De la Beauté du Langage de la Mécanique

Cela faisait longtemps que je voulais vous communiquer quelque chose à propos de ce que j’appelle « la Beauté du Langage de la Mécanique ».
Il y a un certain temps, je suis tombé sur un ouvrage qui décrivait un certain nombre de moteurs thermiques atypiques. Bien qu’en connaissant déjà la plupart, je n’ai pu m’empêcher de le parcourir du début à la fin et de m’extasier sur l’extraordinaire imagination de ces concepteurs. De la même façon qu’un mécanisme délicat d’horlogerie ou un moulin à grain mû par une roue à aube, ces systèmes me « parlent ». De la même manière que nous alignons des mots pour nous faire comprendre, je n’envisage la construction d’un système mécanique que comme une façon de dialoguer. Assimilant chaque élément de base à un mot, leur agencement cohérent à une grammaire, je ne conçois la Mécanique avec un grand M que comme une poésie. Il est remarquable d’ailleurs que les mécaniques qui semblent nous dire quelque chose soient toutes animées de mouvements généralement très harmonieux, soit dans leur rythme soit dans leurs trajectoires, voire les deux. Lorsque je me ballade dans la rue et que je croise ces bagnoles qui se ressemblent toutes, que j’imagine leurs mécaniques qui se ressemblent toutes, j’ai mal, j’ai honte. Voilà donc tout ce que nous sommes capable de créer ? Où est passée l’inspiration de tous ces virtuoses du « siècle des Lumières » ?
Lorsque je regarde d’un œil critique la « pauvreté » de vocabulaire de mes premières créations, je n’en pense pas moins. Peut-on espérer tirer quelque chose de plus d’une machine qui contient 1 million d’engrenages simples qu’une autre qui n’en compterait que quelques dizaines ? Placer quinze fois la même conjonction de coordination dans une phrase éclairera-t-il le propos ?
Je suis convaincu qu’un lien existe avec le langage, tout comme avec les Mathématiques que beaucoup considèrent comme un langage à part entière. Alors retroussons nos neurones (non, nos manches) et au boulot. Positivons, varions les plaisirs, redécouvrons les vieilles recettes, et surtout, surtout, cherchons l’Harmonie.

La gravitolienne que je présenterai dans quelques jours va complètement dans ce sens. Basée à la fois sur une loi d’équilibre et sur un jeu de mot (j’utilise un élément mécanique d’une façon non orthodoxe, exactement comme je le ferait en écrivant un mot pour un autre) qui remplit à merveille son office. Et que dire du mouvement gracieux de ses systèmes internes même s’il me faut avouer que le sentiment de paternité que j’éprouve à son égard influence mon jugement.

J’aimerai avoir votre sentiment là-dessus et brûle d’impatience à l’idée qu’il puisse être partagé. A moins que ma raison vacille, pensée qui a cessé de me terrifier il y a bien longtemps.

Bonjour,

Je suis éminemment d'accord avec votre propos.

Il en va de même pour les champs électromagnétiques et les champs d'interaction faible.

Vous semblez être en passe de redécouvrir le Verbe.

(écrit avec une majuscule pour la référence religieuse, mais qui en fait appartient peut-être plus à une appréhension différente de notre univers ou d'un "neo-paradigme" d'apprentissage et de découverte.)

Cette grille de décodage de la matière nous incluant et nous invitant à harmoniser notre environnement, commence à peine à être décryptée et ressentie par un nombre croissant d'êtres en mouvement de prise de conscience (j'entend par là ceux qui ont le neurone qui commence à frétiller et dont les zygomatiques se raffermissent).

Les expériences réalisées en électromagnétisme m'amènent à la même conclusion.

Avec la pierre aussi lorsqu'harmonisant le coup de massette avec la voix.

Avec les humains c'est un peu plus complexe mais je ne désespère pas encore...

La matière n'est que le résultat de la manière d'organiser l'énergie.
Ce qui implique que la matière est consciente aussi et s'imprègne le la qualité de l'énergie qui la traverse et aussi de celle avec la quelle elle fonctionne.
- Remarquer ici peut-être un exemple de changement de paradigme car il n'est nul besoin d'une énorme quantité d'énergie pour transformer la matière, mais trouver la bonne harmonique et chercher une résonance.-

Bref, ce que vous décrivez ressemble à s'y méprendre à :
"La pensée c'est de la matière". Ainsi que :
"L'intention précède la forme qui précède la matière".

Je confirme, c'est on ne peut plus exact.
Ce que vous nous proposez est profondément ancré dans l'inconscient de chacun et l'humanité se meurt de ne pouvoir librement l'exprimer et emporte sa partie de cette expérimentation de la matière et de son appartenance voire de son intention de vie avec sa disparition.
Un peu comme l'incidence de la disparition d'une fougère au prétendu quaternaire de l'erre de la Terre au regard de l'univers.
Evidemment on ne peut vivre dans cet univers qu'en le regardant et cherchant une raison à force explications.
Vivre et comprendre, voire connaître cet univers, c'est de vibrer avec lui.
Il n'y a pas que du mauvais dans les voitures d'aujourd'hui, mais l'intention de départ est faussée pour assouvir un asservissement.

Sauf que, lorsque l'énergie se retrouve contrainte et contenu dans une forme ou une autre de cristallisation (qu'elle soie organisationnelle, structurelle ou bien encore provoquée) elle va naturellement chercher à s'harmoniser et à vibrer de façon à appréhender ses limites, une espèce de façon de chercher un écho... Et, dès lors que cette énergie commence à dévier, la dissonance risque de faire exploser la cristallisation qui la contient.
Ici peut-être commence l'expérimentation du Bardhô (cf. Livre tibétains des morts).

Mais nous aurons peut-être l'occasion d'en reparler.

Bonjour

Passionne de mecanique ( Bielle "H.R" pour tout moteur thermique/brevet france ) et Impatient de decouvrir votre innovation sur le forum j'ai les memes doutes
sur le partage des idees ;

a tres bientot donc:D

Cela me fait chaud au coeur de voir que d'autres "poètes" hantent ce forum.
Merci à vous.

Hélas, mille fois hélas, le concept que je pressentais à l'époque (le 1er février) n'a aboutit qu'à un cul de sac. Équilibre, éternel équilibre.
Je n'en continue pas moins, et justement, le prochain sera le tout premier de mes "bébés" à présenter une énorme différence de travail entre ses deux parties principales. Je ne suis pas à fond dessus pour diverses raisons; d'autres chats à fouetter en ce moment, mais aussi le fait que cette mécanique ne pourra être utilisée pour faire la nique à EDF à cause d'un rendement sans doute très faible. Mais pour le sport et la grâce du mouvement, je tâcherai d'aller au bout.
A quand le jour où je pourrai créer et vendre une de ces machines comme d'autres peignent ou sculptent ? Je ne désespère pas non plus.

On a beau tourner le problème du mouvement surunitaire mécanique dans tous les sens, y a toujours un problème d'équilibre qui s'établie à terme. Ca a le mérite de faire travailler les esprits et de fournir une mane d'idées géniales.
Pour qu'un mouvement perpétuel mécanique puisse fonctionner, il faut trouver le moyen de créer une zone d'espace/temps dans laquelle la machine mécanique va subir une variation de G. On peu prendre l'exemple d'une roue trés lourde dont l'axe de liberté est son axe de rotation, supposez que la moitié gauche de cette masse ronde voie ça masse annulé et que ça partie droite reste soumise à G, supposez que le système qui vous permette de créer cette condition d'anti G local ne consomme pas ou peu d'énergie, et bien la roue va se mettre spontanément en rotation.
Cette exemple est plutôt grossier, car quand on a un moyen d'annuler la masse de la matière, on a plus besoin de faire tourner une roue comme celle là pour faire tourner un alternateur et produire de l'électricité, il ya un non sens technologique.
Je suis admiratif devant les réalisations mécanique de John Keely, ces moteurs rotatifs à raisonnances acoustiques qui produise des champs d'onde scalaire tournant, c'est génial, mélanger le son, la musique avec la mécanique. Keely avait inventé le champ tournant acousticaux éthérique, chose bien plus évolué que le champ tournant magnétique de Tesla (ingénieur en mécanicien).
Le champ tournant triphasé de Tesla est l'équivalent magnétique du moteur thermique à piston étoile. John keely se passe de tout ces artifices magnétique et mécanique pour produire un mouvement tournant, il utilise simplement des ondes stationnaires dans leur mode tournant, le champ tournant éthérique n'est que l'effet produit par la mise en mouvement rapide des électrons dans les pièces métalique du moteur sphérique (cavité creuse metallique).

j'attire votre attention sur le phénomène d'anomalie d'adminission des gaz sur les moteurs de formule 1, les ingénieurs ne savent pas vraiment comment un moteur thermique de F1 tournant à plein régime est encore capable d'aspirer suffisement d'air pendant un laps de temps très court en raison de la viscosité de l'air (impédance de fluide). Pour celà il faudrait agir sur la viscosité de l'air comment ?? Et bien il est fort probable que le piston entretient un régime d'onde stationnaire acoustique dans ça masse quand le moteur est à plein régime (16 000 trs/min voire plus, donc > 16kHz), les électrons libre du piston s'agitent de manière cohérente et produisent une modification de la circulation de l'ether localement, l'air qui entrerai dans cette zone plus fluide subirait une accélération supérieur à celle qui aurrait lieu dans une zone éthérique "standard".
En d'autres termes, le piston de par accélération +/- produit un effet "relativiste" qui modifit l'espace temps localement et influence la fluidité de l'aire à proximité de l'admission. Les électron du piston subissent un "jerking", y a un effet "shaker", et ça balance des ondes scalaire par effet doppler.
J'ai comme expérience perso à mon boulot, le cas d'une machine outil dont le porte outil de 3kg perd 4 grammes quand il vibre à 30kHz et les regagne quand il est de nouveau au repot, l'expérience est reproductible indéfiniment.

Pour la roue dont une moitié pèsera plus lourd que l'autre c'est exactement ce que je vise. La roue en question porte dans la moitié de ses alvéoles X billes qui sont lâchées en position hautes et récupérées en position basses. Un double problème à résoudre;
_ le point d'appui pour empêcher la roue de basculer du mauvais côté
_ le point d'appui pour encourager la roue à basculer du bon côté
Ces deux points étant simultanément mobiles il va falloir la jouer fine. Peut-être en alternant l'effort sur l'un puis sur l'autre de ces systèmes. Ce n'est pas tant l'équilibre statique qui pose problème (avec un grand bras de levier ça passe toujours) que la synchronisation des différents éléments.

Je saurai quoi répondre la prochaine que l'on me dira à propos des A.V.E.C. que j'expérimente aux petits mains qui me balanceront que :"si on pouvait améliorer le rendement d'un moteur avec une simple feuille de métal plié, cela se saurait et les constructeurs l'auraient intégré depuis longtemps". Si ils savent déjà pas précisément comment leur moulin fonctionne, même à 16000 Tr... MdR.
Se pourrait-il d'ailleurs que la mise en rotation du flux d'admission accélère les particules au point de créer localement une "anomalie" quelconque ? Sur mon ancienne voiture je percevais très bien un brusque changement dans le son émis à l'échappement à partir d'un régime critique correspondant sans doute à une mise en résonance. Et bizarrement, l'actuelle se montre d'une immuable discrétion malgré plusieurs design testés, mais les deux circuits d'admission entre l'une et l'autre n'ont rien à voir.
Pour la machine outil il faudrait inventorier tous les paramètres possibles et imaginables. J'imagine que la fréquence de 30 Khz est à la fois capitale et inutile prise isolément.

L'Avec ou vortex valve permet de creer un spin au niveau de l'air, corrrespondant à une compression, l'admission en a un peu plus a disposition avec l'objet.

On gagne quelque pourcent. 5 ....7%

A noter que l'on gagne beaucoup plus avec une brumisation , rechauffée, puis admis dans l'arrivée d'air par un bec a depression.
La on peut pousser à 30%

A savoir que dans ce cas,.. l'Avec est un pis aller avec le bec a depression.
le bec a besoin d'un air moins vortexé.

La machine travaillait à cette fréquence de 30kHz, il n'y avait pas possibilité de la faire varier en amplitude et en fréquence. Ca fonction bien que peu importante pour nous ici, était le découpage de ruban métalique, c'était une machine que l'atelier centrale du LAL utilisait en 1995, mes collègues qui avaient travaillé avec à l'époque m'en parlent encore, ils avaient rusé d'ingéniausité pour compenser ce phénomène plutôt génant dans leur cas.
C'est étonnant comme une grande Re"découverte" peut nous passer sous le nez bien des fois sans que nous y fassions attention. En farfouillant sur le net, j'ai découvert que le son pouvait provoquer des effets étonnant sur la matière, et que ces effets variaient également en fonction de l'environnement géologique où l'expérience est effectuée, réseau hartmann etc...
J'ai découvert qu'il existait un rituel tibetain, qui consistait à irader une pierre avec du son pour lui faire ça masse pendant un laps de temps. Je suis tombé sur les quelques info concernant John Keely et ces expériences de dingue basé sur l'harmonie des son et de ce que ça déclenchait dans la matière et le "vide".

Ici il y a un sujet sur Keely et les lévitations tibétaines par le son ou autres informations sur les techniques sonores de perte de masse documentées connues:
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...p?showtopic=508

Tu as de quoi lire et gratter. Les forums sont assez remplis de choses intéressantes, ne pas hésiter à utiliser la fonction recherche sur un sujet qui t'intéresse.

il est fort probable que le piston entretient un régime d'onde stationnaire acoustique dans ça masse quand le moteur est à plein régime (16 000 trs/min voire plus, donc > 16kHz)

Que nenni Blazing ;

-16000 trs par minute pour un moteur c'est OK

-16 Khz c'est par seconde ...po pareil donc

Projethe ;

Un double probleme a resoudre;

_ le point d'appui pour empecher la roue de basculer du mauvais cote
_ le point d'appui pour encourager la roue à basculer du bon cote

pour les 2 cas une seule roue libre....