Les Universons, Particules responsables de la gravité

Les Universons

Préambule:

Suite à un lien envoyé par un ami, j'ai (re-)découvert le site de Claude Poher sur les Universons. re-découvert car j'étais allé voir en 2004 déjà, mais je n'avais que jeté un coup d'oeil et il n'y avait pas toute la richesse qu'on y trouve actuellement... aussi sûrement j'avais négligé de passer du temps sur cette fantastique idée.

Les idées de Poher ne sont plus des idées théoriques; il a réalisé un laboratoire d'expériences permettant de la prouver. Et il a réussi. Il a sur son site une page d'expériences dans laquelle il teste un générateur d'universons de sa fabrication et démontre ses effets: accélérations de plusieurs centaines de g, génération d'énergie libre, transmission de flux d'énergie à travers la matière, etc. Il a des vidéos, détails de ses protocoles expérimentaux et des résultats, etc.

Désireux de me rattraper, voici un résumé rapide de sa théorie qui devrait inciter ceux qui le veulent à en savoir plus sur son propre site.

Ses idées sont donc non seulement fantastiques mais encore elles sont appuyées par des expériences concrètes. Claude Poher n'est pas n'importe qui: ingénieur en recherche spatiale et én électronique, docteur en astrophysique et astronomie; il a travaillé au CNES durant plus de 30 ans à des postes importants de directeur de recherches et a créé et dirigé le GEPAN (organisme officiel chargé d'étudier les OVNIs et leur réalité) au sein du CNES.

URL du site de Poher sur les universons: http://www.universons.com

Principe de sa théorie:

Les Universons sont des particules transportant de l'énergie, qui se déplacent dans l'univers dans toutes les directions, et qui ne sont pas absorbées par la matière. Ils sont responsables de la force de gravité qui n'est qu'en effet apparent. A ce titre, il ne les appelle pas les gravitons car pour lui ces entités ne correspondent en rien à ces universons.

la théorie de Claude Poher se base sur la relativité générale et la mécanique quantique; ainsi que des postulats qui lui sont propres et appuyées par des expérimentations indépendantes de lui. Sa théorie n'a rien d'une théorie exotique complètement farfelue.

Propiétés des universons:

Les universons sont des particules sans masse, sans charge et se déplaçant à la vitesse de la lumière en toutes circonstances. Ils possèdent tous exactement la même quantitté d'énergie. Les universons contribuent à constituer une sorte de radiation énergétique qui emplit l'espace par leur déplacement en grande quantité dans toutes les directions. Cette radiation n'est pas de nature électromagnétique et n'est pas détectable de manière directe. Ils constituent une sorte de "pression" dans l'espace. En effet les universons ont la propriété de pouvoir communiquer une énergie cinétique par transfert de leur quantité de mouvement lors d'un choc contre une particule de matière, étant alors temporairement absorbés.

Puis ils sont réémis par la dite particule au bout d'un temps extrêmement bref dans une direction non nécessairement identique à la direction d'arrivée; rendant alors un recul cinétique à la particule opposée à la nouvelle quantité de mouvement acquise par l'universon sortant.

La quantité d'universons et leur énergie calculée par Claude Poher donnent des frissons sur la quantité fantastique d'énergie qu'ils véhiculent!

Intéraction des universons avec la matière:

Les universons qui arrivent de toutes directions (mouvement isotrope), sont absorbées et réémises dans des directions aléatoires, ayant pour résultat que les particules ne sont pas affectées dans leur trajectoire par l'impact des universons (sauf un léger mouvement de type Brownien mais quasiment indétectable car ultra léger).

Pour être utilisables, les universons doivent être émis sous la forme d'un flux directionnel (flux anisotrope) afin de pouvoir permettre une propulsion de la matière dans une direction précise.

Comportement des particules accélérées:

Une particule immobile ou en mouvement de translation uniforme reçoit et émet des universons dans toutes les directions et donc ne reçoit pas d'impulsion dans une direction privilégiée. Elle conserve donc sa vitesse (c'est le premier principe de la mécanique).

Lorsqu'elle est accélérée, Claude Poher démontre que la particule ne réémet plus les universons dans la direction opposée de son accélération, et de plus elle ne capture plus d'universons dans le sens de son accélération. En conséquence du bilan global, un flux d'universons est émis dans le sens de l'accélération.



Il y a alors un flux anisotrope d'universons.

La particule se voit exercer une force dans le sens opposé à l'accélération: il y a inertie de la particule à accélérer: elle s'oppose à son accélération.


Comportement des particules dans un flux directionnel d'universons:

L'attitude d'une particule soumise à un flux directionnel d'universons est de se déplacer dans le sens opposé à ce flux. Ce faisant elle émet des universons de manière directionnelle dans le même sens que son accélération, donc de manière opposée au flux auquel elle est soumise de façon à compenser le flux.

Claude Poher a mesuré dans ses expériences des accélérations allant de quelques dizaines à quelques milliers de g; c'est du concret!


Nature de la force de la gravité:

La force de gravité est, selon Clause Poher, une force due au masquage des flux d'universons d'une masse par une autre (il a des explications très détaillées à ce sujet bien sûr).

En bref, les universons qui traversent la matière sont absorbés de manière provisoire dans celle-ci avant d'être réémis. Lorsqu'une particule se trouve à proximité d'une masse, elle se voit donc masquer le flux d'universons pendant un temps microscopique, ce qui accélère de manière microscopique la particule vers la masse en question. Cette accélération provoque un flux directionnel d'universons dans le sens opposé à l'accélération, contribuant à créer de nouveau un effet de mouvement plus important de la particule vers la masse en question.

En fait la particule est poussée par le flux d'universons isotrope par manque d'universon dans une direction particulière; par masquage.

Utilité des flux d'universons pour produire de l'énergie gratuite:

Un flux d'universons émis en pinceau (par des particules accélérées en ligne droite par exemple) traverse la matière et (par effet d'absorption-réémission ultra rapide) lui communique une accélération de sens opposé. Ainsi un flux d'universon qui traverse la matière déplace les électrons des atomes qu'il rencontre.

Soit ces électrons sont liés au noyau de manière assez forte, comme dans un diélectrique, et cela provoque une tension à ses bornes (il l'a mesuré expérimentalement) soit dans un métal cela provoque un déplacement d'électrons libres et donc un courant électrique si on boucle un circuit, ou encore mieux avec un bobinage on a un courant induit (il l'a mesuré dans des hauts-parleurs bobinés expérimentalement).

Mais ce qui est fantastique, c'est que le flux d'universon continue son trajet sans sourciller, et continue à provoquer le déplacement des particules sur son chemin; le pinceau s'élargissant au fur et à mesure. Il estime donc qu'en empilant de nombreux bobinages à la suite les uns des autres; qu'on produit de nombreux courants induits (dont l'énergie provient du flux d'universons isotropes qui emplit l'espace dont l'énergie est fantastique) pouvant s'ajouter et produire bien plus d'énergie qu'il n'en a fallu pour produire le flux d'universons.

Réalisations expérimentales:

Claude Poher a réussi à créer un matériau céramique qui à basses températures (dans l'azote liquide), lorsqu'il est parcouru par un courant très important sous haute tension (courant de 1000 Ampères sous 1000 V) accélère les électrons en son sein et produit alors un flux d'universons. Il l'appelle à juste titre son émetteur d'universons.


L'émetteur d'universons de Claude Poher

Il envoie une impulsion de 2.4 micro secondes, afin de pouvoir émettre une grosse quantité d'énergie stockée dans des condensateurs, et limiter la force engendrée par son émetteur d'universons.

En effet il explique que dans les métaux les électrons ne sont pas accélérés; ils sont diffusés, rebondissent, sont ralentis; provoquent des mouvements des noyaux atomiques en sens inverse, etc bref un chaos qui ne permet pas la production d'un flux directionnel d'universons.

Il indique qu'un accélérateur de particules est aussi un générateur d'universons.

Voir sa page récapitulative des expériences, contenant les vidéos de son travail.


Ses universons ont été utilisés pour démontrer:

• l'accélération de la matière située dans le pinceau, et ce quel que soit le masquage et le nombre d'éléments empilés dans le pinceaue, montrant que les universons traversent la matière sur de grandes distances sans soucis et provoquent bien un mouvement en son sein. La matière a été accélére à des hauteurs fantastiques (plusieurs centaines ou milliers de g). heureusement l'accélération dure très peu de temps, mais sur 2 micro secondes elle engendre une force de plusieurs centaines de grammes, même dépassant le kilogramme.
  
  Application potentielle: propulsion à très grande vitesse!!!
  
  
• la génération de tension électrique dans des diélectriques situés dans le pinceau et celle de courant dans des bobinages; donc production d'énergie électrique.
  
  Application: énergie illimitée gratuite!!!

Ses protocoles expérimentaux sont disponibles ici:Protocoles et analyses des expériences (code à saisir: 1723)

Les applications potentielles de ses universons sont énormes et sont répertoriées dans son PDF:
Applications potentielles des universons (code à saisir: 1725)

Preuves de sa théorie:

Outre les expériences qui démontrent la validité de sa théorie de manière flagrante; en tant qu'astrophysicien; Claude Poher a montré que sa théorie explique beaucoup de smystères astronomiques connus actuellement:

• le ralentissement des sondes Pioneer qui sortent du système solaire
• la masse manquante de l'univers, qui n'existe pas: ce sont les universons qui manquent à notre théorie!
• l'accélération non comprise des morceaux des galaxies spirales selon leur distance au centre
• et de nombreux autres points que je n'ai pas repris

Poher a créé le GEPAN lorsqu'il travaillait au CNES, et c'est parcequ'il s'est intéressé aux propulsions des OVNIs qu'il a travaillé sur sa théorie de l'antigravité.

Il explique aussi de nombreux phénomènes habituels des observations d'Ovnis: pannes de voiture, paralysie des personnes, mouvement des Ovnis d'accélération brusque et comment la technologie d'universons permet simplement d'annuler l'inertie à bord d'un aéronef se déplaçant par flux d'universons, etc.

Conclusion:

Les travaux théoriques de Poher (à lire sur son site après s'être inscrit gratuitement) sont de très grande qualité; avec une recherche et un soin extrêmes, et très cohérents.

De plus sa fantastique invention, son émetteur d'universons, qu'il a breveté et dont le brevet a été accepté (mais pas encore publié) vont lui permettre de commercialiser son émetteur dans les mois à venir.

On sera peut être tous propulsés à la vitesse de la lumière d'ici la fin de la décennie à ce rythme là, si il n'y a pas de batons dans les roues de Claude Poher, ce que je souhaite vivement.

Il mérite notre soutien dans cette aventure qu'il a commencé seul et méprisé de tous; comme il l'explique bien; quand son travail a commencé à être publié.

J'espère vous avoir communiqué le gout d'aller creuser la question sur son site.
On attend avec impatience les premiers émetteurs d'universons à tester à la maison!

Ses expériences me font l'effet d'une bombe. C'est une avancée majeure de la science qui a lieu en ce moment.

Bonsoir à tous,

Tes aptitudes à la synthèse sont absolument ahurissante Chercheur.
Voici le lien pour le brevet
Cette théorie me semble très pertinente et extrêmement riche.
La lecture du brevet est un vrai régale, tout y est abordé avec simplicité pour autant que cela peut l'être, et avec précision.
de plus il y a pas mal de point de connexions avec la synergétic du Professeur Vallée.

Très bonne soirée à tous.

Merci beaucoup pour avoir trouvé et donné ce lien vers le brevet, et merci pour les compliments. Je vais me régaler moi aussi de ta recherche; il y a foule de détails non encore présentés sur le site de Claude Poher dans ce brevet; très intéressants. Je vais décortiquer tout cela demain, l'heure n'est plus propice à la concentration.

Tu parles de la théorie de la synergétique, en effet ça m'y a fait penser; mais j'ai aussi et surtout deux autres théories en tête qui m'ont immédiatement fait penser à la théorie de Claude Poher quand je l'ai lue:

• La théorie de feu Oliver Crane sur le SQF: Space Quantum Flux. Il explique aussi que la gravité est due à la poussée d'un fluide constituant l'univers, fluide constituée de myriades de particules. Sa théorie est très séduisante et je me suis penché dessus il y a plusieurs mois. Il explique tout avec des effets analogues à la mécanique des fluides. La matière y est décrite comme un milieu d'ondes stationnaires échangeant des particules denses constituant le milieu universel (identiques en principe aux universons). Il a surtout axé sa théorie sur une description du comportement des particules chargées (en application à l'électromagnétisme).
  
  Les effets les plus intéressants ont lieu lors de l'accélération de la matière justement dans la théories. Les expériences de Moonstein sont expliquées par sa théorie. Je pense que le point de vue de Poher et celui de Crane sont deux manières différentes de percevoir la même réalité; cela jette donc un éclairage de lire les deux théories.
  
  L'ouvrage de Oliver Crane en 1ère et 4ème de couverture:
  http://www.rqm.ch/literatur.htm
  
  Le contenu de cet ouvrage au format électronique:
  http://www.rqm.ch/Central%20Oscillator%20a...uantaMedium.pdf
  
  A noter que son deuxième ouvrage sur la question n'est jamais paru car il est décédé avant la fin.
  
  
• La théorie de Jean Marc Roeder sur l'holodynamique quantique. Là aussi la matière est constituée d'ondes stationnaires et le milieu permet des échanges de quantas d'espace transportant de l'énergie (identiques en principe aux universons). Là aussi les interactions se font par l'échange de ces petits grains d'énergie, responsables de la gravité par des mécanismes du même style que ceux décrits par Poher.
  
  Lire un résumé de la théorie de Roeder:
  http://www.karmapolis.be/pipeline/holodynamique.html

Evidemment les deux théories que je cite ne sont pas identiques à celle de Claude Poher, mais lui ressemblent dans le fond. La synergétique elle aussi dans une certaine proportion; y fait penser.

L'ensemble de ces idées allant vers un point convergeant permettent d'en conclure la bonne direction de ces idées: chacun perçoit différemment la même réalité de l'univers et la modélise selon ses concepts.

Bonjour à tous,

Merci pour les liens Chercheur, Je connaissais déjà la théorie de Oliver Crane.
En revanche je découvre, grâce à toi La théorie de Jean Marc Roeder.
Je pense comme toi ce sont des concept élaboré par des cerveaux ayant un point de vu, un poil différent sur l'état des choses.
le fondement restes identiques, cela nous aident à comprendre par des approches, différentes.
Bien heureusement au demeurant car je ne te cache pas que tout n'est pas limpide pour moi, surtout lorsque l'on entre dans les détails.

Encore merci et très bonne journée.

Grâce au lien sur le brevet publié donné par Quartz, on peut étudier les secrets de fabrication de l'émetteur à céramique qui sont entièrement révélés par le brevet. Cela dépasse les moyens individuels de construction malgré tout... mais un petit labo peut reproduire à l'identique un émetteur avec ces informations.

Il y a toutefois une partie très intéressant dans le brevet, pour ce qui est de la fabrication d'un émetteur à gaz de manière plus aisée, avec des moyens techniques largement moins importants

Dans le brevet public de Claude Poher on lit (j'ai ajouté l'image présente en fin de brevet page 49 et mis en gras quelques éléments importants) de la page 35 à 38 et à la page 49:

Je me disais aussi que cette réalisation semblais plus "simple".

D'autre part je me demande si on peut raccrocher les wagons avec le phénomène Lifter ?
Selon toi Chercheur y a t-il une relation entre les Universons de Poher et la poussée par condensateur asymétrique soumis à THT ?
J'ai ma petite idée la dessus, si tu pense que oui il serait intéressant de tenter un schéma conceptuel afin de trouver une explication au phénomène par les Universons.

à suivre.

Oui Quartz, en fait Claude Poher a commencé par se poser la même question avant de réaliser son émetteur. J'ai déjà discuté de la chose dans mon post sur les Lifters dans la section de réalisation d'un test 200 000V ici:
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...findpost&p=1967

Claude Poher indique même que c'est sa série d'expériences sur les tests de poussée antigravitique par THT qui l'a mené à conceptualiser ensuite ce qui a été son émetteur d'universons, et il nous donne accès à ses expériences à titre historique.

Pour M. Poher, la poussée Bielfeld-Brown et les lifters ne sont qu'un effet électrocinétique dû au vent ionique; et l'assymétrie des plaques de condensateur accentue cet effet de vent par effet Corona. D'ailleurs il a mis sur son site le brevet original de Brown.

De mon côté, après d'autres renseignements, j'ai appris que Brown avait commencé par obtenir des effets avec des condensateurs plans à priori dans des conditions sans vent ionique, et c'est ça qui est intéressant bien sûr; pas le vent ionique... mais il n'est jamais revenu dessus (effet trop faible peut être, pourtant c'est la seule chose de valeur dans cet effet?)

Par contre M. Poher se demandait si il y avait en sus de cela un autre réel effet antigravitique qui proviendrait d'une émission de ses universons, et si cela pouvait donc prouver leur existence.

Sa série d'expérience a donc tenté de metter tout en oeuvre pour montrer si il y a ou pas un tel effet antigravitique et il conclue par la négative, en tous cas dans la limite de son matériel de mesure des forces en jeu (quelques micro newtons)

Je redonne ici le lien de son menu avec ses suppositions sur la poussée d'universons possible dans ce système à THT et ses expériences très minutieuses et carrées:
http://www.s178783976.onlinehome.fr/site_u...nd.php?wxcv=691

Il reste qu'on peut avoir tout de même un effet réel existant, mais très petit dans ce cas aux tensions qu'il utilise (30 000V). Les succès de Brown sur les condensateurs plans de départ peuvent être dus à des effets électrostatiques faibles ou ioniques résiduels (comme le montre M. Poher, il y a en effet possibilité de passer à côté de ce genre de force si on ne pense pas à tout). Donc il n'y a peut être pas d'effet antigravitique à THT.... ou alors il faut le chercher avec de réelles plus hautes tensions.

C'était d'ailleurs la voie dans laquelle je m'engageais avec le générateur 200 000V dont il est question dans la section Lifter: tester cet effet qui selon des sources non documentées (Stambough, université d'Arizona) aurait réellement lieu mais de manière importante à de bien plus hautes tensions seulement.

ça vaut toujours le coup de tester à mon avis et je ne lâche pas l'affaire.

Salut à tous !!!

Permettez-moi de donner mon avis sur la théorie des Universons, dont j'essais de comprendre les fondements depuis quelques jours !!!

Tout d'abord, je tiens à dire que cette théorie est très séduisante, du fait que Claude Poher ne se contente pas que de la théorie, mais l'illustre par de brillantes expériences !!! du moins, il en fait une description hyperscientifique qui laisse peu de doutes ...

Petit résumé de la théorie : il existe un lien entre la force d'inertie d'un objet massif accéléré et la force de gravitation. Ce lien est traduit par Claude Poher, comme étant l'intéraction d'une particule appelée "Universons" avec les particules dites standards tel que l'électron, le proton ou le neutron. Le flux naturel d'Universons est isotrope dans le vide, mais l'accélération d'un corps (ou particule) ou la présence d'une masse suffisante, permet l'anisotropie du flux d'Universons, ce qui engendre des effets pour une direction précise.
En effet, l'Universons, qui se déplace à la vitesse de la lumière est susceptible d'être capturé par une particule ayant une masse propre, puis d'être réémis au bout d'un certain temps de capture pendant lequel il cède sa quantité de mouvement à la dite particule (comme les photons qui "rebondissent" sur une voile solaire en cédant leur quantité de mouvement).
Il me semble évident que à l'instar du photon (boson sans masse de l'électromagnétisme), l'Universon est le boson sans masse de la gravitation quantique.

Voilà, il me semble avoir lu sur le site de Claude Poher que, a priori, toutes particules ayant une masse pouvaient être considérées comme un agrégat quantique d'Universons (n'oublions pas que les Universons ont une énergie identique et très faible (pico électronVolt, je crois ...) mais que leur flux ou probabilité de présence est énorme !!! ) ce qui explique le fait qu'un Universon capturé doit nécéssairement être réémis en raison de l'instabilité propre de la particule considérée, sans modification ormis la quantité de mouvement transmise !!!

En outre, ceci explique, selon Claude Poher, la matière noire et l'énergie sombre qui ont été introduites suite à l'observation d'anomalies cosmologiques !!!

Ce que je pense, c'est que la théorie des Universons, dans sa version quantique, doit expliquer la masse propre de chaque particule du modèle standard ormis les bosons sans masse qui n'interagissent pas entre eux !!! lol
Je pense que le flux naturel d'Universons isotrope est masqué par le point zéro énergie ou ZPE constitué lui de particules virtuelles, mais plus énergétiques selon les fluctuations quantiques décrites par l'inégalité de Heisenberg, ce qui provoque la confusion entre l'effet Compton et l'effet des Universons !!! (Poher parle d'ailleurs pour les Universons de champ sub-quantique)

Enfin, je note qu'il y a des ressemblances entre la théorie du prof Vallée, la synergétique, qui dit que toutes particules est un ensemble d'onde électromagnétique confinées ; il y a similitude avec Oliver Crane et Jean Marc Roeder avec les ondes stationnaires et quantum d'espace-temps symbolisé par une particule spéciale !!!

Des points de vue, une réalité ... ou des réalités par rapport à un point de vue ???

Va savoir ...

En tout cas Claude Poher à le mérite de s'appuyer sur sa théorie afin de créer des expériences concrêtes en ayant une démarche très scientifique et rigoureuse, ... le seul truc, c'est que ces vidéo, bien que de bonne qualité, ne représente qu'une infime fraction de sa démarche décrite sur son site ...

Bon, j'ai pas encore finis d'explorer tout le site non plus !!!

à +++

PS : Chercheur, content de voir que tu lâche pas l'affaire de l'alim 200 kV, je suis acidument tout çà, mais je cherche un compromis sympa, pour pouvoir, le cas échéant, utiliser le générateur construit, dans une gamme de puissance suffisante pour tester un max de théorie (les Universons par exemple ...) !!!

• C'est aussi l'occasion de rappeler, puisque tu soulignais en effet Quartz que la synergétique ressemble à ce système d'idée, les théories du Professeur Vallée dans lesquelles la matière est une énergie semblable à l'énergie électromagnétique:
  
  Résumé succint de la théorie et de l'expérience qui la valide et liens vers le livre de Vallée ici
  
  
• Et aussi une théorie très complète de la matière dans le même style (puisqu'on cherche les idées parallèles qui voient l'univers d'un oeil semblable à celle des universons), un site d'une richesse extrême:
  
  Site de Lafreniere

PS: à noter que l'intégration d'une théorie du temps est indispensable à tout ceci à mon avis pour pouvoir modéliser les charges des particules. En effet la partie charge électrique et magnétique n'est pas abordée dans la théorie de Claude Poher sur les universons; qui est donc partielle.

Bearden décrit très bien les relations entre masse et charge et la charge est un flux energétique qui pourrait être un flux de temps (qu'on peut aussi voir comme les fameuses "ondes scalaires" ou "ondes de torsion")

Tout ça pour dire que la théorie est liée avec la discrétisation et la densité du temps qui joue comme une dimension transversale indispensable.

On tourne autour des notions que j'ai abordées initialement dans mon site car intuitivement je sens que la vérité est quelque part là dedans; il manque les liants pour en faire une seule théorie propre... encore du chemin à faire pour apprendre ce qu'est l'univers.

Liens sur mon site vers ces sujets:
https://www.chercheursduvrai.fr/temps3D.php
https://www.chercheursduvrai.fr/ondesscalaires.php
https://www.chercheursduvrai.fr/ondestorsion.php

Ce message a été modifié par Chercheur le Mercredi 22 Août 2007 à 16h00

a ce propos un message de Franck Vallée

j'ai suivi les manip de JL Naudin sur le vsg mais sans etre convaincu pas ses résultats

pas contre je suis très confiant dans la valve de Bruce Perrault

http://www.nuenergy.org/
http://www.nuenergy.org/disclosures/AlphaF...ValvePatent.pdf

mais je ne sais pas comment me procurer du germanium ?
il y en a dans certaine diode , quequ'un a t il une idée ?

Chercheur,
je rentre seulement, et viens de lire 269 messages.
Mais là, désolé, mais je suis un peu vexé…
Tu avais fait ce post
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...st=0&#entry1016

J’avais répondu sur les idées du livre de Marcel Pages, si simples qu ‘elles m’avaient convaincues, surtout sur l’explication de la gravité, par effet d’écran : https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...findpost&p=1420
et puis là sur Faraday :
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...findpost&p=1020

Tout cela est passé, dans l’indifférence, à propos de ma réponse et de ce bonhomme…

Hors la théorie des Universons, sujet que tu as créé, me semble identique sur l’explication de la gravité par Claude Poher que celle développée par Marcel Pages….

Gegyx, je suis désolé, mais je suis passé à côté de ces messages que j'ai dû regarder rapidement lors de ma période de déménagement du début d'été.

Toutes mes excuses, car franchement je n'avais pas dû lire.

Sans lien, je n'ai pas approfondi le sujet qui m'est sorti de la tête par la suite si je suis passé super rapidement sur ce message, surtout car je n'avais peut être pas trop le temps (juste celui de réparer quelques urgences des forums entre deux cartons).

Je ne savais plus que tu avais écrit ça...

En effet ce que tu dis rejoint tout à fait les idées des universons ou de Crane ou des autres théories citées, enfin ça a l'air.
je n'ai pas de doc sur ce bonhomme; tu as des liens web pour lire ce qu'il a fait?

C’est bon ! Je ne suis plus vexé…

J’avais acheté le bouquin à Pages Marcel , deuxième édition en 76. Les pages se sont détachées. …
A l’époque, son explication de la gravitation et de l’énergie constituant le « vide », collait à ma logique, et à l’idée d’Ether.
Son disque en mica, attribué à Faraday ? (Ducretet, Ruhmkorff, Abbé Laborde, Tourniquet de Franklin ?), alimenté par une machine de Whinshurt, se mettant en rotation, et décollant à une occasion, était curieuse.
Expérience d’allègement de condensateur plan, sur un trébuchet.
Son étude sur l’effet Magnus et son hypersustentateur.
Sa théorie sur l’électron et le positon, de même nature, mais de spins différents, si bien que l’un dégravite et l’autre s’alourdit, m’a semblé intéressante.

Il était un peu fourre-tout.
Pages était amoureux de la physique et curieux des choses, alors qu’il exerçait psychanalyste, je crois.

Mais il semblerait que le livre soit rare, car je ne le retrouve pas en vente d’occasion.
C'est pour cela que j'en parle, pour si quelques uns connaissent...
Les liens sur Internet sont pauvres également.
Sa malchance le poursuit dans la tombe.

http://quanthomme.free.fr/qhsuite/marcelpages.htm

http://quanthomme.free.fr/energielibre/che...CHERCHEURS2.htm

http://www.zamandayolculuk.com/cetinbal/marcelpages.htm

et un fervent admirateur du bonhomme
http://www.econologie.com/forums/post25976.html#25976
http://www.econologie.com/forums/post48001.html#48001
http://www.econologie.com/forums/post48635.html#48635
http://www.econologie.com/forums/post45007.html#45007

Bonjour Expliquer la pesanteur par une répulsion et non par l'habituelle gravité pose un petit problème .Il est bien connu que cette gravité est lègèrement plus faible en altitude qu'au niveau de la mer .Selon ces théories développées (répulsion plus faible à travers la planéte que celle reçue directement ) ça devrait être l'inverse puisque le champ répulsif traverse alors davantage de matière et laisse la force répulsive directe exercer sa poussée avec plus d'efficacité.Il y a là un paradoxe ,enfin ,à mon avis.
Bon aprés-midi.

Bonsoir
Mon explication simple, suite à la lecture de Pages :

Dans l’espace, circulent depuis toujours, allant et venant dans tous les sens, des particules énergétiques innombrables, certaines très rapides, d’autres ténues : les gravitons.
(Pour le raisonnement, on peut considérer qu'il y a un équilibre, pour leur répartition dans l'espace.)

Un atome est composé d’électrons gravitant autour d’un noyau, dans un espace occupé immense par rapport à leur volume total. On peut concevoir qu’une onde ténue très énergétique traverse un atome sans soucis. Quelques fois, il doit y avoir collision avec un élément de l’atome, et l’onde perd une petite partie infime de son énergie cinétique.

Une onde ayant traversé diamétralement la terre, se trouvera légèrement moins énergétique que son homologue, venant dans l’autre sens, et s’apprêtant à traverser la terre suivant le même diamètre.
Si un objet, à la surface de la terre est traversé par ces 2 ondes, la résultante fera qu’il sera poussé vers le centre de la terre, vu que c’est de là, que viennent les ondes les plus atténuées énergiquement, ayant traversées plus de matière.
Avec la gravitation, il faut comprendre poussée, alors qu’à première vue, on constate une attraction.

Si nous traçons des droites à partir de la périphérie de cet objet, jusqu’à la périphérie de la terre (une multitude de tangentes), nous obtenons un cône d’ombre, constitué par des ondes moins énergétiques, car elles ont été freinées par une part variable de terre traversée.

Si l’objet se trouve quelque peu éloigné de la surface de la terre, le cône d’ombre sera plus fermé. Moins d’ondes atténuées le traverseront, la résultante des ondes , le poussera toujours vers le centre de la terre, mais de manière moins importante.
Et la gravité sera moins forte.
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Lors d’une éclipse de lune, quand la lune vient s’intercaler entre le soleil et la terre, le pendule de Foucauld, en oscillation, se décale de 13° pendant le temps de l’éclipse, et revient de 13° à la fin.
Cela prouve que la lune à un effet d’écran. Comme toute matière constituée d'atomes plus ou moins denses.

Bonsoir à tous,

Ton développement est excellent Gegyx, il y a un point qui me paraissait obscure encore au niveau du cône, et là à te lire tout deviens lumineux.

Merci à tous pour votre travail, chaque explication ou ré-explication par des points de vues différents permet la compréhension pour le plus grand nombre.

Chercheur est remarquablement doué pour ce type de travail mais je constate avec plaisir qu'il n'est pas le seul en lice.

Très bonne nuit à tous.

Claude Poher continue à mettre des infos et notamment quelques nouvelles vidéos sur son site.

On n'y apprend fondamentalement pas grand chose de plus si ce n'est les caractéristiques exceptionnelles de poussée de ses propulseurs à universons.
Il a mesuré 14 720N de poussée à 2000V, soit de quoi élever dans les airs 1,5 tonnes (il ne fait fonctionner son système qu'un peu plus de 2 micro-secondes). Pas mal comme résultat!!

Sinon, il est passé sur un reportage de France 3 Sud au 19/20, il y a seulement 5 jours:
http://www.universons.org/site_invention_d...3_8-11-2007.mov

Le travail de Claude POHER est excellent, du beau travail de scientifique ouvert. Seulement ça théorie est incomplète car elle ne permet d'étudier que les cas de production d'onde scalaire directionnel et impulsionel, en aucun cas il ouvre son champ de vision aux effet produit par une indution unipolair, la N-machine ne peut pas être traité par la téhroei des universon à moins que POHER fasse une extansion de son model. Poeh regète d'une certaines façon tous les moyen de production d'ondes statioanire scalaire par des techniques de giration de plasma ionisé ou de disques magnétisé.
Un détail qu'il ne précise pas dans son brevet concernant les accélérateurs d'ion, c'et le fait de dévier le faisseau accéléré juste avant l'anode (ce que faisait TESLA dans ces éclateur d'arc où il utilisait un champ magnéitque pour éviter l'annulation de l'effet produti lors de l'accélération), si les ion sont freiné en percutant l'anode, alors l'effet produit pendant l'accélération sera tout simplement annhilé (dans ces céramique il n'est pas obligé de réaliser ça).

Le mercure PURE a des propriétés magique, notement sous forme de vapeure d'être supraconducteur à la T° de 362 °C, c'est le seul metal supraconducteur à haute Température. Très utilisé dans les intérupteurs Ignitron à vapeur de mercure pour commuter de forte puissance, raison pour laquel les ignitron sont des composants très surveillé (toxicité et effet gravitationel produit, contrat d'entretient hyper rigoureu). Dans le cas de l'ARV, le bobinage de 200 tonnes en cuivre grosse section, chargé d'intercepter une partie du flux produit par les éclateur à mercure, au démarrage subit un fort effet joule, mais une foie l'antigravité établie, le cuivre de devient supraconducteur et permet de récupérer des quantité folle d'énergie tout en se propulsant. 200 Tonnes, raison pour laquel les ARV sont toujours maintenu en lévitation, si toutefois l'amérique utilise encore ces vielleries.
Sur le moteur de SEARL, les éléments devienent supraconducteur lorqu'ils sont en antigravité total, effet légèrement observé sur la réplication de l'équipe de physicien russe, dont le brevet est libre (voir google Nexus Searl pdf).
(Tesla utilisait de l'azote liquide pour refroidir ces bobines de cuivre et avoir un facteur de surtension élevé dans ces transformateurs, sans atteindre la supraconduction du cuivre).
La Triode de Floyd, présente les même effet d'antigravité et de refroidissement, à 1500 Watts leur aimants de Ferrite de Barrium lévite et la température ambiante baisse, à 3000 Watts la ferrite devient cassante à cause de la basse température, une fois laferrite cassé il n'y a plus de possibilité de faire vibrer le champ magnétique, le TRiode de Floyd ne fonctionne plus.

Le Finlandais Podkletnov dont les publications sont discrettes, après avoir produit des effet mécaniques à distance sur des balanciers dans des cuves sous vide à plusieur 100 ène de mètres à partir d'une cuvre à décharge sous argon et d'une grosse Alimentation VandoGraaf de 1 millions de volts, Il tourne maintenant avec 5 Alimentations de 5 millions de volts et réalise des impact perforant sur des murs de beton d'habitation sur plusieur 100ène de mètre, et des déformation de plaque d'acier de forte épaisseur. Il est financé par le ministère de la défense Russe il me semble. Si vous souahaitez plus d'information, tout est sur le site de Mrs POHER.

Très prometteur tout ça, merci LeTigre d'avoir réactualisé le sujet en mettant la vidéo.
A la lecture du sujet, j’étais très enthousiaste jusqu’à ce que je visionne la vidéo. 

Ne pourrait-il s’agir d’un "bête" effet Piézoélectrique de la céramique? 

Pour les inscrits à son site : J’imagine que c’est une critique qu’il a déjà du essuyer sur son site ?

 

Hello Eclectron et les spécialistes  

Pourrais tu nous dessiner un schema avec des composants electroniques cadencés, qui joueraient le rôle des inverseurs- interupteurs du schema ci-dessous ?



Merci

Salut Amateur,

Toujours sur la brèche !
c'est un peu hors sujet, je répond  en aveugle, ne connaissant pas le "truc à Bearden" et pas le courant consommé.

Tu peux t'en sortir avec 2 "half bridge gate driver" comme suit, par exemple.
http://www.linear.com/product/LT1158
ce qui donne:


l'inverseur optionnel (74HC14 ou autre) est pour synchroniser comme tu veux, si besoin.
la diode ajoutée est pour que le deuxième interrupteur soit vraiment ouvert quand on le demande.
sans cette diode, du courant remonter du "diapason" vers le "truc a bearden".
car tous les tansistor MOS a une diode inverse intégrée comme suit:



Un  autre modèle de "half bridge gate driver" fera l'affaire, du moment que l'on peut l'alimenter en 12V batterie.

Après tu adaptes en fonction de ce que tu veux exactement.
Bonne continuation.

Merci Eclectron  

Le truc à Bearden (hypothèse)  est relativement simple.. Dans un premier temps le dissipateur (grande surface développée) est connecté à la source..
Comme le circuit est ouvert (côté charge), aucune charge (électrons) ne circule, on potentialise seulement les electrons de surface du dissipateur, électrons plus ou moins libres, qui acquierent donc une énergie statique Es = QxU.
Dès qu'on bascule les inverseurs, cette énergie statique, ne peut plus revenir vers la source (circuit ouvert côté batterie), mais elle devient énergie cinétique
Ec = Uxixt, produisant un travail dans la charge (ici resistance électrique). On ne consomme donc pas d'energie sur la batterie, on n'en prend que le potentiel. En réalité, selon Bearden les électrons ont été potentialisés par les particules virtuelles qui emplissent le vide.. C'est donc en quelque sorte, une pompe à énergie du vide.

Enfin cette expérience est à faire pour verifier son hypothèse, qu'il developpe ici:

http://www.magnetosynergie.com/Pages-Fr/Pr...retFinal-01.htm

Il y propose d'autres schemas. Celui du dessus est de mon cru !!
Place à l'imagination créatrice dans ce monde de ténèbres dirigé par des gestionnaires extraterrestes malveillants

Ah bah si je connaissais en fait, j’avais juste oublié…. Disons que ça ne m’avait pas enthousiasmé quand je l’ai lu, alors j’ai zappé.
D’un point de vu classique, il va y avoir consommation quand même, par la charge/décharge capacitive par rapport à l’environnement.
C’est pour ça qu’il utilise une mise au potentiel lente et progressive, pour ne pas avoir de pic de courant lors de la charge mais il y a quand même un courant.
Au final, que la charge soit rapide comme tu l’envisages ou progressive comme Bearden, la charge par rapport a l’environnement est la même.
En effet,  pourquoi ne pas tester, pour voir si quelque chose se passe.
 
En plus simple, je te proposerais ce schéma qui est dans l’esprit de ce que tu veux faire.

 
L’inverseur bleu en lieu et place de la bascule JK.
Électriquement c’est moins propre, il y a du croisement entre les 2 transistors ce qui peut amener une consommation transitoire entre la batterie et la charge(load) et fausser tes interprétations.
Tu peux essayer les 2 schémas suivant la disponibilité de composant que tu auras.

Merci Eclectron 

La question premiere que je me pose encore dans mon schema "le truc à Bearden" est:
Y a t'il un mouvement (flux) d'electrons qui s'échappent  de la batterie quand on connecte le dissipateur à une de ses bornes ?
Si oui, c'est pas la peine de continuer. Si non il faut creuser le sujet.
Donc en fait pour verifier ce premier critere, il suffit d'interposer entre une borne de la batterie un instrument de mesure de courant suffisamment sensible (micro-amperemetre, oscillo), pour verifier s'il y a courant s'échappant de la batterie au moment ou on connecte un objet metallique à une de ses bornes.

Oui il y a un flux d'electron car le "truc a Bearden" fait condensateur. 
la deuxième électrode est tout l'environnement à la terre et le diélectrique est l'air.
la capa est faible mais elle existe.
Si la batterie n'est pas à la terre, la capa sera encore plus faible mais il n'y a pas rien.

si on raisonne en classique ce n'est pas la peine d'essayer en effet mais si on s'attend à un effet supplémentaire venant du vide ou que sais-je, on peut essayer.
le tout étant de bien mesurer et quantifier ce qui est fournit par la batterie et ce que la charge récupère.

J'ai essayé en connectant une electrode d'un condensateur a une borne de la batterie.
Aucune ddp n'apparait entre les deux électrodes du condensateur, pourtant l'electrode connéctée à la borne de la batterie a bien acquis son potentiel ?
Je vais reessayer avec une tension continue plus grande (80 100V)

Sauf erreur, voilà ce que tu as fait:

la capa de fuite constitué par:
 Electrode 1: Une electrode de ta capa de test, 
dielectrique:  distance dans l'air entre cette l'electrode 1 et l'electrode négative de la batterie
Electrode 2:surface de l’électrode de la batterie en regard de ta capa de test.
les surfaces en regard sont petites et la distance inter électrodes est grande, la capa de fuite est quasi nulle.

Le peu de charges qui traversent ta capa de fuite chargent à peine ta capa de test.

Alors oui, l’électrode de ta capa de test reliée directement à la batterie est à +12V et l'autre électrode de ta capa de test quasiment aussi.
c'est la capa de fuite qui se prend la ddp mais avec quasiment aucune charge pour y parvenir.

dit autrement tu as fait un pont diviseur capacitif
capa de test = faible resistance
capa de fuite = resistance très élevée.
moralité la tension aux bornes de la capa de test est quasi nulle, c'est la capa de fuite qui prend toute la tension (et sans charge quasiment, donc peu d'énergie).

On baigne en pleine science. Il faut faire abstraction des bouquins de classe avec les circuits classiques fermés.
Il ne faut pas qu'il y ait de deplacement de charges, sinon ça s'appelle travail et non énergie (selon Bearden)
Il faut verifier si une plaque de metal (ou dielectrique, peut être, je ne sais pas encore) peut acquerir un potentiel en se connectant à un generateur de potentiel et non de courant (ici une batterie, ça peut être autre chose). Si oui la plaque aura acquis une énergie = Q x U (Q=le nombre de coulombs de ses électrons quasi libres, U le potentiel de la source). Biensûr, tout cela ne peut être que transitoire (fugace) avec les fuites, les pertes, etc. Mais si on repete l'operation suffisamment rapidement, on peut n'utiliser que du potentiel, le fournir aux electrons libres pour qu'après il fassent du travail T= U x i x t

En fait, on refile une boisson energisante à une troupe d'electrons statiques et ensuite ils petent le feu pour agir

Hello Amateur,
 
D’un point de vue classique, tu as bien fait ce que j’ai dessiné mais à l' insu de ton plein gré.

Ce que j’appelle  la capa de fuite, est ce qui fait le retour de courant vers la batterie.
Pour toi il n’y a rien, il n’y a pas de capa de fuite et tu n’es pas loin de la vérité vu que cette capa de fuite est ridiculement faible en valeur et donc magistralement élevée en impédance.
C’est pratiquement un circuit ouvert, en effet, surtout en "impulsion de mise sous tension", ce qui reste de la basse fréquence.
En  continu établi il ne se passe plus rien, la capa de fuite est bien un circuit ouvert. (la capa de test également).
 
La batterie serait un générateur haute fréquence, la capa de fuite laisserait passer du courant.
Ton circuit ouvert ne le serait plus du tout.
 

Si effet Bearden il y a, il se superpose à ce que j’ai décrit, c'est-à-dire au fonctionnement classique.

Plus tu vas venir potentialiser la plaque et de potentialiser la plaque rapidement (haute fréquence) et plus la capa de fuite laissera passer du courant.
tu peux accroître la distance plaque/batterie pour minimiser le courant retour par la capa de fuite.