Orgone - Wilhelm Reich, théorie et expériences

J'avais écrit un email hier à De Meo pour lui indiquer mes piètres avancées sur la visualisation des unités d'orgone qui n'est pas meilleure à l'orgonoscope primitif qu'à l'oeil nu ou la détection avec écran à rayon-x échouée, mais sans source lumineuse de fond.

Je lui ai aussi demandé si il savait quelque chose d'intéressant concernant le moteur à orgone depuis que les archives avaient été ouvertes.

Il m'a répondu très rapidement et voici sa réponse:

Il indique que l'administration des archives garde main mise sur des données qu'elle contrôle précieusement et qu'avoir accès aux archives n'est pas facile sur le tout et qu'en plus il n'a pas encore pu y aller en consultation. Ils doivent vraiment mettre un sacré frein car De Meo est un chercheur reconnu dans le domaine de l'orgone et si lui n'a pas d'accès facile on s'imagine.... donc ils font de la retenue d'information alors que ça a déjà été retenu durant 50 ans; inadmissible.

Concernant la vision, il dit n'avoir eu aucune expérience positive avec les orgonoscopes que lui a construit par le passé. La visualisation de l'orgone a donné peu de résultats positifs selon ses propres essais, terrain bien plus délicat donc que les expériences d'utilisation de l'énergie d'orgone.

Il donne quelques mots clefs de recherche pour plus d'enquête personnelle à ce sujet. A priori je ne suis donc pas le seul à avoir du mal avec la capture d'imagerie d'orgone. Le seul truc qui marche bien, il ne l'a pas redit, mais on a ça dans Heretic's notebook, c'est le tube à vide chargé d'orgone dans un accumulateur qui irradie du bleu.

Page 255 du livre Heretic's notebook:

On voit que les conditions de prise de vue je suis loin de pouvoir les atteindre: mon appareil numérique basique est bridé à 8 secondes de temps d'ouverture avec une sensibilité électronique équivalente à seulement 1600ASA.

Là pour prendre ce genre de photo il faut un appareil réflex à film photographique pour prise d'astronomie et papier film spécial astronomie, 20min!!!
Alors peut être que j'aurais du bleu moi aussi provenant de mon pack de bions avec cette durée et cette sensibilité de film. On est vraiment dans quelque chose d'extrêmement léger comme effet.

En tous cas au niveau photographique il n'y a rien d'autre que cela à proposer.
Donc si avec mes modifications de grille de métal sur l'orgonoscope et de lumière de fond dans la chambre noire avec écran à rayon-x je n'arrive toujours à rien, je mettrai de côté l'aspect visualisation de l'orgone comme pas à ma portée pour le moment. ça n'empêche pas de faire les tests sur l'orgone elle-même même si je ne peux la visualiser correctement!

En lisant Reicdh (je ne sais plus si c'était dans Cosmis superimposition ou Cancer biopathy) avant hier j'ai pu constater que Reich indiquait qu'il pointait son orgonoscope verfs une surface uniforme (mur ou autre) à 10cm de l'orgonoscope.

Dans cette condition que j'ai pu tester hier, plus aucun souci d'image éloignée qui perturbe la vision car je suis assez près pour que le fond uniforme occupe tout le champ de vision. J'ai essayé de regarder dans un sens ou l'autre (occulaire en mode visée sur cellulose et agrandi donc ou occulaire côté oeil et visée dans le vide) mais je n'ai rien vu. Hier il pleuvait, comme aujourd'hui, et à l'oeil nu non plus je ne voyais pas de corpuscules blancs dansants nulle part dans les zones visées à 10cm par l'orgonoscope. Donc ça me parait normale de ne rien voir avec l'orgonoscope et il faut attendre à nouveau un beau jour.

Un peu rageant de devoir attendre qu'il fasse beau pour expérimenter.

Je traduis la section du rapport des activités de l'ORBL concernant la visualisation de l'orgone provenant de Heretic's notebook p254 et 255:

Donc il semble que l'oeil voie bien mieux que les appareils ne le peuvent; ce qui fait qu'il vaut mieux que j'utilise mes yeux plutôt qu'un appareil pour ces visualisations, ce qui est assez impossible si je ne suis pas moi-même enfermé dans la pièce à regarder (on ne peut rester 20min avec son oeil contre un trou face à une boîte). Par contre un appareil ultra sensible avec pellicule en 3600ISo et 20min d'exposition a pu quand même avoir la luminosité bleue du tube à vide; donc c'est un petit début; mais il me manque le matériel adéquat.

Pour les autres effets pas capturables sur appareil il est aussi possible que ça ne soit pas capturable car la luminosité perçue n'est pas en fait de la lumière visible mais une traduction en lumière de quelque chose d'énergétique capturé par nos yeux; au sens ou la gamme de fréquence dimensionnelle de l'oeil serait supérieure à celle du film de capture. Dans ce cas, aussi sensible qu'on veut on n'aura rien. C'est peut être ce qui se produit pour certains phénomènes orgonotiques comme les points lumineux dansants (au contraire de la luminosité bleue diffuse qui elle est dans notre gamme de perception habituelle car capturée par la pellicule).

Voilà ce que cela m'inspire. Il y a eu beaucoup d'efforts pour peu de succès. Reich disait qu'il observait lui et ses étudiants les mouvements lumineux en spirale ou autre de la chambre à orgone et les dessinait; jamais qu'il avait pu les prendre en photos. Les seules choses visibles sur photo étaient le bleu déjà à son époque...

A propos du moteur à orgone de Reich, le KS-9154, un article intéressant contenu dans Heretic's notebook décrit le fonctionnement de ce moteur. Un des chercheurs s'intéressant à l'orgone a réussi a se procurer ce moteur chez un vendeur de surplus d'électronique de la deuxième guerre mondiale.

Le moteur possède deux phases L'une des deux phases doit être alimentée par un courant alternatif (il est prévu pour du 60Hz) et l'autre avec un courant alternatif déphasé; pour permettre au moteur de tourner.

Des essais pratiques réalisés ont été effectués dans lesquels une des phases a été branchée sur une alimentation alternative 12V. Le moteur ne tourne pas.

Si la deuxième phase est branchée sur la même alimentation (les deux phases sont donc alimentées "en-phase") alors le moteur ne tourne pas non plus. En mettant un condensateur en série avec la deuxième phase, le moteur tourne (le condensateur déphase le courant de la deuxième phase).

Mais il a été constaté aussi qu'avec une tension constante de 3V sur la deuxième phase (la première reste toujours branchée au 12V AC) le moteur tournait aussi. Il semble que ce type de moteur crée des courants de Eddy dans le rotor central et qu'un courant sur la deuxième phase permette une répulsion avec ces courants (produits par l'induction de la première phase) et mette le moteur en mouvement (sauf courant en phase). Le montage du moteur est un peu spécial. Avec 9V par contre pas de rotation; mais si on branche et débranche sur le 9v le moteur tourne par accoups. En fait le moteur tourne dès que des impulsions de courant continues apparaissent sur la deuxième phase.

Plus les impulsions ont un rythme important et plus cela tourne. Selon la fréquence des impulsions cela peut induire un mouvement dans un sens ou dans l'autre. Ceci correspond bien à une possibilité de changement rapide de la rotation du moteur.

La question se pose donc de savoir si Reich avait vraiment alimenté le moteur avec l'orgone seulement ou si il avait alimenté la première phase en alternatif et laissant l'orgone produire des impulsions (comme dans ses tubes vacor puisque c'est de là qu'il est parti: utiliser les impulsions des vacors) dans la deuxième phase pour produire le mouvement. Ce n'est en effet pas du tout la même chose. En effet dans le deuxième cas, la force motrice est donc principalement due à l'alimentation électrique de la première phase et les chocs impulsionnels de la deuxième phase permettent le mouvement ou pas, selon leur rythme et bien qu'elles fournissent là aussi une énergie, ce n'est pas la seule énergie fournie!

Etant donné que Reich n'a rien publié, impossible de savoir si son moteur était vraiment autonome après excitation initiale ou pas!

James DeMeo aobservé des OVNIs alors qu'il faisait des opérations de cloudbusting.
ce phénomène a déjà été annoncé par Reich dans son livre "Contact with Space" où il parle de ses expériences de Cloudbusting et des OVNIs qui sont venus observer.

Reich a indiqué dans cet ouvrage (indisponible à la vente car épuisé, mais le musée Reich en vend des exemplaires en commande en photocopie sur demande pour 50$) comme il avait pu remarquer des apparitions d'engins au-dessus de ses opérations de Cloudbusting et qu'en visant les objets leur comportement se déstabilisait, qu'ils vacillaient et changeaient de position, parfois partant pour ne plus revenir. Il a eu de très nombreux cas de ce genre. Reich a même utilisé l'onde de forme des tubes d'acier qui aspire de l'orgone d'un côté vers l'autre (c'est ainsi que fonctionne le cloudbuster le sens de l'aspiration dépendant des potentiels d'orgone de chaque côté) pour créer une arme à "tirer" de dor sur les engins qui venaient gêner ses expériences en plaçant des matériaux radio-actifs de son côté des tubes et visant les engins stationnaires au-dessus qui semblaient très perturbés. Toute ceci constitue la partie la moins "scientifique" des travaux de Reich qui a travaillé avec des protocoles cadrés et a découvert des tas de choses, mais il a indiqué que tout ceci avait eu lieu (et il avait eu des témoins d'ailleurs). Les OVNIs semblaient donc être capable de détecter les perturbations dans l'orgone émises par le Cloudbuster, en repérer l'origine et venir observer, et leur fonctionnement semblait pouvoir être perturbé par des émissions d'orgone; leur technologie utiliserait donc peut être cette forme d'énergie... J'y reviendrai plus loin.

Revenons à James DeMeo
Sa première observation date de 1973 dans le Sud de la Floride. Il habitait près d'une centrale nucléaire et avait testé les éléments annoncés par Reich sur le dor produit par le nucléaire. Il a obtenu des effets anormaux de brouillage ou d'affolement du compteur Geiger qu'il utilisait dans certaines zones autour du réacteur et jusqu'à 25 miles de là. Dans ces zones, une sensation de brûlure pouvait se faire sentir et un goût métallique dans la bouche: ce sont les zones où l'orgone irritée s'est transformée en dor et reste piégée localement créant des aspects négatifs pour la vie.

DeMeo a pu observer un OVNI ayant la forme d'une perle lumineuse distant d'environ 100 mètres alors qu'il était avec sa petite amie de l'époque, dans un champ; à proximité de la centrale. L'objet est ensuite parti à une vitesse fantastique dans le ciel. Parfois il est arrivé la nuit qu'il entende des jets décoller et mettre la postcombustion pour poursuivre quelque chose, brisant de nombreuses vitres au sol (la base militaire voisin avait pour ordre de ne pas faire ce genre de choses qui donnait lieu à réclamation des citoyens, sauf pour nécessité d'urgence). Il semble donc probable que des visites d'OVNI étaient fréquentes sur la zone de la centrale et autour.

On sait qu'il n'y a là rien de nouveau, de nombreux OVNIs ayant été depuis des dizaines d'années constatés auprès des zones de stockage ou de missiles ou des centrales nucléaires. Là les travaux sur l'orgone peuvent permettre de faire un lien sérieux et de comprendre ce que les OVNIs viennent surveiller dans les zones de radiation nucléaire. Je poursuis donc.

La suite un peu plus tard.

J'ai pu finir de faire les tests d'orgonoscope que je voulais faire car aujourd'hui le temps et revenu au très beau, ensoleillé, sec et ciel bleu.

Voilà les résultats d'analyse:

Avec acétate de cellulose et lentille x10 focalisée dessus, en regardant à l'autre bout de l'orgonoscope, on ne voit rien en visant le ciel (j'avais parlé du souci du fond) ni rien de spécial en visant un fond uniforme à 10cm de là.
Le champ de vision est petit et à part les défauts de surface on ne voit rien.

En plaçant la lentille x5 du côté de l'oeil, on ne voit rien d'intéressant. Il faudrait que les deux foyers coïncident pour avoir un agrandi plus important, ce qui n'est pas possible au vu du montage.

J'ai placé de la laine d'acier 0000 de chaque côté de l'acétate de cellulose et le tout sur l'orgonoscope, avec lentille x10 focalisée dessus. Là aussi même constat: rien à voir. Quand je dis rien, je veux dire que je ne vois aucun point blanc dansant ni autre. J'ai diminué la densité de la laine d'acier jusqu'à quelques filaments, rien là non plus à part que plus de luminosité passe.

En regardant avec les yeux nus le ciel je vois très bien la myriade des points blancs qui virevolte. Si je mets le tube d'orgonoscope vide sans lentille devant l'oeil, je perçois les points qui sont dans le champ de vision, c'est à dire un petit disque de ciel bleu éloigné de moi, donc j'en perçois peu quand même; mais je les vois. Si la lentille est insérée au bout, donc loin de mon oeil je ne vois rien de spécial (image du ciel en petit et éloignée et le vois les maisons alentours). Si par contre je place la lentille x10 du côté de l'oeil, là j'ai un champ de vision élargi si mon oeil est placé au foyer. Alors là je vois les points lumineux blancs. Le fond de ciel est moins lumineux qui se je regarde avec la lentille seule sans le tube d'acier (car le tube d'acier masque une bonne partie de la luminosité). Mais la nature de ce que je vois est identique dans les deux cas, toutefois on perçoit un peu moins avec moins de luminosité.

Au final ce que je vois je le vois mieux sans le tube d'acier qui m'est un handicap. De plus l'acétate de cellulose ou rien ça ne change rien.

Au final j'ai fini par mettre mon tube d'acier de côté et ne faire des tests qu'avec les lentilles. Ce que j'ai obtenu est plus intéressant.

J'ai une lentille x5 et une x10 (j'en ai une x30 à retrouver quelque part avec laquelle je n'ai encore rien testé).

Si je place la lentille de façon à ce que mon oeil soit placé au FOYER de la lentille, alors dans mon champ de vision je ne vois que le bleu du ciel et les points lumineux dansants nettement. Ce qui est intéressant est que lors que j'utilise la lentille x5 pour être au foyer il faut que je sois un peu plus loin de la lentille, donc mon champ de vision de la lentille est plus petit. Pour être au foyer avec la x10 il faut être plus près et donc je vois la lentille occupant presque tout mon champ de vision. Eh bien dans les deux cas je vois les points blancs dansants avec la même densité apparemment. Toutefois j'ai bien l'impression que je les vois un peu plus lumineux avec la lentille x10 que la lentille x5.

Il semble que les points lumineux dansants sont dans un brouillard de fond et que je ne vois que ceux qui sont assez lumineux pour cela. Avec la lentille plus grande je vois toujours la même densité de points lumineux dans le brouillard de fond mais il semble que je les vois un peu plus lumineux pour certains. C'est difficile à objectiver.

En tous cas ils ne sont pas plus gros c'est certain, et je pense que le fait de les voir un peu plus lumineux c'est parce qu'ils occupent plus de mon champ de vision (je vois les mêmes points sur mettons 1/4 de mon champ de vision avec la lentille x5 et dans 3/4 de mon champ de vision avec la lentille x10).

Donc je n'ai rien de concluant; permettant de dire si ces points sont hors de l'oeil ou pas juste avec cela. Mais, fait intéressant, en fermant l'oeil droit ou le gauche alternativement, je vois la même figure de déplacement, si chaque oeil avec ses particules propres ça ne serait pas le cas. En mettant la lentille x5 sur un oeil et la x10 sur l'autre même chose (mais en faisant mise au point différente pour être au foyer de la lentille pour chaque oeil): je vois les mêmes points par les deux yeux. Ceci signifierait donc que ce que je vois n'est pas dû à un oeil mais à la vision des deux yeux. Donc soit c'est en dehors des yeux, soit c'est dans le cerveau une fois les deux nerfs optiques rejoints vers la zone d'interprétation visuelle, car on n'a pas des nuages de points faisant des choses séparées pour chaque oeil.

D'ailleurs une vision directe du ciel avec les deux yeux et sans lentille le montre bien: on voit des points qui ne sont pas dû à l'un des yeux ou à l'autre. Impossible de vraiment les suivre longtemps, pas plus d'une seconde, car ils apparaissent et s'éteignent.

Je n'ai rien de mieux avec cette expérience d'orgonoscope dans laquelle au final le tube d'acier ou la cellulose ne servent à rien.

J'ai retrouvé ma lentille x30 et comme elle est plus petite en diamètre j'ai pu constater que j'avais un champ de vision de l'ordre de celui de la x5 en me mettant au foyer et la luminosité des points est la même, la densité la même.

Au final ces points semblent donc non affectés en densité de vision ni en taille par les lentilles, mais ils ne sont pas dépendants d'un oeil donné non plus à priori.

Je me suis mis dans le noir avec l'accumulateur d'orgone en boîte et j'ai attendu que mes yeux s'habituent au noir pendant environ 10min. J'ai placé un aimant néodyme puissant dans la boite, en le tenant par la main pour éviter qu'il l'aille se plaquer contre les parois et je l'ai approché des parois très très près (en retenant fort pour que ça ne colle pas) par un pôle ou l'autre.

Je n'ai rien vu visualiser. Reich indiquait qu'on pouvait voir une lueur bleue provenant du pôle Nord de l'aimant dans un accumulateur d'orgone. Peut être bien que comme pour la visualisation avec les tubes vacor il y a si peu de lumière qu'il faut 20min de pose en 3600ISO que je ne peux faire pour le moment. A l'oeil nu rien de flagrant, je n'ai pas de meilleure conclusion pour le moment.

Mais il faudra refaire l'expérience car dehors le temps n'est pas au beau; il a plu abondamment hier jusqu'à ce midi, et même si là on a accalmie tout est mouillé dehors, temps humide, pas propice à l'accumulateur.

J'ai aussi mis l'accumulateur dans mon couloir dans une zone où la détection aux baguettes parallèles ne donne rien. Accumulateur posé au sol et passant à côté ou au-dessus je ne détecte rien de plus aux baguettes parallèles non plus; aucune réaction.

Ayant mené une nouvelle campagne d'expériences de mesures avec le pack de bions dans les mêmes conditions, j'ai noté que les effets de tension sur le condensateur feuille d'aluminium et les autres semblaient non apparents. Je n'ai rien eu de spécial.

Les tensions notées sur celui en aluminium étant brèves et de l'ordre de quelques millivolts et le reste étant non significatif.

J'ai tout de même pu constater quelque chose qui semblait bizarre, mais qui s'explique par la compression semble-t-il du condensateur par la masse du bol contenant le pack de bion sur le dessus: quelques millivolts (entre 1 et 4 mV) s'affichent si je déconnecte le condensateur d'une des branches de mesure du voltmètre et que je touche cette branche avec la main sur l'isolant. La tension disparait si j'enlève le pack de bions ou si je soulève le bol le contenant.

En faisant des tests comparatifs j'obtiens le même genre de résultat en posant quelque chose de lourd sur le condensateur. Donc rien à voir avec le pack de bions. Je n'arrive pas sinon à obtenir les tensions plus importantes que j'obtenais auparavant. C'est comme si mon pack de bions ne fonctionnait plus. J'ai bien dû m'en servir une 10aine de fois en tout pour soigner mon fils ces dernières semaines, et avec les utilisations initiales j'en suis au moins à 20 ébullitions à l'auto-cuiseur. Il est possible que la désagrégation du sable ait donné tout ce qu'elle pouvait donner en bions et orgone et que plus rien ne se produise. En tous cas je n'ai plus rien de mesurable.. donc il faudrait refaire un nouveau pack de bions pour expérimenter!

Dommage! En tous cas il y a un épuisement du phénomène de génération d'orgone par le pack de bions apparemment; ça n'est pas éternel; c'est ma conclusion.

James De Meo m'a mis sur sa liste de diffusion des News du site de recherche sur l'orgone dans lequel il travaille aux USA.

J'ai reçu l'information de la Newsletter hier dont voici le lien:
http://www.orgonelab.org/OBRLNewsletter.htm

Une des avancées principales publiées dans la Newsletter est uns signature énergétique d'absorption en Ultraviolet de l'eau chargée en orgone.

ça devient donc un moyen facile de savoir si l'eau est chargée ou pas en orgone, un outil de mesure. De manière générale, l'eau vivante ou eau activée possède cette propriété d'absorption. Les ultraviolets sont absorbés dans la bande 240 à 280nm.

L'eau vivante ou activée qui posède ces propriétés semble avoir la propriété de repousser les micro particules en suspension colloïdale qui sont dedans et modifie sa tension superficielle.

Voici l'extrait de la News correspondante:

Vu l'enthousiasme générale habituel des articles que je passe un grand temps à traduire, vous avez une traduction automatique google translator que je ne prendrai même pas la peine de réviser pour la rendre plus française. Aux personnes intéressées de se pencher sur le texte pour mieux le lire:

Concernant l'émission de lumière par l'eau chargée en orgone, elle est observée dans une gamme de longueur d'onde de l'ordre de 400 à 500nm. C'est une forme de fluorescence naturelle de l'eau qui est chargée en orgone; de même que cette eau absorbe naturellement la lumière en UV sur les 240 à 280nm; elle restitue cette énergie dans les 400 à 500nm qui correspond au bleu.

Toutefois l'émission est très faible et mes expériences passées ont montré qu'il faudrait un gros matériel pour cela.

L'expérience de la visualisation de l'émission bleue sur un tube VACOR chargé pendant 1 an en accumulateur à orgone qui donne une luminosité après avoir été exposé à une agitation par les mains (sinon on n'a rien) avec du matériel photo à très forte sensibilité pendant des dizaines de minutes donne un résultat.


(Un tube à vide vacor excité par toucher avec les mains seulement, photographié dans la chambre noire à énergie d'orgone. 20 min d'exposition avec un film de 3600ASA de 35mm en couleur.)

Mais on peut avoir un résultat visible sur la quantité cumulée sans devoir avoie des moyens aussi poussés, et là il faut se tourner vers la nature: observations de la vapeur d'eau saturée d'orgone au-dessus de foret ou autre zone naturelle avec de l'eau et saturée d'orgone (cascades, etc):





Voir l'article de James DeMeo à ce sujet:

Traduction automatique google:

partage m'avait parlé depuis longtemps de son envie de réaliser un cloudbuster pour permettre aux pluies de s'instaurer par chez lui suite à une longue période de sécheresse.

Il est maraîcher et la pluie est importante pour ses cultures.

Il s'est décidé à faire un montage avec des tubes en acier galvanisé récupérés de longueurs différentes. Il en a disposé 10 mis en batterie et plongés dans l'eau d'un petit cours d'eau (condition indispensable du fonctionnement d'un cloudbuster selon le principe Wilhelm Reich). L'orientation a été choisie sur une direction fixée du ciel, il n'est pas amovible.

Les longueurs des tubes données par partage sont:

2x3,36m
2x4,41m
2x5,25m
4x5,46m

Le diamètre des tubes est de 76mm extérieur.

Voilà le cloudbuster:




Ce sont des tubes qui vont par paire (initialement des tubes de barrières je crois) et dont il a fait 5 rangées de deux tubes (les cloudbuster de Reich ou de de Meo ont 10 tubes sur les photos, important ou pas, partage a respecté le nombre).

J'avais réfléchi avec lui au rapport longueur/diamètre des tubes, mais je n'avais pas d'information numérique à ce sujet; on a fait dans l'approximation au vu des photos.

Il m'a dit les avoir choisi pour que les longueurs soient des multiples entiers de 21cm (longueur d'onde de l'hydrogène) ce qui il pense peut avoir un rôle dans la fonction attraction de l'eau.

A mon avis ça n'a aucun rôle, les longueurs n'ont jamais été spécifiées dans les documents Reich, mais bon un test comparatif avec ces longueurs contre d'autres longueurs arbitraires permettrait de trancher.


Il a fait l'expérience sur la période allant du 7 avril au 26 avril. Il a enlevé le cloudbuster depuis et démantelé afin qu'il ne fonctionne plus.

Il a dirigé son cloudbuster vers le ciel du côté de là où arrivent normalement les pluies par chez lui. Il a fait des relevés de pluviométrie avec son pluviomètre personnel durant la période en question et a continué à en faire depuis, après démantèlement de la machine. ça serait bien d'avoir des relevés avant aussi; je ne pense pas qu'il en ait, mais il doit y avoir des stations météos locales qui font ça non?

Il va me donner tous ces résultats chiffrés. Il a noté que quelques jours à peine après l'installation du cloudbuster des pluies importantes ont commencé et qu'il est tombé 180mm de pluie sur la période d'essai alors que ça faisait des semaines qu'il y avait grand manque d'eau.

Il semble donc avoir un résultat. Difficile à dire ce qu'il en est vraiment car il faudrait refaire la même ligne de temps sans le cloudbuster pour comparer; mais des pluies comparatives avec les régions adjacentes seraient un bon élément (avec les années passées moins vu que la météo se détraque et donc les années précédentes ne peuvent servir de référence).


Un résultat donc qui, même sans démonstration absolue, donne à penser vraiment à un effet. Attendons ses mesures chiffrées pour orienter les discussions.

Ce message a été modifié par Chercheur le Vendredi 11 Mai 2012 à 09h17

Il me semble que les tuyaux doivent ête rempli d'eau, il y avait une notion de reserve d'eau, de tuyau d'arrosage entre la reserve et chaque tuyau et une circulation.

La, manifestement, l'eau ne reste que dans la partie basse immergée du tuyau.

A l'avant des tubes de de meo il y avait comme des bouchons.

Non, les tubes ne devaient pas être remplis d'eau mais leur extrémité doit plonger dans l'eau; ce sont des informations de Reich.

Cela provient de son expérience de base qui consiste à plonger l'extrémité de tubes en acier inox (ou galvanisé) dans un seau rempli d'eau dont l'eau est évacuée par trop plein de temps en temps et renouvelée, car l'eau se charge d'orgone DOR pompée du ciel par les tuyaux.

Le mieux est un cours d'eau en effet, il l'indique d'ailleurs: il ne faut pas d'eau stagnante.

Seule la partie basse est immergée, c'est bien exactement ce que préconise Reich.

Les tubes de de Meo comme ceux de Reich sont évidés et non bouchés, dirigés vers le ciel.

Comme il ne peut pas tremper l'extrêmité basse directement dans l'eau, cela pose souci à devoir patauger dedans, et notamment pour l'orientation du système amovible (eux le faisaient amovibles) ils prolongeaient la partie basse des tubes par des tuyaux flexibles, toujours en acier inox ou galvanisé, ces tuyaux conduisant à une nappe d'eau circulante (cours d'eau).

C'est peut être cela que tu as pris pour des "bouchons".

partage me précise que les tuyaux trempent de 15 à 25cm dans le cours d'eau sur leur partie inférieure.

Les deux groupes de tuyau les plus long semblent de longueur différente car ils sont disposés glissés l'un sur l'autre de façon que la même longueur trempe dans l'eau en partie basse, mais ils font bien la même longueur.

Par le biais des forums de ONCT j'ai eu le lien suivant:
http://orgon.de/E-index2.html

On y trouve plusieurs choses. Dont les contre-indications de l'usage des accumulateurs d'orgone, basées sur des observations d'utilisation
http://orgon.de/E-gegenind.htm

Notamment on y trouve une réflexion intéressante qui fait que j'ai cessé d'utiliser l'accumulateur pour traiter mon fils.

En effet l'accumulateur charge l'organisme d'orgone et renforce le fonctionnement des cellules en leur donnant un supplément de charge vitale.
Or ceci renforce aussi le système immunitaire qui devient puissant. C'est vrai que j'ai pu constater la guérison de bronchites et rhinopharyngite entre autre.


Mon fils est atteint d'une maladie auto-immune et il a un traitement immuno-suppresseur. Donc il est vrai qu'il n'est pas tombé malade du tout grâce à la couverture à orgone qu'il a utilisé intensivement depuis que le traitement initial n'avait rien donné (pendant 2 mois il n'a pas eu d'exposition à l'accumulateur pendant le traitement initial et sa deuxième phase, pour laisser sa place au traitement standard). Mais du coup la réflexion menée sur la page donnée est pertinente: les effets sont antagonistes à la médication: par l'accumulateur on renforce son immunité alors que par médicaments on l'affaiblit; ce qui fait que ceci ne peut l'aider à guérir; ça freine le travail au contraire.

L'accumulateur d'orgone est utile dans le cas de maladies pathogènes ou de cancer, mais pas dans son cas et il y a une liste d'autres contre indications, dues au principe de fonctionnement même de l'accumulateur.

En attendant les relevés de partage, voici les relevés pluviométriques provenant de Stations météo amateur faisant des relevés quotidien.

Station de Carbon Blanc (située à 60km à voil d'oiseau au Nord-Est de la position du cloudbuster):
http://www.meteo-live.com/index.html

Voici les données obtenues:

Précipitations sur le mois d'avril 2012:


Soit 160mm de pluie environ sur avril 2012 qui est le nouveau record de pluie sur un mois d'avril depuis longtemps. Données précédentes de la station:


L'encours actuel des mois:


Station de Taillan Médoc (située à 60km à voil d'oiseau au Nord-Ouest de la position du cloudbuster et à 15km de la station du Carbon Blanc):
http://bruno-g.perso.sfr.fr/topic/index.html

Voici les données obtenues:

On retrouve des données de mesure identiques aux erreurs de mesure près et au différences locales près, c'est vraiment la même chose.
Précipitations sur le mois d'avril 2012 (ici on l'a sous forme graphique):


Comparatif avec les deux années précédentes en graphique:



L'encours actuel des mois:


Conclusion:

La conclusion de tout ceci est que cette année a été exceptionnelle en terme de pluviométrie dans la région de Bordeaux pour le mois d'avril, au regard des 15 années précédentes on a le record.

Bon donc il a beaucoup plu.

Mais maintenant il faut comparer avec le reste des régions, voir si le phénomène est localisé ou pas.

Données européennes sur le mois d'avril 2012:
http://www.passion-meteo.net/articles.php?lng=fr&pg=129

La pluviométrie durant janvier à mars 2012 sur l'Europe en moyenne:


Puis le mois d'avril 2012:


Comparatif du mois d'avril 2012 avec les précipitations "normales" d'un mois d'avril:


Les chiffres de la dernière carte donnent le pourcentage de précipitation par rapport à un 100% qui représente la normale moyenne.

Conclusion:

On voit que la pluviométrie exceptionnelle en avril a été exceptionnelle sur une large partie de la France: sur toute la côte Ouest allant de la Bretagne aux Pyrénées, ainsi que sur l'Angleterre.

En première approche, le phénomène n'est pas localisé et a donc peu de chance d'avoir un lien avec le couldbuster, sauf si celui-ci est capable de modifier la météo sur une aussi large ampleur. C'est possible au final car De Meo avait eu des résultats de large ampleur.

Le seul moyen de confirmer l'action ou pas du cloudbuster est donc de recommencer à l'utiliser et ceci dès la première sécheresse qui arrive et refaire les mêmes études de relevés. Si on arrive à avoir une anomalie des précipitations systématiquement exceptionnelles à large ampleur sur la côté Ouest (visée par le cloudbuster) lors de son utilisation alors ça sera démontré.

Si on regarde ce qu'a fait De Meo on a ici ses travaux:
Arizona 1989:
http://www.orgonelab.org/OROPAZ1989.htm
Israël en 1991-1992:
http://www.orgonelab.org/OROPIsrael1991.htm

En Israël il a une carte chiffrée des précipitations obtenues par rapport à la normale (du même genre donc que la carte précédente pour l'Europe en avril 2012 que j'ai mise):


Il indique que les précipitations ont commencé 10 jours après le début de l'utilisation du cloudbuster et ont cessé quelques jours après l'arrêt. On voit que l'impact a été sur une étendue de l'ordre de plusieurs pays (une tempête s'est mise à se développer durant l'usage du cloudbuster qui a balayée la méditerranée centrale et de l'Est), donc un impact de très grande ampleur. ça a pris du temps à démarrer mais ça a changé la météo de la région toute entière.

Si on regarde les précipitations graphiques d'avril 2012 données précédemment ici:
on voit que la grosse perturbation de précipitations a commencé vers le 17 avril (soit 10 jours après la mise en place du cloudbuster du 7 avril) et a terminé le 29 ou 30 avril (soit 2 ou 3 jours après le démantèlement du cloudbuster)

Alors il y a peut être bien un lien... la grande ampleur est possible. Mais pour le savoir, il faut répéter le travail.

Je crois qu’il ne faut pas rêver à la marmotte…

Suite à la période de sécheresse, Partage avait envisagé ce montage.
Arriva, juste après, des pluies très importantes.
Or, après renseignement, il n’avait pas encore fait le montage.
Je pense que les saisons sont pourries actuellement, et pour longtemps.

Les agriculteurs (et vacanciers) se plaignent des pluies maintenant.

Je supplie Partage de sortir ses tuyaux hors de l’eau, car si c’est efficace, on va bientôt lui jeter des pierres…

Je crois que tu n'as pas suivi: il a mené l'expérience du 7 avril au 26 avril et c'est déjà rangé depuis le 26 avril.

Du coup tes renseignements ne sont pas bons puisque les pluies importantes sont arrivées 10 jours après qu'il ait commencé la mise en place (il a mis en place au 7 avril).

De plus le cumul des pluies sur le mois est de 120,7mm sur la période allant du 17 avril au 30 avril soit de 10 jours après début de la mise en place jusqu'à 3 jours après la fin (durée équivalente au constate de De Meo sur ses résultats pour comparer), soit 71% des précipitations du mois de 169,4 (sur données Taillan Médoc) sur 14 jours sur les 30 du mois (46,7% de la durée du mois)

Pour les données de Carbon Blanc on a sur la même période 126mm pour un total mensuel de 161,2mm soit 78% des précipitations du mois.

Si on soustrait ces pluies là on arrive à un total de 35,2mm à Carbon Blanc ou de 48,7mm à Taillan Médoc qui sont comparables à la moyenne de 46,74mm sur les 10 dernières années calculées sur les données de Carbon Blanc.

Donc il y a possibilité qu'il se soit passé quelque chose en effet; c'est pour ça qu'il faut reproduire le phénomène.

Les précipitations cumulées depuis le 1er mai jusqu'au 11 mai donnent 14mm d'eau (sur 12 jours) à comparer avec 6,3mm en mai 2011; 35mm en mai 2010 on n'a donc rien d'anomalique pour le moment à noter.

Donc l'anomalie s'est située dans la fenêtre d'utilisation du cloudbuster, il n'est donc pas impossible qu'il y ait un lien et aucune conclusion hâtive n'est à produire tant qu'il n'y a pas eu de reproduction de l'essai.

partage m'a envoyé ses données et précisé que l'appareil a été mis en place le 3 avril au matin, ce sont ses relevés de pluviométrie qui ont été commencés le 7 avril (pluviomètre en place le 3 avril je suppose?).

Il indique que l'appareil a été arrêté non pas le 26 mais le 27 avril dans l'après-midi.

Il m'a envoyé ses relevés. Il a vidé son pluviomètre à 12h les jours de mesure qui sont indiqués et relevé la mesure.

Voici ses données locales que j'ai re-formatées en fichier Excel avec graphique:





Le cumul sur la période allant du 7 (mesures datant du 3 à priori) jusqu'au 28 à midi donne 204mm de pluie.
Le cumul sur le mois d'avril entier jusqu'au 30 (datant du 3) donne 245mm.

Sur les forums de ONCT une personne a mis un lien vers un document de haut intérêt à priori (je l'ai seulement parcouru à la vitesse maximale en diagonale pour le moment, mais la lecture approfondie viendra):
http://web.tiscali.it/carlosplendore/research.pdf

Une personne a réalisé un orgonomètre permettant de mesurer la charge d'orgone.

Bonjour à tous,
je viens de lire ce topo et suis admiratif du travail et de la persévérance de Chercheur
Pour ma part je n'ai pas fait de couverture mais des boitiers 18cmx9cmx30cm
exterieur métal inox, interieur toutes les couches un peu comme Chercheur.
c'est simple et très efficace. Quand on le met sous le lit on a l'impression d'etre dans un cocon energétique bienfaisant
Donc pas besoin de couture (je ne suis pas très courageux) et les resultats sur la santé sont impressionnants.
J'ai préféré ne pas faire un accumulateur mais un générateur. Placé dans une piece apparemment il augmente l'energie du lieu d'après les utilisateurs qui sont souvent des magnetiseurs
Je me mefie des accumulateurs car j'ai vu beaucoup d'orgonite par exemple devenir très négatives peu de temps après leur fabrication.
Je crois avoir fait le systeme de la couverture mais à l'envers pour les couches exterieures.
Nous avons obtenu par exemple 3 guerisons sur des maladies très graves.
par contre il faut être vigilant car une longue exposition fait remonter les strates physiques, psychiques et énergétiques du passé. (d'ou cette agitation)
A ce moment il faut savoir faire pour effectuer "la déprogrammation cellulaire" sinon c'est peine perdu on guérit d'un côté et ça recommence ailleurs
c'est un peu comme si cette augmentation d'énergie nous permettait de prendre conscience de ....
voila notre simple expérience qui rend bien des services autour de nous

bonne fetes de fin d'année

Merci pour le retour sympathique sur la lecture du sujet.

Question: tu as mis des couches concentriques dedans comme un accumulateur, mais tu n'as pas laissé d'espace vide, ou tu as empilé des couches comme dans une couverture et mis le tout dans une boite de métal simplement?

Quel type de guérison ont été obtenues?
Quel type d'absorbant est utilisé pour les couches? (lainer d'acier pour les métaux des couches ou plaques de métal de fer pleines?)

Un truc me gène terriblement après avoir lu en diagonale aussi le document sur le Rotorgon, car il me rappelle mes expériences de PK pour faire tourner une pypy (mini-forme pyramide d'akuminium montée sur une aiguille).

La pypy tournait très bien à l'air libre, mais plus aucun mouvement sous une cloche de verre. J'en ai déduit que ce sont les mouvements d'air ambiant qui la faisait tourner jusqu'à preuve du contraire.

Est ce que l'orgone est stoppée par du verre ?
Si non, il faut absolument que le rotorgen soit mis sous une cloche de verre pour éviter les erreurs d'interprétation dues au mouvement d'air.

D'autre part, les mesures de différence de potentiels et d'autocharge du condensateur que représente cet appareil, me font aussi penser au même phénomène que celui observé avec les condensateurs à eau, les piles à cristal, le captret etc.

D’après ce que dit Triadeus, se serait un enroulement de couches sur elles mêmes. L'ensemble enfermé dans une boite inox.
L'inox ne serait la, que comme contenant.
On sait que l'orgone n'est pas attirée par l'inox.
La puissance serait supérieure avec une boite une boite en fer ou en acier zingué.

Bonjour,

Charge des organes selon leurs natures pour les êtres humains

1) Organes creux = yin -
2) Organes pleins = yang +

Le Tchi = Yin + yang (rien de nouveau sous le soleil du prana....)

Si cela peut vous aider à mieux comprendre...

Amicalement vôtre

Bio.

Aujourd'hui j'ai refait l'expérience que j'avais déjà faite il y a quelques mois et qui se confirme de la visualisation des particules blanches d'orgone/prana/particules de vie d'éther (elles ont plusieurs nom) dans le ciel.

Normalement tout le monde est capable de les voir. Il suffit de regarder une zone uniforme de ciel bleu ou gris ou blanc (selon qu'il y ait des nuages ou pas) en regardant avec mise au point des yeux vers l'infini.

On finit par voir une myriade de petits points blancs lumineux qui virevoltent en tous sens sans jamais s'entrechoquer. Si on essaie d'en suivre un des yeux on voit qu'on peut le percevoir pendant une demi-seconde au mieux; jamais je n'ai pu compter jusqu'à 1 seconde tout en en suivant un des yeux; ensuite on ne le voit plus. Ils apparaissent soudain, virevoltent pendant disons 1/3 de seconde en moyenne et disparaissent ensuite.

A ne pas confondre avec les masses sombres ou semi-trabslucides de filaments ou de paquets plus ou moins patatoïdes constitués de débris cellulaires qui baignent dans la cornée et qui dérivent, agrandis par un effet de loupe du cristallin de l'oeil et qu'on voit très gros flotter dans l'oeil, qui se déplace lentement ou par accoup si on fait pivoter l'oeil bien sûr.

Donc les petits points blancs qui virevoltent sont bien une donnée géolocalisée dans le ciel, j'ai pu en faire l'expérience. Il suffit de les regarder et de brusquement décaler la tête vers la droite ou la gauche en en suivant quelques uns. On voit qu'ils poursuivent leur trajectoire de façon totalement inchangée comme à l'initial, dans le même zone du ciel au même endroit exact. On peut aussi brusquement faire pivoter le globe occulaire (d'un angle permettant quand même de suivre les points lumineux). On ne peut suivre correctement que ceux dont la trajectoire est de durée de l'ordre de la demi-seconde; mais on voit très bien que les trajectoires restent dans la continuation déjà engagé, il n'y a aucune modification par le mouvement de l'oeil. Par contre les débris qui flottent lentement dans l'oeil ueyx, bougent quand on décale ou qu'on pivote l'oeil: ils ne sont soudain plus en face du même coin du ciel.

Voilà donc la preuve que ces points sont des éléments objectifs présents dans le ciel et pas des illusions dans l'oeil.

Autre chose: je les ai observés vers 11h ce matin, par la fenêtre de chez moi, sur le fond de ciel bleu. Le soleil était déjà bien monté dans le ciel. J'en ai vraiment vu pas mal, disons 200 par l'encadrement de ma fenêtre situé à 2 mètres de moi (ce qui donne une idée de l'angle de vision), fenêtre de 120x150cm.

Ce soir à 21h20 alors que le soleil n'était plus visible et couché derrière la colline, j'ai regardé tous les coins du ciel que je pouvais, j'avais beau regarder des coins de ciel bleu ou blanc (il y avait des nuages) je n'ai pas vu un seul point lumineux virevoltant, alors que j'étais dans un jardin dehors. J'avais donc tout le ciel comme champ de vision, j'ai essayé plusieurs endroits, mais rien de rien.

J'en conclue donc que les points lumineux que je suis capable de voir sont des particules émises directement par le soleil ou produits par les rayons du soleil traversant l'atmosphère terrestre; puisque lorsque le soleil est couché et qu'aucun rayon direct du soleil ne traverse l'air que je regarde je n'en vois plus (évidemment le ciel reste lumineux par diffusion mais ce n'est pas la même chose semble-t-il). Donc ces particules seraient dues au soleil. Je ne dis pas qu'il n'existe pas d'autre type de prana/orgone émis par des sources cosmiques, juste que celles que je peux voir, les lumineuses qui virevoltent, celles-là, viennent d'une cause provoquée directement par le soleil.

Voilà une première observation.

Je fais les mêmes constatations.
Plus une autre; j'ai voulu voir si ces particules étaient visibles dans la maison. En fixant l'écran de ma TV éteinte (écran plat de 32"), je peux voir (en insistant davantage) ces mêmes particules, beaucoup plus petites et moins lumineuses mais par contre tout aussi mobiles.
Elle semblent donc passer à travers la matière (murs, fenêtres).