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> Le super roberval suite - Moteur à aimants
Ecrit le: Lundi 01 Mars 2010 à 15h23 Posted since your last visit
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Application du Super Roberval au moteur magnétique
Avant d’ entamer sérieusement cette partie, je souhaiterai m’ assurer que les bases sur lesquelles s’ appuient le fonctionnement du super roberval sont explicites pour le lecteur (les plus de 50 lectures concernant la gravitolienne basée sur ce principe sans aucun commentaire ayant insinué le doute dans mon esprit à ce sujet). Je vais donc revenir sur quelques points clés afin d’ éviter une lecture rébarbative aux personnes pas forcément familiarisées avec les notions de Mécanique.
De quoi est constitué un super roberval dans sa version simple ?
Au minimum :
__ un engrenage central (en bleu) fixe solidaire du bâti au milieu duquel on place le roulement du rotor.
__ un rotor constitué d’ une croix à n bras, chaque bras supportant les roulements des engrenages « intermédiaires » et « moteurs ».
__ un jeu d’ engrenages intermédiaires (en rose) en prise sur le « central ».
__ un jeu d’ engrenages moteurs (en jaune) en prise sur les « intermédiaires » de même diamètre (c’ est important) que le « central ».
user posted image

puis une fois assemblés :
user posted image

j’ ai rajouté sur le dessin 3 points rouges pour servir de repères respectivement sur le rotor, sur l’ un des intermédiaires , et sur l’ un des moteurs.
Imaginons que l’ on applique un couple de sens anti horaire sur l’ engrenage jaune (puisque dans nos hypothèses c’ est lui le moteur) et qu’ il pivote de 5°.
Par réaction l’ intermédiaire va pivoter lui aussi de 5° mais dans le sens horaire. Et va vouloir transmettre à son tour une rotation anti horaire à l’ engrenage central. Or ce dernier est fixe. Par contre réaction, c’ est donc une poussée sur l’ axe de rotation de l’ intermédiaire qui va avoir lieu, autrement dit sur le rotor. On pourrait imager cela par un type qui tenterai de déplacer un énorme rocher avec les pieds dans la boue. Tout l’ effort qu’ il va mettre ne servira qu’à déplacer de la boue. Dans notre cas, cela abouti à une rotation du rotor (qui fuit sous ses petits pieds)de 5° dans le sens horaire.
On remarquera que du fait de la rotation identique en amplitude mais de sens contraire entre le rotor et l’ engrenage moteur, celui-ci conserve sa position relative par rapport à l’ horizontale. Ainsi son repère rouge sera toujours placé vers le haut quelle que soit la position du rotor.
Voilà donc le principe de fonctionnement ; fournir à chaque engrenage jaune « une bonne raison » de vouloir pivoter sur leur axe tout en sachant que cette énergie se transformera inévitablement en rotation du rotor sans que leur position relative ne change d’ un iota (mis à part le faible jeu des dentures).
On pourrai utiliser pour se faire les forces attractives/répulsives des aimants un peu comme ceci :
user posted image

Reste 2 difficultés à résoudre :
a) présenter continuellement un aimant « motivateur » devant chacun des engrenages jaunes équipés.
b) B) faire en sorte que les aimants « motivateurs » ne pivote pas sur leur axe.
J’ avais pensé les résoudre simultanément en montant les aimants motivateurs sur un deuxième super roberval que l’ on présenterai en vis-à-vis du premier. Un décalage (réglable pour plus ou moins de puissance disponible) dans le sens vertical permettrai une rotation des deux rotors sans contact entre eux. C’ était sans compter sur le contre couple généré par les aimants motivateurs.
Mais l’ idée me séduisait néanmoins aussi je persistai jusqu’ à obtenir ceci :
user posted image

On garde nos aimants motivateurs mais cette fois montés libres sur un rotor libre lui aussi, et décalé dans le sens horizontal de la valeur d’ un demi diamètre d’ engrenage moteur par rapport à notre premier super roberval (avec toujours le décalage vertical réglable). Puis on construit un deuxième super roberval simplifié (et décalé dans le sens horizontal de la valeur d’ un diamètre d’ engrenage moteur par rapport au premier) de manière à ce que les deux engrenages moteurs soient en prise. Compte tenu des orientations polaires, l’ engrenage moteur repéré par le point rouge veut donner un couple anti horaire et l’ autre un couple horaire ce qui fait que l’ un encourage l’ autre et que l’ on pourra récupérer sur le premier la somme des deux couples générés. Cette géométrie permet en plus de s’ affranchir de tout couple perturbateur s’ exerçant sur l’ aimant motivateur puisqu’ elle le met en équilibre de manière naturelle, seul la distance étant sujette à variation. Une distance qui aura tendance à s’ équilibrer d’ un bras du rotor à l’ autre comme ci-dessous :
user posted image

NOTE : pour plus de clarté, j’ ai omis de représenter certains éléments ce qui n’ empêche pas que les risques de collisions et autres problèmes aient été tous examinés et résolus. Il est fonctionnel en l’ état (sauf preuve du contraire).

Voilà, c’ est le moteur le plus abouti techniquement que j’ ai jamais conçu, débarrassé de tout contre couple.
Le plus spirituel aussi, générant du mouvement avec à la base … du non mouvement.
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Ecrit le: Lundi 01 Mars 2010 à 18h10 Posted since your last visit
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Salut ProJéthée,

Tu est à fonds dans ta spécialité, la tête dans le guidon et j'essaie de te suivre , c'est pas facile car tu est un pro du cyclisme. Au début j'ai cru à ton système puis j'ai eu un doute. J'ai réalisé une petite simulation avec PHUN avec un Roberval avec 5 engrenages dont le central est fixe, comme il se doit. J'ai collé un poids à droite de chaque engrenage moteur pour simuler une force gravitationnelle ou d'origine magnétique. Malheureusement le rotor ne bouge pas , il n'y a aucun déséquilibre malgré la présence d'un moment horaire sur les 2 engrenages extérieurs moteur. Un contre couple à frappé et veille à la non rotation du rotor. Puis j'ai décroché pour le suivi de tes travaux n'ayant plus l'espoir d'une issue favorable. J'ai peut être manqué quelque chose ? Voilà ou j'en suis et je te communique quand même mon doute.

Concernant ton dernier dessin, ne manque-t'il pas un engrenage intermédiaire rose à gauche du dessin ? Le fait de provoquer un couple sur tes engrenages moteur jaune c'est bien mieux que d'avoir un moment. Un couple ne provoque pas de force réactionnelle sur le palier de l'engrenage mais bien un moment. Malheureusement je n'arrive pas à simuler un vrai couple avec PHUN. Cela serais encourageant de réaliser une simulation qui réponde à tes et à nos attentes. Mais voilà c'est ainsi il faut faire avec, ou plutôt sans.

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Ecrit le: Lundi 01 Mars 2010 à 20h23 Posted since your last visit
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Derfla, merci pour ta lecture attentive et tes efforts de simulation. Celle que tu as réalisée correspond au tout premier stade, déjà démontré comme non fonctionnel.
Si tu en as le courage ce serait bien de simuler avec les trains d' engrenages P-I-V qui appuient sur la denture de l' engrenage E. Cela confirmerai (ou infirmerai) mes calculs qui par le jeu des démultiplications opère une réduction du contre couple.

As-tu étudié la suite qui permet une annulation TOTALE du contre couple en équilibrant deux système par l' intermédiaire d' un engrenage inverseur F ?
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Ecrit le: Lundi 01 Mars 2010 à 21h33 Posted since your last visit
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A ma connaissance je n'ai pas la possibilité d'utiliser une couronne dentée intérieure avec PHUN qui correspondrais à ton engrenage E en bleu. Quand j'aurais un peu plus de temps j'essayerais d'entreprendre quelque chose par frottement, ce qui reviendrais à avoir une couronne avec des dents presque infiniment petites. Mais je vois déjà des difficultés de concentricité dans la simulation, on a plus le jeu des engrenages qui en réalité sont des pignons pour chaîne avec PHUN. Arriver à une simulation réussie, qui confirme tes espérances, ce serais quand même un sacré plus pour la suite.

Concernant ton engrenage inverseur F en brun, je n'arrive pas à te suivre, je décroche. Quand on est un bon grimpeur comme toi, forcément qu'on se retrouve tout seul devant.

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Ecrit le: Lundi 01 Mars 2010 à 22h42 Posted since your last visit
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L' engrenage F remplace l' engrenage rose dans cette anim
user posted image
J' ai trouvé une autre solution que de passer par E e tE' mobiles et reliés par F mais j' ai gardé cette géométrie pour la démonstration car je la trouvai plus visuelle. En gros, considère que les engrenages V, parce qu' ils recoivent le contre couple transmis par P puis par I appuient sur E en sens horaire. Pareil pour P', I', V', et E'. E et E' étant rotatifs grace aux rouleaux et relié par leur denture à F qui fait office d' inverseur, la poussée (qui n' est que l' expression du contre couple) de l' un s' oppose à la poussée de l' autre comme deux poids équivalents s' équilibrent sur une balance.
Si même pour un esprit chevronné comme le tien mon propos reste confus. Misère, qu' en est-il pour les autres ?
Allez les gens, posez des questions, dites-moi où ça coince.
Je me sens vraiment seul, pour le coup.
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Ecrit le: Lundi 01 Mars 2010 à 22h44 Posted since your last visit
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On devrais reprendre cette discussion sur le post gravitolienne parce que là c' est celui du moteur magnétique.
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Ecrit le: Dimanche 07 Mars 2010 à 13h03 Posted since your last visit
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Suite à une brillante intervention de Derfla sur le fil dédié à la gravitolienne, je rebondis ici en traduisant une seconde version du moteur à aimant basé sur une fonction roberval un moins moins complexe à mettre en oeuvre.

Elle concerne la possibilité de mettre en face d’ un stator une série de satellites qui montreraient toujours la même face en vis-à-vis dudit stator tout en tournant autour ET subissant de sa part un couple utilisable pour provoquer une rotation du rotor.
Encore une fois, c’ est un système super roberval dérivé d’ un système doté de fonctions inertielles et gravitiques non foctionnel qui donne la solution. Ce qui est amusant dans l’ histoire, c’ est que la raison même qui rendait le système inertiel non fonctionnel rend possible la cinématique du moteur à aimant.
Je préviens, ladite cinématique n’ est pas simple à se représenter mentalement mais quelques croquis sur une feuille démontrent aisément sa cohérence. Si j’ en ai le temps, je tenterai une animation mais c’ est vraiment un GROS travail avec les moyens dont je dispose (bien que rien que pour la beauté des mouvements relatifs cela soit tentant).
Pour rester clair, gardez à l’ esprit que :
user posted image

__ le rotor principal R tourne autour de l’ axe vert.
__ les engrenages P tournent en sens AH par rapport au rotor (donc dans l’ absolu ne tournent pas sur eux-mêmes mais seulement autour de l’ axe vert).
__ les engrenages E font le tour de P en sens horaire (voir leur positions relatives en haut et en bas).
__ les rotors secondaires R’ et R’’ tournent en sens AH par rapport au rotor principal (voir leurs positions relatives à 90°, et du coup maintiennent leur verticalité tout en faisant le tour complet).
__ les engrenages E tournent en sens horaire par rapport aux rotor secondaires qui les portent, ce qui leur permet de faire le tour du stator tout en lui présentant toujours la même face.
Fonctionnement :
Le stator induit sur les engrenages E un couple de rotation horaire. Après une très légère rotation (limitée par la flexibilité de la lame qui porte la roulette d’ appui sur le stator), ces derniers reportent le couple auxquels ils sont soumis sur les engrenages P. Par fonction roberval classique, ce couple est transformé en rotation du rotor principal. CQFD.
Donc plus de point dur, un couple constant, et la possibilité de placer un nombre certain d’ engrenages E autour du stator.
Note : j’ ai bien conscience que sur ce dessin de pure validation magnétique il existe des collisions entre différents éléments. Quelques modifications permettent de les résoudre aisément (par exemple E en double engrenage comme P mais on peut simplifier davantage).
Qui qui, qui se dévoue pour une maquette ?
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Ecrit le: Dimanche 07 Mars 2010 à 19h45 Posted since your last visit
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Bonsoir à tous,

Le décentrage de l'engrenage fixe A turquoise m'échappe totalement. L'engrenage E violet du bas bloque tout le système à cause de la roulette extérieure. Je verrais l'axe vert passer par l'engrenage I orange concentrique au stator. Bref je m'en sort pas.

Par contre le positionnement des aimants rotors est intéressant par leur décalage. Il me semble que si ces aimants étaient droit au dessus du stator il n'y aurait pas de couple, encore que c'est difficile à cause de la courbure du stator et de la longueur des aimants rotors. Je vais aller tester cela à la main avec des aimants ronds de 15 mm de diamètre et 100 mm de long sur mon grand stator qui a survécu à la démolition.

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Ecrit le: Lundi 08 Mars 2010 à 13h20 Posted since your last visit
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Voici une animation qui explicite bien mieux qu' un long discourt la cinématique de l' engin:
user posted image

Une version corrigée permet de se rapprocher de quelque chose de fonctionnel « en réel ».
user posted image
Comme on peut le voir, plus de collisions entre stator et engrenages moteurs E. Il se dessine même une possibilité de multiplier le nombre d’ engrenages moteurs, qui passerait de 2 à 12. En fonction des aimants utilisés, ça commence à causer.
La seule chose qui me pose encore un véritable problème concerne la « stabilisation » des engrenages moteurs dont on doit limiter la liberté de basculement si possible de manière amortie sans non plus y faire obstacle.
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Ecrit le: Lundi 08 Mars 2010 à 15h35 Posted since your last visit
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bientôt la suite
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Ecrit le: Lundi 08 Mars 2010 à 17h04 Posted since your last visit
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Faire circuler tes aimants rotor le long du pôle extérieur du stator ne résout rien, la force d'opposition frappe encore et toujours, c'est une vrai obsession pour bibi. Pour moi le/ les satellites sont un obstacle pour la solution car la force d'opposition n'est pas pris en charge, bien au contraire tout en résolvant la position aimant rotor. Quant à moi je suis sur une configuration roberval classique avec un stator structuré constitué de lamelles en fer et entrefers , ( si cette structure bon marché facile à tester n'est pas fonctionnelle il reste toujours la structure aimant ), une position de compromis pour les aimants rotor sur l'engrenage Rob. à 45 degrés et finalement l' utilisation de la force d'opposition qui renforce le couple généré sur l'engrenage Rob et l'effort de cette force d'opposition s'applique sur le rotor en générant un moment moteur, la totale quoi . C'est trop beau pour être vrai.

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Ecrit le: Lundi 08 Mars 2010 à 18h23 Posted since your last visit
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La version ci-dessous donne un aperçu des possibilités et améliorations possibles.
Ont été rajoutés :
__ un disque intermédiaire D (en rose) qui supportera les axes de tous les engrenages E’ qui augmentent la puissance globale ainsi que les axes de tous les engrenages inverseurs I’ qui les séparent. De cette manière, tous les couples moteurs que le stator engendre sur eux s’ additionnent et sont retransmis aux E qui actionnent la fonction roberval. Il est délimité sur la partie gauche du dessin par les 2 pointillés notés D.
__ un axe G (lié au bâti tout comme l’ axe V) autour duquel tourne librement le disque D.
__ E est maintenant dédoublé afin d’ éviter les collisions.
Enfin, comme le signalent les petites flèches grises au niveau du stator, la translation de ce dernier dans un sens ou l’ autre permet de moduler l’ effort magnétique induit sur les engrenages moteurs de l’ arrêt total à la puissance maxi.
user posted image


Reste à déterminer quelques petits détails comme :
__ disposition des aimants sur les engrenages moteurs afin de bénéficier du meilleur rapport Force aimant/couple disponible.
__ distance minimale de séparation entre 2 engrenages moteurs avant que des interactions mutuelles perturbent le fonctionnement global. Interactions que l’ on peut notablement réduirent en positionnant les aimants du côté intérieur du stator une fois sur deux.
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Ecrit le: Lundi 08 Mars 2010 à 21h49 Posted since your last visit
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Chacun y va de sa version, ceci augmente les chances d'arriver à une solution fonctionnelle , à condition d'arriver au proto. Je ne pourrais aller plus loin, je m'arrêterais au proto-papier.

Voici une vidéo d'une animation du concept d'un moteur magnétique roberval en configuration minimale.

Il exploite l'anisotropie macroscopique du circuit magnétique du stator. Ce dernier est constitué d'un grand nombre de profilés plats et minces de fer avec chacun un entrefer. Ces profilés sont les lignes de couleur verte sur la vidéo. Le flux des aimants du rotor va chercher à se reboucler par un chemin qui présente le minimum de réluctance. Cette position de réluctance minimale est atteinte quand ils sont perpendiculaires aux profilés de fer du stator. Ceci est encore à être prouvé en pratique, c'est facile . Malheureusement pour eux cette position favorable ne pourras jamais être atteinte, par conséquent un couple horaire va apparaître dans les aimants portés par les engrenages extérieurs. Ces 2 couples vont être inversés par les 2 engrenages intermédiaires et le rotor va tourner anti-horaire.

Notre ennemi, la force d'opposition provoque un moment moteur anti-horaire ( puisque le couple est horaire ) qui apparaît à l'axe des 2 engrenages porteurs des aimants du rotor.

L'angle permanent de 45 degrés des aimants par rapport aux fers du stator ainsi que la distribution rapprochée de ces derniers doit produire un minimum de freinage et l'existence des points durs doit être insignifiante.

Moteur magnétique roberval avec stator structuré

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Ecrit le: Lundi 08 Mars 2010 à 22h30 Posted since your last visit
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J 'ai révé ou sur ta vidéo le bazar boucle un tour complet ?
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Ecrit le: Lundi 08 Mars 2010 à 22h36 Posted since your last visit
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C'est une animation, j'ai bien spécifié au début. Ce petit soft de simulation physique ( une évolution de PHUN ) ne prend pas en charge le magnétisme, malheureusement . J'utilise la simulation car je ne sais pas faire des animations dessinées.
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Ecrit le: Mardi 09 Mars 2010 à 10h53 Posted since your last visit
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Bonjour à tous,

Une version plus musclée



Il ne reste plus qu'à valider le principe de l'exploitation de l'anisotropie macroscopique du stator magnétique. Je pars de l'hypothèse que le flux de chaque aimant du rotor trouvera un chemin moins réluctant en circulant le long des profilés en fer que de traverser perpendiculairement les fers et les entrefers qui lui sont associés. Si cette hypothèse de différence de réluctance suivant la position angulaire des aimants du rotor se confirme, alors un grand pas aura été franchi vers une solution fonctionnelle.

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Ecrit le: Mardi 09 Mars 2010 à 12h00 Posted since your last visit
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La grande question :

user posted image]DIFFERENCE RELUCTANCE ?[/URL]

Il est acquis qu'un aimant cherche toujours la position qui favorise le rebouclement le plus favorable de ses 2 pôles. Le plus favorable c'est bien le chemin de la réluctance minimale. Si on peut répondre par l'affirmative qu'il existe une différence de réluctance entre ces 2 circuits magnétique alors il est hautement probable qu' un couple va être généré sur les aimants fixés sur les engrenages du rotor roberval.

Il ne reste plus qu'à tester cela.

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Ecrit le: Mardi 09 Mars 2010 à 12h49 Posted since your last visit
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Bonjour à tous, icon_biggrin.gif

Derfla, le groupe Butch Lafonte à travailler sur des configurations similaires,
Le mécanisme n'est pas le même que le tiens, mais le concept est intéressant.
à voir ici

A+++


--------------------
Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de ta vie.
Page YouTube, Page Dailymotion, Album Picasa, La Force contre-électromotrice, simulation magnétique, Viktor Schauberger
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Ecrit le: Mardi 09 Mars 2010 à 14h29 Posted since your last visit
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Merci quartz de m'avoir rappelé cette vidéo que tu avais trouvée il y a environ 2 ans, si je me souviens bien. Elle est effectivement très intéressante, elle soutient vu sur un autre angle , mon hypothèse de la différence des réluctances pour le MM roberval à stator structuré.

Il faudra probablement tenir compte de la grandeur de l' entrefer entre les profilés par rapport à l'épaisseur des fers minces formant le stator.

Dans cette vidéo il en ressort clairement que la réluctance du circuit magnétique est plus faible quand les rondelles sont réparties sur toute la longueur des pièces polaires en fer en comparaison avec les rondelle formant un bloc et quelle différence ! La répulsion mutuelle des rondelles entre elles est logique puisque chaque rondelle forme un petit aimant par le flux les traversant et comme ces petits aimants ont forcément la même polarité et on sait que même polarité égale répulsion.

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Ecrit le: Mardi 09 Mars 2010 à 15h38 Posted since your last visit
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Là les amis, je peux vous le dire. Aider les autres ça paie.
Explications ; je remaniais une énième fois mon dessin pour mieux faire comprendre comment fonctionne l’ engin et finalement j’ en suis arrivé à cela. Qui me semble la quintessence de ce qu’ on peut faire en la matière.
user posted image
Les changements :
__ Le stator change de nom et s’ appelle flasque magnétique étant donné que maintenant, en plus de se déplacer latéralement il tourne naturellement pour maintenir ses aimants en face des aimants/engrenages moteurs.
__ les engrenages moteurs portent dorénavant les aimants dans un sens de force attractive.

Ce qui nous amène à une explication du fonctionnement beaucoup plus limpide ; lorsque vous approchez à la main deux aimants en positions attractives, vous devez fournir un effort pour qu’ ils ne se collent pas. C’ est exactement cet effort qu’ exploite ce mécanisme en transformant cette attraction en couple afin de le transmettre au système roberval. Sur chaque engrenage E et E’, la force d’ attraction directe tend à les faire tourner sur eux-mêmes pour les placer en reluctance minimum, autrement dit ils subissent un couple de rotation. Couple qui est ensuite transmis aux engrenages P. Pour le reste, si vous comprenez comment fonctionne le roberval alors cela devient évident, la cinématique que décrit l’ animation plus haut dans ce fil restant tout à fait d’ actualité.

Cerise sur le gâteau, l’ économie en terme d’ aimants ; en effet, avec cette configuration on obtient : un couple d’ aimant = 1 force active (sans aucune autre contre force que les frottements, autant dire presque rien).

Je me souviens aussi de cette vidéo que Quartz avait trouvé. Mais j' avais buté (comme bien d' autres sans doute) sur la manière d' exploiter ce comportement. Comme tu le dis Derfla, chacun y va de sa version. Je ne doute plus que la mienne soit fonctionnelle (tellement elle va à l' essentiel) mais sa mise en oeuvre dépasse largement mes moyens actuels. Si ta version, plus économique s' avérait aussi fonctionnelle ce serait un grand pas.
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Ecrit le: Mardi 09 Mars 2010 à 17h15 Posted since your last visit
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bonjour à tous,

Projethée
Citation
Qui me semble la quintessence de ce qu’ on peut faire en la matière.

tu as raison pour les compliments, il vaut mieux se les faire directement icon_biggrin.gif

par contre sur le plan rotation, je suis plus inquiet en réplusion sur ton nouveau system, je préfèrais le mixte Derfla/Projethée, qui lui avec les néos en position circulaire me faisait réver!

ce n'est qu'une réflexion ! icon_smile.gif
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Ecrit le: Mardi 09 Mars 2010 à 17h57 Posted since your last visit
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Cette fois je lui trouve aucun défaut flagrant à ton montage. S'il devait y en avoir un il est en tout cas bien caché. Un moment j'étais sceptique avec ton pseudo stator tournant qui revenais, à première vue, de tirer sur un bateau en étant embarqué pour le faire avancer. Mais s'était sans compter le désaxage entre le centre du pseudo stator et le centre du rotor. Les 2 forces d'attraction entre l'aimant rotor et l'aimant du pseudo stator semblent s'annuler sur le rotor tout en laissant un moment horaire sur le satellite qui est transmis finalement au rotor avec une rotation également horaire. Ton montage est trop complexe pour moi pour arriver à des conclusions fermes: fonctionne ou fonctionne pas ? Là un petit montage physique minimaliste nous apporterais la réponse. Mais voilà qui a le courage de s'y lancer dans une machine aussi sophistiquée qui mets nos neurones facilement KO.

J'avais souvent rêvé d'utiliser les forces radiales pour faire tourner un rotor, au point de faire réagir certains, tellement ce rêve était insensé. J'espère que tu as réussi, mais comment le savoir. Avec mes moyens une simulation me semble impossible, à moins de remplacer les aimants par des ressorts puisque le pseudo stator tourne synchrone au rotor. Mais la construction de la simule m'est trop complexe pour osez me lancer.

Je me remettrais à étudier ton montage un autre jour, c'est comme ça que j'avance le mieux dans la compréhension.

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Ecrit le: Mardi 09 Mars 2010 à 21h39 Posted since your last visit
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Pour le plaisir des yeux voici la dernière version encore plus musclée. En mettant un engrenage intermédiaire sur chaque engrenage roberval on peut augmenter encore le nombre d'engrenages moteurs en admettant qu'ils le soient vraiment. En pratique une telle version poserait problème à cause du positionnement des 8 engrenages qui sont autour du central fixe . J'en ai déjà eu ( les difficultés ) en virtuel pour les positionner, alors en pratique... Pour éviter des interactions entre aimants trop marquées, on a avantage à choisir des engrenages de grand diamètre.

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  Ecrit le: Mercredi 10 Mars 2010 à 08h24 Posted since your last visit
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salut il ya a un programe tres bien pour filmé l'ecran c'est cam studio


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Si tu ne le fait pas ce n'est pas un autre qui le fera pour toi
il faut planter des arbres pour notre avenir
Démocratie ?
économie réel :)
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Ecrit le: Mercredi 10 Mars 2010 à 09h26 Posted since your last visit
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Bonjour à tous,

Merci Lhorna pour le tuyau, j'avais complètement oublié que j'avais JING pour filmer mon écran, mais c'est seulement pour les MAC. La prochaine fois cela m'évitera de passer par mon appareil photo pour réaliser une vidéo, la qualité n'en pourras être que meilleure.

Comme déjà énoncé précédemment le pas suivant c'est de pouvoir répondre à ces 2 questions fondamentales :

user posted image].[/URL]

Les réponses que je vais tenter d'apporter serons décisives pour la fonctionnalité d'un MM roberval. Car s'il y a il effectivement un couple qui s'exerce sur l'aimant rotor , ce sera un couple pur sans l'existence sournoise d'une force d'opposition qui a systématiquement fait échouer mes / nos expérimentations passées sur les MM. Il ne restera plus qu'à apporter la réponse sur la résistance à l'avancement de l'aimant. Si les lamelles en fer sont assez fines les pertes par courants de Foucault seront réduit à un minimum pratique acceptable. Je pense justement utiliser des tôles de transformateur pour l'expérience.

Moi qui pensais de ne plus vouloir toucher la matière me voilà à nouveau embarqué dans l'aventure. Mais comme d'habitude seul un proto réel pourras trancher définitivement.

A+
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Ecrit le: Mercredi 10 Mars 2010 à 10h59 Posted since your last visit
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Mea culpa les amis, j’ ai oublié en route un truc important. Rien qui remette en cause la possibilité de fonctionnement mais qui bouleverse néanmoins la manière de regarder ce fonctionnement.
Lorsque j’ ai attaqué les premiers schémas du « magnétique roberval » j’ avais placé une roulette de stabilisation pour m’ assurer que l’ engrenage moteur E n’ irait pas en butée ou en contact avec le stator pour bloquer toute rotation. Et puis, pris par l’ enthousiasme et les multiples changements et améliorations que j’ apportais au système, elle passa à la trappe. Du coup en regardant la dernière mouture on pouvait en arriver à imaginer des trucs surréalistes et défiant les lois de la thermodynamique en remplaçant par exemple les couples d’ aimants par des ressorts.
La conclusion c’ est que ce type de moteur est très particulier en ce sens qu’ il fonctionne sur le principe de la balance et que par conséquent en l’ absence de « charge » il ira en butée (pour autant qu’ on en ait prévu une). Chaque couple d' aimants sur le dessin doit être interprété comme une balance avec une force et une charge/poids qui doivent s' équilibrer ou être en butée éventuellement dans un sens mais surtout pas dans l' autre.
En effet, alors qu’ un moteur ordinaire peut tourner à « vide », ce moteur magnétique ne peut tourner QUE si on le met d’ une façon ou d’ une autre « en charge ». L’ idéal serait même de disposer d’ une charge interne réglable, maximum pour assurer l’ arrêt puis diminuant pour transmettre proportionnellement de plus en plus de puissance sur l’ arbre de sortie. Pour reprendre l’ exemple que je donnais plus haut sur l’ explication du fonctionnement avec les aimants que vous tenez dans vos mains ; si l’ effort que ceux-ci exercent pour se rapprocher est utilisable, on ne peut faire abstraction de la résistance à l’ écrasement des doigts puisque une fois ces derniers en bouillie et les aimants collés tout s’ arrête. Nous nous trouvons donc dans un pur système force/contre force utilisable seulement dans la mesure où on arrive à doser (au minimum) l’ une des deux. Ce que certains tente d’ ailleurs de faire par « déviation de flux ». Comme quoi tout se recoupe.
Je tenais à vous en faire part avant même de dévoiler comment j’ envisage la suite car on touche là la problématique du « tout ou rien » propre aux aimants qui nous a si souvent mis en défaut, et je ne doute pas que certains anciens montages gagneraient à être réactualisés en incorporant ce concept de « charge réglable » (un bête système vis + ressort pourrait parfois suffire).

PS: désolé pour la quitessence. c' est pas que "je me la pête" mais quand un système arrive à être simplifié (dans son concept, je parle pas de r&alisation) à son maximum quelle est l' expression adéquate ?
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Ecrit le: Mercredi 10 Mars 2010 à 11h48 Posted since your last visit
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Derfla, ton analyse de mon système est bonne. Cette mécanique permet effectivement de faire tourner un rotor avec uniquement des forces radiales, pour autant que l' on arrive à doser le rapport Quantité de force/Charge.C' est sa seule limite mais incontournable et pas si évident à réaliser.
Par contre, le truc vraiment séduisant réside dans l' excellent "rendement" Force magnétique des aimants/couple réellement disponible qui peut se rapprocher de 1 pour autant que le système tolère une distance réduite entre aimants satellites et aimants flasque magnétique. On paie donc ce haut rendement par une certaine complexité de l' ensemble. Maintenant quand je compare au rapport rendement/complexité des moteurs thermiques de nos bagnoles, je rigole 5 minutes. Pourtant, ça n' étonne plus personne.
J' adore ta vidéo "pour le plaisir des yeux". Hypnotique juste ce qu' il faut. Ne lâche pas l' affaire, tu possède contrairement à moi la compétence pour ce genre de rébus magnétique. Sans compter un niveau de technicité pratique abordable à notre niveau ce qui n' est clairement pas le cas de mon système.
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Ecrit le: Mercredi 10 Mars 2010 à 12h44 Posted since your last visit
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Bonjour à tous,

ProJéthée, merci pour tes compliments et ton soutien. Je vais te rendre tes compliments au décuple. En effet en reétudiant ta machine à la Léonard de Vinci je crois avoir compris toute la potentialité de ton montage. On peut l'utiliser avec la force centrifuge qui par excellence sont des forces radiales et ainsi on peut se passer de la complexité relative dû à l'utilisation des aimants. On m'appelle pour manger. Je reviens tout à l'heure avec un dessin extrait de ton animation.

A+++
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Ecrit le: Mercredi 10 Mars 2010 à 14h40 Posted since your last visit
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Arrête Derfla je sens mes chevilles qui me chatouillent. La comparaison avec Léonard, carrément !
Blague à part c' est ce qu' il y a de bien avec les forums; le regard de l' autre qui n' a pas été impliqué dans le processus de création et qui décèle des opportunités. L' ironie d' avoir développé la mécanique des satellites pour exploiter la force centrifuge, échouer dans son application à la gravitolienne puis appliquer cette méca au MM et finalement en oublier tout le potentiel inertiel.
Je pense qu' on peut aller assez loin avec cette méca et qu' elle se prête à un nombre de variantes tout à fait interessant. A nous d' en tirer parti.
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Ecrit le: Mercredi 10 Mars 2010 à 14h52 Posted since your last visit
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Avec toi j'ai pas besoin de faire un long discours voici le dessin modifié tiré de ton animation :

user posted image].[/URL]

Avec une telle configuration minimaliste relativement facile à réaliser et qu'on pourrais en première étape simuler, on voit que les 2 forces centrifuges Fc donnent un moment Ah aux 2 satellites bleus. Ces satellites sont retenus par des galets dessinés en rouge et circulent à l'intérieur du stator circulaire dont le centre est décentré par rapport au centre de rotation du bras ou rotor. Ici on a 2 forces radiales qui passent par le centre du stator mais transmettent en permanence 2 moments qui font tourner le bras/ rotor dessiné en noir. J'ai longtemps cherché a utiliser la force centrifuge, mais toi ProJéthée tu semble avoir trouvé la solution. Le déséquilibre est permanent, il suffirais de lancer un peu le rotor dans le bon sens, c'est à dire Ah, et la force centrifuge naissante prendrais le relais en donnant en permanence 2 moments moteur additionnels et grandissants. Le système est complètement dément par rapport à nos habitudes de pensée et de croyances technologiques / scientifiques à moins que ce soit moi qui est dément ?

Dès que j'aurais du temps et c'est pas demain la veille, j'essayerais de réaliser une simulation. En attendant essaie de ton côté de te lancer dans la simule, on avancerais plus facilement.

A+

PS Si un jour ce bidule devais fonctionner on te nommera Leonard Projéthée icon_biggrin.gif Na !
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