Cosmogonie de la Kabbale, contenu ésotérique en amont du judaïsme

Cosmogonie de la Kabbale

Présentation de ce qu’est la Kabbale

Origine du mot Kabbale

Kabbale en français est la transcription du mot hébreu Qabalah (écrit en sonorité française avec les lettres latines), qui s’écrit avec les 4 lettres hébraïques   קבלה    prononcées QBLH -l’hébreu na pas de voyelle dans son écriture, les voyelles à prononcer entre (ou après) les lettres-sons consonnes sont transmises de tradition orale et pas indiquées par écrit, ainsi un hébreu sait que ce QBLH se prononce QaBaLaH.

La signification de ce mot, constitué de deux racines de mots ayant chacun une signification distincte est « recevoir pour partager ». La Kabbale se définit comme uns Science Sacrée, alors la définition exacte est :

« La Science de recevoir pour partager. »

Qu’est-ce que la Kabbale ?

C’est un enseignement spirituel transmis oralement dont les kabbalistes font remonter l’origine à Adam, le premier homme. Dieu aurait révélé le Livre de la Kabbale aux anges et les anges l’auraient remis à Adam qui l’a transmis aux générations suivantes, selon la métaphore utilisée par les kabbalistes.

Ainsi pour eux cet enseignement date d’aussi loin que mémoire d’homme l’ayant transmis remonte, et a des origines provenant d’entités spirituelles (anges).

La parole perdue de Dieu est ce que les kabbalistes appellent la Tradition Primordiale et est l’ensemble des enseignements que la kabbale transmet est une partie de cet enseignement perdu peu à peu (seulement une fraction), des dires des kabbalistes eux-mêmes.

Ainsi, ils ont propagé une partie d’un enseignement spirituel plus complet et vaste datant d’aussi loin qu’il y eut des hommes pour en comprendre le sens et le recevoir ; et c’est ça qui constitue l’enseignement de la kabbale. Il a été transmis oralement, enseigné de maître kabbaliste (érudit dans la kabbale et sa compréhension) aux étudiants de la kabbale, de tous temps.

Comme c’est dans le peuple à la source des hébreux originels qu’a été propagé cet enseignement, il était transmis oralement en hébreu dans ce groupe culturel et social. Mais il n’avait aucune limitation à ce seul peuple, car la kabbale est un enseignement de portée universel qui s’adapte à tout peuple de toute origine et de toute croyance : il est un enseignement ésotérique de la création, de l’existence, de la place et du but de l’homme dans cette création.

Puis, un jour arrive le plus grand malheur des kabbalistes : certains dans le peuple hébreu décidèrent de créer une religion, appelée le judaïsme ; fondée sur une déformation voilant complètement le sens originel de la kabbale ; transformant les messages d’amour et de partage en informations simplistes et doctrinales primitives dictant des manières de penser, d’être et d’agir au peuple des croyants de cette nouvelle religion. Ainsi se constitua par écrit une traduction complètement voilée et primaire de la kabbale, constituant les livres sacrés du canon judaïque : la Torah, et les livres suivants.

La kabbale a bien sûr continué à exister et à propager l’enseignement qu’elle a toujours propagé, et proposait à ceux qui le voulaient la véritable signification kabbalistique originelle derrière chacune des phrases écrites voilées du texte du canon judaïque aux croyants juifs.

Dès lors elle a été considérée comme l’enseignement judaïque ésotérique ; ce qui est finalement faut puisqu’en fait c’est la religion juive qui a été la déformation  primaire dirigiste permettant à des prêtres de canaliser une population pas très apte à comprendre en masse des vérités universelles subtiles, en lui dictant son action guidée par la peur et la crainte d’un courroux suprême ; décrivant un dieu vengeur. La création de la religion encapsulant de façon si déformée la réalité de cet enseignement a été donc un grand trouble pour la kabbale, qui avait là son ennemi intérieur. En même temps, ceux de la population envieux d’une plus grande compréhension réelle du cœur enseigné avaient toujours l’enseignement kabbaliste pour rétablir la vérité. La religion servant alors d’un cadre rigide pour ceux qui se seraient conformés à des actes de la moralité la plus douteuse et la plus basse afin de limiter leur action par des instincts primaires dictés par la peur ; et ceux capables de plus subtil étaient invités par les prêtres (rabbins) les plus hauts placés à l’enseignement véritable placé derrière et amenés vers la Kabbale.

Le peuple hébreu a été considéré par ses sages comme un peuple indiscipliné et c’est pourquoi certains ont voulu créer ce dirigisme derrière un cadre fermé restreint.

Ainsi il y a plusieurs cercles dans la religion juive :

• Le grand cercle du peuple des croyants qui ne s’intéressaient qu’à la signification primaire des écrits, ceci afin que leurs actions soient le moins possibles perverses, car leur évolution ne leur permet pas d’aller plus loin. La religion contrôle leurs actions comme un dompteur contrôle ses fauves par le fouet. Ils ne comprennent rien d’autre que la lettre des écritures et constituent 99% des juifs pratiquants (statistique faite par une étude kabbaliste sur un échantillon représentatif de 3300 juifs pratiquants pour voir combien s’intéressaient à la kabbale). Ainsi leur comportement relève de croyances primaires sans aucun rapport avec l’enseignement spirituel lumineux qui devait aider l’humanité dont ils étaient sensés initialement (il y a bien bien longtemps, à l’origine de leur peuple) être les détenteurs et qui en faisait un peuple « élu » pour le partage de ces valeurs auprès de tous. Au contraire les valeurs propagées par la lecture des « lettres mortes » sont assez contraires dans leur lecture au premier degré aux valeurs qui devaient être propagées. Et c’est la pensée de 99% des juifs pratiquants (les autres, ne pratiquant pas, ne sont pas dans une démarche religieuse, et c’est la majorité des juifs, soit 68% sur étude des années 2000, ils sont juifs culturellement).
  
  
  


• Des rabbins (prêtres) ayant le même niveau de compréhension que ce peuple encadré, dont ils ne se différencient que par sa simple érudition de ces textes qui ne donnent pas le sens réel ; donc sans compréhension plus grande. Ils ne font  qu’être les dompteurs  finalement, qui vont faire claquer le fouet pour diriger les fauves vers un comportement le moins dévoyé possible, qu’ils s’appliquent aussi à eux-mêmes ; avec aucune vision spirituelle lumineuse. La vision n’est donc pas plus large.
  
  
  


• Des rabbins (prêtres) qui connaissent la kabbale et le sens profond réels des écrits enseignés à la population comme outil de contrôle, considérés comme à la fois grands érudits (ils en savent autant sur les textes de la religion voilée) que des grands sages (car ils sont des connaisseurs de la kabbale, souvent de grands connaisseurs et enseignants de la kabbale eux-mêmes) : ils sont le maillon de liaison.
  
  
  


• Des maîtres kabbalistes, qui ne sont pas nécessairement enseignants de la religion juive (car elle est finalement l’ennemi intérieur en quelque sorte, même si certains, de grands kabbalistes et rabbins sages, composent avec), ils sont forcément connaisseurs de cette religion pour enseigner au juif qui se tourne vers cet enseignement la correspondance entre chaque phrase « fausse » du texte religieux qu’on lui a appris et le véritable sens de la kabbale associé. Pour ce qui est de personnes tournées vers d’autres religions : christianisme, hindouisme, bouddhisme, etc , les maîtres de kabbale croyants dans ces religions existent et enseignent alors la correspondance de l’enseignement de la kabbale avec les enseignements fondamentaux de ces religions.
  

La kabbale n’enseigne pas seulement un savoir théorique, mais prône aussi l’action indissociable, pour appliquer les valeurs qui sont transmises ; qui consistent à permettre aux forces de lumière des plans supérieurs d’être libérées dans le plan terrestre où nous nous situons ; pas l’amour et le travail sur nous afin d’atteindre les états les plus parfaits de notre être dans le partage, la lumière et l’amour.

La kabbale considère, d’après ses enseignements que l’homme est créateur du monde dans lequel nous nous situons ; par son esprit il crée l’illusion que nous vivons (on retrouve l’exacte même affirmation dans l’enseignement hindouiste sur la maya). Le but est pour l’homme de bien comprendre ceci afin de créer un monde d’amour, tel que sont les mondes divins, et tel que l’attend Dieu qui nous y a placés ; afin de pouvoir rejoindre les mondes célestes supérieurs (là aussi on retrouve des choses tout à fait comparables avec l’hindouisme ou la théosophie).

Voir les autres cosmogonies pour plus d’information sur les vues hindouistes, bouddhiques et théosophiques, ainsi qu’une vue plus chrétienne des fondamentaux cosmogoniques de la création et du but de l’homme dans l’univers :

https://www.chercheursduvrai.fr/stockage/li...t_terrienne.pdf
https://www.chercheursduvrai.fr/stockage/li..._Bouddhiste.pdf
https://www.chercheursduvrai.fr/stockage/li...heosophique.pdf
https://www.chercheursduvrai.fr/stockage/li...s_des_Anges.pdf

Les niveaux d’étude de la Kabbale

Il existe plusieurs niveaux de compréhension (le niveau de 99% des croyants pratiquants juifs n’atteignant pas celui de la recherche spirituelle, mais seulement du suivi des traditions religieuses exotériques sans chercher plus loin ; de même que c’est exactement identique chez les chrétiens, toutes tendances confondues, les hindouistes, toutes sectes confondues, les bouddhistes, etc… et oui c’est bien sûr le niveau d’ouverture spirituel  terriblement bas de l’ensemble de l’humanité  qui est la cause de cet enfermement, qui n’a rien de réservé aux juifs ; mais ici on parle de cette religion spécifiquement, j’ai parlé du même enfermement pour les hindouistes, bouddhistes et chrétiens dans mes autres documents de cosmogonie). Pour les non pratiquants aucune question ne se pose : ils ne sont juifs que de par leur naissance et n’ont rien demandé aux religions, ça ne les intéresse pas plus que cela (cela représente 68% des juifs), et cela constitue une simple tradition culturelle.

Une petite statistique, provenant d’études réelles faites sur la population et de chiffres provenant de recensements :

Sur 6 milliards d’humains (à l’époque de ces statistiques, vers l’an 2000), le nombre total de juifs ou assimilés est de 16 millions d’hommes , femmes et enfants. Seulement 42% se considèrent comme « peu pratiquants » à « très pratiquants »  (6 millions de juifs étant en Israël en 2000, soit 37,5% des juifs ; constituant probablement l’essentiel des 42% pratiquants sur tous les juifs de la planète).

Sur un échantillon représentatif de 3300 juifs pratiquants (étude de 2003) de plus de 20 ans, moins de 1,5% déclarent étudier la kabbale ; et on tombe à 1% sur tous pratiquants confondus (tous âges confondus).

Mais parmi les kabbalistes, il existe aussi plusieurs niveaux de compréhension : il y a celui qui est la recherche de « plus » que ce qu’on lui a donné dans son enseignement religieux mais n’a jamais adopté de point de vue ésotérique, jamais fait de recherches à ce niveau ou si peu, et qui sera satisfait d’un ensemble de compréhension de premier niveau de la kabbale, qui donne toutes les grandes idées. Et il y a celui qui a intégré tout ceci comme faisant partie de lui réellement (et pas comme un simple savoir) et a besoin de nourriture encore pour progresser vers la compréhension de plus de lumière profonde.

Dans la kabbale, il n’y a pas une échelle de nombreux barreaux de compréhension, mais deux niveaux  seulement, correspondant à ce que je viens d’énoncer :

• Le Taamei Torah, qui représente les principes de base fondamentaux de la Kabbale, accessible à tous
  
  
  


• Le Sitrei Torah qui représente le côté caché et secret de la Kabbale
  

Avec le temps, des maîtres kabbalistes ont fini par consigner leurs enseignements oraux dans des livres ; ce qui fait qu’il existe des livres enseignant la Kabbale. Toutefois les livres disponibles ne concernent que l’enseignement accessible à tous ; expliquant la signification profonde de tout ce qui est possible pour un public intéressé (les 1%) mais pas encore imprégné des valeurs d’actions profondes qui sont nécessaires avant d’aborder des choses plus subtiles ; car des connaissances plus subtiles permettent, comme dans tous les autres enseignements ésotériques avec un cercle intérieur, l’accès à des savoirs considérés comme « magiques » et pouvant nuir si ils sont mal utilisés.

C’est d’ailleurs ce qui a été mentionné  de nombreuses fois par les enseignements théosophiques : les secrets ésotériques qui restent non diffusés ne le sont pas, car, compris correctement par un esprit assez éclairé, mais pourtant pas assez évolué pour en faire bon usage, ils permettent la manipulation de forces des plans supérieurs capables des plus grandes destructions. Alors que transmis à celui qui a montré son véritable attachement et respect à la vie sous toutes ses formes, il ne sera pas utilisé de façon erronée ; et celui là seul se verra instruit de ces éléments bien plus avancés.

La raison qui fait que la Kabbale diffuse peu à travers les autres cultures est qu’elle utilise la langue hébraïque, qui a servi à coder des informations intriquées à l’intérieur des textes déformés par ceux qui ont fait un canon du judaïsme: l’intervention de kabbalistes à cette époque, afin d’inclure des informations cryptées claires, par l’usage de codages donnés par les lettres de l’hébreu servant de jalon pour montrer aux peuples enseignés de la « lettre morte » que le texte recèle des trésors d’enseignement cachés qui en étaient en amont (puisqu’inclus lors de la conception du texte). C’est la porte de secours incluse dans les textes par certains sages à l’époque, qui faute de n’avoir pas pu empêcher la naissance de ces canons pour contrôler le peuple par la religion a su s’immiscer dans son écriture pour y mettre des balises exploitables afin de démontrer la mascarade religieuse déformée à toute personne désirant se faire enseigner.

Aussi l’hébreu a une place importante ; mais on peut très bien lire des textes explicitant les codages hébreux utilisés et leur signification dans notre langue maternelle. Aussi, même si celui qui veut accéder aux éléments par lui-même afin de les vérifier devra comprendre l’hébreu (raison  de la forte limitation de la Kabbale aux juifs), celui qui cherche la compréhension en faisant confiance aux sources de traductions kabbalistiques pourra lire dans sa langue maternelle sans devoir apprendre cette langue.

De par l’utilisation de ce codage qui est un niveau supplémentaire à l’enseignement spirituel kabbaliste, un niveau disponible exotériquement dans les textes religieux, on comprend pourquoi ce langage est considéré par les kabbalistes comme une « langue sacrée » ; ce qui n’est en rien un prône de la religion juive par contre, chez le Kabbaliste!!

C’est ce cryptage à l’aide de la langue même, par ceux des grands maîtres kabbalistes qui ont participé à l’élaboration de ces textes en partenariat (certainement à contrecœur d’une action politique de l’époque, mais comme planche de salut future) qui rend les textes juifs utilisables par le kabbaliste pour montrer comment chaque élément de son enseignement se rattache bien aux textes du grand public.

Précisons aussi que c’est Ezra qui rétablit la mangue hébraïque qui était perdue (vers 450 avant J.C.) et il est fort possible qu’il fut celui qui « délivra rédigé » les canons hébraïques avec leur cryptage provenant d’ailleurs…

La bible hébraïque : Torah-Nevim-Kétouvim vu par la kabbaliste


Les textes voilés et déformés du judaïsme sont la retranscription de nombreuses connaissances kabbalistes. Voilà les livres qui pourront retrouver tout leur réinterprétation source par la Kabbale :
La Torah (appelée « Pentateuque » dans l’ancien testament chrétien), Néviim (appelé « Prophètes » dans l’ancien testament chrétien, Josué, Les Juges, Samuel I et II, Les Rois I et II, Isaïe, Jérémie, Ezéchiel, Les petits prophètes) et Kétouvim (appelé « Hagiographes » dans l’ancien testament chrétien, Les Pasumes, Les Proverbes, Job, Le Cantique des Cantiques, Ruth, Les Lamentations, Kohélet, Esther, Daniel, Ezra, Néhémie, Chroniques I et II). Ces trois parties forment la totalité de ce qui est appelé l’ »ancien testament » chrétien de la Bible. C’est donc tout ceci qui est de sens complètement erroné si on le prend tel que lu.

L’ancien testament était écrit en hébreu, et le nouveau testament en grec. Aujourd’hui vous lisez dans la Bible une traduction dans votre langue naturelle de ces documents provenant de deux langues différentes dans une seule unité appelée « Bible » si vous êtres chrétiens. Cela sans compter qu’il y a de nombreuses variantes de traduction de « Bibles » qui ne s’accordent  pas sur des termes qui sont changés ou autres modifications.

• La Torah : vue par les kabbalistes, elle est infiniment plus qu’un recueil de récits pseudo-historiques ou de textes de lois. Elle est une combinaison de lettres qui renferme tous les secrets, l’écorce qui habille le fruit sacré. La Kabbale considère chaque mot de la Torah comme une carte au trésor. Si ces textes avaient été laissés à la rédaction de prêtres avides de contrôle dans la création de la nouvelle religion, beaucoup aurait été perdu de la capacité à démontrer les véritables connaissances cachées. Ceux qui réalisèrent le cryptage de ces textes de façon aussi complexe eurent à le faire en laissant le sens voilé obscur d’aspect primaire au premier degré tel que désiré par ceux qui voulaient fonder une nouvelle religion, et en même temps y cacher tout l’essentiel des connaissances. Probablement, la complexité étant hors d’accès à l’esprit humain, ont-ils été aidés par des entités supérieures du monde spirituel pour cacher un trésor de manière aussi sophistiquée tout en laissant le sens apparent de ce qui devait paraître.
  
  C’est pour préserver cette richesse cachée qu’ils y ajoutèrent l’information que lors des retranscriptions avec les générations, il ne devait y avoir aucune altération ne serai-ce d’une lettre du contenu.
  
  L’idée émerge qu’aucun esprit humain de grand maître kabbaliste seul aurait pu aider à concevoir ce texte. Si il a été émis pour la direction que prenait le peuple hébreu à ce moment là, sans violer les lois du libre arbitre de sa direction (même considérée comme mauvaise par les entités lumineuses en question, car occultant le cœur d’amour et de lumière de l’enseignement prodigué), il fut probablement conçu par des entités lumineuses d’un plan supérieur pour être diffusé par ceux des grands kabbalistes de l’époque qui le « rédigèrent » ou plutôt le « rendirent déjà rédigé ».... pour la préservation de quelque chose de lumineux dans le noir le plus sombre !
  
  
• Néviim-Kétouvim : il est le prolongement de la Torah et contient des codes inspirés recélant des trésors aussi. Ils sont souvent utilisés par les Kabbalistes pour expliquer des vérités cachées de la Torah et fournissent des clefs essentielles à leur interprétation.

Ces livres, qui sont lus régulièrement dans leur sens premier dans les synagogues juives n’ont aucun caractère ésotérique sacré eux yeux des croyants lambda.

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SUITE à venir

Bon ben ça y est, je te classe dans la famille des érudits. Je sais pas comment tu as fais, c'est juste impressionnant. J'espère que les gens s'apercevront de la valeur des synthèses que tu rédiges ici...

Merci Lightinway pour ce document tres elabore ...

Je pense que la kabbale vient des extraterrestres comme Astrologie et autre....

L’Arbre de Vie de la Kabbale est dérivé de la Fleur de Vie......

je pense que l'arbre de vie de la kabbale n'est pas entier même ici:



Sait compliqué http://www.lespacearcenciel.com/la-fleur-d...s-origines.html

Aux innocents, les mains pleines.....

Merci beaucoup d'apprécier le travail. La suite viendra au fur et à mesure.

Non, je ne suis pas érudit; même si c'est vrai que j'ai lu pas mal de choses; ma synthèse je la fais à partir de livres que j'ai sous la main et dans lesquels j'ai mis des dizaines de signets après lavoir relu avant de faire la compil, ainsi j'ai toutes les références nécessaires.

Tiens, d'ailleurs pour celui-là j'ai oublié de mettre la référence principale en tête comme j'ai fait pour les autres, je le ferai. Il y a d'autres références que la principale d'utilisées, 2 ou 3 autres livres, et des données que j'ai lues ailleurs dont je n'ai pas les références et un point de vue plus global que je me suis fait de l'ensemble de ce que j'ai pu lire et en retirer. Voilà comment c'est réalisé.

En tous cas merci aussi d'apprécier le travail, si au moins une personne a trouvé la chose utile pour lui, l'objectif est atteint, alors à 2 personnes j'ai dépassé mes objectifs!

Super Lightinway

L'arbre de vie est universel je pense..
J'en ai entendu parlé et lu dans des ouvrages de Drunvalo Melchizedek !!

Merci

Cet "arbre de vie" est ce qu'on appelle l'arbre séphirotique, une invention de représentation des divers plans divins depuis le Logos universel jusqu'au Logos planétaire en terme de traduction dans d'autres mots. C'est une invention purement kabbalistique et ceux qui l'utilisent ne font que la reprendre.

Cet arbre permet de représenter aussi les chakras de l'homme, en plus des plans vibratoire; le tout étant toujours sous le sceau du nombre sacré 101.

D'ailleurs dans la théosophie on t'explique que le 7, nombre sacré de la création, est seulement un avant goût du 10; plus sacré encore, constitué des 7 visibles et des 3 invisibles situés au-delà des plans de perception. Dans l'arbre séphirotique, les 3 du haut représentent justement cet inaccessible pour nous (mais situé en-dessous de l'Inconnaissable Aïn-Soph ou Parabrahman qui est lui en dehors de nos dimensions en terme non vibratoire mais bien mathématique: absolument non accessible; alors que les 3 du hauts sont pour nous seulement non perceptibles, mais pas inaccessibles; car situés en-dessous de ce niveau inconnaissable).

bref c'est un moyen de représenter des échelles de choses qui fonctionnent "en bas comme en haut" sur 10 plans, de l'humain aux consciences de Déïté.

En regardant ce qu'enseignent les séphiroths, on retrouve totalement les informations communes avec la théosophie, qui reprend les données fondamentales de l'ésotérisme que porte l'hindouisme ou le bouddhisme. Bref je montrerai ces convergences et associations.

Ceci plus tard, dans la suite à venir, de même que les séphiroths.

Donc Melchisedek ou un autre ne font que prendre quelque chose de la kabbale et ensuite je ne sais pas ce qu'ils font avec... ça c'est une autre question.

Chacun doit pouvoir en faire ce qu'il veut, puisqu’à la base cela ne devait pas servir une religion, mais une philosophie...
à chacun suivant son niveau d'évolution, d’après ce que tu en dis.

Et comme on a l'habitude de tout démonter et de tout remonter à l'envers, tendance à évoluer à l'envers...

Arbre de vie https://sites.google.com/site/laportesecret.../l-arbre-de-vie

Arbre de vie en 3D http://stopmensonges.com/les-mysteres-de-la-fleur-de-vie/