Générateur homopolaire tests, Recherches et expériences

Chers amis, je vous salue !

Voici quelques données et recherches issue de quelques unes de mes expériences sur le générateur homopolaire.
J'espère que ça pourra éclairer des chercheurs et mener à des réalisation sur-unitaire !

Le générateur homopolaire est un principe d'extraction de l'énergie invisible qui nous entoure.

Les données présentes dans ce documents ont pour but de procurer à chacun la compréhension nécessaire à la réalisation d'un générateur.
Je ne suis qu'un tout petit chercheur qui tente de transmettre ses maigres connaissances.
Aussi, bien que la plupart des données énoncées ont été appuyés par l'expérience et le calcul, je vous invite à ne pas tout prendre comme parole d'Évangile et à être indulgent sur les points où je n'ai pas été clair ou précis.

Principe de base :
Ce principe a été découvert en 1831 par Mickaël Faraday en faisant tourner un disque conducteur dans un flux magnétique parallèle à l'axe de rotation. Une tension électrique est mesurée entre l'arbre de rotation et la périphérie.

Pour ceux qui veulent aller à l'essentiel tout de suite, voici les grands principes découverts. Pour plus de documentation, elle se trouve plus bas !

Lois et principes du générateur homopolaire :

1 - Le flux du champ magnétique doit être parallèle à l'axe de rotation du disque
2 - La tension produite est proportionnelle :
à la vitesse de rotation
à l'intensité du flux magnétiques
Au carré du rayon du disque
3 - Le générateur de champ magnétique (aimant, électro-aimant) doit être embarqué pour ne pas produire de couple résistif due au courant généré.
4 - La polarité de la tension est positive à la périphérie du disque lorsque le disque tourne en sens trigonométrique vu par le pôle Nord.
5 - La différence de potentiel entre l'axe et la périphérie s'inverse lorsque l'on change le sens de rotation seulement, ou bien seulement les pôles de l'aimant (retourner l'aimant de l'autre côté).
6 - Pour recueillir la tension, il faut un ballais/charbons/collecteur... qui ne soit pas en rotation. (Une chaine ou une courroie métallique fonctionnent (chez Tesla) en revanche)
7 - Il faut recueillir la tension dans le champ magnétique, sur le disque même, car s'en éloigner diminue aussi la tension très rapidement.
8 - Deux aimants cylindrique en rotation, de même pôle en vis-à vis (qui se repoussent) produisent entre leur périphérie une tension deux fois plus grande que celle existant entre leur périphérie et leur centre.

Formule :
D'après les documents de Thomas Valone, la formule pour obtenir la valeur de la tension est la suivante :



J'ai pu vérifier ce calcul par l'expérience suivante :



De petits aimants sous formes d'anneaux magnétique mis en rotation par une perceuse produisent une tension. (ici il y en a une pile, mais un seul suffit !)
Caractéristiques : aimants de 34 mm de diamètre sur 7mm d'épaisseur, N42.
A 3000 tours/minute, le maximum de la vitesse de rotation de la perceuse, un seul aimant produit 25mV. Une pile d'aimants produit 48mV. On observe que l'épaisseur de l'aimant joue beaucoup. En tout cas, 48mV est proche des 54mV théorique !
Calculs :
(314x1,25/2)x(0,017²-0,004²)=0,054 Volts
avec
(Rad.Sec x Tesla/2)x(RayonExt²-RayonTrou²)

Sachant que la vitesse de rotation peut être inférieur et la densité de flux légèrement différente (j'ai pas mal contraint ces aimants de de nombreuses expériences !)

Doubleur de tension :
J'ai découvert qu'en plaçant deux aimants, dans le sens où il se repoussent permettait d'obtenir une différence de potentiel doublée entre les périphérie par rapport à leur centres.
Ce principe, je l'ai redécouvert plus tard, notamment dans la dynamo du français Poirson de 1930.
Je l'ai nommé le plateau doubleur de tension.
Ce schéma d'expérience l'illustre :



Le test est réalisé à basse vitesse, il n'était pas utile d'aller vite pour observer le principe.
De fait, la plaque de fer ne sert à rien, si ce n'est à garder les deux aimants tous près (ici elle fait 6mm). Elle est par contre le témoins du fait que la tension entre les aimants n'est pas court-circuité, ce qui est la vérification du principe que lorsque le conducteur sort du champ sa tension devient nulle. Ici, strictement entre les deux aimant, la tension n'est pas nulle mais perpendiculaire à l'axe, ce qui équivaut à une nullité.
La distance entre les aimants n'interfère pas. Il faut cependant que les deux centres soient électriquement connectés (sur le même arbre conducteur par exemple).
Il serait formidable de pouvoir additionner des plateaux doubleurs de tensions, mais il est impossible de le faire sans ballais. J'ai fait des tests et j'ai compris que c'était parce que l'on changeait de pôle magnétique entre deux plateaux, donc que l'on passait à un champ magnétique nulle (ou perpendiculaire à celui qu'il nous faut).
Mais si vous mettez cent plateaux doubleurs reliés entre-eux par des ballais, vous obtiendrez deux cent fois la tension d'un seul disque en rotation.

Le couple résistif :
- Dans l'expérience initiale de Mickaël Faraday, l'aimant était fixe, le disque seul, tournait.
- Dans le brevet de Nikola Tesla N° 406.968 du 16 Juillet 1889 également. (par la suite, il écrit des notes en 1891 dans lesquels il mentionne un générateur de flux rotorique embarqué cette fois)
- Dans la dynamo de Poirson aussi l'excitation magnétique est au stator.

Rien de nouveau sous le Soleil diront les sceptiques, c'est une génératrice électrique comme une autre ! Certes, sauf que ... l'on peut supprimer le stator !
Et oui, si l'on embarque l'aimant, de la tension est généré et cela, quelque soit le courant, sans produire de couple résistif sur l'armature par le principe de la force de Laplace.
Voici le schéma explicatif :



Notez bien cette différence et son implication pour le sujet qui nous intéresse : l'énergie libre et gratuite !
Voici le principe de la force de Laplace :

Avec cette illustration, vous devriez mieux saisir le principe qui suit.



Auto-entretien de l'arbre de rotation :
Concept :
Un générateur homopolaire est relié électrique à son opposé : une roue de Barlow.
Une roue de Barlow est un moteur unipolaire utilisé de nos occasionnellement dans l'industrie.
Le générateur homopolaire produit de la basse tension mais à une intensité qui peut être très grande, la roue de Barlow, elle, a précisément besoin de ces valeurs.
La roue de Barlow est entièrement basée sur une seul principe : la force de Laplace.
J'ai donc réalisé le schéma ci-dessous :



Il faut absolument que le diamètre de la roue génératrice soit supérieur à la roue de Barlow. Ainsi, il y a différence de potentiel pour que du courant puisse être débité.
Voici la photo du prototype :



Voici la vidéo :


http://www.youtube.com/watch?v=z_RPblR5YTw

Hélas, j'ai bien saisis le problème majeur : la résistance de contact des électrodes !
Je pensais naïvement qu'il suffisait de poser un fil ou un ballais-charbons de moteur à courant continu et hop, on récoltait des dizaines et des centaines d'ampères !
Et bien non ! La résistance de contact de deux électrodes de multimètre est environ de 0,15 ohm.
Celle d'un fil de cuivre un peu plus gros est moindre mais toujours dans ces eaux-là, supérieur à 50mohm. Donc, dans mon test, je n'ai pas pu obtenir, à mon avis plus de quelques misérables ampères, un ou deux, donc sans incidence visible.
Pour que le système présenté fonctionne et produise un excédent notable d'énergie il faudrait au moins deux cent fils comme présent sur la vidéo tout autour des disques. Environ 200 ampères pourraient être obtenus.


Hypothèse théorique du phénomène :
Beaucoup parlent de vortex. C'est fort probable car lié à ce qui suit.
Pour ma part actuellement, je conçoit la chose comme suit :
La tension est apparemment obtenue par un phénomène identique à la force centrifuge qui elle, est liée à la gravité : la vitesse relative des particules en rotation à la périphérie crée une dépression dans l'éther. Cette dépression n'existe pas au centre du système en rotation, donc la "pression globale" de l'éther pousse de l'intérieur vers l'extrémité.
Sur le plan gazeux, on retrouve ce phénomène dans la dépression d'une aile d'avion. (Saviez vous qu'un avion n'est en fait pas porté, mais principalement aspiré ? )
Pour notre Générateur homopolaire, il en est probablement ainsi, le flux magnétique "polarisant" l'éther d'un certaine façon et le conducteur en rotation, par analogie, connait une "dépression de potentielle" pour réutiliser improprement les termes précédents.


Conclusion :
Le générateur homopolaire n'est pas une machine aisé à fabriquer pour plusieurs raisons :
- La faible tension produite pour nos petits diamètres.
- Le problème mécanique des ballais sur une surface en rotation rapide.
- Le problème électrique de la résistance de contact des ballais.
- Le problème de la transformation élévatrice d'une faible tension à forte intensité.

Néanmoins, l'énergie obtenue elle, est bien réelle est tangible ! Ce n'est donc pas un principe spéculatif mais une réalité scientifique exploitable !

Bonne réalisation !

Super ta démarche, j'ai utilsé en 2007 des aimants neodynium (présent dans les verrins pneumatique comme uté magnétique), j'en ai déduit les même chose que toi, étant électrotechnicien à la base, je n'avais jamais entendu parlé du cas générale de l'induction unipolaire de faraday, on nous enseigne que les cas particuier qui sont en fait basé sur la force de Laplace et aveclesquel on fait des frein de foucault et autre moteur moteur comportant une force contre électronmotrice, empéchant tout surunité.
Le cas générale d'induction unipolaire de faraday, a été repri par Tesla, Bruce Depalma, et john Searl, Tewari et bien d'autre encore ...
Avec ton montage tu n'est pas loin de la surunité, ton moteur d'netrainement brushless aurra une consommation quasi constant, juste de quoi vincre les quelques frotement (couple à fournir = constant et continu), en revanche l'énergie qui sort de ton aimant monté en mode unipolaire est proportiennel à la vitesse de rotation. Ca signifit que si tu pouvais augmenter encore ta vitesse, en améliorant biensûr ton dispositif de colecteur de courant (fil étamé remplacé par chabon ou autre truc dont la surface sera plus grande qu'une tête d'allumette), et ainsi voire la puissance de sortie dépasser la puissance d'entrainement.
Pour avoir la surunité il faut dépasser un régime de fonctionnement critique.
Sur la N-machine (N pour puissance élevé à la puissance N), bruce depalma obtient la surunité à 8000 tr/min, il atteint 900 % au max de la vitesse de son moteur d'entrainement.

Video complètement uploadé par eric Dollard lui même, sur youtube en 12 parties :
http://www.youtube.com/watch?v=7vsHNXYhadM&feature=relmfu

http://www.rexresearch.com/depalma/depalma.htm
http://www.rexresearch.com/depalma/depalma.htm (tu trouvera le bilan de puissance, et le schéma de montage)
http://www.rexresearch.com/tewari/tewari.htm
http://depalma.pair.com/
http://depalma.pair.com/patent/patent.html (exemple de montage face N contre face N permettant d'avoir des gros gradiant de champ magnétique)


http://www.abovetopsecret.com/forum/thread439537/pg1
Tu peus y voire que la rotation rapide produit une modification sur la mass de l'objet, donc sur le régime d'échange d'énergie éther/matière,


Li le paragraphe concernant RQM, expérience de la société RQM :
http://quanthomme.free.fr/energielibre/con...sseurs/SPM3.htm
On y apprend que le champ magnétique peut être augmenté ou diminué suivant le sens de rotation de l'aimant. c'est tout à fait normal puisqu'un champ magnétique est un réseau d'onde stationnaire tournant, c'est très complexe à modéliser, ce n'est pas qu'un simple flux entrant/sortant comme on nous l'apprend.


En faite pour faire une machine unipoaire sans les contraintes mécanique de la version électromécanique, la solution est dans le fait de gérer un plasma conducteur de courant plutôt qu'une masse métalique magnétisée, les vittesses atteignable par le plasma sont bien plus élevées qu'un rotor mécanique suseptible d'exploser à haute vitesse.

http://www.ovni.ch/~kouros/emhd.htm

lit "Un super-aimant ?"
Kouropoulos s'inspire des travaux du Dr Jan Pajak et imagine une version modifié de la chambre oscillante de Pajak.

Après le problème des matériaux à employer pour récolter la quantité collosale d'énergie entre le centre et la périphérie de la celulle, si les militaire US dispose de fuilm de diaman supraconducteur à T° élevé, alors il est possible de réaliser ce genre de générateur unipolaire.

Bien comprendre que bruce depalma et John searl ont eu des problèmes avec quelque chose au saint de leur gouvernement, puisque leur découverte tape directement sur les progralmme de recherche affilié à l'antigravité et l'énergie de l'espace.

Viktor Schauberger produisait des effet similaire avec de la vapeur d'eau mise en rotation ...


Pour info à mon travail, j'ai eu l'expérience d'une pièce métalique de morte outil de machine outil qui perdait 4 grams sur 3kg à chaque fois qu'elle était mise en raisonnance à 30 khz, au repos elle reprenait son poid "normal".
que ce soit un mouvment de rotation ou de va et vien, l'effet produit est le même.

Bonjour à tous,

Bravo Uriel !!! magnifique article très intéressant et pédagogique.
Merci Blazing pour les précisions et les liens.

A++

Un montage de N-machine par thomas valone, je trouve l'idée du contact électrique assez astucieuse :
http://www.greenstone.org/greenstone3/nzdl...ierBrowse&p.sa=

Le cas général de l'industion unipolair (aimant tournant seul), c'est la clef de dépar pour aborder l'énergie du vide, c'est sans contest la voie d'entré la plus "simple" à tester. Pour comprendre ce qui se passe au niveau de l'Ether dans l'environnement d'évolution de l'aimant tournant, et bien pour éviter de rentrer dans des explication théorique qui ne font qu'apporter une couche de "mysticisme cartésien" (qui donne l'impression de comprendre) on pourrait résumer ça par un équivalent hydrolique.

Les électrons libre de l'aimant sont comme de milliard de mains dans le fluide de l'ether, l'ether est un océan d'ondes scalaires stationnaire à très haute fréquence, si haut en fréquence qu'on ne peut distinguer ces oscillations qu'à des échelles d'observation quantique. Au repos, rotation de l'aimant nulle, l'ether exerce une pression égale en tout point des atomes de l'aimant, dés la mise en rotation, les électrons libres de l'aimant vont être accélérés en continu dans le champ B de l'aimant lui même, le régime d'onde stationnaire de l'ether va comme l'eau tournant dans votre verre se mettre en configuration de vortex, au lieu d'avoir une pression scalaire d'espace temps équipression en tout point, on va avoir une différence de pression scalaire entre le centre de l'aimant et la périphérie, les électrons vont être entrainés par cette différence de pression, d'où ce courant produit. ce qui étonnera beaucoup d'expérimentateur, c'est le fait qu'en tirant beaucoup de courant par le biais d'une forte charge (court circuit par exemple), le courant dans l'aimant va augmenter, entrainant une augmentation de cette différence de potentiel scalaire, augmentant de plus belle le rendement, etc etc

A basse vitesse de rotation, une N-machine à un rendement sous unitaire, à ça vitesse critique elle atteint 100 %, et à vitesse infinie un rendement infinie théoriquement. La N-machine est comme une sorte de robinet sur l'océan d'énergie, on module son ouverture par la vitesse de rotation et le courant débité.

Ce qu'il faut retenir, c'est que l'espace temps est à notre échelle macroscopique en état d'équilibre, il ne nous montre par son énergie (heureusement, on serait tous fumé, combustion spontané générale, retour à l'océan d'énergie), seulement il est possible de produire localement de légé déséquilibre de cette substance primordiale, et de, par exemple, placer des électrons libre dans cette zone de déséquilibre, comme des feuilles d'arbe qui suivent le cournant d'une rivière.

Après il devient interessant de s'interessé à "l'énergie radiante" de Tesla (document perter Linderman présent sur le super site de Chercheur), où il est mentionné des anecdotes de Tesla concernant des déséquilibres de l'éther produit par une circulation d'électron unidirectionnel dans un éclateur à arc.

Après on peut aller encore plus loin, aborder le travail d'un alchimiste et piger comment fonctionne le dialogue vibratoire entre l'expérimenteur et son expérience, les chose doivent être comprises par étape sinon elle perdent de leur saveur et perde leur interet pour le novice (je suis encore un novice rassurez vous)

Il existe plein de manière de créer ces déséquilibres dans l'ether, certains appel ça "rupture de symétrie" (là où je travail), mais comme ils s'interdisent de penser librement, ils n'envisagent pour certains aucune possibilité de créer ces ruptures de symétrie, les inventions comme le Testadestika de la secte Meternita et beaucoup d'autre (N-machine, le VSG de Searl etc) ont tellement été déboulonnée, qu'ils aurrait trop honte de s'avanturer sur cette pente glissante (pour eux).

Merci Blazing !!

ça fait du bien de voir qu'il y en a qui se sont penchés sur la question et ont trouvés les bonnes réponses !
En effet, on ne nous apprends presque jamais le "paradoxe de Faraday" qui est connue depuis plus de 150 ans (et toujours pas expliqué, donc on n'en parle pas !!)
Comme tu le dis, plus on fait tourner vite, plus on obtient de la tension, mais une chose que presque personne n'a remarqué, c'est que lorsque l'on double le diamètre du disque, on quadruple la tension !
Alors évidement, quand c'est une usine, de type "militaire top secrète" ça n'est pas très difficile d'avoir à la cave un disque de fer bobiné de 6 mètres de diamètre qui produit 500 volts à sa périphérie (à 700tr.min à 1,5T).

Oui, j'ai étudié les inventeurs que tu me cite ! Et j'ignore pourquoi si peut de gens s'intéressent à ce qu'ils ont fait ! Alors que le principe de base est simple à comprendre !!
Il faudra que j'étudie tout tes liens, j'en connaissait la plupart, mais le reste semble intéressant !
Ha oui, j'avais pas pensé aux plasmas ! Mais comme je cherche à réaliser avec des outils de bricolo, du plasma, c'est pas ce qu'il y a de plus simple !!

Ha oui ? Perdre de la masse par oscillation ? (Je connaissais la perte de masse sous des corps en rotations, mais l'oscillation, pas vraiment) Je ne savais pas que c'était aussi "simple" à obtenir !(Peut-être qu'une balance classique est "faussée" par une vibration, il faudrait une vieille balance "Roberval" à bascule.)
Je vais réfléchir au parallèle entre la rotation et la vibration.
Très bon parallèle avec les fluides, c'est aussi celui que j'utilise.
Comme tu le dis, une N-Machine a une vitesse limite de sur-unité. Mais une machine bien conçue (avec des fortes dimensions) atteint très vite cette vitesse. Mais plus la machine est petite, plus on "galère" pour avoir de misérables volts.

Il faudrait trouver des moyens plus direct de puiser dans l'énergie qui nous entoure (dans les énergies, car elles se trouvent sous pleins de formes à différents degrés). Mais en même temps, la N-Machine est pas mal car elle évite d'en avoir trop d'un seul coup, elle est donc peu dangereuse !
Merci pour ces contributions !!

Bonjour Uriel,

"En effet, on ne nous apprends presque jamais le "paradoxe de Faraday" qui est connue depuis plus de 150 ans (et toujours pas expliqué, donc on n'en parle pas !!)"

A mon boulot au LAL d'Orsay (in2p3), j'ai vue qu'il y a moyen de se procurer une thèze sur le paradoxe de faraday

Un certains mrs Augier a fait ça thèze sur le sujet des dynamos:

http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=homo...5FCV7GuThh1huDg

mot clef : dynamos croisées de Rikitake

http://tel.archives-ouvertes.fr/docs/00/32...86/PDF/main.pdf

mot clef : dynamo unipolaire de Bullard

http://www.cnrs.fr/publications/imagesdela...005/04Dormy.pdf

http://baudolino.free.fr/Noyau/page32~.htm

http://www.gm.univ-montp2.fr/PERSO/camps/DEA/dea1/img30.htm



"quand c'est une usine, de type "militaire top secrète" ça n'est pas très difficile d'avoir à la cave un disque de fer bobiné de 6 mètres de diamètre qui produit 500 volts à sa périphérie (à 700tr.min à 1,5T)."

Tu a lu ça où ? c'est pas étonnant quelque part, au vue du courant produit entre le centre et la périphérie du disc, ça résisitance interne , ça doit pouvoir monter à 500 V.


"Perdre de la masse par oscillation ? (Je connaissais la perte de masse sous des corps en rotations, mais l'oscillation, pas vraiment) Je ne savais pas que c'était aussi "simple" à obtenir !(Peut-être qu'une balance classique est "faussée" par une vibration, il faudrait une vieille balance "Roberval" à bascule.)
Je vais réfléchir au parallèle entre la rotation et la vibration. "

Je précise que la picèe sur la balance n'est plus sousmise au 30kHz, ça perte de poid qui est mesurable est un effet rémanant qui peut durer plusieurs secondes voire minutes avant de retrouver le poid initial, c'est le niveau vibratoire des atome de la pièce qui est perturbé, dans ce cas la "L"umière (en opposition à la matière, c'est l'énergie du vide) exerce moin de pression sur la matière, puisque la matière la laisse circuler un peu plus, et plus elle la laissera circuler, plus elle perdra ça masse.

La rotation est une oscillation répartie sur 360°, regarde les figure de 2 oscillation en quadrature ça de produit un cercle en mode Lissajous :

http://web.cortial.net/bibliohtml/biblgene.html

http://www.google.fr/search?q=figure+de+li...iw=1026&bih=868


http://quanthomme.free.fr/energielibre/ene...Peregrinus1.htm

Dan Davidson témoigne : "Au Tibet, une pierre de un mètre cube et demi est placée dans une cuvette hémisphérique de un mètre de diamètre située dans le sol. Les prêtres émettent un bruit continu au moyen de cors, de tambours et de tout objet capable d’ajouter à la cacophonie. Je pense que le trou dans le sol réfléchit ces sons dans la pierre. Après quelques minutes, la pierre est comme sensibilisée et se trouve dans un état proche du chaos. Cinq minutes après, on frappe un gros tambour qui joue le rôle de déclencheur sonore, ce qui pousse la pierre par dessus bord (hors limite au sens énergétique). L’afflux de l’éther dans les centres neutres de la pierre fait qu’ils sont perturbés par la cacophonie. Lorsque retentit le gros tambour, tous les sons se concentrent, comme dans un laser acoustique, pour repousser et détourner l’éther de la pierre. Comme dans l’expérience Finlandaise à l’Université Tampere, le poids de la pierre est réduit fondamentalement (pas supprimé). Alors, la pierre ressemble à un bloc de polystyrène pendant quelques secondes. La pression de l’air accumulé dans la cavité sous la pierre fournit une poussée explosive qui la projette en l’air et sur le bord."

https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...p?showtopic=508

Si tu li bien l'histoire de John keely, tu va connecter un autre niveau de compréhension, Keely avait réussit à réaliser des moteurs simple qui entretenait des ondes stationnaire tournante d'espace temps rien qu'en vibrant sur certaines fréquence, comme en électrotechnique quand on étudie les champ tournant asynchrone triphasé de notre chère Tesla, et bien keely avait fait la même chose avec des ondes acoustique accordée à son système et permettant de délcencher des scalaire stationnaire tournante. c'est comme ça que kelly parvient à expliquer la rotation des planète, les orbite stables des planète, la forme des galaxy, les 7 orbites électronique des atomes.

Au passage, Patrick Burensteinas (alchimiste oppératif) s'est plus particulière interessé dans ces début aux différent mode de crystalisation du metal, officiellement en métalurgie on en connait qu'un seul mode de crystalisation, lui, en a démontré l'existance de 7 mode de crystalisation, pas étonnant non ?, si l'on conçoit que l'on peut agir sur les vibration d'un mileu, les 7 couches d'électrons peuvent voirent leur électron s'organiser différement suivant la fréquence entretenue par le cataliseur (l'alchimiste). Mrs Burensteinas explique qu'avec du metal on peut faire du verre, penser au fameux vitraux de chartres qu'ont être des vitraux alchimique, pas étonnant, la couleur bleu est obtenu avec le metal argent et le rouge avec le metal or, la couleur que l'on voit est la vibration que le matériau ne laisse pas passer donc il le réfléchit, l'or est le metal qui laisse passer tout le spectre sauf le rouge.
Le Graal est la coupe qui contient le sang du christ, la lumière blanche qui se réfléchit dans une coupe en Or, penser au curé qui picole son vin blanc dans ça coupe plaqué or le dimanche matin à l'église, la couleur qu'il voit est le rouge, symboliquement et physique ça signifie que le sang du Christ (le chistos, le crystal celui qui laisse passer la lumière), c'est l'énergie du vide, c'est le sang de l'univers qui circule en tout point.

Tout s'interconnect quand on se donne la peine de chercher, faut bien reconnaitre que la société actuel vous épuise tellement que peu d'entre nous ont la motivation necessaire pour s'interoger de nous sur nos bonnes vielles questions d'enfants.

Bonjour les amis ...

Les recherches sur Searl et consorts m'ont poussé à l'expérimentation plus tôt que prévus .

Tout d'abord , félicitation à ceux qui expérimentent et qui animent les débats ( on en apprend des choses ).

Avant de passer aux systèmes élaborés , je suis parti des bases : disque de Faraday.

Petite parenthèse concernant Searl : de mémoire il a été écrit quelque part que sa toute première "expérience" était une jante (roue avec un plat perpendiculaire sur le pourtour ) qui sous la rotation provoquait une charge sur la périphérie (cheveux/poils qui se dressait) . De là est venu la récupération de cette énergie et ces fameux disques ultérieurs.
C'est , à mon sens , à partir de là qu'il faudrait commencer à expérimenter .
Autre petite parenthèse : il est marrant de voir que l'évolution du disque de Faraday par Tesla est une jante du même type :



C'est justement de cette évolution que je suis parti . Pourquoi ? parce que le disque de Faraday demanderait un trop grand diamètre et une vitesse beaucoup trop grande .
Afin de mieux comprendre le générateur de Tesla , j'ai traduit l'explication se trouvant içi (chapitre : UNIPOLAR DYNAMO ) :
http://home.earthlink.net/~drestinblack/generator.htm

Traduction :

UNIPOLAR DYNAMO

"La conception de Tesla variait de celle de Faraday de deux manières principales. Tout d'abord, il a utilisé un aimant qui était plus grand en diamètre que le disque de telle sorte que l'aimant recouvrait complètement le disque. Deuxièmement, il divisait le disque en sections avec des courbes en spirales rayonnantes à partir du centre vers le bord extérieur.

Dans le générateur unipolaire de Faraday "le courant", comme Tesla a noté, mis en place ne passera donc pas entièrement à travers le circuit externe ... et ... de loin la plus grande partie du courant généré n'apparaîtra pas à l'extérieur ..." (7) en ayant recouvert complètement le disque par un aimant , Tesla a fait usage de la surface entière du disque dans la génération de courant au lieu de seulement une petite partie directement adjacente à la barre aimantée, comme cela s'est passé dans le dispositif de Faraday. Ceci non seulement augmente la quantité de courant généré, mais, en rend le trajet du courant à partir du centre vers le bord extérieur, rend tout ce courant accessible au circuit externe.
Plus important encore, ces modifications sur la conception de Faraday éliminent l'un des plus grands problèmes dans tout système physique - la réaction à chaque action. C'est cette réaction qui oeuvre à annuler les quelques efforts dans l'action initiale. Dans un système électrique , s'il y a deux spires de fil enroulées les unes à côté des autres et qu'un courant est envoyé à travers le fil, le courant passant à travers la première boucle provoque un champ magnétique qui fonctionne à contre-courant en passant à travers la seconde boucle.
Les divisions en spirales du disque provoquent le trajet du courant dans le rayon complet du disque ou, comme dans sa version alternative du générateur, de faire un trajet complet autour du bord extérieur du disque. Étant donné que le courant circule sur un grand cercle au bord du disque, le champ magnétique créé par le courant non seulement ne fonctionne pas contre le champ magnétique au-dessus de la plaque circulaire, comme dans les générateurs classiques, mais elle renforce en faite l'aimant. Donc, comme le disque coupe les lignes de champ magnétique pour produire un courant, le courant se dégageant du disque renforce l'aimant, ce qui permet de produire plus de courant .
Comme les générateurs de courant continu classiques, la dynamo unipolaire fonctionne aussi comme un moteur si un courant est mis sur le disque sous l'aimant, et cela semble être le dernier élément qui pourrait rendre le dispositif autonome, càd, capable de générer un courant après avoir été déconnecté d'une source extérieure de mouvement comme une chute d'eau ou de la vapeur.
La rotation est démarrée par, par exemple, un moteur alimenté par une prise de courant. Ensemble un générateur et un moteur disque sont montés dans le boîtier magnétique. Comme les disques prennent de la vitesse, un courant est produit lequel, à son tour, renforce les aimants,ce qui provoquent plus de courant à générer. Ce courant est, sans doute, d'abord dirigé vers le moteur disque qui augmente la vitesse du système. À un certain moment la vitesse des deux disques est assez grande pour que le champ magnétique créé par le courant ait la force de garder la dynamo / moteur en fonctionnement autonome.

Quel processus pourrait garder le fonctionnement de la dynamo unipolaire après l' alimentation de démarrage est une spéculation à ce stade, cependant deux caractéristiques du générateur sont importantes. D'abord, quand une charge résistive, comme une ampoule est ajouté au circuit, il abaisse la tension au niveau du centre du disque. Cette tension plus faible au centre signifie qu'il existe une grande différence de tension entre le centre et le bord extérieur du disque qu' il y avait avant l'ajout de l'ampoule. Comme la différence entre le centre et l'extérieur augmente , la dynamo travaille plus fort et produit plus de courant. Deuxièmement, encore plus importante, la dynamo prend soit très peu, ou pas d'énergie pour continuer parce que le courant venant du générateur a une double fonction . Le courant fait briller l'ampoule, mais sur son trajet depuis le générateur jusqu'au filament de l'ampoule, il parcourt un chemin qui s'ajoute à la vitesse de la dynamo et, par conséquent, consomme de l'énergie à un taux très faible. Le processus se poursuit, il semblerait, jusqu'à ce que les pertes de chaleur dans le filament égalent l'énergie du volant d'inertie de rotation du générateur.
En ce qui concerne les critères d’Elsasser pour un générateur autonome, la dynamo unipolaire de Tesla se rapproche le plus acceptablement à la condition d'un meilleur conducteur électrique. Ce n'est pas un nouveau matériau qui est utilisé, mais une nouvelle géométrie qui est appliquée de manière que le courant ne crée pas ses propres forces opposées. Ceci est similaire, mais pas équivalents, d'avoir un meilleur conducteur.

Si oui ou non la dynamo est en fait un générateur " à énergie libre" il semble être un exploit ingénieux de l'ingénierie qui utilise l'un des principes de base de la nature, une action égale et opposée pour chaque action, et il se transforme, par l'utilisation d'un nouvelle géométrie du circuit, en une réaction qui s'ajoute à l'action initiale. Au lieu de la réaction inverse de ralentir le système qui l'a créé, le mélange réactionnel ajoute de l'énergie au système."

Comme cité plus haut sur le forum , la roue de Barlow est une roue segmentée qui est un des premiers moteur :
https://www.youtube.com/watch?v=3x6gtOtXi2w
Un disque moteur petit et grand :
https://www.youtube.com/watch?v=FdmkKMtJkIw
https://www.youtube.com/watch?v=-T9uCv5imZs

Le disque de Faraday en mode moteur :
https://www.youtube.com/watch?v=yMA6WwAzLZk

Le dynamo disque de Bullard auto-entretenu :
http://baudolino.free.fr/Noyau/page32~.htm

Autre petite remarque : pour résumer , il faut 1 disque segmenté et 2 aimants ( ou 1 seul suffirait ? ) recouvrant entièrement le disque ... j'ai eu bon cherché sur le net , je n'ai pas vu ces 2 configurations rassemblées ?! Mais bon , je n'ai peut-être pas bien cherché non plus
Ceci dit , il ne doit pas y en a avoir des tonnes non plus . Étonnant lorsqu'on voit l'ancienneté de la chose et le nombre de chercheur . . .

Bref , ça m'a toujours titillé donc je m'y suis mis .

Le roman photo commence içi
Premier pas : découpe d'un disque de 40 cm hors d'une tôle en fer de 5mm d'épaisseur :



Le contour n'est pas parfait , mais c'est réalisé avec les moyens du bord ( disqueuse en l’occurrence ).



Forage du trou central à la mèche étagée :





Le trou fait 22mm de diamètre et devra se placer ultérieurement sur une disqueuse .

Le plus dur maintenant : transposer les courbes du dessin de Tesla sur le disque :



Pour ce faire , j'ai agrandi le dessin jusqu'au mesure adéquate ( 40cm de diamètre) :



Voici le disque et le dessin :





Ensuite , découpe des segments sur le dessin :





Afin de positionner le disque papier sur le disque métallique , j'ai fait de petites ouvertures aux points cardinaux :



Voilà le traçage au marqueur :



Dernière étape ( pour le moment ) : il faut que je perce par poinçonnage les segments afin de pouvoir glisser la lame de la scie sauteuse :





Je ne sais pas pourquoi mais un des perçages m'a donné du fil a retordre : j'y ai cassé 5 ou 6 mèches !

Voila , j'ai fini 2 segments :





Pour la longueur de ces derniers , j'ai laissé 2cm de matière entre le centre du disque et le début des segments , et sur le pourtour j'ai laissé 3 cm .
Sur le dessin , ils sont ouverts des 2 cotés , mais je préfère commencer prudemment . Après je pourrais ouvrir les segments sans problème tandis que dans l'autre sens , il sera plus dur de revenir en arrière . . .


Bin voilà , reste plus qu'à trouver un ou deux aimants de plus de 40cm

Ce que je ferais surement plus tard , c'est de répliquer cela en plus petit avec les aimants adéquats ( les plus grands aimants que j'ai trouvé faisaient 20cm).

Voilà , suite aux prochains épisodes . . .




Robert . . .

Vous devriez penser au supra conducteur.

Comment se comporterait votre dispositif avec de tel matériaux ?.

A+.

Bonjour si j'ai bien compris vous pourriez avoir du courant en plus s'il y avait 200 fil entre le générateur et le moteur ???

@Katagena : les matériaux supraconducteur doivent coûter un pont ! je ne suis qu'un petit bricoleur du dimanche

De plus on dénature encore l'expérience initiale avec de tel matériaux . Je pense qu'avant d'améliorer les choses , il faut d'abord reproduire la base de la découverte tel quelle .

@Guigui145 : heu je ne vois pas très bien le rapport avec 200 fils ?!
Le générateur homopolaire peut devenir moteur . En gros , en utilisant l'énergie fournie par le générateur et en la ré-injectant dans ce dernier (puisqu'il est réversible et peut devenir à son tour moteur ) , on pourrait auto-entretenir l'engin . C'est se que montre le dessin de Tesla , sauf qu'il utilise 2 "disques" pour y parvenir .

Quant à prévoir ce que cela donnera , seul l'expérimentation le dira .



A+


Robert . . .

Je parle de 200 fil car Uriel a dit ;

Merci pour la reponse.

Bravo Robert

Oulààà, un déterrage de post de 2.5 ans ^^
Mais pour une expérimentation, pas un "parleur" c'est bienvenu !!

On peut dire que c'est une bonne vraie réalisation qui ne rigole pas là !!
Revenir aux sources : ici, disque de Faraday est une très bonne idée !

Robert, je pense que tu as saisis, (mais je ne suis pas sûr en lisant ton post), les segmentations de Tesla n'ont pour but que de renforcer le champ d'induction magnétique des aimants ou des électroaimants... Et pour arriver à 1Tesla, j'avais calculé qu'il fallait plusieurs Kiloampères pour une tôle, soit plusieurs dizaines de KA pour ta plaque de 5mm. C'est vraiment beaucoup !!! (pour un acier standard à faible perméabilité magnétique)

Le principe du disque de Faraday reste le même, les segmentations n'aideront en rien l'auto-entretiens du mouvement.

Cela étant, ça reste un générateur où la contre-réaction n'est pas liée à la puissance mécanique fournie.

Pour les aimants, tu peux en coller plusieurs petits (carrés par exemple) à touche-touche ou très près, ça équivaut à un seul "grand" (on le visualise très bien avec une plaque à fluïde ferromagnétique).

Pour tes collecteurs, là, je suis curieux de voir ton système... en général on galère !!

Mais bon courage !!!

Merçi Uriel ...

Le but , à mon niveau , n'étant pas de faire un système auto-entretenu car cela demanderait trop de temps, de matos . . . j'ai d'autres choses sur le feu pour le moment .

J'aimerais juste voir si on peut avoir quelque chose de + palpable en segmentant le disque , un grand disque . Beaucoup de système à énergie libre (Searl , DePalma , Carr ...) sont des dérivés du disque de Faraday , donc il y a surement quelque chose à faire avec . Si ces systèmes ont fonctionné bien sur . Il faut avoir l'esprit ouvert mais toujours rester terre à terre .
Comme pour beaucoup de chose , le seul moyen de le vérifier , c'est de le faire soi-même .


Merçi pour les aimants , je pense que je me dirigerais vers cette configuration. Je n'ai pas trop le choix car des aimants de plus de 40cm ... c'est mission impossible !

Je pense avoir saisi en grande partie le principe de la segmentation et la récupération de l'énergie sur le pourtour ... la traduction est parlante à mon petit niveau

La récupération justement , je pense que je disquerais l'entrefer d'une bobine pour la (ou les ) placer sur le pourtour . Je n'en suis pas encore là car je fonctionne au feeling et souvent avec ce qui me tombe sous la main (les magasins de bricolage et autre sont content de me voir arriver )

Bref , ne pas se prendre la tête en voulant révolutionner le monde , mais juste prendre cela comme un hobby . . . pas comme les autres

Puis , faut aussi un peu motiver les troupes


Ps : j'étais passé à coté de ce post car il manque un "o" dans le titre

A+


Robert . . .

Bien vu pour le "o" manquant, je viens de modifier le titre, qui est passé de "Générateur homoplaire tests" à "Générateur homopolaire tests". C'est sûr que lorsqu'on utilise la fonction recherche du forum pour trouver un sujet qui nous intéresse, si il est mal orthographié, on passe à côté.


Sinon bravo pour les idées concernant l'essai du disque homopolaire Tesla.

En effet, de Palma (qui a travaillé sur l'effet antigrav gyroscopique) a obtenu sa fameuse N-machine ainsi fait; et Tesla s'y est intéressé aussi; il y a quelque chose derrière et comme tu le dis c'est lié aux phénomènes de tous ceux qui ont travaillé dans un domaine proche: rotation de champ magnétique et/ou électrique pour obtenir des anomalies: Otis Carra, John Searl entre autres.

Bravo pour ton expérience qui commence; j'espère que tu vas réussir à trouver un aimant qui tiendra la route. Faire avec plusieurs aimants comme le propose Uriel est bien, mais il faut tenir tout ça en place pour que ça ne s'éjecte pas en rotation... c'est pas simple.

Je lirai la suite avec plaisir.

Bonjour . . .


Rien de bien nouveau si ce n'est que j'ai fini de rainurer le disque et que je l'ai monté sur la disqueuse .






J'ai acheté une tige filetée de 14mm que j'ai mis de part en part de la disqueuse , le tout étant fixé sur 2 étaux .

J'ai aussi un balourd à une certaine vitesse ce qui me contraint à tourner plus vite . Je n'ai pas de tachymètre mais j'estime la vitesse de rotation entre 1500 et 2000 t/m . Au dela , cela devient risqué .

https://www.youtube.com/watch?v=cNSUcCl41GE

J'ai fait quelques petites mesures et les plus probantes sont celles prises avec les 2 fils du multimètre sur le pourtour du disque => +- 8 à 9 volts .
J'ai aussi pris une petite lampe à incandescence comme charge mais elle ne s'est jamais allumée .
Il faut dire aussi que les aimants ne recouvrent qu'une toute petite partie du disque , et d'un seul coté en plus . Un "petit" aimant en néodyme à l'intérieur et un plus grand en ferrite sur l'extérieur . J'ai aussi fait quelques essais en mettant de petits aimants sur la sortie des fentes spiralées afin de , peut-être , attirer le flux d'électron vers la périphérie ... un des aimants s'est satellisé dans l'atelier à cause d'un fil de mesure traînant sur le chemin !

Bref , prochaine étape : monter dans les tours ( je peux aller jusqu'à 6500t/m avec la disqueuse ) en ayant calfeutré le pourtour de la disqueuse ( planche de bois + mur en sac de pellet ) + mettre en place des balais pour le mesure à distance .


To be continued . . .

Bonjour,
L'aimant est fixé sur le disque et tourne à la même vitesses ?
Tu mesure 8 V de courant continu ou alternatif ?, entre les bords du disque, ou exactement ?
Il ne devrait pas y avoir de courant induit ??
Je ne m'explique pas le phénomène ! A moins que le magnétisme du moteur interfère ??
Dans ce cas, tu devrais avoir pareil sans l'aimant ??

Bonjour . . .


il s'agit surement de courant induit car je n'ai plus les mêmes résultats aujourd'hui .
C'est , entre autre , pour cela que j'essaie avec une charge ... au moins je suis fixé .
J'avais déjà été couillonné par des mesures "mirobolantes" lorsque je m'essayais sur les panneaux de Tesla . Comme je me doutais que quelque chose interférait dans la mesure ( c'était trop beau pour être vrai , surtout au premier montage fait à la vas-vite ) , j'ai coupé le courant dans tout l'atelier et la le potentiel est retombé à 0 .

Pour ce montage-ci , les aimants sont simplement placé sur le disque métallique . La mesure s'effectue en alternatif .

Je viens juste d'enlever le gros aimant en ferrite et il m'a donné du fil à retordre

En parallèle avec cela , j'ai aussi une petite ampoule au néon afin de voir s'il n'y aurait pas création d'un champs d'électricité statique comme dans le tout 1er le système de Searl ( sait-on jamais ) .

Bon , je vais de ce pas monter le bunker autour de l'engin pour pouvoir monter dans les tours . . .



A+

Bonjour.
Trés certainement.
Les multimètres actuels du fait de leur impédance d'entrée trés élevée réagissent à tout ce que traîne et dans le lot surtout aux inductions secteur !
Petit conseil : mettre en parallèle une résistance de faible valeur ,10 à 100 k par ex . Ça n'empêchera pas de mesurer une tension; elle, "utile" ...s'il y en a une....

Bonsoir . . .


Bin voilà , merci pour les conseils

Les mesures sont en effet perturbées par la tension du secteur .

Rien que le faite de déplacer la fiche d'alimentation du variateur de tension d'une prise à l'autre donne une autre tranche de mesure

Je suis passé de +- 20V à +-4V , juste en ayant déplacé la fiche . . .

Comme d'hab. , j'ai pris une série de photo :

Le "bunker" dans lequel se trouve la disqueuse et le disque :



Ce dernier avec son couvercle :



Le disque avec son système de balais improvisé ( connecteur plat en cuivre ) :









Voilà pour les photos . . .


Pour les vidéos , je commencerais par la montée en vitesse :



Pour terminer par la démonstration de l'influence du courant extérieur comme vous l'aviez bien prévus :




Les essais avec ce disque s'arrêtent là pour le moment . Il faut absolument que je trouve de quoi recouvrir magnétiquement le disque des 2 côtés ou bien refaire un disque segmenté plus petit avec les aimants adéquats plus accessible sur le net .

En attendant , je retourne sur Bessler et autres . . .


A+

Bravo pour tes essais !

Pour la tension oscillante, heu, je crois que tu expérimentes comme moi le phénomène de "vibrations de contact" qui faussent complètement la mesure.

Normalement, pour un aimant simple, cylindrique, tu obtiens une tension continue (très faible).
(Pour une bobine de 20Cm de diamètre à 1.5Teslas, De Palma récoltait 0.5Và 1000tr minutes)

Tu es en alternatif parce que tu as vu que tu mesurais quelque chose mais c'est une mauvaise piste (me semble-t-il). Tu devrais rester en DC et mettre un condensateur entre tes électrodes par exemple, là tu obtiendras une tension stabilisée réelle qui ne dépassera pas les décivolts avec ta couverture d'aimants.

Bon courage !!

Bonjour,

des preuves ?

C'est d'abord un courant très faible. Ce principe n'a servit que pour mettre en évidence les interactions entre magnétisme et courant électrique.
https://www.youtube.com/watch?v=H7Xi5-spf44
Puis plus tard, les interactions entre le noyau de fer terrestre et la magnétosphère (terrestre).
Je pense que tu t'es trompé de calibre dans tes mesures. Tu n'as pas mesuré des ampères, Naca n'a mesuré que quelques milliampères. C'est tout ce qu'on peut tirer de ce dispositif.

Va falloir que tu expliques comment on peut tirer de l'énergie de ça Uriel ???