Balance à masse négative: disque tournant -VIALLE, Théorie de Richard VIALLE

Excuse moi bluedragon ce n'est pas le rayon mais le diamètre qui fait 55cm et 15cm j'avais sommeil.
A+
Richard

Ok, je trouve pareil avec cette hypothèse...curieusement le résultat final ne change pas (reste proportionnel à t). Mais l'accélération est (théoriquement) infinie à t=0 alors ? En pratique avec l'asservissement ça doit faire un fameux a-coup dans le disque.

Cordialement

Zgreudz

Oui Zgreudz je l'ai prévu comme je prends la racine carrée de deux droites qui se croisent je monte la pointe d'en bas en ajoutant une composante continue sans modifier la fréquence ni l'amplitude afin de couper la pente infinie de l'accélération au démarrage bien sur cela me change un peu la loi des vitesses soit (oméga max -oméga mini) en réalité voila l'équation de la vitesse:
racine carrée de(Vmini^2.(1-t/tau)+Vmax^2.t/tau).
cordialelment richard

Pour la décélération il suffit de changer Vmini en Vmax et Vmax en Vmini.
A+
Richard

Rebonjour Zgreudz
Je signale que Vmini est petit devant Vmax de 2.5/100.
A+
richard

la vitesse est:

Effectivement dans ce cas là l'acceleration en phase de démarrage est égale à cad approximativement , soit environ 100/2.5 x l'accéleration moyenne à Tau. Merci Mr Vialle.

Cordialement

Zgreudz

Richard Vialle avait été étonné que le sens de fonctionnement de la balance ait été inversé par rapport à ce qui se passait à Bordeaux. On avait constaté ceci ensemble lorsque je lui ai rendu visite, et il avait attribué cela au fait que le bras et le moteur étaient inversés dans leur position Est-Ouest par rapport à Bordeaux comme cause possible, mais sans avoir la moindre idée du comment et pourquoi cet échange pouvait produire cette différence.

Il a échangé les positions des bras de nouveau, pour les remettre comme à Bordeaux sur l'Est-Ouest et il a constaté que la balance continue à fonctionner à l'envers (c'est à dire qu'il a fallu changer le sens de rotation du disque pour obtenir les mêmes effets, par rapport à Bordeaux).

Il a pas mal cogité, et notamment au fait que le 31 juillet il avait fait une démonstration de sa balance à son voisin et il se rappelle que ça fonctionnait normalement, c'est à dire qu'il n'avait pas eu à inverser les fils d'alim pour que le comportement soir celui qu'il connaissait à Bordeaux.

Donc quelque chose s'est passé entre la démo à son voisin fin juillet et mon passage le 12 août.

Un de ses amis radiesthésiste à qui il en a parlé a mesuré que le champ énergétique terrestre s'(est modifié en août et pour lui (question ayant été posée au pendule) c'est cette modification qui a un impact sur ce comportement anormal. Si la chose est vraie (reste à voir) cela voudrait bien dire que sa balance fonctionne avec des effets absolument pas pris en compte jusque là et qui relèvent d'une dynamique énergétique (donc de l'éther local ambiant).

Voilà une info intéressante à ce sujet. Son radiesthésiste dit qu'il relève depuis août une très forte augmentation énergétique terrestre qui sort des normes habituelles et qui a des effets particuliers.

Je suppose que tu avais déjà vu ce papier de De Aquino sur une expérience similaire
http://issuu.com/aquino/docs/rotating_masses

bon 200000 rpm n'est pas à la portée du public je pense ...

Salut leTigre. Tu es sûr qu'il s'agit de vrai publication ?

Regarde bien :
http://issuu.com/aquino/docs/gravitational_blueshift
http://issuu.com/aquino/docs/rotating_masses
http://issuu.com/aquino/docs/dna

Exactement le même principe pour expliquer la gravité, la perte de masse et le DNA.... y a rien qui cloche d'après toi ?

Le document original de ces extraits est celui là :
Theory of Everything
http://arxiv.org/ftp/gr-qc/papers/9910/9910036.pdf
421 pages...

edit : document original retrouvé

Ce message a été modifié par BlueDragon le Mercredi 20 Août 2014 à 19h32

Non, je n'avais pas lu ce papier en particulier, car il est récent et que je n'ai plus lu de papier de lui depuis au moins 2 ans je crois.

Bon, toute la première partie, c'est ce qu'il met dans chacun de ses articles: il reprend sa théorie qui donne une variation de la masse lors de toute forme d'accélération subie par une particule de matière (à noter comme je l'avais déjà fait, que la formule, lorsqu'on essaie d ela mettre sous une forme comparable à celle de Richard VIALLE est exactement la même formule, avec un coefficient multiplicatif du terme second différent!!

Une telle analogie de formule m'avait poussé à lui écrire en lui soumettant la théorie de Richard; mais bon comme elle est écrite en français, je ne pense pas qu'il ait fait l'effort de s'y intéresser; bref il a la même théorie à la bas!!)


Ensuite il y a la particularité de calculer la réduction de masse sur la colonne d'air sur son disque, seule différence avec d'autres expériences similaires qu'il a indiqué comme testables pour ses effets. Essentiellement il n'y a presque rien de plus que dans ses autres papiers, tout tourne autour de la même idée; qui est une vision identique à celle de Richard, mais plus globale.

Mais Richard a fait mieux: il a obtenu cette formule en la déduisant d'un principe premier d'expansion de l'éther dans l'espace alors que de Aquino obtient la formule en disant que deux champs différents de la physique qui ont chacun des formules pondues du chapeau (non démontrées donc) ont un raccord et en raccordant il obtient sa formule.

Pour ce qui est de la remarque de BlueDragon, c'est normal: il utilise la même théorie qu'il essaie d'appliquer à divers domaines; il part toujours donc de la même formule, la formule de base de sa théorie. Ensuite il introduit la particularité de la façon dont l'accélération est fournie et cela aboutit à une formule dérivée et une expérience proposée. Mais le problème est que ces expériences sont toujours indiquées "comme faites et réalisées avec succès" implicitement ou explicitement et qu'on n'en voit jamais la couleur nulle part; et il ne répond pas à la question quand elle lui est posée.

Pour ce qui est de Richard, je lui ai dit que de mon côté, depuis 2009 où j'ai connu son procédé, un disque qui tourne est soumis à une accélération centrale et qu'il a donc forcément un effet de masse négative avec une rotation à vitesse constante. En accélérant la rotation il ajoute un effet de plus mais l'effet doit exister dans l'autre cas. Ce qu'il y a, c'est que le sens de l'accélération doit impacter la façon dont sa "masse négative" (moi je dirais "fluide d'aether en état modifié de vibration") est stockée et où elle est stockée, et donc l'effet observable ou pas par le système d'équilibre. je ne comprends pas pourquoi il n'a jamais voulu appliquer sa théorie à l'accélération centrale, autrement que par le fait que comme il ne l'observait pas en terme d'effet sur sa balance, c'est que ça ne donnait rien. Ce n'est pas mon point de vue; si ça ne donne rien pour l'accélération centrale; c'est que la balance n'est pas le bon moyen pour ça, car il manque la description de où va ce fluide d'aether, selon sa position il y a changement d'équilibre ou pas.

Fran de Aquino lui, considère l'accélération centrale (rotation ) vitesse constante) et donc c'est en cela que je dis que sa vision est plus globale; comme il considère toute forme d'accélération électromagnétique ou sonore (ce que fait Richard aussi). Donc chacun a des points intéressants, ils se complètent.

Ce qui importe le plus c'est l'expérience qui montre les effets, et là dessus pour le moment en terme d'expérience publique, c('est Richard le gagnant. En terme d'expérience grandiose mais seulement sur papier, c'est Fran de Aquino le gagnant. Mais je pense comme déjà dit, qu'il a une expérience réelle qui a fonctionné mais qui est possédée par les militaires!!

Dommage, je ne comprends pas ou peu la langue de Shakespeare
Mais, après avoir décortiqué, pendant 2 ans et c'est pas fini, la théorie de Richard, je peux dire que la théorie de Richard ; c'est comme une rivière : Elle prend sa source et se jette dans l'océan et elle coule d'une façon magistrale : il n'y a pas de magie, les équations coulent les unes après les autres avec une suite logique et harmonieuse

Chercheur, quand tu parle d'aether ; tu entends espace fluidique D ?
Parce que si c'est le cas et si j'ai bien compris, il n'est pas de notre univers, mais il faut pouvoir l'atteindre car c'est cet espace (fluidique D) qui peut extraire ou réintégrer de l'énergie de la bulle d'expansion R0 (qui est la mémoire originelle de toute masse de notre univers). Cette énergie va modifier le volume de la sphère d'expansion R3 (du même univers que R0). La seule façon d'agir sur D, est le temps, car il est commun au 2 dimensions, mais à des échelles différentes (temps normal et temps cosmologique)
En effet, l'aether pourrait être l'énergie contenue dans R0 et qui circule sur D

Je pense qu'il y a une chose qui n'est pas pris en compte pour l'instant et que je trouve capital : c'est l'interaction des sphères d'expansion qui se rencontrent. Cette union donne naissance à une ellipsoïde.
Comme on a vu que la théorie fonctionne quelle que soit la forme de la sphère d'expansion, alors cette ellipsoïde est énergétique ; c'est R3 de l'ellipsoïde, donc il y a systématiquement une naissance d'un espace fluidique D et un R0. Il y a donc une nouvelle représentation énergétique d'une masse provisoire, qui, en fait, n'existe pas, mais pourtant, perturbe notre réalité.
Quand on revient à l'état d'origine, les sphères reviennent dans leur position d'origine, jusqu'à faire disparaître l'ellipsoïde, et donc la perturbation.

Cette vision des interactions explique la modification des centres de gravité des balances mais aussi, le déplacement de la bulle de niveau : phase accélération ; à 1200 t/mn = interaction des sphères, apparition ellipsoïde, masse provisoire qui déséquilibre le plateau mais qu’énergiquement, déplacement de la bulle de niveau ; phase décélération ; à 800 t/mn = les sphères se séparent, l'ellipsoïde disparaît, masse provisoire disparaît aussi et le plateau revient en équilibre énergétiquement, donc la bulle revient au centre

Qu'en pensez vous ? Par contre il faudrait des mathématiciens pour servir de guides, pour définir les équations de la réunion des 2 sphères en ellipsoïde

Oups ! Désolé, une rivière ne se jette pas dans l'océan, c'est un fleuve, je crois !

Non, de ma conception, l'aéther n'est pas le fluide situé dans la 4ème dimension et y reste, mais le fluide qui entre dans nos 3 dimensions et s'y étend sans cesse. Quand Richard considère un élément de volume à 4 dimensions, c'est un tronçonnage d'un écoulement continu qui a lieu, et pas la limitation à quelque chose de fini: il regarde une tranche de fluide qui s'écoule depuis la 4ème dans les 3 dimensions et en regarde la dynamique, et ce fluide s'écoule chez nous, s'étend; on peut considérer la tranche d'après lui qui arrive en remplacement derrière et qui s'écoule chez nous, etc.

Moi de ce que j'ai compris de la vision de Richard ne colle pas avec la tienne; pour commencer. Et pour continuer ce que je perçois de l'aéther est quelque chose que Richard ne fait pas; c'est encore autre chose.

Encore une fois de ce que j'en ai compris, Richard ne dit pas que l'entrée du fluide depuis la 4ème dimensions spatiale ne fait que gonfler une sphère d'expansion qui serait comme un ballon de baudruche plus ou moins gonflé; mais c'est une insufflation dans nos 3 dimensions d'un courant qui se déverse chez nous dont l'accélération est décrite par une formule de décroissante sphérique en 1/R² comme l'est la gravité.

En ce qui me concerne il y a là confusion entre l'accélération (variation de différence de vitesse de débit d'un fluide qui circule en fonction de sa position) et le volume du fluide qui circule. Le fluide d'aether ne cesse d'entrer dans nos dimensions depuis une particule d'entrée, et s'étend vers l'infini , comme ou pommeau de douche qui arrose. Simplement si on regarde l'accélération de ce fluide, elle varie selon la proximité à la source centrale d'émergence.

Les particules ne cessent donc de pousser du fluide vers l'extérieur, les unes des autres, emplissant l'espace de ce fluide d'aether. Voilà ma compréhension du travail de Richard.

Ensuite ce que tu appelles des ellipsoïdes d'intersection des sphères n'a pas trop de sens en soi en ce qui me concerne aussi: tu parles de zones de gradients (sphères) d'accélération. Forcément quand tu as rencontré de ces gradients, cela crée simplement de nouveaux gradients somme vectorielle des gradients d'accélération locaux. au final cela signifie simplement que la rencontre de plusieurs vents de direction différente crée un vent qui aura une direction qui sera déterminée par la rencontre des autres. je ne comprends ni l'intérêt ni la nécessité devoir faire quelque calcul à ce sujet, tu auras peut-être des lumières à me communiquer là-dessus.

Comme quoi on en comprend tous des choses différentes

J'ai trouvé une façon d'expliquer la balance de Richard VIALLE en respectant les lois de la mécanique.
Mais ça repose sur des hypothèses que je n'ai pas les moyens de vérifier.

Pour accélérer le disque, on lui imprime un couple, fourni par le moteur.
Pour les couples, comme pour les forces, la loi de l'action et de la réaction s'applique, c'est à dire que, tant qu'on l'accélère, le disque exerce un couple opposé sur le bras de la balance.

Si la géométrie de l'appareil est parfaite, ce couple est orthogonal au pivot de la balance et n'a donc aucun effet.
Mais si l'axe du disque n'est pas exactement orthogonal à l'axe de la balance, une composante du couple aura tendance à faire monter ou descendre le bras.

D'autre part, ce couple est transmis par l'arbre moteur et là aussi, il y a un couple de réaction, encaissé par le bras de la balance, et qui a tendance à déformer le bras en torsion.

La géométrie du bras (deux tiges parallèles) rend facile la déformation en torsion.

Donc la mise en route du moteur provoque une torsion du bras de la balance, qui incline l'axe de rotation du disque.
L'accélération du disque provoque un couple de réaction qui, du fait de la torsion, n'est pas orthogonal au pivot de la balance.
Ce couple a donc une composante parallèle au pivot de la balance, qui fait basculer le bras.

Note: pour la clarté de l'explication, j'ai tout écrit à la forme affirmative, comme si j'étais certain de ce qui ce passe.
En toute rigueur, j'aurais du tout mettre au conditionnel, mais ça aurait été encore moins lisible.

Ce que je ne connais pas :
- la valeur du couple moteur
- la résistance en torsion du bras
Et donc :
- l'angle de torsion. Est-il négligeable ou non ?

On pourrait facilement le mesurer en fixant un pointeur laser au bras portant le disque. Si le pointeur laser est dirigé vers le haut, on devrait voir le spot au plafond dévier quand le bras se déforme.

[EDIT] Le problème ne se poserait plus si, comme suggéré précédemment le moteur était directement au dessus du disque (plus de torsion du bras) [/EDIT]

Bonjour Chanur
Ton analyse est sympa !
mais, comme tu le dis en bas, le cas du moteur dans l'axe du disque a été réalisé par des expérimentateurs (mécano et Biganos si je me rappelle bien : elles sont sur le forum)
De plus ton analyse n'explique pas la perte de poids sur les tubes en inox cintrés à 90° à des vitesses de cintrage différentes
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...opic=1711&st=30
Je maintiens donc, que la perte de poids est réellement due à une modification d'accélération (ce qui est démontré dans la théorie)
Mais merci pour cette analyse ; il faut continuer à proposer des pistes
La théorie continue à avancer, et il serait sympa d'avoir vos commentaires sur la théorie pure !
La vision des choses peut être différente et pourrait amener des solutions d'application intéressante (par exemple : le cintrage des tubes vient d'une idée de LeTigreFr et cela amène une pierre de plus à cette théorie)
Nous sommes sur un Brainstorming à cerveau collectif et les solutions vont arriver
J'en profite pour remercier le travail remarquable de BlueDragon pour l'étude d'un prototype de contrôle des vitesses qui sera nécessaire pour des reproductions de balance
Je répète : les applications de cette théorie sont INIMAGINABLES !

De rien, ça avance, ça avance...
Voici une prise d'écran de l'application 'Tableau de bord' qui servira justement à consolider tous les outils liés à l'étude des balances et des systèmes rotatifs pour l'effet vialle,depuis les calculs théoriques jusqu'aux tests :



Version en cours de Dev.

Bonjour

Je confirme que le moteur a bien été monté dans l'axe et au dessus du disque sur au moins 2 réplications. Ces balances comportent 2 bras reliés mécaniquement de manière à neutraliser le couple de torsion. Résultats identiques.

De plus il y a actuellement une autre expérimentation de mise en évidence de la masse négative qui est en cours, avec cette fois-ci un dispositif entièrement statique. Dans cette nouvelle expérience les interprétations d'ordre mécaniques ne seront plus recevables.