Orgone - Wilhelm Reich, théorie et expériences

Tiens, Chercheur, est ce que tu sais que les alchimistes commencent leur travail au printemps, et qu'il y est question de capture de ce qu'ils appellent, l'esprit universel ?!

Ils utilisent parfois la rosée, qu'ils récoltent tôt le matin, avant que le soleil ne paraisse à l'horizon !

Ne serait ce pas tout simplement une capture d'orgone par l'eau ?
Ils en font la pierre philosophale, une substance capable de prodige, question de transmutation:

or, il me semble qu'il y a des rumeurs de ce genre autour de la joecell que tu connais certainement, ainsi que concernant certaines utilisations du gaz de Brown.........!!

Et là, le lien avec l'orgone n'est plus a faire

J'ai bricolé une version améliorée de l'orgonoscope qui commence à avoir plus des caractéristiques qu'il doit avoir, c'est à dire pas comme je l'ai fait la première fois un simple tube d'acier noir vide dans lequel j'avais regardé.

Les tubes d'acier noirs sont des pieds de table vendus en magasin de bricolage. Ils sont terminés par un carré permettant le vissage du pied.
J'en ai accolé deux de dimensions différentes par cette base carrée avec une lentille mince de loupe à pas cher (2,50€ en magasin de bric et brac). Pour empêcher la lumière de rentrer par cette zone, le tout est enveloppé dans du scotch électrique noir.

J'ai découpé une rondelle de rhodoïd en acétate de cellulose, transparente et je l'ai recouverte de peinture fluorescente que j'ai reçue, dite "transparente". En fait elle est blanche et on ne voit plus à travers; disons pas totalement opaque, mais on est loin du transparent annoncé.

J'ai testé avec une ampoule émettant de la lumière noire (dans l'UV) que la peinture est fluorescente. Elle l'est en effet, mais franchement ce n'est pas la grande fluorescence. J'ai laissé coller un bout de papier mouchoir sur la rondelle pendant qu'elle séchait, par inadvertance, heureusement c'(est vers le bord de la rondelle, ça ne lait pas trop joli, mais ça n'empêche pas de voir.

La lentille utilisé a un grossissement que j'ai estimé à 2 environ par la distance focale que j'ai pu estimer avec un écran et une ampoule, pas exceptionnel comme grossissement; on est loin du x10 indique dans l'orgonoscope, j'ai fait avec ce que j'ai trouvé dans un premier bricolage.

Voilà ce que ça donne:






Je m'en suis servi dehors dans le noir là, et même en passant un petit moment à habituer mes yeux au noir, je n'ai rien vu durant tout le temps d'essai, sauf vers la fin ou j'ai commencé peut être à percevoir des petits points lumineux dansants à toute vitesse et traversant mon écran de visée, mais honnêtement c'était si faible que je ne peux encore me prononcer. Il fait frais dehors et je n'ai pas envie de m'éterniser pour le moment.

Sinon l'autre tube d'acier plus long dans lequel tout viendra s'enficher pour faire réglage de visée avec une autre lentille au bout le voici:




C'est lui aussi un pied de table du même genre, sauf que du côté de la plaque carré de vissage le tube est évidé seulement sur un petit diamètre au centre; différemment des autres tubes qui eux sont vides sur leur plein diamètre. ça m'embête car ça réduit la vue très largement. C'est bien entendu de ce côté là que je vais placer l'oeil contre, pour limiter les soucis de perte de vue. Une scie cloche qui couperait de l'acier je n'ai pas, donc ça va rester comme ça; sauf à couper le tube à la scie, ce que je ferai selon les réglages de longueur nécessaire plus tard.

je ne vais pas passer à l'étape suivante tant que je ne vois pas les points lumineux ou leur brume au moins; inutile d'agrandi si on ne voit pas déjà ce qu'il faut sans agrandissement à la base.

J'ai ré essayé avec ce seul tube vide de regarder avec et à force j'ai pu voir une espèce de brume lumineuse qui circule un peu; mais la vue est vraiment pas terrible: c'est trop long par rapport au diamètre et le petit trou gêne quand même.

La dernière fois, j'avais pris le tube intermédiaire de 15cm de long (qui est maintenant accolé à l'autre par la lentille, donc plus utilisable) et regardé à travers, et là j'avais assez bien vu les myriades lumineuses. Je vise le ciel entre les étoiles comme la dernière fois et il n'y a pas de nuage ou de brouillard dans le ciel comme la dernière fois. En tous cas sans cellulose au bout ni lentille je voyais mieux la dernière fois avec le 15cm et là je vois un petit peu mieux avec le long tube que la cellulose et lentille. La dernière fois avec le long tube aussi je voyais un peu mais avec beaucoup de difficulté.

Donc c'est bien le long tube qui pose souci, soit par le diamètre, soit la longueur.

Il reste encore des choses à tester, je repasserai en tube évidé simple sans cellulose ou avec cellulose simple sans peinture qui la rend mate. On verra. Pour le moment rien de concluant du tout.

Je vais travailler sur la détection dans la chambre noire avec les écrans fluo à rayon x demain et le pack de bions tout chaud sorti mis dedans.

Je vois que tout le monde bosse !

tu as pensé que, si tu ne vois pas grand chose, c'est peut être qu'il n'y a pas beaucoup d'orgone dans l'air, à cette saison ?

Ici, j'ai changé mon fusil d'épaule: je me suis dit que l'accumulateur d'orgone de reich est peut être trop faible pour pouvoir mettre en évidence, de façon nette, les propriétés lumineuse, magnétique et électrique de l'orgone: du coup, je me suis ressorti une cellule électrolytique de Joe, type Joecell, que j'ai reconditionné, ce week-end !

Pour ceux qui ne le savent pas, ce type d'accumulateur d'orgone est capable de faire tourner un moteur sous le régime d'implosion: ce n'est pas rien et augure d'une concentration en orgone assez conséquente: certainement suffisante pour éffectuer des mesures et tests avec plus de certitude de présence du fantôme !

Et donc, j'ai démonté une ancienne cellule 4 couches, en acier inox 316L, qui présentait pas mal de rémanance magnétique ( testée au milligauss metre, très utile ) ! traitement thermique d'une demie heure, au four à gaz, 900°c, histoire d'être au delà du point de curie, puis refroidissement, lent: a froid,, presque plus de magnétisme, hormi, un peu au niveau soudure de la cathode centrale: +/- 20mgauss: tout a fait acceptable

Oui, parceque le magnétisme a tendance à retenir l'orgone: et si on veux l'envoyer quelque part, ben, elle reste scotchée et le moteur ne tourne pas !

Ponçage au 320 des tubes, nettoyage dans le vinaigre, rinçage à l'eau déminéralisée, et remontage avec espaceur en buna (Oring de fort diametre et coupé en petits morceaux)
Au final, j'ai percé le fond d'un bocal de verre pour y faire passer la tige centrale de la cellule, scellé hermétiquement et avoir ainsi une cellule de test bien pratique ! Je vous met quelque photos ce soir !

Je doit voir pour l'électrolyte (acide), maintenant !

Non, je n'ai pas pensé à ça en effet. Possible que l'hiver on en ait moins, question d'inclinaison des rayons solaires; je ne sais pas.

Mais il me reste d'autres tests avec la plaque à rayon X. Pas fait hier car j'ai bossé sur le projet de géné surunitaire sur des problèmes techniques. Je vais faire ça de suite!

voilà l'engin !

un accumulateur d'orgone assisté électriquement:

Alors, comment cela fonctionne t'il ? je vous donne mon sentiment personnel : ça vaut ce que ça vaut, bien évidemment !

La fracture de l'eau, nécessaire à la fixation de l'orgone atmosphérique, est obtenue par une légère électrolyse que l'on applique de temps en temps: sans plus ! Par la tension résiduelle, concentrée sur les plaques, les cluster d'eau sont étirés dans le sens horizontal, et de ce fait on peut s'attendre à ce que ceux -ci aient plus de mal à se remettre sous forme complexe: cela permet de garder des extrémités libres pour d'accueillir l'orgone chargé !

Au fur et à mesure que la concentration en orgone augmente, la tension superficielle de l'eau change cela permettant une évaluation de la charge acquise !

Lorsqu'on souhaite utiliser l'orgone ainsi concentrée dans l'eau, il suffit de provoquer une électrolyse normale: ce qui aura pour effet de briser les clusters retenant l'orgone, et de libérer celle-ci !

L'orgone libre, mais toujours chargée est alors conduite via un conduit alu, vers le bloc moteur: elle passe à travers la maille cristalline du bloc, attirée par la haute tension générée par la bougie !

Là, elle est libérée de sa charge électrique, ce qui a pour effet de provoquer une absorption considérable de chaleur par création d'un point hyper froid: d'où, violente condensation, momentanée de tout les gaz présent: c'est l'implosion !!



Bon, c'est très succinct, j'en suis bien conscient, mais ceux qui voudront tenter l'expérience n'auront aucun mal a trouver toutes les infos nécessaires sur le net ! Voyez les travaux d'Alex Schieffer, Barry Hilton et autre Peter Stevens !

il y a, de temps en temps, des témoignages de lueurs aperçue dans certains électrolyseur !
Assez absurde, si on pense aux faibles tensions utilisées, mais pas si absurde que ça, si on envisage cela comme une manifestation de l'orgone: qui plus est concentrée !!



une vue de la tige cathodique perçant le fond du bocal !

J'imagine qu'avec ton orgonoscope, et ma cellule, tu vas te payer une solide conjonctivite

De mon côté j'ai fait l'expérience avec le pack de bions tout chaud sorti de la cocotte où il a tourné pendant 20min.

J'ai enlevé l'écran fluorescent à rayons-x de la cassette pour film à rayon-x qui m'avait été donné et je l'ai disposé entre le pack de bions et la zone de visée avec l'appareil photo.

J'ai d'abord vérifié que j'avais le pack à hauteur du trou de vision:


Puis voilà l'écran interposé:


Pour accroître l'effet d'orgone emmagasinée dans la chambre noire j'ai enveloppé ma chambre noir une fois bien fermée dans la couverture à orgone:


J'ai disposé l'appareil dans la zone de visée et pris des photos en variant les paramètres: ISO de 400 à 1600, temps d'exposition de 8 secondes, focale de 2,8 ou 5,6 et OEV (intensification de la luminosité perçue) de +0 à +2

Tous les tests ont été négatifs: photos absentes de toute trace lumineuse.

J'ai changé la position de l'écran fluorescent:


Teste identiques réalisés, même chose, bide complet.

Le genre de photo que j'ai:


Mais pour dire à quel point l'appareil est très pourri et les photos inutiles avec cet appareil, j'ai ouvert le capuchon de la boite noire et placé l'appareil photo sur le bord de la chambre en visant le dispositif bions+écran. la simple luminosité émise par l'écran de l'appareil photo (la pièce était dans le noir) me permettait à l'oeil nu de voir le pack de bion, l'écran fluo et le fond de la chambre noire. Pourtant l'appareil en ISO 800 ou ISO1600 et avec 8 secondes d'exposition n' adonné qu'une image totalement noire. Donc une fraction de seconde à l'oeil je vois bien, la même image avec un appareil en 8 secondes d'exposition à ISO 1600 ne voit rien du tout.

Donc ces indications d'ISo sont assez bidon, car on devrait voir mieux qu'avec mon oeil dans ces conditions.

J'ai voulu observer à l'oeil nu mais je n'ai pas pu car la boite de placement de l'appareil que j'ai mis à l'extérieur de la chambre noire m'empêche d'approcher mon oeil, du coup pas possible de savoir si quelque chose était visible dans la chambre noire avec un instrument 100 fois plus performant que mon appareil photo: mes yeux!

ça aurait été bien. Surtout que c'est en observation visuelle que tous les phénomènes de Reich étaient visibles dans sa chambre noire à lui.

Voilà un lien vers les messages dans le même sujet sur l'orgone où je parlais de la Joe Cell (voir ce message et les quelques suivants)
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...indpost&p=19401

Intéressant que tu aies fait ce test, on va voir ce que va donner ton montage. La Joe Cell m'intrigue fortement.

merci pour le retour, Chercheur ! J'ai vu ça !

dis, pour ton orgonoscope; est ce que tu as un hygromètre à disposition ? Parce que si l'humidité est trop importante, la charge en orgone ne se fait tout simplement pas !
ça expliquerait que tu vois que dale !!

Si tu as un hygromètre, tu peux vérifier très vite où tu en es !

Non je n'ai pas d'hygromètre; ou alors il me semble que j'ai un station électronique météo qui ne sert pas qui fait fonction hygromètre à retrouver (comme elle a fait un déménagement, il va falloir savoir si elle y a survécu, rien de sûr).

Je ré-attaque l'orgonoscope en version améliorée. J'ai commandé des loupes de forte puissance aujourd'hui, comme indiqué dans le montage Reich, et de diamètre rentrant dans mon orgonoscope (c'est la seule chose qui manquait encore, puisque j'ai l'acétate de cellulose et la peinture fluo, les tubes acier). Ensuite je découperai les tubes pour faire quelque chose d'ajustable. Je ne lâche pas le truc à la première anicroche.

Là je vais lire ton document sur le monopôle magnétique, je me mets à jour de mes retards!

Bon en fait j'aurais pu m'y mettre avant, je ne l'avais pas ouvert ce document, sinon j'aurais vu qu'il pouvait se lire très vite!

Deux choses intéressantes que je note:
1) La valeur théorique calculée du champ d'un monopôle magnétique "à proximité" (ce qui doit vouloir dire quelques pico mètres peut être?) qui est de 100 000 Tesla et permet donc de penser à un champ assez fort détectable de façon macroscopique.

Voir ici:
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...indpost&p=20449

2) L'idée des cluster d'électrons dits "ectons" qui m'intéresse car ce matin dans mon bain (vous avez des infos exclusives au passage sur mon emploi du temps de ce matin ) j'ai eu la vision que les électrons ne tournaient pas sur des orbitales mais étaient constitué d'un nuage d'éther vibrant dans un espace entourant le noyau atomique; c'est à dire que l'électron n'est pas une particule mais une énergie répartie autour de l'atome et pouvant prendre des états vibrants différents selon l'énergie apportée: d'où les électrons ne s'effondrent pas sur le noyau par attraction.

L'idée de l'ecton est semblable finalement "en gros" seulement quand même: un paquet d'électron constituant une sorte de gaz d'électron en bulle.

Les électrons éjectés, ça serait, en conclusion de ma vision, des morceaux du nuage éjectés qui forment un paquet qui voyage; et arracher un bout de nuage d'éther électronique ça se fait selon une rupture de tension qui ne se fait qu'avec un seuil minimal (rapport entre la force qui tire pour déchirer un bout du nuage et la force qui retient le tout ensemble dans le nuage). Ce seuil est l'effet apparent qu'on a une particule ayant la même masse lorsqu'on arrache un électron partout.

Peut-être fallait-il que j'attende le bain de ce matin avant de lire ce document pour que ça me parle et résonne en moi sur ce point?

Dans le cadre des additifs à la version révisée et étendue de son livre, James DeMeo a publié un chapitre sur les résultats constatés sur la durée de vie d'une catégorie de souris ayant le cancer.


Premier test: Tests de Wilhelm Reich en 1973
164 souris atteintes de cancer
Souris de contrôle:
Durée de vie: 3,9 semaines en moyenne (11 semaines au maximum)

Souris soumises à injection d'eau bioneuse provenant de packs de bions à sable:
Durée de vie: 9,1 semaines en moyenne (28 semaines au maximum)

Souris soumises à l'accumulateur d'orgone:
Durée de vie: 11,1 semaines en moyenne (38 semaines au maximum)

Deuxième test: Tests de Blasband et Richard A. en 1973
9 Souris atteintes du cancer C3H

Souris de contrôle:
Durée de vie: 54,4 jours en moyenne

Souris soumises à 80min à 120min d'accumulateur d'orgone par jour:
Durée de vie: 87,3 jours en moyenne

Troisième test: Tests de Blasband et Richard A. en 1984
8 Souris atteintes du cancer C3H

Souris de contrôle:
Durée de vie: 38 jours en moyenne

Souris soumises à l'accumulateur d'orgone chaque jour:
Durée de vie: 69 jours en moyenne

Quatrième test: Tests de Trotta E.E. et Marer E. en 1990
50 Souris atteintes de cancer

Souris de contrôle:
Durée de vie: 4 semaines en moyenne

Souris soumises à l'accumulateur d'orgone chaque jour:
Durée de vie: 8,7 semaines en moyenne

Cinquième test: Tests de Gard et Bernard en 1992
260 Souris atteintes de leucémie, différent des cancers des souris déjà étudiés

Aucune différence constatée dans l'augmentation de la durée de vie des souris passées à l'accumulateur d'orgone plutôt que les souris de contrôle.

Toutefois l'état de santé (mesuré par des paramètres médicaux donnés) s'est amélioré de 20% pour les souris traitées à l'accumulateur d'orgone.

Reich avait déjà précisé dans ses travaux que la leucémie était duee selon lui à une surcharge énergétique des globules rouges et que l'accumulateur d'orgone ne faisait que fournir plus d'énergie encore, n'aidant donc pas à guérir ce fait; mais l'état de santé général du patient s'améliore grâce à la 'accumulateur qui agit par ajout d'énergie orgonotique dans le système général; à condition d'utiliser l'accumulateur par brèves périodes sur le patient, sinon l'effet d'énergie surcumulée finit par nuire à la santé en accentuant les effets de la leucémie: il faut un dosage savant de un peu pour aider la santé en général et pas trop pour ne pas surcharger l'état de leucémie.

Il y a deux autres tests pas très intéressants à mon avis pour que j'en parle, mais que vous pourrez lire vous mêmes.

Donc on voit que les effets sur le cancer sont importants. Reich est passé des souris aux humains rapidement et avait constaté des guérisons en quantité de cancers chez l'homme.

Un petit mot sur les ondes de forme quand même. DeMeo en avait déjà parlé dans sa première édition du livre, mais là il met une photo de ses accumulateurs à forme et une note spéciale à ce sujet (scan d'une page de son livre car la photo est intéressante pour voir ce qu'il a bricolé)



Bien qu'il indique donc que l'onde de forme joue un rôle secondaire vis à vis de la fonction accumulatrice d'orgone, il indique quand même que les formes à pointe comme pyramide, cône, etc ont souvent tué les graines avant qu'elles ne puissent germer.

Donc un effet négatif sur la vie de l'onde de forme qui joue quand même un rôle plus important que ce que DeMeo nous en dit. La forme ronde ou cylindrique ou cubique semble neutre vis-à-vis de l'onde de forme et c'est donc la forme à préconiser.

J'en ai profité qu'il fait très beau aujourd'hui, grand soleil et ciel bleu pour la plus grande partie du ciel (mais là des nuages commencent à le couvrir un peu, dommage) pour regarder le ciel à l'oeil nu.

En quelques secondes j'ai pu voir les petits points blancs qui se baladent un peu partout, les petites unités d'orgone ou de prana selon les traditions, que tout un chacun peu voir.

J'ai donc pris mon orgonoscope primitif de la dernière fois et regardé à travers le tube.
Si j'enlève la plaque de cellulose peinte de peinture fluo mate blanchâtre je vois très bien les points lumineux, bien plus facilement qu'à l'oeil nu sans le tube orgonoscope. J'ai une lentille focalisée sur le bout de l'orgonoscope dans ce tube là, mais ça ne gêne pas à priori.

J'ai pris l'autre tube long en métal, sans lentille, mais le trou de visée est très petit et là je ne discerne pas grand chose, pas de points blancs ou à peine.

Je suis donc revenu à l'orgonoscope primitif avec la lentille et j'ai mis la plaque de cellulose mate pente à la peinture fluo. Là je ne vois rien en terme de points blancs, ou alors si j'en ai vu un seul à un moment donné.


J'ai redécoupé une plaque de cellulose translucide et positionné, et là à nouveau je vois très bien les petits points blancs, bien que la mise au point de la lentille soit faite sur la plaque de cellulose dont je peux voir la paroi transparente et ses petits défauts.

Donc je vais explorer dans le sens de plaque de cellulose sans peinture fluo. Ayant reçu il y a quelques jours mes jeux de lentilles adaptées aux tubes d'orgonoscope, je vais bricoler ça mieux.

La re-lecture des pages de Reich concernant son expérience sur le visionnage des unités d'orgone dans les chambres à orgone donne une information importante sur les conditions de vision de cette lumière:

Il indique en effet qu'il a fallu mettre une ampoule verte du type de celle qu'on a dans les chambres noires pour développement de film photographique dans la chambre à orgone et sous-entendu que sans cette luminosité minimale on n'observe pas. Il indique que ce fond de radiation sert de fond énergétique qui permet l'apparition des phénomènes. D'ailleurs avec l'orgonoscope il indique aussi qu'en visant des zones totalement noires on ne voit rien; ce qu'on voit a besoin d'un "support", un peu comme si c'était des modulations vibratoires d'un fond lumineux.

Donc refaire à nouveau l'expérience de la chambre noire avec pack de bions et écran fluo mais avec une source lumineuse intérieure faible du même style.

Je connaissais la lampe rouge pour labo-photo noir et blanc, mais pas la verte :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Lampe_inactinique

J’ai vu cela aussi :

http://35mm-compact.com/photographie/labo.htm
(Avec des références alchimiques / lol)
***
Bon alors, pour les points blancs qui papillonnent…

Faudrait aller chez l’ophtalmologiste, ou pas ?

Il y a très longtemps que le phénomène m'est familier: sans ambiguïté aucune, les myriades de petits points blanc ont leur origine dans les globes oculaires : il suffit de regarder dans une autre direction pour s'apercevoir qu'ils suivent ! cqfd !

Non, ce dont parle Reich, c'est autre chose.

Non, ce n'est pas dans le globe occulaire; ils ne suivent pas, ils apparaissent et disparaissent en un mouvement semblant chaotique.

A ne pas confondre avec certaines choses qu'on peut voir dans l'oeil et qui suivent le mouvement et qui font comme un canevas de l'oeil, et les débris divers qui flottent dans le liquide de la cornée.

oui, en effet, il y a souvent des petits points ou fil recourbé dans le liquide de l’œil; ils sont souvent plus sombre, ce qui permet de les distinguer; j'ai d’ailleurs toujours été étonné de la netteté de ces petits éléments, alors qu'ils sont sur ou dans l'oeil et qu'a cette distance , il n'y a pas de mise au point possible: serait ce les ombres de ces objets que l'on perçoit ?

Maintenant, concernant l'autre phénomène, il me semble assez proche, quoique différent: je regarde une surface claire, lumineuse, mais pas exactement blanche: un peu grisée, c'est bien: je ne fait pas la mise au point sur la surface, je garde un léger flou: je vois alors une foule de petits corpuscules brillant, blanc luisant, lumineux qui se détachent du fond: il sont en mouvement permanent, sinueux ou tournoient en spirale sur eux même, puis disparaissent: d'autre apparaissent, constamment :

si je balaie la surface du regard, toujours vision floue, ils suivent: c'est donc dans mon œil que ça se passe !

C'est pour cette raison que je pense que Reich décrit autre chose
Ou alors, c'est la manifestation de l'orgone inclu dans le globe occulaire ?!!

Et, il ne se passe pas une semaine que je ne voie le phénomène: j'ai eu le temps de me faire plus qu'une idée !

Vous ne parlez pas des Orbs?

C'est pour ça qu'il faut que je finisse mon montage d'orgonoscope pour savoir ce qu'il en est: Reich indique que les points blancs sont plus gros vus par la lentille en mode loupe focalisée sur la cellulose, preuve que ce qu'on voit est sur une surface extérieure et qu'on l'agrandit donc que ce n'est pas dans l'oeil.

Je ne suis pas partisan fanatique de Reich, je veux tester voir si ce qu'il indique est objectif ou pas; mon idée est bien de voir par l'expérience et non croire.

Seule cette expérience permettra de trancher. Là j'alterne de m'occuper des malades à m'occuper de moi malade, donc je n'ai pas fait ce que je comptais faire, tout avance très doucement; moi qui aime avancer les expériences assez vite, ça fait quelques semaines que des choses diverses ralentissent largement le tout. Quand on aura tous été purgés de nos gastro je découpe mon tube et mon porte lentille pour tout mettre dedans.

On verra alors si les points blancs sont plus gros ou pas.

PS: gecko, on ne parle pas d'orbs, mais de petits points blancs lumineux qui gigotent et qu'on peut voir en regardant un ciel bleu uniforme ou nuageux uniforme une belle journée ensoleillée. Dans d'autres conditions ça se voit aussi mais moins bien.

Depuis hier gastro qui tourne dans la famille, c'était mon tour. J'ai passé la journée d'hier à dormir et la nuit aussi. Aujourd'hui aussi beaucoup dormi et gros mal de tête. Doliprane pour la tête à 1g toutes les 6h mais bon ça faisait aussi mal.

Bref j'ai fini par faire 2 heures de sommeil dans la couverture à orgone car ça fait 3 jours qu'il fait beau ici, soleil toute la journée; donc couverture utilisable.

En me levant j'avais encore mal à la tête mais je me sentais mieux; plus de douleurs intestinales et maux de tête bien amoindris. Un doliprane et certainement l'effet conjugué des deux: doliprane et couverture et tout va bien, fini la gastro. Ma femme ça a duré 4 jours; mais elle n'est pas passée à la couverture à orgone.

Là encore: qu'est-ce qui a été le facteur essentiel, impossible à dire, mais je note que c'est quand même dans les heures qui suivent le passage à la couverture que tout a disparu alors que ce n'était pas bien brillant sans discontinuer ni mieux depuis hier. Alors bien sûr ça dure 3 jours en moyenne... donc on ne saura jamais! Mais au final comme tout bon malade, la connaissance de la cause n'est pas indispensable a être content d'être soulagé! En tant que scientifique c'est bien plus dérangeant!!

A propos de l'observation de formes lumineuses dans les accumulateurs à orgone avec disque d'acétate de cellulose et "tube à vue" du type orgonoscope simple on peut se référer à mon message ici:
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...indpost&p=20330

On y verra qu'il est indiqué en bas à gauche "green frosted bulb" qui est la fameuse ampoule à lumière verte utilisée. Comme Reich l'avait souligné et montré sur ce schéma (et j'avais complètement zappé ce point) sans luminosité de fond de rayonnement on ne voit rien; les phénomènes visibles étant une forme de "modulation" du fond porteur que constitue le rayonnement présent dans l'enceinte.

Sinon j'ai attaqué un montage propre plus sérieux de l'orgonoscope ce matin, avant de finir la journée au lit.

Voici la boîte contenant la loupe x10 utilisée chez les diamantaires ou les chercheurs d'or pour observer leurs trouvailles:


Et voici son contenu prédécoupé pour la suite du travail:


Découpe effectuée et ponçage:


La découpe du tube d'acier a été effectuée aussi:


Et le porte loupe plastique a été coupé pour s'ajuster dans le tube d'acier (pour ajuster à force j'ai mis quelques tours de scotch isolant plastique).

Avant de tout insérer, vue agrandie de quelques objets pour montrer la puissance de la loupe.

Une bobine sur ferrite maison:


Agrandie:


Morceau de pique de bois:


Agrandi:


Bon maintenant opération insertion:


J'ai disposé la loupe à l'endroit exact permettant l'agrandi maximal de l'objet focalisé (la surface du disque de cellulose qui sera placé devant) c'est à dire au foyer approximativement (en fait un peu avant le foyer, entre foyer et lentille) par réglage à tâton.

Visualisation de ce qu'on obtient comme agrandissement avec un morceau d'acétate de cellulose transparent découpé placé à cheval devant l'ouverture:




Cette fois-ci je découpe un bon morceau tout neuf bien adapté et le fixe par scotch double face:


De quoi empêcher que le double face attrape tout ce qui traîne comme poubelle sur ma "longue-vue":


Alors même si en effet la focalisation est effectuée sur la surface de cellulose dont je peux voir en grand les imperfections (petites bulles d'air dedans par exemple) l'image arrière gêne grandement. En fait on voit tout le fond arrière comme une image très réduite et éloignée et même en regardant le ciel bleu uniforme, je perçois en fait un tout petit coin de ciel bleu avec tout l'environnement autour, le tout en réduit, ce qui m'empêche de discerner ce qui peut se passer sur le disque de cellulose. Il me faudrait un fond uniforme, le ciel bleu était bien, mais là il est trop réduit pour emplir mon champ de vision.

Le genre de choses que je vois (la photo n'est pas nette mais c'est net à l'oeil nu):


C'est comme lorsque vous utilisez vos jumelles à l'envers: vous voyez tout en très petit et très loin de vous; là idem, sauf que moi je ne cherche à voir que la surface de cellulose sur laquelle est mis le focus (on la voit bien par exemple dans le début de mon message avec comme fond mon bureau très proche de l'extrémité de l'orgonoscope)

Du coup je commence à mieux comprendre quelque chose indique sur le montage de l'orgonoscope que je n'avais pas saisi: surface mate "exterior surface dull" extérieure du disque de cellulose il est indiqué. De plus il est indiqué "wire mesh on both sides of the disk" il faut mettre un treillis métallique sur le disque de cellulose.

Alors questionnement: pourquoi?

D'abord Reich précise que la lentille permet d'agrandir les points blancs lumineux qui apparaissent pour montrer leur réalité en dehors de l'oeil. Mais cet agrandi n'est possible par effet de loupe que pour tout objet se situant entre la lentille et son foyer (qui est ici à mettons 2cm de la lentille, donc très proche). Donc il cherche à agrandir quelque chose qui apparait sur la surface de la cellulose ou a proximité.

Il ne cherche donc pas du tout à "voir" ce qui est situé derrière la cellulose, l'image arrière étant comme je le constate une gêne même. Il semble que le treillis métallique soit important, cela doit servir à attirer l'orgone vers la surface de la cellulose pour que l'orgone laisse des traces lumineuses sur la cellulose elle-même, traces qui sont ensuite agrandies par l'effet loupe; c'est ce que tout cela me suggère.

En tous cas ce matin j'ai observé le ciel bleu à l'oeil nu et je percevais très bien les points blancs dansants; je mets l'orgonoscope sans avoir déjà insérer la lentille et je les percevais bien aussi; avec la lentille je ne voyais plus rien à cause de l'image arrière qui empêche toute vision de la surface de cellulose et crée un fond totalement inhomogène.

J'ai repris l'autre orgonoscope primitif que j'avais réalisé avec une lentille x2. Là le fond du ciel reste visible entièrement dans mon champ de vision (car le tube de visée est aussi plus court) et je perçois les points dansants.

Donc demain il va falloir mettre le treillis métallique (je vais utiliser de la laine d'acier 0000) et si besoin est je rendrait plus opaque la surface avec un coup de peinture fluo dite "transparente" que j'ai achetée et qui est plutôt mate blanchâtre.

J'ai relu les pages de "Cancer biopathy" concernant la vision de l'orgone.

Il indique plusieurs choses:

1) En regardant à l'oeil nu on voit des points lumineux dansants (c'est bien ceux dont je parlais)

2) Il regarde un mur uniforme ou le ciel avec un tube en acier de 1 à 2 pieds de long et voit les mêmes points dansants.

3) Pour prouver leur réalité extérieure à l'oeil, en regardant la même zone du ciel ou un mur uniforme il prend un tube d'acier et regarde à travers en mettant simplement une lentille 5x sur l'extrémité avec laquelle il regarde et là il observe que les points blancs dansants sont de plus grande taille.

4) Puis il passe à l'orgonoscope avec des choses pas expliquées, car il ne fait que donner son plan sur lequel on lit un descriptif. Là on a la lentille 10x focalisée sur la cellulose et la lentille 5x.

5) Par contre il explique aussi en complément qu'il utilise le tube (il ne précise pas lequel, avec lentille, sans? orgonoscope complet? La logique voudrait un simple tube vide normalement au vu de la suite) et qu'il le dirige vers le miroir d'un microscope lui même agencé avec un objectif objet 10x et un occulaire 5x et il attend 25min pour que l'oeil s'habitue au noir. Puis selon la zone visée par le tube pour amener la lumière au miroir du microscope et là il observe les points là aussi et les grossit. Il voit leur densité et trajectoires selon la zone visée par le tube dirigé vers le miroir.

Donc avec l'étape 3 ultra simple, sans cellulose, pas de double lentille je pourrai conclure déjà!!

A la lecture de ce qu'il a fait avec cage de Faraday, le grillage de métal autour de la cellulose sert à en faire en fait un mini accumulateur à orgone style cage de Faraday et c'est ça qui est fait dans l'orgonoscope.

La compréhension s'améliore petit à petit.

Sinon plus tard ce soit j'aurais une bombe à venir indiquer ici, question information sur un travail précis de Reich. Je réserve la surprise pour plus tard.

Wilhelm Reich avait découvert une force motrice par l’orgone. Il avait réussi à faire tourner un moteur en 1948-1949 à l’aide de l’orgone. Un excitateur électrique était nécessaire pour lancer le moteur (qui excite l’orgone qui sinon reste inerte) et ensuite l’orgone seule suffit à faire tourner le moteur.

Il a développé ceci dans une continuation logique à partir des expériences réalisées avec les tubes Geiger.

Ce qui l’a conduit à cela :
D’abord il a pu constater que les compteurs Geiger détectaient plus désintégrations nucléaires lorsqu’on avait mis une source d’irradiation nucléaire dans l’accumulateur d’orgone. Il a constaté aussi que la détection se poursuivait même longtemps après avoir enlevé la source d’irradiation. En fait c’est tout l’orgone de l’accumulateur et de son environnement qui étaient excités.

Il a pu constater parfois même que les compteurs Geiger paraissaient comme morts, ne comptant plus rien alors qu’ils auraient dû compter des radiations ou parfois comptant bien trop d’impulsions par rapport à ce qui aurait dû être le cas. Il a donc suspecté que le tube avait un comportement modifié, étant plongé dans l’orgone surexcitée par la radiation nucléaire.

Il a construit lui-même ses propres tubes à vide pour compteur Geiger avec un taux de vide bien plus grand que ce qui était nécessaire pour détecter quoi que ce soit. Ils étaient constitués de deux plaques parallèles dans une ampoule à verre avec un vide poussé.

Comme attendu, ces tubes à vide ne donnaient lieu à détection d’aucune ionisation avec la tension d’excitation appliquée aux bornes prévue pour les tubes de compteur Geiger normaux. Mais en laissant ces tubes se charger dans un puissant accumulateur pendant de longues périodes, ils étaient alors capables de donner des ionisations en taux important, même bien plus que les tubes Geiger normaux jusqu’à des centaines de milliers d’impulsions par secondes là où on devrait en avoir quelques centaines seulement. Donc les tubes ne réagissaient plus seulement à la radiation radioactive mais à un fond énergétique ambiant.

Ces tubes, qu’il a appelé tubes vacors avaient même la particularité de permettre ka détection de source radioactive enfermée dans de lourds conteneurs en plombs qui étaient totalement indétectables au compteur Geiger classique : le tube vacor chargé d’orgone était sensible à une autre forme d’énergie accompagnant l’émission de radio activité qui traversait elle manifestement bien le plomb alors que les radiations elles-mêmes étaient arrêtés et que le compteur Geiger à tubes normaux ne détectait pas.

Même, on arrivait à produire des forts taux d’ionisation avec les tubes vacors pour des basses tensions d’excitation, ce qui est normalement impossible.

Au final, Reich a remplacé le circuit de lecture des impulsions du compteur Geiger à tubes vacor par un moteur électrique dont la vitesse de rotation varie selon la puissance de la charge d’orgone excitant le tube. Puis il s’est rendu compte que le moteur, pouvait tourner directement à partir de l’orgone elle-même, sans l’aide des tubes vacor. Il tournait lorsqu’il était branché sur une antenne spéciale, ou à la Terre ou à un accumulateur d’orgone. Il était influencé par la présence d’être vivant à proximité (par leur champ d’énergie d’orgone). Sa vitesse de rotation dépendait de la météo de même qu’il avait observé que la charge d’orgone des tubes vacor ou des accumulateurs d’orgone variait avec la météo.

Le moteur pouvait inverser instantanément sa rotation spontanément, et sans ralentissement significatif entre deux sens différents, défiant les lois de l’inertie.

Les détails des expériences de Reich au sujet du moteur à orgone n’ont jamais été publiés. Reich n’a jamais révélé l’un des aspects clefs de son invention qu’il avait appelée le « facteur Y ». Des informations diverses laissent penser que le facteur Y est plus un élément mis dans le système qu’une géométrie de branchement quelconque, mais rien de certain.

Reich a précisé que les expériences menées avec le moteur étaient faites avec le moteur KS-9154. Certaines personnes ont obtenu les spécifications techniques de cet ancien moteur qui ne se fait plus pour en savoir plus : moteur électrique de 18 volts fait pour être utilisé typiquement sous 12 volts, 2 phases, 60Hz.

Reich a volontairement manqué de publier le fonctionnement de son moteur à orgone car il disait qu’un tel système pouvant produire de la force avec l’énergie naturelle pouvait être exploité de mauvaise façon et craignait les conséquences négatives de l’invention.

Toutefois plusieurs témoins ont vu ce moteur en fonctionnement et ont donné une description, et il existe une vidéo de son fonctionnement archivée au musée Wilhelm Reich.

Un témoignage :

Il existe encore d'autres témoignages.

Alors tout ceci est insuffisant à une reproduction mais soutient largement l'idée de la création de mouvement par l'éther. ça me rappelle certaines choses concernant une fameuse "Pyramide électrique" par exemple:
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...p?showtopic=734

Ou encore la toupie à éther de Gian Soncini:
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...p?showtopic=703

Vraiment intéressant la découverte de Reich, n'est-ce pas?

Reich a laissé un testament indiquant que tous ses documents de travail devraient être mise de coté et conservés précieusement afin d'être mis à la disposition du public de recherche 50 ans après sa mort.

Tout son testament (qui demande aussi la création du musée Reich sur sa propriété) est disponible au Musée Reich créé selon sa volonté:
http://www.wilhelmreichtrust.org/will.html

Etant décédé en 1957 il a donc fallu attendre 50 ans soit 2007 pour que tout soit ouvert et rendu accessible, le tout contrôlé par le Musée qui possède le tout. Tout est là bas.
Mais on ne peut y accéder comme simple visiteur: il faut un courrier en triple exemplaire avec CV, recherches publiées, expériences réalisées, travaux effectués sur les recherches de Reich soit sur sites web, articles en ligne, lires, articles, etc et un comité de 3 personne étudie la demande pour l'accepter ou pas:
http://www.wilhelmreichtrust.org/access.html

La liste totale des archives est contenue dans un PDF dans le quel j'ai cherché le mot clef "motor" et là on voit des références dans des documents de travail ou des films qui peuvent être intéressants; notamment qui sait ce qu'il y a d'intéressant dans ces documents disponibles depuis seulement plus de 4 ans?

Index total:
http://www.wilhelmreichtrust.org/archive_index.pdf

Voilà la liste de toutes les entrées que j'ai triées contenant le mot clef qui nous intéresse dans le contexte qui nous intéresse. Les documents sont contenus dans des caisses ("Box") de rangement numérotées par catégorie.

Documents de l'Orgone Institute

Box 13
General remarks re. motor force
Disposition re. discovery of motor force

Box 17
Notebook 1948 – “Zu Erledigen”
questions and answers re. electrons
motor experiments
mathematics

Box 18
Composition notebooks

Orgonometrie – l3t-2
August 8, 1947 - Feb. 2, 1948 (includes information on motor force)
Orgonometry - ƒ equations
January 16, 1948 - January 27, 1949 (includes information on motor force)

Box 31
WR - legal affidavits re: discoveries
a) Orgone energy
b) motor force
c) vacor phenomena
d) basic orgonometric functional equations

Box 41
Miscellaneous

Motor used in orgone motor force experiments


Films

Box 2
Reel 11
* Geiger-Muller counter rotation
* Vacor set-up
* Motor force

Reel 12a
* Motor force – basically the same as Reel #11, includes some shots of Orgonon
that also appear in Reel #7
* W. Washington in laboratory with motor

Reel 12b
* Motor force – same as Reel #11, but put in context at Orgonon

Box 8a: Films Transferred to Videotape

Motor Force – Exp. XXI (Box 2, Reels 12a, 12b)

Manuscripts

Box 17

“The Misinterpreted OR Motor-Model” – 1956

Le musée Reich a subi depuis l'ouverture des archives de nombreuses demandes sur les points sensibles suivants:
1) moteur à orgone et facteur Y
2) équations gravitationnelles de Reich (équations orgonométriques) à priori innovantes en physique

Ayant à faire à des quantités astronomiques de documents en anglais et allemand qu'ils n'avaient eux-même pas lus, ils ont décidé d'inviter les personnes intéressées (chercheurs ou individus motivés par des recherches sur reich) à compulser les documents avec eux; découvrant ensemble les données. la prise de notes a été autorisée si les documents leur semblaient "pas trop sensibles" en attendant de savoir quoi faire de mieux (faire déposer des brevets ou protections intellectuelles au nom de l'institut Reich, etc).

A la fin de ce tri ils ont collecté 1000 pages sur les sujets sensibles en question, pour pouvoir les montrer aux chercheurs dont les demandes reviennent sur ces sujets. Ils avaient prévu une reproduction par copie pour chaque demande mais devant trop de pages ils ont décidé d'un système de visionnage sur écran.

Pour voir l'ensemble du travail qui a été réalisé sur ces tris, voir le rapport de la conférence de 2008 au Musée:
http://www.wilhelmreichtrust.org/conference_report-2008.html

Leurs conclusions à la fin:

traduit par google en traduction automatique:

On trouve aussi ces propos concernant l'ensemble des documents sur le moteur à orgone par le Musée et le film diffusé, ainsi que le moteur original qui est là bas dans le matériel archivé aussi!

D'après:
http://www.wilhelmreichtrust.org/update_08_04.html#managing

Traduit par google en automatique:

Le film biographique en question qui contient quelques extraits du moteur tournant est disponible ici, en 3 parties:

Partie 1/3:


Partie 2/3:


Partie 3/3:




Extrait concernant la forme motrice de l'orgone dans ce document vidéo:
Vidéo Partie 2/3 , de 8:58 à 9:28