Ma théorie : Gravitation entropique informationnel, Théorie alternative de la gravité

Bonjour

Je fais une rapide présentation.

Mon pseudo est Gorthol Adanedhel (pseudo issu du seigneur des anneaux pour les curieux). Je suis un(e) chercheur(se) indépendant(e) travaillant sur la mécanique, plus particulièrement sur la relativité générale et la mécanique quantique. Je travail sur la théorie de l'information ainsi que l'entropie est ses liens avec la gravitation. Plus particulièrement, je m'interesse à la théorie holographique, la théorie de la gravité entropique d'Eric Verlinde et quelques théories alternatives comme la relativité d'échelle de Laurant Nottale, la théorie de bigravité, la théorie de Deutch etc...

Je voudrais vous présenter mon site :
Le blog scientifique de Gorthol : http://gorthol-blog.e-monsite.com/
La page facebook associé : 

Que contient ce blog ?
- Ma théorie personnelle sur la gravitation (ce n'est pas vraiment le plus important que je met en avant)
- De nombreux topos (il y a pour l'instant 11 de mes topos, plus de 160 topos écrits par Thomas Boisson sur ce groupe-ci). Ces topos seront de plus en plus nombreux au fil du temps
- Un forum (afin que les membres du site puisse échanger librement sur la physique et la mathématique)
- En page d'accueil, vous avez tous les sites vous permettant d'apprendre la physique et les mathématiques (du niveau 6ème jusqu'au niveau universitaire master)
- Des quiz (de niveau lycée et universitaire) pour valider vos connaissances en physique et en mathématique. Une autre section vous permet de faire des quiz sous forme d'énigme, des devinettes ou des quiz de cultures générales (cette section sera toujours en cours d'amélioration).
- Des vidéos de conférences et documentaires (cette section s'agrandira aussi au fur et à mesure).

Je travail sur une théorie alternative de la gravitation, que j'ai nommé "théorie de la gravitation entropique informationnelle".

Vous trouverez sur mon site la vulgarisation de ma théorie : [url=http://gorthol-blog.e-monsite.com/pages/mes-ecrits/espace-temps-thermodynamique-et-proposition-d-une-gravite-quantique.html]http://gorthol-blog.e-monsite.com/pages/mes-ecrits/espace-temps-thermodynamique-et-proposition-d-une-gravite-quantique.html
[/url]

Les calculs sont ensuite présent ici : http://gorthol-blog.e-monsite.com/pages/me...ma-theorie.html

Une explication d'une de mes formules obtenus est présente ici : http://gorthol-blog.e-monsite.com/pages/me...e-generale.html

Suite à mes premiers calculs, deux axes de travail sont en cours :

Axe 1 - Processus Stochastique quantique avec chaîne de Markov : Possibilité d'une convergence.

Il s'agit ici d'étudier le lien entre la physique quantique et l'entropie par le biais de l'étude de la matrice densité et ses liens possibles avec les chaînes de Markov (processus stochastique utilisant les propriétés matriciels). Il s'agirait de voir si une fonction d'onde peut converger par "chaîne de Markov" vers un état plus classique des probabilités. Cette étude est importante compte tenu du fait qu'elle peut émettre un lien entre l'équation de la gravité entropique informationnelle sans viscosité (espace-temps superfluide) à l'entropie quantique de Von Neumann et l'entropie de Boltzmann Shannon.

Axe 2 - Gravité entropique informationnelle avec espace-temps superfluide

Selon les recherches de Stefano Liberati (SISSA) et Luca Maccione (Université de Munich), Les chercheurs ont montré que la viscosité du fluide aurait tendance à rapidement dissiper les photons le long de leur parcours, or l'on peut observer le trajet de photons émis par des corps situés à plusieurs années-lumière. Ils sont donc arrivés à la conclusion que l'espace-temps devait être un superfluide, c'est à dire un fluide dont la viscosité est pratiquement nulle. Ajouté à cela les travaux de Franck Delplace, il y aurait donc un lien évident entre l'espace-temps et la viscosité. Cela pourrait donc amener à trouver un lien entre la gravité entropique informationnelle (qui, je rappelle, est un mélange de la thermodynamique, la théorie de l'information, et les équations de Newton) et la viscosité (thermodynamique et physique statistique).

Ces deux axes permettrons d'approfondir la théorie de la gravitation entropique.

A propos de l'axe 2, voici ma publication publique sur mon profil : https://www.facebook.com/Gorthol.Adanedhel/...931108093688115

J'aimerais que vous puissiez émettre une critique de ma théorie.
Merci d'avance.

Adresse mail : Gorthol.Adanedhel@gmail.com
Le blog Scientifique de Gorthol : http://gorthol-blog.e-monsite.com/
Page facebook : https://www.facebook.com/LeBlogScientifiqueDeGorthol/
Groupe facebook, Science et Philosophie : https://www.facebook.com/groups/675411069201659/

C'est du lourd ça comme présentation, il y a du concentré intellectuel scientifique dedans.
Bienvenue!

Un chercheur calé dans son domaine. Je m'étais intéresse un temps à la relativité d'échelle de Nottale et avait lu quelques publis de lui là-dessus. ça semblait intéressant comme interprétation. Le reste je ne connais pas (bigravité, Deutch). Mais Franck Delplace là je connais.

Tu as des références intéressantes en terme de travail à la marge des frontières, et c'est important d'imaginer au-delà des limites comme tu le fais pour découvrir vraiment. Tous mes encouragements.

Bonjour et bienvenue sur ce forum

Bon courage pour cette théorie !
Au plaisir de vous lire.

Merci

Je recherche des personnes capables de m'aider dans ce domaine-là (qui reste assez complexe), autant dans l'axe 1 que dans l'axe 2 cité si dessus. La moindre critique, est le bienvenue.
Et évidemment, si une personne veut bien m'aider, je lui en serais reconnaissant, et son apport à ma théorie sera écrite sur mon site.

Bonjour Gorthol,

J'ai une question sur le terme d'entropie.
Ne réserve t on pas ce mot à la thermodynamique ? (principe de Lavoisier)
Est ce que la façon dont vous l'utilisez pour la gravité serait la même que pour le changement d'état : d'un état rangé vers un état dérangé.
C'est à dire la deuxième loi de la thermodynamique
Je l'ai découvert avec une application sur le temps https://www.youtube.com/watch?v=dBQ9EeKpkbI (vers 39'30'')

Une autre question avec l'axe 2 :
Le fait de parler "l'espace-temps devait être un superfluide, c'est à dire un fluide dont la viscosité est pratiquement nulle" et de référencer avec Franck Delplace ne remet-il pas l'existence de l'Ether ?

Ah oui, aussi, si on veut approfondir la réflexion, je pense que l'on doit auparavant lire tous les TOPO de votre blog, pour comprendre votre façon de penser ?

Une dernière question, votre blog est très bien (j'ai voté pour cette case), par contre, je ne comprends pas pourquoi sur [Forum de discussion] ; Sujets = 0 et Mess = 0 ?

Pour répondre à votre question sur l'entropie :
TOPO 3 / Qu'est-ce que l'entropie ? = http://gorthol-blog.e-monsite.com/pages/to...l-entropie.html
TOPO 4 / thermodynamique et gravité - vers une gravité entropique = http://gorthol-blog.e-monsite.com/pages/to...entropique.html

Oui, en effet, parler de viscosité en parlant de fluide espace-temporel remet la théorie de l'ether. Mais avec un espace-temps superfluide (une viscosité nul voir quasi-nul) on ne remet pas en question la constance de la vitesse de la lumière, car celle-ci ne subit pas voir casi pas les effets visqueux

Oui, en effet j'ai lu le topo 3, et j'ai la réponse à ma question

Il m'en reste plus que 50
Je suis loin d'avoir le niveau, mais j'aime le dicton : "la connaissance est la liberté de l'homme. La refuser serait renoncer à être."
Par contre votre théorie m'interesse de plus en plus, cela me rapelle un concept qui a été débattu ici

La réponse à la dernière question ?
Vaut il mieux débattre ici ou sur votre blog ?

Si il y a eu 0 sujet et 0 messages, c'est simplement parce que personne n'a encore ouvert de sujet ni de message

Après il faut bien comprendre que mon site est récent. Il a été crée le 1er aout 2016, c'est à dire il y a environ 2-3 mois.
On peut débattre ici, même s'il serait très intéressant de pouvoir débattre aussi sur mon site (cela permettra aussi de le remplir).

Je vous met la conclusion de mon 2ème article :


"La gravitation est une force entropique émergeante et informationnelle. Elle est définie en fonction de la température et de l’entropie. Plus l’entropie est grande, plus la force de gravitation est grande. Cette entropie peut être définie en fonction de la quantité d’information du système étudié. Plus l’incertitude est grande, plus grand est le désordre, plus grande est la force de gravitation.
 
A grande échelle, l’entropie est très grande, ce qui explique pourquoi la force de gravitation est si attractive à proximité d’un trou noir par exemple (l’entropie d’un trou noir, selon Roger Penrose est de l’ordre de ). L’entropie, à grande échelle, émerge des phénomènes macroscopiques.

 A l’échelle quantique, la gravitation n’existe pas et serait de toute façon impossible à déterminer : le principe de Heisenberg indique qu’il n’est pas possible d’être sûr de l’impulsion et de la position de la particule simultanément. De plus, en physique quantique, la mesure dépend autant de la fonction d’onde que de l’observable.
 
Si on se penche sur l’équation d’Einstein en la résolvant avec le tenseur énergie impulsion des fluides parfaits et en prenant en compte la thermodynamique et la théorie de l’information, on remarque que l’information dépend de la température, de la courbure de l’espace-temps et du volume. L’information est enregistrée dans un volume d’espace-temps réglant ainsi le problème du paradoxe de l’information. Toute la quantité d’information d’un système est enregistrée à l’échelle quantique du fait que l’entropie est faible (nous avons : ).

 
La théorie holographique dit que nous serions une projection d’un espace en 2 dimensions (la surface) en 3 dimensions. Je dirais plutôt, au sens de mon équation, que toute l’information se conserve simplement dans l’espace, mais que cette conservation prend en compte la courbure de l’espace-temps, la température auxquels sont soumis le système et le volume. Il serait plutôt juste de dire que nous serions la projection en 3 dimensions de l’espace-temps. Cela est plus simple et aussi plus général : au final, on peut très bien être la projection en 3 dimensions d’un espace qui en fait 2 ou 3, ou 4 etc…"

Read more at : http://gorthol-blog.e-monsite.com/pages/me...ma-theorie.html

J'ai envi de vous dire que cet conclusion est un peu faussé concernant l'échelle quantique. En fait, à l'échelle quantique, nous sommes censés avoir toute l'information qui y est contenue (en vertu de mes équations, voir le lien si dessus). De ce fait, l'échelle quantique n'a pas vraiment besoin de gravitation dans le sens où elle contient "l'information de la gravitation". C'est très mal dis, je sais.
Pour l'instant mes équations ne décrivent pas une gravité quantique, mais une gravitation émergeant (provenant de l'échelle quantique), se manifestant à l'échelle relativiste, dont l'information est contenue dans un système quantique.

Dans Ciel & Espace, ils parlent justement de ceci, dans le numéro 548 de juillet-aout 2016 "L'univers est-il une illusion ?". Ils parlent de la correspondance de Maldacena. En gros il dit que un univers anti-de-Sitter (vide et doté d'une constante cosmologique négative), tout se qui se passe en son sein et notamment les phénomènes gravitationnels à grande échelle, peut être décrit par une théorie quantique SANS gravitation.

Sauf que moi, je n'utilise pas un univers anti-de-Sitter, ni même la constante cosmologique (en tout cas, pour l'instant). Je me sert uniquement de la théorie de l'information, la thermodynamique, la mécanique des fluides et la physique statistique comme théorie alternative de la gravitation. Ces physiques nécessitent pas forcément une géométrie, mais juste des variables tels que la vitesse, l'entropie, la température....

Il est vraiment important que vous lisiez mon deuxième article (le lien est au-dessus). Mais il est encore plus important que vous lisiez mon premier article pour que vous compreniez le second : http://gorthol-blog.e-monsite.com/pages/me...-quantique.html

De nombreux éléments montrent que nous serions dans un espace superfluide (voir axe 2). Je vais vous copiez quelques morceaux de mon premier article :

"Il est facile de constater que l’équation fondamentale de la thermodynamique est très semblable à Matière = courbure. En effet la gravitation en relativité générale peut être vue comme une force de pression. Il s’agit d’une masse ( ) qui exerce une certaine « pression » sur une surface, l’espace-temps, entraînant ainsi sa courbure (d’où le terme ). Et puis rappelons un des principes de l’entropie : l’entropie d’un système de deux particules est d’autant plus élevée que les particules sont proches. Cet énoncé est semblable à celui de la force de la gravitation : plus deux objets sont proches, plus la force de gravitation est forte."

Cet énoncé est issu de l'article de Verlinde, physicien travaillant sur la théorie holographique, et qui est la première personne à avoir écris que l'entropie est proportionnelle à la force de gravitation de Newton. Pour davantage de détail, vous avez la bibliographie à la fin de article, sinon je vous renvoie directement à ce lien, qui explique très bien : https://sciencetonnante.wordpress.com/2011/...ine-entropique/
PS = il est aussi très drôle de remarquer que l'article de Verlinde, intitulé "On the Origin of Gravity and the Laws of Newton" a été publié en 2011, la même période où Franck Delplace propose l'idée d'un espace-temps fluide dans son article " Liquid spacetime (aether) viscosity, a way to unify physics".

La remarque suivante suit ce que je disais sur l'équation de Verlinde :

"En résumé, tout système (qu’il soit microscopique, macroscopique, ou autre) peut être défini en fonction du joule par kelvin du système (J/K) et de l’information (Bit) qu’il contient. Cela veut dire que la gravitation, selon les équations de Verlinde, peut être définis à la fois par les lois de la thermodynamique (l’entropie ne peut qu’augmenter) et de la théorie de l’information (incertitude de l’information).

Cela permet aussi de régler le problème du paradoxe de l’information : En thermodynamique, il y a conservation d’énergie, et donc conversation d’information ! L’information n’est pas perdue, mais elle se « transforme » au fil de la flèche du temps, comme l’écris Lavoisier : « Rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme ».".

En écrivant une entropie à la fois informationnelle et thermodynamique, on peut la relié à la gravitation, qui acquiert les propriétés de la théorie de l'information. Elle devient un peu "probabiliste" par le principe d'incertitude que ressort l'entropie ; ajouté à cela les propriétés thermodynamique.

Enfin, je cite de mon article une expérience qui a été produite et qui lierai pour de bon gravitation et entropie, par une expérience basé sur l'intensité de gravitation et intensité d'intrication entre deux particules :

"Grâce à tous ce que l’on vient de dire, on peut très bien décrire une entropie à l’échelle relativiste (avec l’entropie de Boltzmann-Shannon) et à l’échelle quantique (avec l’entropie de Boltzmann-Neumann). Avant d’avancer plus loin, j’aimerais expliquer une expérience faite par Edward Bruschi et son équipe. L’article Arxiv s’intitule « Experimental Satellite Quantum Communications » :

David Edward Bruschi, physicien à l’institut de physique quantique de Jérusalem à démontrer que l’intrication quantique affecte le champ gravitationnel. Les perturbations du champ gravitationnel sont proportionnelles à l’intensité de l’intrication entre les deux particules. Selon la distance des deux particules, de leur énergie, leur état de cohérence, de la force de la corrélation quantique, des effets perturbatifs de la métrique espace-temps émergent et altèrent le champ gravitationnel par de faibles perturbations. L’expérience serait de mettre un condensat de Bose-Einstein intriqué avec celui de l’autre, sur deux orbites différentes et à des vitesses différentes afin de savoir si les effets relativistes de la gravité affectent cette intrication. Les chercheurs cherchent à savoir si la force de l’intrication peut être altérée par des variations d’intensité du champ gravitationnel ou non. Pour cela, les deux microsatellites seront d’abord satellisés sur la même orbite, puis l’un deux recevra une poussée brutale qui le catapultera sur une seconde orbite, il subira une variation brusque de vitesse et de gravité. D’après les calculs et les simulations, les physiciens s’attendent à ce que l’intrication entre les deux condensats perde 20% de son efficacité. Un peu plus tard, cette expérience a été prouvée et l’intensité de l’intrication suit donc bien les mêmes variations que l’intensité du champ gravitationnel.

Que veut dire « intensité d’intrication » ? En fait cela signifie quelle est le degré de corrélation entre les deux particules. Et se degré peut se calculer par l’entropie de Von Neumann (Voir dans la bibliographie, Serge Laroche). Je cite : « Il y a plus d’information (moins d’ignorance) dans une paire corrélée que dans la somme de ses parties (égalité si A et B ne sont pas corrélés) » et « Le degré d’intrication d’un système A-B apparaît comme la mesure de l’augmentation de notre ignorance lorsque nous perdons la possibilité de faire des mesures sur le système dans son ensemble et que nous n’avons accès localement qu’à l’un des deux sous-systèmes. »."

Ce qui parait être un phénomène quantique (l'intrication) et finalement relié à la gravitation, par le biais de l'entropie.

J'espère que pour l'instant j'ai été clair Je vous invite fortement à lire mes trois articles pour que vous ayez une meilleure compréhension de ma théorie :
1. Espace-temps thermodynamique et proposition d'une gravité quantique : http://gorthol-blog.e-monsite.com/pages/me...-quantique.html
2. La gravitation, une force entropique et informationnelle : http://gorthol-blog.e-monsite.com/pages/me...ma-theorie.html
3. Gravité entropique en relativité générale : http://gorthol-blog.e-monsite.com/pages/me...e-generale.html

Bonjour Gorthol Adanedhel,
je ne suis hélas pas compétente pour discuter de la pertinence de votre théorie : la gravitation entropique et informationnelle. Néanmoins les nouvelles idées sont toujours les bienvenues... Je me suis souvent demandée pourquoi la gravitation était-elle toujours attractive ? Existerait-il des endroits dans l'univers où elle serait répulsive ?
Avez-vous réfléchi à des protocoles expérimentaux pour valider votre théorie ?
Je terminerai avec une citation de Bernard d'Espagnat : "la physique, qu'elle soit classique, relativiste, standard, quantique décrit l'expérience de la réalité humaine, mais pas la réalité elle-même."

Bonjour Gorthol,

Je comprend bien, mais comme le dit Evelyne, le sujet est hard !

"La gravitation est une force entropique" = elle peut être fonction d'une température ?

A bientôt

Eh bien en fait ma théorie vient expliquer les phénomènes expérimentaux. Les preuves expérimentales sont déjà là (voir messages précédents avec l'Expérience d'Edward Brushi ou encore celle de Stefano Liberatiet Luca Maccione), il manque juste la théorie.

Vous n'avez toujours pas lu ces 3 documents
1. Espace-temps thermodynamique et proposition d'une gravité quantique : http://gorthol-blog.e-monsite.com/pages/me...-quantique.html
2. La gravitation, une force entropique et informationnelle : http://gorthol-blog.e-monsite.com/pages/me...ma-theorie.html
3. Gravité entropique en relativité générale : http://gorthol-blog.e-monsite.com/pages/me...e-generale.html

Vous les auriez lu, vous sauriez qu'il y a bien la variable T, le Kelvin !
Je suis désolé mais vous devez lire mes documents avant que vous puissiez me poser davantage de question. Tout y est expliqué.

Si, si, j'ai lu les 3 documents. J'avoue que ma question était un peu "bête"



L'étude en question de David Edward Bruschi : http://arxiv.org/pdf/1412.4007v2.pdf.
mais ça donne :No paper 'arXiv:1412.4007v2.pdf.'
L'étude de Stefano Liberatiet et Luca Maccione donne l'existence d'un superfluide : http://www.arcturius.org/chroniques/lespac...est-il-liquide/

Par contre, pour qu'il y ait existence d'un superfluide, il faut sortir de l'espace-temps.
On ne peut pas expliquer l'infiniment petit à l'infiniment grand en gardant la notion de courbure d'espace-temps

Mais là, on sort du sujet

   J'avais une "question-remarque" à propos du topo 37 (espace temps fluide et super fluide) :

Si on admet que l'aether est un fluide très dense rempli de + d'énergie que la matière elle-même, je passe cet article qui détaille cette approche:
http://www.astronoo.com/fr/articles/vide-quantique.html
(le doc. à la fin)

Et que ce fluide a quelques caractéristiques en commun avec l'eau:
Vite dit:
- eau: un condensat de bose-einstein par le Pr. Marc Henry
- trous noirs et tourbillons océaniques: même modèle mathématique
- et surtout le phénomène de cavitation et implosion de l'eau où la formation d'un système solaire et son évolution sont similaires à la formation d'une bulle de cavitation et son implosion.
(cf. fil : recherches sur l'eau)

Pourquoi ne pas envisager que tout ce qui est matière n'est pas simplement une forme de cavitation lié à une dépression du vide quantique ?

Un exemple: Dans sa répulsine , V. Schauberger précise que le phénomène de "centripulsion" extrêmement rapide comprime les atomes jusqu'à  leur état originel : "virtuel."

Un autre exemple: Les torpilles à super-cavitation permettent de dépasser les 500 km/h sous l'eau, un milieu pourtant très dense...

Merci de m'éclairer sur ce point ...
A+
 

Il n'y a pas de question bête Si vous avez besoin de poser plus de questions, n'hésitez pas.

Supposons cela : La matière est une forme de cavitation lié à une dépression du vide quantique.
Si la matière est bien cela, alors il serait possible d'écrire le tenseur énergie impulsion sous une forme quantique. Celui, multiplié par 8piG/c^4 (coef d'élasticité de l'espace-temps) devrait donner la courbure de l'espace-temps.
Sauf que cette supposition n'est pas possible.
1. La relativité générale fonctionne avec un champ de gravitation Delta U = 4piGp, ou Delta correspond aux Alembertien, c'est à dire une extension du Laplacien prenant en compte la dimension temporelle). Or on ne peut pas faire cela, car il n'existe pas description relativiste quantique de la gravitation (il existe toutefois une description bien quantique relativiste, mais sans gravitation).
2. Le vide quantique est gouverné par le principe de l'inégalité de Heisenberg, ce qui veut dire qu'il existe toujours une incertitude sur la position et/ou l'impulsion (c'est d'ailleurs ce phénomène qui explique les fluctuations quantiques).
3. Et surtout : Comment expliquer un tel phénomène ? L'espace-temps est censé être un superfluide... c'est à dire avec une viscosité nul voir casi nul. De quel cavitation parle-t-on ? Une cavitation a haut nombre de Reynolds ? à petit nombre de Reynolds ? une cavitation élastique ?

Il serait, à mon avis, pas possible de décrire la matière par une forme de cavitation liée à une dépression du vide quantique.
Si vous jugez que j'ai mal répondu à la question, posez-moi en d'autres afin d'affiner votre idée ou développez moi davantage votre idée.

Je serais heureux de pouvoir travailler avec vous Je partegerais nos articles sur mon site scientifique avec évidemment votre mention^^
Si vous avez facebook, je vous invite à... m'inviter


Le blog Scientifique de Gorthol : http://gorthol-blog.e-monsite.com/
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   Merci pour votre réponse, j'approfondis juste l'idée en espérant être bref et clair :

Si on observe une bulle de cavitation soumise à des ultrasons, on observe bien au ralenti la phase d'expansion puis la phase d'implosion,
En quatre images ici:
http://images.google.fr/imgres?imgurl=http...ih=791&biw=1600

Par contre, si on accélère très rapidement, on ne verra qu'une image fixe du phénomène.

C'est, je pense, le même phénomène qui se déroule dans notre réalité, vu par nos sens...

Surtout si on considère que l'électromagnétisme est l'alternance extrêmement rapide de ces deux phénomènes (expansion et implosion) au lieu d'être un phénomène simultané.
Celà rejoint les propos de Schauberger sur le champ électromagnétique de la Terre (alternance très rapide d'une phase centrifuge (expansion)  et centripète (implosion) qui nous semble un état stable) , ce qui peut être valable pour tout élément de l'atome à l'étoile.
Mais également la théorie de N. Haramein sur l'univers connecté.

En résumé, le monde matériel si tangible à nos yeux serait une illusion.
Ce serait plutôt l'alternance de deux phases distinctes quasi-simultanées (une pulsation) qui émergent d'un champ de conscience à plusieurs niveaux (l'aether) et qui permettent l'expression du monde matériel et le retour de l'information de l'expérimentation et qui se succèdent sans cesse...pour modeler des domaines de cohérence (bulles de cavitation d'aether) de plus en plus complexes, évolués et interconnectés.

Le développement des lasers à impulsions "ultra-brèves" permettra sûrement d'y voir plus clair dans les prochaines années.

Comme il est difficile à un lézard en 2D d'appréhender un monde en 3D...je ne prétends pas avoir raison, c'est une piste de réflexion.
A+

   J'espère n'avoir choqué personne en extrapolant le topo 12 (théorie holographique) vers la notion d'aether.  !!!

Au passage, merci pour tout le travail effectué et le partage, il y a une mine d'informations dans tous ces topos.

Pour ne pas être directement classé dans la catégorie "disjoncté" avec mes derniers propos, j'approfondis avec quelques observations :

Un bref et instructif résumé sur cet aether que la science a laissé de côté :
http://www.elishean.fr/ether-champs-de-tor...ules-rotatives/

Les observations:
Les neutrinos : des milliards de neutrinos nous traversent à chaque seconde mais soit disant, ils n'interagissent pas avec la matière ?
Pourtant les derniers prix nobel ont montré que les neutrinos qui proviennent directement du soleil ne sont pas les mêmes que ceux qui ont traversés la Terre (différence d'oscillations).
Par ailleurs et du fait de la radiation Béta moins, le corps humain émet des milliers d'antineutrinos.
Que deviennent ces antineutrinos quand ils rencontrent tous ces neutrinos issus d'un peu partout de l'espace ?

Les fonctions d'ondes: Maintenant observables pour l'hydrogène, elles démontrent bien que la matière est onde...
Tout comme le son, ces ondes ont besoin d'un milieu pour se propager.
Tesla précisait que ce milieu se comportait comme un solide par rapport à la lumière et la chaleur mais comme un liquide par rapport à la matière.
Une analogie avec l'eau:
Si on jette un caillou dans l'eau et que l'on observe l'interface air/eau, on voit bien l'onde en surface mais elle a également son pendant sous la surface...et c'est ce qui se passe pour la matière également : c'est la partie visible à nos yeux (dur à expliquer en quelques mots...)
Une image sera plus parlante:
http://images.google.fr/imgres?imgurl=http...ih=791&biw=1600
Sur cette image, la partie visible est une seule bulle qui s'expanse et se rétracte trés rapidement.
La chiralité du vivant semble également le montrer, l'information n'est disponible que dans un sens...(trop long à expliquer!!!)

La cavitation de l'aether: (patate chaude à éplucher!)
Avec l'exemple de l'eau, on peut observer ce que donne une différence de pression à partir d'un certain seuil : de la cavitation.
Avec l'aether qui présente des similitudes avec l'eau, il se peut que ce soit le même principe qui s'applique, à savoir qu'au delà d'un certain seuil de densité énergétique apparaisse une forme de cavitation (la bulle de l'image précédente) qui va exister tant que la pression d'énergie reste faible (elle même soumise aux vibrations transmises dans cet aether).
cf. tableau de la densité d'énergie estimé de l'antimatière, ici:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Densit%C3%A9_d%27%C3%A9nergie

Et il semble bien que ce soit le cas puisqu' avec des impulsions lasers de l'ordre de l'atto ou de la femtoseconde qui vont créer une
dépression électronique, on arrive à créer de la lumière qui surgit du néant.
(Cf fréquence plasma puisque pulsation plasma n'est pas encore répertorié)

Le dernier mot par V. schauberger: "l'énergie est le cause primaire, la forme est l'effet secondaire"
La forme est le reflet de l'énergie qui gravite autour et à l'intérieur de ce que nous percevons. La matière est la partie la plus grossière qui, moins énergétique, se condense .
En somme, l'énergie créé la forme et la forme est l'image projetée du flux d'énergie.

Merci de réagir à ces propos...
A+