Orgone - Wilhelm Reich, théorie et expériences

ouf ! l'image n'est pas extra, désolé, mais j'ai fait ça le soir, en vitesse !
Enfin, ça montre l'essenciel .

une vue des ailettes :

Alors, maintenant qu'on a notre instrument, on va le faire fonctionner ! mais avant d'aller plus loin, il faut dabord prendre connaissance de la liste suivante: c'est la série triboélectrique: hyper important, car c'est a partir d'elle qu'on va pouvoir s'orienter rapidement sur le choix des matériaux a adopter !



Tiens , comme c'est curieux: la plupart des matières d'origine vivante, ont tendance à perdre des électrons par le frottement: Par contre, l'organique "mort" a une nette tendance a en prendre: bizarre??!!

Mais, bon: on tirera ça, au clair, plus tard !

Choisissons, maintenant, deux matériaux électriquement opposés: par exemple, le verre d'une fiole, en haut de la liste,+ donc, et un tube sanitaire PVC, en bas, - !



Pour déplacer les électrons du verre, on va se servir d'une feuille de plastique bien en bas de la liste, tandis que pour ajouter des électrons au tube PVC, on va extraire ceux d'un chiffon de coton, haut de liste !

Pour développer une charge positive sur le verre, on frotte, avec énergie, celui-ci, à l'aide du plastique !



Et immédiatement, on transfère la charge créée, à l’électroscope, par contact !



Les deux feuilles d'alu s'écartent

Ensuite, on décharge l'électroscope , en touchant la pointe de contact, ce qui le met à la terre ( avec les fortes tensions, la terre est très vite là! )

Même chose, cette fois, avec la charge négative de l'électroscope: on empoigne le tube PVC et on le frotte vigoureusement avec le chiffon de coton !



cette fois, contrairement a l'essai de charge positive, l'électroscope se charge par microclaquage, à travers l'air; on entend distinctement le grésillement caractéristique !





le contact final détermine la pleine charge de l'appareil: ne pas oublier que l'électroscope est, avant tout, un condensateur variable ! Bon, rien que dans ces petits essais, il y a plein de subtilités que l'on ne découvre qu'en observant attentivement ce qui se passe: trop long de tout exposer ici !

Sachez par exemple que lors d'une charge, une partie de cette charge va migrer des ailettes vers la paroi du récipient: et ainsi, lors de la décharge par contact, votre électroscope restera chargé de façon parasite, ce qui nuira de façon plus que certaine sur votre charge suivante: surtout si elle est de signe opposée: pour éviter cela, il faut souffler dans le récipient, pour libérer la tension parasite, et aérer de façon a évacuer la vapeur d'eau !

Approcher l'objet chargé près du récipient transfère aussi une charge parasite à celui-ci, de façon externe: à éviter donc !



Si, entre les deux, on intercale une feuille métal raccordée à la terre, il n'y a pas d'influence !

pour la suite, il nous faut un conducteur de charge FIABLE ![/U]

En effet, il ne faut pas trop compter sur les câbles et autre fils électriques, prévus pour le transport 220V/380V: leurs isolant sont souvent incapables de retenir longtemps les charges hautes tensions: mine de rien, par simple frottement, on atteint très rapidement plusieurs dizaines de millier de volts: j'ai comme ça, un ioniseur maison qui monte à trois quatre mille volts( multiplicateur de tension); et bien, il faut voir; les feuilles alu décollent juste un petit peu comparé à la tension obtenue avec le simple tube PVC, par exemple, où les ailettes alu sont prêtes à s'envoler !

On poursuit avec le cable coax, sans sa tresse ! Une pince croco, pas idéale, mais tant pis !

maintenant, on va rire !

je viens de tester mon premier accumulateur d'orgone, construit il y a plusieurs mois: en résumé: une canette inox entourée de couches alternée de feuille papier et feuilles inox: 5 couches !

Je charge l’électroscope, et j'approche le câble de l'accumulateur

contact !



paf ! Zéro; toute la charge est partie: je me dit: "forcement la capacité de l'accumulateur est forcement plus élevée que celle de ce petit électroscope" hein ?

Recharge, contact, recharge, contact,.......RAS!

Pas le moindre résidu de charge: tout semble partir à la terre ( ma table de travail, surface comprise est à la masse)

Je prend mon ioniseur, je le branche direct sur l'accumulateur, et là, tout est clair: il y a court circuit pour la HT: inox, forcement conducteur, mais papier aussi !

comme l'impression que je peux le démonter: pfffff !

J'attrape le second accumulateur, cette fois, 10 couches alternées alu/ feuille plastique alimentaire !
Je me dit: "plastique? cette fois, ça va isoler ! " Je teste !



contact !



Pareil ! Et m.... !

La charge tient a peine plus longtemps, mais fuite quand même !

Va falloir revoir tout ça sérieusement !

Tout ça pour dire que si l’efficacité d'un accumulateur d'orgone tient à sa capacité à retenir l'équivalent des charges électriques, et bien le choix des matériaux est tout à fait capital !

Depuis, j'ai testé d'autre matériaux, et j'ai souvent été surprit du peu d'isolation de beaucoup !
Tiens, comme matériaux triboélectrique négatif: j'ai testé une bougie de paraffine: frottée à la main, elle développe une charge extraordinaire qui reste très longtemps en place: je me demande avec la cire d'abeille ??!

Jolis tests! Bien documentés.

Pour ce qui est de la charge ou la minimisation de la décharge (selon conditions météo) de l'électroscope avec l'accumulateur d'orgone, il ne faut pas mettre ton électroscope en contact électrique avec les parois.

C'est l'orgone accumulée dans l'enceinte de l'électroscope qui va pénétrer les feuilles de l'électroscope et créer une charge complémentaire dedans, par l'orgone. L'électroscope doit simplement être mis dans l'accumulateur à orgone, et tu refermes ton accumulateur.

Protocole: initialement charges ton électroscope à un angle donné (mettons 45°avec un repère papier accroché derrière les feuilles de l'électroscope ça serait l'idéal, gradué en degré). Ensuite tu comptes combien de temps il faut pour que ton électroscope arrive à un angle inférieur donné (mettons 5°) par la décharge naturelle due à l'ionisation de l'air.

Puis tu recharges ton électroscope au même niveau de nouveau, et tu l'enfermes dans l'accumulateur d'orgone (mais sans fil branché sur la paroi). Puis au bout du même temps donné, tu regardes où en es ton électroscope. Normalement là tu as moins de décharge. Alors on peut dire que c'est parce que en étant enfermé l'air n'ionise pas pareil. Donc pour comparer, tu fais la même chose avec le même récipient du même métal mais sans les tours autour qui font les couches d'accumulateur d'orgone et tu vois que ça n'est pas ça qui joue un rôle. Et même si tu as de la chance (ça dépend des fois selon ce que disait Reich) tu peux constater que ton électroscope a un angle supérieur, genre mettons 60°: au lieu de se décharger il s'est rechargé (ça c'est si tu as eu une charge d'orgone forte qui a non seulement compensé un peu la décharge mais carrément créé une charge plus grande que l'initiale même).

Voilà pour les tests menés par Reich avec l'électroscope; si tu veux recommencer!

Est-ce que ta boite plastique à électroscope rentre entière dans ton accumulateur d'orgone? Sinon il la faut plus petite.

Voilà comme promis les information de Reich sur ce qu'il a fait concernant l'observation visuelle de l'orgone: matériel utilisé, le pourquoi avec son historique, bref de quoi comprendre et refaire:





















Là aussi je reste à la version anglaise. Ceux qui sont intéressés liront, un petit effort. J'ai lu ça ce matin et c'est très intéressant.

Il me faudra un morceau de papier fluorescent à mettre dans ma chambre noire pour faire comme lui.

Bonjour,

Oh ! le but de cette première manip n'était que de vérifier le niveau d'isolation électrique de mes deux accumulateurs: décevant de ce point de vue: ceci dit, pour le moment, le temps est couvert et humide, et est sans doute responsable d'une partie de la "fuite" électrique ! Je vais faire ce que tu as dit: déjà, perfectionner l'electroscope pour en faire un électrometre ! Puis, voir par temps sec !

Ensuite le placer dans l'accumulateur puis, à l'air pour faire des tests comparatifs :
parceque l'orgone chargé n'aura peut être pas exactement le même comportement que la pure électricité: et de ce point de vue, le niveau de fuite de la partie "isolante" de l'ORAC ne sera peut être pas aussi déterminante qu'avec les charges classiques: je vois ça, se soir !

En tout cas, très bien toutes ces infos que tu amènes , merci

Tiens, encore autre chose: les flying dots que voit Reich dans ses orac ! Ils ont un parcours assez étrange, n'est ce pas !? Sorte de trace en tire bouchon !

Et bien, j'ai dejà vu ce genre de trace, ailleurs !

Dans le rayonnement issu de l'explosion électrique de fil de tungsten, sous l'eau !
Des spécialistes du rayonnement a qui on a soumis les clichés, disent ne pas savoir de quoi il s'agit: le rayonnement se balade à angle droit d'un champs électrique et parallèlement à un champs magnétique ( de mémoire ) ! ça ne te rappelle rien ?

Je vais essayer de retrouver les infos et photographies: ça concerne des recherches sur le monopôle magnétique si tu vois ce que je veux dire: comme chercheur dans le domaine, il y a le français Georges Lochak !

encore une couche !

tu disais:

Un de mes cousins qui fabriquait des émetteurs pour radio libre (à l'époque ), pour les tester, il utilisait des tubes néon: ceux -ci, amenés à proximité, devaient s'allumer si l'émetteur fonctionnait a plein rendement !

Et de mon coté, lorsque j'étais à l'armée, la nuit, j'avais remarqué qu'en approchant ma main du tube se trouvant au dessus de l'évier de la chambrée, ce dernier s'allumait faiblement: intrigué, j'ai réfléchit jusqu’à apprendre qu'un émetteur radio se trouvait dans le bâtiment !

Comme quoi, sans s'en rendre compte, on est de formidable éponge/antenne électromagnétique: je serais curieux de voir si dans une parfaite cage de Faraday, on aurait encore ce genre de phénomène ?!

Bonsoir à tous !

Concernant l'électroscope . . .

je ne sais pas si cela peut vous aider , mais lorsque j'avais réalisé mon premier système Lord Kelvin , j'avais trouvé un lien pour faire un petit détecteur très simple de charge électrique :
http://amasci.com/emotor/chargdet.html


Bonne soirée . . .


Robert . . .

Merci Robert,

l'a l'air plutôt sensible ton électromètre : à mon avis, ça va être un peu compliqué a utiliser tel quel !
merci quand même

Hum !

je viens de tester un petit versorium en alu: et là, surprise !!

avec mes semelles isolantes, je suis resté chargé durant la manœuvre de charge manuelle: et vla ti pas que j'arrive à le faire tourner avec le bout des doigts ou la paume de la main !

Tout ça pour dire à quel point il faut se méfier des erreurs de manip: ces charges parasites sont bien capable de fausser tous les résultats d'un test, si on n'y fait pas gaffe....

je vais essayer de vous mettre une petite vidéo explicite :

Le problème de l'électricité statique pur ce genre de mouvement a déjà été soulevé dans un autre sujet ici d'ailleurs:
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...indpost&p=20157
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...indpost&p=20162

ça a été déjà discuté aussi dans les forums de ONCT avec quelqu'un qui avait fait bouger quelque chose d'identique avec du statique. Comme je l'avais alors souligné, si on veut créer un effet artificiel, plein d'options sont là, du statique, aux courants de Foucault, courant d'air, au magnétique pur, au fil caché, etc. Il n'y a que celui qui fait qui sait ce qu'il a fait.

Discussion sur ONCT à ce sujet:
http://www.onnouscachetout.com/forum/topic...post__p__396751
http://www.onnouscachetout.com/forum/topic...post__p__396827

Seul celui qui fait ses tests sait s'il s'est chargé statiquement à un haut niveau par frictions intenses.

On le voit aussi clairement quand on fait son test si c'est du statique car le statique fait systématiquement bouger l'objet par passage en face, attraction; ce qui n'est pas le cas d'un essai télékinésique ou où peut passer un certain temps et même un temps certain (j'ai passé 10min au moins sans que rien ne se passe hier) à passer ses mains pour obtenir quelque chose sans qu'absolument aucun mouvement ne se produise du tout... jusqu'à ce que soudain ça marche (et pas de frottement statique entre deux), donc le statique n'apparaissant pas par miracle d'un seul coup dans les mêmes conditions dans ce cas c'est clairement sans aucun rapport.

On peut aussi percevoir ça sur les vidéos lorsque ça ne marche pas, puis que ça marche, mains dans les mêmes secteurs de passage. Ce qui pose question, c'est seulement lorsque ça marche de la première à la dernière seconde à chaque passage: là on peut se dire qu'on a du statique dans les mains.

Bref pour revenir à nos moutons il faut se vider de tout statique pour manipuler l'électromètre. Toucher le sol (on est quand même un "bon" conducteur au regard de la tension statique autre, mais la terre l'est mieux encore que nous!!) et si ça ne suffit pas (mauvaise mise à la terre) il suffit de se rincer les mains à l'eau; l'eau va immédiatement emporter toutes les charges statiques avec elle. Attention à faire pareil avec les vêtements qui auraient été chargés sur les manches dans ce cas: gant mouillé ou éponge mouillée dessus. Bonne précaution à prendre si on ne veut pas fausser ses mesures électrostatiques électroscopiques!

Ce message a été modifié par Chercheur le Samedi 26 Novembre 2011 à 09h29

Je mets ici un extrait de la section qui discute de la mesure thermique d'un accumulateur d'orgone, la fameuse expérience T(o) - T(i) (Température outside - Température inside) ensuite appelée T(o) - T puis en abrégé ToT.

Ceci pour montrer que la fenêtre de vue est un tube avec un disque de cellulose au bout:


Alors on voit que c'est la même chose dans l'orgonoscope que j'ai cité ici:


Donc on peut se demander ce que vient faire cette cellulose ici (et la grille devant aussi?)

Si on suit ce que dit Reich, il indique avoir utilisé pour amplifier les phénomènes énergétiques dans l'accumulateur d'orgone, un plateau de verre fluorescent pour visualisation des rayons-X après avoir montré qu'un disque de papier de zinc sulfide (matériau fluorescent) déposé dans la pièce accumulatrice d'orgone semblait plus lumineuse que le reste de l'environnement dans la pièce.

Ce type de matériau fluorescent est un dispositif amplificateur qui crée de la lumière visible à partir de rayons-X. Les rayons X qui percutent le matériau fluorescent illuminent ce matériau permettant de rendre visibles des rayons invisibles. En fait ce sont les rayons à haute énergie qui le percutent qui provoquent de la visibilité, il faut une énergie dépassant un seuil minimal. L'énergie du faisceau impactant le matériau se transmet alors au matériau qui produit une lumière visible. Ensuite le film à "rayons-X" est accolée à ce matériau et en fait le film en lui-même n'est pas du tout sensible aux rayons-X mais est sensible à la lumière visible produite par le matériau fluorescent (en fait le film est aussi sensible aux rayons-X mais très peu: le film ne ferait que se voiler uniformément exposé aux rayons X, sans aucune image de os radiographiés du patient, c'est le papier fluorescent qui fait tout ce travail d'image).

Voir ici une expérience "maison" d'appareillage à rayon X bricolée avec un appareil numérique, du papier fluorescent et un tube à rayon X:
http://www.celnav.de/hv/hv7.htm

Voilà ce que le papier fluorescent affiche:


Reich s'est servi de ce matériau placé au bout d'un tube de visée oculaire allant dans la pièce et indique avoir vu alors des points lumineux (donc les particules énergétiques d'orgone sont de haute fréquence, au moins supérieure aux rayons x qui sont le seuil minimal pour produire de la lumière sur ce type de matériau... cela rejoint les travaux de Marcel Violet encore une fois dont l'ami académicien René Barthelmy avait pu montrer que les "ondes de vie" ont une fréquence supérieure à celle des rayons X....).

Pour en montrer l'objectivité il met une lentille avant son oeil, avec mise au point sur ce matériau et observe des points lumineux plus gros, preuve que ces points sont réels et pas une illusion d'optique dans l'oeil.

Comme là aussi on a clairement une mise au point sur le disque de cellulose et qu'il est utilisé comme écran de visualisation de ce qui se passe dans la chambre à orgone (ou comme extrémité de l'orgonoscope) il parait indispensable de conclure que ce matériau sert là aussi de matériau fluorescent.

Notamment si on regarde l'enchainement des pages où est décrit l'orgonoscope:


Donc il indique qu'en regardant à travers l'orgonoscope basique constitué d'un tube seulement il perçoit des points et traits lumineux subtils et qu'il améliore le système, en nous donnant le schéma de l'orgonoscope avec la cellulose. Et ensuite il dit être capable de percevoir des points lumineux de façon indiscutable, des flashs de lumière individuelles, quelque chose de plus intense. Preuve encore une fois qu'il a amplifié le phénomène lumineux.

Donc la conclusion est que sa cellulose est un matériau amplifiant le signal reçu.
Toutefois ça n'est plus un morceau de matériau fluorescent pour machine à rayon-X qu'il utilise.

Alors petite recherche... Et on trouve que la cellulose, en particulier l'acétate de cellulose est un matériau naturellement fluorescent sous lumière ultraviolette (donc avec un seuil d'énergie plus bas que les rayons X) ce qui lui permet de rendre visible toute énergie d'échelle ultraviolette ou supérieure.
http://www.xolopo.com/agricultural_science...osics_8031.html

En fait c'est un matériau qui est donc meilleur que celui pour rayons X car il permet de créer de la luminosité dès les ultraviolets, donc dès les particules d'orgone de plus bas niveau d'énergie. Certains particules d'orgone sont d'un niveau d'énergie encore plus bas, sont visibles: c'est celles qu'il perçoit à l'oeil nu dans le ciel. Mais en y adjoignant les particules qui sont dans l'ultraviolet rendues visibles par la cellulose (qui transforme en lumière visible les rayonnements d'échelle ulraviolet ou plus) il voit quelque chose de plus intense.

Voilà donc deux options pour la visualisation de l'orgone:

1) matériau fluorescent pour visualisation de rayons-X

J'ai cherché où ça s'achète. Il a fallu pas mal chercher.
Ce matériau recouvre l'intérieur des cassettes à rayons-X permettant d'insérer le film sensible dans les machines à rayon-X. Une personne sur internet dit avoir pu demander ça en récupérant une cassette bonne pour la casse (la partie mécanique étant abîmée) dans un centre de radiologie d'un hôpital et a pris la feuille fluorescente intérieure qui elle marche (ça ne se "casse" pas ça). Sinon on trouve dans les fournisseurs de matériel pour machine à rayon-X.
En français cela s'appelle "Ecran renforçateur pour rayons X" et en anglais "X-ray Intensifying screen":
http://eamer.carestreamdental.com/fr-fr/fi...-cassettes.aspx
http://www.xraymdm.com/xrayscreens.htm
http://www.radbazaar.com/catalog/product_i...c2af590ddb506a8


En cherchant un peu on trouve même une raison à l'existence de grilles devant l'amplificateur de lumière: des grilles qui empêchent les rayons-X diffusés dans les autres directions que celle de visée d'arriver sur le papier fluorescent:
http://istmt.e-monsite.com/pages/tech-de-l...developpem.html

2) matériau en cellulose contenant de l'acétate de cellulose
http://www.abaqueplast.fr/produits/fiche.php?id=136
http://www.amazon.fr/dp/B0002S4DOO/ref=asc...ASIN=B0002S4DOO

Mais des matériaux composés dérivés de la cellulose sont bien plus fluorescents que la simple basique cellulose:
http://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1081/MA-120025307

Qu'est-ce qui est le mieux en terme de rendement fluorescent: à chercher!!

Je suppose que chacun doit avoir un avantage: d'être plus sensible à sa gamme de fréquence seuil car il doit y avoir aussi un seuil maximal de sensibilité.

Ce message a été modifié par Chercheur le Samedi 26 Novembre 2011 à 09h41

Voici des informations complémentaires, provenant là aussi de Reich lui-même, à partir de son ouvrage autobiographique parlant de ses travaux jusqu'en 1947:

"American Odyssey"

J'ai pu en trouver une version sur scribd:
http://www.scribd.com/doc/4726553/Higgins-...s-19401947-2004

J'ai cherché spécifiquement ce qui se rapport à la cellulose, l'orgonoscope ou la fluorescence dans le texte. On y trouve ces éléments utiles:

















On y lit donc les informations suivantes: le disque de cellulose est de l'ester de cellulose (acétate de cellulose). Le disque peut être utilisé en lui-même non traité, ou bien avec une couche de sulfure de calcium comme c'est le cas pour son orgonoscope, ou de sulfure de zinc en remplacement (matériaux fluorescents); ou même dans de bonnes conditions, sans disque de cellulose l'orgonoscope fonctionne.

Donc il a essayé plusieurs options, et il a quand même ajouté une couche de matériau fluorescent de plus à la cellulose parfois (la cellulose devient fluo en ultra violet et la couche de sulfure peut aller jusqu'aux rayons x).

Comme il l'indique aussi, l'orgone rend fluorescent tout matériau susceptible de fluorescence. C'est dans ces conditions qu'il a observé l'orgone dans sa chambre à orgone en tous cas.

Donc à tester: acétate de cellulose simple, et trouver du sulfure de calcium ou de zinc à appliquer en couche à peindre sur le cellulose en option si on n'observe pas grand chose avec la cellulose simple.

quelle mine d'or, ce bouquin !!

mais, là, concernant l'aspect électrostatique, il a l'air de dire que l'orgone en lui même n'est pas électrifié: sa dernière phrase est éloquente à ce sujet: il pense plutôt au magnétisme: ce qui, peut être, nous ramène au monopôle magnétique de Dirac !

Et, un monopôle magnétique est un neutrino excité magnétiquement, d'après le même Dirac !

On pourrait se demander dans quelle mesure un monopôle magnétique serait susceptible de créer des charges statiques !

A propos, voilà le cliché (pas excellent ) d'un monopôle en mouvement; je trouve qu'il y a quelque chose en commun avec la vision de l'orgone: mais, bon ?!

Je me demande si magnétique n'était pas entendu au sens d'un flux comme le magnétisme; qui circule et traverse l'espace, peut s'accumuler.

Pour ce qui est du monopôle magnétique, je ne connaissais pas ces tracés. Cela vient d'où?

Les charges créées sont en tous cas dûes à l'accumulation d'orgone statiquement dans la matière. L'orgone est soit libre, soit piégée et dans ce cas les particules qui la piègent ont une "charge" orgonale.

J'ai fini par trouver un endroit où ils vendent à pas cher les écrans renforçateurs:

Description:
http://www.soyeeproductsny.com/product.htm?id=p41dmem1

Vente:
http://www.medexsupply.com/x-ray-equipment...31-348-1023.htm

C'est vraiment correct comme prix en taille 5''x7''
Par contre il y en a pour aussi cher en port (53$) qu'à l'achat de deux écrans, l'un en vert et l'autre en bleu au maximum de vitesse (sensibilité 800) en 5''x7''

Les bleus ont du phosphore, que les verts n'ont pas, ce qui les rend plus lumineux. Mais aussi cela les rend plus rémanent. Donc avantage et inconvénient, d'où avoir un en série bleue et l'autre en vert c'est bien.

J'ai pas mal étudié la question de l'acétate de cellulose. J'ai trouvé des boites qui en vendent, mais c'est des grandes dimensions, genre 1m40 sur 60cm (ça sert à l'imprimerie) et là ça coûte déjà plus cher que les deux écrans renforçateurs port inclus. Rhône Poulenc avait le quasi monopôle de cette cellulose appelée Rhodoïd ou celluloïd mais ça a été supplanté par le polyester et du coup ça se vend moins!

En plus il faut acheter une peinture fluorescente dont on n'a pas la certitude de la qualité (ça ça ne coûté pas cher et ça se vend en France, ici par exemple):

Peinture opaque blanche:
http://www.conrad.fr/peinture_fluorescente...581_1010734_FAS

Peinture résine transparente, plus cher:
http://www.conrad.fr/peinture_uv_fluo_bleu...549_1010715_FAS

Alors à moins de trouver de l'ester de cellulose à pas cher, les écrans à rayon x sont le premier choix finalement.

J'ai vu qu'ils faisaient de l'électrophorèse sur bande d'acétate de cellulose en bio dans mes recherches, mais pas pu trouver de fournisseur.

Pour l'acétate de cellulose, je pense que tu en as à la maison ou au lycée...
La balle de ping-pong qui brûle bien.

Mais je pense que les transparents qui passent en imprimante ou photocopieuse pour une utilisation en rétroprojecteur ou typon de circuit imprimés, en sont.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Transparent_(projection)

Tu dois bien avoir cela qui traîne dans un classeur...

**
Pour la peinture UV, je vois pas mal de peinture à l'eau. Est ce que cela tiendra sur le transparent ?
Mais il y a aussi des stylos-gel pour décorer des tissus, pour marquer les biftons, du maquillage pour les yeux ou la peau, et aussi du vernis à ongle (panoplie sortie boîte de nuit).

Je ne pense pas que les surligneurs soient efficaces...

Merci pour l'info. J'y ai pensé aussi, en fait c'est même la première chose que j'ai cherché en magasin hier: des feuilles transparentes pour écriture au feutre pour vidéo projecteur ou impression laser; en espérant que dessus ça serait marque en quoi c'était composé. Mais hier je n'ai rien trouvé, je suis allé en supermarché, et il faudrait aller en magasin spécialisé papeterie. Je sais où il y a ça.

Le souci, c'est qu'aujourd'hui est appelé Rhodoïd du matériau en polyester ayant la même apparence (d'où l'appellation identique) que l'acétate de cellulose qui avait cette seule appellation par le passé. C'est des infos que j'ai trouvé sur le net ça. Donc il me faut le paquet pour voir ce qui est écrit dessus pour la composition réelle.

Pour ce qui est des balles de ping-pong, va me falloir du plat, n'y a-t-il pas mieux?

Normalement l'acétate de cellulose était préconisé car moins inflammable justement, selon sources internet dans mes recherches... tu es sûr que ça brûle bien la balle de ping-pong? si oui ce n'est peut être pas en acétate de cellulose du coup?

Salut,

j'aurais voulu vous mettre en ligne un document PDF qui permet de faire le rapport entre certaines propriétés de l'orgone, celles du monopôle magnétique et celle de l'energie radiante de Tesla: quelqu'un a une idée ?

Pour l'électroscope, de toute évidence, un container en métal conducteur est préférable à celui en plastique: le métal évacue les charges parasites provenant des ailettes:

Tiens ! pour l'orgonoscope, à une époque, j'avais utilisé une webcam pour enregistrer des spectres atomiques fournis par la décomposition de la lumière (système à fente et diffraction par CD ):

Pour déposer un fichier PDF téléchargeable par tous tu peux utiliser ce que j'ai utilisé pour faire ça pour des documents de la zone privée sur Boutard, avant que Biganos (encore merci à lui pour ça!) ne nous fasse un système interne de dépôt de fichiers pour le site:

https://www.archive-host.com/

Tu t'enregistres et tu auras un compte où tu peux déposer pas mal de fichiers. Taille limite d'un fichier: 25Mo je crois.

Oui, tu as tout à fait raison, sinon les charges peuvent se déposer sur le bocal qui couvre ton électroscope. Il faut donc le mettre dans une boite en métal avec des fenêtres en plastique pour voir les feuilles de l'électroscope, mais il faut aussi que cette cage métallique soit mise à la terre pour écouler les charges.

En le mettant dans l'accumulateur, il faudrait quand même surélever l'électroscope du fond de l'accumulateur pour qu'il ne soit pas en contact avec la boite d'accumulateur pour ne pas en perturber le fonctionnement (sinon la zone de l'accumulateur en question ne réfléchit plus l'orgone).

Mais bon même si l'électroscope n'est pas idéal, il marchera quand même, toutefois il peut finir par se fausser.

Un lien:
http://ressources.univ-lemans.fr/AccesLibr...qmRefresh=false

J'ai fini par trouver des feuilles d'acétate de cellulose à prix correct ici:
http://www.geant-beaux-arts.fr/Feuillederh...rs-creatifs.htm

Comme il n'était pas précisé si le rhodoïd en question étant en polyester ou en acétate de cellulose, j'ai téléphoné et c'était indique acétate sur leur base de données; Donc c'est commandé.