Cosmogonie des «serviteurs des Anges», Comment dieu devint Dieu, Daniel Meurois

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Cosmogonie des « serviteurs des Anges »

Références : « Comment dieu devint Dieu », Daniel Meurois-Givaudan, éditions « Le Passe-Monde »

Dans cet ouvrage, Daniel Meurois est soudain aspiré en un lieu ou des entités qui se présentent comme « les serviteurs des Anges du Seigneur », donc comme des entités situées au-dessous des anges dans la hiérarchie céleste qui s’occupe de nous (hiérarchie naturelle de « Dieu » indépendante mais en travail évidemment connecté de la hiérarchie planétaire qui est composée des êtres humains supra-évolués et arrivant à ce même niveau pour prendre le relais du service sur Terre : les maîtres de Sagesse). Ce type de hiérarchie céleste est bien décrite dans les enseignements théosophiques par exemple ou hindous, ou tibétains ; il y a tout une structure que le créateur a mis en place pour s’occuper d’aider à l’expérience de la conscience dans chaque système, chaque planète.

Mais ici les informations données, ne viennent d’aucune mouvance spirituelle ou organisation de connaissances classifiées ; et pourtant on y reconnaît le même fond d’enseignement ; ce qui est normal puisque la vérité vue par plusieurs points de vue reste la même. Dans ce livre, toute la cosmogonie de l’évolution de la conscience depuis les échelles les plus basses aux plus hautes qui leur sont accessibles (la galaxie) nous sont données par ces êtres, qui ne prétendent pas savoir au-delà de leurs propres limites et tracent le contour de ce qui se passe au niveau le plus haut seulement.

Ils font partie de ces « gardiens » des connaissances de la Terre, comme les Anges (qui sont situés au-dessus ; le mot « Ange » étant du vocable chrétien, appelés avec d’autre terminologie par les hindous ou les théosophes ; mais effectuant les mêmes fonctions ; et les archanges situés encore au-dessus qui gèrent la création au niveau de notre système.

Pour comparaison avec les autres systèmes cosmogoniques et la cohérence, lire les documents :

https://www.chercheursduvrai.fr/stockage/li...t_terrienne.pdf
https://www.chercheursduvrai.fr/stockage/li..._Bouddhiste.pdf
https://www.chercheursduvrai.fr/stockage/li...heosophique.pdf


Voyons donc quels sont les enseignements de ces  serviteurs des anges.

L’âme humaine et son parcours évolutif depuis les règnes les plus bas jusqu’au statut  de Maître de Sagesse

Tout ce qui vit a une âme, et est donc potentiellement divinisable

Un caillou a une âme ; car il vit. Si on pouvait accélérer le temps et enregistrer ce qui se passe au sein du caillou sur de longues périodes, on y percevrait un rythme comme celui d’une respiration.

Un végétal vit et a donc une âme : le flot circulatoire de la sève dans le végétal a un battement ralenti ressemblant à celui d’un cœur animal en terme de rythme.

Evidemment pour les animaux et les humains nous ne nous posons pas la question.

Ainsi, nous devrions honorer tout ce qui est dans la création de l’ordre naturel, car tout y est vivant. Sans compter tout ce qui vit mais qu’on ne perçoit pas, situé sur d’autres plans vibratoires (éther).

Nous sommes tout comme Dieu, composés de cellules dont nous sommes le Dieu. Nous sommes plus que la somme de ces cellules qui ont pourtant chacune leur vie propre et leur conscience propre ; participant à notre vie globale.

Notre rôle dans la Création

Ceci permet de mieux comprendre pourquoi « Dieu » nous a créé et envoyé explorer à la recherche d’expérience d’évolution : nous le composons et par notre expérience (son corps est un ensemble d’unités de consciences qui occupent des corps de matière dans des niveaux vibratoires variés) il a un corps pour avoir conscience du monde .Quand je dis « nous » je parle de toute forme de vie. Sans sa création, Dieu est une surpuissance dans un état d’inconscience car tout conscient mais sans aucun moyen de le réaliser.

De plus nous aidons à se comprendre par conscientisation démultipliée le « Dieu » qui est sur notre échelle immédiatement supérieure ; celui qui nous a émané ; celui-ci étant une supra-entité qui lui-même aide à se réaliser celui situé sur le barreau plus haut de l’échelle ; c’est une échelle infinie où chacun tente de comprendre qui il est en se créant un corps d’expériences constitué de cellules qui sont lui-même démultiplié à tous niveaux.

La conception humaine de dieu à plusieurs visages

Ainsi  on comprend que ceux qui ont pu passer pour Dieu ou des dieux dans les temps passés, pour certaines civilisations, puissent ne plus être et avoir été remplacés par d’autres dieux. Alors dans une continuité de récits des écrits religieux, on pourra être surpris de voir que Dieu agit d’une façon qui semble très différente, voire même opposée à lui-même en d’autres temps. Ce n’est tout simplement pas le même dieu, car tous ne sont que des aperçus de puissances supérieures à nous suffisamment hautes pour être considérées comme Dieu (et qui s’annonce comme tel à l’esprit simple des hommes simples pour lui enseigner quelque chose).

D’ailleurs voyons l’extrait suivant :

Vous comprendrez donc qu’en parlant d’entités venant d’ailleurs qui jouent pour nous le rôle de Dieu, on aura aussi bien des dieux de petite envergure ou de bien plus grande, selon qui ils sont. Un groupement extra-terrestre hautement moralisé et spiritualisé venu nous voir il y a 18 millions d’année par exemple pourra aisément passer pour Dieu et être vraiment Dieu pour nous, et pour l’évolution terrestre ; mais une entité ayant la conscience d’un système solaire entier sera Dieu pour ces entités « extra-terrestres » hautement évolués pour qui elles pourront accomplir ce service comme moyen pour elles aussi de progresser. Des barreaux partout sur l’échelle…

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SUITE à venir

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Maîtres de Sagesse

C’est un homme (ou femme, homme utilisé comme terme générique !) qui s’est illuminé si fort qu’il est sorti du rang de ses semblables.

Les Maîtres de Sagesse ne sont, comme dans les autres points de vue les décrivant, rien d’autres que des humains très avancés et nous connaissons certains de ceux qui ont décidé, une fois leur achèvement personnel effectué, de travailler dans la hiérarchie pour nous aider. Ils ne sont qu’une petite quantité face à la quantité de tous ceux qui sont devenus des Maîtres de Sagesse et ont poursuivi leur évolution ailleurs.

J’avais déjà parlé du Sentier vers Sirius (voir « cosmogonie universelle et terrienn), pour ceux qui veulent aller vraiment « ailleurs », il y a aussi les planètes de notre système solaire sur lesquelles habitent des civilisation d’êtres dont les membres du peuple commun sont des maîtres de Sagesse au minimum.

PS : rappelez-vous Léonard de Vinci ; il était le dernier de sa vague de création d’âmes sur Mercure, si éloigné de tous les autres et si en arrière qu’il ne pouvait plus vivre avec eux sans en être complètement déconnecté et ne pouvant plus avancer. Il est venu sur terre pour continuer à progresser depuis son niveau, jusqu’à pouvoir rattraper le plus bas de son échelle et retourner évoluer chez lui avec les siens. Quand vous voyez le génie qu’il était et qu’il était au-delà du plus bas de son échelle sur Mercure, vous comprenez qu’il y a une marge d’évolution pour ceux qui sont devenus maîtres de Sagesse dans notre propre système.

Je pense d’ailleurs que plus une planète est proche du Soleil, plus elle est susceptible de porter des civilisations d’êtres les plus hautement avancés spirituellement parlant (car elle bénéficie d’une plus forte densité d’énergie spirituelle émise par le soleil spirituel du centre solaire, qui n’est pas supportable en trop grande quantité quand on est plus bas sur l’échelle de l’évolution). En effet on sait que les êtres les plus avancés de notre système sont les « Solaires », des entités qui habitent le Soleil lui-même (évidemment par sur le plan physique). Ils sont certainement au-delà de tout niveau de compréhension de notre part. Bref on voit que le chemin « chez nous » est déjà vaste, la voie vers Sirius est une voie différente auprès d’une autre étoile plus radieuse qui n’a rien d’obligatoire.

Ils sont peu nombreux, ceux qui décident l’aventure « folle » de continuer à aider et enseigner un monde rempli d’humains incapables de comprendre le début du commencement de la vaste compréhension qu’ils ont atteinte de dur labeur. Donc les Maîtres connus de la hiérarchie actuelle ne sont qu’une petite partie de ceux qui chaque année atteignent le stade de la maîtrise. On sait qu’il y en a une soixantaine seulement qui sont là dans la hiérarchie. Pour combien qui ont atteint le même stade et n’ont jamais été aperçus publiquement ?

Tous ces maîtres ne doivent leur résultat qu’à leur travail propre. On peut les voir comme les athlètes olympiques du spirituel. Au lieu d’admirer les performances sportives d’untel, l’humanité ferait mieux de voir que la volonté et l’effort soutenu vers un travail spirituel permet aussi d’obtenir de grands résultats dans ce domaine. Mais évidemment ils ne sont pas acclamés par les foules en délire à la télévision et on ne fait pas de documentaire expliquant comment ils se sont entraînés des vies durant à rechercher le divin...

Sur l’androgynat et ce qu’est un Maître Ascensionné ou Maître de Sagesse (deux synonymes) à la différence d’un simple réalisé :

La fusion est indiquée clairement comme étant celle d’âmes jumelles, ailleurs dans le texte(donc l’existence d’âmes jumelles est sous-entendue)

On comprend que les âmes ont une polarité sexuée globale (même si chaque âme aura vécu des vies en tant qu’homme et en tant que femme, l’âme se sentira globalement mieux dans l’incarnation d’un corps du type d e sa polarité sexuée) ; et lorsque notre esprit (Atman) occupe une âme, en fait il n’en dirige pas une seule, mais au moins deux : deux âmes jumelles, chacune d’une polarité sexuée distincte. C’est la fusion de ces deux âmes en une seule qui permet la création d’un Maître ascensionné, ayant donc l’aspect androgyne. Il faut que ces deux âmes aient atteint le stade de réalisé (en général l’évolution de l’une qui irait plus vite provoque celle de l’autre à qui elle est reliée par le même Atman). Alors le réalisé peut fusionner ses deux aspects de polarité et devenir une seule âme androgyne, pilotée par l’Atman.


Avatars

La notion d’avatar, inventée par les hindous ; est une notion différente de celle des Maîtres de Sagesse que la théosophie par exemple, donne (que ls hindous considèrent comme des réalisés détaches des incarnations, sans leur donner le nom de Maître de Sagesse, donc ils ont la même distinction aussi à défaut du même vocable) ; ces deux notions existant et signifiant une chose différente. Voyons quel est le point de vue des serviteurs des Anges : cohérence ou pas avec le reste ?

Et là on voit qu’on en retrouve la même compréhension et la cohérence des points de vue.

Là on peut dire qu’on a une vision en accord total avec la vision hindoue qui indique que tous ses Avatars viennent de Vishnou (qui est le « Christ » selon la vision chrétienne des serviteurs des Anges).

On se rend compte par exemple que Jésus na pas été adombré toute sa vie. Ce n’est que très petit lorsqu‘il fut perdu dans le temple par ses parents qui le retrouvèrent et qu’il leur dit « que maintenant il devait s’occuper des affaires de son père » qu’il a été adombré par le Logos Solaire. Il a dû suivre une initiation particulière suite à un travail spirituel qui l’a mené en Inde et en Egypte (phase de 20 ans où on ne parle plus de lui dans les évangiles) pour recevoir le Logos galactique par la suite ; et de là il est revenu enseigner, alors qu’il avait la trentaine.

Si on regarde les avatars modernes, qui ne sont pas adombrés tous par les mêmes consciences supérieures, certains par une et d’autres par plusieurs plus ou moins élevés, on voit qu’il existe une phase à partir de laquelle l’avatar devient avatar dans sa vie humaine. Comme si avant cela il était un homme exceptionnel et après un moment fatidique il parle en étant habité par autre chose. Cela est arrivé aux avatars comme Sai baba quand il avait 14 ans je crois, et Mâ Ananda Moyî quand elle avait 6 ou 8 ans, je ne me rappelle plus des dates exactes. A chaque fois il y eut un avant et un après un moment précis pour eux.

L’évènement d’adombrement peut durer longtemps (des dizaines d’année) si la conscience de celui qui adombre est moins éloignée de la conscience de celui qui est adombré.


Cas plus particulier dû à l’avancement de l’évolution :

L’aspect cependant humain de l’Avatar :

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Ce message a été modifié par LightInWay le Lundi 18 Août 2014 à 10h49

oublie d'un petit paragraphe dans la section précédente des "Maîtres de Sagesse", sur les âmes jumelles; que j'ai ajouté.

Le voici pour ceux qui ont déjà lu ce morceau, afin de ne pas tout relire:

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La fusion est indiquée clairement comme étant celle d’âmes jumelles, ailleurs dans le texte(donc l’existence d’âmes jumelles est sous-entendue)

On comprend que les âmes ont une polarité sexuée globale (même si chaque âme aura vécu des vies en tant qu’homme et en tant que femme, l’âme se sentira globalement mieux dans l’incarnation d’un corps du type d e sa polarité sexuée) ; et lorsque notre esprit (Atman) occupe une âme, en fait il n’en dirige pas une seule, mais au moins deux : deux âmes jumelles, chacune d’une polarité sexuée distincte. C’est la fusion de ces deux âmes en une seule qui permet la création d’un Maître ascensionné, ayant donc l’aspect androgyne. Il faut que ces deux âmes aient atteint le stade de réalisé (en général l’évolution de l’une qui irait plus vite provoque celle de l’autre à qui elle est reliée par le même Atman). Alors le réalisé peut fusionner ses deux aspects de polarité et devenir une seule âme androgyne, pilotée par l’Atman.

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Aspect des missions variées des avatars :

La cosmogonie d’évolution des consciences depuis l’humain jusqu’au Logos planétaire, solaire et galactique

Inspir et expir divin

Cet inspir et cet expir, que l’on retrouve aussi dans la tradition hindou ou dans la théosophie, sont un phénomène physique d’oscillation cosmique d’une grand vague d’énergie qui est tour à tour en expansion (expir divin) puis en contraction ensuite (inspir divin).

Cela fait partie du rythme inévitable de fonctionnement de notre Logos galactique.

On note que la fin de l’expir divin correspond à une accélération des karmas négatifs, ce qui se passe en ce moment ; et permet la destruction de la civilisation dans la fin de notre sous-cycle mineur de Kali Yuga (âge de fer ou âge du matérialisme prononcé, âge noir donc) ; et justement à la suite de ce sous-cycle comment un nouveau cycle d’âge d’or, qui est justement concomitant avec l’inspir divin : les sous-cycles s’ajustent aux grands cycles divins en s’y emboitant parfaitement, correspondant au macrocosme ; ils sont d’ailleurs établis en fonction d’eux. Dans le sous cycle qui arrive l’âge d’or, le karma positif aura un effet immédiat ; et permettra l’élaboration d’une société véritablement de belles avancées spirituelles.

Voir pour les termes sur les cycles le document que j’ai écrit à ce sujet dans « cosmogonie universelle et terrienne » dans le lien donné en début de document.
On y trouvera aussi toute la cosmogonie hindoue et celle de la théosophie pour la hiérarchie exposés, permettant de comparer à ce qui est exposé ici ; avec une forte ressemblance.


Logos Solaire

Voilà comment se constitue une entité de conscience d’un niveau nettement supérieur capable ensuite de piloter la création e vie en son sein, pour devenir donc lui-même un « dieu » secondaire : par fusion de plusieurs entités ultra-évoluées provenant de l’évolution antérieure de la vie.

La Conscience solaire vient de la fusion de l’Être le plus réalisé de chaque planète du système au moment du pralaya solaire (destruction physique du système solaire pour que la renaissance se fasse au bout d’un temps égal à celui de la vie de ce système ; avec mémorisation de tous les états de tout ce qui existait dans le système avant sa destruction).

Ceux qui auront atteint un état d’avancement suffisant pour fusionner afin de créer des Consciences équivalentes solaires bien avant le pralaya auront quitté le cycle de la terre et seront allés poursuivre leur fusion ailleurs pour créer une conscience Solaire dans un autre système solaire de la galaxie (on en a 100 milliards rien que pour notre galaxie, ce n’est pas ce qui manque) en formation (des naissances d’étoiles il y en a partout dans la galaxie, des pouponnières d’étoiles existent partout dans les nébuleuses, surtout c’est lors du passage dans un bras galactique que la création d’étoiles a lieu, lors de la rotation de la matière sur elle-même dans la galaxie). Ainsi la progression des êtres n’est pas limitée par le rythme de progression de son système solaire : ceux qui ont fini leur parcours vont continuer ailleurs et ceux qui sont à leur paroxysme avant le pralaya se voient proposer de créer la conscience solaire lors de la création suivante. Si leur souhait n’est pas cela, ils peuvent aller former une autre conscience ailleurs et ce sont d’autres êtres venant d’autres systèmes qui formeront la Conscience solaire de l’après-pralaya.

A mon avis, lorsqu’une telle conscience est formée, elle perdure un certain temps, plusieurs pralayas de suite elle se réincarne en elle-même ; c’est pour cela qu’on parle des incarnations d’un Logos solaire (le nôtre s’est incarné dans le deuxième rayon dans cette création-ci de notre système, il s’incarnera dans le premier rayon dans la prochaine incarnation). Il me paraît raisonnable de dire qu’il faut qu’une conscience solaire ait vécu une incarnation dans les 7 rayons d’énergie existant avant de pouvoir et vouloir passer à un état supérieur de fusion. Mais bon là ce sont mes propres spéculations au vu de ce que je peux avoir lu, pas une synthèse. Dans ce cas tous ceux qui son prêts à former une Conscience solaire par fusion iront le faire ailleurs, dans d’autres systèmes, celui-là étant déjà « réservé » pour quelques tournées de création afin de permettre l’évolution de la Conscience solaire qui le constitue (les « incarnations » de son Logos solaire ».

Comment a lieu cette fusion , que signifie-t-elle pour ceux qui fusionnent : perdent-ils leur « identité d’êtres autonomes ? »

Une distinction est donc faite entre « âme » et « esprit » pour la fusion. En fait ces deux notions séparées existent dans tous les enseignements spirituels fondamentaux ; sauf que pour ce qui est du vocabulaire, certains donnent pour définition de « âme » ce que d’autres appellent « esprit » et inversement. Donc si il y a bien deux termes, dans un livre l’un signifie une chose et l’autre une autre chose supérieure, et dans un autre livre c’est l’ordre inverse. Aussi c’est là qu’il faut faire preuve d’intelligence et ne pas dire qu’il n’y a aucune cohérence dans les vérités énoncées entre les divers auteurs, car si on regarde les deux définitions donnés, au contraire il y a parfaite cohérence : les rôles joués par ces deux « objets » sont les mêmes à travers les lectures, c’est juste le mot qui encapsule la définition qui est utilisé de manière interchangeable selon l’auteur.

C’est un peu comme si je disais que le mot « moutarde » désigne une structure de cristal de sodium solidifié en granules et que le mot « sel » désigne une graine d’un arbre dont on extrait une saveur permettant de créer un goût piquant ; ou que dans un autre livre une autre personne utilise la définition échangée, qui est celle qu’on connait. Ainsi si l’un parle de moutarde, l’autre parlera du sel pour désigner la même chose ; Pourtant si on regarde leurs définitions, ils parlent bien de la même chose ; ce n’est qu’une question de définition du vocabulaire.

Donc qu’en est-il de la notion ici ? La façon dont il est parlé de l’âme dans l’ouvrage puis de la distinction entre âme et esprit dans leur usage me montre qu’ici le mot « âme » signifie l’individualité supérieure définissant l’être autonome, son égo supérieur ; et « esprit » signifie le Soi supérieur, ou Atman.

Note :
Je remets ici un schéma provenant de la théosophie, permettant de situer les choses visuellement :



En correspondance hindoue ou théosophique, l’égo supérieur est ce qui caractérise notre façon de vivre l’individualité après qu’on ait atteint la « réalisation du Soi », on appelle encore cet égo supérieur le « Bouddhhi » ou corps bouddhique, c’est l’âme spirituelle, et c’est ce qui ici est appelé « âme » par les serviteurs des Anges.

L’égo inférieur est quant à lui le «manas» ou mental, ce qui définit actuellement le « moi-je » de l’humain conscient n’ayant pas réalisé le Soi supérieur, pas connecté à la source divine de son Soi. C’est ce qui est aussi appelé l’âme humaine, qui est en fait notre individualité inférieure créant le trouble qui nous empêche de voir la lumière du Soi.

Le Soi supérieur est quant à lui l’Atman, ou esprit universel, la réalité ultime qui est Dieu Unique dont nous sommes tous parcelle par cet Atman parcelle issu du Dieu qui l’a émané; Atman qui n’a aucune individualité propre et constitue notre essence actuelle. Lorsque nous sommes incarnés comme humain non réalisé (ce que nous sommes tous si nous lisons ce document, sauf peut-être de rares exceptions), nous n’avons aucune conscience d’être cette essence absolue Unique et nous nous croyons séparés. Lorsque nous avons « réalisés le Soi », nous avons alors connecté à notre conscience la réalité de l’Atman, les informations et ressentis qui proviennent de lui. Mais pour autant nous ne cessons pas d’être une individualité séparée, autonome, simplement nous avons conscience en même temps de la réalité absolue de l’Atman, étant en connexion avec lui ; nous avons « réalisé » consciemment la connexion permanente à cet Atman, qui est le Soi supérieur, nous avons donc littéralement « réalise le Soi supérieur ». La seule différence est que celle individualité est vécue par la connexion de notre conscience au corps bouddhique, qui est relié directement au Soi supérieur (= l’esprit dans la terminologie des serviteurs des anges) sans remous perturbatifs, et que nous sommes donc conscients aussi de notre aspect esprit absolu connecté au tout Unique en même temps.

Nous sommes conscients de notre existence impersonnelle et absolue (de l’atman, ou esprit) mais restons un individu, une âme ; deux réalités simultanées. Donc réaliser le Soi n’est pas perdre toute individualité, c’est au contraire en garder une, tout en recevant la pleine information de l’esprit universel qui permet aussi de bénéficier des connaissances absolues de l’ensemble de tout et l’accès donc à la communication directe avec toutes les autres individualités.
N’ayant pas vécu ceci personnellement, je ne saurai vous en dire plus que la synthèse e ce qu’en disent ceux qui l’ont vécu.

J’espère que ceci clarifie bien la différence entre « âme » et « esprit » tels qu’envisagés dans ces textes.

Donc la fusion opérée est celle des esprits (absolu en parcelles distinctes mais constituant un tout Unique non séparé des autres Atman malgré tout, difficile comme concept pour notre mental !) ; pas des individualités (« âmes ») lors des fusions cosmiques permettant une conscience supérieure. Ainsi des êtres aux tendances distinctes, résultats d’expériences distinctes et gardant une coloration propre à leurs parcours continuent à exister (et peuvent ainsi manifester plusieurs facettes d’un « Dieu » solaire qui s’exprimerait à une forme de vie en contact avec lui), tout en étant une réalité unique d’esprit plus grande, plus vaste et colorée des âmes par lesquelles elle s’exprime : la réalité de l’esprit fusionné.

Comme indiqué, seuls ceux qui ont vécu cela peuvent exprimer ce qu’ils ressentent dans cet état où ils sont à la fois encore une individualité propre (Bouddhi) mais connecté à un atman commun à plusieurs individualités de ce genre. C’est en quelque sorte la même chose que vivre la réalisation du Soi mais à un autre niveau, puisque lors de la réalisation du Soi on connecte à l conscience notre individu à l’Atman qui exprime un Absolu dont il fait partie. Là cela semble exprimer la connexion à un absolu et à un sous-ensemble d’absolus ; une autre forme de conscience supérieure qui ne nous est pas descriptible.

On a donc la fusion de certains Maîtres pour former une conscience solaire (=conscience d’une étoile) comme la notre, qu’on appelle Logos Solaire (=Christ solaire encore dans l’appellation ; la conscience du Christ qu’on a connu étant une émanation de notre Logos Solaire adombrant Jésus, comme on l’a vu dans la section Avatars) :

Ainsi, si le Logos solaire poursuit son incarnation après plusieurs pralayas, ça sera avec une nouvelle planète principale produite à chaque « incarnation » pour amener à ce que ses plus hautes Maîtres réalisés de chaque planète fusionnent en un plus grand nombre, jusqu’à arriver à 12. Donc les consciences solaires fusionnées secondaires qui seront issues de l’incarnation suivante de la conscience solaire qui les a porté à leur épanouissement seront plus complètes que les précédentes, jusqu’à arriver à 12 ; qui sera alors la fin d’un plus grand cycle général ; amenant probablement là aussi à un pralaya et au redémarrage d’un cycle qui tendra à produire des évolutions encore plus parachevées que la fois précédente. Non seulement les cycles perpétuent l’évolution, mais de plus elle s’améliore dans sa structuration à chaque fois.

Les enseignements théosophiques indiquent en effet qu’à chaque nouvelle ronde de création d’humanité, la nouvelle humanité créée fera mieux à chaque stade donné que celle de la ronde précédente, etc. la matière physique elle-même ira en amélioration constante de sa structuration interne, étant différente dans ses capacités d’un grand cycle de création cosmique à l’autre. Bref on n’est pas dans des cycles répétitifs à l’identique mais répétitifs pour tenir compte de l’acquis pour produire ensuite quelque chose de plus complet encore.

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Logos planétaire

Et qu’en est-il de la conscience d’une planète, ce qu’on appelle le Logos planétaire ? C’est le même genre exact de choses :

Voilà des choses qui rendent plus claires les affirmations chrétiennes indiquant que le Christ était venu « laver les péchés de l’humanité » selon ce qu’il aurait dit. La signification est toute autre, et provient d’une compréhension ésotérique de phénomènes ayant mieux à des échelles planétaires énergétiques.

On voit aussi le rappel au fait que la Terre a sa propre évolution à faire ; elle a ses plans d’avancement pour ls formes de vie, et à un moment donnée, dans son évolution personnelle, elle a besoin de dégager l’énergie négative accumulée pour permettre une transition dans son évolution, aussi bien que la transition des formes de vie qu’elle héberge. Cela a lieu quand des changements de course « balanciers cosmiques » ont lieu ; c'est-à-dire au moment du changement passant d’une inspiration divine à une expiration divine ou inversement. Or justement nous sommes en plus à l’un de ces changements.

C’est une des raisons des spécificités de ce moment particulier ; qui est à la fois la fin de quelques cycles mineurs (comme le précise la tradition hindouiste, cycle mineur de sous kali-yuga inscrit dans le sous-cycle du kali-Yuga ; cycle mineur de 25 000 ans de précession, et on a ce grand cycle plus global qui s’étale sur des dizains ou des centaines de millions d’années (durée non précisée sauf que ça se chiffre en millions) de la respiration divine. La conjonction de ces cycles simultanés fait de notre époque une époque particulière qui permet des changements plus majeurs (même si cette époque n’est pas celle de la « fin du monde « décrite dans l’Apocalypse qui indique des choses à venir pour la fin de l’ère du Kali yuga complète, dans plus de 400 000 ans ; cette même Apocalypse décrit malgré tout aussi des choses similaires, mais en bien moindre importance, dans notre fin de cycle actuelle. C’est donc une description de changements qui ont lieu dans la même tonalité (comme à la fin de chaque sous-cycle) ; mais sans en comprendre la totalité des éléments qui ne sont vrais que pour la fin de nitre grand cycle.

Bref, ce changement de course de la respiration divine permet à l’occasion de sauter un barreau de l’échelle de l’évolution à toutes les formes de vient du plus bas au plus haut, si elles y sont préparées (et seulement pour celles qui y sont préparées) sous la forme d’un coup d’accélération de l’évolution naturelle qui a lieu dans les cycles comme jamais ; une occasion qui une fois ratée attendra des millions d’année pour se reproduire…

On peut aussi préciser que lors de la mise en croix de Jésus-Christ, le moment où le Logos Galactique est sorti et parti en vague puissante créant un courant d’aspiration de l’énergie négative cumulée dans la Terré, aidant le travail du Logos Solaire qui devait purifier la terre d’une masse très conséquente de négativité ; est le moment où Jésus dit « Père, pourquoi m’as-tu abandonné » alors qu’il était sur la croix et que les chrétiens ne comprennent pas (pourquoi Jésus aurait-il perdu confiance en Dieu ?) Encore une fois l’enseignement ésotérique apporte une compréhension. Le Père est le Logos galactique. Le Logos Solaire lui (Christ) est resté avec Jésus encore quelques heures pour finir le travail de purge et de nettoyage des énergies négatives dont la profondeur enkystée avait été fortement éliminée par le départ du Logos galactique ; puis il est parti aussi.

C’est cela la mort allégorique sur la croix. Car il n’est pas mort sur la Croix, seulement très amoché. Une ordonnance de grâce motivée par des manques de faits à charge qui doit être établi dans les formes juridiques du droit romain et non respectées par Pilate, qui avait été demandée par ses disciples (qu’il ne faut pas prendre pour plus bête qu’il ne paraissait) auprès de l’empereur Tibère, supérieur de Pilate avait été faite dès l’annonce de sa condamnation. La grâce a été accordée ; mais le temps que l’information transite (à cheval, internet n’existait pas si vous vous rappelez) ; elle est arrivée alors qu’il était dans le coma sur la croix. Il fut alors libéré et soigné par des prêtres guérisseurs spécialisés dans les soins des corps énergétiques venus d’Egypte (Héliopolis) qui avaient été appelés auparavant en vue de ce travail : car son destin lui était connu (à ce niveau de connexion avec les Logos Solaire et galactiques, savoir la suite des évènements futurs n’est pas un grand mystère) et il fut sauvé.

Jésus, simple être humain quitté de son investissement d’Avatar et redevenu adepte de haut niveau, mais simple humain, a continué à vivre ; ne se faisant plus connaître, d’abord longtemps dans le monastère du mont Carmel (ou Krmel dans la prononciation de l’époque), centre Essenien de la connaissance héritée d’Egypte et de Grèce antique disposant aussi bien de livres ésotériques et de connaissances Atlantes archivées que de certaines forces occultes de magie blanche issues de ces connaissances) où il apprit étant jeune les initiations qui lui permirent de débuter son parcours. Il mourût un jour aussi, mais pas sur la croix. Sa vie suivante il sera Apollonius de Tyane et deviendra un réalisé et ensuite un Maître de Sagesse.

Ces faits sont décrits par le récit des annales Akashiques de Daniel et Anne Meurois-Givaudan qui ont compté leur vie en tant que disciples auprès de Jésus à cette époque. Extrait qui compte cette fin :

(Dans l'extrait qui suit, c’est moi qui ait mis en gras certains passages du texte d’origine qui étaient tous en texte de casse normal)

A noter que le corps de Jésus ayant été transformé en profondeur par l’adombrement à la fois du Logos Solaire et du Logos galactique avait un potentiel extrêmement important ; et émettait une énergie dégageant toujours ces énergies combinées. De par cette importance, ce rayonnement perdurant tant que la matière physique est imbibée de la radiance des deux Logos qui l’ont transformée intimement, le corps a été transporté dans un endroit particulier d’où il pouvait continuer à rayonner une énergie utile à l’humanité. Il fut donc pris en charge pour cela par les « frères de l’espace ».

D’ailleurs, le Graal, une pierre taillée avec une forme de cupule, avait servi à recueillir un peu du sang Christique, tandis qu’il était sur la Croix, après que la lance ait percé son flanc ; ceci avait été récupéré par quelqu’un qui savait ce qu’il en était du contenu énergétique : Joseph d’Arimatie, qui était un haut initié travaillant avec les prêtres d’Heliopolis. Le sang, qui transporte la charge d’énergie vitale du corps, était imbibé de l’énergie vitale puissante transformée dans son essence (et au niveau atomique de la matière qui la composait le liquide sanguin aussi) par la présence du Logos galactique et Solaire combinés, qui étaient encore tous deux dans le corps de Jésus, en adombrement.

Cette pierre s’est retrouvée chargée d’une puissance énergétique émettrice qui serait de très longue durée et dont le rayonnement sur de grandes distances permettrait de favoriser la mutation des consciences. Des disciples de jésus furent envoyés en gaule avec la mission d’y placer le Graal sur ces terres de la grande Gaulle qui étaient prévues pour être le foyer émergeant de la nouvelle civilisation. C’est ainsi que le Graal fut transporté, puis caché ; puis perdu. Il rayonna pendant des centaines d’année ; aidant à l’émergence de nouvelles qualités des humains de se secteur.

Toutes références sur le sujet du Graal dans « De Mémoire D'essénien - Tome 2, Chemins De Ce Temps-Là », Anne et Daniel Meurois-Guivaudan.

Lorsque le roi Arthur, qui n’est pas une légende (pas plus que ses chevaliers de la table ronde) eut apprit l’existence du Graal et sa réelle fonction, il envoya ses chevaliers à sa recherche, afin que ce trésor énergétique sacré perdu soit retrouvé pour être placé dans d’autres contrées où il pourrait servir à faire émerger encore les consciences endormies : c’était une mission de ré-ensemencement spirituel. Telle fut la mission des chevaliers de la table ronde. Ils finirent par retrouver le Graal. On ne sait pas où il fut placé pour rayonner ; et son rayonnement continuait, même amoindri dans le temps.

Pour en revenir au Logos planétaire, il a pour but la création et l’évolution de tout type de formes de vie, les humains ne sont pas et de loin, les seuls êtres en évolution vers le divin. On ignore très souvent les règnes des esprits de la nature qui contiennent les élémentaux (les formes les moins évoluées, identiques à nos minéraux dirons-nous), les gnomes, ondines, salamandres, sylphes, esprits constructeurs (un peu plus évolués du genre instinctif), ou nains, lutins, nymphes, tritons, sirènes, feu-follets, elfes (plus évolués), et fées (encore plus évolués) , Dévas (plus évolués encore) et ensuite les anges, puis archanges ; qui sont une lignée parallèle à la notre et qui eux aussi avancent pareillement. Ils sont situés dans des plans invisibles pour nous, des plans de l’éther (matière vibrant sur un plan à peine plus haut que le nôtre) ou du l’astral pour les plus hauts.

Leur travail d’évolution passe par le partenariat avec les formes de vie sur le plan physique où nous nous situons : les élémentaux contrôlent (c'est-à-dire les permettent) les processus chimiques des minéraux, biochimiques des plantes, et des organes des animaux. Les gnomes sont plus liés au minéral eux aussi, on a leur pendant pour l’eau (ondines) ou l’air et le feu (salamandres). Les nains et les elfes s’occupent de permettre la croissance harmonieuse des plantes dans leur structure globale, l’aidant à se développer. Les fées s’occupent de groupement de végétation. Des êtres situés au-dessus, comme les Dévas, s’occupent de plus d’entités végétales encore, de toute une vaste forêt, d’autres des animaux. On sait que les anges (et d’autres dont je ne connais pas le nom situés juste au-dessous d’eux) s’occupent des hommes ; les archanges s’occupent de faire fonctionner des choses au niveau plus cosmique, échelle au-dessus de nous, etc . Donc voilà, ils ont une interaction avec chacun des règnes physiques, dont ils s’occupent chacun avec une fonctionnalité particulière, qui leur permet d’évoluer.

Ce sont d’ailleurs les « serviteurs des Anges » qui enseignent Daniel Meurois dans l’ouvrage référence de ces textes, et ils expliquent qu’ils ont la même finalité de fusion en Soleils eux aussi ; ils sont placés plus haut dans la hiérarchie que les Dévas, et en-dessous des anges (je dirais, sans savoir, qu’ils sont l’équivalents de Maîtres dans ce lignage parallèle).

Ainsi, au-delà même des lignées parallèles, il est porté autant de soin à l’évolution des plantes qu’à celle des minéraux ou celle des animaux ou des humains. D’ailleurs sans rigoler de la chose du tout, il existe des Maîtres chez les animaux aussi, des entités développées à un niveau supérieur à celui équivalent de l’humain de la lignée parallèle des esprits de la nature, qui s’incarnent parfois dans des animaux pour les aider à gérer une situation critique quelque part.
Imaginez que toute l’attention qui nous est prodiguée pour nous aider est identique dans chaque règne inférieur et y compris dans chaque règne de la branche des esprits de la nature, et vous imaginez l’organisation gigantesque de toute cela sur ; la planète et ce que met en place le Logos planétaire.

D’ailleurs, au sujet de l’évolution de transformation que la planète doit avoir dans la période en cours ; l’ensemble des règnes de la lignée parallèle des esprits de la nature est prête à muter, ayant fait tout le travail nécessaire ; ainsi que la lignée des minéraux, plantes et animaux sont prêts car ils dépendent de ces esprits de la nature et n’opposent aucune rébellion à leur préparation subtile ; seul le règne humain est en retard; fonctionnant toujours dans la négativité. Vous comprenez bien que même si par amour, cela fait maintenant longtemps que la transformation planétaire aurait pu avoir lieu avec un peu d’avance dans le changement d’expir divin, elle a une date limité au-delà de laquelle elle ne pourra pas attendre le règne humain seul alors que tous les règnes de vie devront muter. Il en va aussi du devoir du responsable planétaire qu’est le Logos planétaire de ne pas handicaper quelque chose d’aussi vaste et concernant aussi bien sa propre évolution que celle de tous ses règnes à cause d’un seul règne rebelle à faire ce qu’il faut.

D’où l’insistance accrue pour notre règne depuis 2 000 ans à l’enseigner et le guider qui s’accentue de plus en plus depuis un siècle car l’échéance du balancier cosmique va arriver à son ultime limite, pour qu’on arrive à passer le cap du nettoyage de notre fonctionnement intime. L’ultime limite n’est pas donnée, et la décision de provoquer la mutation peut arriver n’importe quand avant cette ultime limite du fait de la décision du Logos planétaire. C’est pourquoi il est indiqué que « l’heure n’est pas connue, même par les anges ou archanges les plus hauts, ni par la hiérarchie » car cela dépendra du libre arbitre du Logos planétaire de savoir quand faire son choix.

Le parcours d’évolution d’un homme et sa finalité, étape par étapes

D’abord peut-être un avertissement, qui permet de comprendre encore une fois que le savoir spirituel des choses, si il est indispensable pour motiver tout progrès en faisant un vrai travail côté, ne doit pas être le but en soit : beaucoup se trompent en croyant que savoir est la preuve de leur avancement. En ce domaine, il faut avoir bien conscience des choses et donc avoir fait preuve de discernement. Les pièges sont sur le sentier !!

C’est le piège de ceux qui ne parlent que de la non dualité enseignée par les grands éveilles ou ceux sur le chemin final de cet éveil qui est indiqué là ; qui en parlent et croient que le mettre en exergue fait d’eux des éveillés ou sur le point de l’être, sans réellement juger de leur niveau réel. C’est le piège possible de tous ; donc attention à vous évaluer correctement, c'est-à-dire à ne pas surévaluer ce que vous faites ; et ne pas croire faire beaucoup en ne faisant en fait pas plus que tous ; à beaucoup en parler sans le pratiquer.

Ainsi le devenir de TOUTE l’humanité est de devenir Maître de Sagesse, puis de poursuivre sa quête comme Soleil ; afin de devenir nous-mêmes des créateurs, de devenir à l’égal de Dieu, un dieu nous-mêmes, qui va gérer sa création. Pour ceux qui se sentent prêts à cela, il y a la voie du Soleil, ais pour d’autres ça sera ma voie planétaire : devenir un Logos planétaire, pour gérer les formes de vie sur la planète à travers les milliards d’années, tout type de forme de vie afin de l’amener à une évolution de conscience et faire que ces semences du Dieu céleste qui sont envoyées ici puissent atteindre le même niveau de conscience que celle d’un Logos planétaire ou solaire et poursuive son chemin.

Pour les Logos Solaire, c’est gérer les vies de toutes les planètes. N’est-ce pas un destin fantastique pour chaque être humain de la planète de savoir qu’il sera un jour un créateur aussi grandiose qui pourra par lui-même apprendre à faire avancer des consciences par la vie qu’il créera en la mettant à leur disposition ?





Schématique fournie avec l’ouvrage référencé qui sert ici, pour résumer ces parcours d’évolution :



(cliquer pour agrandir)

Sachant que l’homme réalisé pleinement a ouvert pleinement 8 chakras (en fait le 8ème emrbyonnaire ne se développe que lorsque l’homme se met à la recherche spirituelle dans sa toute première étincelle pour la première fois dans l’un de ses vies et se développe à partir de là) ; on comprend qu’il y a encore 4 chakras embryonnaires à développer au-delà donc du stade de pleinement réalisé, avant d’avoir fini d’exploiter tout le potentiel d’Homme. Arrivé à ce stade là, on devient « l’Homme », celui qui est complet et égal au Logos galactique. C’est aussi pourquoi Jésus se disait souvent « fils de l’Homme », au sens du fils de ce qu’est réellement l’Homme pleinement développé : le Logos galactique, le « Père » ; ce qui est obtenu après le passage par les diverses étapes d’évolution ascendante qui nous restent à parcourir pour atteindre le même niveau de conscience que ce Logos galactique ; en fin de parcours (fin provisoire car le Logos lui sera parti dans son « ailleurs » inconnaissable alors que nous prendrons notre rôle de Logos galactique nous-mêmes pour un jour nous aussi partir au niveau supérieur dans l’ »inconnaissable »).

Pour en revenir aux 144 000 vibrations ; le prana par exemple contient ces 144 000 vibrations distinctes ; le prana qui véhicule l’énergie divine. Mais le corps physique n’est sensible qu’à 12 000 de ces vibrations. Le corps éthérique est sensible à 12 000 de plus, et avec chaque corps subtil on en ajoute 12 000 de plus. On voit qu’à ce rythme, il faut donc un total de 12 corps pour traiter toutes ces vibrations et en développer l’expérience pleine. De plus recevoir ces vibrations est une chose ; il faut en avoir expérimenté tout ce qui peut en être retiré pour avoir complètement expérimenté « ce niveau -là».

Si on se réfère au schéma des corps donné par la théosophie, on en voit seulement 6 plus l’Atman en haut. Mais la théosophie elle-même indique que ceci n’est qu’une approche suffisante pour la compréhension de tout ce qui relève de notre évolution et qu’il existe d’autres corps intermédiaires entre l’étincelle Atman que nous sommes et le niveau indiqué pour l’Atman dans son schéma actuel. Toutefois leur utilité ne pourrait même pas être comprise pour l’humain le plus avancé ; donc ce n’est pas mentionné. Ce sont tous ces corps subtils qui sont développés (donc 6 autres manquants) à des niveaux bien supérieurs. Alice Bailey en parle un peu dans le complément théosophique. Ces corps sont développés à un niveau de conscience que l’on ne comprend pas et qui relève du parcours évolutif des fusions d’esprit avec l’évolution comme Logos planétaire, Logos solaire et Logos galactique. C’est seulement arrivé à ce stade qu’on a pleinement expérimenté toute l’énergie des 144 000 vibrations possibles émises par le soleil central galactique (qui doit être l’équivalent du Logos centrogalactique que j’ai ainsi nommé précédemment).

Quelques références à propos du prana et des 144 000 vibrations :

Les étincelles primordiales qui nous composent tous, l’atman, l’esprit universel sont donc les étincelles de ce Dieu là ; et voilà pourquoi il est notre Père : le Logos galactique. C’est le niveau le plus haut de l’encapsulation à notre niveau. C’est lui le but à rejoindre dans notre marche…

Mais lorsqu’elles sont émises, ces étincelles du « Père », bien que capables de la conscience la plus complète n’ont aucune conscience de leur conscientisation, car elles sont « vierges » de la connaissance de leurs capacité . Une forme de voile est placé volontairement sur elles par le « Père » afin qu’elles ne sachent pas d’où elles viennent ce qui les empêcherait d’acquérir l’expérience qui leur est nécessaire. Elles devront découvrir leur potentiel par l’évolution, qui commence par une descente dans la matière, puis une remontée ; et par expérience propre et personnelle l’étincelle va découvrir tout ce qu’elle peut faire dans ce monde de création, et qui elle est à travers tous les viles, gagnant une expérience importante et acquérant la conscience complète de qui elle est.

Alors ceci peut paraître un jeu absurde !? Mais ce n’est pas le cas, car en fait ces étincelles capables de tout mais n’ayant pas réalisé ce dont elles sont capables sont des parcelles du Père qui lui-même est leur somme, et plus que leur somme. En fait lui-même est dans cet état, et pour comprendre d’où il vient et rejoindre son propre créateur afin de le comprendre et devenir conscient de qui il est, il s’est sous-divisé en de multiples étincelles qui vont aller apprendre pour lui, qui sont lui en démultiplié. Tout ce qui revient à lui (qui en est la source, qu’on appelle aussi donc parfois « la source ») il gagne cette expérience de qui il est par cette étincelle. Il envoie en permanence des vagues d’étincelles parcourir ces chemins d’expériences, tous les morceaux de lui-même qui n’ont pas encore acquis l’expérience.

Et à chaque nouvel envoi de vagues d’étincelles, il les envoie expérimenter d’une façon différente, tenant compte des améliorations possibles et des voies restant à explorer en fonction de l’expérience gagnée par les étincelles qui remontent. Il ne faut pas croire que les étincelles qui sont envoyées descendre vers de nouvelles expériences sont celles qui sont remontées. Elles le sont en quelque sorte du fait que le Père est un et que chaque étincelle est pareille à toute autre dans son unicité indivisée ; mais elles ne le sont pas car ce qui est remonté à la source est gardé là comme un trésor qui fait partie du père et existe de façon absolue. C’est une façon de dire que l’esprit qui est remonté à la source existe toujours de façon propre, il n’a pas été dissous et remis à zéro pour repartir faire un tour de manège évolutif. Non, tout est stocké, conservé jusqu’à un point où le père pourra finir par se réaliser dans cet univers et passer à un autre.

Ceci nous amène à ce qu’est le Père, le Logos galactique qui nous supervise, son but et le moyen pour lui de poursuivre son évolution en rejoignant lui-même ce Dieu plus Universel encore qui l’a créé et qui a créé l’univers de galaxies dans lequel il évolue (qui sont tout comme notre Logos galactique des Logos galactiques frères). Où est la suite du chemin ?

Le Logos galactique et son chemin vers la sortie de cet univers

A noter que l’Aïn-Soph est le vocabulaire utilisé par la Kabbale pour appeler l’Inconnaissable, c'est-à-dire le Dieu Universel qui a engendré les galaxies et tout le cosmos visible à nos yeux ; et qui est situé en-dehors de toute notion d’espace et de temps, de toute notion pouvant même se rapporter à notre univers ; il est au-delà. Chez les hindous, le nom de cette exacte même description est Parabrahman. On retrouve les deux mêmes concepts dans ces deux systèmes. Ce Parabrahman est donc la source du Logos galactique dont nous sommes issus nous-mêmes comme étincelle ; il est « son Dieu » qu’il va chercher à rejoindre. Le Logos Galactique nous est accessible, car nous sommes une partie de lui, nous sommes lui ; le Père. Mais le Parabrahman lui est totalement hors de tout concept pour nous.

Toutefois je nuancerai un peu cette vision ; car en suivant la loi d’analogie qui montre qu’à chaque échelle, les choses se passent identiquement qu’à l’échelle supérieure ou inférieure ; on constate que nous sommes inclus dans le corps terrestre dont l’esprit est le Logos planétaire ; qui lui-même est inclus dans le corps du système solaire dont l’esprit est le Logos solaire, qui lui-même est inclus dans le corps du bras de la galaxie dont l’esprit est le Logos galactique (d’un bras de la galaxie en fait selon les désignations indiquées par les serviteurs des anges). En toute logique d’analogie, le Logos galactique est inclus dans le corps de la galaxie toute entière qui devrait correspondre à un Logos (je l’appellerai Logos centrogalactique) ; et la galaxie toute entière est incluse dans le corps de l’univers entier, qui devrait correspondre à un Logos encore (que j’appellerai Logos universel). Ce Logos universel pourrait correspondre au Brahma des écritures védiques qui est l’esprit de l’œuf doré de l’univers circonscrit de la création ; l’œuf étant considéré comme l’univers-bulle d’expansion dans lequel toutes nos galaxies se trouvent. En effet comme tout ceci nous est encore accessible et que Brahman est le reflet de ce qui est perceptible de l’inconnaissable Parabrahman selon la tradition hindoue (ou Kabbalistique avec d’autres mots) on aurait alors l’analogie complète.

Donc il paraît logique d’ajouter ces intermédiaires avant d’en arriver au Parabrahman, à l’Inconnaissable qui est situé en-dehors de notre création spatiale.
Selon Saï baba, Parabrahman aurait créé des milliers de milliers de Brahman (donc d’univers bulles) ; et là aussi çà serait bien une logique analogique au niveau supérieur : chaque univers-bulle correspondant chacun à un Logos universel (ou Brahman) serait inclus dans le corps de Parabrahman qui est dans l’inconnaissable. En passant d’un univers-bulle à l’autre on change de concept même de tissu spatial et temporel ; à savoir que dans un autre univers bulle ce qui existe peut n’avoir aucun lien conceptuel avec la notion d’espace même que nous connaissons (ou tout peut être constitué du même genre d’espace mais avec des lois différentes ; à ce niveau à part des spéculations on ne peut rien faire d’autre). On est vraiment dans une description impossible.

Tout est Un pour le Père. C’est déjà le cas actuellement pour nous, ce qui n’empêche pas en même temps d’avoir des existences paraissant distinctes même une fois réalisé et unifié, car les noyaux d’expériences restent chacun colorés de leurs acquis. Ils se partagent tous entre eux, formant l’expérience globale du Père (qui en quelque sorte comme un ordinateur géant mémorise les programmes distincts stockés en mémoire centrale, avec leur espace mémoire propre ; permettant à chacun d’exister apparemment séparément, mais en fait tout n’est qu’une suite d’informations à la suite dans la même mémoire centrale sans aucun séparateur interne : c’est l’information qui permet de créer la conservation des noyaux d’expériences tout en faisant en sorte que ceci soit une seule expérience globale qui est le cumul de toutes.

J’ai tenu à reporter ce propos pour que la notion de « Père » utilisée tout le long de ce document ne soit pas déformée et que le remplacement par « Mère » soit interchangeable à loisir.

Qui est exactement ce Logos galactique, ce « Père » ou cette « Mère » ? ce n’est pas tout à fait la conscience de toute la galaxie, amis d’une portion de la galaxie :

D’ailleurs on pourra se dire qu’il a bien du travail le Logos galactique, car si il vient intervenir comme ça a été le cas avec Jésus, pour aider le Logos solaire de notre système, il a autant à faire avec les 100 milliards d’autres étoiles et les planètes de chacune d’entre elle ; sans compter le travail d’ensemble de fonctionnement de tous les Logos solaire. A plus grande conscience encore plus grand travail. Celui qui voit le divin comme un grand dormeur fatigué qui se la coule douce est loin de la vérité : plus on devient grandiose dans l’échelle de la création, plus le travail effectué comme service pour s’occuper de toutes les formes de conscience émanées dont on est responsable est important ; même si bien sûr à chaque niveau le « travail » et délégué au niveau inférieur (le Logos solaire s’occupe de son système principalement, mais il a l’aide du Logos galactique par moments malgré tout) ; idem le Logos planétaire a al délégation de la vie qui évolue sur lui, même si il a l’aide du Logos solaire par moments, etc.

Il y en a certainement certains pour qui ces responsabilités de plus en plus grandes seraient impossibles à assumer ; il faut rassurer tout le monde, c’est normal car nous sommes à un stade si élémentaire que nous ne concevons pas ce que nous pouvons devenir (et que nous sommes déjà, qu’il ne reste qu’à se rappeler).

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SUITE à venir

...suite...

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La sortie vers l’Inconnaissable : les trous noirs

Le trou noir, et on sait qu’il en existe un gigantesque au centre de toutes les galaxies ; est donc la zone à faire transiter pour sortir de notre univers-bulle, et se retrouver dans l’univers d e l’inconnaissable (le niveau supérieur de Dieu qui a créé tous les univers-bulle), dans une zone ou l’espace lui-même n’existe pas, incompréhensible pour nous. De là l’évolution se poursuit: les Logos galactiques fusionnés retournent incarner de nouveaux univers-bulles créés (car il ne se forme pas de nouvelles galaxies dans notre univers, elles se sont formées à la création de nitre univers ; elles peuvent se mêler ensemble par attraction gravitationnelle et créer ainsi des associations, mais la véritable fusion de leur essence se fait non pas par ce procédé de cohabitation mais par fusion dans la zone hors espace et temps, au-delà du trou noir).

Donc pour se réincarner, les Logos fusionnés dans la zone de l’inconnaissable, doivent retourner occuper un corps de galaxies en formation dans un autre univers-bulle ; où, qui sait, espace et temps n’existent peut être pas du tout sous les mêmes formes (ou peut-être que si) ; de toute façon ce serait des univers parallèles au nôtre et donc inaccessible. En effet là on serait dans le parallèle, non en terme de matière vibrant sur des plans différents, imbriqués dans le même espace ; mais dans des bulles d’univers différentes avec peut-être leurs propres lois de la création distinctes (n’oubliez pas que chaque changement d’une décimale de n’importe quelle valeur de constantes de physiques même à seulement la 50ème décimale après la virgule provoque un changement complet de la face de la création de l’univers… on peut s’imaginer que puisque le Divin crée à chaque fois toutes les variantes d’expériences possibles pour explorer le maximum de lui-même, on aurait de grosses surprises si on pouvait percevoir des univers-bulles différents !)

On peut aussi imaginer que lorsque les Logos ont fusionné et re-fusionné en fin de leurs vies incalculablement longues à chaque fois, ils arrivent à un point dévolution leur permettant de ne plus « descendre » s’incarner dans des univers-bulles et avancent au niveau suivant, devenant eux-mêmes des Dieux inconnaissables pendant que leur Père inconnaissable atteint lui un autre degré d’évolution encore moins compréhensible et plus inconnaissable. On voit très bien qu’à ce niveau là on est complètement dépassé.

L’analogie était intéressante à mettre ici à la suite, je pense.

Vagues de vie, vagues de création

Tout est suffisamment clair dans cet exposé pour ne pas avoir à en ajouter. Je dirai seulement que la notion de vagues de créations existe aussi dans les enseignements théosophiques là aussi.

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FIN du document de synthèse

L'ensemble de ce document en PDF ici:
https://www.chercheursduvrai.fr/stockage/li...s_des_Anges.pdf

Hello

Peut on avoir la cosmogonie de Max Heindel, siouplait ?

Je ne vais pas toutes les faire.

Il y a celle d'Urantia, qui pour avoir abordé la chose est clairement une invention purement humaine, preuves à la clef dans les textes avec référence que c'est une pure élaboration par des hommes et en rien une information de source éclairée quelconque; donc là poubelle direct (j'ai attaqué le livre papier, je dirai la bible au format encyclopédique papier, et utilisé le livre en ligne sur le net pour les recherches d'éléments qui corroborent la démonstration de fraude humaine).

Il y a celle de la kabbale que je ferai peut-être plus tard (beaucoup plus tard); là j'ai passé le capital temps que je comptais mettre sur tout ceci pour mes vacances.

Celle de Max Heindel si tu veux, tu peux nous la faire, ça sera très bien; une bonne participation à ces cosmogonies et un travail utile. Mon père, qui a été longtemps Rose-Croix Amorc quand il était jeune, avait l'ouvrage de cosmogonie de Heindel dans ses bouquins.

Merci à toi si tu as envie de la faire celle de Heindel.

PS: si tu ne l'as pas en version livre chez toi, tu as ça ici:
En PDF:
http://www.glbet-el.org/bet-el%20livres/46...-Rose-croix.pdf

En forme site web:
http://www.rosicrucien.info/rcc/rccfre00.htm

Attention: la plupart des nombres sont symboliques. Par exemple quand on te parle de 777 incarnations: le nombre 777 est un symbole, le 7 parlant de la relation au divin, et n'est pas forcément un vrai nombre d'incarnation. L'ésotérisme te permet de comprendre que beaucoup des données chiffrées signifient autre chose que le "pur" chiffre; car chaque chiffre se rapporte à une information précise de relation avec la création. D'ailleurs on te dit que le mystère des nombres est archétypalement lié à des secrets initiatiques qui ne sont toujours pas révélés à l'humanité car la dépassant et de loin dans les niveaux d'initiation. On retrouve cette info dans le livre de D. Meurois de la cosmogonie sur ce sujet; ou aussi dans celle de la théosophie.

Ce n'est pas pour rien que Pythagore (grand initié) disait que Dieu était le géomètre du monde. A l'époque la géométrie était la seule façon de percevoir les mathématiques, c'est donc un mot synonyme. Le céleste est relié à la mathématique. Il n'y a donc pas de mystère à ce que les initiés en ésotérisme soient souvent aussi mathématiciens: l'ordre du divin perçu de diverses façons. Pythagore n'en est pas le seul exemple, et de loin (regarde tous les grands mathématiciens découvreurs étaient aussi grands philosophes et adeptes de haut niveau de sociétés secrètes; tu peux penser aussi bien à Descartes qu'à Blaise Pascal pour la France, mais aussi en voir plein à d'autres niveaux et d'autres pays surtout).

De mon côté, comme petit chercheur de vérité, je suis dans la même voie finalement, mais à une échelle toute petite du bas; chacun sa place; en tant que mathématicien et physicien qui s'intéresse à l'ésotérisme.

Ce message a été modifié par LightInWay le Mercredi 20 Août 2014 à 09h11

Je ne vais pas toutes les faire.

Il y a celle d'Urantia, qui pour avoir abordé la chose est clairement une invention purement humaine, preuves à la clef dans les textes avec référence que c'est une pure élaboration par des hommes et en rien une information de source éclairée quelconque; donc là poubelle direct (j'ai attaqué le livre papier, je dirai la bible au format encyclopédique papier, et utilisé le livre en ligne sur le net pour les recherches d'éléments qui corroborent la démonstration de fraude humaine).

Il y a celle de la kabbale que je ferai peut-être plus tard (beaucoup plus tard); là j'ai passé le capital temps que je comptais mettre sur tout ceci pour mes vacances.

Celle de Max Heindel si tu veux, tu peux nous la faire, ça sera très bien; une bonne participation à ces cosmogonies et un travail utile. Mon père, qui a été longtemps Rose-Croix Amorc quand il était jeune, avait l'ouvrage de cosmogonie de Heindel dans ses bouquins.

Merci à toi si tu as envie de la faire celle de Heindel.

PS: si tu ne l'as pas en version livre chez toi, tu as ça ici:
En PDF:
http://www.glbet-el.org/bet-el%20livres/46...-Rose-croix.pdf

En forme site web:
http://www.rosicrucien.info/rcc/rccfre00.htm

Attention: la plupart des nombres sont symboliques. Par exemple quand on te parle de 777 incarnations: le nombre 777 est un symbole, le 7 parlant de la relation au divin, et n'est pas forcément un vrai nombre d'incarnation. L'ésotérisme te permet de comprendre que beaucoup des données chiffrées signifient autre chose que le "pur" chiffre; car chaque chiffre se rapporte à une information précise de relation avec la création. D'ailleurs on te dit que le mystère des nombres est archétypalement lié à des secrets initiatiques qui ne sont toujours pas révélés à l'humanité car la dépassant et de loin dans les niveaux d'initiation. On retrouve cette info dans le livre de D. Meurois de la cosmogonie sur ce sujet; ou aussi dans celle de la théosophie.

Ce n'est pas pour rien que Pythagore (grand initié) disait que Dieu était le géomètre du monde. A l'époque la géométrie était la seule façon de percevoir les mathématiques, c'est donc un mot synonyme. Le céleste est relié à la mathématique. Il n'y a donc pas de mystère à ce que les initiés en ésotérisme soient souvent aussi mathématiciens: l'ordre du divin perçu de diverses façons. Pythagore n'en est pas le seul exemple, et de loin (regarde tous les grands mathématiciens découvreurs étaient aussi grands philosophes et adeptes de haut niveau de sociétés secrètes; tu peux penser aussi bien à Descartes qu'à Blaise Pascal pour la France, mais aussi en voir plein à d'autres niveaux et d'autres pays surtout).

De mon côté, comme petit chercheur de vérité, je suis dans la même voie finalement, mais à une échelle toute petite du bas; chacun sa place; en tant que mathématicien et physicien qui s'intéresse à l'ésotérisme.

Merci LightInWay

Ma femme l'a retrouvée dans sa bibliothèque esoterique.