d'avancer sur "du dur". A plus... |
Ecrit le: Mercredi 11 Juin 2008 à 12h58
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Hello Labo
Eh bien, comme l'énergie des condos varient en fonction du carré de leur tension, je tente de charger une dizaine de condensateurs en parallèle et de les commuter rapidement en série pour voir si on gagne quelque chose !! Mais comme la capacité diminue aussi en série, je ne sais pas si on gagne quelque chose. Par contre des condensateurs plans chargés, dont on ecarterait les armatures devraient gagner en énergie. Reste à imaginer la machine rotative capable de cette prouesse .. (peut être combinée avec des aimants).. A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mercredi 11 Juin 2008 à 13h41
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
L'énergie d'un condo, exprimée en fonction de la charge et de la capacité est:
W=Q²/2C A charge Q constante, si C diminue, l'énergie augmente.. Mais est ce valable pour des groupements de condensateurs? Plusieurs condensateurs chargés en parallèle à une charge Q et disposés ensuite en série, donc avec une capacité moindre voient ils leurs énergie grimper ?? That is the question !! A vos neurones les Amis A plus -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mercredi 11 Juin 2008 à 13h49
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
D'une maniere plus générale, un arrangement différents des charges électriques par transport quasi gratuit, permet il des gains d'énergie..
Je vous livre cette piste .. -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
Ecrit le: Mercredi 11 Juin 2008 à 13h58
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Expert(e) Groupe: Membres Messages: 4296 Membre n°: 276 Inscrit le: 11/06/2007 |
Quartz, s'il te plait, toi qui semble ferré en électronique, sors nous voir le commutateur électronique (qui peut être composés de pluseiurs éléments) suffisament rapide pour transformer un arrangement parallèle de condensateurs chargés, en arrangement série de ces mêmes condensateurs..
Merci Nous vaincrons !! Ayyhhaa tooo !! -------------------- Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses |
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