chercheursduvrai.fr | Aide Recherche Membres Calendrier |
Bienvenue invité ( Connexion (Log In) | Inscription (Register) ) | Recevoir à nouveau l'email de validation |
Ecrit le: Mercredi 09 Octobre 2013 à 16h15
|
|
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1561 Membre n°: 10313 Inscrit le: 11/03/2013 |
L’idée est de reproduire un éther mètre, proche de celui de Chercheur mais avec une autre électronique, plus rapidement à ma portée.
J’ai préféré un montage sur embase distinctes afin de voir l’effet de la distance entre les électrodes. Pour les pancakes, j’ai pris du fil gainé que je trouvais plus facile a coller sur du scotch double face et pour que l’on distingue bien le primaire du secondaire grâce aux couleurs. J’ai aussi un peu espoir de baisser la fréquence de fonctionnement en construisant des bobines plus grandes en diamètre. Normalement L augmente et à C identique F diminue. Tout ça à cause de mon GBF qui plafonne à 20MHz. Dimensionnement mécanique : Mesures au pied à coulisse en mm Mesures à la règle en cm Les deux antennes sont identiques. Celle orange sera émettrice, la bleue sera réceptrice. Diamètre extérieur bobinage : 94mm Diamètre mat : 8.2mm Hauteur mat( bobine/base sphère) 10cm, enfoncer à force (trou Diam 8mm) et collé à l’epoxy sur l’embase. Enfoncé à force dans boule polystyrène, non collé. Diamètre sphère polystyrène, recouverte de scotch alu : 49mm Le scotch alu est plus épais que l’alu alimentaire. Malgré le collant du scotch, les diverses bandes font bien contact entre elles. Lissage à la cuillère Boules polystyrènes achetées chez cultura, idem Chercheur. Embase « plastique » transparent dont j’ignore la provenance (récup) épaisseur 2mm, rigide, 9.5cm x 9.5cm de coté. Les bandes Jaune/orange sont du scotch Kapton (isolant électrique) pour mieux maintenir les bobines car le scotch double face en dessous ne suffit pas. Dimensionnement électrique : Primaire : 5 spires de fil blanc, Diamètre gaine :1.7mm Diamètre conducteur mono brin:0.7mm Secondaire : 33 spires de fil noir, diamètre gaine :1mm Diamètre conducteur mono brin:0.55mm Vue de dessous, on voit le scotch double face par transparence: |
Ecrit le: Mercredi 09 Octobre 2013 à 16h37
|
|
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1561 Membre n°: 10313 Inscrit le: 11/03/2013 |
Mesure de l’impédance d’entrée du bobinage primaire d’une antenne.
Il n'y a pas de charge sur l'antenne réceptrice. L'antenne receptrice est placée à 2m environ sans connexion avec la première antenne. Puis mesures avec liaison à 10cm, 20cm, 30cm et enfin à 30cm sans la règle en plastique.(pour voir l'influence de la règle) Le principe de cette mesure est celle du pont diviseur. On applique et mesure un signal Ve à travers une résistance de 1K sur le bobinage primaire. On mesure la tension VB aux bornes du bobinage primaire et on en déduit l’impédance du bobinage primaire. Cette mesure est réalisée automatiquement en fréquence par un balayage sinus de 2MHz à 20MHz, 1 fois pour Ve, 1 fois pour VB. La mesure se fait à l’analyseur de spectre (FFT scope Vellman PCS500), sonde x10, 10M Ohms//13pF Bp 100MHz,. Le signal sinus vient du GBF sortie 50 Ohms, une charge 55 Ohms "adapte" le coax à son extrémité. L’analyseur de spectre est sur le calibre 25MHz, Log, FFT option : maximum pour lisser et mémoriser la courbe pendant le balayage en fréquence. A partir ce ces données on obtient plusieurs courbes d’impédance : Dans mon cas on peut tabler sur au moins 1K d'impédance, sans charge en sortie. des pics et des creux d'impedance varient en fonction de la distance et de environnement, a surveiller lorsque je ferai les mesures en transmission. A venir mesure d’impédance avec charge en sortie... |
Ecrit le: Mercredi 09 Octobre 2013 à 18h02
|
|
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 3939 Membre n°: 10047 Inscrit le: 07/11/2011 |
Chercheur indique pour son antenne, une fréquence de 18Mhz (par l’expérience)
En fait si je comprends bien, tu as calculé que pour ton antenne, la fréquence se situerait entre 8Mhz et 14Mhz c'est ça ? Intéressant de constater que le déplacement de l'antenne de réception (ou plutôt l'espacement entre les mats) influe sur l'impédance de l'antenne d'émission. Pourrais-tu blinder le câble de liaison avec du papier d'alu relié à la masse (ie : au moins de la batterie ou du montage) et voir si la distance influe toujours ? Je ne trouve pas ça normal pour ma part. qu'est ce qui pour toi pourrais causer celà ? tout le monde n'a pas ton materiel du coup, ultra chiant si la distance provoque une variation de l'impédance de l'antenne :/ vois le VSWR que tu te tapes sinon et impossible de savoir sur quoi jouer. Je vois bien le truc "roh j'ai un coeff d'amplification tout le temps < 1 !" réponse : "oui c'est normal, sur 1W que tu envoies sur l'antenne, seul 150mW sont réellement utilisés pour la transmission...."... pas joli joli pour les calculs de rendements et pouvoir dire si oui ou non on a amplification par l'ether... par l'experience on détermine la fréquence comme suit : on redresse la signal en sortit du récepteur, on branche une led (ou plusieurs). A une fréquence particulière, les leds vont s'allumer. Si on multiplie cette fréquence par 1,5 on a la fréquence des ondes scalaires. je vais relire le post de Chercheur pour être sûr de la méthode. -------------------- « No matter where you are, Look for the brightest star, Believe it is true, My soul is smiling at you", FastWalkers
|
Ecrit le: Mercredi 09 Octobre 2013 à 18h36
|
|
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1561 Membre n°: 10313 Inscrit le: 11/03/2013 |
Je n'ai rien calculé du tout, comme Chercheur j'ai fait puis j'ai mesuré.
J'ai mesuré ainsi mais on peut faire à la main, point par point. c'est fastidieux et on peut rater un événement intéressant. Je cherchais à me rapprocher d'un analyseur de réseau avec les moyens du bord. j'ai fait un essai en transmission hier vite fait, il y a plusieurs pics et c'est très sélectif (toujours sans charge en sortie), je sens qu'il y a des pics au delà de ce que je peux mesurer, un peu comme un filtre en peigne. Ne t'alarme pas, on est là pour explorer. Ce n'est que l’impédance d'entrée... il faut que je mesure avec charge en sortie maintenant. ça peut changer des choses, notamment écrouler le facteur de qualité et donc aplatir les résonances. Pour l'instant j'explique ainsi: la distance fait varier la capa entre sphères. le fil de liaison entre les bobines est de longueur constante dans mes essais, est ce que c'est un problème ? |
Ecrit le: Mercredi 09 Octobre 2013 à 18h58
|
|
Administrateur Groupe: Administrateurs Messages: 5756 Membre n°: 1 Inscrit le: 04/08/2002 |
Bravo!! belle réalisation
Chic, on va être deux! Il ne te reste plus qu'à chercher la fréquence de résonance scalaire avec un montage en réception et ton GBF. Je comprends que tu ais fait un moyen de varier la distance car tu n'as jamais bricolé les bestiaux en paramètre variable. Moi aussi les premières en grande taille étaient sur deux mats séparés et j'avais fait des mesures en distance variable. Mais là j'ai fixé une distance arbitraire qui a vue d'oeil reproduit à échelle réduite ce que j'avais dans mes expériences grand format quand ça marchait pas trop mal (c'est ce qui a guidé mon choix de distance arbitraire fixé). J'espère que toi aussi tu vas avoir des COP fabuleux;, ça dépend de la fréquence et de l'endroit où tu s. Sur la fréquence des 4MHz par exemple, dans l'ancien domicile que javais en 2012 ça donnait un bon COP de 150% et dans le nouveau domicile ça donnait seulement COP=50% donc nullissime. Mais dans le nouveau, à la fréquence de 17,8MHz ça donne des COP de beaucoup, plusieurs dizaines même. ça dépend donc du lieu et selon le lieu on doit avoir certains fréquences d'énergie libre captables (éther vibrant sur certaines fréquences ou ondes scalaires sur certaines fréquences selon le point de vue). C'est justement cette variabilité (pour une fréquence fixée donnée, celle de mon éther-mètre) que je veux cartographier. Si jamais le principe de l'appareil fonctionne, ça ne fera une mesure que sur une fréquence donnée, une carte des nappes d'éther sur cette fréquence là; mais en mesurant sur une autre fréquence, on pourrait avoir une carte totalement différente... tout ça c'est des plans sur la comète, attendons les résultats de tests en grandeur nature pour conclure, mais bon rien n'empêche de cogiter. -------------------- "L’homme sage n’est pas comme un vase ou un instrument qui n’a qu’un usage ; il est apte à tout."
"Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu." Confucius |
Ecrit le: Jeudi 10 Octobre 2013 à 08h36
|
|
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1561 Membre n°: 10313 Inscrit le: 11/03/2013 |
Merci pour les encouragements !
J'espère également atteindre des COP de folie ! Je viens de me rendre compte que pour les besoins de la photo j'ai installé une planche blanche sur une chaise de bureau où sous l'assise il y a une plaque en acier... ça ne perturberais pas un peu les champs magnétiques ça ?! mes premières mesures sont donc à prendre avec des pincettes.... @+ |
Ecrit le: Jeudi 10 Octobre 2013 à 10h58
|
|
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1561 Membre n°: 10313 Inscrit le: 11/03/2013 |
Mesure de l’impédance d’entrée Ze, 20cm entre mats, avec 5 charges de sortie différentes :
(Montage sur chaise en bois, au même endroit qu'avant) - 0 Ohm (court circuit soudé) - 55 Ohm - 1K -10K - Circuit ouvert. Photo du montage avec charge de sortie = 0 Ohm Courbes de Ze (Zs) Ze reste élevée toujours supérieur à 1K ce qui est positif pour l’ampli de sortie, cela le charge peu. Je pense que le point intéressant est celui ou impédance est la plus faible car ça doit certainement être la fréquence où se réalise le meilleur transfert d’énergie. Non pas sur les pics d'impédance.(à confirmer) Soit autours de 15MHz soit autours de 12MHz+. cette fameuse fréquence à l'air de fluctuer avec la charge. Mais à charge fixe nous devrions visualiser les variations de l'environnement. A suivre en transmission.... |
Ecrit le: Jeudi 10 Octobre 2013 à 18h48
|
|
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1561 Membre n°: 10313 Inscrit le: 11/03/2013 |
Mesure en transmission sur charge résistive
Le principe est d’appliquer un balayage sinus de 2MHz à 20MHz par un GBF 50 Ohms, chargé 55 Ohms en parallèle avec la bobine primaire. On mesure la tension en entrée. La consommation de l’antenne influence peu la tension d’entrée. On constate que la tension d’entrée est constante à mieux que 3dB près. On distingue toutefois des pics descendants correspondant à des pics de consommation de l’antenne lors des résonances. On mesure en sortie la tension sur différentes charges résistives : - 55 Ohms - 220 Ohms - 1K - 10K En entrée la masse est toujours sur le même fil de la bobine primaire repéré par 2 points (fil extérieur) Arbitrairement il est appelé masse pointpoint. En sortie la masse est alternativement en point puis en pointpoint pour vérifier s’il y a des différences. Le GBF est relié à la terre, le scope est isolé galvaniquement par transfo et optocoupleurs par rapport au PC. Fonction de transfert (Vs/Ve) du dispositif avec différentes charges en sortie. On constate bien 2 pics assez proches comme Chercheur dans ses mesures. Il semble même qu’il y en aurait d’autres au delà de ce que je peux mesurer avec mes appareils. Je voudrais savoir quelle est la charge optimale à placer en réception pour bénéficier du maximum de puissance. Je n’ai pas mesuré la puissance d’entrée permettant un calcul de COP rigoureux, on va supposer que Pe = Constante puisque Ve à peu près constante et Ze pas vraiment mais à priori élevée. A partir des relevés en dBV issus de la FFT, je calcule la tension Vs, puis calcule P = Vs² / R. Voici le résultat en courbes On voit qu’il doit y avoir une résistance de charge optimale pour avoir un max de puissance en sortie : autours de 1K et 220 Ohms A faire rigoureusement mais ça donne une idée. A suivre mesure de COP et recherche de la charge optimale. |
Ecrit le: Jeudi 10 Octobre 2013 à 19h03
|
|
Administrateur Groupe: Administrateurs Messages: 5756 Membre n°: 1 Inscrit le: 04/08/2002 |
Eh bien ça en fait des mesures tout ça. Tu as de la chance d'avoir de quoi faire des points de mesure automatiques avec un balayage. Moi il faudrait que je fasse chaque mesure une par une et note ça sur un papier puis sous Excel.
Bravo pour tes mesures! Je suis content que tu constates qu'il y a une charge optimale à la réception, j'avais noté ceci lors de mes expériences sur ce type de bobine en grand format. Et même j'avais noté qu'il y a une distance optimale aussi entre les deux sphères. Bref tout ça peut se maximiser. J'attends tes mesures de COP! -------------------- "L’homme sage n’est pas comme un vase ou un instrument qui n’a qu’un usage ; il est apte à tout."
"Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu." Confucius |
Ecrit le: Vendredi 11 Octobre 2013 à 13h37
|
|
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1561 Membre n°: 10313 Inscrit le: 11/03/2013 |
Patience pour le COP
Moi aussi je brule mais je procède doucement afin de bien appréhender le système qui est nouveau pour moi. Des mesures sont sans doute inutiles et c’est à la fin que je pourrais le dire, pour l’instant j’explore pas à pas. Pour ce qui est de mes mesures « automatisées » en fait je regrette d’avoir quitté le monde de l’électronique professionnelle (uniquement pour ça !) où j’avais accès à des bêtes de course. Ce qui me prend 1 heure maintenant aurait été fait en 5mn… Je cherche à me rapprocher du résultat de ces appareils (analyseur de réseau notamment). Dans mon cas j’utilise un GBF analogique avec entrée sweep in (0-10V) qui est capable de balayer sur une décade (2-20MHz par exemple). [Genre d’opération très faisable par un Arduino et DDS mais faut un ampli très large bande en sortie.] Dans l’idéal il me faudrait une rampe ou un triangle sur l’entrée sweep in mais j’utilise un RC avec une alim. Je déclenche donc le balayage manuellement. Et comme tout bon RC, ça traine sur la fin donc je l’aide en tournant le bouton fréquence à la main… Voilà pour l’automatisme, un générateur de rampe n’est pas si compliqué que ça à faire mais il faut juste le faire… Sinon pour la mesure, vu que nous avons le même scope, tu pourrais le faire. Spectrum analyser, fft_options :maximum, Prendre garde à être sur le bon calibre en oscilloscope pour ne pas écrêter le signal. Balayage en fréquence automatique ou manuel et c’est tout. Comme je ne fais que des mesures comparatives ça me va mais pour des mesures absolues je ne sais pas ce que donne la conversion issue de la FFT max en Volt efficaces? Faudra que je me penche sur le pb un jour… Analyse des mesures effectuées jusque là : Impédance d’entrée L’impédance d’entrée est bien la plus faible aux fréquences des pics de résonnance en transmission. Ze est de l’ordre d1K sous faible puissance, à confirmer sous plus forte puissance d’excitation. Au 2 eme pic, l’impédance d’entrée est de 1050 Ohms résistifs quelque soit l’impédance de sortie. En effet à la résonnance les parties imaginaires s’annulent, il ne reste que la partie réelle de l’impédance La fréquence du creux d’impédance fluctue avec la charge de sortie. je ne sais pas pourquoi ? Au 1er pic la charge en sortie influence beaucoup en valeur l’impédance d’entrée ainsi que la fréquence du creux. Ze entre 1750 Ohms à 1150 Ohms. Les creux sur Ve correspondent aux pics de Vs/Ve (gain), il y donc un pic de consommation à ces endroits. Ce qui confirme la baisse de Ze à ces fréquences. Transmission Il y a bien 2 pics de transmission assez proches en fréquence, de fréquence variable suivant la charge. Typiquement 12.35MHz et 14.89MHz pour 55 Ohms en sortie. Approximativement 10MHz et 13MHz pour 10K en sortie. Le croisement des masses en sortie influence peu Vs/Ve : Les fréquences des pics bougent uniquement pour une résistance de charge élevée 10K (proche du circuit ouvert), sinon la fréquence des pics bouge assez peu en fonction de la référence de masse en sortie. Le gain bouge également très peu en fonction de la référence de masse en sortie. Je n’ai pas essayé de croiser la masse en entrée pour voir si ça change quelque chose Le fait de croiser les masses en sortie a une influence significative au-delà des pic de résonnance ce qui à priori ne nous concerne pas. Vs/Ve fluctue de 20dB en tension en passant de 55 Ohms à 10K de charge. L’impédance de sortie n'est donc pas négligeable. Il doit y avoir un optimum d’impédance à trouver pour maximiser le transfert de puissance. Vu que le système est symétrique, l’impédance de sortie doit certainement être la même que l’impédance d'entrée soit 1050 Ohms. Étayé par la courbe "allure de la puissance en réception" qui donne le maximum de puissance reçue pour 1K. Je ne me rappelle plus si Chercheur travaille préférentiellement sur le 1er ou 2eme pic de fréquence ? A la vue de mes mesures je dirais que le 2eme devrait être plus stable. Ce coup ci , à suivre vérification de la charge optimale et mesure de COP... |
Ecrit le: Samedi 12 Octobre 2013 à 18h18
|
|
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1561 Membre n°: 10313 Inscrit le: 11/03/2013 |
Quelques soucis pour mesurer le COP.
Mon soucis vient du fait que sur le montage sur planche mélaminé je ne peux pas mesurer le courant ie car suivant ce que je place comme masse en sortie ou pas, suivant ma présence ou non , la valeur de ie fluctue dans un grand rapport. J’ai donc appliqué un remède de cheval : Montage sur une tôle Alu faisant office de plan de masse, reliée à la terre. Là je peux mesurer le COP sereinement mais il est ridicule : 0.12 Sur la planche de bois j’obtenais presque 0.9 mais sans certitude quant à la justesse de la valeur.... Le montage sur tôle alu change tout, fréquence de résonnance, impédance de charge optimum… Amis du pancake avez-vous des idées ? |
Ecrit le: Samedi 12 Octobre 2013 à 19h54
|
|
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 323 Membre n°: 10284 Inscrit le: 02/02/2013 |
La le probleme , c est qu' avec ta plaque d alu tu fait un condo a trois plaques , panecake , plaque alu et panecake , ca doit tout courcicuiter a ces frequence la ....
Ta plaque est a proscrire ... SG |
Ecrit le: Samedi 12 Octobre 2013 à 21h56
|
|
Administrateur Groupe: Administrateurs Messages: 5756 Membre n°: 1 Inscrit le: 04/08/2002 |
Il ne fait surtout pas que tu mettes de plaque "de masse", tu crées un condensateur parasite avec chacune des spires du primaire et du secondaire de chaque bobine plate et tu le couples entre le récepteur et l'émetteur, autant dire que ton montage n'a strictement plus rien à voir avec l'original car toute la physique qui est dedans est changée à 100%.
Je ne comprends pas de quoi tu parles quand tu parles de soucis de mesure. Tu mesures la tension et le courant (par image sur une résistance série) dans le bobinage de l'émetteur, ça a toujours un signal clair et stable chez moi sans soucis. A la réception pareil ou tu simplifies encore en prenant un pont à diode comme je l'ai fait (qui bien que bouffant du COP donne quand même du beau résultat) -------------------- "L’homme sage n’est pas comme un vase ou un instrument qui n’a qu’un usage ; il est apte à tout."
"Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu." Confucius |
Ecrit le: Samedi 12 Octobre 2013 à 22h49
|
|
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1561 Membre n°: 10313 Inscrit le: 11/03/2013 |
Merci de vos éclaircissements, ca me redonne du cœur à l’ouvrage !
Je vais refaire sur du bois. J’explore et je me crée sans doute des problèmes mais je trouve que ça pose de bonnes questions. En général s’il doit y avoir un problème je l’ai ! J’ai 2 sondes de scope, je mesure (Ve+Rie) en voieA, et (Rie) en Voie B, en même temps. J’ai une valeur de ie. Maintenant je mesure toujours (Rie) en voie B mais je place juste la masse de la voie A sur 1 fil de la sortie, et bien ie change de valeur de manière importante. J’en déduis que les masses ne sont pas neutres. Il y a du signal rayonné capté par la tresse des sondes qui se superpose au signal conduit. Idem j’approche la main d’un pancake pour prendre la sonde, ie rechange de valeur. J’en déduis qu’on ne sait pas trop ce que l’on mesure sur les signaux de faible amplitude. Voilà ce qui m’a gêné et voilà pourquoi j’ai introduit ce plan de masse qui a réglé le problème du rayonné, peut être un peu trop radicalement…. Pourtant ce plan de masse ne me paraissait pas si éloigné du brevet de Tesla. Le plan de masse recréant une terre virtuelle ? mais il est vrai que dans mon cas le plan est collé aux pancakes.... |
Ecrit le: Dimanche 13 Octobre 2013 à 13h20
|
|
Administrateur Groupe: Administrateurs Messages: 5756 Membre n°: 1 Inscrit le: 04/08/2002 |
Les masses je les mets toutes les deux au même point pour les deux voies quand je fais les mesures, ça ponte les masses ensemble justement.
ça n'a rien à voir avec du rayonnement, mais c'est parce que la longueur de fil correspond à de l'inductance parasite (chaque cm de fil fait environ 1 nano Henry de self parasite je crois environ, à vérifier). Donc si une seule masse est mise et pas l'autre, le chemin de retour à la masse d'un côté ou de l'autre n'est pas le même et donc on a une chute de tension inductive qu'on n'a pas de l'autre côté, importante quand on mesure de petites tensions. Avec les deux mêmes sondes pareillement blindées avec fils de même longueur et la masse mise au même point du circuit pour chacune (c'est toujours comme ça que j'ai procédé) tu n'as plus ce souci. Voilà une expérience utile! Et aussi quand tu penses être proche de Tesla avec un plan de masse, tu oublies que mettre ta plaque de métal n'a rien en terme de proximité car tu ne fais pas que créer un plan de masse, mais tu crées comme je te le disais, un condensateur entre chaque spire de chaque bobine et chaque autre, en passant par cette plaque de métal. N'oublie pas que la Terre n'a pas la même conductivité électrique que ta plaque de métal et de loin, différence majeure avec Tesla; donc ne met pas de plaque. Pour ce qui est d'approcher la main de pancake et que ça change les résultats à l'oscillo c'est normal et ça n'a rien d'un artefact avec les sondes d'oscillo, c'est dans la physique réelle de l'appareillage. Il te suffit pour le voir de mettre une charge lumineuse en sortie au lieu de tes sondes d'oscillo sur résistance et tu verras que la luminosité varie réellement avec ta main qui s'approche; ce que tu mesures sur l'oscillo si tu mets la sonde en est l'image fidèle et vraie. C'est normal car justement tu crées une modification du condensateur de retour à la Terre provenant des sphères. Les sphères servent de capacité entre la sphère elle-même et la Terre (en utilisant l'air et cela dépend de la distance entre sphère et objets au sol). Quand tu approches la main tu modifies ce condensateur, donc la fréquence de résonance du système. Tu deviens donc hors résonance, et cela fait diminuer la puissance sortie (l'ampoule va systématiquement diminuer de luminosité, je crois que ça correspond à un déphasage au niveau du courant et tension en terme pratique sur l'oscillo). Tout est logique. Alors tu les accouches tes mesures de COP sur plan de terre normal? Tu as peur de donner des COP > 1 -------------------- "L’homme sage n’est pas comme un vase ou un instrument qui n’a qu’un usage ; il est apte à tout."
"Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu." Confucius |
Ecrit le: Dimanche 13 Octobre 2013 à 17h47
|
|
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1561 Membre n°: 10313 Inscrit le: 11/03/2013 |
Mesure de COP
Mesure sur planche en bois. La mesure de Vs est identique entre 13.90MHz et 14.07MHz pour donner un ordre d'idée de la largeur de bande. Je relève 3 tensions: -Mesure de la tension « Rie » aux bornes d’une 10 Ohms qui est en série avec le bobinage primaire -Mesure de la tension « Ve+Rie » qui vient du GBF et qui est appliquée au bobinage primaire + résistance de 10 Ohms. -Mesure de la tension « Vs » aux bornes d’une 470 Ohms soudée en sortie. Pour info, une charge en sortie comprise entre 200 Ohms et 600 Ohms donne un Ps max avec une variation de de 2% seulement. Il y a donc une certaine tolérance à la charge optimale. Avec la charge optimale il n'y a plus qu'un seul pic de fréquence. Possédant le même scope que Chercheur , je relève ces 3 tensions puis les traite sur Excel. Pe = 0.0448 W eff Ps = 0.0389 W eff COP = 0.867 c’est bien ce dont j’avais peur ! Détail du calcul sur Excel : Conversion de chaque acquisition numérique en Volt pour les tensions en Ampère pour le courant. Calcul de l’offset de chaque acquisition (moyenne de l’acquisition concernée)) Soustraction de l’offset sur chaque acquisition. Vérification que la valeur moyenne est nulle pour chaque mesure ainsi traitée. Calcul de Ve (t) par Ve+Rie (t) - Rie (t) Calcul de Pe (t) = Ve (t) x ie (t) Pe eff = moyenne des Pe(t) pour verification j'ai calculé aussi ie eff, Ve eff (valeurs identiques à ce qu'affiche le scope) et je calcule Peff= ie eff(17.8mA) x Veff (2.52V), la valeur est identique à l'autre méthode à 0.12% près. cos Phi = 1 car U et i sont en phase, normal puisque nous sommes à la résonance. Calcul de Vs eff =racine carrée de la moyenne des Vs²(t) Ps eff= Vs eff ² /470 Ohms Je retrouve sur excell le même Vs eff (4.27V) en plus précis que ce que donne l’affichage du scope(4.3V). je suis au mauvais endroit ? je n'y crois pas assez ? Des suggestions ? |
Ecrit le: Dimanche 13 Octobre 2013 à 19h51
|
|||
Administrateur Groupe: Administrateurs Messages: 5756 Membre n°: 1 Inscrit le: 04/08/2002 |
Tu vois que tes mesures sont fiables avec la mesure de tension et courant sans terrain de base en métal. Le fait que tu n'obtiennes pas de COP>1 ne prouve que à l'endroit où tu es, au moment où tu as mesuré et sur cette fréquence de fonctionnement, tu n'as pas d'énergie scalaire captable.
En matière de science, les choses ne sont pas question de croyance, mais de mesure. J'avais mesuré dans mon ancien logement un COP=1.5 longtemps, et il m'est arrivé pendant moins d'une semaine d'avoir COP=0.9. Puis ça a remarché avec un COP de l'ordre de 1.3 à 1.37 (variable). Ceci sur les 3 à 4MHz. Dans mon nouveau logement, j'avais refait une mesure et obtenu COP=0.5 sur la même fréquence de 4MHz. Avec le nouveau montage à 18MHz j'ai des COP de plusieurs dizaines dans mon nouveau logement (au même endroit où j'ai eu COP=0.5 à 4MHz). En ce qui me concerne ce n'est pas une question de croyance. Je mesure, je constate, je déduis. Après tu vois comme tu veux, mais tu n'iras pas loin si tu ne considères pas les informations que d'autres qui ont déjà fait (en l'occurence moi) te donnent parceque "tu n'y crois pas". Mes résultats ne sont pas des croyances, je les ai obtenus par mesure à l'oscillo de manière adéquate moi aussi (et d'ailleurs je t'ai suggéré comment mettre tes masses). Donc ne demande pas de suggestion dans ce cas. En effet une suggestion est utile si tu la prends en compte pour faire ton expérience. Si tu décides que ton mauvais résultat ne peut pas venir d'éléments que j'ai pu déterminer expérimentalement et que Konstantin Meyl avait déjà mesuré lui-même, alors en effet c'est de la croyance et pas de la science, dans ce cas tu devrais donner les résultats des mesures de tension en tirant des cartes au tarot plutôt qu'en les mesurant à l'oscillo, ça ferait pareil. Meyl indique qu'avec son appareil qu'il vend et qui est constitué d'un émetteur récepteur identique vendu à tous, certains trouvent COP=0.8 et d'autres trouvent COP=10 et pourtant c'est un dispositif STRICTEMENT identique fonctionnant toujours à la même fréquence et avec la même charge de test et le générateur maison identique qu'il livre avec. Preuve évidente de la variabilité selon l'emplacement. D'ailleurs je me demande même dans ce cas pourquoi tu fais l'éther-mètre puisque justement l'idée est de mesurer les variations de COP dans l'environnement, basé sur les expériences que j'ai menées et qui suggèrent ceci. Je suis ma propre suggestion. Alors, face aux contradictions, vas-tu faire le scientifique ou le croyant? Tu choisis; les deux voies sont bonnes, mais ne fait pas l'une en prétendant faire l'autre; il faut savoir où on en est. Ce message a été modifié par Chercheur le Dimanche 13 Octobre 2013 à 20h20 -------------------- "L’homme sage n’est pas comme un vase ou un instrument qui n’a qu’un usage ; il est apte à tout."
"Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu." Confucius |
||
Ecrit le: Dimanche 13 Octobre 2013 à 20h45
|
|||
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 3939 Membre n°: 10047 Inscrit le: 07/11/2011 |
Oui j'en ai deux : celle de pouvoir mesurer dans le temps la fluctuation du "COP" (bigre que j'aime pas ce terme...). Ainsi tu pourrais constater si ce dernier fluctue dans le temps ou pas, chose que nous essayons de déterminer avec l'éther-mètre. Ce serait déjà une partie importante. L'autre suggestion est bien sûr de déplacer l'éther-mètre et de faire les mesures de fluctuation dans le temps, ainsi voir si l'emplacement y joue. En soit, ces deux suggestions vont dans le sens de l'utilité de l'ether-mètre : détecter une fluctuation du COP dans le temps et dans l'espace (je simplifie hein). -------------------- « No matter where you are, Look for the brightest star, Believe it is true, My soul is smiling at you", FastWalkers
|
||
Ecrit le: Lundi 14 Octobre 2013 à 18h44
|
|
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1561 Membre n°: 10313 Inscrit le: 11/03/2013 |
J'avoue que ton message Chercheur me laisse pantois...il doit te manquer la case humour des fois !
Je ne vais donc pas y répondre tu déduiras ma position de ce qui suis: Merci à vous deux d'avoir répondu, il y à des infos intéressantes et de bonnes suggestions. Il y a toujours des choses que je ne comprend pas, notamment le rapport entre les ondes scalaire et ce système électronique d’apparence conventionnelle. Cela vient sans doute du fait que je ne comprend pas pour le moment ce qu'est une onde scalaire...et la relation avec le montage. Passée la déception de mon résultat, je vais effectivement consolider les mesures et voir à rendre mon système portable pour observer ce qui se passe. |
Ecrit le: Lundi 14 Octobre 2013 à 19h46
|
|||
Administrateur Groupe: Administrateurs Messages: 5756 Membre n°: 1 Inscrit le: 04/08/2002 |
C'est parce qu'il te manque le sourire sur le visage quand j'écris un message. Je peux dire des choses que tu comprendras d'une façon sèche parce que simplement dites fermement, mais sans sécheresse car tu ne vois pas que je le dis avec sourire et sans méchanceté. Simplement il faut réussir à être clair sur ce qu'on fait et ce qu'on veut pour avancer; et c'est ce qui fait que je dis les choses de façon tranchée; ce qui ne veut pas dire du tout que ça soit dit avec colère ou avec du ressenti ou d'autres choses pesantes. Dire des choses tranchées m'est naturel et je le fais en me sentant bien et serein en les disant et les pensant, sans y voir de mal derrière; et c'est parce qu'il te manque cet aspect direct du comportement en le disant que tu peux mal le prendre. Tranché veut dire sur une ligne juste en ce qui me concerne, et pas sur une ligne agressive. A une époque j'ai pu aboyer ou m'énerver, mais j'ai transformé mon exigence tranchée en autre chose qui n'est plus rien de cela. Je le comparerai à une corde tendue qui sonne juste selon une certaine norme musicale et si la note sonne faux même légèrement je le note immédiatement; n'étant pas pour autant dans le ressenti négatif pour autant. La case humour je l'ai, mais je n'en fait usage que si j'ai à faire passer quelque chose avec humour; ce qui n'est pas le cas dans tous les échanges. Bref, c'est juste qu'on a des façons d'être différentes qui parfois s'entrechoquent car il est difficile de percevoir avec les seuls mots comment la personne était intérieurement lorsqu'elle s'est exprimée. Pour revenir à ton expérience, que tu aies ou pas un COP>1 n'a aucune importance pour l'expérience menée. Quand j'ai fait ma mesure j'ai eu une surunité à laquelle je ne l'attendais pas sur les 18MHz car j'avais une sous unité importante en 4MHz. Mais ce qui importe dans l'expérience est la lecture de la variation selon l'emplacement, sous unitaire ou pas n'ayant pas d'intérêt. Le sujet n'est en effet pas la mesure surunitaire du système à énergie radiante (déjà fait dans un autre sujet), si j'ai ouvert un sujet différent c'est parce qu'il on fait quelque chose de différent: on regarde si la puissance reçue change selon l'emplacement, en gardant les mêmes paramètres environnementaux (même personne située relativement au système expérimental à la même distance et de la même façon se baladant avec l'appareil sur lui pour mesurer l'environnement; en n'allant pas changer de conditions climatiques locales impactant la fréquence résonante; donc dans des conditions d'humidité semblables pour ce qui est du condensateur aérien dû aux boules; bref se promener sur quelques centaines de mètres et voir ce que ça donne en terme de variabilité). -------------------- "L’homme sage n’est pas comme un vase ou un instrument qui n’a qu’un usage ; il est apte à tout."
"Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu." Confucius |
||
Ecrit le: Dimanche 20 Octobre 2013 à 08h43
|
|
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1561 Membre n°: 10313 Inscrit le: 11/03/2013 |
Suite à ces premiers essai, je me suis aperçu qu’avec un générateur de fréquence au réglage grossier comme le mien, il n’est pas facile de faire des mesures pile poil à la fréquence du système.
Le système ayant une réponse de passe bande assez sélectif. Il y a la solution DDS : fréquence stable « toutes conditions », résolution inférieur au Hz, c’est le top mais cela présuppose d’être toujours dans la bande passante du système. Je n’ai pas de DDS sous la main pour vérifier cette condition. (J’appelle système l’ensemble Antenne émetteur / Antenne récepteur) L’idée m’est venue de faire en sorte que le système soit auto oscillant, ainsi toujours à la bonne fréquence, et puis l’information fréquence est peut être intéressante ( ?). Dans le principe, il suffit d’amplifier la sortie et d’appliquer le signal amplifié à l’entrée du système. Cela fonctionne. Alimenté en 9V, j’obtiens 12V continu en sortie à vide, la charge étant une led +10 K, redressement mono alternance BAT86, 470pF de filtrage. La fréquence de mon système en tant que résonateur pur est de 14.14MHz. Lorsque je l’intègre dans l’électronique la fréquence baisse à 13.8MHz. La fréquence varie un peu avec tout : proximité d’un bonhomme, charge en sortie, tension d’alimentation, (température et humidité en plus j’imagine) La tension continue fait de même en fonction des conditions environnementales. Mes premiers résultats avec le système auto oscillant, ainsi que les premiers résultats de Chercheur me font dire qu’il faut faire une électronique insensible aux variations de température, insensible aux variations d’alimentation et en plus dans mon cas, insensible aux variation de niveau de sortie. Quand je dis insensible, il faut lire peu sensible au regard de ce que l’on mesure, bien évidemment. C’est théoriquement possible, je m’y colle. Une partie de mon électronique sera utilisable par ceux qui utilisent la solution DDS. Voilà ce que j’envisage pour l’instant: - Ampli de sortie à courant constant, il suffit de mesurer la tension de sortie pour avoir la puissance de sortie. - Système de détection sans seuil pour la mesure de la tension émetteur et récepteur ce qui donnera une tension continue permettant de calculer Pe et Ps. - Ce qui sera particulier au système auto oscillant est un amplificateur délivrant un niveau de sortie constant quelque soit le signal à l’entrée. A suivre…. Si vous avez des remarques ou suggestions, n‘hésitez pas. |
Ecrit le: Dimanche 20 Octobre 2013 à 10h58
|
|
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 3939 Membre n°: 10047 Inscrit le: 07/11/2011 |
Oui j'ai une remarque : c'est une bonne idée car ça sera réutilisable !
-------------------- « No matter where you are, Look for the brightest star, Believe it is true, My soul is smiling at you", FastWalkers
|
Ecrit le: Vendredi 25 Octobre 2013 à 18h59
|
|
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1561 Membre n°: 10313 Inscrit le: 11/03/2013 |
Je viens de lire les déboires de Chercheur avec ses sondes…
Dommage, oui et non, car c’est l’obtention d’un COP du tonnerre avec une apparente facilité qui m’a poussé à réaliser l’éther mètre. Parallèlement et sans nous concerter, je suis moi aussi en pleine remise en cause d'un autre ordre : J’en étais à vouloir reprendre des cours de physique…. Je comprends le système dans son fonctionnement classique et la réponse que je mesure est conforme à ce que je pouvais attendre. Je dirais même que le transfert d’énergie est bien meilleur que ce à quoi je me serais attendu intuitivement si on ne m’avait pas parlé de sur unité. Intuitivement j’aurais dis 0.1 à 0.3. Je mesure presque 0.9, c’est plutôt bon et ça m’étonne même avec le recul. Je n’ai pratiquement aucune culture, autant dire aucune, sur le monde de la sur unité. Simplement la pratique de l’échec sur divers systèmes. Plus ça va et plus je me rends compte que ma compréhension et ma connaissance de la physique classique est très très superficielle. Je suis capable de constater et mesurer même sans comprendre mais j’avoue que ça me dérange de ne pas avoir d’idée directrice, et d’intuition sur un montage. Les seules que j’ai sont négatives par rapport à l’objectif car conforme à la physique classique. Est-ce que quelqu’un pourrait expliquer « simplement » en quoi un système tel que l’éther mètre pourrait être sur unitaire. En fait je ne comprends pas comment, l’éther viendrait apporter un surplus d’énergie. Me dire que le surplus d’énergie vient de l’ether n’est pas suffisant, il faudrait que je comprenne comment interagit l’éther avec les champs électriques et magnétiques, tout en restant à un niveau…. pour les enfants. ou enfant + Je ne sais pas si c’est possible, sinon ne pas hésiter à me diriger vers des lectures pour que j’élève mon niveau. Sinon je continue l’éther mètre en version « auto oscillation » qui devrait permettre de tester différentes fréquences par réglage de l’éloignement des antennes. Je pense avoir maintenant un schéma simple qui tient la route, y a pu ka comme on dit… Le COP devrait être facilement calculable par le produit de 2 tensions continues (sans seuil de diode). L’ensemble devrait être facilement transportable car consommant peu. Je ne suis pas certain d’avoir le temps de tout réaliser ce WE, à suivre… |
Ecrit le: Vendredi 25 Octobre 2013 à 19h53
|
|
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 3939 Membre n°: 10047 Inscrit le: 07/11/2011 |
Hello Eclectron,
Je vais tenter de répondre, vu qu'hier nous avons un peu discuté de l'ether-mètre avec Chercheur. Le plus compliqué est de savoir par où commencer et sans se tromper, alors je me lance ^^ le patron viendra corriger si nécessaire. Il était une fois, une énergie bien particulière se nomme l'Aether. L'Aether est donc un amas d'énergie vibrant, qui utilise comme support le "fluide universel". Bien souvent le terme Aether regroupe les deux concepts, mais celà déplait à Chercheur qui indique que seul la matière vibratoire devrait s'appeller Aether, le support étant le "fluide universel" appellé Fluide espace-temps par le Dr Franck Delplace. - L'Aether-Metre, sert-il à détecter la présence d'Aether : Hypothétiquement, Oui et plus particulierement le couple "Fluide Universel"+"Energie superieure" - L'Aether-Mètre, peut-il théoriquement avoir un COP positif de manière constante (donc que l'Aether servirait "D'amplificateur" ?) : Hypothétiquement, Non - L'Aether-Metre c'est quoi au juste ? C'est un emetteur d'ondes scalaires, avec un recepteur d'onde scalaire (cf Fil de Chercheur sur l'énergie radiante de Tesla). Théoriquement ce type d'emetteur/Recepteur devrait permettre d'optimiser les transfert d'énergie grâce aux "Ondes Scalaires". Donc pour 1W en emission, on reçoit pratiquement 1W en reception si la fréquence utilisée correspond à la fréquence scalaire du système. - Qu'est-ce qu'une onde scalaire ? C'est une pression d’énergie qui utilise comme support le "Fluide Universel" pour se propager. A ce titre, et hypothétiquement, elle n'est pas soumise aux pertes liées à la distance émetteur / récepteur car l'énergie émise influe sur un niveau vibratoire situé au dessus de la matière. (cf tentative de définition plus bas). - L'aether-Metre fait quoi ? L'Aether-Metre va générer une pression d'énergie dans le fluide universel qui sera récupérable par le recepteur. On dit qu'il émet "une onde scalaire", et ce phénomène est mis en exergue lorsque le récepteur reçoit presque la totalité de l'énergie émise (pour 1W envoyé, généralement 0,85W en réception environs). - Est-ce que n'importe qu'elle antenne peut générer des ondes scalaires ? Oui, théoriquement, toute émission de champ électromagnétique provoque la création d'une "onde scalaire". Suivant l'architecture du système, la fréquence utilisée, etc. la "pression d'énergie de l'onde scalaire sur le fluide universel" est plus ou moins important. - Pourquoi l'Aether-Mètre est-il surunitaire ? Lors de notre discussion avec Chercheur, j'ai pu comprendre que l'Aether était loin d'être une loupe capable d'amplifier l'énergie de l'onde scalaire. Alors pourquoi dans certains cas obtient-on plus d’énergie en réception ? Une première hypothèse serait que l'Aether-Mètre émettant des "pressions d'énergie", alors ces pressions peuvent se cumuler avec des pressions existantes dans l'environnements dû aux émetteurs électromagnétiques environnant. Le Recepteur de l'Aether-Mètre reçoit alors l'énergie de l'Emetteur "parasité" des pressions existantes, ce qui expliquerait que l'on arrive à obtenir "plus" que ce qu'émet l'émetteur. => Note importante : Une seconde hypothèse serait que les ondes scalaires disposent d'une "forme" particulière dans le fluide universel, et seul un récepteur disposant du même "moule" serait capable de recevoir l'intégralité de la puissance émise. Ainsi, il ne serait pas possible de puiser toute l'énergie disponible dans le fluide universel, le récepteur étant physiquement matérialise pour ne capteur qu'une seul forme possible. Seuls les récepteurs métamorphes aliens permettent ce genre de prouesse (petite blagounette au passage). => Note 2 : Le fluide universel est une sorte de réservoir, l'énergie qui y est puisable n'est donc pas infinie ! On n'y puise donc que l'énergie qui y est existante et générée par toutes les formes d'énergie ayant générée de "l'Aether" ================== issu du doc Aether Metre 0.5 ================== I.2. Qu’est-ce que l’Aether (tentative de définition) Elément de matière emplissant l'univers et situé dans un plan vibratoire immédiatement supérieur à celui de ma matière visible connue. L'Aether est aussi une appellation du flot de quanta d'énergie de plus petite taille existant dans l'univers et constituant un tissu transmetteur d'ondes de pression dans ce milieu. Il existe donc deux types d'objets distincts appelés Aether. On devrait appeler Aether la matière seulement (agrégat d'énergie vibrant dans le milieu des quantas d'énergie dont la mer devrait s'appeler liquide universel, voir la compréhension et la mise en exergue de ce fluide universel appelé fluide espace-temps par le chercheur Franck Delplace). Le fluide universel est un tissu d'une densité très grande servant de milieu de transmission des ondes électromagnétiques, qui, sens physique devant être mis en avant toute chose et en cohérence avec le reste de la physique, ne peuvent pas être des oscillations sans milieu support existant dans le vide de l'espace (la notion d'espace vide n'étant de toute façon pas définissable car le vide quantique d'énergie n'existe pas). Le plan vibratoire est défini comme la gamme de fréquence pulsatile des particules de matière dans leur constitution interne permettant que les ondes émises alors dans le liquide universel autorise les interactions de force de tout type. Une force n'existant entre deux particules de matière que si les ondes émises par ces particules dans le liquide universel ont un éloignement en fréquence ne dépassant pas une limite donnée au-delà de laquelle les interférences constructives ou destructives ne sont plus possibles; et donc aucune force n'est plus possible. I.3. Qu’est-ce qu’une onde scalaire ? (tentative de définition) Une onde scalaire est une onde de pression oscillante d'énergie qui se propage dans le milieu du liquide universel sans qu'un mouvement quelconque de la matière ou d'un champ vectoriel n'ait eu lieu pour l'accompagner. C'est une onde car il y a propagation d'une énergie de pression/dépression; mais cette onde n'est pas caractérisée par un mouvement transversal qu'il soit d'un champ électrique ou magnétique ou de mouvement d'une quelconque particule. L'exemple d'un champ scalaire est la propagation isochrone de deux ondes électromagnétiques ayant le même vecteur de Poynting et démarrant du même point source et ayant un déphasage de 180°. Les composantes vectorielles de chacun des champs électriques (ou magnétiques) sont opposées en tout instant et la résultante vectorielle est nulle; mais chaque onde électromagnétique existe et si l'annulation est constatée, c'est seulement de façon apparente, car chaque onde électromagnétique transporte une énergie calculée de façon quantique par E=h.f Ainsi la sommation des deux ondes donne une onde vectoriellement nulle mais ayant pour énergie la somme des deux énergies transportées par les deux ondes et pas comme cru à tort d'une énergie nulle due à un vecteur nul transporté. Le sens physique doit être la base de toute interprétation, et de même que deux doigts qui appuient de façon opposée exactement sur un objet provoque un déplacement vectoriel nul, ils provoquent pourtant une pression énergétique non nulle, ceci aurait dû être le guide de la compréhension du transport d'une énergie non nulle par la sommation vectorielle nulle des deux ondes électromagnétiques précédemment citées. Lorsque les vecteurs sont opposés en compression ("poussant l'un vers l'autre") on a une énergie de type compressive et lorsqu'ils sont opposés en dépression ("tirant l'un au contraire de l'autre en éloignement") on a une énergie en dépression. Ainsi l'énergie peut être affublée d'un signe et même d'une valeur numérique (qui dépend de la norme des vecteurs de somme nulle) et on a donc une onde d'énergie qui exprime le stress sur le milieu, variant dans la direction du vecteur de Poynting initial de façon sinusoïdale. C'est une onde décrite par une valeur numérique variable dans l'espace et le temps, c'est à dire un scalaire, d'où son nom d'onde scalaire (en contraste avec l'onde vectorielle qui décrit un vecteur oscillant dans l'espace et le temps). -------------------- « No matter where you are, Look for the brightest star, Believe it is true, My soul is smiling at you", FastWalkers
|
Ecrit le: Samedi 26 Octobre 2013 à 09h08
|
|
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 1561 Membre n°: 10313 Inscrit le: 11/03/2013 |
Merci de ta réponse BlueDragon,
j'ai imprimé et vais rererererelire ça à tête reposée. Ça m'a entraîné vers les 3 vidéo de Franck Delplace. Amusant de constater qu'un éveillé comme Krishnamurti arrive à la même conclusion concernant le cerveau et l'être humain. Pour lui c’était du vécu et non une théorie. |