Islande: la révolution silencieuse

Je viens de découvrir avec surprise un article sur le site du Huffington Post qui parle de la révolution en Islande, une série d'évènements qui ont eu lieu ici au début 2011 - mais qui n'ont pas été à ma connaissance relayé comme il se doit par les grands media. Et on peut le comprendre quand on considère l'impact qu'ils pourraient avoir ailleurs!

Voici le lien en question:
L'Islande: personne n'en parle!

Le pays et sa population ont pris des décisions courageuses.

En parrallèle, un article de ce jour, qui montre encore une fois que ces grands de la Finance n'ont toujours pas changé leur attitude et prennent toujours autant de risques quitte à faire payer les Etats et la population pour pourvoir renflouer. Une honte sans nom.
JPMorgan perte de ? milliards....

Hello

Bin oui, il faut être barjot pour payer, comme en France, tous les ans 50 milliards d'euros de dette indûe (car n'ayant pas profité à l'intérêt général, mais aux banksters privés).
Nous versons ces 50 milliards, principalement aux fonds de pensions américains et aux spéculateurs gladeurs des îles Caïman et autres paradis fiscaux.. Alors qu'en France les mémés qui ont une pension de 800 eros par mois, s'enferment dans leur wc avec leur chauferette pour ne pas avoir froid en hiver..
Nous avons notre mot à dire:

https://www.parti-socialiste.fr/agissons-en...contactez-le-ps

http://www.audit-citoyen.org/

http://www.audit-citoyen.org/?page_id=54

A ecouter aussi:

http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=2458

http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=2459

http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=2451

A plus

Merci pour ces infos Amateur

Je ne vais pas faire de la politique de comptoir ici, mais je ne crois plus en un gouvernement qu'il soit de droite ou de gauche. Ces individus sont de la même trempe et naviguent en faveur des lobbies et superficiellement avec la Société.

Par contre, les initiatives locales qui font tache d'huile me paraissent être les plus intéressantes pour l'avenir, à condition qu'elles soient suffisamment cadrées et qu'elles ne reproduisent pas les erreurs du passé.

Je trouve que c'est très bien dit Buckroger: ils sont tous d'un même parti: celui de leur propre personne au contrôle du pouvoir, et jamais du parti de l'aide à autrui. Après selon qui est là et sa personnalité c'est plus ou moins pire, mais ça reste gradué en négatif au final.

ça sera bien le jour où on pourra dire que c'est plus ou moins bien, ça signifie qu'il y en a qui sont là pour le bien public, véritablement; mais ça c'est pour une autre société, après des changements majeurs; on en est loin.