Le Fluide Espace Temps, La Physique du 21ème Siècle

Bonjour à tous,

Une théorie de Franck DELPLACE.

Une nouvelle vision de l’infini grand à l’infini petit.

Le Fluide Espace Temps 1/3

Le Fluide Espace Temps 2/3

Le Fluide Espace Temps 3/3

A++

J'ai regardé ça avec beaucoup d'intérêt. Il a réussi à interpréter les équations fondamentales de la mécanique quantique et de la relativité générale de manière unifiée. Un autre regard de ce qui existe déjà.

Et là il en sort l'éther dense qui a été si souvent introduit à de nombreuses reprises sans fondements mathématisés.

De plus il parle de création de nouveaux atomes en changeant la densité de pression sur les électrons et parle d'une expérience réalisée avec succès en ce sens. or il se trouve que cela correspond complètement à la manière dont Walter Russel décrit la matière: il dit que les atomes différents sont une même entité qui est soumise à des forces de pression extérieurs "électriques" et contre pression intérieurs "magnétiques" , selon ses appellations, différentes.

Il dit qu'en changeant ces paramètres on transforme un atome en un autre car les électrons ne sont qu'un faux effet apparent des zones moins dense de l'élément qui sont sur l'extérieur. Cela se rejoint.


Son travail est très intéressant; une belle avancée.

Merci d'avoir partagé ton information. Tu as trouvé ça comment?

Bonsoir à tous,

Bonsoir Chercheur,

J’ai trouvé ça, dans la revue Science et Inexpliqué n°21 de Mai-Juin. Je viens de commander son livre : Porte Ouverte Sur La Physique Du 21ème Siècle chez priceminister

Dans le n° 23 de Septembre-Octobre de Science et Inexpliqué, ils disent que des mesures faites par un satellite de la NASA confirme sa théorie.

Je fais un certain rapprochement avec la théorie d’Oliver Crane qui explique l’attraction des aimants par la théorie de Bernoulli.

A+++

Merci pour ton info. Je viens de lui commander son livre à l'instant grâce à ton lien.

Moi aussi j'ai fait un rapprochement avec Crane en parlant d'univers fluide; c'est même la première théorie que j'ai pu lire qui énoncé cette idée (mais sans utiliser les théories physiques classiques comme appui comme le fait Franck Delplace.

Mais il (Crane) ne s'occupe pas de mouvement global du milieu mais de mouvement local et décrit des choses supplémentaires. En tous cas il y a des ponts en effet.

Bonsoir,

Je viens de recevoir le bouquin. Il a l’air très intéressant; en feuilletant les premières pages, j’ai vu son approche des constantes dites universelles, je partage son avis. Par contre il ignore totalement le magnétisme !

Un site avec la théorie du Dr. Nikolai A. Kozyrev qui se rapproche de l’éther fluide

A++

Ce qui est en Haut est comme ce qui est en Bas dans nos éléments de plomberie !!
Splendide aventure que de descendre les rapides de miel qui s'écoulent d'un big bang vers un trou noir..
Tout cela tourne trop harmonieusement pour que le Divin jouasse aux dés..
Les constantes sont donc des créations parfaites..
Parfois, je me dis que nous sommes sur un infime grain de sable, sous et dans l'obscurité de la semelle d'un géant et qu'en regardant vers la nuit de la semelle on voit les étoiles, atomes qui constituent la sandalle de ce Super-Goliath qui discute peut être avec sa voisine..
Nous voilà sur une vague déferlante (à 850000 km/h).
Sans doute y a t'il aussi des générations d'êtres vivants qui accomplissent leur vie au sommet des vagues déferlantes de nos plages océanes ..

Tout est relatif ..

Donc si on trouve le moyen de remonter le courant en allant du trou noir vers le big bang (trou blanc) on devrait pouvoir ramasser quelques cuillérées de ce miel d'espace temps fluidique !!?
Pour exploiter quelque chose ne faut il pas une différence ?
Soit un courant d'espace temps qui va dans un autre sens
Soit un repère immobille
Soit encore de petites tapes rapides à contresens des flots (comme disait Chercheur dans un des posts concernant l'énergie radiante)
Soit encore des vortex sortant des ouïes de truites et qui leur permettent de rester en position stationnaire dans un courant limpide, sans se fatiguer..

Il est vrai que la théorie de Franck Delplace va être féconde pour les imaginatifs qui se l'approprieront ..

J'ai reçu son livre il y a quelques jours et la lecture est en cours. Très intéressant.

Cela rejoint l'holodynamique quantique de JM Roeder.

Hello Tous

Je l'ai reçu aussi..
Je vais me régaler dans le trajet vers Chicago !!
Le mouvement, c'est la vie et il ne peut y avoir mouvement qu'en présence de différences..

A bientôt ..

Bonjour,

J'ai lu avec intéret vos commentaires sur le liquide espace temps que j'ai introduit en physique et j'aimerai échanger avec vous sur les conséquences pour nos sociétés dans les domaines de la production d'énergie et la santé.

Amicalement

F Delplace

Avec plaisir. Vous parlez je suppose de la captation de "l'énergie du vide" je suppose pour ce qui est de l'énergie; et peut être des effets style orgone ou ondes de vie de Marcel Violet pour ce qui est de la santé?

Ce fluide espace-temps pourrait être le siège de vibrations sur toutes les fréquences dûes à tous les perturbateurs que sont les particules de matière diverses, ce qui serait la cacophonie à Très Haute Fréquence des "ondes biologiques" ou "ondes de vie" détectées dans les "grass harmonics":
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...indpost&p=20264

ou correspondre au fait que l'ogone traverse bien les diélectriques des condensateurs comme le ferait un courant à THF.

Bon simple idée mais qui peut se tenir.

A propos des ondes sur tous les modes de fréquence et de leur lien avec la gravitation, Hal Puthoff a une théorie intéressante. j'avais trouvé un lien avec l'article en disposition libre lecture quelque part; impossible de remettre la main dessus.

Voilà le lien vers l'article vendu ou disponible aux abonnés:
http://pra.aps.org/abstract/PRA/v39/i5/p2333_1

Bonjour à tous,

Bienvenu LET, c’est avec un très grand plaisir,que je découvre ta venue sur ce forum.

Je viens de terminer la lecture de ton livre, et je me demandais comment entrer en communication avec toi pour te poser certaines questions:

- Comment expliques-tu le magnétisme dans le cadre de ta théorie ?

- Connais-tu les théories, proches de la tienne par certains aspects, de:

- Oliver Crane

- B Bourbon

- A Carrayrou

A++

Et en terme de choses dignes d'intérêt aussi sur des théories fluides de l'espace; il y a les lectures du livre cité dans le premier message ici:
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...p?showtopic=645

Bonjour à tous, c'est avec bcp de plaisir que je suis chez vous. J'ai été impressionné par la qualité de vos échanges et par les expérimentations de Chercheur. je suis moi-même un expérimentateur et mes travaux en méca flu étaient à la base très pratiques: pompage de toute sortes de liquides, mesures des pertes de charge, de la viscosité... je m'amusais beaucoup.
Je vais essayer de répondre à vos questions dans l'ordre mais excusez moi si je reste prudent sur certains sujets car je n'affirme que si je suis certain et en plus je dois vous dire que c'est grace à vous si j'ai découvert certains travaux comme Krane ou Kozyrev. Moi j'ai travaillé avec d'autres réf plus classiques : De Broglie, Bohm...

Pour le génial Chercheur :

- Oui je parle bien de la fameuse énergie du vide dont Feynmann avait compris l'importance.
- Selon moi le vide est constitué du liquide ET en écoulement.
- Pour produire de l'énergie, il faut pouvoir récupérer cette énergie. C'est peut-être ce que fait M Poher.
- Pour la médecine, je pense que l'écoulement du LET dans la macromolécule d'ADN peut être perturbé et donner lieu à des maladies : cancer par la dérépression de certains gênes.
- L'écoulement du LET au travers de la terre explique également des phénomènes géologiques.

Pour Yatagan,

- Ta question sur la magnétisme est bonne, mais tu peux être rassuré tout simplement parce que ma théorie est basée sur la RG d'Einstein et que cette théorie inclut les équations de Maxwell sur le magnétisme.

La seule chose qu'il faut comprendre c'est que tout est déformation de ce liquide fondamental. L'image des boules d'éponge de Kozyrev saturées d'eau (le LET) était bonne.
Le point que j'ai ajouté est la possibilité de calculer les contraintes et déformations au niveau des atomes en modifiant la relation de Planck. Alors la boucle est bouclée !

- Comme je vous l'ai dit, j'ai découvert certains travaux grace à vous comme Crane mais je ne connais pas Bourbon et Carrayrou. Mais je vais continuer à apprendre...

Toujours apprendre !

Au fait, mon livre vous a-t-il plu ?

Un autre aspect des choses concerne la classification périodique des éléments et j'ai calculé les valeurs de contrainte produite par chaque atome dans le LET.
Il est amusant de constater que les orbitales ne peuvent contenir plus de 2 électrons venant compenser la tension produite par deux protons ajoutés au noyau. Si on dépassait cette limite de 2 alors la contrainte serait telle que l'on atteindrait la limite de formation d'un micro trou noir. Ainsi naissent les atomes que nous connaissons avec des orbitales électroniques faites de 2 électrons. Amusant non !

Autre sujet clef, les changement d'état du LET et la limite du zéro absolu, j'aimerai avoir votre avis sur ce sujet qui touche aux expériences de ZPE.

y a-t-il encore quelqu'un sur le forum ?

Merci, mais je n'en mérite largement pas tant. Persévérant et obstiné à chercher serait plus convenable certainement.

Oui beaucoup, je l'ai conseillé à deux autres amis physiciens intéressés aussi par les énergies libres et autres modèles différents.

J'ai beaucoup aimé le fait que la démarche est avant tout physicienne: on cherche à donner un sens physique aux termes des équations qui décrivent un modèle, chose qui n'a pas été faite auparavant et alors... on comprend ce qu'il se passe. Voilà la démarche d'un physicien qui utilise les mathématiques à son service alors que la plupart des physiciens actuels sont des mathématiciens plus que des physiciens, se gargarisant de résultats sans en cherchant le sens physique réel finalement.

C'est très clair la manière dont c'est exposé, très pédagogique; rien d'une lecture pour obscurs spécialistes; il suffit de s'intéresser un peu à la physique. Par contre derrière ces explications il y a de la technique cachée un peu plus complexe qui nous a été épargnée mais est indispensable pour faire vraiment: donc le talent de savoir faire plus complexe et de savoir expliquer simplement.

La question est de savoir si si le LET peut se comporter de manière solide, liquide ou gazeuse localement et comment interpréter ce résultat dans le comportement de la matière si j'ai bien compris.

Une idée seulement pour exposer des questions et des manières de voir, sans aucune prétention que ça soit ce qui se passe; pour en discuter:

On a vu que le zéro absolu provoque des effets étonnants: supraconductivité et l'effet Meissner ainsi que la suprafluidité. On a beau parler de paires de Cooper et d'accrochage des vortex magnétiques dans les supraconducteurs, tout ceci est probablement un artifice, selon mon ressenti de la chose (intuitif, rien pour le montrer). Plus on crée de dissonnances dans l'explication en la complexifiant de façon distordue, moins il y a de chances qu'elle ait une base physique vraie.

Le fluide espace-temps est fluide à notre échelle. Liquide, gazeux? Vous avez indiqué liquide dans le titre de ce sujet. Alors oui le changement d'état se pose en question...; mais est-ce que c'est possible en terme de température?

La température est la mesure de l'agitation thermique, donc du mouvement de déplacement des particules. C'est peut être là un indicateur: on parle de mouvement relatif des particules avec le fluide ambiant. Imaginons un gaz extrêmement raréfié et imaginons que je me déplace dans ce gaz à une vitesse très grande; alors je sentirai une résistance très importante et ce gaz me paraitra liquide peut être. Imaginons qu'au lieu de me déplacer en ligne droite je vibre par agitation thermique car je suis un solide par exemple; alors je vibre dans une mer gazeuse qui me paraîtra liquide peut être si je vibre vite.

Donc la température est une mesure de mon agitation relative à ce milieu fluide et donc de la perception que j'ai de ce milieu fluide. Si je vibre encore plus vite, il me paraîtra peut être solide ce milieu car il aura une temps de réaction à la compressibilité peut être trop grand face à ma vitesse de vibration et donc il me paraîtra solide.

La matière au zéro absolu est plus sujette à "coller" au fluide car elle n'est plus agitée de vibrations. Plus elle colle au fluide ET vide (donc plus elle est froide pour ce faire) et plus elle agit bizarrement...

Mais est-ce le fluide lui-même qui se refroidit? A priori non, on parle bien de refroidissement de la matière seulement, c'est à dire de sa mise en résonance (elle "colle" plus au fond de l'ET) avec le fluide ET.

Toutefois ce fluide lui-même doit être parcouru par des vibrations de diverses fréquences et amplitudes, un "fond de rayonnement" sur tous les modes, donc porteur d'énergie. Si la matière colle au fluide, il peut transmettre ses vibrations à la dite matière, chose qui n'était pas possible quand elle ne "collait" pas (comme créant une bulle de vapeur isolante dans le fluide espace-temps sur sa frontière d'adhérence au fluide ET; un peu ce qui se passe si on plonge un doigt durant moins de 1sec dans de l'azote liquide: il ne se passe rien car la chaleur du doigt vaporise l'azote en surface du doigt et crée une zone tampon isolante).

Ici on peut voir l'image suivante: le doigt produit de la chaleur par vibration intense et il ne cesse d'être entouré de vapeur isolante qui absorbe les vibrations de l'environnement fluide qu'est l'azote si toutefois il était parcouru de vibrations lui aussi.

Si on reprend l'image, l'agitation de la matière pourrait peut être créer une zone identique dans le fluide espace-temps, quelque chose d'extrêmement fin mais qui provoque une sorte d'isolation toute de même et empêche la matière de recevoir l'énergie parcourant le fluide sous forme de vibrations.

Alors, en étant au zéro absolu, la matière serait sujette à recevoir ces vibrations du fluide, cette énergie du ZPE. C'est ce supplément d'énergie qui pourrait éventuellement être intéressant à capter ainsi.

L'idée en résumé serait: pourquoi la matière change de comportement au zéro absolu: car elle adhère au fluide ET ce qui modifie ses interactions avec les voisines; et on pourrait alors peut être utiliser la particule au zéro absolu comme une "sonde" plongée directement dans le fluide ET pour en récupérer l'énergie qui circule sur tout les modes. Cette énergie là n'a rien de thermique car ne fait pas vibrer la matière, pas la particule dans son entier, elle communiquerait la vibration énergétique du fond à la matière dont la matière elle-même est faite: du fluide espace-temps piégé; condensé.

Je ne vois pas dans le cadre de cette idée comment récupérer ce supplément énergétique qui serait ajouté à la structure même constituant la particule soumise au zéro absolu; sauf si on donne une autre explication au magnétisme que ce qui existe actuellement.

Si on définit le magnétisme comme des ondes circulant entre particules dans ce fluide ET dans une gamme de fréquence particulière à laquelle elles sont sensibles on peut arriver à des choses (comme finalement c'est le cas si on relie les personnes qui décrivent le magnétisme comme un fluide d'éther circulant, voir lien précédent sur éther et gravitation et le fait que les fluides d'éther sont constitués d'ondes à haute fréquence comme on le voit avec Violet).

Dans ce cas, le fluide ET peut transporter des tas de Très Hautes Fréquences par exemple, capables d'exciter les particules qui collent à lui. Et alors? Ces particules qui seraient une aggrégation "solide" de ce fluide ET (comment? pourquoi? est-ce parce qu'elles seraient elles mêmes constituées d'un niveau de fluide ET plus fin en agitation si dense qu'elles paraissent solides vis à vis du fluide ET à notre échelle) pourraient alors vibrer sur des modes de fréquence bien plus petits, des sous harmoniques des fréquences excitatoires du fluide ET. Ces fréquences émises se propagent dans le fluide ET et agissent très peu (à cause de la couche d'isolant gazeux autour) sur les autres particules (mais un peu tout de même): c'est un champ magnétique.

La couche "isolante" autour des particules constituée de fluide ET plus gazeux (relativement) n'étant pas isolant parfait, transmet quand même des vibrations du fluide ET et toutes les particules reçoivent une partie (bien amortie) des fréquences qui passent dans le filtre de cette zone isolante. C'est ce qui permet la gravitation (là je rejoins la théorie de Puthoff sur la création de gravitation par l'agitation du ZPE). Plus la particule est froide, et moins cette couche "isolante" est dense et donc plus la particule colle au fond du fluide ET et plus elle est sujette à recevoir son énergie en amplitude et plus de fréquences (car le filtre s'atténue). Donc cela expliquerait pourquoi les particules ne reçoivent pas l'énergie intense du fond vibrant de l'ET mais une faible partie et comment la transmission de l'énergie reçue peut se faire par une particule à une autre: champ magnétique, qui serait une gamme de fréquences réduites, des modes propres d'excitation de la structure interne de la particule "solide" par le fond de l'ET.

Voilà peut être pourquoi les machines à surunité fonctionnent par le biais de champs magnétiques.

Bon ça fait des "si" et des "peut-être" et des "serait" mais pour avancer des idées, il faut bien essayer d'aller de l'avant; dans l'ensemble certaines choses peuvent éventuellement ressortir utiles; et beaucoup d'autres pas.

Merci beaucoup, j'ai écrit un article que j'ai soumis à la revue Annals of Physics, je vous l'enverrai. Je dois m'absenter mais nous reprendrons nos échanges car j'ai beaucoup de plaisir à échanger avec vous. Comme vous le savez, l'ouverture d'esprit n'est pas monnaie courante.

Encore merci

F Delplace

Merci. Je lirai avec plaisir l'article en question.

J'ai un fichier pdf, comment vous le transmettre ?

Je suis aussi entrain de rédiger un second livre intitulé "Connaissez vous le monde dans lequel vous vivez". C'est un livre grand public mais j'y dévoile d'autres aspects de mon travail, par exemple :

- L'analyse de l'expérience des fentes d'Young à la lumière du LET.
- La courbe contrainte masse volumique pour la classification périodique.
- La signification du temps avec un lien avec le concept d'entropie.
- La nature profonde des photons.
- La biologie et le LET avec une nouvelle théorie de l'évolution des espèces, pourquoi l'homme est-il le seul être vivant doué d'une conscience.
- Les conséquences sociologiques de tout cela.
- Et enfin, une analyse du texte biblique de la genèse connaissant le concept de LET.

J'aimerai également partager cela avec vous si vous en êtes d'accord bien sur !

Amicalement

F Delplace

Je vous ai adressé un email sur votre adresse associé au compte des forums lors de votre enregistrement! Merci encore pour la proposition, ça sera avec plaisir que je lirai ça.

Bonsoir à tous,

Merci LET pour les réponses.
Si ton livre nous a plu ? Je pense que Chercheur a parfaitement répondu et je ne vois pas quoi d’ autre à ajouter.

J’ai découvert les théories de B Bourbon et A Carrayrou grâce à un lien mis par le "génial Chercheur" dans un autre topic: merci Chercheur.

Neuf théories concordantes de Pierre Pouquet

C’est avec impatience, que je vais attendre la publication de ton second bouquin, le sommaire fait saliver d’avance, l’attente va être dure!

A+++

Merci, mais comme je le disais déjà je ne fais que répliquer des travaux et essayer de voir ce qu'il en est, chercher des points communs et une compréhension plus globale; unifier, synthétiser; mais je n'ai rien découvert, rien fait de génial du tout. Je ne suis ni un découvreur, ni un inventeur, mais un passionné de la recherche de la compréhension des choses seulement.

C'est un honneur si des gens comme Franck Delplace peuvent s'inspirer de lectures d'autres grands qu'ils auront pu trouver par le biais de ces liens pour avancer la compréhension humaine par leur capacité à en faire quelque chose d'intelligent; et c'est ça qui est vraiment génial!!

Ayant eu du boulot à abattre ces 15 derniers jours je n'ai pas avancé dans la lecture du second livre de Franck D. Mais là j'ai écoulé mon travail en retard, donc je vais m'y remettre, surtout avec les vacances qui arrivent!

Alors mon message dernier n'est pas juste destiné à informer la population de mes avancées de lecture (pas passionnant) mais pour refaire monter le sujet et dire au passage que je reste très intéressé; à l'occasion d'un article sur l'éther de Miller.

Pour ne pas avoir à dire les choses deux fois, comme j'en ai parlé sur un autre forum, je recopie ce que j'ai mis là bas:


La physique a cessé d'être de la vraie physique le jour où on a commencé à ignorer le composant fondamental de l'univers dans lequel nous sommes tous plongés: l'éther.

Dayton Miller, un vrai chercheur, c'est à dire un de ceux qui ont voulu chercher là où les autres ont dit qu'il n'y avait rien à chercher (et pas dans le consensus général des sujets à la mode du moment comme cela se passe actuellement) a pu démontrer par des expériences concrètes d'interférométrie plus poussées que celles de Michelson et Morley qui ont conduit la physique à rejeter l'éther (et commence à ne plus décrire le monde) que le vent d'éther existe.

Article sur ses recherches:
http://www.orgonelab.org/miller.htm

Michelson lui-même a refait les expériences de Miller et les a confirmées. Miller était parti sur la base que l'éther n'était pas fixe dans l'espace comme un cadre rigide, hypothèse de base des physiciens de l'époque, qui ont rejeté l'éther suite au fait qu'il n'a pas correspondu à cet énoncé. Il a pris pour hypothèse de travail que l'éther était entraîné localement, et qu'il était ralenti par la collision avec la matière. Il a donc refait un interféromètre en altitude, fait de matériaux légers (verre transparent), sans métal, peu denses et dans une structure elle aussi peu dense, le contraire de l'expérience de Michelson et Morlay qui était faite au sol et dans des locaux en bétons, avec un appareillage dense métallique avec du bois lourd en couverture etc.


Il a utilisé le fait que contrairement à ce que disaient les physiciens à l'"poque, l'expérience de Michelson n'avait pas donné un résultat nul, mais un résultat faible; pas significatif, montrant que l'idée du cadre d'éther fixe était à rejeter. Ces résultats faibles mais pas nuls lui ont mis la puce à l'oreille qu'il y avait bien quelque chose mais qu'on ne le détectait que peu; d'où sa démarche. Il a utilisé un interféromètre dans lequel la trajectoire de la lumière était 3 fois plus grande que Michelson et a fait des centaines de fois plus de mesures durant des années (4 jours de mesure pour l'expérience de Michelson).

Son travail fructueux a clairement montré qu'il existe un vent d'éther de l'ordre de 10 km/s. Ce vent d'éther a une direction donnée qu'il a pu déterminer. D'autres chercheurs ont refait son travail, dont Michelson lui-même, des dizaines d'années après son expérience initiale et il a admis lui-même qu'en effet Miller a raison et que le vent d'éther existait bien, dans les conditions indiquées. D'autres mesures faites par d'autre sont conduit à des mesures de la vitesse de ce vent d'éther selon l'altitude: 8,6m/s de plus par mètre vertical au vent d'éther, qui est donc le plus "englué au niveau du sol.

Mais malgré le fait que l'auteur lui-même de l'expérience qui a fait rejeter l'éther aux physiciens ait reconnu le fait qu'il s'était trompé (et mesures à l'appui de lui et de Miller, publiées dans des articles de revues scientifiques et validées) les physiciens ont continué à bâtir la suite de la physique en faisant absence de cet éther.

résultat: on invente de la matière noire, de l'énergie noire, on a des modèles complètement disjonctés décrivant la réalité de la physique des particules car l'essentiel est manquant.

Pour laisser la part à la critique (car forcément il y en a toujours une quand on démolit tous les modèles existant), voici un article qui pense avoir prouvé que les analyses de Miller sont fausses:
http://arxiv.org/pdf/physics/0608238

La rengaine de l'article est de prendre des données et de dire que les erreurs de mesure sont très importantes ce qui fait qu'au final les données calculées n'ont pas de sens.

ça simplifie tellement la vie ça!

Alors l'explication du fait qu'à l'époque ils ne s'en sont pas rendus compte par l'auteur: les calculs étaient trop lourds et difficiles à faire pour s'en rendre compte de façon manuelle; ils n'avaient pas d'ordinateur. Avec des algorithmes adaptés aujourd'hui, l'auteur a enfin pu démontrer que tout le travail de Miller était faux, car il avait avec lui la puissance de calcul suffisante.

Maintenant, une fois qu'on a regardé les affirmations de cette personne on regarde ce qui a été examiné. Il n'a fait qu'estimer les erreurs possibles commises et les a prises égales à ce qui l'intéresse pour que les erreurs qu'il calcule donnent un résultat sans aucune signification à ce qu'a fait Miller.

Un peu comme si je voulais ridiculiser n'importe quelle mesure de précision dans n'importe quel domaine, en estimant que les erreurs de mesure commises sont exactement ce qu'il faut pour que je puisse jeter toutes les mesures à la poubelle.

Les estimations d'erreur sont seulement basées sur ce que l'auteur estime (et aucunement sur une absence de puissance de calcul à cause du manque d'ordinateur, comme il l'affirme; mais par contre une fois ses estimations posées à priori pour son bon plaisir ses calculs confortent ses propos: normal, ils suivent l'affirmation posée à priori que des erreurs y sont là où il les voit sans aucune justification particulière), et rien d'autre. Ensuite, suivent des calculs qui ne font que traduire le fait que ses estimations écrasent les résultats.

Ceci n'a absolument rien d'une démonstration, juste encore une fois un mouchoir mis sur ce qui gêne pour l'occulter.

D'ailleurs il oublie ensuite totalement le fait que Miller, qui a mené des études sur des années a pu déterminer des résultats cycliques dans le temps, et variables selon les saisons suivant une courbe sinusoïdale. Bizarre hein des mesures totalement erronées par des barres d'erreurs trop grandes qui donnent un cycle annuel. De plus ce cycle annuel des vitesses de vent d'éther s'établit autour d'un angle d'inclinaison sidéral de 23,75° très proche des 23,5° d'inclinaison terrestre, marquant le fait que la variation se fait en rapport à l'axe de rotation terrestre par rapport au flux d'éther de l'écliptique solaire. Evidemment l'auteur se presse d'oublier toute information de cohérence des mesures qui montre que les estimations qu'il INVENTE de son cru ne sont pas cohérentes avec justement la cohérence des données.

Et puis évidemment il passe aussi sous silence le fait que l'information a été redonnée par Michelson qui a refait le test (lui aussi se trompe le pauvre, il ne se trompe pas pour montrer que l'éther n'existe pas, mais évidemment il se trompe quand il fait des mesures qui montrent le contraire).

Il oublie aussi Galaev , un Ukrainien qui a obtenu lui aussi des mesures d'interférence radioélectriques montrant le même phénomène de vent d'éther et a pu le mesurer selon l'altitude; là aussi il va falloir inventer des grosses erreurs de mesure.
Travaux de Galaev:
http://www.allais.info/priorartdocs/galaev.htm
(voir le second document)

Et puis il y a d'autres références de travaux montrant ce vent d'éther:
Munera, DeWitte, Cahill

C'est bizarre, quand une mesure donne un résultat plaisant elle est une preuve, quand elle donne un résultat déplaisant, c'est qu'elle est entachée d'erreur.

Mais évidemment pour prouver qu'il y a des erreurs il faut refaire la manip... l'auteur ne l'a pas fait.

On trouve des tas de sites de physiciens qui utilisent le document de cet auteur pour montrer que l'éther de Miller est bidon, et vont même ensuite ajouter que des expériences récentes ont prouvé que tous les résultats de Miller étaient erronés.

Un petit sujet de discussion ici:
http://www.physicsforums.com/showthread.php?t=35344

Lorsqu'un lecteur avisé demande des références aux travaux qui montrent que Miller s'était trompé, des bonnes expériences récentes sans erreur, on donne des références... d'autre chose: d'expériences qui prouvent la validité de la théorie de la relativité (car elle part à la poubelle avec la théorie de l'éther). Oui sauf que l'expérience ne prouve pas du tout qu'il n'y a pas de vent d'éther comme l'a fait Miller avec interférométrie, aucun rapport; et ça ne fait que dire que des résultats s'accordant avec la théorie de la relativité ont été découverts. Donc ça n'infirme rien de Miller et de même ça ne prouve rien de la théorie de la relativité: ça ne fait que dire que les mesures obtenues peuvent être prédites par la relativité ou ... toute autre théorie plus vaste dans laquelle la relativité est un petit coin de la lorgnette servant à apercevoir l'univers avec beaucoup d'erreurs.

Bref rien qui parle des expériences de Miller en refonte nouvelle. Donc au final vent+vent de l'auteur= vent d'éther!
On peut dire que les physiciens attachés au système d'explication actuel sont les champions de la malhonnêteté intellectuelle.

Parlons peu mais parlons bien sur le coeur précisément des reproches formules pour justifier ce que je dis précédemment.

Voilà ce qu'a fait Miller:


Donc il observe des franges d'interférence et avec une vue par un agrandissement optique x50 il a une précision de lecture de quelques 0,01 frange d'épaisseur. Les mesures de Miller ont donc été données avec la précision de 0,1 frange et une erreur absolue de moins de Delta largeur=0,05 franges à la vue de ces premières informations.

Que dit l'auteur de l'article qui nous explique que le pauvre Miller s'est trompé car il n'avait pas d'ordinateur puissant pour faire ses calculs (argument archi faux à la vue de ce qu'il fait pour tout saboter, ça n'a aucun rapport):

Donc l'auteur reconnait la précision que Miller dit avoir prise pour ses mesures (il n'a quand même pas osé dire que Miller ne l'avait pas dit ainsi).

Et paf, voilà l'argument majeur de l'auteur qui arrive:

Il dit qu'il y a une erreur systématique.

Il continue:

Au final: quelle erreur? En quoi la manip est fausse? Aucune réponse. Il ne fait que dire que les calculs ne doivent pas être pris en compte car la répartition des mesures statistiques ne correspond pas à une répartition statistique attendue comme étant normale.

Rien d'autre que cela: les statistiques de mesure ne sont pas assez bien réparties pour que ça puisse correspondre à une mesure ayant la précision annoncée.

Sauf que... il a juste oublié qu'une statistique est seulement une statistique et n'a jamais rien prouvé. Les mesures ne sont pas réparties suivant des lois de mesure attendues... alors c'est que ce qu'on attend est incorrect au vu de ce qui existe.

En effet tout le raisonnement est basé sur le fait que les mesures sont indépendantes l'une de l'autre lorsqu'on mesure dans un sens ou dans l'autre et respectent les conditions qui permettent d'appliquer en mathématique l'approximation de la loi discrète par la loi normale de répartition de Gauss. Sauf que si les conditions ne sont pas vérifiées, alors on ne peut appliquer cette loi d'approximation du discret par le continu. En clair; ni Miller ni personne n'a dit que les mesures réalisées de l'effet étaient des mesures statistiquement identiquement distribuées selon une loi de Gauss.

En fait Miller a pu montrer qu'il y avait une loi d'évolution dans le cours de l'année, mais n'a pu en déterminer de claire le long de la journée, mais il y a une variation là aussi; le flux d'éther varie selon le moment de la journée, c'est à dire selon la position des astres majeurs qui nous sont proches (Lune et Soleil).

Bref tout ce que fait l'auteur, c'est de dire que si ça marchait COMME IL LE PENSE alors ça ne devrait pas être ainsi et donc les mesures ont forcément une précision 10 fois moins bonne qu'annoncées au moins et donc donnent un résultat global n'ayant aucun sens.
Sauf que personne n'a jamais dit que ça marchait COMME IL LE PENSE; c'est là le soucis. ces gens qui ont l'impression que l'univers est comme ils l'imaginent!

le fait est que la mesure a été faite avec la précision annoncée, et à part dire que les statistiques sur les mesures montrent qu'alors ça ne suit pas une stat normale avec les conditions requises pour que ça les suive, au lieu de dire: la mesure a la précision annoncée, donc c'est que les conditions requises pour que ça suive la loi statistique ne sont pas là; il conclue que forcément les conditions sont là (de manière totalement injustifiée, juste parce que pour lui c'est comme ça) et donc ce sont les mesures qui n'ont pas la bonne précision.

En clair: il dit ce que j'ai déjà souligné: il dit que les mesures sont mauvaises car les résultats ne l'arrangent pas (elles détruisent la relativité restreinte sur ses bases); sans aucune preuve à apporter, juste parce que ça ne se comporte pas comme cela devrait si c'était comme il le pense. mais sa petite pensée n'est pas à la hauteur de la réalité, dur à admettre quand on se croit si intelligent qu'on peut tout démonter... sans bien sûr refaire l'expérience! Car non seulement Miller a fait des mesures mais il en a fait pendant des années et s'est posé la question de la fiabilité de ses mesures, de nombreuses fois. Expérimentalement sa précision a été vérifiée, Michelson a refait ça avec lui.

Par analogie: on vous dit par exemple qu'on mesure une tension électrique avec un voltmètre ayant une précision d'affichage de 0,2mV par exemple, prévu pour mesurer sur une certaine plage de fréquence. On fait des centaines de mesure de tension d'un phénomène donné dans la bonne plage de fréquence. On a une précision connue de tous, que d'autres viennent vérifier: l'appareil a bien la précision annoncée et est utilisé comme il le faut.

Puis on obtient un résultat anormal, qui montre une nouveauté en physique (je ne sais pas: un conducteur ohmique qui ne suit pas la loi d'ohm du tout, par exemple). Une fois qu'on a bien montré que la précision de mesure est correcte, on ne revient pas dessus. Que fait l'auteur: il dit: les mesures données ne suivent pas la loi statistique attendue (selon les normes qu'il faut édicter pour qu'elles le suivent: indépendance des mesures, mais ça il ne le dit pas); donc elles sont fausses donc la précision est fausse: on avait une précision de 2mV de lecture au lieu de 0,2mV. Pourquoi? Car je le dis!! Et alors... tiens le non suivi de la loi d'ohm ne peut être conclu avec cette précision de 2mV. Donc il n'y a aucune anomalie; passons à la suite. Voilà le travail de l'auteur.
Bien sûr ni lui ni personne ne reproduit l'expérience pour refaire la mesure et voir si en effet la précision de mesure étant respectée le phénomène suit ou pas la loi d'ohm. Sa "démonstration" lui suffit. Et évidemment il traite par la même occasion de menteur celui qui indique sa précision de mesure et ceux qui l'ont vérifié. En fait pas tout à fait: il parle d'une erreur systématique. Laquelle? Ou? Il ne dit rien... car il n'a rien à dire.

Il ignore" le fait que d'autres qui n'ont pas du tout fait les mesures pareillement (radio électrique) arrivent aux mêmes conclusions (Galaëv); il ignore le fait que les mesures de Miller montrent une loi de variation sur l'année qui correspond à un mouvement de l'éther par rapport à l'axe terrestre, bref il ignore tout ce qui montre que les mesures ont un sens physique, qu'elles décrivent un phénomène corrélé à la réalité; en jetant le tout à la poubelle violemment sans le moindre regard là dessus, éléments qui sont aussi des preuves en soi que les mesures sont cohérentes et ont donc bien une précision tout à fait correcte... comme annoncé par l'auteur.

Jamais il ne pourra imaginer qu'en mathématiques il existe des variables aléatoires NON indépendantes et pour lesquelles l'approximation de la loi discrète somme des variables de mesures répétées par la loi normale ne peut donc pas exister. Cela s'appelle vérifier les conditions d'un théorème. Un peu comme le gars qui va vous dire: pas possible, votre triangle ne peut pas exister car le carré du côté le plus long n'est pas égal à la somme des carrés des deux autres côtés et qui ne sait pas qu'il y a une hypothèse à vérifier pour que ceci soit un argument valable: que le triangle soit rectangle (théorème de Pythagore)

Mais peut-on demander à un physicien d'avoir aussi des notions de mathématiques? Manifestement pas à l'auteur en question! Pour d'autres c'est quand même le cas.

En fait les notions ils les ont mais à géométrie variable: on ne raisonne correctement que si ça nous arrange, sinon on biaise le raisonnement. En effet si il savait utiliser la logique mathématique simple il saurait que la négation de:
"Les variables sont supposées indépendantes et les mesures sont correctes" n'est pas "les mesures ne sont pas correctes" mais "les mesures ne sont pas correctes ou ce que je suppose sur l'indépendance des variables est totalement faux et donc je ne peux rien conclure par cette étude statistique qui ne sert donc à rien".

Bref, encore et comment la mauvaise foi permet de se voiler la conscience!

Je terminerai par la conclusion de Miller: