Orgone - Wilhelm Reich, théorie et expériences

merci Chercheur: je met ça en ligne ce soir !

juste une réflexion, encore: si on opte pour l'idée comme quoi l'orgone serait un hydrino chargé négativement, alors, on peut s'attendre à devoir manipuler quelque chose qui ressemble à un ion d'une certaine taille: contrairement à l'hydrino neutre, qui lui, est très petit et s'infiltre à peu près partout, la version chargée pourrait bien avoir la taille d'un atôme normal: donc, un pouvoir de pénétration plus réduit: au départ, j'avais pensé que l'orgone pouvait s'accumuler en passant à travers les couches de l'accumulateur, un peu comme une éponge se gorge d'eau: mais maintenant, vu sous l'angle d'ion chargé, ça ne parait plus possible: les ions négatif se scotchent au diélectrique et ne passent pas au travers: quelque chose me dit, au contraire que l'orgone s'accumule sur la paroi métallique interne de l'accumulateur, en y entrant par la porte, et non en passant par les parois ! L'aspect électrostatique de l'accumulateur me parait de plus en plus important: simplement le fait de savoir que Reich dit qu'un orac de 3 couches possède 70% de la capacité d"accumulation de celui de 10 couches, pour moi, ça parle !

Les alternances de métal et de "diélectrique" sont là pour augmenter simplement la capacité de charge de la couche interne, celle, unique, qui reçoit et stocke l'orgone, de mon point de vue !

Evidement, on pourrait se dire qu'en mettant à la terre la couche métal la plus externe, on pourrait encore augmenter la charge: j'imagine que si Reich ne le mentionne pas, c'est qu'il y a des raisons de ne pas le faire: lesquelles ?

Dernière chose: un bon critère de sélection de "diélectrique" serait de vérifier si, par frottement, le matériaux tient sa charge: étincelles visibles quand on enlève un pull de laine dans le noir, par exemple: avec le froid qui s'annonce ça ne devrait pas poser de problème !

je vais essayer de finir un ORAC, parfaitement isolé pour les très hautes tensions, et je vous dit quoi pour les tests !

à+

Je ne pense pas que l'orgone soit assimilable à un quelconque ion; non pas question d'intuition personnelle mais en regardant les éléments d'expériences obtenus par Reich.

Je documente mon propos:

L'orgone s'accumule dans un accumulateur d'orgone complètement fermé; l'orgone en traverse les parois, elle est là. On peut toujours dire que l'accumulateur d'orgone n'est pas totalement étanche mais les projecteurs à orgone (tubes à essai remplis de laine d'acier scellés hermétiquement par un bouchon en liège ou en caoutchouc) accumulent l'orgone eux aussi et ils sont hermétiques eux!

L'orgone traverse facilement toute matière et pourtant elle peut rester absorbée par des absorbants organiques (ou acryliques) ou être attirée par le métal et réfléchie par lui. Cela paraît contradictoire: si elle ne passe pas à travers alors normal qu'elle soit réfléchie pourrait-on se dire; oui mais elle passe à travers et aussi elle est réfléchie par le métal.

Je n'ai pas de réponse au comment cela marche, mais je peux essayer de supposer tout de même quelque chose: l'orgone traverse la matière tout en ayant une interaction avec elle. Avec les plans cristallins de métal une faible fraction est réfléchie et une très grosse proportion passe au travers. Si mettons 0,001% de l'orgone qui passe est réfléchie, tout dépend de sa vitesse de circulation, mais elle repart sur la face opposée de l'accumulateur avec une quantité multipliée par (1+0,001%)=1,00001

Puis elle repart en sens opposé avec une quantité multipliée par 1,00001² puis au rebond elle repart avec une valeur multipliée par 1,00001^3 etc. C'est une série géométrique.
Il va falloir alors 69 315 allers-retours pour arriver à multiplier la quantité d'orgone par 2 dans l'accumulateur ou 230 259 fois pour la multiplier par 10 ou 460 519 fois pour la multiplier par 100. Bref on a compris qu'il faut beaucoup de rebonds successifs pour que cela augmente lentement. Or les tests réalisés au détecteur à orgone d'un des articles que je mentionnais précédemment dans Heretik's book indiquent que l'orgone se déplace avec l'air, au même rythme que le vent; elle ne va pas à la vitesse de la lumière.

Quand bien même son mouvement est accéléré par le métal qui l'attire, même si l'orgone va à une vitesse de mettons 20 km/h dans l'accumulateur (tous ces chiffres sont pris un peu au jugé pour illustrer le propos) cela fait pour une distance entre plaques de 20cm (petit accumulateur à orgone en boite pour graines) un temps de 16 578 secondes à ce rythme pour multiplier la charge d'orgone par 100, soit un peu plus de 4h et demi.

Comme les valeurs que j'ai mises sont au hasard, si il y a 100 fois moins d'orgone réfléchi, il faudra bien plus de temps pour arriver au même résultat. De plus on ne sait pas à partir de combien de densité d'orgone par rapport à la normale les effets donnent tel résultat biologique ou tel résultat électrostatique. Bref on ne cionnait aucun des paramètres et on ne peut rien calculer, mais je voulais montrer que supposer une faible réflection (on ne récupère que très peu d'orgone qui circule sdous forme piégée) amène à devoir attendre un certain temps pour que l'accumulateur ait concentré l'orgone.

De plus j'ai supposé là que la réflexion sur les surfaces est indépendante du milieu, mais avec un milieu chargé en orgone, la réflexion peut changer et diminuer, amenant un effet de saturation faisant qu'un accumulateur donnée va accumuler de moins en moins d'orgone avec le temps qui passe (car la charge d'orgone monte) et finit par arriver à une valeur limite.

Tout ça aussi pour conclure que le fait que l'orgone traverse la matière n'est pas incompatible avec le fait de l'accumuler par des réflexions sur les métaux dans un dispositif en boite.

De même qu'une faible fraction est réfléchie, une autre faible fraction peut être absorbée pour ensuite être ré-émise (comme un rayonnement) exactement pareillement à un atome excité par de l'énergie lumineuse qui va absorber quelques photons et ensuite de désexciter en le ré émettant). Là aussi selon les matériaux ce coefficient d'absorption et le temps moyen de ré émission doit changer. Expérimentalement c'est les matériaux organiques et l'acrylique (ayant en commun certains atomes ou certains groupements bon absorbants d'orgone) qui jouent le rôle de bon absorbant (bon coefficient d'absorption).

Au final tout est très compatible avec une énergie qui circule en flux traversant tout et ayant un certain coefficient d'absorption selon matériau et coefficient de réflexion selon matériau.

Il suffit aussi de regarder les expériences de Marcel Violet à ce sujet; puisque j'ai déjà souligné le fait que des similarités amènent à conclure qu'il captait de l'orgone: il parle d'un rayon accompagnant la lumière qui traversait une paroi opaque à la lumière.

Au titre d'énergie, l'orgone n'est pour moi pas une particule, et pour Reich non plus: elle était bien de l'énergie, un flux qui circule. Alors bien sûr on peut toujours voir une énergie comme un flux de particules transportant l'énergie (comme on voit la lumière comme étant constituée de photons) ou une onde à haute Fréquence (Violet nous indique des fréquences supérieures aux rayons X).

L'Hydrino dont tu parles est pour moi une énergie, c'est à dire une particule si tu veux, mais pas faite de matière solide dans ce cas; et pouvant traverser la matière. Donc pas de situation matérielle sur laquelle raisonner. Toute particule de matière excitée de façon particulière pourrait se transformer éventuellement en énergie = particule n'étant plus matérielle = particule pouvant traverser la matière en ce sens là; mais on ne peut pas compter la piéger par des barrières matérielles, pas plus qu'on ne piège les neutrinos. On en pièce une portion dépendant de la capacité d'absorption (on parle de section efficace de collision en physique des particules).

Bref voilà ce qui me fait dire que parler d'ion n'est pas un concept qui me parle pour ces expériences. L'orgone ne s'accumule pas sur la paroi, elle s'accumule dans l'accumulateur, et la réflexion sur les parois produit un chic cinétique qui produite de la chaleur détectée par l'expérience ToT selon ce qu'en concevait Reich là aussi.

Enfin l'orgone est probablement chargée (il y a certainement une polarité, il suffit de voir le fait que les pratiquants du "chi" émettent une orgone positive ou négative (énergie vitale ou "chi") et dont le contact provoque des "décharges électriques").

Mais cela ne veut pas dire qu'on parle de charges + et charges - au sens charges électriques de Coulomb. D'ailleurs le flux d'orgone circulant depuis un pack de bion ou un émetteur à orgone ne produit aucune charge électrique directe sur son passage: si c'était un flux "d'ions" ça serait pourtant le cas. C'est lorsqu'elle s'accumule de manière stationnaire dans un accumulateur à orgone jusqu'à une certaine charge qu'elle produit un effet de charge. Il est probable qu'il y ait donc un système d'ondes stationnaires véritable qui s'installe (l'orgone étant une onde) qui va permettre un cumul des polarités de l'orgone (peut être la polarité est une simple phase de l'orgone) et créer des zones de cumul de ces polarités, créant des "charges" d'orgone = paquet d'orgone de même phase au même endroit qui s'accumule.

Reich l'a bien précisé: ce n'est pas un phénomène électrique.

Alors oui, mais il y aurait une faille dans mon raisonnement: j'ai dit que le pack de bions provoque des charges dans un condensateur. Non, pas vraiment de faille car on a une charge qui s'établit dans le condensateur, mais pas entre deux fils disposés à l'air libre dans l'espace environnant le pack de bions.

Il se passe donc quelque chose dans le condensateur. Et bien figurez vous que le condensateur est un mini accumulateur d''orgone: deux plaques de métal séparées par un diélectrique. L'orgone traverse les plaques en aller retour par rebonds, la distance étant de l'ordre de micromètres entre les plaques, ça prend une fraction de seconde pour faire des centaines de milliers d'allers retours et cumuler des densités d'orgone comparables à un accumulateur d'orgone d'échelle humaine. De plus le diélectrique doit avoir une capacité d'absorption aussi et retenir un peu de l'orgone qui stationne; augmentant l'effet. Des ondes stationnaires s'installent aussi, créant une séparation des ondes d'orgone d'une phase donnée ou d'une autre, et donc à nouveau des charges fictives. Ceci est une supposition encore une fois, basée sur la même idée de départ. Et en effet si on met deux fils séparés de mettons 1 cm à côté du pack de bions on n'a aucune tension électrique, preuve que ce sont pas des charges qui se balladent directement, mais que le condensateur a un rôle spécial.

Voilà ma conception de la chose. En tous cas, sans affirmer avoir une vérité là dedans, car ce sont des suppositions, je peux dire quand même que ce que Reich a pu constater expérimentalement, et là c'est incontournable (et moi aussi par mes tubes rayonneurs) c'est que l'orgone traverse toute matière, et pourtant peut s'accumuler dans des systèmes à plaques de métal se faisant face. Et aussi il a constaté qu'il n'y avait aucune création directe de charge, c'est le cumul dans des accumulateurs d'orgone ou des condensateurs ou des absorbants particuliers qui produit des effets de charge identique à l'électrique (mais pas électrique).

oui, on a affaire à autre chose , manifestement: ce que j'ai pu constater jusqu'ici de mes essais électrostatiques, c'est que lorsqu'on approche un petit porteur de charge ( genre petite balle légère chargée, au bout d'un fil) d'une plaque métallique, celle ci va en absorber le charge, le porteur se détachant de lui même du métal: ensuite, si on recharge régulièrement le porteur et qu'on le met en contact avec la plaque de métal, celle ci voit sa tension électrique augmenter: et vient un moment où le porteur, chargé ne sait plus atteindre la plaque parceque la charge totale de celle-ci a atteint un seuil de tension qui repousse le porteur chargé:fonction de sa masse: même signe électrique: je me suis demandé si ce n'était pas ce phénomène qui était à l'oeuvre dans l'accumulateur: tu parles de va et vient d'orgone: dans les fait, c'est ce qui semble se passer !

je ne suis pas prêt de rejeter cette prise possible sur l'orgone; je vais creuser la dessus le temps qu'il faudra, quitte à devoir tout jeter au final: c'est la seule façon de savoir !

Tu parles de l'orgone comme d'une énergie: on est bien d accord, mais a moitié: je n'ai juste pas encore eu le temps de t'exposer mon opinion la dessus: simplement;, en deux mot: je pense que si l'on pousse le raisonnement sous tendant la formation de l'hydrino et son devenir, on tombe immanquablement sur la capture K et la formation d'un neutron n'est ce pas: un électron descendant par palier vers son proton, le principe de l'hydrino, pas compliqué de deviner la suite: or, pour que la chose soit possible, il nous faut la présence, pile là ou il faut, d'un neutrino: si celui-ci fait défaut, qu'est ce qui nous empêche de penser que l'hydrino soit capable d'extraire le neutrino directement du champs de quanta, sous forme de paire neutrino, antineutrino ?

Si tu as eu le temps d'aller voir ce qu'est l'hydrino, tu sais donc que suivant la "montée" ou la "descente" d'orbitale par l'électron, l'atome absorbe ou produit d'énormes quantités d'énergie: remarque que je dit aussi " absorbe " de l'énergie, froid: principe du moteur à eau, si tu vois !

Enfin, pour résumer le truc, on aurait affaire à une entité atomique qui au départ est un simple atome d'hydrogène, mais qui est devenu un système oscillant en hyperfréquence entre l'état d'hydrogène classique et celui de neutron: par capture K et émission béta confinée, alternativement: système unique en ce sens que pour assurer cette oscillation d'état nucléaire, il échange constamment la paire neutrino, antineutrino avec le champs de quanta ! Rien que ça !

Dès lors, on a affaire à quelque chose qui est à la fois matière et énergie, onde et corpuscule, adoptant plutôt le comportement de celui-ci ou celui-la, en fonction des circonstances; un objet quantique en quantité macroscopique, si tu veux ! Et relié en permanence avec ce qui est a l'origine de tout, du temps et de l'espace: tu vois un peu le potentiel: quasiment un contact permanent avec Dieu: hein, c'est pas chouette ?

Tu comprends maintenant pourquoi je suis venu avec cette idée de monopôle ? On a le neutrino qu'il faut pour ça: bon, j'ai plus trop le temps, maintenant, pour développer plus ! La doc monopôle, je vais voir ça !

Demain, sans doute

bye

Matin,

alors, hier soir, j'ai constaté les choses suivantes !

la plupart des diélectriques que j'ai utilisé finissent par claquer sous la tension des charges appliquées avec le simple tube PVC frotté: l'accumulation de charges sur une plaque métallique, fini par donner à celle-ci une tension suffisante pour provoquer un claquage de l'air sec, par arc de 2 cm ! Et ce, sans forcer !

mais dans les diélectriques, il y a des nuances: il y a ceux qui déchargent assez vite, comme le papier, le coton,le caoutchouc, certains plastiques alimentaires ou des fibres minérales un rien humide (adsorption): il y a ceux qui acceptent les charges dans la zone de contact, mais pas plus: on peut, ainsi, distribuer les charges "par point", et on voit l'electroscope descendre par palier: dans cette catégorie, bon nombre de plastique, PE, PP, etc: et ensuite, on a les plus isolants pour lesquels, la charge ponctuelle ne s'étalle pas, et qui gardent cette petite charge fermement sur son lieu de dépot !: cire, paraffine !

Curieusement, le verre est assez variable: suivant sa composition, on le retrouve dans les diverses familles: des plus conducteurs aux plus isolants: par exemple, la laine de verre que j'ai utilisé ne gardait absolument aucune charge, alors qu'une laine de roche, assez similaire, faisait un excellent isolant ! Voilà !

Pour en revenir à mes deux accumulateurs, et abonder dans ton sens par la même occasion, j'ai pu constater qu'il était possible de les charger, électrostatiquement, par l'extérieur, grâce au claquage des couches organiques: du coup, on retrouve une charge non négligeable sur la paroi interne ! L'électroscope interne se charge nettement, mais pas par accumulation de charge: plutôt par influence (séparation de charge)

Je vais faire une vidéo ce soir ( si j'y arrive ?! )

Concernant l'orgone vu sous l'angle "hydrino chargé", on peut imaginer que son accumulation dans l'orac par attraction électrostatique fini par en provoquer une telle concentration que des forces magnétiques propre aux hydrinos (monopôles associés ?) commencent a pouvoir agir ( distance réduite), et augmenter encore la concentration: une sorte de comportement grégaire: et donc une augmenation de température en résulte (loi des gaz parfaits), ce qui a pour effet de libérér par agitation thermique les charges périphériques : d'où apparition de charges dans l'environnement immédiat !

Il est possible aussi que dans ces conditions, il y ait modification des orbitales électroniques, avec production de chaleur ou de froid, suivant le sens: ici chaud, semble t'il !

un autre détail, cette fois concernant les pack de bions au sable: il ne t'aura pas échappé que le sable n'est jamais que du quartz, a l'origine, issu de l'érosion des roches acides, n'est ce pas ? Que ce quartz est "roulé", et a donc perdu ces arètes vives: le fait de le pulvériser reproduit grossièrement ses arètes; pourquoi faire cela, sinon pour favoriser le développement de charges électriques sous la contrainte: le quartz est un matériaux pyro et piézo électrique, de grande importance: la terre en est gorgée: c'est sans aucun doute a prendre en considérartion pour la compréhention du fonctionnement électrique ( et autre) de notre belle planète

amicalement

comme promis, voilà le document présentant le monopôle magnétique ! ne le manquez pas car il contient pas mal de choses en rapport avec notre sujet d'étude !

bonne lecture !

Monopôle

et, si nécessaire, il y en a toute une série dans les anales de la fondation Louis de Broglie !

Premier test sur le principe de l'orgonoscope ultra-simplifié (ça fait 5 jours que j'essaie d'amasser les éléments pour ce faire) réussi et parfaitement positif.

Je vois une myriade de points lumineux qui se balladent en tous sens, bien plus que lorsqu'on regarde le ciel de grand jour où on voit quelques points lumineux en suspens en tous sens. Là c'est vraiment une myriade de points agités en tous sens comme un brouillard constitué de points indépendants.

Et pour tout matériel j'ai un tube en acier noir intérieur/extérieur, donc c'est vraiment du test simpliste.

Pour le document je regarde ça, merci Tirvix.

Génial Chercheur: bravo pour ton orgonoscope: tu penses pouvoir en faire quelques photos, voire un petit film ??

Ici, je viens de finir une petite vidéo sur le passage d'électricité ( 3500 volts issu d'un multipliquateur de tension ) à travers les 5 couches alternées de papier et de feuilles inox qui font l'accumulateur !

Ce que je constate: lorsque la source d'électron est mise en contact avec la surface extérieur, il faut une ou deux secondes pour que l'électroscope commence a réagir: la surface interne de l'orac devient ainsi négative, provoquant un mouvement de charges dans le corps de l'électroscope: ses électrons migrent vers la tige extérieure, ce qui provoque, initialement,le petit écartement des feuilles !

Ensuite en mettant l’électroscope a la terre, cela favorise le déplacement des charges et donc l'excitation des feuilles !

Donc, j'en conclu que l'électroscope ne peut se charger que par influence et donc que théoriquement, il devrait être dans l'incapacité de produire le moindre mouvement s'il n'y a possibilité de déplacement de ses propres charges vers l'extérieur: ce qui veux dire qu'un électroscope complètement interne à un ORAC ne peut se charger s'il ne s'agit que d'influence de champs: les charges se repoussant, il devrait leur être impossible d'atteindre le centre de l'accumulateur !

Par contre, si l'électroscope est chargé négativement et placé dans la boite à orgone, chargée elle même négativement, cela va réduire considérablement son temps de décharge !!

Je ne sais pas pour les autres, mais pour moi totalement impossible de charger le fichier.

Chaque click dessus compte un téléchargement réussi sur le compteur, mais ça charge que dalle. Le fichier proposé s'appelle "Child.mp3" lorsque je clique sur le chargement, et il fait 0 octet, alors que l'intitulé du fichier sur le lien pour le click est "monopalemagnatiqueprasentationganarale.pdf ".

Donc ça ne charge pas de fichier dont le nom (et le genre, mp3) soit en rapport avec le nom; fichier qui de plus est vide.

Archive-host ça marche bien tu sais!

Ce n'est pas encore un orgonoscope, ce n'est pour le moment que la pièce de base: le tube en acier noir. Mais je vois en effet ce que j'ai décrit.

J'ai pris la vidéo comme demandé, mais je le savais avant même de la prendre: on ne voit que du noir complet là où avec l'oeil je vois un ciel pas noir du tout mais sombre; la sensibilité de l'appareil est totalement nulle. Dehors je regarde le ciel, je vois tout ce qui est autour de moi, arbres, maison, ciel sombre mais pas noir etc; avec l'appareil je pointe la même chose je vois du noir, du noir et du noir.

Il faut un bon appareil pour voir avec!
La suite c'est d'amplifier la luminosité et j'espère voir lieux ce brouillard de points que je perçois. Mais avec la cellulose ça reste visible à l'oeil nu seulement tant que je n'aurais pas un vrai bon appareil pour voir tout ça. Peut être avec la matériau fluorescent dans la chambre noire avec le pack de bion comme source ça donnera quelque chose de lumineux; sauf que vu le prix je en l'ai pas commandé l'écran fluorescent pour le moment.

Donc ça sera déjà orgonoscope simplifié et observations à l'oeil. Ce qu'il faut c'est un appareil reflex avec pause longue (donc pas un numérique de poche) et pouvoir fixer le tout en position immobile avec un pied ou du genre pour faire ensuite des photos en pause longue et là on pourra voir sur photo la même chose que ce que l'oeil humain peut voir. Et oui, un oeil c'est bien plus sensible qu'un appareil numérique de poche!!

En liaison avec ce que j'ai déjà mis dans le sujet Télékinésie, à cheval entre les capacités psy et l'utilisation de l'énergie vitale (=orgone) voici une vidéo en français d'un maitre de Ju Jitsu qui pratique la projection du chi et explique où il a appris ça et ce qu'il fait lorsqu'il fait ça:

Jacques-Jean Quéro:


Les autres vidéos sur la projection du chi = orgone (avec polarité Ying et Yang selon la tradition qui l'enseigne, ce qui sous entend que l'orgone a deux polarités):
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...indpost&p=20361

D'après: http://antahkarana.forumzen.com/t2508-hara...vient-du-ventre

D'après: http://lumieredesorigines.blogspot.com/200...ponais-qui.html

Exercices proposé pour éveiller la connexion au Hara:
http://www.chamanisme.fr/Le-developpement-...entre-HARA.html
http://astraliens.forumactif.net/t110-le-h...centrer-by-osho

en effet, ça ne marche pas: désolé ! je vais voir sur Archive-host, mais apparament le service n'est gratuit que deux semaines !????

Donc, pour la suite......embetant !
Toi, tu y as un compte payant ?

Ah non j'ai un compte gratuit chez archive-host, depuis un an et là j'ai chargé quelque chose dessus pour partage il y a quelques jours et ça marche toujours très bien.

Ils ont peut être changé les conditions pour les nouvelles inscriptions, je n'ai pas regardé.

oui, ça doit être ça : regardes toi même !

http://www.archive-host.com/page-tarifs

Ah oui effectivement. Quand je me connecte sur la partie offre c'est indiqué que je suis en "Offre actuelle : 500 - Personnel (Gratuit)"

Bon il te reste à en trouver un autre donc!

Pour du PDF seulement tu as ça par exemple:
http://www.fichier-pdf.fr/

J'ai fait come la personne qui a eu sobn écran fluo dans un des liens précédents: j'ai appelé un caninet e radiologie en ville. Je leur ai demandé de me passer un manipulateur de la machine à rayon X en epxliquant que pour un projet scientifique j'avais besoin d'une vieille cassette à film à rayon X;

Ils m'ont passé un des médecins qui m'a dit qu'ils n'utilisaient plus ce type de matériel, ils sont passés à la technologie d"après, le papier à rayon X et donc ils ont des cassettes dans leur cave qui ne servent à rien. Super sympa! Là ils m'en ont mis de côté et je vais aller le chercher de ce pas.

Donc l'expérience avec écran fluorescent à rayon X se fera.

De plus j'ai commandé de la peinture fluorescente sous UV transparente pour peindre la surface d'acétate de cellulose commandée.

En lumière visible:
http://www.conrad.fr/peinture_uv_fluo_bleu..._586549_1010715

Et la même chose mais en non transparent si besoin e rendre plus mate la paroi de cellulose:
http://www.conrad.fr/peinture_fluorescente...581_1010734_FAS

A propos du « CHI » qui vient du ventre, je viens certifier que je ressens quelque chose de ce genre, quand je trône sur mon WC, au rdc-garage.

Je ne suis pas là pour polluer ce topic sérieux, simplement, malgré l’indécence, j’ose venir témoigner d’un phénomène qui m’a intrigué et que je ne m’explique pas.

Voilà donc les faits bruts de caisse :
A défaut de posséder une cabine à orgone et de méditation, il m’arrive de faire de longues pauses, dans mon cabinet de lecture.

Comme tout est bien entretenu chez moi la porte du cabinet refermée, présente un léger jeu entre le pêne de la poignée et la gâche, d’environ 1,5mm. En même temps, cette porte isoplane est légèrement voilée.
Si bien qu’elle se trouve calée.
Mais si de l’intérieur, on la pousse au niveau de la poignée, on combat une très légère résistance (du au voilage de la porte), et au bout d’1,5mm on entend un «toc», lorsque le pêne vient toucher l’autre côté de son logement.
Quand il y a des petits coups de vents à l’extérieur de la maison, mon rdc–débarras n’étant pas bien étanche, cela doit faire une sous pression car la porte émet un «toc».
Le « toc », avec un léger mouvement de la porte donc, ne se fait qu’avec une poussée de l’intérieur du cabinet.

(J’ai peur de la suite… )

Et bien voilà, j’ai remarqué que lorsque je contractais brusquement mon ventre, la porte faisait un « toc ».
La contraction volontaire du ventre, n’est pas un durcissement provoqué en le gonflant et en le faisant rond.
Ce n’est pas non plus, un serrage de ventre comme pour mettre en relief ses abdominaux.
Non, c’est une contraction "naturelle" des muscles abdominaux, vers le bas, tout en gonflant le bas du ventre, comme dans le but de vouloir expulser quelque chose qui ne vient pas, et que l’on pratique généralement dans ce genre de pièce.
(je pense que c'est comparable à l'effort de poussée lors d'un accouchement, mais de manière brusque.)

Je précise que ce phénomène est présent , sans que je fasse d’autre mouvement, et sans qu’il y ait de matière expulsée (je précise avant qu’on m’en fasse la remarque).
Egalement, pas de mouvement d’air, sortant de mes poumons pouvant expliquer une surpression (?) .
Simplement c’est la posture, lorsque l’on se contracte, à ce moment là.
Ainsi décrit, je pense que vous connaissez tous, ce type de contraction…

Donc le seul mouvement apparent dans l’air, est une légère déformation du ventre lors de la contraction.
En fait pendant la contraction, il n’y a pas de gonflement, mais un déport de volume du milieu du ventre vers le bas du ventre simplement.

Plutôt étonné, afin de vérifier quand même si cela n’influait pas sur un déplacement d’air, depuis mon trône, j’ai essayé de souffler violemment l’air de mes poumons en direction de la porte, (sans contraction abdominale), sans entendre de « toc », pourtant le vent déplacé devrait être plus important…

Actuellement j’ai tenté de le faire (tout habillé), et cela ne le fait pas. Mais je pense qu’avec l’humidité la porte est un peu plus voilée et offre ainsi plus de résistance.

Voilà, peut-être que quelque chose m’échappe ou que je fasse fausse route
mais j’ai tenu à témoigner d’une bizarrerie qui m’arrive quelquefois, et je pensais quand même, à défaut d’une explication physique logique, à une force émanant de mon corps lors de cette contraction brusque.

Pour l’expérimentation, il faut rester zen, et n’avoir comme matériel qu’une porte instable.
Je me demande si on ne pourrait « affiner » avec un cadre devant soi, tendant une surface susceptible de bouger (comme une peau de tambour ou de gros haut-parleur, avec un système électrique pour détecter le recul de la membrane.

Merci Chercheur : sympa d'avoir fait la recherche pour l'hébergement !

voilà, j'espère que cette fois, c'est la bonne !

fichier pdf: Monopôle magnétique Présentation générale.pdf

Impressionnant ta vidéo ! On dirait vraiment que le maitre prend les commandes de son adversaire ; si effectivement c'est le cas, comment ne pas penser à une projection corporelle d'orgone chargée d'électricité: c'est quand même cette même électricité qui est à la base de nos influx nerveux !

c'est remarquable !

Gegyx,

on ne se connait pas, mais je puis t'affirmer que tu as exactement l'esprit nécessaire pour faire des découvertes: cet esprit qui te permet de voir ce que les autres ne voient pas: ces petits détails qui souvent sont a l'origine d'invention : à ta place je creuserais et je m'en foutrais complétement du " qu'en dira t'on " !!

Bon, c'est décidé: je vais construire comme toi un orgonoscope !

Il me faut absolument un instrument comparatif par rapport à l’électroscope:

Dis, je pense à une chose: qu'est ce qui t’empêche de te mettre en rapport avec un prof de Photographie ? Souvent ils ont des appareils de base parfaitement adapté à ce que tu veux faire ( longues prises dans le noir) !

ça ne m'étonnerait pas du tout que certains soient intéressés par ton projet.

Voilà, ils ont fait vite, ils m'ont mis de côté deux cassettes à rayon X.

Je suis allé les chercher, elles sont en bon état et pourraient servir à prendre des images à rayon X, avec un film adéquat; mais ce n'est pas l'objet.

J'ai quand même un doute en les ouvrant, pour savoir ce qu'est l'écran renforçateur là dedans. J'avais lu qu'il y a deux écrans renforçateurs pour envoyer la lumière sur les deux faces du film car il y a émulsion sur les deux faces, et voici ce que j'ai dans les cassettes que je viens d'avoir (gratuitement! ça coûte quand même" plus de 200€ ce matériel là, par pièce):











Donc normalement les écrans ça devrait être les surfaces blanches collées aux côtés de la cassette (je peux les décoller, c'est faisable) mais il y a ce film fin violet dedans dont je ne connais pas l'utilisation: protection ou est-ce là un écran ou autre? Une grille anti-diffusion? Bref je n'en sais rien alors j'ai appelé au centre de radiologie, la personne qui m'a donné ça n'étant pas disponible elle me rappellera, j'ai laissé ma question.


En attendant de savoir ce que sont ces films violet je mets ça de côté et ensuite dès que je sais, je coupe un morceau de l'écran pour le mettre dans ma chambre noire avec le pack de bion dedans (et même éventuellement pack de bion mis dans l'accumulateur en boite ouvert pour renforcer le signal), voir si ça va donner quelque chose. J'essaierai avec l'oeil sur le trou de la chambre noire d'abord, puis l'appareil photo si je vois quelque chose, vu que mon oeil est plus sensible que l'appareil photo.

Pour l'orgonoscope, ça sera avec l'acétate de cellulose et le peinture fluo, pas avec l'écran à rayon X.

Pour l'information générale sur les écrans on a cette image explicative:


Et ce lien qui donne des informations:
http://www.med.univ-rennes1.fr/cerf/edicer...1_cv_rb_32.html

Ce message a été modifié par Chercheur le Jeudi 01 Décembre 2011 à 18h24

C'est très intéressant ton observation; il faut tester si des objets en équilibre instable disposés tout autour d'une personne et à différentes hauteurs sont susceptibles de bouger suite à cette contraction du bas ventre.

Tu as peut être bien fait une découverte involontaire; les plus importantes sont souvent involontaires, et dues à l'observation attentive malgré tout.

Un truc genre des petits papiers en équilibre sur des pointes d'aiguille disposés en cercle autour de soi sur le sol, puis sur un niveau surélevé au niveau du ventre et sur un niveau allant à la hauteur du torax et de la tête enfin; s'assoir au centre; dans un lieu sans un brin d'air sinon tous les bouts de papier vont s'affoler; respiration minimale aussi et faire ton truc pour voir si certains papiers vont gigoter, et cela de manière répétée avec la même action (pour vérifier que ce n'est pas un simple courant d'air). En plus on pourra savoir dans quelle direction l'énergie est émise à partir du corps selon les papiers qui bougeront.

Vraiment intéressant, et pas d'embarras pour ton témoignage, on a tous ce genre de travail quasi quotidien avec nos toilettes; donc on se comprend tous.

Si tu n'avais pas pu faire, je t'aurais proposé de l'héberger sur le site de chercheursduvrai, ça aurait fini par régler le problème une fois pour toute. Mais là c'est ok. Restera à le lire!

J'ai déjà la suite du nouveau livre de F. Delplace à lire devant moi (et du boulot à caser avant de manière urgente dans les prochains jours); mais ça va venir!

Merci pour le document, je t'en reparle quand je l'aurai lu.

ici on voit un gars qui prend des photos en rayon X avec appareil numérique pointant sur l'écran d'intensification d'une cassette: c'est l'écran blanc.
http://danyk.wz.cz/rtg6_en.html




Et le résultat:

Voici un extrait de la préface du nouveau livre de James DeMeo, la mise à jour de son livre sur les accumulateurs d'orgone "The orgone accumulator handbook - New expanded an revised edition" (100 pages de plus environ que l'édition originale) dont la version d'origine constitue la base de tout le résumé ici présent dans ce sujet.

Il donne des informations qui vont peut être inciter certaines personnes à se mettre à des essais avec les accumulateurs d'orgone. Je traduis l'extrait en français:

J'ajoute que la couverture a très bien fonctionne chez les parents cet été (guéri deux personnes et m'a bien amélioré aussi suite à maladie là bas) et pourtant elle est situé à 3 à 4 mètres environ du modem wifi qui couvre toute la maison, dans le couloir.

une simple réflexion:

à nouveau, du point de vue électrostatique, le cloudbuster de Reich ressemble quand même pas mal à une sorte de paratonnère, non ?!

d'ailleurs, il me semble que James Demeo insiste sur les recommandations d'usage pour son utilisation, comme on pourrait le faire pour le maniement d'une perche métallique en plein orage !!!

Il y a quand même autre chose: on dirait une sorte de paratonnère qui ne fonctionnerait qu'avec des porteurs de charge, mobiles....

Dans le cas de la foudre, il faut un claquage diélectrique de l'air: ce qui ne s'obtient qu'au prix de forte différence de potentiel entre terre et nuage ( il y a plein de doc, la-dessus)

Par contre, dans le cas du Cloudbuster, les charges ont l'air de s'écouler tranquillement du nuage vers le sol: pas de claquage de quoi que ce soit, donc: juste une sorte de mise à la masse par de l'eau fracturée et donc capable de recevoir et d'emmagaziner les charges reçues ! On passe d'une concentration trop forte d'orgone, celle du nuage, à une moins forte, celle obtenue, in fine, dans l'eau!

A mon avis, laisser travailler la machine en se tenant à distance me semble une bonne précaussion, parceque dans quelle mesure le canal ionique crée ne serait'il pas succeptible d'initier la décharge électrostatique du nuage : il y a peut être bien un danger d'électrocution, dans certains cas

Pour donner un peu d'eau à ton moulin, en provenance de l'article de "Heretik's Notebook", article "Orgonometry: a new detector" par F. Baker (p160):

Donc il y a bien une énergie emmagasinée par le cloudbuster, drainée depuis les nuages: l'orgone à haute concentration si on ne l'évacue pas par une mise à la terre circulante par une mare d'eau qui absorbe le tout.

Par contre aucune évidence que ça soit électrique: ça accumule l'orgone, pas l'électricité. Toutefois cette orgone agit sur le détecteur qui a une lecture électrique par interaction avec l'orgone.

tu dirais que l'orgone induit des charges, mais n'en possède pas, en lui même ?

Alors, comment expliquer la proximité des appareils de Reich avec ceux de l'électrostatique ?
Leur fonctionnement a l'air très similaire, mais avec quelques différences toutefois, je te l'accorde:

je suis d'accord sur le fait qu'il ne s'agit pas d'électricité pure, mais je pense, en tout cas pour le moment, que l'orgone transporte des charges et est susceptible de les relâcher suivant les circonstances et peut être même d'en accumuler dans d'autres circonstances à définir !

Embêtant, je ne sais pas chez toi, mais ici, il fait très humide ( Bruxelles ) et je pense qu'il va falloir attendre des conditions plus favorable pour progresser !

encore une piste ! ( en attendant des jours plus cléments pour les tests )

on sait que l'orgone suit les lignes de champs magnétique: or, ces lignes ne sont pas parallèles au sol, comme une boussole semble l'indiquer: celle-ci est, en fait, compensée : si vous utilisez un gauss mêtre assez sensible, vous allez vous appercevoir que ces lignes de champs rentrent ( ou sortent ) de la terre sous un angle approximatif 60° ( en tout cas à Bruxelles ) !

De cela, on peut en tirer que tout l'orgone envoyé par le soleil, conjointement à la lumière, ne fini pas exclusivement aux pôles ! Mais qu'une bonne partie arrive directement sous nos latitudes !

Et c'est lorsque le soleil est élevé dans le ciel à 60° au dessus de l'horizon que l'influ est le plus direct: le primtemps ?

Oui, je sais ce que c'est de devoir attendre le beau temps pour travailler sur la couverture à orgone! Bon du coup le pack de bions c'est bien en attendant.

J'ai eu du travail pro à faire qui s'est accumulé et donc pas eu le temps du tout pour autre chose. Ce n'est pas encore fini, donc le reste est encore en attente de mon côté (écran fluo à rayon x pour chambre noire avec pack de bions et orgonoscope avec planche à l'acétate de cellulose).

Ta remarque sur les lignes de champ magnétique est tout à fait correcte; le champ est oblique. C'est justement cela qui fait que dans le sujet sur la transmission magnétique l'un des documents parle d'information provenant du sol qui sont transportées par le champ terrestre dans l'air ambiant et capté par nos petits organismes (ça pourrait être une cause de la perception de l'eau en sous-sol).

Mais effectivement on parle d'orgone au final, qui se transporte. Donc tu as bien fait le lien!