GENERATEUR Electrique SCHAUBERGER, technologie IMPLOSION = en pratique !!!!

   Bonsoir,

   En fait, Jehel, si tu reprends le dernier pdf sur le fonctionnement du générateur, il faut bien visualiser que la partie centrale n'est pas en pression mais en dépression jusqu'à la sortie des tuyères.

Toute la partie centrale supérieure est une poche de cavitation (du vide...) et chaque vortexeur est une torche de cavitation.

En sortant des trous de 1 mm des tuyères, les bulles de cavitation implosent au contact de la pression de l'eau en périphérie. 
Les sorties en forme de "tulipes" permettent d'épouser la forme de l'implosion.
( Regardez bien  les vidéos sur la crevette pistolet pour apprécier la forme que prends l'onde de choc dans l'eau.)

   Là ou Schauberger est trés fort selon moi, c'est qu'il aurait réussi à créer une "ionisation dans le vide", ce qui permet d'espérer une énergie surunitaire.

   Comme le vide n'est pas ( plus ) vide, il y a de l'espoir...

 

   Voilà un petit résumé de l'intérêt, selon moi, d'une "ionisation dans le vide"

   Pour ceux qui ont suivis jusque là, et au risque de me répéter :

   Le générateur à eau de V. Schauberger utilise les différences de gradient de pression pour jouer sur la différence de phase de l'eau et ses volumes (liquide ou gazeux par la cavitation).
   Il utilise également les différences de gradients de température générés par les "tubes vortex" pour créer une ionisation "faible".
(Les liaisons O-H et C-O ne sont pas des liaisons trés fortes (j'ai noté entre 360 et 366 Kjoules/Mole))
   Enfin, il utilise le CO2 à la fois comme catalyseur de cavitation et , une fois ionisé, comme fournisseur d'hydrogène pour l'implosion hho.
Je pense même qu'il joue un rôle régulateur dans le phénomène même de l'implosion.

C'est maintenant l'expérimentation qui doit vérifier la théorie...

   Merci de me faire part de vos remarques si vous notez des incohérences dans ces propos avant que je ne me " jette à l'eau ! "; ça m'évitera des désillusions par la suite...
   
   A +

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 num_risation0004__1_.pdf (1148.66 Ko)

ouaip, il y a des indications aussi sur une résonance acoustique BF d'ondes de choc lors des implosions, ( lecture wiki cavitation-implosion ), et méme des énergies de pressions d'implosions dégagées en milliers de bar... impressionant sa...sa ronge le métal des hélices de bateaux,  sans parler du reste  lol....

je suppose qu'a la longue, le métal proche des zones d'implosions sera usé, comme les hélices d'un bateau

   Bonsoir,

   L'intérêt d'une cavitation-implosion HHO par rapport à une cavitation-implosion normale, c'est qu'elle n'aura pas le même caractère destructeur :
   
   L'implosion "normale" crée une onde de choc et produit notamment de l'eau oxygénée (H2O2) qui par son caractère oxydant est trés destructrice.
Ce n'est pas le cas dans une implosion HHO.

   Une implosion HHO réagit différemment en fonction des matériaux (ex: Yull Brown passe sa main sous la flamme HHO et n'a que des poils grillés alors qu'elle fond rapidement divers métaux).
D'où l'importance des matériaux utilisés...

   A+

   

   Bonjour,

   En observant les avancées technologiques avec les moteurs à hydrogène et les piles à combustibles utilisant l'acide formique (HCOOH) pour stocker l'hydrogène, je réalise combien V. Schauberger était , et est toujours, en avance dans ce domaine.

Un exemple avec ce lien :

http://www.rtflash.fr/l-hydrogene-devient-...herique/article


   Grâce à sa vision "globale" des choses, il serait arrivé à extraire directement de l'hydrogène (H2) et de l'oxygène (O2) simplement à partir d'eau et de CO2 pour créer une implosion HHO , et pas une réaction uniquement avec de l'hydrogène comme c'est le cas aujourd'hui.
Ce qui est déjà une avancée majeure...


   Pour ceux qui ont pris le temps de regarder mon dernier fichier joint sur :

   2 H2O + 2 CO2  =(ionisation)=> HCOOH + O2  =(implosion)=> 2 H2 + O2 + 2 COO
   
   J'ai longtemps buté sur l'écoulement en sens opposé dans les vortexeurs mais ça devient plus clair :

   L'intérêt de l'écoulement en double spirale inversée dans les vortexeurs permet à mon sens de séparer l'acide formique (liquide) de l'oxygène aprés ionisation pour qu'ils se rejoignent juste à l'implosion dans les tuyères.
la vue en coupe des vortexeurs précisent  bien une rotation en sens opposés.( 2 flèches en sens opposé sur le croquis)
L'acide formique serait en quelque sorte centrifugé par une rotation inverse de l'air de cavitation dans les vortexeurs (avec certainement un peu d'eau liquide vu l'humidité ambiante) et rejoindrait l'air de cavitation chargé d'oxygène en sortie de tuyère pour réagir au "bon endroit" (d'où les matériaux résistants utilisés en plaqué argent et or).


   A vos impressions

mais ?!   injecter du CO2 dans l'eau, donc c'est aussi l'inventeur de la boisson gazeuse ?  

   Tu gazouilles pas mal peterpan !

   Je me demande si, a midi, tu n'aurais pas troqué l'eau gazeuse pour "l'eau de vie".
   Chacune à des vertus, je te le concède...

   Une dernière remarque sur "l'ionisation dans le vide": 
   
   "Le potentiel d'ionisation correspond à la longueur d'onde maximale, donc à l'énergie minimale, nécessaire pour réaliser l'ionisation."
   En regardant le potentiel d'ionisation du CO2 (à 90 nm) et de H2O (à 99nm), on est dans ce que l'on appelle " le rayonnement ultra-violet extrême" qui ne peut se transmettre que dans le vide d'aprés wikipédia:

   "Dans l'air, le rayonnement ultraviolet extrême est le composant du spectre électromagnétique le plus fortement absorbé. Ce rayonnement ne peut donc se transmettre que dans le vide."

   https://fr.wikipedia.org/wiki/Rayonnement_ultraviolet_extr%C3%AAme
   
   En admettant donc que plus c'est vide, mieux ce rayonnement ultraviolet extrême se transmet...
   V. Schauberger aurait trouvé un moyen simple d'ioniser le CO2 et l'eau grâce aux contrastes thermiques dans une zone en dépression (en vide potentiel) pour séparer la molécule d'eau en acide formique (HCOOH) et en oxygène (O2) pour, par la suite, être recombinée et produire de l'énergie (et du vide).

   Qu'en pensez-vous ?
   Avez-vous vu passer des articles concernant des expériences d'ionisation de vapeur d'eau et de CO2 effectué sous vide partiel ?
C'est sûrement une voie intéressante...

   Bonne soirée.

non, mais je suis pas étonné alors de l'ionisation constatée autour des ovnis nazy vue a l'epoque, cette ionisation se transmet peut étre vers l'exterieur... en somme tu va finir par produire un Hanebu 

   Peut-être Peterpan,

   Mais ça risque de prendre du temps et je serais loin d'être parmi les premiers...( déjà 70 ans que les plans existent).
   Je partage l'avis de certains ufologues qui estiment que les 3/4 des ovnis observés sont "trés"terrestres.
Alors, les Ricains ?, les Russes? ou les DEUX... 
A chacun de voir, mais quand on sait ce que la CIA a été capable de faire aux différentes populations, plus rien ne m'étonne !
 
   Justement, pour en revenir à la répulsine, je pense que c'est le même principe que celui appliqué au générateur à eau (implosion HHO) et qui va, dans l'air, engendré "autre chose" de plus balaise...

   Je cite p.258 du livre "le génie de V. Schauberger" traitant de la répulsine :

   "A mesure que les vitesses induites par le processus de "centripulsion" augmentent, les molécules d'air se refroidissent et se condensent davantage grâce à l'interaction des forces centripètes et centrifuge (donc à la fois vers l'intérieur et vers l'extérieur).
La réduction de volume peut atteindre le rapport 1/816 lorsque l'air est transformé en eau (implosion HHO), et crée un vide interne considérable qui aspire rapidement des quantités d'air plus importantes génératrices d'un vide secondaire au dessus de la soucoupe.
La "centripulsion" et la "densification" extrêmes induisent non seulement un effet antigravitationnel , mais élèvent aussi le niveau énergétique au delà du sens physique commun, si bien qu'électrons et protons retrouvent, par compression, l'état qui les caractérise dans leur quatrième dimension originelle."

Là, on est dans la fusion froide ou quelque chose qui y ressemble, Non?

bonsoir Alvin,

pour ce qui concerne le rayonnement ultra violet: je trouve que tu réalises un beau travail de recherche et de synthèse en rapprochant des éléments disparates au départ. C'est sincère...

Quel est le rôle exact des contrastes thermiques d'après toi ? As tu une estimation en degré de ces contrastes pour avoir un feu de Saint Elme ? La pointe d'ionisation est en quelle matière ? Si tu as une idée.... La pointe n'est pas pas chargée essentiellement par les frottements , et une simple décharge électrostatique n'est elle pas suffisante ?

   Merci Jehel,

   L'intérêt d'utiliser le vide me semble maintenant clair, il permet une meilleure diffusion du rayonnement ultraviolet extrême et de ses propriétés d'ionisation des molécules; ce qui n'est pas le cas dans l'air habituel où il est très vite absorbé.

   Maintenant les contrastes thermiques,l'humidité ambiante, et l'effet "couronne" permet dans l'air une ionisation des molécules : le feu st Elme.
Sa variante, le "feu froid" semble être obtenu en modifiant la composition de l'air (en rajoutant du co2).
   Si on ajoute le "vide", on favorise donc ce processus d'ionisation...

   Les matériaux cités par V. Schauberger : le Cuivre pour ses propriétés hydrophiles et conductrices
                                                                    L'argent et l'or pour les capacités inaltérables
   
   Une hypothèse:

( cf. plan en coupe du générateur de Schauberger)
  
La pointe centrale descendante du générateur (en cuivre je présume) reçoit à sa base les retours froids de tous les vortexeurs à env. O°C à maxi 4°C (limite de gradient de température pour l'eau).
La flèche est ,quant à elle, au contact direct de l'air de cavitation à 20-25 °C d'écart.
Le contraste thermique crée une différence de potentiel électrique.
Si la dépression est suffisante (vide potentiel), le phénomène d'ionisation intervient plus facilement qu'à l'air libre et doit créer une sorte de plasma autour de la flèche.
Plutôt que des décharges, il vaut mieux favoriser un phénomène continu.

Il reste à vérifier tout çà !

A+

C'est possible ...

que se passe-t-il alors dans le plasma : formation d'acide formique + O2 ?
Et cet acide formique remonterai alors en périphérie des vortexeurs, sous forme liquide , ou bien il imploserai sur place, au centre du système ? Ce qui reste difficile pour moi, c'est le HHO produit à un endroit et qui implose à un autre.

   Bonsoir,

   Je pense que chaque vortexeur est à la fois un tube vortex classique + un conduit extérieur (le renflement, la cannelure extérieure) qui achemine l'acide formique (liquide) produit au centre jusqu'à la périphérie où il rencontre l'air de cavitation chargé en oxygène.
   l'air de cavitation lui, passe à l'intérieur même du vortexeur et c'est principalement du CO2 qui remonte dans le courant froid qui crée l'ionisation.
Une fois ionisé, le CO2 se transforme en acide formique qui est entrainé dans la cannelure extérieure.

   Si tu préfères, l'air de cavitation (vapeur d'eau + co2) qui monte de la zone de cavitation au centre traverse le plasma créé autour de la pointe et s'ionise au centre par "effet cascade".
Par effet centrifuge, l'acide formique produit est récupéré dans les cannelures extérieures alors que l'air de cavitation chargé d'oxygène passe dans le tube.
Les deux produits (acide formique et air de cavitation chargé en oxygène) se rejoignent ensuite en sortie de tuyère pour l'implosion .(et il manque des plans...)
C'est la différence de densité des produits créés (acide formique et O2) et l'effet centrifuge produit sur chaque vortexeur qui permet de les séparer au moment de leur création.
   C'est également l'effet centifuge qui permet une arrivée tangentielle de l'air de cavitation dans les vortexeurs pour qu'il puissent fonctionner comme des tubes vortex.
   
   Je ne sais pas si je suis trés clair...il se fait tard !
   Il faudrait que je prenne le temps de mettre tout çà de manière synthétique.

   A plus tard 





   

a l'epoque où je m'interessai aux Hanebu, Schauberger avait developper sa répulsine aprés son générateur a eau,
répulsine qu'il démarrait, selon le document, avec un peu d'alcool a bruler...
(rien ne garantie la véracité de ce document)
mais passer maintenant a la répulsine serai te perturber,
je suppose qu'il y a donc un topic qlq part dans le forum traitant des répulsines puis des hanebu...

   Bonjour,

   En reprenant mon dernier pdf sur le fonctionnement possible du générateur électrique,

   http://www.fichier-pdf.fr/2015/08/22/numerisation0008-3/de V. Schauberger

   En haut et à droite, on voit une vue en coupe d'un vortexeur et j'ai fait un petit schéma pour mieux visualiser la séparation de l'acide formique (liquide) du reste de l'air de cavitation ionisé à l'entrée de chaque tube vortexeur.
J'espère que c'est plus explicite comme çà .

   A+




Image attachée

(774.32 Ko)

Oups... Désolé pour la mise en page !

Impossible de modifier quoi que ce soit Alvin 19 l'image n'apparait pas lorsque j'édite ton message ??

pour moi c'est lisible sans soucis, j'utilise les touches clavier Loupe +/- 

Je le remets en version pdf cette fois...

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 coupe_d_un_vortexeur.pdf (952.16 Ko)

   Pour étayer mon hypothèse: (après promis ! Je libère l'espace...)

   Si vous reprenez le pdf sur le fonctionnement du générateur, vous pouvez observer ( juste en dessous de la vue en coupe), une vue de " l'entrée " des vortexeurs.
La découpe n'est pas "à bords droits", il y a comme une échancrure...

   Une fois la machine mise en rotation, un léger débord de l'entrée de chaque tube va faire office de "déflecteur" pour créer l'écoulement tangentiel de l'air de cavitation dans les tubes.
La force centrifuge va, elle, plaquer les liquides (acide formique et eau de condensation mélangée ) vers la partie supérieure d'entrée des tubes qui les achemine (toujours par centrifugation ) dans le conduit externe jusqu'à la jonction au niveau des tuyères.

   Voilà , c'était important pour finir l'analyse.

  Bonjour,

  Pour vérifier ce que j'avance plus haut, il faudrait que je reproduise un feu de saint-elme en version "feu froid" ( avec CO2 et humidité élevés) et c'est plutôt dangereux...(risque d'électrocution)

  En cherchant, je suis tombé sur ce site qui traite de la foudre en boule et qui laisse penser qu'une autre solution est possible.


 http://www.gurumed.org/2012/10/15/le-mystre-des-boules-de-foudre-serait-il-enfin-rsolu/


Je cite la fin qui est intéressante :

"La prochaine étape consistera à utiliser la théorie pour reproduire la foudre en boule en laboratoire. Ce qui peut s’avérer difficile, car il faudrait un équipement capable de produire 100 millions de volts. Mais un évènement de foudre en boule observé par un ancien pilote de l’US Air Force suggère une autre approche.

Alors qu’il pilotait un avion-cargo C-133A de la Californie à Hawaï dans les années 1960, l’ancien lieutenant Don Smith a vu deux cornes de feu de Saint-Elme apparaitre sur le radôme de l’avion (couverture radar), suivi par une foudre en boule à l’intérieur du cockpit.

   Voilà un pdf sur la production d'hydrogène par photolyse de l'eau ...
   (les deux premières pages sont intéressantes)
   Source: clefs CEA N°50-51
  
   Après 70 ans, ça revient enfin dans l'air du temps !

  ps: il y a également quelques rappels sur les différentes possibilités liés à l'énergie pour les intéressés.

  bonne lecture

Fichier joint ( Nombre de téléchargements: 237 )
 047a048luzzi__1_.pdf (907.25 Ko)

   Avant un premier protocole expérimental, un dernier pdf sur l'électrisation de la vapeur d'eau pour saisir les différents phénomènes en jeu.

http://www.quanthomme.info/qhsuite/2006New...ECTRISATION.pdf

Certains ont utilisé la vapeur d'eau et la pression tandis que Schauberger a, lui, utilisé la vapeur d'eau de cavitation et la dépression...

   Le protocole est encore au brouillon dans ma tête et comme ça fait 3 mois que j'occupe ce fil en quasi-monologue, j'aimerai savoir si ça intéresse encore quelqu'un ou pas...

   A ++

Moi en tout ca je te lis, comme bien d'autre je pense mais sans pouvoir t'aider ni avoir d'energie pour se faire (du moins pour ma part)

idem que BlueDragon,
je lis ce fil, ayant acheté il y a quelques années les bouquins sur Schauberger, mais au final pas très intéressant d'un point de vue technique s'entend.

je suis ton évolution et tes questions avec intérêt, Alvin. Tes questions sont aussi les miennes....

Si c'est de la relation Eau/electricite dont tu parle ; ca me passionne
j'en aie parle sur mon sujet "Vla du lourd" ( expe de Keely avec la vapeur )
mais pas eu de reaction ciblee la-dessus ( par contre actifs sur le sujet qui parle des 2 courants )
Youpiee !!!
j'ai fait des experiences vapeur mais pas poste ; on peut en parler MP ou public ; Bienvenue 

Je demande à voir ton expérience car tu as piqué ma curiosité à vif avec tes dernières infos appétissantes
Y'a réellement un truc simple qu'on a pas encore compris et tu vas nous donner le déclic.

On y arrive !

   Merci à vous pour l'intérêt porté à cette hypothèse de fonctionnement qui ne demande maintenant qu'à être validée par l'expérimentation. J'espère que vous me reprendrez si je dis des âneries ...

   Pour ceux qui suivent donc :

   L'idée est simple, il faut maintenant prouver que l'on peut dissocier la molécule d'eau et celle du gaz carbonique, par un autre moyen que ceux utilisés actuellement, pour former de l'acide formique et de l'oxygène .

En recoupant les différentes infos, on remarque:

   - d'aprés Callum Coats que les gradients de température de l'air influent sur la polarité des molécules d'eau (négative dans les cristaux de glace des nuages et positive dans les couches chaudes en résumé) et que ces mêmes molécules d'eau se dissocieraient naturellement dans la haute atmosphère ( à 22 Km d'altitude et à une pression d'environ 50 mbar, les rayons de l'ultraviolet extrême peuvent s'exprimer quasi-librement , ce qui n'est pas le cas à la pression atmosphérique normale d'environ 1 Bar )
  
   - dans les derniers documents, il ressort également qu'une eau acide favorise une vapeur d'eau positive.
 (sans parler du caractère particulier de résonnance des bulles de cavitation ).

   - enfin, qu'un contraste thermique avec un effet de pointe dans un milieu humide crée une ionisation susceptible de dissocier des molécules.

Il semble donc possible de créer, dans un milieu en dépression, un contraste thermique suffisant pour créer une différence de polarité sur deux pointes inversés et ainsi créer un ionisation qui, elle, va jouer au chamboule-tout avec les molécules d'eau et de gaz carbonique.

   Si on démontre ceci (et je crois que c'est possible), on démontre en même temps le bien fondé du générateur de V. Schauberger.
   J'ai un peu (pas mal) de boulot ces temps-ci, et ça m'empêche de prendre suffisamment de recul pour sortir un plan correct  (et surtout lisible ).
  Dés que possible, je fais passer un croquis plus explicite.


A+