Reproduction d'un SEG

Salut thieu et bon boulot comme d'hab  
 

pour ce qui est des rouleaux il me semble que l'effet sur unitaire ne se fait qu'a partir d'un nombre précis 7 coureurs si je dis pas de conneries
je l'ai lu plusieures reprises
de plus en rajoutant des coureurs tu pourra peut-être avoir une meilleure synchronisation
pendant l’accélération car moins d'espace entre les coureurs les bridera davantage entre eux .
voilou  
et merci encore pour ton travail.

Avec une petite balance de précision cela devrais être possible. Il suffirait de déporter le dispositif a peser de la surface de la balance par un tube en carton afin d'éviter toutes perturbations électromagnétiques et de prévoir une "épaisseur" (coussin) pour l’absorption des vibrations.

Pas eu trop le temps de faire quelques essais ce weekend, j'ai juste fait le câblage au propre (oui, je suis un peu perfectionniste... ) et testé avec le nouvel arduino fraichement reçu avec toutes ses sorties fonctionnelles : en activant une à une les bobines et en rajoutant un second potentiomètre pour essayer de gagner de la précision sur le réglage de vitesse (mais sans succès)
+ quelques relevés sur la fréquence pour connaitre celle de "décrochage du mouvement"



Bon cela ne marche qu'avec un seul rouleau, si j'en met plus, cela fait effet de pendule de newton (et castagnettes en prime... ), cela décroche à 8 hz soit 480 Tr/mn (enfin dans cette config)...
Il faudra que je refasse les essais avec les autres formes de champ tournant pour voir si valeur différente...

Mais je suis emmerdé avec la précision des potentiomètres, il faut que je trouve un bon code sur l'arduino pour que la fréquence soit réglable sur la totalité de la course des potar et non pas sur les quelques mm de leur fin de course...

En parallèle, j'ai commencé à préparer les sondes HALL en vu de m'affranchir de ces réglages par potentiomètres, mais en passant quand même par le microcontrolleur pour palier l'imprécision du positionnement par un réglage de déclenchement différé des bobines:







Reste plus qu'à trouver un moyen de fixer le tous sur le disque en plastique en dessus du passage des rouleau...
(Je voudrais éviter le scotch ou la colle...)

Bonne semaine à tous

Thieu

Merci Batdown, l'outil pour mesurer le poid d'un dispositif en rotation sans contrainte centrifuge ou vibration de ce qui le maintiens sur la balance, me semblais interressant (mais encombrant pour ma surface disponible...)

Apres il y a probablement tout un tas de phénomène exclue des sciences officielles qui peuvent s'expliquer par plusieurs approche théoriques différentes, le plus dur étant effectivement d'en faire les corrélations sans connaissance scientifiques, mathématique, etc...

Avec une petite balance de précision cela devrais être possible. Il suffirait de déporter le dispositif a peser de la surface de la balance par un tube en carton afin d'éviter toutes perturbations électromagnétiques et de  prévoir une "épaisseur" (coussin) pour l’absorption des vibrations.

Merci AG4D, la force centrifuge ne faussera t elle pas le relevé ? ne serait il pas intéressant de mettre le montage en vertical pour que cette force s'exerce autant vers le haut que vers le bas, le tout suspendu sur un peson (j'en ai quelques un au boulot mais il ne sont pas tres précis...) ou capteur d'effort ?

Quelques petit test ce weekend, sans photo ni video parce ce qu'il n'y a rien d'intéressant à en tirer, je poste surtout pour que cet échec ne sois pas inutile au futur personnes envieuses de répliquer ce système :

Après montage des capteur hall, sur une bobine uniquement, la détection du champ magnétique ce fait bien mais beaucoup trop large dans le champ de détection, c'est à dire que le capteur devrait se trouver de 3 cm à 5 cm du haut d'un roller, avec l'imprécision que cela induit.
Ceux utilisé sont des PIC H501...

Pour mes derniers test avec ce type de capteur, j'avais pris des TLE 4905, je vais voir s'il m'en reste pour reproduire mes essais avec plus de précision, il me semblait que la detection etait beaucoup plus proche que les actuels, sinon, je verrai pour mettre des ILS ou des capteurs optique avec détection de 2 à 6 mm...

Voilà si cela peut servir à quelqu'un, bonne fin de weekend à tous

Thieu

Juste quelques retour rapide de mes quelques derniers essais en 2 vidéos
à noter :
-> Gain de vitesse, je tourne maintenant à 600 tr/mn (480 avant) en réduisant le diamètre des rouleaux (juste mis les aimants)
-> Amélioration du signal en rajoutant un condo de 470 mF sur une bobine (plus de pic de tension sur l'oscillo)
-> Température des bobines après 20 mn de tests : 52°C
-> La conso diminue toujours lorsque j'augmente en vitesse
-> toujours pas de solution satisfaisante pour rendre les bobines autonomes avec un capteur de proximité de type Hall
-> le câblage MAJ suite à un court circuit sur la platine...





Bonne semaine à tous

Thieu

PS :

Une petite video quand même...

Bravo pour la réalisation,
La loie des carrée est probablement utilisée pour répartir le nombre de Roller quand sont utilisées plusieurs cercles concentriques. Pour une topologie simple cercle la loi des carrée n'est peut être pas utile.
Etant donnée que le system de Searl met en rotation des aimants permament, tout comme le faisait Depalma (cf Nmachine) avec un seul aimant, le pompage de l'énergie du vide se fait dés les premiers trs/min, seulement aux vitesses de rotation basse l'énergie de sortie est trop faible pour être mesurée, mais elle est là.
Je pense aussi qu'il faut faire tourner les aimants dans le sens de leur ligne de champ magnétique (cf société RQM voire ici pour comprendre : http://quanthomme.free.fr/energielibre/con...seurs/SPM3.htm) afin de tourner dans le sens qui augmentera le champ magnétique (mais bon je ne pense pas que tu atteigne de grande vitesse de rotation vue le bruit que fond tes rollers sur l'anneau.

Merci Blazing pour ce retour.

C'est ce que je pense aussi..!
Mais le système Searl devrait pouvoir commencer à produire à basse vitesse ?

Je m'explique :
j'ai actuellement 4 rollers pouvant monter à 600 RPMs.
A chaque révolution, ces 4 rollers passent devant chaque bobine collectrice, donc subit l'induction de 4 alternances N/S par révolution.
S'il n'y en avait qu'un seul, il faudrait donc qu'il tourne 4x plus vite pour le même résultats soit 2400 RPMs (4x600)
Et si, comme Searl, j'avais mis 12 rollers, à 600 RPMs, c'est comme si un seul rollers devait tourner 12x plus vite soit 7200 RPMs

->Donc le nombre de rollers détermine le diviseur de vitesse pour le même phénomène, reste à déterminer la vitesse "seuil" ou l'extraction de l'énergie sera suffisante...
En compléments, avec 12 bobines d'extraction, couplé en //, je devrais avoir plus d'ampères, et couplé en série, j'aurais une plus forte tension (si les distance inter-rollers lorsqu'ils sont en rotation sont bien égal ou synchronisé)

Mais après on n'est plus vraiment dans la création d'un vortex magnétique et de l'effet Searl à proprement parlé avec captage des électrons libre...

SUPER le lien, je pensais avoir déjà fait le tour du site Quant'homme mais je ne connaissait pas cette page (ou elle m'avais pas marqué à l'époque...), je vais me renseigner davantage sur les travaux d'Oliver Crane et les machines d'RQM...
+ C'est marrant, j'était justement en train de voir pour m'acheter un Teslamètre.
PS : Tu devrais enlever la parenthése au bout du lien de ton post, elle empeche l'acces direct...

Pourrait-on simuler le champ magnétique d'un aimant tournant à plus de 5000 Tr/mn avec un jeu de bobine (standard, plate, BFT ou XYZ, etc...) ???

En fait le bruit est dut à l'irrégularité du pourtour des aimants, amplifié par la résonance sonore du disque plastique sur le dessus causé par les vibrations induites lors des mouvement des rollers (ils sont "brut" avec juste un revêtement de nickel, sans rectification...).
Avec mes rollers standard, j'ai beaucoup moins de bruit, en effet, j'avais fait rectifier l'aluminium pour éviter le "bombage" dut à la déformation mécanique lorsque j'ai inséré (à l'étau) les tubes acier, j'ai donc un bon plaquage des rouleaux sur le disque et peu de vibration

Et puis même sans roller : j'ai le bruit électrique des pulsations et je sens des petits chocs mécaniques lorsque je touche l'aimant central ET les bobines, ou alors quand j'approche une bobine externe avec noyau en acier pour tenter une extraction de courant...(celle là...)
Je voulais faire une vidéo mais le son d'enregistrement sur l'iphone ne permet pas de faire ressortir correctement ces bruit d'asservissement (comme on dit pour les servo moteur...)
Cela serait peut être intéressant de comparer la fréquence émise des pulses à la fréquence sonore sortant ???, peut être un moyen de trouver la fréquence de résonance de l'aimant centrale ???

Bref, je pense que je peux encore monter en vitesse ...


Pour continuer sur mes essais, constatations, réflexions... :

-> Les matériaux de conception des mes rollers "actuels" sont : au centre un aimant NdFeB Diamètre 10 mm , suivi d'un tube de nylon l'entourant D12, suivi d'un tube d'acier D14 et enfin un tube d' Aluminium D16.
Ce qui m'avait posé souci sur le premier disque central (Voir la video en bas de ce post…) c'est la couche d'acier !
En fait je venais canaliser le champ magnétique de l'aimant sur uniquement le haut et bas (écran partiel), du coup les roller ne tenaient plus ou très faiblement sur le pourtour
Je pense donc devoir refaire les rollers toujours avec le ratio 1/6 (voire 1/12, cf. voir ces posts...), sans cette couche d'acier pour améliorer le collage ; C'est, je pense, ce qui m'a permis de gagner de la vitesse, et en conservant la couche de diamagnétique qui empêcherais d'éjecter les rollers grâce aux courants de Foucault

-> Je vais par contre abandonner l'idée de switcher les bobines sur un mode "autonome" comme proposé au début , mais privilégier le rajout de bobines secondaires sur chaque bobines actuelle, CAD : je récupérerais la pulsation induites (= un transfo avec ses pertes joules et autres) pour une demi alternance.
L'autre demi alternance sera généré par la re-polarisation du noyau en acier par l'aimant central lorsque la bobine n'est plus alimenté (polarisation que je constate quand aucune bobines n'est alimenté...) ; Avec peut être un ratio énergie récupéré / énergie d'alimentation > 1 ???
héhé, vu comme ça ça ressemblerai à un SEG/MEG/Steorn en une seule machine...une usine à gaz quoi...!

-> Il faut vraiment que j'arrive à rendre autonome les bobines, avec un capteur de proximité "locales"
Les optiques, inductif, capacitif, ILS (si ça marche dans un champ magnétique déjà en place ?), tous sont relativement couteux, et je ne voudrais pas investir autant dans un truc qui risque de ne pas marcher...
J'attend donc l'occasion d'en récupérer à droite à gauche, et en attendant, je me contente de l'Arduino...

-> Quelques échange avec Jason Verbelli sur mon canal youtube, il m'a demandé, vu la video 37, de peser le disque à faible vitesse et d'augmenter la vitesse pour voir si une perte de masse était constaté (enfin si j'ai bien compris !...Moi et l'Anglais...!, merci Google...si on peux s'y fié évidemment...? )
Ci dessous son commentaire :

Ma réponse :

Si une âme bilingue et charitable pouvais me confirmer que j'ai bien compris et que réponse est bien compréhensible, je lui en serais très reconnaissant... ?





Bref, plus ça avance, plus j'en apprends (ou réapprends) sur l'électromagnétisme, électronique, programmation, etc...
Et ça : ça me plait...!

A bientôt pour plus d'info...

Thieu

Oui Jason te dit bien de poser le TOUT sur une balance et de mesurer le poids au début, puis de mesurer aussi avec une vitesse de rotation plus elevee et de regarde si le poids decroit avec l'augmentation de la vitesse de rotation.

Super merci beaucoup LeTigreFr

Une autre approche nécessitant beaucoup de petit test je pense, c'est de m'affranchir de la contrainte mécanique causé par le frottement des rollers sur le disque, j'ai fait un petit schéma de principe, l'idée étant que les rollers soient attiré et maintenu par le champ magnétique du gros aimant centrale et que le cerclage "secondaire" ci dessous le repousse à une certaine distance, en sustentation ...
cela vous semble t il possible ? :





Plus de détails sur ce dont à quoi je pensait ici : http://www.magnetosynergie.com/forum/viewt...hp?p=7318#p7318

Le but : Gagner en vitesse justement...

Par contre il y en aura pour cher d'aimant...

Personnellement, je ne pense pas que le frottement de tes rollers consomme beaucoup de puissance. En plus cette dernière sera fortement décroissante avec la vitesse, donc joue plutôt là-dessus.
Par contre, je serai curieux de voir le comportement avec des rollers insérés dans des roulements de manière à ce qu'ils puissent tourner sur eux-mêmes librement en plus de décrire leur mouvement circulaire autour du central, un peu comme des satellites.

Oui, Mikoskyl avait commencé une réplique dans ce sens, avec un ratio de 1/12, (voir quelques post plus haut pour le lien de ces échanges), je ne sais pas ce qu'il en est ce jour, (Mikoskyl, si tu nous lis ?)

Jason Verbelly montre aussi des aimants "codés". Je pense aussi avoir vu quelque part que Searl utilisait une aimantation codée sur ses palets, enfin il me semble...

Parles tu de la magnetisation ?
Si oui, la magnétisation des rollers et anneaux sont préciser page 10,11,12 de ce document
: http://dl.free.fr/jDfmRI8Em
Rédigé par lui et dispos en téléchargement libre, (lien sur un de ces videos youtube, sais plus laquelle)

ou le document traduis par Buckroger en début de ce sujet (chapitre 7 de mémoires)
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...t=0&#entry24282

C'est un process d'aimantation DC (normale) alterné d'un champ résonant AC compris entre 1 et 3 Mhz, cela mettrait les aimant en auto oscillation ?

Quelques autres échanges ( http://www.youtube.com/watch?v=43xVOq66V4s ) dans ce sens, avec ma compréhension googlizé... :

Je pense que les contraintes mécaniques lié aux friction sont au contraire importante
J'ai dut faire 2 heures cumulé maxi de rotation avec les aimant brut non rectifié et les photos ci dessous me montrent bien une usure de la couche du revêtement en nickel.
Et puis cela décroche toujours à partir d'une certaine vitesse (en ce moment 600 rpms)





Je pense donc que la sustentation peux me permettre d'amélioré tous ça

Pour la puissance consommé, elle ne varie pas que je mette des rouleaux ou pas, toujours decroissante en fonction de la fréquence des impulsions

D'ailleurs sur cette vidéo, on entend pas trop mal le "bruit" électrique que je parlait plus haut, surtout sur la fin ou je redescend rapidement la fréquence



Il faudra que je teste sans l'aimant central à l'occaz, pour voir si le bruit est le même

Bon dimanche

Thieu

Une autre explication sur le codage / magnétisation des aimants :



Les video précédentes (de 1 à 7) :

1 - http://www.youtube.com/watch?v=BSoYwU4cXoM
2 - http://www.youtube.com/watch?v=DhX0REBElHU
3 - http://www.youtube.com/watch?v=xREsEqh5fqI
4 - http://www.youtube.com/watch?v=lKtZlVT9z8U
5 - http://www.youtube.com/watch?v=dNpFfLTfrp4
6 - http://www.youtube.com/watch?v=kR0Xg6a0EVw
7 - http://www.youtube.com/watch?v=PSQHsrac_ys

ha ba voui, je pensais pas les frictions si importantes. Faut dire, avec ma manie de foutre des roulements partout j'ai po l'habitude.
Pas de meilleure idée pour l'instant.

Pas de souci ProJéthée...

Le problème que je risque de rencontrer serait que les aimants, ou tout du moins le champ magnétique de l'aimant, doivent être suffisamment proche de la couche diamagnétique pour que les courants de Foucault évitent que les rouleaux soient "éjecter" par effet centrifuge, mais j'ai peur que sans commander les aimants, aucun essai concret ne sera possible sur les distances...

Je vais juste valider la possibilité de l'effet de sustentation avec les aimants que j'ai déjà chez moi, après, je verai pour les commander quand les finances me le permettront (400 € quand même...)

D'ailleurs, si quelqu'un connais un petit simulateur de champ EM gratuit (en ligne ou à télécharger) pour simuler les "nuages magnétiques" de plusieurs aimant et leurs interactions (même statique) pour simuler le croquis que j'ai présenté plus haut, je suis preneur... ???

Je n'en ai pas trouver avec plus de 2 aimants, et encore moins ou on pouvait configurer la forme de l'aimant, sans devoir acheter une suite complète en CAO, j'ai peut être mal cherché...?, mais aussi je suis sur MAC donc les recherches sont limités, (après j'ai bien le PC du boulot mais déjà surchargé en utilitaires nécessaire à mon Job...)



Autre avantages de ce cerclage, cela me permettra aussi de maintenir les rollers de manière plus stable verticalement sur le pourtour du disque et éviter ce qui arrive dans ma video N°40 avec les 8 rollers ...
http://www.youtube.com/watch?v=YKsCRaBaBdM

Intuitivement, je ne peux m'empêcher de faire un rapprochement entre au moins une partie du fonctionnement du SEG, et le fonctionnement de ma balance double gravitationnelle (http://www.dailymotion.com/video/x101wsz_double-balance-gravitationnelle_tech#.UaMe-tix3To).

Dans la simulation de cette vidéo, la chose sans doute la plus importante concerne la liberté de mouvement de certains éléments (remarquez la "chute" des deux anneaux de masse au tout début de la simulation), puisqu'une restriction de cette liberté entraîne systématiquement un arrêt sur une position d'équilibre. Une liberté double, puisque le mouvement relatif de ces éléments entre eux constitue une sorte de déformation. Donc l'engin se déforme ET tourne sur lui-même, cette déformation générant la rotation, et la rotation générant une certaine déformation, l'une alimentant l'autre et vice versa. Au final, c'est l'inertie qui en se rajoutant empêche le système de trouver une position stable d'équilibre. Dans mon cas, la vitesse très faible limite l'effet de cette inertie d'où l'obligation d'un grand dimensionnement pour avoir des Watts.

On obtient la même chose dans le SEG par l'indépendance des rouleaux dont l'un peut prendre un peu d'avance ou de retard par rapport à ses petits copains. L'équilibre global le maintiendra dans une position moyenne fixe mais dans la réalité en constante variation (je ne parle même pas des interactions qu'aurait un deuxième étage avec le premier, puis un troisième, etc...).
Dans ton cas, il va sans dire que si en plus on place un système visant à récupérer une partie de l'énergie des rouleaux, cela va accentuer ladite variation de position.
En poussant l'analogie jusqu'au bout, il faudrait construire une sorte de rotor au sein duquel les rouleaux possèderaient une certaine liberté de mouvement (avance/retard) en maintenant une distance minimale vis à vis du central, mais sans contact (donc sans frottements). Cela te permettrai de "pousser la vitesse" et obtenir un effet inertiel plus grand, donc plus "visible".

Oui ProJéthée, j'ai regarder attentivement ta video, peut tu stp préciser à quoi correspond le point rouge se baladant autour du cercle violet ? Au point d'équilibre mesuré en instantanée je suppose ?
d'ailleurs la forme qu'il inscrit, je l'ai dejà vu quelques part mais je sais plus ou...

Pour continuer avec l'analogie avec le SEG que tu proposes, dans mon cas, je ne compte pas mettre un seul point de captage risquant de créer un déséquilibre ou un retard entre les rouleau, mais x12, c'est à dire que une fois une rotation stable et suffisamment rapide pour générer un courant (obtenu avec mes essais en cours), je rajouterai sur chaque bobines, un bobinage secondaire pour :
- Capter l'energie du passage des rouleaux (demi alternance)
- capter la re-polarisation des bobines par le champ de l'aimant central lorsque la bobine est au repos (seconde demi alternance)
-> donc pour la moitié de la période en énergie fournie, je récupérerai une période complète... (par déduction en tout cas , l'expérience me le confirmera ou me l'infirmera...)

Donc en théorie, si le mouvement est stable et que j'active une charge sur le secondaire, peut importe l'inter-distance ou le décalage entre chaque rouleau, ils seront tous soumis au même FCEM par le bobinage secondaire

Autre point :
Pour ma demande de soft sur les champs EM, j'ai téléchargé SCILAB pour Mac (gratuit, et pouvant inclure les librairies de FEMM), je vais voir si je peux en tirer quelques chose en 3D...?
L'essai juste avec FEMM me montre juste le champ des éléments que je dispose en 2D, alors que je cherche à simuler l'interaction "physique" entre plusieurs groupes d'aimants notamment si la sustentation est possible dans cette config et quelle serai la distance de "puit" ou "trou" magnétique ou l'effet se produira, et aussi la position "théorique" optimale de chaque aimant pour le meilleur effet ...

Salut Thieu et à tous aussi.
C'est bon d’être opiniâtre.
Je continue de mon côté aussi, (même si j'interviens pas beaucoup depuis longtemps). On lâche pas l'affaire. J'ai un peu de mal à obtenir les pièces qu'il me faut, mais la foi est là
Disons que je bouquine fort et réfléchis en attendant.
Encore bravo Thieu.

Ceci étant, la rotation des aimants à haute vitesse (étant donné leur taille) ainsi que le moyen de charge semble être la clé?!? (avec ou sans axe d'ailleurs. Mais c'est plus facile avec).
Désolé j'ai pas relu le sujet du début (je re-débarque un peu) , mais as-tu prévu une charge suffisante sur ton système? Car semble t-il, la charge (résistive) est importante pour que la sur-unité intervienne...
Une idée de test serait de faire tourner à haute vitesse sur son axe, un aimant et d'y adjoindre au niveau de l'équateur, une charge suffisante (une forme récupératrice en cuivre ou autre, dont un petit segment serait coupé afin d'y connecter la dépense, pour voir ce qui se passe. (à tester si quelqu'un ne l'a pas déjà fait))

@ Thieu,
le point rouge sur ma vidéo correspond en fait à un traceur (comme un fumigène) qui permet de visualiser plus complètement le mouvement de l'anneau auquel il est fixé. On voit ainsi que cet anneau au fur et à mesure entre en rotation sur lui-même, alors que le coefficient de frottement dans le logiciel de simulation pour lui et les roulettes grises se trouve sur zéro. Perso, je suis incapable de dire pourquoi dans ces conditions il tourne, et pourtant il le fait et le coef influe directement. Au point que si il est trop grand, l'anneau ne tourne pas ou peu ET le système s'arrête en trouvant une position d'équilibre. Cela voudrait dire que l'inertie de ces anneaux conditionne le mouvement global.
Si j'en place un autre sur le second anneau, le mouvement est similaire au premier, mais avec un décalage constant dans un sens ou dans l'autre en vitesse et en position.

Concernant tes points de captage, je ne suis pas convaincu de l'utilité d'en placer 12. Je m'explique; si on part toujours sur l'analogie gravitation/magnétisme, cela veut dire que le passage de ton rouleau devant le point de captage va influer sur sa vitesse (probablement le ralentir) et les forces magnétiques se chargeront de le replacer dans des conditions d'équilibre (donc en le ré accélérant brièvement). Si il existe 12 points de captage, alors chaque rouleau sur un tour va opérer ce cycle 12 fois, ce qui demande... un certain temps. Je crains que cela ne limite justement leur vitesse de rotation maximale. Mais je suis loin d'appréhender tous les aspects qui entrent en jeu dans le fonctionnement du SEG.

Salut
pour répondre à ceci-dessus, tu pourras trouver sur le sujet "seg fraude ou réalité" (si le lien n'est pas mort) les détails et solutions de R&G dans leur rapport de test.
Bien sûr + d'aimants = + cher
Et je pense que searl a imaginé ses variations d'impressions de champs (AC/DC) précisément pour palier à ces frictions.

Bah apparemment, vu que ça n'a pas été cliqué depuis + de 30 jours (merci free) le lien sur le test de R&G est mort. Donc pour ceux que ça intéressent le voici à nouveau.
Test de R&G
Traduction en français par votre serviteur, donc merci de votre indulgence.
(Fichier original récupéré chez Searl.)
fichier au format -.odt-
et ici, le brevet traduit:
Brevet R&G
format pdf.

Bonsoir,

Thieu, j'ai regardé vite fait ta repro du SEG sur ta chaine Youtube.

Je pense savoir où ta repro BUZZZZ, bref....

En fait j'avais vu l'explication du systeme par un film d'animation à ses touts debuts, (que j'ai cherché à retrouver en vain ! il a mysterieusement disparu...)
En fait pour ne pas que les rouleaux decrochent il faut qu'il y est une tension superficielle sur la couronne centrale et sur chaque rouleau.
Cette tension pour la créer ce fut tout simple:
c'est pourquoi les rouleaux sont composés en exterieur de cuivre.
c'est pourquoi la couronne centrale doit aussi etre recouverte d'une plaque de cuivre.
Explication:
les lignes de champ des aimants en rotation créent un courant induit dans le cuivre du rouleau. (^1)
Ce courant induit dans le cuivre du rouleau crée un champ induit secondaire qui crée un courant induit dans la couronne de cuivre.
ces deux courants permettent aux rouleaux de ne pas decrocher.....
ET oui LENZ est dans la place ;o) sans jeu de mots
*1 vous me direz: mais dans le rouleau, l'aimant est fixe / cuivre, alors comment peut il crée un courant induit ?
Simple il est fixe quand il est seul or il fait parti d'un tout, les autres aimants rentrant en ligne de compte.
=> http://www.youtube.com/watch?v=AP26YOD5GfE

solution: Entoure ta couronne centrale d'une plaque de cuivre !

D'ailleurs c'est la premiere chose qui a attirée mon attention qd j'ai vu un SEG. J'me suis dit " où je vais pourvoir recup un truc comme ça?" C'est pour cette raison que je ne me suis pas lancé dans une repro , car ça coute un bras, voir deux ;o)

Le resistivité du cuivre = 17.10-9
Celle de l'aluminium = 27.10-9
Donc l'induction par loi de Lenz-Faraday (conséquence des courants de Foucault) s'applique aussi sur l'aluminium avec un facteur de 0.63 par rapport au cuivre...

Je ne pense pas que ce soit le problème du décrochage !

Et puis j'ai aussi choisi l'alu pour garder mes bras... héhé

Quelques échanges sur magnéto montrant comment je vois l'utilisation des courant de Foucault dans un système Searl :
http://www.magnetosynergie.com/forum/viewt...hp?p=7292#p7292
Inspiré de ce document de Verbelli : http://dl.free.fr/jDfmRI8Em

Apres on m'a conseillé de mettre des électret à la place de la partie nylon, qui rejoins un peu ta proposition mais avec de l'électricité statiques, peut être une piste à explorer... (voir les commentaire de cette vidéo http://www.youtube.com/watch?v=YKsCRaBaBdM )

@ Mikoskyl
Merci pour ce retour parmi nous...
Je n'ai pas encore prévue de bobinage pour récupérer de l'énergie électrique, donc pas de charge non plus...
Je veux atteindre un vitesse de rotation suffisamment élevé avant de commencer une extraction (genre 2000 ou 3000 rpms)

Sur le lien magnéto plus haut de ce message, je parle également de l'impression magnétique des ses aimants et pense aussi que c'est lié a ce que je cherche à faire avec une sustentation avec le rajout d'aimants

Pour R et G, j'ai téléchargé tes doc (merci d'avoir remis les liens), je n'ai pas encore eu trop le temps de regarder (ni de faire d'autres essais d'ailleurs...) je regarderai tous ça des que je trouve un moment...

@ Projéthé

C'est pour ça que je veux aller plus vite, pour que cette variation n'influe pas trop sur le mouvement globale, et puis en mettre 12 par dessus chaque bobine existante, c'est pour gagner la demi alternance fournit par l'aimant centrale lorsque les bobines ne sont pas alimenté, je l'explique pas trop mal ici : https://www.chercheursduvrai.fr/forum/in...=90&#entry31432 :

Bon dimanche à tous
Thieu

J'en conviens mais:

L'alu est paramagnetique, il acquiert une aimantation dirigée dans le même sens que le champ d'excitation!
Le cuivre diamagnetique cela provoque l'apparition d'un champ magnétique opposé à un champ magnétique appliqué ...
Toute la difference est là .
Dans le cas du SEG l'alu expulse les rouleaux plus la vitesse augmente,
dans le cas du cuivre cela les retient !

Magnetisme elementaire ,o)

Ha oui, les champs inverse à celui qui l'induit...j'avais zappé cette aspect là...
Merci pour ce rappel...
C'est effectivement la propriété diamagnétique que Searl préconiserai de mettre quoique la dessus, j'ai encore vu des contradictions sur le net (aluminium or cooper, nylon or teflon...).

J'ai encore les rouleau en cuivre, je n'avais pas vu de différence de vitesse en testant avec, après le disque central était toujours en alu, c'est vrai
Mais ça ne va pas ralentir davantage les rouleaux si je cercle avec du cuivre (ou bismuth...? si moins cher) en lieu et place de l'aluminium ?
Apres ce que j'appel décrochage c'est que les rouleaux s'arrêtent de tourner au delà d'un certaine fréquence, il ne sont pas expulsé du disque

Bref, à suivre, je vais étudier tous ça et voir ce que je peux récupérer, si cela peux m'éviter d'acheter pour 400 Eur d'aimants...c'est pas plus mal, d'autant plus que je n'arrive pas à faire apparaitre ce phénomène de sustentation avec les quelques aimant dispo chez moi (ferrite rectangulaire sur gros aimant cylindrique)

Merci

Thieu

oui je parlais des effets sur cette video :


http://fr.scribd.com/doc/134608782/John-Se...EG-Presentation
http://fr.scribd.com/doc/75278338/SEG-Mock...e-Stages-of-R-D

Ce message a été modifié par LeTigreFr le Dimanche 02 Juin 2013 à 20h35