chercheursduvrai.fr
To view this board in english, you must be registered.

  Reply to this topicStart new topicStart Poll

> Formes pensées et travail de lumière
LightInWay
Ecrit le: Dimanche 04 Octobre 2015 à 13h10 Posted since your last visit
Quote Post


Unregistered









J'aimerais vous présenter deux extraits du livre de Anne Givaudan "Formes pensées" permettant de comprendre pourquoi les enseignements spirituels et les êtres de lumière nous disent que le travail qu'on peut effectuer, de manière utile, pour faire changer les choses; n'est pas l'action extérieur mais l'action intérieure, devenir nous-mêmes radiants et lumineux car de ce qu'on rayonne on aide beaucoup le changement global pour autrui.

Plusieurs n'ont toujours pas compris ceci et le prennent comme une simple image; ne voient aucunement la manière dont notre élévation intérieure aide vraiment le changement des situations qu'on ne supporte plus de ce monde; croyant que la méditation et l'émission d'énergie d'harmonie et d'amour menés intérieurement et volontairement sont une perte de temps pour ceux qui croient qu'en pensant à bien le monde ira mieux.

En fait ces pensées sont toutes issues d'une même source: l'inaptitude à percevoir les énergies qui sont émises par nos corps d'énergie et la façon dont elles agissent vraiment fortement sur les autres, le mécanisme.

Donc ces extraits que je vous montre ont cette importance là, de montrer concrètement ce qui reste virtuel pour beaucoup.

(abréviation du livre: FP = Forme Pensée = masse d'énergie créée par notre pensée et ressenti au niveau énergétique et prenant une forme de vie propre; restant soit autour de nous dans l'aura, soit émissif allant agir dans l'environnement)

Vous trouverez ici mes sources:
http://sois.fr/livres/formes_pensees_decou...urs_influences/

(Lecture PDF pour extraits ici:
http://www.histoireebook.com/index.php?pos...-Formes-pensees )


Extrait 1: Formes Pensées négatives


Pour comprendre pourquoi on nous dit de commencer par apprendre à éviter toute colère, haine et ressenti même si on sent qu'on a raison de l'avoir fait; calmer ceci car ça sert à alimenter la destruction ailleurs. Chaque colère conscientisée par le fait qu'on sert d'arme pour la violence physique ou même la mort par FP interposée d'une autre personne sur Terre en lui fournissant l'énergie inappropriée peut être plus facilement calmée par la compréhension.


Citation
Un soir, alors que j ’étais hors de mon corps physique,
je me sentis appelée vers le continent américain. À la vitesse
de la pensée, le corps de mon âme survola des continents,
puis des villes, pour ralentir enfin au-dessus d’un
groupe d’habitations et plus précisément, vers une petite
maison mitoyenne, sans caractéristique particulière. Seule,
une boîte aux lettres semblable à toutes celles de la rue me
laissa deviner le nom de «Simon R...».
L’aube pointait déjà à l’horizon d’un ciel sans nuage
lorsque la même force qui m’avait dirigée vers ce lieu, me
fit pénétrer dans la maisonnette. Je me contentai simplement
d’être là et de regarder. Au bout de quelques minutes,
un bruit, venant de ce qui me semblait être la chambre, me
fit deviner que l’heure du lever venait de sonner. Un homme
de petite taille, cheveux bruns et style italien, sortit, visiblement
encore à demi endormi, pour se diriger vers la
salle de bain.

«Contente-toi de le suivre, me dit une voix tranquille,
regarde simplement ce qui se passe autour de lui durant
cette journée.»
En effet, derrière lui, une traînée grise semblait sortir
de lui et telle une longue bande laiteuse, le suivre imperceptiblement
dans ses moindres déplacements.
Le réveil, programmé pour sept heures précises, émit
un insipide chant d’oiseau. Un chant d’oiseau qui ne ressemblait
à rien et surtout pas à un oiseau, tout au plus à une
crécelle... Dans la traînée grise, de petites bulles s’échappent,
traductrices fidèles de Simon qui a l’impression de
s’être encore «fait avoir» par un vendeur de réveils peu
scrupuleux.
La voix qui maintenant m’accompagne, précise :
«Chaque matin, le réveil est identique et Simon peste
contre lui-même et sa facilité à tomber dans les pièges des
vendeurs affables. En fait, tout cela n ’aurait que peu d’importance
et Simon pourrait jeter aux ordures ce réveil qui
l’obsède... Mais non, les choses ne sont pas aussi simples
car «se faire avoir» est justement le leitmotiv qui revient
toujours dans la vie de cet homme qui va maintenant vers
la quarantaine.

La vie de Simon n’est pas triste, elle est simplement
sans but, son travail est alimentaire et ses amours, si l’on
peut parler d’amour, lui permettent surtout de ne pas se sentir
seul. Rien à signaler et Simon se dit qu’après tout, la plupart
des gens sont comme lui... Des amis, il n’en a pas,
d’ailleurs il se méfie. Accorder sa confiance, voire son
amour, cela veut dire aussi prendre le risque de «se faire
avoir» et ça, c’est ce qui le met toujours hors de lui. Il a toujours
la sensation qu’on l’attend pour abuser de sa confiance,
pour «l’avoir». En fait, il est toujours sur la défensive.
Mais, continue à le suivre et regarde !»

La voix se fait plus insistante. Je l’écoute et suis
Simon qui s’apprête à partir, sans prendre la peine de déjeuner,
ni de remonter les stores de sa petite maison.
Aujourd’hui pourtant, lorsqu’il prend sa petite voiture
pour se rendre à son travail, il paraît d’humeur égale. Un accident
sur la route : «il ne manquait plus que ça» murmure
Simon à voix à peine audible et pour lui seul. Le temps
s’écoule et les voitures vont au pas, collées les unes derrière
les autres. Simon regarde sa montre, visiblement très agacé
par le retard qu’il est en train de prendre. De petites bulles
colorées s’échappent de sa tête. Elles l’entourent bientôt
d’un nuage gris clair, parsemé de petits points rouges, signes
avant-coureurs d’une impatience et d’une impulsivité très
présentes.
Ces petites sphères apparaissent puis s’évaporent
avec rapidité, juste pour moi le temps d’y percevoir une
couleur, puis une autre, mais guère plus. Ce sont les
pensées de Simon, qui se bousculent en lui et autour de
lui. Ces pensées n’auront qu’une action temporaire et limitée.
Cependant, certaines d’entre elles vont attirer à elle
de petites entités facétieuses, celles qui prennent plaisir à
augmenter notre nervosité ou notre désarroi dans certaines
circonstances. Tout est interconnecté et il est fabuleux de
pouvoir le constater dans notre simple vie quotidienne.
Que se passe-t-il? Sur un plan plus subtil, l’énervement
va donner naissance à de petites pensées sans grande
importance, mais qui vont attirer, par un phénomène électro-
magnétique, de petits êtres de l’éther qui aiment à
expérimenter la matière dense. Par l’intermédiaire des
pensées émises, ces «entités» vont se servir de la matière
énergétique émise pour créer de petits épisodes augmentant
encore l’action de ces pensées.
Une pensée, contenant une matière qui traduit l’agacement,
sera ainsi utilisée pour attirer à elle de petits événements
ayant une syntonie entre eux. Ainsi, nous verrons les
tracasseries s’accumuler les unes après les autres. Nous
sommes encore très ignorants du fait qu’une simple pensée
est faite dans d’autres dimensions d’une matière dense et
malléable.

Ne sommes-nous pas bien souvent aux prises avec un
feu qui passe au rouge, un piéton qui passe au vert, une
marche que l’on n’a pas vue et tout ce qui peut nous retar-
der le jour où nous sommes le plus pressé?
Cependant, une pensée n’est pas une FP. Pour qu’une
FP puisse prendre forme, nous l’avons vu auparavant, il
faut une rencontre avec un événement important à nos
yeux et que cet événement nous le traduisions avec une
grande émotion. Pour que cette FP persiste et s’amplifie, il
est nécessaire qu’il y ait par la suite, répétition. C’est-àdire
que devant des événements analogues, nous continuions
à réagir de la même façon.
Mais rejoignons Simon... et ses FP qui nous attendent.
La petite voiture tourne dans une grande artère passante,
elle ralentit sa course et visiblement «notre homme»
cherche à se garer. Toutes les places sont occupées et cela
ne fait qu’accroître le désarroi de Simon.
«Tout s’en mêle aujourd’hui» grommelle-t-il à voix
basse. Mal garé, il se jette hors de sa voiture et se précipite
vers la grande porte vitrée de ce qui semble être son lieu
de travail.

«Le chef t’attend dans son bureau» lui murmure à
l’oreille la secrétaire blonde et ronde qui semble un peu
amoureuse de lui et elle ajoute: «il est de méchante humeur
ce matin, attends-toi à sa colère.»
«C’est injuste !» Simon n’est habité que par ces seuls
mots qui grondent au fond de lui. Lorsqu’il ressort du bureau,
il est plein d’une colère à peine contenue.

«Comment est-ce que ça a pu tomber sur moi, c’est
parfaitement injuste ! Moi qui reste si souvent après tout le
monde et ne regarde pas aux heures supplémentaires ! Tu
le sais bien toi!» lance-t-il d’un ton vif à la jeune femme
de l’accueil qui se contente d’acquiescer d’un pâle sourire.
Des ondes d’un rouge sombre s’échappent de Simon
telles des banderoles colorées, tandis qu’il regagne une pe-
tite pièce qui lui sert, sans doute, de bureau.
La sensation d’injustice et celle de «se faire avoir»
prennent toute la place. Aveuglé par ces sentiments perturbateurs,
il songe à réagir. Il pense même à donner sa démission
tant sa colère est grande et complètement démesurée en
rapport des faits. Et tandis qu’il fouille dans une sacoche et
essaie de se calmer, je peux voir les longues bandes rougeâtres
qui continuent à sortir de Simon et de son troisième
plexus.

Ces formes, imprégnées de colère, vont alors commencer
un étrange ballet. Tour à tour, elles vont aller d’une
personne à l’autre, d’un bureau à l’autre et passer auprès de
tous les occupants des lieux. Elles vont, telles des serpents
à têtes multiples, s’approcher et toucher chacun, même les
moins concernés qui n’ont rien vu de l’épisode qui vient de
se dérouler. Le curieux ballet va durer quelques minutes
qui paraissent bien plus longues, en regard du nombre de
réactions qui se déroulent dans ce petit laps de temps. Une
secrétaire, touchée, lève la tête comme pour réfléchir. La
forme rouge a réveillé en elle un point sensible et elle pense
avec colère aux paroles violentes de son mari, ce matin
au petit-déjeuner. Elle le quitterait bien d’ailleurs, celui-là,
si elle en avait le courage et si elle n’avait pas peur de se
retrouver seule. Une autre tête chercheuse, issue de la
même forme rouge passe simultanément sonder un homme
extérieur à l’équipe et venu là pour demander un devis. Il
attend tranquillement d’être reçu, tout en feuilletant
quelques revues déposées là à cet effet. La tête serpentine
passe et semble le flairer pour trouver quelque chose qui
puisse l’alimenter. Mais non, après plusieurs essais, elle repart.


Visiblement, cet homme n’a rien à voir avec les émotions
de colère dégagées par la forme. Une jeune stagiaire,
quant à elle, à peine touchée par la tête de l’hydre, éclate
en sanglots nerveux. Elle a perdu un dossier et vient de tout
fouiller, sans résultat... Toutes les personnes du bureau
sont ainsi, tour à tour passées en revue et par chance, il n’y
a ni plantes, ni animaux, car ils n’auraient, sans aucun doute,
guère échappé à cette déroutante inspection. Les têtes
rejoignent enfin la matrice d’où elles sont issues et l’étrange
ballet cesse, légère pause dans une histoire qui ne fait
que commencer. Le bureau respire une atmosphère tendue
et prête à exploser. Pendant ce temps, Simon, ignorant de
tout ce qu’il a généré, essaie en vain de retrouver sa sérénité
et se dit qu’aujourd’hui tout le monde est bien énervé.
Si seulement Simon savait et si nous tous nous savions
ce qui peut se passer, serions-nous assez responsables pour
ne pas générer de telles situations? C’est encore la question
que je me pose !

Chez Simon, la masse d’un rouge sombre qui est sortie
avec violence de son troisième chakra, est aussi reliée à
la région du foie et de la vésicule. Sur son passage, elle déchire
les auras successives de son créateur et va se placer,
non loin de lui, vers son épaule droite. Puis, une partie de
l’énergie de la forme rouge sombre, imprégnée de toute la
colère du moment, se détache de lui. Je sens maintenant
que c’est elle que je dois suivre. Cela s’impose à moi comme
À la suite de cette énergie destructrice, je voyage et
pénètre derrière elle dans un vortex de non-lumière, à une
vitesse vertigineuse. Je me sens brutalement projetée dans
un univers rouge et noir, violent à l’extrême et dans lequel
j ’étouffe. L’Ombre m’entoure et m’envahit peu à peu. Je
deviens cet univers et je ne me retrouve plus dans cette violence
qui m’habite. «Pulsions» est le mot qui me vient à
présent. Je me sens habitée ou plutôt possédée par des
énergies qui ne sont pas miennes, je le sais encore, mais
pour combien de temps. J’ai envie de mordre, de tuer, de
couper, de torturer et plus encore, j ’ai envie de hurler ma
haine, mon désespoir, ma vengeance. Je sais que je ne suis
pas ces énergies et pourtant, combien il est difficile de ne
pas s’identifier à elles. Elles sont là, dévoreuses d’espoir et
d’identité ! Je les sens puissantes, parfois extérieures, parfois
intérieures à moi. Elles viennent me chercher là où je
ne le veux pas. Elles sont comme des pieuvres aux mille
tentacules qui flairent la moindre faille, qui sentent là où
l’on est faible, là où l’on résonne de concert avec elles. En
fait, je m’aperçois que peu à peu, je perds toute structure et
la peur m’envahit. Si je continue de la sorte, je vais brutalement
regagner mon corps et ce n’est pas ici le but... La
pression redouble alors, les coups atteignent leurs buts, le
doute m’envahit et je me demande si cette haine, après
tout, n’est pas aussi un peu de moi.
La colère gronde en moi et autour de moi avec une
telle force que je n’ai qu’une envie, la vomir et m’en libérer
sur n’importe quoi, sur n ’importe qui. Je ne maîtrise
plus rien, je supplie et j ’attends. La nausée s’intensifie et si
ça continue, je vais y laisser même mes corps de lumière
qui ne sont à présent que d’ombre. Du moins c’est ainsi
que je le perçois... des visages hideux et grimaçants pénètrent
l’opacité qui m’entoure, des membres coupés flottent
dans la puanteur ambiante, des instruments de torture passent
et disparaissent, des cris de haine et de douleur habitent
ces lieux.

Je ne peux plus et je ne veux plus être là. Mon corps
physique m’appelle et je sens que je vais repartir mais je ne
C’est alors qu’en moi s’inscrivent les mots d’un de
mes enseignants de Lumière :
«Le Diable n’est qu’une énergie débridée, générée par
les formes éparses de vie qui partent à la recherche de la
Vie. Il est la masse informe des suffisances et des peurs,
que chacun de nous, particule de feu, sème, nourrit et rencontre,
plus ou moins sur son chemin de liberté.»
Une lumière se fraye un chemin en moi, une lumière
et une voix, qui tel un baume, apporte un peu de paix en
mon âme :
«Tu es dans l’égrégore alimenté par les colères des
Êtres de la Terre. Ce n’est qu’un ballon qui se dégonflera dès
que tu ne le craindras plus, dès que tu ne lutteras plus
contre lui. Cesse de résister et de lui donner une réalité.
Reconnais-le pour ce qu’il est, une masse d’énergie qui, si
elle n’est plus alimentée, disparaîtra comme elle est venue.
Elle disparaîtra à tes yeux et ne continuera son action que
pour ceux qui l’alimentent encore».
Instantanément, je sens que quelque chose en moi ne
lutte plus et se détend...
Je suis sortie de la sphère et regagne mon corps physique
qui m’attend. Tout s’est passé très vite et le temps humain
me paraît encore une fois terriblement factice. Je
m’en rends compte de plus en plus, à chaque expérience
hors du corps, là où l’espace et le temps ont d’autres mesures...
Le temps est une dimension psychologique de
notre monde et de notre cosmos. Il y a des kilomètres temporels
et ceux-ci sont en rapport étroit avec la vitesse de la
pensée émise dans ces mondes.

L’enfer décrit par Dante pourrait bien ressembler à ce
lieu, n’est-ce pas cela qu’il a visité lui aussi et qu’il a décrit?
veux pas emmener ces énergies à ma suite.
une absolue nécessité.

Je ne veux plus retourner dans l’égrégore que je viens
de quitter et j ’attends patiemment quelques heures avant
qu’un appel hors du corps ne se représente. L’appel ne tar-
de pas à se faire, pressant, impérieux, et je sors de mon
corps sans intention autre que celle de mieux faire comprendre
le chemin pris par une FP.

Dans notre ciel constellé d’étoiles et où traînent quelques
nuages, bien peu savent que d’autres formes vivent aussi
et occupent l’espace sur un plan différent de conscience.
Que de vies nous ne voyons pas avec nos yeux de chair et
pourtant qui sont là, actives et se moquant de notre cécité.
Des formes, il y en a des centaines, voire des milliers, je
suis parfaitement incapable de les dénombrer mais je les
vois, je les sens. Je ne suis plus qu’un minuscule point de
conscience qui voit, dans un Univers immense où tout est
en mouvement. Une voix tout au centre de moi me guide et
m’enseigne:
«Les égrégores de l’humanité terrestre ont une action
dans la mesure où ils sont entretenus. Ainsi, la FP de colère
générée par Simon, a laissé une partie de son énergie regagner
l’égrégore des colères et des violences qui sont ainsi
nourris et renforce son action. Viens et suis-moi !»

Je ne vois personne mais tel un fil invisible, je sens
une direction vers laquelle mon corps de lumière se dirige.
Là-bas, sur Terre, il y a un petit village qui m’attend.
Un petit village de nos campagnes françaises, lové au
creux d’un vallon, avec son clocher et ses vignes alentours.

Avec le corps de mon âme, je me laisse flotter vers une
maisonnette au toit de tuiles rouges. Tout est calme autour
de moi, dans ce décor d’aube champêtre et paisible, lorsque
tout à coup, la porte de la maison claque avec violence. Un
homme d’une cinquantaine d’années, suivi d’un jeune
homme de vingt ans environ en surgissent. Tous deux ne
sont visiblement pas d’accord et une discussion les anime
avec colère, presqu’avec violence. Je ne sais pas de quoi il
s’agit, mais je perçois simplement les volutes qui s’échap-
pent des deux personnes et ne laissent aucun doute sur leurs
sentiments respectifs. Les deux hommes sont de plus en
plus agressifs lorsque, tout à coup, je vois venir vers eux la
forme à têtes multiples qui avait été générée par Simon à
des milliers de kilomètres de là. Que fait-elle donc ici?
Elle n’est pas seule et plusieurs autres formes, hideuses,
la suivent puis la précèdent. Elles se mêlent étroitement,
comme dans une fusion intense, aux énergies déjà
émises par les deux hommes puis, sans que je sache pourquoi,
elles semblent avoir une prédilection pour le plus
jeune. Elles l’entourent et je vois peu à peu une colère destructrice
s’emparer du jeune homme. Il ne se contrôle plus
et rentre dans la maison avec une rapidité étonnante. Il en
ressort aussitôt avec un objet brillant à la main. La forme
de l’objet se précise et je suis hébétée...
«Non, ce n’est pas possible, il ne va pas le tuer!»
De là où je suis, je ne sais que faire et j ’envoie avec
toutes les forces que je suis capable de réunir, des pensées
de paix. Je le vois, ces pensées vont vers les deux hommes
mais elles ne les atteignent pas. Elles sont retenues par
d’autres ondes colorées qui les empêchent d’avancer. Tout
va très vite et je comprends soudainement qu’avec mes
pensées de paix, je génère aussi des énergies de doute qui
entravent mon action.
C’est alors que d’autres ondes viennent se mêler aux
miennes et renforcer les premières FP que j ’ai émises avec
force. La petite voix au centre de mon être se fait enfin entendre
:

«Ne crains rien, d’autres FP issues d’égrégores sont
en action elles aussi, elles sont façonnées par l’Amour qui,
au-delà de tous les différents, unît ces deux êtres. Par leur
énergie, elles attirent aussi à elles des FP de la même qualité.
En fait ce père et son fils s’aiment et cet amour va at-
tirer aussi tout un réseau de fils de lumière généré par
cela.»
Après des minutes qui me semblent interminables, les
deux hommes roulent par terre et en peu de temps, le plus
jeune prend le dessus. Les FP les entourent, les lumineuses
et les sombres semblent, elles aussi, en lutte. C’est alors que
le «miracle» se produit. En l’espace d’un éclair, le plus jeune
des deux hommes s’arrête un instant, regarde le couteau
qu’il tient dans la main et le jette loin de lui, épouvanté par
l’instrument, comme s’il le percevait enfin pour la première
fois. Il regarde son père étendu sous lui et d’un mouvement
de colère contre lui-même, cette fois, il se relève en grommelant
:
«Je suis vraiment stupide, pardonne-moi si tu le
peux.» Puis, il s’en va d’un pas chancelant, pour se perdre
un peu plus loin, dans un petit bois tout proche.
La colère et la violence qui accompagnent les FP se
sont dissoutes comme par magie et autour de l’homme plus
âgé, qui se relève et époussette machinalement ses vêtements,
absorbé dans ses propres pensées, il ne reste plus
que des ondes paisibles qui semblent retisser l’Éther autour
de lui.

Je n’ai plus rien à faire ici et je regagne, cette fois encore,
mon corps physique qui m’attend patiemment.
Je m’interroge. Et si ces deux personnes n’avaient eu
aucun lien affectif, les FP d’Amour, auraient-elles eu le
dessus ?

Top
LightInWay
Ecrit le: Dimanche 04 Octobre 2015 à 13h22 Posted since your last visit
Quote Post


Unregistered









Maintenant, pourquoi on nous dit de méditer dans la lumière et l'harmonie, de rayonner l'amour (= sentiment de paix et harmonie inconditionnelle avec chaque être et parcelle de vie) comme travail vraiment utile. Croire que ceci n'est qu'un rien, une goutte d'action faisant semblant d'en être une mérite d'être confronté à ce que des clairvoyants perçoivent. Voici donc mon extrait suivant, sur l'utilité de ce travail intérieur qui nous est demandé comme action immédiate pour changer véritablement le monde.

Extrait 2: Formes pensées positives

Citation
Jusqu’à présent, j ’ai essentiellement évoqué les FP qui
nous épuisent, alourdissent notre avance et nous rendent
malades que ce soit sur un plan physique ou psychique.
Mais penserez-vous à juste titre, pourquoi passer sous silence
ces FP de lumière qui nous entourent? Et bien parce
que justement, elles ne stagnent pas dans notre aura !
Une FP qui est issue de nous et que nous avons générée
par une énergie lourde, c’est-à-dire de colère, de tristesse, de
doute, en fait de tout ce qui émane de notre ego, possède une
densité, un poids, une forme. Plus elle est lourde, pesante et
plus elle est proche de la matière physique, plus elle est vi-
sible, plus elle est palpable. Sa densité la rend telle qu’elle
stagne autour de nous, après avoir déchiré notre tissu aurique.
Ainsi, une FP de peur ou de colère va, au tout début de
sa formation, rester autour de nous, comme une valise que
de mois en mois nous allons remplir, tout en gardant les
vieux vêtements qui sont déjà dedans. Un jour, la valise ne
peut plus rien contenir car elle est trop pleine et de toute façon,
physiquement, nous n’avons pas assez de force pour
continuer à la transporter... C’est le moment du «ras le
bol», «de la goutte qui fait déborder le vase» et de la maladie
que l’on découvre sur notre corps physique, due à
notre peu d’attention à ce que nous transportons avec nous.

La Vie actuelle est telle que nous sommes pris dans un
tourbillon centrifuge dont il est difficile de nous extraire.
Pourtant, nous ne pouvons plus ignorer que nous sommes
malades, que la Terre est malade et que, de notre passivité
intérieur, naît le plus grand marasme qui soit actuellement.
Par ces FP que nous ne cessons de créer et d’entretenir,
nous collaborons étroitement à ce que j ’appelle «Le
Gouvernement Mondial». Il est facile de se sentir désespéré
ou impuissant devant les agissements de ce
Gouvernement qui utilise en nous ce qu’il y a de plus bas.
L’Amour vrai cependant, se passe de nos lamentations qui
ne feront jamais oeuvre utile.

Combien de fois ai-je entendu : «je me sens tellement
impuissant devant les faits qui sévissent sur la planète que
je préfère ne pas savoir. À mon âge, je veux vivre tranquille.
De toute façon, ça a toujours existé, je me suis souvent
culpabilisé et cela n’a rien changé. Alors, laissez-moi
tranquille avec tout ça...»
La personne qui m’a tenu ces propos est en fait proche
de ce que le plus grand nombre pense. Tant que le «mal»
ne nous touche pas directement, on compatit, du moment
que rien ne change dans le confort douillet de nos vies occidentales.
On peut signer une pétition, envoyer des mails, participer
à une manifestation ou donner quelques sous mais la
guerre a-t-elle cessé au fond de nous? Nos pensées sontelles
plus claires et plus lumineuses ? Ou entretenons-nous
comme à l’habitude nos vieilles rancoeurs et nos anciens
mécanismes de protection ou de fuite ? Avons-nous changé
le regard que nous portons sur la vie et qui la rend telle que
nous la voyons ? Avons-nous décidé de cesser toute collaboration
avec l’ombre qui est en nous? Continuons-nous à
diviser le bon et le mauvais chemin, ceux qui sont dans la
droite ligne et ceux qui sont à côté? Allons-nous juger et
nous juger, punir et nous punir encore longtemps?
Sans cette volonté de transmutation intérieure, toute action
se révélera une simple vanité !
À cet instant de votre lecture, j ’aimerais vous offrir les
paroles de l’un des enseignants de Shambhalla:
«... L’ensemble de la race humaine croit se trouver devant
un labyrinthe, ne sachant pas que celui-ci est l’image
illusoire de la projection des pensées. Il faut maintenant
cesser de s’excentrer car il n’y a qu’un pas du soi au Soi,
un pas que nous empêche de franchir notre seul ego. L’âme
a le visage de cet ego. L’âme a vécu ce qu’elle devait vivre,
il vous faut enfin la laver et la dissoudre dans l’Esprit dont
elle procède... Vos connaissances ne vous serviront à rien,
ou si peu... Qui a jamais vu une encyclopédie se feuilleter
elle-même?... Prendre un stylo, enfoncer un clou, préparer
un repas, sont les gestes quotidiens des hommes. Si pour
vous ils sont insignifiants, ils sont aussi l’aveu de votre
égarement. Qu’ils deviennent vos prières de vie et vous demeurerez
au centre de vous-même... La matière est votre
tremplin... Aimez sans commune mesure, aimez comme
l’Amour lui-même.»

Une FP lumineuse, de joie, d’Amour pur, sans séparativité,
est d’une extrême subtilité. Je me suis souvent
trouvée lors de mes voyages, que ce soit sur les plans physiques
ou plus subtils, face à de grands êtres desquels émane
une aura porteuse d’une indicible énergie de Vie. Cette
aura qui part du chakra du coeur mais aussi de tous les
atomes de vie de l’Être qui aime, inonde souvent de sa lumière
toute une région. Elle entoure chacun d’une énergie
si fine et tellement aimante que nous sommes aimantés par
la présence de ces êtres qui nous apportent une nourriture
inégalée. À travers l’exemple qui suit, nous allons assister
au parcours d’une pensée pure (c’est-à-dire non entachée
par le jugement) qui jaillit de notre être avec force et répétitivité
chez celui que pourrait être chacun de nous.

STEVE
«La mesure de l ’Amour c ’est d ’aimer sans mesure.»
Saint Augustin
Steve est un jeune anglais venu faire ses études en
France, à Paris plus précisément. Depuis quelques mois, il
est très amoureux d’une jeune fille qui, malheureusement
pour lui, continue son université dans une région du Sud de
la France. Il ne peut la rejoindre que certains week-ends
car il n’est pas bien riche. Qu’à cela ne tienne, l’«autostop
» est aussi une bonne solution.
Lorsque Steve n’est pas près de Maggie, il en rêve et
souvent pendant ses cours, son regard flotte vers un univers
bien terrestre mais trop loin à son gré. Cette passion
est tellement forte que Steve envoie des messages télépathiques
remplis d’amour à Maggie qui de son côté sent
naître en elle un Amour grand et fort. Le soir, il met une
musique dans sa chambre d’étudiant, une musique commune
à eux deux, qu’elle écoute aussi et qui les rapproche.
Pendant ce temps, sur d’autres plans, des FP s’envolent,
messagères d’Amour et de joie, porteuses de futures retrouvailles.
Lorsque Steve pense tellement fort à Maggie qu’il sent
tout son corps envahi par elle, ce n’est pas simplement du
désir. Il n’attend rien en retour et il sait que même si
Maggie ne l’aimait pas, il continuerait à l’aimer. C’est en
tout cas ce qu’il pense profondément et sincèrement à ce
moment-là.

Durant toute cette époque, les FP qui s’échappent de lui
sont d’une telle substance de lumière, qu’elles traversent
tous les corps et toutes les auras protectrices de Steve sans
qu’aucune n’en soit abîmée. Bien au contraire, ces FP sur
leur passage renforcent et illuminent les auras du jeune
homme à tel point, que même ceux qui ne le connaissent
pas, le sentent heureux, intouchable et lisent autour de lui
l’Amour qui l’habite. C’est ainsi que pendant toute cette
période, les auras de Steve vont connaître une expansion et
une force inégalées qui seront ses meilleures protections
contre tout ce qui pourrait lui arriver.

Curieusement, le jeune étudiant se sent en pleine forme,
même s’il travaille tard le soir, pour récupérer de ses
week-ends avec Maggie. Il n’a plus de rhume, ni d’autres
désagréments et se sent au mieux de ses capacités tandis
que le monde change autour de lui.

Pour ce jeune Anglais de la campagne qui trouvait Paris
et surtout son quartier un peu sale, très bruyant et trop
loin de la fac, tout semble différent. Paris est maintenant, à
ses yeux, une ville de tous les possibles. Dans son quartier,
les gens lui sourient et sont devenus tout à coup aimables,
même le bruit ne semble plus avoir d’existence ou si peu.
Les camions poubelles et le nettoyage qui rythmaient son
réveil matinal sont toujours les mêmes mais depuis un certain
temps, Steve les aime comme faisant partie intégrante
de la vie de son quartier. En fait, il aime tout et tout le
monde et répand le sourire et l’envie d’aimer autour de lui.
En effet, les FP lumineuses sont, elles aussi, contagieuses.

Si dans le cas de Simon, les FP tendaient leurs têtes
chercheuses à l’afïut d’une faille où pénétrer, les FP de
Steve balaient tout le sombre autour d’elles et répandent
une énergie porteuse de Joie. Elles touchent ainsi d’une caresse
enveloppante tous ceux qui y sont accessibles. Si
nous pouvions voir sur un plan subtil le ballet qui se danse
autour du jeune homme lorsqu’il se promène dans la rue,
nous verrions des rubans lumineux qui, sans discrimination,
caressent tous ceux qui passent près de lui.

Une dame âgée le croise sur le trottoir. Elle est en habits
de deuil car elle vient de perdre son unique enfant d’un
accident de voiture. Enveloppée de noir au physique comme
au subtil, elle est absorbée dans ses pensées et sans voir
le jeune étudiant, elle regarde le trottoir en faisant attention
à ses pas qui semblent peu assurés. Elle pense que son fils
n’a pas eu de chance et que, peut-être, elle ne lui a pas assez
dit qu’elle l’aimait. Il ne la voyait plus beaucoup ces
derniers temps... Elle aurait bien aimé le revoir au moins
une fois. Maintenant, elle est bien seule.

Les tristes pensées tourbillonnent autour d’elle, amenuisant
plus encore la coque protectrice de ses auras
lorsque, tout à coup, une longue flamme couleur de
l’Amour l’entoure de ses couleurs roses, azur et or. Le long
ruban s’arrête un instant, comme devant un mur, mais sans
se lasser et en l’espace d’un éclair, il tourne, virevolte et se
fraye un passage à travers les jeunes FP sombres qui évoluent
autour de la vieille dame. Un moment après, celle-ci
s’arrête et fait mine de fouiller dans son petit sac à main,
noir lui aussi.
Et si elle s’arrêtait pour prendre un thé dans ce salon
qu’elle aime bien? Cette idée, qu’elle vient tout juste
d’avoir, la détend un peu et lui plaît. Assise dans le salon
de thé douillet, elle sort de son sac posé sur ses genoux, des
photos, des photos d’un bonheur enfui mais qui cette fois
ne la rend pas nostalgique.
En elle monte un chant de grâce, léger et subtil. C’est
celui d’un remerciement pour tout ce qui s’est passé de
beau et de bien dans sa vie. Pour tout l’Amour qu’elle a
reçu et qu’elle a donné...

«C’est déjà si beau d ’avoir pu vivre tout ça !» se console-
t-elle intérieurement devant un brownie au chocolat et
un thé au jasmin qui lui réchauffent le coeur.
Steve et la vieille dame ne se connaissent pas et ne se
rencontreront sans doute jamais, pourtant entre eux il y a
un lien, si lumineux et si solide, qu’il perdurera au-delà de
l’espace et du temps: celui d’un instant d’Amour et de
Bonheur.

Pendant ce temps, l’énergie radieuse de ces FP s’envole
pour nourrir l’égrégore de l’Amour et lorsqu’à des milliers
de kilomètres de là, Tchang voudra enfreindre les règlements
familiaux et épouser celle que son coeur aime
vraiment, c’est là qu’il puisera la force d’agir.

Tchang est d’une grande famille asiatique qui est riche
et connue. La mésalliance est quelque chose d’impensable
chez elle. On ne se marie qu’avec quelqu’un de même rang
et de même race. La tradition le veut ainsi et toutes les révolutions
n’y changeront rien. Tchang seconde son père
dans son entreprise mais c’est un jeune homme doux et
surtout il est très amoureux. L’obstacle n’est pas pour lui
d’être amoureux, mais que la jeune fille qu’il aime soit européenne
et sans titre, ni richesse. Voilà le «problème»
avec lequel il se débat depuis des mois.

Qu’à cela ne tienne, aujourd’hui Tchang se sent assez
de force et de courage pour affronter ses parents. Il sait
déjà que son père, sous le coup de la colère, va menacer de
le déshériter et que sa mère ne voudra plus le voir. Mais aujourd’hui,
rien ne peut l’arrêter. Il est sûr de son amour et
de celui de cette jeune fille qui l’aime. Qu’importe, il travaillera
à l’usine, s’il le faut, mais il ira jusqu’au bout, non
pas de son désir mais de son amour.
La seule chose qu’il sait, c’est que tout est possible, et
ainsi, il puise inconsciemment l’énergie dont il a besoin
dans l’égrégore qui lui donnera la force de concrétiser son
objectif: celui de l’Amour.

Contrairement aux FP d’ombre, les FP de lumière ne
stagnent pas dans une aura. Elles sont si volatiles, si légères
et si actives qu’elles remplissent son créateur d’une
immense aura de bonheur. Leur peu de consistance «physique
» ou de densité, les rendent non pas fragiles, ni vulnérables,
mais au contraire exemptes de toute manipulation.
C’est là toute leur puissance. Elles ne peuvent jamais
être phagocytées par la non-lumière.

En fait, c’est un peu comme si nous voulions nous
brancher sur les différentes fréquences d’une radio. Nous
pouvons capter l’une ou l’autre des émissions et lorsque
des émissions se chevauchent, nous n’obtenons qu’un
brouhaha inaudible.

Les FP, quant à elles, fonctionnent analogiquement.
Leurs densités sont différentes et elles ne voyagent pas
toutes sur la même fréquence. Elles ne sont donc atteintes
que par des énergies qui se déplacent sur une «fréquence vibratoire
» analogue à la leur. Une FP de Lumière ne peut être
manipulée. Par contre, lorsqu’elle rencontre une FP à fréquence
lente, comme celles émises par la vieille dame en
deuil, elle permet la Transmutation.

Je sais que pour un scientifique les mots que j ’emploie
peuvent paraître inadéquats. Il est pourtant essentiel de ne
pas s’en tenir au vêtement extérieur de mon explication
mais d’en pénétrer l’Essence.

Et un petit complément sur l'utilité d'action directe d'une FP positive qui cherche à aider une personne en particulier; ce qu'elle peut faire et ne pas faire:


Citation
Les FP de Lumière, aussi légères et subtiles soient elles,
ont cependant une forme et une action très concrètes.
Lorsque nous regardons l’aura d’une personne qui prie
ou qui médite, pour un objectif précis, nous voyons une
très belle Lumière autour de la personne en question et des
formes géométriques qui s’envolent pour atteindre leur
destination.

Pour être plus précise : si nous pensons à une personne
qui a besoin de notre aide, un enfant qui va passer un examen
ou à une amie malade, une FP va s’envoler de nous,
porteuse de notre énergie d’Amour. Arrivée à destination,
elle balaiera selon sa force et sa précision, les FP qui sont
générées par la peur ou la tristesse des receveurs. Si les FP
que nous envoyons sont pures, c’est-à-dire dénuées de marchandage,
si elles sont envoyées non pour jouer les sauveurs
mais dans un acte d’Amour, si elles sont précises et
répétées, elles ont toutes les chances de dissoudre les FP
d’ombre qui trament autour de leurs destinataires.
Ainsi, l’enfant retrouvera en lui sa confiance initiale et
l’amie malade se sentira plus calme pour traverser ce
qu’elle vit à cet instant.

Une FP, de Lumière et d’Amour, ne peut faire le chemin
à la place de celui ou celle à qui elle est destinée.
Personne ne fera jamais le chemin à notre place et c’est juste
ainsi. Le rôle des FP est de nous faire retrouver notre
Essence et de nous permettre de réveiller en nous la mémoire
du grand Soleil qui ne nous a jamais quittés.
Nous n’avons rien à attendre de ce qui est extérieur à
nous puisque tout est déjà en nous. L’Amour ne peut être et
ne sera jamais offert en partage car il est là, partout autour
de nous... Nous l’avons simplement oublié. A nous de lever
les voiles qui recouvrent notre regard, ce regard que
nous croyons porter si loin et qui n’a pas encore fait son
premier pas.

Je lisais récemment une note sur les derviches tourneurs
qui disait en substance que certains ordres soufis ont
maîtrisé la danse-spirale.

«Par la répétition de ce mouvement sacré, ils parviennent
aux plus hauts niveaux de conscience. Ces derviches
peuvent voyager au centre de la spirale et en rapporter la
puissance magique de leur choix. Dans cet état, le derviche
pénètre le Grand Silence et entre en communication avec le
Créateur. Par tours et détours, le derviche attire et repousse
certaines énergies.. .»

Cela m’a précisément ramenée à une danse où des derviches
tournaient inlassablement. Je ne sais s’il s’agissait
de ceux cités par le texte, mais je me souviens d’avoir vu,
durant toute cette danse, des énergies et des masses
sombres qui stagnaient dans l’Ether du lieu et qui au fur et
à mesure du tournoiement semblaient balayées puis dissoutes
jusqu’à ce qu’il ne reste plus que de la Lumière autour
des danseurs.

Top
Ecrit le: Dimanche 04 Octobre 2015 à 16h16 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Bannis
Messages: 4688
Membre n°: 10238
Inscrit le: 29/12/2012




Ceci expliquerait beaucoup de choses.

Ceci expliquerait pourquoi au moment de doubler un vélo, je croise systématiquement un véhicule arrivant en sens inverse alors que j'ai pu parcourir plusieurs kms sans croiser âme qui vive, pourquoi quand je rentre dans un commerce vide, il se rempli en très peu de temps, et ainsi perd de sa tranquillité, mais gagne en vie, etc ...

Comparable aux petits lutins de certaines légendes.
Pouvant peut être également expliquer le comportement anormal de certaines personnes, celles qui franchisent les limites convenables pour commettre des actes sombres.

Aujourd'hui lorsque un événement désagréable se trouve sur mon chemin, j'ai pris le parti d'en sourire et non plus de le nourrir comme je le faisais avant par la colère, la rage, la plainte, le « ruminement » d'idées sombres...
Je me dis qu'il y a un yin alors il y a aussi un yang, un mal et donc automatiquement son revers et inversement...

Une chose est absolument certaine, c'est que nous ne sommes pas seuls ici et même si nous ne le voyons pas, comme moi.
Même si nous ne voyons personne, les signes sont là, ce sont eux qu'ils faut voir...

PS : j'ai souvent ici posé la question « qu'est ce que méditer ? »
Récemment mon fils m'a offert un livre « le livre tibétain de la vie et de la mort » et j'y ai trouvé la réponse, du moins celle qui me plaît à moi et qui ne conviendra peut être pas à une autre personne.
Comme quoi tout arrive à point à celui qui sait attendre...
Donc cette définition que j'attendais est « méditer, c'est allonger le temps entre deux pensées »
et il y a de quoi méditer sur cela, et surtout se rendre compte qu'il n'est pas aisé de le faire, voir impossible pour beaucoup.

j'ai bien apprécié ce livre jusqu'au moment ou l'auteur a fait un peu trop l'apologie de sa croyance.(je ne supporte pas que l'on me force la main)

Comme quoi mille hommes, mille religions....

tout est lié...

merci LightInWay pour ce partage.
PM
Top
LightInWay
Ecrit le: Dimanche 04 Octobre 2015 à 18h30 Posted since your last visit
Quote Post


Unregistered









Avec plaisir.
En ce qui concerne la méditation, il y en a en fait une définition donnée selon ce qu'on fait avec, et selon les camps religieux donc.

Originellement c'est l'hindouisme qui a énoncé les principes de la méditation. Cela consiste à ne pas penser, un "espace mental" vide de pensée; dans lequel le mental justement ne fonctionne pas pour produire des pensées. En fait comme il n'est pas possible de ne pas penser, les enseignements hindous indiquent des méthodes qui permettent de se concentrer sur une seule pensée (japa: répétition d'un nom de dieu; mantra: répétition d'un son qui n'est pas forcément un nom de dieu, visualisation d'une objet de culte comme une statue ou une forme de dieu, ou toute autre chose qui fixe le mental sur une seule pensée: la concentration). Il y a aussi la concentration sur le souffle comme objet de concentration.

Puis alors qu'on s'habitue à faire cela, on se met à méditer au fur et à mesure: le mental finit par l'habitude (donc faire cela répétitivement durant des semaines, des mois, de nombreuses fois par jour), donc finit par l'habitude à se concentrer sur son objet de concentration de manière automatique, laissant ta conscience en état de non pensée de plus en plus (sans pensée parasite autour). Une fois la méditation effectuée de plus en plus souvent (absence de pensée par l'occupation du mental en tache de fond sur la concentration sur un objet unique, qui l'a habitué à ne plus sauter d'une pensée vagabonde à l'autre), on finit par entrer en état de samadhi, c'est à dire béatitude, joie suprême, qui est le contact avec le vide de l'être, ce qu'est Dieu: ce qui est.

Puis il y a eu le bouddhisme, ne pas oublier que Bouddha, Siddartha Gautama Bouddha était un hindou. Il a utilisé une des techniques de l'hindouisme: à savoir la méditation par la concentration sur le souffle. Cela a finit, au bout de plusieurs années, par lui permettre la méditation de plus en plus souvent et puis continument, puis d'atteindre le samadhi puis de dépasser cette étape là qui était provisoire pour qu'elle soit permanente et durant son état de conscience de veille: il a obtenu ce qu'on appelle l'illumination (=samdahi en état de conscience de veilel ordinaire, ce qui ne se passe que si on peut prolonger le samadhi 24h/24). Il a fondé une nouvelle philosophie et le bouddhisme est né après lui comme religion, reprenant les principes de la méditation hindoue.


Une technique de méditation par la concentration utilisant la raison convient bien mieux aux occidentaux modernes aussi, pour ceux qui ne sont pas encore sensibles àla notion d'amour christique: la recherche du soi par l'enquête. J'ai diffusé des choses là-dessus ici:
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/index...?showtopic=2001

Ainsi il y en a pour tous les gouts, du dévot qui fera du japa avec ferveur, au raisonneur qui fera l'enquête sur soi, à celui capable d'ouverture aux énergies d'amour qui fera la méditation rayonnante. C'est fait pour que chacun puisse trouver ce qui lui convient car toutes ces voies mènent au même but, certains plus vite que d'autre; mais aussi si vous prenez une voie inadaptée à ce que vous êtes vous n'avancerez pas, donc prendre celle qui vous convient vraiment. C'est pourquoi on ne peut pas donner une technique de méditation, mais les lister toutes (celles connues) et chacun prend celle qui lui parle le plus.
Dans le cercle du New Age on te parle de méditation de façon tout à fait différente de celle qui est définie par l'hindouisme ou le bouddhisme (dont les tibétains sont un membre). On te dit que tu médites en te concentrant sur une idée d'amour, de lumière, de radiance. En fait c'est le même principe mais au lieu de suivre le souffle ou simplement un objet dénué de toute autre particularité chez les hindous, l'objet de ta concentration est un objet d'amour. Cela accroit largement la vitesse de progrès des méditations, car cela stimule l'accès à l'âme; en effet l'amour, ou état de béatitude (=samadhi) est le contact entre l'âme et la conscience. C'est un perfectionnement de la méditation adapté à des personnes qui ont eu envie d'accrocher aux valeurs de l'amour universel (prône part le Christ ou par le Bouddha aussi).

Il faut alors se concentrer sur le ressenti d'amour et de lumière à diffuser; et en faisant cela, on finit aussi par trouver la méditation, état sans pensée, ou seul le ressenti du bien être de cet amour radiant emplit ton espace intérieur. C'est cela qui est préconisé par les différents êtres de lumière et êtres extraterrestres qui donnent des informations aux channels; adapté à notre époque moderne ou l'énergie d'amour universel est cultivable par la conscience de l'homme moyen actuel. En effet ceci n'était pas possible pour l'homme moyen d'il y a 2000 ans ou 3000 ans; quand l'hindouisme était enseigné. En fait les techniques de méditation sont modulées en fonction du temps et de la capacité des hommes à pouvoir se frayer un chemin d'une façon ou d'une autre.

La technique de concentration sur le souffle, un objet particulier, par le japa, etc est toujours possible, mais l'homme d'aujourd'hui peut le faire sur l'amour universel, et comme ceci est un accélérateur de temps pour atteindre le but (car il faut plusieurs vies de méditation de type hindoue pour l'atteindre) il vaut mieux l'opter. Mais chacun fait comme bon il lui semble.

Au final dans tous les cas on cherche l'état sans pensée. Mais si on se concentre sur l'idée de ne pas penser, alors on pense, si on le recherche, on pense; il ne faut pas chercher cet état pour y être; mais cultiver des états autre.
Top
Ecrit le: Dimanche 04 Octobre 2015 à 19h29 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Bannis
Messages: 4688
Membre n°: 10238
Inscrit le: 29/12/2012



Difficile à expliquer, mais dans un certain état, on rejoint le cosmos, ou du moins c'est le cosmos qui nous rejoint.
inexplicable avec des mots...
désolé de ne pouvoir partager cela, ce sont des états personnels il me semble.

merci à toi pour ces explications détaillées qui nous permettent d'aller plus loin dans nos idées et formes pensées...
PM
Top
Ecrit le: Dimanche 04 Octobre 2015 à 20h39 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Membres
Messages: 310
Membre n°: 10787
Inscrit le: 15/08/2015



Citation ( LightInWay @ Dimanche 04 Octobre 2015 à 19h30)
mais cultiver des états autre.

Merci LightInWay, cette supposition intime devient désormais une piste concrète.

Cet "espace mental" vide de pensée me rappelle mes trajets en train/bus où effectivement on devient capable de "décrocher complètement" pour seulement observer/ressentir l'environnement.
Sans avoir envisagé à l'époque ces concepts nouveaux pour moi, aujourd'hui je me sens reconnaissant et je découvre une chose simple :
Connaître n'est qu'une étape, ensuite il faut Reconnaître pour avancer.


--------------------
« Rien ne change tant qu'on n'y change rien »
PMEmail Poster
Top
Ecrit le: Lundi 05 Octobre 2015 à 20h49 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Membres
Messages: 3939
Membre n°: 10047
Inscrit le: 07/11/2011



Bonne synthèse de LightInWay qui pratique depuis quelques années maintenant. Stopper les flux mentaux est un exercice délicat et obtenir l'arrêt est compliqué. J'ai trouvé plusieurs degré lors de mon apprentissage, et ils sont similaire à l'état de mise en veille physique du corp physique : cela necessite de l'entrainement et du temps pour ressentir les palliers. Sur le corp physique les muscles qui se relâchent alors qu'on les pensé relâchés sont assez impressionnant quand on y prend garde, jusqu'a atteindre un espèce d'engourdissement ou de lourdeur du corp qui repose alors pleinement sur le lit avec une tension minimale. Parfois j'ai l'impression d'avoir verrouillé le corps tellement qu'il ne bouge plus et ne souhaite plus bouger, et c'est un etat appaisant qui permet de mieux travailler sur la psyché. Par contre si vous avez accumulé de la fatigue, c'est direct dans les bras de morphée grin.png il me faut donc bien dormir si je veux reussir à atteindre mes divers états de conscience.

Le plus haut degré jamais atteint m'a donné la sensation d'une perception nettement accrue comme si l'on m'enlevait des oeillères. La sensation etant arrivée soudainement, j'ai perdu l'etat de conscience obtenu et n'ai pas reussi à le retrouver  (sans trop réessayer). Mais la sensation est vraimment là, et on ne peut pas se tromper. C'est comme avoir la sensation de vertige : vous pouvez pas vous l'imaginer, vous ne pouvez que la ressentir. Là c'etait la même. J'espère un jour maintenir cet état pour mieux l'intégrer et voir de quoi il s'agit et ce que ça apporte.


--------------------
« No matter where you are, Look for the brightest star, Believe it is true, My soul is smiling at you", FastWalkers
PM
Top
Ecrit le: Jeudi 12 Novembre 2015 à 22h58 Posted since your last visit
Quote Post


Expert(e)
******

Groupe: Bannis
Messages: 4688
Membre n°: 10238
Inscrit le: 29/12/2012



serait ce nos petits extra-terrestres?...
https://www.youtube.com/watch?v=cNlmVIUoaj0
PM
Top
1 utilisateur(s) sur ce sujet (1 invités et 0 utilisateurs anonymes)
0 membres:

Topic Options Reply to this topicStart new topicStart Poll

 



[ Script Execution time: 0.0556 ]   [ 12 queries used ]   [ GZIP activé ]