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> *Machines accumulatrices -zone privée-, provenant du volume 2
Ecrit le: Mercredi 29 Décembre 2010 à 21h55 Posted since your last visit
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Accumulateurs

Le texte du cahier 11 à partie de la page 75 est très clair et bien organisé pour expliquer le fonctionenment des accumulateurs, leur connexion, leur pourquoi. Donc j’ai simplement saisi une partie du texte en citation :

Citation (A. Hatinguais @ cahier 11, page75)
Nous avons vu précédemment que l’autogénérateur comporte 7 voies d’écoulement des flux, 3 flux féminines (E,U,U’) et 4 flux masculins (I,S,R,O), au fur et à mesure de leur génération perpétuelle, spontanée
1°) par rupture des Alphas en leurs deux parties Gamma et Béta, puis
2°) par tension en T et rupture en quatre parties ou sections de Alpha (c'est-à-dire 4 atomes) cellulaires mâles et trois gouttes cellulaires femelles.

A défaut d’écoulement convenable de ces flux, certains stagneraient (en stase) sur leurs tubes métalliques collecteurs respectifs (et notamment les A.tomes R et O des zônes M & L) placés en terre glaise humide, et y feraient un travail inorganique, consommant leur énergie en rongeant ces tubes, ce travail de désintégration de la matière (particule de matière brute, abusivement appelé « atome »), loin de produire un effet électrique quelconque, arrête au contraire et annule le mouvement perpétuel fluidique de l’autogénérateur, dont aucun organe métallique constitutif ne doit être attaqué, sous peine de non fonctionnement.

Il faut donc conduire les flux obtenus par des conducteurs appropriés à chacun des A.tomes masculins et fluides féminins, vers des supports accumulateurs d’où l’on pourra de même les éconduire à volonté.

1°) Conducteurs et accumulateurs des gouttes fluidiques électro-dynamiques féminines
En principe, chacune des 3 électres pures, débarassées de leurs A.tomes masculins (considérés comme « souilleurs », rasées, peut être accumulée dans un flacon de verre noir-verdâtre (lecture difficile sur la mauvaise photocopie, pas sûr du mot verdâtre), isolant, contenant de l’eau pure (ou légèrement de b… illisible là aussi sur la mauvais photocopie) et conduite par un conducteur en tresse plate de fils d’argent :

  • un 1er conducteur branché au sommet du filet (rets augural) en fil d’argent (ou de cuivre argenté) de la zône interne N conduira l’électre E.

  • un 2ème conducteur branché au sommet de l’unique petit tube de cuivre rouge (avec poids de cuivre rouge à sa base) planté verticalement dans la glaise, conduira l’électre U de la zône médiane externe M.

  • un 3ème conduxteur branché au sommet d’un petit tube de cuivre rouge plongé à l’intérieur de l’unique tube de zinc ou de cadmium (avec poids de zinc ou de cadmium à sa base)planté verticalement dans la glaise, conduira l’électre U’ de la zône externe L.

  • On est amené à éviter de se servir, comme flacons accumulateurs, des vases de céramique ou de porcelaine, plus ou moins poreux et non parfaitement isolants des électres.


(schémas ci-après extraits du cahier 9, page 34)
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2°) Conducteurs et accumulateurs des A.tomes mâles Gamma, Bêta ou I,S,R,O isolés
Pour les atomes masculins de Alpha aussi bien que pour ceux des Pi (ou pour les A ou Pi entiers) ; le conducteur par excellence est le mercure employé sous forme d’amalgame solide d’argent et de mercure, étiré ou trait en fils, ou plus simplement sous forme de fils d’argent disposés en torsade ou en cordelette conjointement avec des fils de chanvre ou de lin pour donner solidité et souplesse au conducteur, qui est ensuite amalgamé avec soin.

Pour les A.tomes masculins de Gamma (S et I) de la zône interne N, les deux bordures du filet (ou rets augural) collecteur seront donc plongées à l’extérieur par deux conducteurs en torsade, amalgamés, qui conduiront I et S respectivement sur un poids de plomb (gros anneaux, ouverts ou fermés) et sutr un poids d’étain (même forme) ou sur un poids de tungstène, de molybdène, etc… bien isolés en boites de bois sec.

Si l’on veut accumuler I et S réunis en Gamma, on emploiera un seul poids en alliage de plomb-étain, en forme d’anneau.

Pour les atomes masculins de Bêta (R et O) de la zone externe, M et L, les premiers R, sont recueillis par une 1ère couronne de tubes de cuivre rouge (zône médiane M) inclinés obliquement sur la génératrice du sac cônique de cuir contenant le cône (ou Delta) générateur, de manière à former chiasma X avec les tubes de la 2ème couronne périphérique extérieure de tubes de zinc ou de cadmium (zône L destinée à recueillir les A.tomes O).

Les atomes R sont pris et conduits par un petit câble amalgamé qui enlace chaque sommet ou tête des tubes, sur un accumulateur en anneau, formé de lames ou feuilles de cuivre rouge, isolé dans une boîte de bois sec. Ce poids de cuivre rouge recueille donc l’A.tome rouge « ponceau » qui est mis en tension T (en … ?? ( illisible) sur les bordures du rets augural, collecteur de la zône M, dans le champ de force Phi du multiplicateur amplificateur, ou sur la 1ère couronne de tube de cuivre de la même zône M dans l’autogénérateur Delta).

Les A.tomes O sont pris et conduits par un petit câble amalgamé ; qui enlace chaque sommet ou tête des tubes de zinc ou de cadmium, isolé en boite de bois sec.


Puis on a des informations sur des moyens d’accumuler simultanément plusieurs atomes:
  • Pour accumuler à la fois R et O, on réalise un accumulateur anneau en alliage de cuivre rouge et de zinc (ou formé de lames ou de feuilles de laiton).
  • Pour accumuler I,S,R et O réunis et des alphas entiers on réalise un anneau accumulateur en bronze, bronze contenant un alliage de cuivre rouge et d’étain plombé et de zinc. Ce bronze est le bronze d’airain, servant à réaliser les cloches. La cloche sert aussi d’accumulateur (équivalente à un système d’ anneaux de diamètres différents accumulés en pile), en bronze d’airain, et son battant en fer jour alors un rôle important en attrayant l’atome R qui attrait lui-même les Pi qui arrivent donc sur le battant qui sert de zone de captage.
  • On peut faire un accumulateur en anneau feuilleté de fer étamé (dit fer blanc) qui accumule les Pi et les Alphas entiers. Les atomes R attirés par le fer attirent les Pi et c’est cela qui crée la magnétisation du fer. Si on utilise un fer pouvant rester magnétisé, il retiendra les Pi au lieu de les laisser circuler, et cela n’est pas bon pour les montages. Le fer doit donc ne pas avoir de magnétisation rémanente. Le fer attire R et O avec dans les Bêta, mais repousse I et S. Pour qu’il attire I et S aussi on met donc de l’étain. ; en fait on dépose un alliage d’étain plombé (chacun attirant séparément plus I et plus S).
    Il ne faut pas acérer le fer qui sinon va provoquer une aimantation permanente (je n’ai jamais entendu parler de la chose personnellement…. à étudier ça).


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Ecrit le: Dimanche 30 Janvier 2011 à 23h08 Posted since your last visit
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Voilà des photos des accumulateurs constitués des 4 métaux, en forme d'anneaux. L'un est en cuivre, l'autre en zinc, l'autre en plomb et le dernier en molybdène.

L'observation attentive a permis de voir que l'anneau est en fait constitué d'une seule bande de métal enroulée en spirale avec un matériau neutre (genre carton compacté ou bois aggloméré) isolant permettant d'éviter le contacte électrique d'une couche de la spirale avec l'autre. L'entrée et la sortie du ruban se situent donc au centre et en périphérie.

La spirale est bien scotchée et des cales en matériau neutre (genre résine) sont disposées régulièrement sur l'anneau, sur une seule face; et attachées elles-aussi par du scotch. Elles permettent de déposer les anneaux les uns sur les autres sans qu'il n'y ait de contact électrique entre eux. Les 4 anneaux ont chacun un diamètre plus petit que le précédent afin de les déposer l'un sur l'autre dans un ordre précis permettant de constituer une forme conique qui épouse le haut du support de l'autogénérateur. En effet ces accumulateurs étaient destinées à être posés sur le cerclage haut de l'autogénérateur; sur le support en bois qui permettait aussi de poser les bocaux en verre servant d'accumulateur des électres.

Voilà les photos prises (quelques unes):
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