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> LABO343's MEG
Ecrit le: Mercredi 15 Novembre 2006 à 15h56 Posted since your last visit
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Bonjour.

Je suis en train de lire les documents suivants : THE MEG PAPER et le Brevêt de Bearden. Lecture assez difficile car en anglais. Et si on se groupait pour les traduire en français ? Car il y a beaucoup de choses intéressantes, surtout dans le choix des matériaux, du protocole de test, du fonctionnement etc... Mais hélas assez confuses. Toutefois ce dont je suis sûr d'avoir lu suit :
1-Le MEG fonctionne à partir de l'effet Aharonov-Bohm (A-B)(qu'il est facile d'expliquer)
2-Le circuit magnétique doit IMPERATIVEMENT être en MATERIAU NANOCRISTALLINE si on veut rester dans le phénomène A-B
et éviter les interférences.
3-Les temps de montée et de descente des impulsions de commandes RèGLENT l'excitation du potentiel vecteur (celui de l'effet AB).
4-Les mesures de puissances doivent se faire en continu et non en alternatif puisque le schéma du brevêt montre des dispositifs de redressement.
5-Le circuit magnétique NE DOIT PAS FONCTIONNER EN SATURATION, C'EST INDISPENSABLE.
6. etc etc......

Bref toutes ces info que je vous communique sont le résultat de la lecture des documents précités et je suis sûr qu'en unissant nos forces on arrivera à de meilleurs résultats, évitant ainsi des tatonnements.
Mais il faut que nous traduisions ces documents dans la langue de Molière, pardon de Ampère, Fourrier ou Lagrange. Qu'en pensez-vous ?
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Ecrit le: Mercredi 15 Novembre 2006 à 16h39 Posted since your last visit
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LABO 343
15 NOVEMBRE 2006

Bonjour, je réponds d'abord à Quartz sur la vidéo que j'ai réalisé. J'ai réussi à la transferer sur GOOGLE VIDEO. Voici l'adresse qui permet d'y acceder:
http://video.google.fr/videosearch?q=reactances Cela m'a pris du temps cette nuit et je crois qu'il faut un logiciel particulier pour visionner. Bon, en attendant cette vidéo est en place. Je rappelle qu'elle fait 27 mo. Patience pour la télécharger.

Rebonjour à BOG571. Ce serait interessant d'avoir des précisions en francais sur l'effet A-B. Pour le matériau nanocristallin, avec quoi risque t'on d'avoir des interférences ? Pour les temps de montée des impulsions de commande je pense qu'il faudrait faire fabriquer un circuit standard avec lequel on pourrait agir sur ces fameux temps de montée. Un circuit qui permettrait de controler toute la séquence de connexion, y compris d'éventuels temps de "silence". Si on avait le meme circuit pour les tests cela permettrait de mieux communiquer. La question est aussi la gamme de fréquences utilisables. Personnellement je continue de penser que la fréquence plafond ne dépasse pas 1000 hertz, ce qui est déja énorme pour un "cousin" des transfos. Au delà se pose aussi le problème du temps de réponse de l'électronique de puissance. Pour les relais que j'emploie la fréquence maxi est de 700 hertz. Si on sort des produits "courants" il y aura peut etre une question de prix. Pour les aimants je peux fournir l'adresse en France. Ce serait bien aussi d'avoir un vrai traducteur Anglais Francais pour les textes de Bearden : appel au secours sur le web... Pour le moment je ne modifie pas mon dernier test au cas ou on voudrait le voir plus précisément. D'ailleurs si quelqu'un veut venir le voir c'est avec plaisir que je le lui montrerai. à plus...
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Ecrit le: Mercredi 15 Novembre 2006 à 19h02 Posted since your last visit
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Bonsoir à tous

Merci pour la vidéo LABO je suis en train de la charger pour ce qui est de passer voir votre Proto,
Sans être indiscret dans quelle région vous trouvez vous, environ ?

En ce qui concerne la traduction, je suis incapable de vous aidez car mon niveau d’anglais n’est pas assez bon.

Pour ce qui est de l’électronique de commande là oui, grâce à un microcontrôleur il est assez simple,
De généré des impulsions de la largeur que l’on veut entre 500ns et 1 seconde voir plus.
Et de prévoir un temps de latence réglable dans les mêmes proportions.
J’ai personnellement réalisé des commandes sommaires mais fonctionnelles.
DARTHMAGNET est en train de concevoir un générateur de fonction à microcontrôleur avec affichage graphique, une pure merveille.
Voir sa page http://perso.orange.fr/infinimagnetic/page001.htm

Pour ce qui est de la puissance, j’ai conçu un pont triphasé pour moteur asynchrone qui passe 7 A sous 340V (secteur redressé) avec un temps mort de 500 ns.
Les transi sont des IGBT
Ça marche très bien. Donc là on peut faire un peut ce que l’on veut il y a deux trois pièges à connaitre c’est tout.

Pour revenir au texte et la trad le fait que le circuit magnétique ne soit pas saturé me semble plus qu’évident, maintenant.
Tout ceci grâce à bon nombres d’expériences que nous avons peut faire.
Cela dit avoir une traduction précise du texte nous aurait fait gagner du temps car nous n’aurions pas été obligés de redécouvrir tout cela.
En ce qui concerne le matériau nanocristallin ce qui est important c’est de connaître ces caractéristiques.
Temps de propagation du magnétisme cycle d’hystérésis etc.

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Ecrit le: Mercredi 15 Novembre 2006 à 21h09 Posted since your last visit
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Oui le fonctionnement expliqué par l'effet du matériau nanocristallin est donné dans le papier fondateur du MEG par Bearden ici:
http://web.archive.org/web/20051024082640/...gy/MEGpaper.pdf
(le document original a disparu, j'ai mis le lien d'un site qui a fait l'archivage du document)

J'avais mis ce lien à disposition avec un résumé des théories sous jacentes à l'explication de Bearden qui est dans ce document ici:
https://www.chercheursduvrai.fr/meg/theorie.php

C'est même la raison pour laquelle je disais que je pense avoir montré que le MEG de Naudin ne fonctionne pas et non pas le MEG tout court puisque le MEG tel qu'énoncé par Bearden n'est pas du tout celui de Naudin, donc pas ma réplique non plus ni aucun des montages réalisés par quiconque à ma connaissance (mais je n'ai pas la prétention de connaître tout le monde aussi....)

Bref, il se peut que le MEG marche ou pas, par contre l'explication du brevet du MEG elle n'est PAS DU TOUT l'explication de Bearden( qui rappelons n'est que co inventeur avec plusieurs autres personnes):
http://www.cheniere.org/references/MEG_Patent.pdf

C'est sur cette explication du brevet officiel que se basent les montages de tous les constructeurs de MEG actuels (y compris Naudin) et qui semblent n'avoir jamais marché.
Donc il reste la possibilité que ce brevet soit correct dans le principe mais faux dans la technique de manière volontaire pour empêcher la reproduction.


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Ecrit le: Mercredi 15 Novembre 2006 à 21h56 Posted since your last visit
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Re
Perso le « Mécanisme » du Meg m’a toujours paru logique, avec les années j’ai appris à faire confiance à mon instinct.
Donc là-dessus je ne changerais pas ma position même si aucun de nous ne parviens à faire marché le machin,
c’est tellement facile de passé à coté du cheveu qui est essentiel au fonctionnement.

Concernant le travail à faire la première tache que je me suis assigné est d’obtenir le mécanisme de fonctionnement.
Même si la sur unité n’est que de 3 ou 5 % du moment qu’elle est là et ça je pense que l’on peut l’obtenir même avec des matériaux pas totalement parfais.
Après lorsqu’on tient le bout de la ficelle il ne faut pas la lâcher, la première étape est de s’assurer que c’est reproductible.
Et lorsque c’est établi on tourne autour de l’objet afin d’augmenter le rendement.

Perso il y a pas mal d’erreur grossière que j’ais fais au départ, comme utiliser des pastilles trop puissantes,
ne pas tenir compte du champ de bouclage, la taille du circuit magnétique, ne pas laissez d’entrefer assez grand, qui empêche la constitution de domaine magnétique distincts.

Ce qui m’as fais prendre conscience de tout ça c’est d’une part les expériences et d’autre part la simulation.

Fort de toutes ses pistes qui malgré tout se ressert et converge gentiment, il va falloir un peut de rigueur et de patience, pour parvenir à quelque choses.

Rappelez-vous que la différence fondamentale entre le chercheur qui trouve et ceux qui abandonne c’est la résistance à l’échec.

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Ecrit le: Mercredi 15 Novembre 2006 à 23h05 Posted since your last visit
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LABO343
15 NOVEMBRE 2006 MEG

Bonjour, je m'appelle Climens Aimé, j'habite au 4 rue colonel Fabien 66130 ille sur tet à 25 KM de Perpignan dans les Pyrénées Orientales. Mon activité est PDG d'une micro centrale hydroélectrique située à Nohèdes à 12 km de Prades et à 36 km de mon domicile. Je suis passionné d'électromécanique depuis toujours et très inquiet du pic Hubbert depuis 2004, année ou j'en ai pris connaissance. Le test du MEG est chez moi, par commodité.
Je ne sais pas si vous avez connu les "shadoks" dans les années 60-70. J'ai l'impression de faire partie d'une bande de "gibis" connectés avec leur chapeau. C'est très excitant. La vidéo est de qualité "article 22" mais je crois qu'elle parle. à plus...
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Ecrit le: Jeudi 16 Novembre 2006 à 00h41 Posted since your last visit
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Bonjour à tous

On va y arriver ! Courage et patience. Il a fallu 50 ans pour que la communauté scientifique internationnale adopte définitivement l'effet Aharonov-Bohm (AB) dont est issu le MEG. Je vous communique, pour ceux qui en connaissent un rayon en "haute physique" les infos suivantes : cherchez avec Google les articles de M. Germain ROUSSEAUX, type Pdf. Bien qu'ils soient hards à lire, leurs introductions sont assez abordables en termes de compréhension.

Maintenant un peu de physique élémentaire sur l'effet AB.
On a toujours été enseignés que le déplacement d'une spire dans un champ magnétique B, c'est-à-dire que le circuit de la spire "touche" une "ligne de champ", donne naissance à une tension e aux bornes de la spire et par suite , un courant.
Selon la loi de Faraday, e = d phi/dt avec phi = B.s (s étant la surface de la spire), autrement dit e= variation du flux / variation de temps.
Or dans l'effet AB, on s'arrange pour que le champ B, donc le flux, soit PIEGE dans un solénoïde lui-même entourant un circuit magnétique de haute performance comme le matériau nanocristallin de façon à ce que AUCUNE LIGNE CHAMP B NE SORTE SUR LE COTE DU SOLENOIDE SAUF BIEN SUR A SES EXTREMITES pour constituer les pôles nord et sud. En clair il n'y a pas de fuites magnétiques sur les côtés du solénoïde toutes les lignes de champ sont A L'INTERIEUR DU CIRCUIT MAGNETIQUE.
Suite de l'expérience AB: maintenant prenons une spire étrangère au solénoïde, disposons-la autour du solénoïde, par exemple à sa moitié et faisons varier le courant dans le solénoïde. Vous avez deviné : puisqu'aucune lignes de champ ne "touche" la spire, dans celle-ci , il ne doit pas y avoir de création de courant. Eh bien votre raisonnement était bon et valable jusqu'en 1957, date du prix Nobel décerné à Aharonov et Bohm, car il y a bien création de courant dans la spire extérieure même si aucune ligne de champ ne touche le conducteur de celle-ci. Surprenant ?
Alors comment les électrons de la spire extérieure "savent" que le champ B varie à "l'INTERIEUR " du solénoïde, eh bien c'est Maxwell qui nous le dit : il existe un potentiel magnétique qu'on appelle "potentiel vecteur magnétique" qui se transmet vers la spire extérieure , créant ainsi un champ électrique dans la spire extérieure, mettant ainsi en mouvement les électrons DONC COURANT I.
On voit déjà qu'il faut IMPERATIVEMENT UTILISER UN CIRCUIT EN MATERIAU ADEQUAT pour que le MEG fonctionne sur le principe de l'effet AB.
A + pour la suite que j'essaye de déchiffrer. icon_razz.gif
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Ecrit le: Jeudi 16 Novembre 2006 à 22h24 Posted since your last visit
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Bonsoir à tous,

Réponse à LABO 343
C’est bien dommage que je sois aussi loin de vous je serais bien passé vous voir.
Je réside en région parisienne ce n’est pas que ça m’amuse mais bon c’est comme ça.

En se qui concerne les données ‘Aharonov-Bohm’ je n’ai personnellement pas attendu que cette théorie
Soit validé par les scientifiques pour raisonner avec ce principe.

En revanche je reste convaincu que le fait de mettre en avant les caractéristiques de la matière pour faire
Barrière quelques part, aux bonne volontés qui voudrais tenter une réplique me gène un peux.

Je reste convaincu que le secret n’est pas là.

Je ne dis pas que le métal n’est pas important dans le rendement global du système certes,
Pour exemple, l’emploi de métaux feuilleté ou aggloméré pour les champs variant.
Mais même avec des métaux plein il y a fonctionnement simplement les pertes fer sont importantes
Le mécanisme reste valide.

Je deviens prudents presque paranoïaque avec ce type de commentaire, de la part des scientifiques.
De plus je rejoins complètement le point de vu de LABO lorsqu’il dit qu’il ne comprend pas
La démarche de Bearden avec sa volonté de gardé ces infos pour lui plus ou moins.
La planète est dans un tel état que l’on ç pas le luxe de travailler uniquement pour sa paroisse.

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Ecrit le: Vendredi 17 Novembre 2006 à 00h27 Posted since your last visit
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LABO 343 MEG
16 NOVEMBRE 2006.
Bonjour, dans un transfo classique il y a consommation et production d’énergie sur une base d’égalité (moins les pertes ohmiques et les pertes dans le fer). Il y a donc un échange
Symétrique. Dans mon test vidéo la symétrie est rompue par la présence de l’aimant permanent dans l’enchaînement des réactances et non par la nature du matériau du circuit magnétique. Dans le test de Bearden les bobines de puissance ont certainement une forte résistance ohmique vu le grand nombre de spires fines qui les composent. Il est impensable
De négliger la perte ohmique dans son montage. Dans mon premier test la perte ohmique sur les seules bobines de commande était de l’ordre de 50% avec 3 ohms de résistance. Alors que penser de la résistance de 1500 spires en fil fin ? Maintenant je ne dépasse pas les 1% de pertes grâce au bon calcul du nombre de spires en rapport avec la fréquence de commutation. Je pense que les bobines de puissance du montage Bearden consomment presque tout le gain possible de son test en pertes ohmiques. La perte ohmique empêche toute visibilité du système MEG. Grâce à son éradication mon test actuel « consomme » une énergie à vide dont seulement 1% est identifiable. Je ne sais toujours pas comment expliquer la même consommation en charge. Je n’arrive pas à mettre en place le chevauchement vraisemblable des réactances. Pourtant mon test est simple. Je bute la dessus. A plus…

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Ecrit le: Vendredi 17 Novembre 2006 à 23h13 Posted since your last visit
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Bonsoir,
J’ai beau regarder la vidéo encore et encore et compulser des documents je ne vois pas le début d’une explication.

Une question, se phénomène existe avec d’autre forme et ou position de bobine ?

A+++


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Ecrit le: Vendredi 17 Novembre 2006 à 23h44 Posted since your last visit
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LABO343
MEG
17 NOVEMBRE 2006

Bonjour, pour répondre à Quartz : non je n'ai pas noté un tel phénomène avant.
J'avais des "comptes qui n'étaient pas bons" mais pas comme ca !
J'ai toujours la tete qui "fume" pour l'expliquer. Apparemment il y a un facteur géométrique la dedans. Je vais faire un test en utilisant deux bobines carrément concentriques pour voir. Pour cela je vais récupérer du cable coaxial télé et je vais en bobiner 28 spires. Le fil du centre "sera" une bobine et le blindage "sera" l'autre bobine. On verra ce que ca change. Mais je ne touche pas au test actuel. Je monterai ce système de l'autre coté. J'ai une phrase qui me "parle": "quel est le taux de coincidence géométrique entre les bobines". J'ai fait un DVD de mes expériences. Si ca tente quelqu'un, voir mon e-mail. à plus...
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Ecrit le: Dimanche 19 Novembre 2006 à 11h53 Posted since your last visit
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Bonjour à tous,

Ayant passé quelques heures au labo hier je vous livre mes résultats de mesure ainsi que mes hypothèses.
Evidement à prendre avec des pincettes, ça va sans dire.

Un champ magnétique qu’il provienne d’un aimant ou d’un électroaimant lorsqu’il est injecté dans un circuit,
Est très difficile à déloger ça pour moi c’est devenu vrai ce qu’il y a de pire avec une pastille est que la pénétration magnétique se fait également sur toute la section du circuit,
se qui pour l’électroaimant n’est pas vrai.
En effet, l’intensité magnétique est plus importante en périphérie proche des conducteurs.

Ce qui nous induit en erreur sans mauvais jeu de mots, est notre habitude de travailler avec des transfos standard qui eux fonctionne en variation sinusoïdale,
donc on passe de rien à un champ progressivement plus élevé puis diminution progressive et ainsi de suite.
Hors là nous somme au champ max et par un champ opposé on veut imposer une autre direction.

Etant donné que nous somme vers la saturation le retournement électronique de la matière est très difficile.
Il subsiste toujours un facteur d’hystérésis qui fonctionne de proche en proche au sein de la matière.

Faite l’expérience suivante, un barreau en métal magnétique de 50mm de long 15 mm de diam.
Positionnez une pastille de Néodyme de diam15mm Nord sur le barreau et en suite tentez d’installer à l’autre bout une pastille identique face Nord également sur le barreau.
Ce qui est intéressant à observer c’est l’approche de la pastille, entre 10 et 2mm environ la pastille est repousser par le barreau.
Passé cette distance elle adhère au barreau.
On obtient une réorganisation magnétique locale du barreau.

Mais avant ça la matière lutte pour garder sont orientation magnétique.

Mes conclusions sont les suivantes, il est probablement plus simple de travailler sur l’allongement du parcours du champ que sur le changement de sens.
Et c’est là que le brevet Galey de 1975 prend toute sa valeur.

Cela correspond pour votre maquette LABO343 à déplacer le lingot de Néodyme sur un coté,
Et à se servir du bras du milieu comme court circuit magnétique en bobinant une spire sur l’entrefer afin de jouer sur la réluctance du circuit exactement le brevet Galey en somme.

Pour ma part je vais monter une maquette dans ce sens sans oublier de travailler avec des pastilles moins puissantes pour travailler plus en finesse,
ce qui n’a pas été franchement ma démarche jusque là !!

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Ecrit le: Dimanche 19 Novembre 2006 à 17h02 Posted since your last visit
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LABO 343 MEG
19 NOVEMBRE 2006.
Bonjour, j’ai réussi à trouver un début d’explication au test de la vidéo. J’appellerai cela :
« un jeu de réactances circulaire ». Pour le moment il s’agit d’un concept.
On prend pour base le fait que la bobine de commande est alimentée en courant continu, uniquement pendant le temps correspondant à sa constante de temps La bobine de puissance est identique à la bobine de commande et est elle est connectée à une charge à travers une diode, de façon à ce que le courant circule dans cette charge uniquement quand un courant circule dans la bobine de commande.
Lorsque la bobine de commande est connectée, le jeu des réactances commence. La première réactance limite le courant initial. La deuxième réactance est due à la présence de l’aimant permanent et elle tend à augmenter le courant dans la bobine de commande : l’aimant permanent agissant en « inverseur de polarité » de la réactance initiale. La troisième réactance est due à la présence de la bobine de puissance reliée à une charge. Son action s’oppose à ce qui l’a créée, soit la décroissance du champ due à l’opposition entre l’action de la bobine de commande et celle de l’aimant permanent. Son action s’oppose donc à la deuxième réactance et donc finalement tend à limiter le courant dans la bobine de commande. Donc on devrait avoir comme résultat de la charge la baisse de la consommation initiale. Cependant cette baisse de la consommation initiale a elle même une conséquence inattendue, à savoir que la chaîne des trois réactances citées auparavant va être elle même modifiée en retour en sens inverse. Il va donc y avoir un point d’équilibre atteint en fonction de paramètres externes à ces réactances elles même. En ce qui concerne la consommation à vide, c’est pareil. La deuxième réactance tendrait à supprimer la première et à laisser le courant dans la bobine de commande uniquement limité par la résistance ohmique. Il n’en est rien et ce que j’appelle la « profondeur de dé réactance » caractérise le point d’équilibre atteint à la suite de la réaction en retour sur la chaîne des deux réactances initiales : elle arrête d’augmenter le courant initial.
Il y aurait donc un espèce « d’écho » à la chaîne des réactances qu’il faut identifier et supprimer. Peut être est ce lié au taux de couplage des bobines et de l’aimant…à plus.
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Ecrit le: Lundi 20 Novembre 2006 à 17h35 Posted since your last visit
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Bonjour

Est-il possible d'insérer des images Jpeg dans une réponse de façon à apporter des explications précises au fonctionnement du MEG, fonctionnement que j'ai commencer à déchiffrer en lisant le brevêt et d'autres documents ?
Merci de votre réponse.
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Ecrit le: Lundi 20 Novembre 2006 à 21h57 Posted since your last visit
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Bonsoir à tous,

Pour répondre à BOG571 oui c’est possible mais par lien sur un serveur, voici l’adresse que j’utilise mais il y en a bien d’autre.

http://img206.imageshack.us/

Il suffit de faire un Up Load je ne me souviens pas si il faut s’enregistrer mais c’est simple.
Une fois l’image remonté il suffit de mettre le lien sur le forum.
Sur se site le dernier lien des cinq proposés est le plus simple.

J’ai fini de bobiné ma bobine plate je vais faire des tests dans la semaine je vous tien au courant.
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Ecrit le: Mardi 21 Novembre 2006 à 23h01 Posted since your last visit
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Pour poster une image:
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...p?showtopic=106

(c'est imagehackus et il n'y a pas besoin d'inscription....)


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Ecrit le: Mardi 21 Novembre 2006 à 23h25 Posted since your last visit
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21 NOVEMBRE 2006.
LABO 343 MEG
Description de la photo postée le 29 octobre en page 6.
En premier plan on voit le circuit magnétique issu d’un transformateur triphasé de 6 kilowatts.
Les lames en E et les lames en I sont regroupées entre elles pour permettre le montage et démontage des bobines et de l’aimant. L’aimant permanent est situé en haut du noyau magnétique central. Les tôles en E sont liées entre elles par de la ficelle en haut et par des boulons isolés en bas. Les tôles en I sont liées entre elles par des boulons isolés. Les bobines
De commande et de puissance sont identiques et sont constituées par du fil émaillé de 1 mm d’épaisseur et de 10 mm de large. Il y a 28 spires dans chaque bobine. La résistance ohmique de ces bobines est de 0,017 ohms. La bobine de droite est la bobine de commande. Elle est reliée par l’avant à un fil jaune qui part vers le haut de la photo. Il est relié lui même à travers une résistance de protection au pole « moins » de la batterie de 12 volts visible à gauche. Cette résistance est constituée par 20 spires de fil de fer de clôtures limitant le courant de court circuit à 50 ampères environ. Ce n’est qu’une simple protection. Si j’avais un disjoncteur ultra rapide on pourrait l’éliminer. Le deuxième fil (rouge) de cette bobine part de son centre à droite et va se connecter au relais statique. Ce relais de marque « crydom » D06D80 est lui même relié au pole « plus » de la batterie à travers un interrupteur « marche / arrêt » et un disjoncteur calé à 30 ampères. L’ampèremètre qui mesure l’intensité consommée est posé sur le pole « moins ». Le relais statique est refroidi par un radiateur en aluminium récupéré sur une alimentation de machine. La bobine de gauche est la bobine de puissance. Elle est reliée en son centre à gauche à un fil rouge. Ce fil est relié à la charge : une ampoule de 12 volts 50 watts à iode. La deuxième extrémité de la bobine de puissance est reliée à une diode par l’arrière. On aperçoit le radiateur de cette diode à travers le coté droit du circuit magnétique. La sortie de diode définit le pole « moins » et se connecte à la charge à travers un interrupteur manuel (fil noir en bas à gauche) qui permet la coupure de cette charge. Le relais statique est commandé par un relais inverseur de marque « clare » LCC110, situé dans le boîtier blanc en bas à gauche. Ce relais est lui même commandé par un générateur de tension rectangulaire dont l’angle du boîtier est visible en bas à droite. Une petite batterie de 12 volts
( en bas à droite, en noir avec le fil rouge qui part du +) est utilisée pour alimenter le circuit de commande du relais statique afin d’éviter les interférences avec le circuit de puissance. Le générateur de signal rectangulaire est alimenté sur le secteur 220 volts.
à plus...
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Ecrit le: Samedi 25 Novembre 2006 à 23h53 Posted since your last visit
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25 NOVEMBRE 2006.
LABO343 MEG
En regardant l’expérience filmée j’ai relevé un détail. Au moment ou la charge est connectée
APRES le fonctionnement à vide, il y a un court instant de légère surconsommation visible sur l’ampèremètre. Or le seul point particulier de cet instant est que la résistance de la charge
Froide est inférieure. Partant de là je me suis demandé ce qu’une charge de résistance supérieure provoquerait. Donc test avec une charge de 12 volts 20 watts. Et là : BAISSE
De l’intensité en passant du fonctionnement à vide au fonctionnement en charge. Pas une grosse baisse : 0,5 ampère environ. Mais BAISSE. Mon idée de ce qui se passe : on aurait donc une « plage » de « contre / contre/ réactance » effective définie entre le fonctionnement
A vide et le fonctionnement avec une charge particulière qui provoque l’égalité entre la consommation à vide et en charge. Au delà de cette égalité (avec une résistance de charge
Inférieure au point d’égalité) la consommation en charge est définitivement plus forte que la consommation à vide. Si la résistance de charge est très élevée la baisse de la consommation ne doit pas avoir d’amplitude décisive car le champ magnétique contraire est trop faible. Il doit donc y avoir une valeur optimum à trouver dans cette « plage » de résistance de charge.
Apparemment il y a confirmation du jeu des réactances et voila donc une machine qui consomme moins en charge qu’à vide. A plus.
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Ecrit le: Dimanche 26 Novembre 2006 à 15h46 Posted since your last visit
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Bonjour à tous,

Plutôt une bonne nouvelle cette observation.
Il y a donc de l’espoir.
Pour ma part j’ais fais une série de tests sur le transfo en forme de bobine plate.
J’ai fais un montage du type boost utilisé dans les alims à découpage, cela consiste à mettre la bobine sous
tension un bref instant puis à récupérer le courant au borne de cette même bobine lord de l’extinction.

L’observation majeur qu’il résulte est la forme du signal de récupération aucune sur oscillation n’est présente même lorsque la bobine ne débite sur aucune charges.
Voici une image du type de signale que j’obtiens.
http://img327.imageshack.us/img327/3065/bobineplate7dd1.jpg
La trace du haut l’excitation. 10V/carreau
La trace du bas étant la récupération. 100V/carreau
En travaillant sur les temps ON et OFF en débitant sur une charge « moteur CC de petite taille »
J’ais obtenus 91% de rendement entre courant entré/sortie.
Entré 0.65 W sortie 0.6 W

Donc il reste du travail avant de parler de sur-unité.

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Ecrit le: Dimanche 26 Novembre 2006 à 17h47 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
26 NOVEMBRE 2006.
Nouveau test : avec un rhéostat de 33 ohms. Je place le rhéostat en série avec la charge (12 volts et 50 watts) avec la mesure « 0 ohm supplémentaire ». Je connecte le MEG en charge et puis j’augmente la résistance peu à peu. La consommation baisse jusqu’à 3 ohms supplémentaires de 0,5 ampère environ. Puis très vite la consommation redevient la même qu’à vide. 3 ohms supplémentaires correspondent au test de charge avec 12 volts 20 watts.
Cela confirme que l’action de « contre/ contre/ réactance » n’est efficace qu’à partir d’un seuil
Se situant apparemment à la moitié de la charge provoquant l’égalité de consommation « vide/charge ». Donc la hausse linéaire de la résistance de charge n’entraîne pas une baisse
Linéaire de la consommation comme dans un transformateur classique. A plus…
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Ecrit le: Lundi 27 Novembre 2006 à 20h06 Posted since your last visit
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Cela me fait penser à un circuit résonant RLC dont vous avez trouvé l'accord par ajustement de la résistance. la bobine de sortie consitue l'inductance bien sûr, la capacité est la capacité parasite inhérente et pour R convenable la consommation est au maximum.

Il faudrait que je reregarde rapidement les circuits RLC mais c'est ma première idée.


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Ecrit le: Vendredi 01 Décembre 2006 à 19h12 Posted since your last visit
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LABO343
MEG 1 DECEMBRE 2006
Bonsoir, je vais fabriquer un deuxième MEG. J'ai récupéré un autre transfo triphasé et je vais y coller le meme aimant au meme endroit. Depuis mon dernier test je ne peux pas évoluer sans détruire la preuve visible du jeu des réactances.
Donc en voiture pour le second MEG. Je vais tester des bobines "concentriques longues" posées au milieu d'un des noyaux extérieurs du circuit magnétique. Cela afin d'etre sur que la superposition des flux de l'aimant et des bobines sera géométriquement exacte. En effet j'ai peur que dans le test actuel la bobine de commande soit proche d'une zone partielle de faible concentration du flux de l'aimant permanent due à la séparation en deux du flux central de ce meme aimant. à plus... en passant: le pétrole remonte. Sans commentaire.
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Ecrit le: Vendredi 08 Décembre 2006 à 18h32 Posted since your last visit
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8 DECEMBRE 2006.
LABO343 MEG

Paramètre inchangé depuis le début des tests.
Un seul paramètre est inchangé : la superposition d’un circuit magnétique permanent ( a deux voies et noyau central) avec un circuit magnétique à flux variable ( situé uniquement à la périphérie du précédent).
Si il y avait eu superposition de deux flux dans un tore il n’y aurait pas eu de résultat. Pas plus dans un circuit rectangulaire ou carré. Le flux variable ne circule effectivement pas à travers l’aimant permanent à cause de sa très grande réluctance. L’erreur a été de penser (au début des tests) que l’aimant permanent devait être géométriquement modifié pour agir : il « agissait » déjà grâce à la géométrie du circuit magnétique. Mon obsession était aussi de maîtriser la puissance produite et de supprimer les pertes ohmiques : préalable inévitable.
Ce qui m’a « attrapé » au début c’est le doublement de la tension de sortie sur les bobines de puissance en cas de permutation des bobines de commande par rapport au simple « marche / arrêt » sur une seule bobine de commande. C’était la manifestation évidente de l’action de l’aimant permanent. Cela validait le rôle de « robinet » magnétique des bobines de commande. Je pensais donc que le flux permanent pouvait être dévié. Au fur et à mesure des tests l’idée de superposition des flux est apparue puis est devenue insistante : tout cela « collait ». Puis j’ai basculé grâce au concept de réactance. La recherche systématique du rendement m’a amené à la parité du nombre de spires des bobines de commande et de puissance et surtout au faible nombre de spires. Le hasard m’a amené au rendement le plus élevé avec une seule bobine de commande. Ce hasard m’a aussi amené au résultat surprenant
D’égalité de consommation à vide et en charge : une porte s’ouvre sur l’inconnu. Mon deuxième MEG est en construction pour essayer les bobines concentriques positionnées
Sur un noyau extérieur. Ce qui est sur, c’est que cette géométrie du MEG permet à un aimant permanent d’agir fortement et de perturber les règles admises sur l’échange inévitable de l’énergie : à vide on sait pas ou ça va et en charge on sait pas d’ou ça vient. a plus..
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Ecrit le: Vendredi 22 Décembre 2006 à 23h38 Posted since your last visit
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LABO343
22 DECEMBRE 2006.
Je suis en train de contacter des amis ou des connaissances pour qu’elles viennent voir le test
Matériel décrit dans la vidéo http://video.google.fr/videosearch?q=reactances . Voir une vidéo ne remplace pas la réalité avec la possibilité de regarder de tous les cotés pour voir s’il n’y « a pas un truc ».
Pour mon deuxième test le problème est évidemment le découpage précis de la partie du circuit magnétique ou est inséré l’aimant permanent. Je cherche une méthode pratique et rapide pour pouvoir multiplier les tests. En effet il est assez facile de trouver des transfos triphasés dans une casse mais obtenir une découpe des tôles au dixième de millimètre demande de la patience.
Donc pour le moment j’avance lentement. A plus…
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Ecrit le: Jeudi 04 Janvier 2007 à 19h30 Posted since your last visit
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4 JANVIER 2007.
LABO 343 MEG
Nouveau test possible pour : http://video.google.fr/videosearch?q=reactances
Liaison possible du rendement avec l’effacement complet du flux permanent sur une des branches du circuit magnétique.

L’idée est de régler la tension d’alimentation à vide pour égaliser précisément le flux de la bobine de commande et celui de l ‘aimant permanent. Dans ce cas la déréactance devrait être
Complète et le courant passant dans la bobine limité par la seule résistance ohmique. Cela suppose que le champ magnétisant est instantané et que le champ magnétique « réalisé » est
Lié au temps. L’effacement du champ permanent sera donc fonction des ampères tours. La
Bobine de commande comprenant 28 spires, le réglage se fera sur les ampères.
On supposera que la déréactance est définie dès que le champ magnétisant est actif. Donc la réactance d’une bobine sans champ magnétique opposé sera « entière ». Dans le cas d’une bobine opposée à un champ permanent la réactance deviendra la somme algébrique de l’action du champ permanent et du champ magnétisant de la bobine : cela deviendra une « déréactance ». Dans le cas de deux bobines identiques en opposition de flux mais superposées géométriquement et connectées ensemble, il y a disparition de la réactance mais pas de la constante de temps. Par identité de fonctionnement, dans le cas d’une bobine opposée à un aimant permanent, la réactance disparaîtra mais pas la constante de temps.
Pour la réalisation de ce nouveau test il faut calculer le champ magnétisant précis nécessaire à l’annulation du champ permanent. Donc il faut connaître l’induction produite par l’aimant permanent puis prendre sa moitié et chercher le nombre d’ampère tours nécessaires pour la contrer en fonction de la perméabilité du matériau magnétique traversé. Dans la branche ou les flux s ‘annulent le calcul est direct mais dans l’autre branche le flux permanent s’ajoute au
Flux de la bobine et il faut peut être en tenir compte pour intégrer le degré de saturation magnétique dans le calcul des ampère tours. Il ne faut pas oublier les entrefers parasites, difficiles à éviter. Bref on va y aller « au pif » et noter les résultats en chemin.
Cela n’enlève en rien de la valeur du test avec un nouveau MEG dont les bobines seront disposées en long et sur un noyau extérieur.
A part cela, bonne année et si vous voulez lire le rapport STERN il est ici : http://www.hm-treasury.gov.uk/independent_...eview_index.cfm

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Ecrit le: Mardi 16 Janvier 2007 à 23h34 Posted since your last visit
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16 JANVIER 2007.
MEG LABO343
Taux de coïncidence géométrique (suite)
Finalement, l’hypothèse la plus cohérente pour l’expérience filmée :
http://video.google.fr/videosearch?q=reactances est celle d’un taux de coïncidence géométrique imparfait des flux magnétiques opposés et superposés au niveau des bobines de commande et de puissance. D’une part il y aurait une partie correctement superposée qui induirait ( à vide) une « dé réactance » totale dans la bobine de commande et d’autre part une partie ou le champ permanent serait absent et ou seule régnerait la simple réactance « classique ».
Cette anomalie de répartition de la superposition des champs serait liée à la distribution géométriquement préférentielle des lignes de force de ces champs. La question est donc : comment « voir » la distribution des lignes de force des deux champs dans le circuit magnétique pour pouvoir réaliser effectivement la superposition complète.
Partant de cette hypothèse géométrique, la bobine de puissance agirait à égalité en
« dé-déréactance et en déréactance » c’est à dire sans modification de la consommation à vide. Cela signifierait que 50% du flux issu de la bobine de commande ne serait pas correctement superposé avec le flux de l’aimant permanent au niveau de cette même bobine. A suivre…
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Ecrit le: Mercredi 17 Janvier 2007 à 07h37 Posted since your last visit
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Bonjour à tous, icon_biggrin.gif

Pour LABO343, à force de mesures de tous poils je suis parvenu à me faire une hypothèse,
Selon moi et ceci n’engage que moi les lignes de champs suive se parcours voir dessin,
http://img490.imageshack.us/img490/5206/hypothsefa6.jpg
sur une surface muni de capteur à effets Hall on peut voir que le champs magnétique deviens
non homogène avec l’excitation de la bobine de blocage.
Le problème que j’ais rencontré est que les capteurs étaient un peut gros vis-à-vis de la surface à mesurer.
Donc ma précision n’ais pas assez élevé pour être plus affirmatif que cela.
Cela dit cela éveillera peut être quelque chose chez vous.

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Ecrit le: Mercredi 17 Janvier 2007 à 18h12 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
17 JANVIER 2007.
Sur le problème des lignes de force. Merci à Quartz pour votre image. Le circuit du MEG
Ne correspond pas à cette image car les lignes de force visibles sur le dessin sont en partie extérieures à ce circuit. Si tout ceci se passait dans l’air ce serait autre chose. Le circuit magnétique de mon test : http://video.google.fr/videosearch?q=reactances est fermé. A partir de ce moment, aucune ligne de force ne peut se situer dans l’air en dessous de la saturation.
La bobine de commande fait circuler tout son flux dans la partie périphérique du MEG et rien ne transpire. Pour le vérifier il suffit d’approcher une fine tôle de transfo le long du circuit magnétique connecté : aucune attraction sauf si on surcharge la bobine de commande dans la partie ou le flux permanent et celui de la bobine s’ajoutent. Ce matin je me suis levé en imaginant une astuce pour commencer à « voir » dans le circuit magnétique. Si on « coude »
La bobine de commande à 45° et qu’on la présente avec la partie verticale en bas du barreau
Ou elle est placée on va avoir une mesure de consommation à vide X. Ensuite on place la partie verticale de cette bobine coudée en haut de ce même barreau et on mesure la consommation. Si la consommation est égale, on voit rien. Mais si il y a une différence elle viendra du taux de coïncidence des flux. Il faudra faire une bobine un peu plus grande pour pouvoir la déplacer en travers sur le barreau. Ensuite on fait circuler cette bobine connectée le long du circuit d’annulation des champs et on regarde l’ampèremètre : si le courant de consommation à vide augmente c’est qu’on se rapproche de la coïncidence entière des flux. Le point ou le courant est le plus fort sera celui ou on laissera la bobine de commande et celle
De puissance tout à coté. J’ai très peu de temps pour mes tests en ce moment et je regrette de ne pouvoir apporter des mesures effectives. A plus…

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Ecrit le: Lundi 29 Janvier 2007 à 16h20 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
29 JANVIER 2007.
Taux de coïncidence des flux : hypothèse de la répartition du flux permanent par la réluctance.
On démarre en définissant l’aimant permanent comme le « moteur » du flux dans son circuit magnétique. Ce « moteur » actionne un « débit »(le flux) à partir de sa section propre dans le circuit magnétique. L’aimant permanent étant placé au centre du circuit magnétique double, il va y avoir possibilité de répartition du flux dans les deux branches au pro rata de leur réluctance propre. Mais les deux circuits extérieurs sont « courbes » même si ils sont rectangulaires. Cela signifie que la trajectoire proche de leur face intérieure est inférieure à la trajectoire proche de leur face extérieure : donc la réluctance des deux circuits magnétiques
Extérieurs n’est pas homogène. Elle est plus grande à la périphérie qu’au centre. De plus le flux permanent circule dans ces circuits extérieurs loin de toute saturation. La conséquence en est que le flux permanent n’occupe qu’une partie « centrale » des circuits magnétiques doubles. Ainsi s’explique aisément le fait que la bobine de commande dans le test
http://video.google.fr/videosearch?q=reactances ne soit pas le siège d’un taux de coïncidence
des flux complet : la partie supérieure de cette bobine se situe dans la partie extérieure du
circuit magnétique, non irriguée par le flux permanent pour cause de réluctance plus élevée.
Il faut donc trouver une manière de répartir le champ permanent de façon homogène sous la bobine de commande. Le plus simple est d’utiliser un tout petit entrefer. En effet dans un entrefer d’épaisseur uniforme l’induction est uniforme. Donc cette uniformité entraîne la nécessité de la présence uniforme locale du flux dans le métal constituant les faces de cet entrefer. On poserait donc la bobine de commande contre cet entrefer. En pratique le test
Ici décrit utilise des lames en E et des lames en I. La jonction des deux se fait avec deux entrefers, même si ils sont minuscules. On placera donc la bobine de commande à raz de l’entrefer gauche, en haut de la colonne gauche du circuit magnétique double. Pour que l’entrefer soit uniforme on y glissera une feuille de papier entre les tôles. On peut placer la bobine de puissance tout à coté ou bien sur l’entrefer droit, puisque son action est périphérique. A voir.

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Ecrit le: Vendredi 09 Février 2007 à 16h29 Posted since your last visit
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LABO343 MEG
9 FEVRIER 2007.
Taux de coïncidence des flux : suite.
Si l’on suit l’hypothèse du positionnement des bobines de commande et de puissance sur un entrefer il sera évident d’utiliser des bobines plates. En effet seules les bobines plates peuvent
situer toutes leurs spires sur la fine zone de l’entrefer. Une bobine longue ne possèderait qu’une petite fraction de ses spires en position de parfaite coïncidence des flux. A suivre…

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